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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#2604626
Le fantasme hors de contrôle (4)

...
C'était sans doute une larme d'extase faite de plein de choses. Une espèce de lâcher prise émotionnel et physique. Je suppose... enfin c'est ce que je preférais supposer.
Elle me dit d'un air agacé: "tu ne veux pas aller en bas Tom? Steuplaît?
Il me regarda à son tour d'un air gêné. Sans pour autant sortir son pénis de ma femme et sans rien me dire. Je comprenais.
Je sortais donc de la chambre.
Je n'aimais pas non plus cette position que j'avais. Cette position de voyeur qui ne pouvait être que gênante vis à vis d'eux, dégradante vis à vis de moi.
Le mieux serait que je participe pensais-je. Que je la touche, que je la dirige, que je l'embrasse etc... mais pas facile. Car cette position de recul était celle qui me permettait d'assouvir au mieux mon fanstasme. Celui d'admirer ma femme... Mais aussi de d'admirer le désir qu'elle suscite auprès de son amant.
A peine, je fermais la porte que j'entendais ma femme gémir à nouveau.
Puis, quelques instants plus tard, un râle étouffé par la distance entre la cuisine et la chambre me fît comprendre qu'ils avaient terminé leur affaire.
Ils descendirent, lui en caleçon, et elle en nuisette. Elle sortit 2 tasses et prépara du café.
"Alors, c'était bien?" Leur demandais-je maladroitement.
Il me repondit "Top" et elle ne me répondit pas. Comme si c'était évident que oui. Son sourire parlait pour elle.
"Bon, moi je vais y aller" dit Thierry. La communication n'avait pas l'air au top entre eux. Une sorte de gêne remplissait l'air de la pièce.
A ma surprise, elle ne le retint pas. Tant mieux. Peut-être est-elle rassasiée.. enfin..
Il s'habilla et partit. Embrassant longuement ma femme sur le pas de la porte. Comme un amoureux ayant déjà le manque.
Je montais prendre ma douche. Sur le chemin, j'entrais d'abord dans la chambre pour prendre quelques habits. La couette étaient tirés. Des tâches blanchâtres sèches parsemaient le drap. Mais j'étais rassuré de voir sur la table de nuit 2 emballages de préservatif.
Elle montait également et je lui proposais qu'on prenne notre douche ensemble. Histoire de reprendre possession d'elle et de son corps. Elle refusa chaleureusement mon invitation en m'embrassant tout en me touchant le pénis et en me disant "j'en peux plus là" et sur un ton très naturel de finir par "je viens de le faire sauter pendant 3 quart d'heure..."
"Tu vas encore le revoir?"
"Oui mais pas tout de suite"
"Parfait" pensais-je.
Elle estimait certainement qu'une prise de recul devait avoir lieu, qu'une mise à distance était nécessaire poir préserver la "magie" de leur relation éphémère.
Et puis cela ne faisait que 15 jours qu'elle s'était décidée à assouvir mon fantasme. Nous avions déjà été loin. Pour Elle, jeu de séduction, fellations, baises, sentiments... et Moi, peur, tourment, questionnement, excitation, masturbation...
La journée se passa comme si de rien était.
Mis à part le fait qu'elle repondait à des textos régulièrement. Ceux de Thierry je suppose.

Le soir, au lit, alors qu'elle ne voulait toujours pas qu'on fasse l'amour, j'osais: "La prochaine fois, je voudrai être plus actif bb. Je n'aime pas trop être là juste à vous regarder... j'ai envie de profiter du moment aussi tu vois?"
Elle me répondit du tac au tac "ça veut dire quoi -plus actif- ? Tu vas faire quoi? Me la coller dans la bouche? Franchement, bof.."
"Non mais, je sais pas, oui,... chacun notre tour, et pourquoi pas d'abord? Te la coller dans la bouche? Pendant qu'il te prend? Et inversement? Non? 4 mains qui te caresses, ça le ferait non?.
Elle me repondit: "Je sais pas, on verra mais là j'ai un truc qui me trotte dans la tête..."
Avec ses yeux plissés et un petit sourire gêné. Je sentais poindre sa malice.
Qu'allait-elle me pondre?
"Ah oui, quoi?" Mon coeur commençait déjà à battre plus fort. Et je me mis à bander avant même de connaître son aveux.
"En fait, j'ai, moi aussi, un fantasme: j'ai toujours été attirée par les arabes... une fois, il y a longtemps, juste après ma rupture avec mon ex, on était sorties avec une amie en boîte et il y en avait un qui m'avait dragué à fond. Au début, je le repoussais et puis finalement, à force qu'il me colle et alcool faisant, on a finit par se rouler des pelles toute la soirée."
"Et vous avez couché ensemble?" (J'avais, à ce moment précis, la bite dure comme de la pierre)
Elle me répondit: "bah non, je voulais pas laisser ma copine et lui, il voulait, il arrêtait pas de me peloter mais il était avec toute sa bande, donc même si j'étais bourrée et qu'il m'excitait, je sentais le plan glauque."
"Ok et du coup?" Lui demandais-je.
"Cela m'avait plu au final. De manière générale je les trouve virils, nerveux, ça me tente... du coup, j'y repense là vu que je peux me taper des mecs avec ton consentement..." finit elle avec un large sourire.
Je répondais: "Oui en effet avec mon consentement" Silence.. je laissais un faux suspens s'installer et 5 secondes plus tard, je lui accordais le fait de tenter de réaliser son fanstasme. "Mais je veux toujours être là, ok?"
Elle répondit qu'elle était d'accord, mais je sentais bien qu'elle aurait aimé se passer de ma présence.
Cependant, et pour plusieurs raisons, je restais sur ma position
D'une part, je n'ai pas encore envie d'être cocu tout seul dans mon coin. J'avais encore envie de la voir sous l'emprise d'autres hommes. L'imaginer seulement ne faisait pas partie de mon délire.
Et cette idée de la voir avec un homme viril et nerveux me tentait au plus haut point.
D'autre part, je craignais tout de même un peu qu'elle ne soit prise au dépourvu de la possessivité que développerai vite ce type de personnage... je voulais donc être présent en cas de "mauvaise rencontre".
Quoiqu'il en soit, bien que nous n'aimions pas la musique qui passe dans ce genre d'endroit, nous décidions de partir dans une boîte de nuit réputée pour être assez souple quant à la fréquentation de leur clientèle dès la semaine suivante.
Et malgré son refus d'il y avait quelques minutes, je la pris et lui fît l'amour nerveusement..
#2604912
Le fanstasme hors contrôle (5)

La semaine qui suivit fût étrange de mon point de vue. Elle avait changé. Son attitude n'était plus la même à plusieurs égards.
Nous communiquions moins. Elle était tout le temps sur son portable à discuter avec son amant.
Elle se mettait plus en valeur d'un point de vue vestimentaire, se coiffait et se maquillait de manière différente. Une partie du poids du regard de la société semblait ne plus peser plus sur elle. Il en était de même pour ce qui est du poids que représentait la fidélité dans notre couple. Elle acceptait le désir jusqu'ici enfoui qu'elle pouvait susciter auprès des hommes et semblait prête à l'exploiter. Je n'étais plus son seul. Elle n'était même pas fidèle à Thierry, son amant dont je digérais à peine l'existence.
Quant à moi, il me semblait ne pas avoir changé. Mis à part mon inquiétude grandissante vis à vis de ces changements que je constatais et qui opéraient trop rapidement à mon goût sans aucun contrôle de ma part. Ma vie se partageait entre ce brouillard inquiétant et ses instants d'intense excitation.
Quelque chose d'invisible avait pris le pouvoir sur une partie de moi : Elle et mon fantasme, elle et son indépendance sexuelle naissante.
Je ne la voyais plus de la même façon. Elle n'était plus à moi. Je tenais pourtant toujours à elle et à ce que nous étions comme à la prunelle de mes yeux.
A certains moments, j'y voyais le début de la fin de notre histoire. Ne voyant pas comment un retour en arrière serait possible. Je faisais le constat d'une escalade véloce de la situation.
Fallait-il que je lui demande de stopper tout ça? Ou au moins de mettre pause? Sous pretexte de danger pour nous, pour notre couple. Lui demander cela, est-ce qu'elle le comprendrai? Et en avais-je moi-même vraiment envie? N'étais-je pas pris dans la tempête de mon envie de vivre encore ces moments tant espérés depuis des années? Je décidais intérieurement donc de ne rien lui demander et de la laisser poursuivre son chemin. Je laissai alors le destin répondre à cette question: le jeu en vaut-il la chandelle?

Le jour de la sortie en boîte approchant, nous commençions à nous poser des questions logistiques. A savoir, si elle trouvait un "élu", allait-elle coucher avec le premier soir? Comment allait-elle s'habiller? A quelle heure partirions nous en boîte? Où l'enmènerions nous? (Je n'avais pas trop envie de l'enmener chez nous, allez savoir pourquoi...). Quel scénario?
A la question de savoir si elle allait coucher le 1er soir, la réponse, elle me l'envoya en pleine figure "je suis pas une pute, il va falloir qu'il me plaise, que j'ai du feeling" . Donc pas le 1er soir, c'est noté.
A la question de l'habillage, on opta pour une tenu sobre (puisque madame n'est pas une pute). Une jupe pas trop courte, un débardeur...Par contre, en dessous, des bas et de la belle lingerie. Car même si elle ne couche pas le 1er soir, se savoir "bonne" était important pour elle comme pour moi.
Pour ce qui est de la 1ère partie de soirée, on decidait de se faire un resto tranquille.
Et enfin, pour le scénario, je ne serai pas son mari mais un ami ouvert d'esprit.
Nous étions bien en phase.
Je commençais à prendre une drôle d'habitude. Celle de bander régulièrement dès qu'on évoquait le sujet de cette soirée.

Nous étions le jour J, j'etais pressé. Elle je ne sais pas.
Elle se prépara longuement avant d'aller au restaurant. Moi, j'attendais ne sachant que faire. Je passais mon temps à scroller sur Fb. A espérer que le temps passe vite, puis qu'il se ralentisse lorsque nous serions en boîte.
Une fois prêt, nous partions, sa main sur ma cuisse dans la voiture.
Même sobrement vêtue, je savais qu'elle attirerait le regard des hommes.
Nous n'avions absolument rien convenu concernant le moment où l'histoire de ce soir se transformerait en sexe puisque ce moment ne devait pas avoir lieu.
Le restaurant était à 2 pas de la boîte de nuit.
C'était, jusqu'ici, parfait.
Le repas était bon, un peu silencieux. Mais elle continuait de me prendre regulièrement la main. Des gestes qui me rassuraient et donc me faisaient perdre quasiment toute peur. Alors d'où venait cette adrénaline qui montait au fur et à mesure que le temps avançait? Bref... nous y étions. Derrière cette bouteille de vin que nous venions de finir après le dessert, il était presque minuit, je filais payer la note. Je pris ma femme par la main et l'enmenais dehors, en direction d'une nouvelle aventure.

Il y avait déjà du monde dans la boîte et effectivement majoritairement des reubeus. Assez peu de filles. Il n'était que minuit. Dans une heure, ça sera blindé.
On ne se tenait évidemment plus la main et on se dirigea vers le bar pour commander nos 1ers verres.
Ma femme fût, déjà, sur ce court chemin, la proie d'un sourire insistant de la part d'un client. Mais bon... elle ne sautera pas sur le 1er venu, je le savais. Et il faudra plus qu'un sourire niais pour la séduire. Pendant 1/2 heure nous patientions. Et un 2ème verre chacun était déjà consommé.
Nous avions trouvé des places assises.
Ma femme partit danser... Et revint sans personne...
"Alors ?" Lui demandais-je.
"Aatteeeeeend" me dit-elle sur un ton déjà un peu éméché. "Déjà j'ai l'impression d'être un bout de viande là".
Un air des fuggees commençait, elle repartait aussitôt danser toute seule avec son verre à la main.
En effet, beaucoup de jeunes hommes la regardaient. Des filles qui dansait seule, à part elle, il n'y en avait pas.
Certains s'approchaient pour danser avec elle. J'en vis un s'approcher de son oreille pour lui dire quelque chose. Elle lui répondit en se reculant puis fît un signe négatif de la main. Il s'eloigna... respectueusement. J'avais peur qu'elle ne s'embrouille mais elle semblait très bien gérer sa sélection.
Elle revînt toujours bredouille. Il commençait à y avoir encore plus de monde et il faisait chaud. J'allais une fois de plus nous commander des boissons. Je ne la souhaitais pas ivre mais déshinibée et elle commençait à l'être.

Assise à côté de moi, je la vis tourner plusieurs fois la tête vers un client qui était avec 2 autres lascars.
Il avait les cheveux gomminé en arrière, il était grand et il avait un certain charisme. Je voyais qu'il lui rendait quelques regards.
Je lui dit à l'oreille "c'est lequel que tu mattes?"
Elle me répondit "Le grand là-bas mais c'est lui qui me matte". Elle bu une gorgée. Et me dit  "je vais pisser, je reviens".
Mais elle ne revînt pas puisqu'elle repartit danser directement après avoir été aux toilettes.
Le jeune homme se leva et parti en direction de ma femme sur la piste. Il s'approcha d'elle qui dansait. Lui ne dansait pas. Il lui parlait à l'oreille. Elle ne s'éloignait pas. Elle arrêta progressivement de danser pour se concentrer sur leur discussion. Il faisait 2 têtes de plus qu'elle. Plutôt sportif. Typé lascars. Je bandais.
clahire, Archer, acarban et 16 autres a liké
#2605536
Le temps était en train de s'arrêter autour d'eux. Presques immobiles au milieu de cette masse mouvante.
Sans vouloir la réduire à un bout de viande (ce qu'elle était pourtant bel et bien), ma femme était une proie de qualité dans un endroit pareil. Une  femme brune au grands yeux bleux et aux lèvres pulpeuses. La quarantaine, 1m70, armée d'un 95E sur un corps parfaitement proportionné et dont les talons finissaient d'aiguiser la silouhette. Elle contrastait dans ce décors peuplés de gens majoritairement masculin et dont l'âge ne devait pas excéder la trentaine. Une vrai MILF. Un fantasme pour ce type de public. On ne pouvait qu'avoir envie de la goûter...
Il me semblait tout à fait logique dans ce que je connaissait du règne animal que cette espèce de mâle alpha soit celui qui en prenne possession sans contestation de ses congénères.
Ses amis, restés plus loin sur leur banquette, commentaient cette "belle prise".
Mais ce n'était pas gagné pour lui me dis-je... quoiqu'elle semblait avoir mordu à l'hameçon.

L'un de ses 2 potes vînt vers moi. Il me demanda: "c'est ta meuf?". "Non, c'est une amie" - il me répondit "tant mieux". Je lui proposais de lui offrir une clope. Je devais en savoir plus sur cet homme qui abordait ma femme à quelques mètres de moi.
Il accepta et je lui demandais : "C'est ton pote? Il s'appelle comment?"
"Il s'appelle Mehdi, t'inquiète on est pas méchants. Moi c'est Farid" me dit-il comme s'il avait senti mon appréhension.
En effet, là, on jouait avec le feu. On pouvait vite se faire embrouiller. Son pote nous rejoint et s'installa sur le tabouret devant moi. De sorte que je ne voyais plus ma femme.
Il était 2h du matin. J'étais à moitié bourré, elle aussi certainement. Il était venu avec sa bouteille et son pichet de Coca.
Lui ne m'adressa pas la parole.
Je me décalais pour pouvoir voir à nouveau ma femme.
Ils s'étaient rapprochés, ils parlaient toujours. Il avait sa main sur sa hanche. Qu'est-ce qu'il pouvait bien lui raconter?...
Elle lui pris la main et l'enmena jusqu'à notre endroit. Il me serra fermement la main et ils se posèrent l'un à côté de l'autre sur la banquette sur laquelle j'étais aussi.
"Ca va ?" Lui lançais-je.
Elle me répondait par le signe qu'utilise les plongeurs pour dire que tout est ok.
Je me levais alors pour aller m'installer sur un tabouret face à eux. Je lui souris.
Je l'entendis d'ici lui dire "T'es grave belle" - "T'es pas mal non plus" lui dit elle assez fort en retour sûrement pour que je l'entende.
Il posa sa main sur sa cuisse et elle fit de même. Il se tourna vers elle et l'embrassa. Elle tourna doucement la tête pour faciliter l'accès à ses lèvres.
Il y eu d'abord 3 smacks. Le dernier, bouche entre-ouverte puis, leurs langues s'entremêlèrent.
"Quel beau spectacle" me dis-je. 
Il passa sa main sous son débardeur pour lui caresser le ventre. Il semblait savoir y faire.
Sachant ma femme pompette, je n'avais aucun doute sur le fait qu'elle fût excitée. Elle lui tenait le visage tout en lui caressant la joue de son pouce.
Plus ça allait plus ses caresses étaient appuyées, insistantes. Elle le repoussait un peu quelques fois. Mais la résistance était faible.
J'aurai aimé pouvoir constater l'état dans lequel se trouvait sa culotte...
Ce petit jeu dura un moment. Je ne saurai dire combien de temps... pendant ce temps je me servais directement dans la bouteille de nos "amis", l'un d'eux me dit "vas-y fait comme chez toi mec".

Le même, Farid, finit par lancer "On va y aller nous, c'est pas qu'on se fait chier mais... Hey Mehdi?? On va chez toi?".
Il répondit en souriant: "JE vais chez moi. Vous, vous démerdez. Moi, j'embarque la miss!"
Merde... Je rétorquais immédiatement "Non non, je la ramène, elle est bourrée, je la ramène chez elle!".
Elle tourna la tête vers moi et me fît un signe négatif avec son index. "Quoi??!"
Puis elle lui dit quelque chose à l'oreille.
Pendant ce temps, les 2 autres lascars partaient de leur côté.
Mehdi, montrait des signes d'incompréhension et fronçait légèrement les sourcils.
Elle lui caressait le visage en même temps qu'elle lui parlait.
Je m'approchais d'elle en me cognant le genoux sur la table - en m'asseyant et sur un ton énervé, je lui répétais "Quoi??! T'es sérieuse là??!! Comment ça non ??!!? Tu lui as dit quoi ??!!" Je lui pris fermement le bras.
Il m'attrapa violemment par le col et me lança "Vas-y calme toi!" Prenant la défense de ma femme. Elle ne s'interposa pas et me repondit: "La vérité Tom!! Que t'es pas un ami, qu'on est marié, que tu es bourré, que moi aussi. On va pas prendre la bagnole chéri. On va aller chez lui terminer la nuit".
Que pouvais-je répondre à cela? On allait sortir des frontières du scénario. On allait effectivement pas prendre la voiture dans cet état. Je pensais aller à l'hôtel.. mais bon... Et puis, s'il acceptait... après tout ce sont ses limites à elle qu'elle décidait de franchir. Moi, la situation m'excitait... je lui en voulais surtout de ne pas respecter ses propres règles.
Il interrompit la scène par un "Aller on se casse".

Il nous fît monter dans sa voiture, une Golf puissante. Elle à l'avant, moi à l'arrière. Il alluma une cigarette, il conduisait nerveusement. Elle le regardait de temps en temps. Elle lui demanda "Tu fais quoi dans la vie?"
"Plein de choses Miss! Plein de choses.. pas grand chose de légal. Des petits boulots de cité... je deal quoi.. "
On arrivait justement dans une cité de l'Est de la ville.
Un endroit dans lequel un couple comme nous ne se baladait pas généralement..
Il s'arrêta sur une place de parking prêt de l'entrée d'une tour.
Il se tourna vers moi et me dit "Profites mec". Il descendit sa braguette, dégraffa son jean et  sortit son membre à demi dur et dit à ma femme d'un ton directif: "Suce moi".
Elle obéit sans broncher. Elle se pencha et sentit d'abord son gland. Embrassa le dessous de sa verge qui commençait à gonfler tout en continuant de la hûmer. Cela pouvait paraître étrange mais ça m'excitait qu'elle fasse cela. J'imaginais du coup qu'il ne devait pas sentir la rose. Mais cela n'avait pas l'air de la dégouter. Bien au contraire, puisqu'elle finit par l'engloutir avec délectation.
Il posa alors sa tête sur l'appui tête pour profiter des sensations que lui procurait la chaleur de sa bouche.
La tête de ma femme commença à prendre un rythme lent de bas en haut et de petits bruits gutturaux se faisaient entendre.
Il se mit à passer ses doigts dans ses cheveux puis à tirer sa tête en arrière pour qu'elle cesse et lui dit: "Me fait pas jouir tout de suite, on va chez moi".

Nous prenions l'ascenseur tous les trois. J'osais aller embrasser ma femme. Elle sentait fort la bite.. il ne devait pas être du genre à beaucoup la secouer après avoir uriné.... était-elle excitée par cette odeur pour avoir pu le sucer et accepter de monter?
Il nous fît entrer chez lui, sortit une bouteille de Vodka et nous en servit accompagné de jus de pomme. C'était le bordel dans son appart. Ça sentait le shit à plein nez. Il se roula un joint qu'il partagea avec nous. Bu encore. S'en roula un autre, l'alluma, et se rassit contre ma femme sur son canapé.
Il partagea ce deuxième joint juste avec elle. Moi, j'étais sur une chaise en face. Spectateur. Entre l'alcool, le shit et la situation, je commençais sérieusement à ne plus du tout être clair.
Une fois fini, elle retira son soutien-gorge habilement sans enlever son débardeur.
Il écrasa le mégo puis il commença à lui peloter les seins avec ses grandes mains puissantes , souleva le tissu et lui lécha les téton.
Il descendit ensuite sa main droite vers son entre-jambes et la glissa sous sa jupe. Il dût à peine forcer pour qu'elle ouvre les cuisses. Elle s'affala un peu pour un lui offrir accès plus facile.
Il lui massa son vagin en faisant des mouvements circulaires par dessus sa culotte en dentelle blanche qu'il finit par écarter pour la doigter. Elle ferma les yeux et se mit à gémir tout en lui caressant le crâne.
Il lui demanda ensuite de se lever pour qu'il puisse déplier le canapé.
J'étais en train d'espérer que l'un d'entre eux ait des préservatifs. Car moi, je n'en avais pas...
Ils s'allongèrent encore habillés. Il se mit sur elle et se frotta. Elle écartait les jambes comme pour accepter cet acte qui allait avoir lieu de manière maintenant certaine.
Elle le repoussa sur le côté et ôta son débardeur. Puis se mit debout sur ses talons qu'elle enleva alors.
Toujours couché sur le dos, il admirait son nouveau jouet.
Là voilà en bas et en culotte. Culotte, j'en étais persuadé, déjà souillée par son désir pour lui.
"Comme t'es bonne sérieux" lança t-il.
Elle l'était vraiment d'autant plus que désinhibée comme elle l'était et malgré son regard brumeux, elle prenait des attitudes très sexy, cambrées. Sûre d'elle, déterminée à aller là où elle voulait aller cette nuit.
Il se déshabilla à son tour, lui, intégralement. Il avait un corps puissant. Il toucha son membre plus sombre que la couleur de sa peau, déjà assez imposant alors qu'il ne semblait pas encore bander complétement. Il n'était pas excessivement long mais assez large et son gland était particulièrement gros.
Elle leva un doigt en l'air comme prise d'un moment de lucidité, partit hâtivement dans le couloir où étaient entrepôsées nos affaires tout en en disant gaiement "Je reviens" et revînt quelques secondes plus tard avec 2 préservatifs qu'elle lança non loin du visage de Mehdi. Elle but au passage les 2 dernières gorgés de vodka pomme qui restaient dans son verre.
Elle monta ensuite sur le lit comme un chat, puis frottant ses seins sur lui tout le long de son corps jusqu'à sa bouche dont elle s'empara avec faim.
Soudain, il dit "et il doit pas participer Tom? Vas-y suce le miskina".
Elle me regarda et me fît signe de venir.  Décidemment, elle était méconnaissable...
Le souvenirs de sa réticence lorsque je lui avais avoué mon fantasme me revenait en tête. Mon esprit souhaitant peut-être créer un contraste puissant avec l'instant présent...
Je me levais, baissait mon pantalon et mon caleçon et me dirigeait vers son visage.
Moi qui bandait comme un taureau il y a 2 minutes, je m'approchais mais.. je n'étais pas dur... merde, chié...
Je lui donnai tout de même mon membre mou qu'elle pris dans sa bouche mais malgré toute l'excitation du moment, impossible de bander. Je me mis à me toucher mais non, pas moyen.. un putain de blocage...
Elle me dit "Laisse tomber Tom" et lui se mit à rire aux éclats et dit "aaah sérieux nan, la haaaine mec. Bon bah j'vais ken ta femme tout seul hein. J'avoue je préfère".
A part "Putain" je n'eus rien d'autre à ajouter et je repartai m'assoir sur ma chaise comme un pauvre type... je me servais un verre, pensant peut-être que cela allait me faire passer ce blocage alors que bien évidemment non. Je me résignais à rester spectateur malgré mes bonnes résolutions de la dernière fois.
Elle redescendit de son côté, passant vite cette parenthèse, vers son bas ventre et se remit à le sucer. Le cul relevé vers moi. Je voyais sa fente, encore fermée qui allait bientôt être prise par notre ami.
Il l'encouragea de cette initiative en la gratifiant d'un "Vas-y oui suce moi t'as raison, tu suces bien p'tite chienne". Vu l'odeur de tout à l'heure, je ne comprenais décidemment pas comment elle faisait...
A nouveau, il l'a pris par les cheveux, d'abord pour accompagner avec délicatesse son mouvement. Puis lui tira en arrière soudainement et vigoureusement dirigeant son visage en direction du sien et lui dit: "Retire ta culotte".
Elle obéit avec lenteur et toujours souriante. Elle retira sa culotte et lui demanda s'il voulait qu'elle garde ses bas. "Oui tu les gardes".
Elle me la lança.
Je la sentis puis léchais son fluide tout en continuant d'avoir les yeux sur eux.
Elle prît l'un des préservatifs, déchira l'emballage avec les dents, le suça encore un peu, pour assurer une belle raideur au pénis de son amant puis lui enfila avec dextérité malgré la taille peu modeste du membre.
Elle s'assit sur lui, frotta un peu son vagin sur sa virilité. Puis se l'enfila avec lenteur avec l'aide d'une de ses mains. Son pénis entra sans aucune résistance.
"Ah ouaaai" dit-il comme soulagé "t'es trooop booonne".
"Attends"- il se retira alors qu'ils venaient à peine de commencer. Lui souleva le bassin, se mit derrière puis la pénétra en levrette.
Il était vraiment différent de Thierry.. beaucoup plus spontané, beaucoup plus bestial. Autant je la voyais prendre énormément de plaisir lorsqu'il lui faisait l'amour, ici, avec Medhi, je dirai qu'elle prenait son pied. Du cul quoi... je ne voyais pas où se situait le jeu de séduction dont elle me parlait et dont elle me disait avoir besoin.
Il la prenait sans ménagement. Il lui donnait de vrai coups de reins qui claquaient bruyamment sur ses fesses. Il la tenait avec force. Elle ne criait pas mais s'exprimait sans retenue.
Mise à part ma panne, c'était génial... c'était son fantasme et le mien. Que demander de plus? (Et là je pensais "que la redescente ne soit pas trop dure").

Elle se tourna soudain, face à lui, les jambes  écartées et relevées, lui, à genoux, la bite raide comme du bois. Avec l'envie d'être prise ainsi. Pénétrée profondément. En missionnaire.
Il se posta au dessus d'elle, l'embrassa puis posa son gland sur l'entrée de sa chatte et entra lentement. Une fois. Puis ressortit, entièrement. Il fît cette manoeuvre 3 fois de suite. Elle respirait bruyemment et  gémissait et chuchotait "oui" à chaque fois qu'il se glissait à nouveau en elle.
Lorsqu'il ressortit pour la 4ème fois, je vis la main de ma femme saisir le sexe de son amant tout en gardant la même position. Elle le branla doucement. Et puis,... je la voyais tirer doucement sur le réservoir puis vers la base de son pénis, elle retroussait la capote. Puis à nouveau tirait sur le réservoir. Il la laissait docilement faire sa manoeuvre.
Je n'osais pas croire à ce qu'elle était en de faire.
Je n'osais pas réfléchir à ce qui était en train de se passer. J'avais les yeux fixés sur cette main qui oeuvrait vers cet interdit qu'il ne nous était même pas venu à l'idée d'évoquer tant il était évident que les rapports devaient être protégés.

Le préservatif finit par être ôté complètement. Elle se caressa le visage avec en affichant un sourire démoniaque et le posa ensuite à côté d'eux. Elle entreprit de le sucer encore une fois. Semble t'il juste pour le goût puisqu'elle se remit sur le dos. A sa merci.
Elle reprit sa bite en main et frotta son gland sur sa fente humide. De bas en haut. Jouant avec l'entrée de sa chatte. Faisant une pause à cet endroit et le laissant s'enfoncer juste un peu avant le faire ressortir. Un jeu qui dura jusqu'à ce qu'il ne puisse plus s'empêcher à nouveau de la pénétrer entièrement. Et à nu, donc, cette fois-ci...
Je n'arrivais pas à bander tout à l'heure et ce fût tout l'inverse à cet instant. Un instant Aussi excitant que dangereux; aussi magique que destructeur.

Mehdi limait ma femme de plus en plus vigoureusement et elle prenait de plus en plus de plaisir. Ses coups de bite étaient profonds et assez violents. Il n'hésitait pas à lui dire régulièrement des mots comme "salope", "pute", "chienne"... C'était d'autant plus jouissif qu'elle semblait adorer cela car elle lui renvoyait des "Oh oui, vas-y baise moi', "elle est bonne ta queue", "J'aime ça", "continu", et même des "plus fort" alors qu'il la prenait déjà sauvagement.
Soudain, les pieds de ma femme se mirent à trembler fortement et ses cuisses se serrèrent autour des hanches puissantes de Mehdi. Elle bascula la tête en arrière, se cambra et répéta à haute voix rapidement "putain, putain, putain".
Un orgasme long et intense la parcourait.
Il continuait, lui, ses coups de reins tout en lui disant "Vas-jouis, prends ton pied". Puis il s'adressa à moi "T'as vu ta femme? Regarde la bien jouir".
J'étais heureux pour elle, c'était incroyable.
Le fait qu'il s'adresse à moi me satisfaisait.
Quant à elle, ses spasmes se calmaient. Elle expira longuement et lui dit "Viens".
Une chaleur monta jusqu'à mon visage.
Ce qui représentait certainement le point culminant de mon fantasme allait se produire devant moi.
La fameuse recherche "wife creampie" que j'avais tant de fois saisie sur les moteurs de recherche de sites porno...
Il continua pourtant ses ruades sans arrêter... elle se remit à gémir et lui répéta "Viens", "j'ai envie de te sentir".
En guise de réponse, ses muscles fessiers se contractèrent, il poussa un râle en même temps qu'il s'enfonça et déchargea au plus profond de ma femme.
Il cessa de bouger, mis tout son poids sur elle qui lui caressait les cheveux comme si elle le consolait. Il resta un moment comme cela.
Je me mis à me toucher choisissant ce moment particulier pour éjaculer. Il me dit "Te branle pas sur mon tapis mec, viens faire ça sur ta femme". Je m'approchais. Il se retira tel un étalon se retire de sa jument. Son membre luisant encore gros se désolidarisa d'elle et un filet de sperme coula le long de sa cuisse. Elle me stoppa et me toucha la verge avec son pied et j'éjaculai à mon tour sur ce simple contact, le regard sur sa fente luisante.
Mon esprit se désembruma immédiatement comme si quequ'un avait allumé la lumière dans la pièce. Il était 5 heures du matin. Nous étions dans le HLM dans un quartier craignos de la ville. Ma femme avec ses bas tâchés, allongée sur le lit, remplie du sperme d'une racaille de cité.  Moi, pantalon baissé, bite pendante.. Qu'allait-il se passer maintenant?... Qui allions nous être demain?
clahire, dinguedelle, voyeurdu38 et 16 autres a liké
#2606006
Je m'assis prêt de ma femme alors que lui s'était levé pour aller se rouler un nouveau joint sur sa table basse, bite à l'air. Les sécrétions étant en train de sécher sur la peau.
"Ça va bébé?" lui-demandais-je en lui prenant la main.
Elle me répondit "oui, c'était boooooon"
"Tu te rends compte que tu as dépassé les limites?"
"Ouiiii, j'ai pas pu m'empêcher, je sais pas ce qui m'a pris..."
Heureusement, ma femme ne pouvait plus avoir plus avoir d'enfant. Nous avions décidé une intervention chirurgicale après notre 2ème enfant. Restait cependant toujours le risque de choper une merde. Elle finit "j'irai me faire un dépistage.." sans pour autant avoir l'air inquiète.
Elle était toujours à moitié bourrée.
Medhi revînt vers nous avec son joint, pas encore allumé.
Il nous interrompit en disant "et c'est pas fini les amis". Puis me lança "Elle me fait vriller ta femme".
Il se pencha vers la chatte humide et lui enfonça 2 doigts qu'il ressortit aussitôt et les porta à la bouche de ma femme. Elle lui suça tout en le regardant.
Il s'essuya sur le drap et alluma son joint.
Il tira 2 lattes dessus et lui passa. Complice, elle se redressait et tira dessus quelques tafs.
Puis me le passa à mon tour. Je tirais dessus également avant de le rendre à son propriaitaire.
"Quelqu'un veut un verre?" Dit-il. Je refusai. Elle accepta.
Il lui mis une forte de dose de vodka qu'elle ne but qu'en 2 grandes gorgée. Puis repris le joint des mains de Medhi, tira dessus plusieurs fois en avalant profondément la fumée.
Je lui dit "Arrête...", elle ignora ma demande.
Elle semblait vouloir rester dans un état second afin d'être prête pour une deuxième saillie que son étalon était en train d'annoncer.
Il s'assit à nouveau sur le lit et commença à la caresser à divers endroits. Ses seins d'abord, lui pinça l'un de ses tétons, son ventre, puis l'intérieur de ses cuisses.
Au fur et à mesure de ses caresses, le membre de Mehdi gonflait légèrement à nouveau. Salit du mélange maintenant quasiment sec du fluide de ma femme et de son sperme mélangés. Je me disais en ces termes qu'il devait sentir la crevette pas fraîche...
Assise en tailleur, elle accompagnait de sa main celle de l'amant et je vis que son regard se portait sur ce sexe sale et odorant.
Elle se mit à 4 pattes, puis s'affaissa vers lui.
En approcha son visage de son entre-jambe, le hûma sans le toucher d'abord pendant un instant tout en le caressant de son index. Elle le prit ensuite dans sa main avec précaution puis le prit délicatement entre ses lèvres.
Cette vision me durcit un peu plus. Et je perdais à nouveau le sens de la réalité, aveuglé par l'excitation provoquée par cette scène impensable.
Elle s'attela à cette tâche pendant au moins 5 minutes. Je trouvais ça long mais je suppose qu'il fallait bien cela pour accomplir 2 missions: bien lui nettoyer et la rendre bien raide à nouveau.
Elle s'activait. Les bruits de bouche et le plaisir que semblait prendre Mehdi indiquaient que le travail était bien fait.
Elle s'arrêta, le regarda et lui demanda: "T'aime ça?".
"Moi y a pas de problème. T'es une reine de la pipe"
Puis il me dit: "Viens embrasser ta femme". Ce que je fîs. Ça puait vraiment, comme je le prédisais.
Je pensais à tous ces témoignages que j'avais lu dans lesquels les hommes voulait sucer l'amant de leur femme et je me disais que, déjà, que ce n'était pas mon trip. Avec une odeur pareil, encore moins aujourd'hui...
Je l'ai donc embrassé "vite fait", sans m'attarder et repartit de mon côté.
Je déçidais finalement de boire un verre de vodka pomme histoire de faire passer le souvenir de cette odeur..

Il se dégagea de sa bouche et lui ordonna "Tournes toi".
Encore une fois, elle obéissait immédiatement. Elle se mit à 4 pattes, fît un 180°, pris un coussin pour poser sa tête et lui présenta son cul relevé.
Il avait ses 2 orifices à porté.
Il lui donna une claque assez forte sur la fesse droite. Puis tenta d'entreprendre de lui masser l'anus. Il cracha dessus et y posa son majeur avant de commencer de petits mouvements circulaires qu'il appliqua pendant quelques secondes avant d'y enfoncer sa 1ère phallange.
Elle se raidit, contracta et lui dit fermement "Non pas là!", se tourna immediatement sur le dos, face à lui et essaya de le tirer par le bras pour l'attirer vers elle. Mais il resista. Il lui fît un sourire malin et finit par venir au dessus d'elle, de lui même. La bite toujours dure malgré cette petite rebellion.

Elle releva les jambes, les pieds en pointe pour lui indiquer sa disponibilité à être prise de nouveau et lui dit "Viens, prends moi". Ce qu'il fît. Le mal étant fait, sans préservatif encore une fois...
Je commençais déjà à me toucher, moins sensible que tout à l'heure.
Il l'a pris toujours aussi bestialement que tout à l'heure. Toujours en l'insultant et elle semblait toujours autant apprécier cela. Elle couinait littéralement.
Je supposais que ce nouveau rapport allait durer plus longtemps que le 1er. La mécanique ayant déjà été, pour lui, poussée à son paroxisme quelques instants auparavant. Et cela me plaisait de le savoir. Nous allions en avoir, comme on dit , pour notre argent.
Il lima donc pendant une bonne vingtaine de minutes. Cela tenait d'une vrai performance. Il gémissait lui aussi et plus fort lorsqu'il plantait sa verge au plus profond de son vagin.
Il se mit à lui caresser la joue de sa main droite tout en maintenant ses coup de reins et soudain, la gifla...
Une nouvelle énorme montée de sang me parcouru  mais je n'intervins pas car cela ne semblait pas avoir interrompu le plaisir de ma femme... au contraire, elle semblait encore plus excitée puisqu'elle gémissait plus fort à la suite de cette claque. Il lui en remis une de la même main et lui cracha au visage tout en lui disant "Sale chienne".

Jamais je n'aurai pensé que cette soirée en viendrait là, jamais je n'aurai pensé que ma femme irait jusqu'ici, jamais je n'aurai pensé que j'assisterai à cela et encore moins sans rien faire. 
De son côté, par la grâce de la violence des gestes de Mehdi, elle jouit à nouveau. Ses reins se cambrèrent et elle fût prise de spasmes très intenses. De son bassin jusqu'à la pointe de ses pieds, elle tremblait. Ses yeux révulsés en arrière. Si intenses que j'eue peur une seconde qu'il ne s'agisse d'un malaise. Mais ses "Oh oui" et ses "Je jouie"  successifs m'indiquaient que ce n'en était pas un.
La salive qu'elle venait recevoir irrespectueusement luisait sur sa joue. Elle l'essuya du revert de sa main une fois seulement que son orgasme fût passé.
Elle le regarda et lui dit avec une voix un peu cassée "Tu me rends dingue" et ajouta "Baises moi encore" et répéta "Baise moi encore, vas-y"... il continuait alors à la pilonner, encouragé.

Des pensées absolument hors de propos me vinrent à l'esprit comme si celui essayait de se protéger  des dégâts que pouvait lui infliger le moment présent. Comme s'il cherchait à fuir ou au contraire à me ramener à la réalité.
C'est ainsi que visage de mes enfants m'apparu puis ensuite que je me demandais ce que j'allais bien pouvoir raconter demain à ma mère du week-end que j ai passé comme je le faisais chaque dimanche soir au téléphone.
Et ma femme? C'est qui en fait? Je la gifle moi si elle veut à la maison quand on fait l'amour pour qu'elle jouisse!... Non... n'importe quoi! Une femme mariée ne peut pas faire ce qu'elle fait là avec son mari: se démonter la tête à coup de vodka pomme  et de shit pour ensuite aller le pomper dans la chambre et couiner sous ses coups de reins brutaux.
Le candaulisme... "c'est un fantasme cérébral"...
Je réfléchissais à cela, ma bite à la main devant ma femme complètement ivre en train de jouir parce  qu'un reubeu (dont le pénis sent fort) la fourrait tout en la giflant et en lui crachant au visage...
Et puis l'attirance pour le danger, l'interdit, la connerie peut-être aussi vinrent à nouveau flouter mes tentatives de raisonnement. L'alcool aussi... bref, mon cerveau repris la route vers cette scène qui m'excitait tant pour en profiter à nouveau. Revenir dans l'instant, plus excitant que jamais, peut-être parce que plus extrême que jamais...

Ma femme était bel et bien en train de lui en redemander alors qu'elle venait de jouir. Et il allait répondre à cette demande.
Il se retira et retourna ma femme pour la mettre sur le ventre. Puis il s'allongea sur elle et la pénétra à nouveau dans cette nouvelle position. Son bassin contre ses fesses.
Plus doucement cette fois-ci et pendant quelques minutes. Elle souriait, les yeux fermés; poussant des gémissements plus modérés.
Elle lui redit qu'il était bon. Qu'elle aimait sa queue. Que c'était dingue.
Il lui dit à son tour à l'oreille qu'elle était bonne et qu'elle "assurait". Ensuite, il lui confia qu'il avait l'habitude d'obtenir ce qu'il voulait.
Il fît un mouvement ample en arrière avec ses hanches pour sortir sa verge de son fourreau. Puis il commença à la faire glisser sur long de sa raie.
Elle se cambra légèrement.
Il refît un geste ample en arrière et donna un coup de gland à l'entrée de la porte interdite.
Elle ne dit rien et restait cambrée. Il lui demanda de se détendre. Elle fît un petit oui de la tête.
Il fît ensuite plusieurs autres tentatives en alternant l'entrée de sa chatte et de son anus pour s'assurer d'être bien lubrifié et jusqu'à ce que son gland finisse par entrer à moitié. C'est alors qu'elle dit "mmm non" mais il restait tout de même et s'enfonça un peu plus. Je la vis froncer les sourcils et redire"Non" plus distinctement. Mais il ne bougea pas. Il donna alors encore une autre impulsion, plus forte. Elle dit "Aïe!" tout en faisant un rictus de douleur. Elle tenta de se dégager. Mais il est était sur elle, de tout son poids et la maintenait fermement.
Il lui dit "Ca va aller. Détend toi, fait comme si tu poussais, compris?"
Elle répondit "ok".
Il donna à nouveau une impulsion pour s'enfoncer un peu plus. Puis encore lentement. Le gland était passé. Elle ne semblait plus ressentir de douleur. Ses yeux s'étaient refermés.
Elle lui dit "Ça va, c'est bon"... Il  enfila alors entièrement son dard et lui dit à l'oreille. "T'es à moi".
A ces mots elle sourit. Et je vis le plaisir monter à nouveau et progressivement sur son visage.
Il la sodomisait avec des gestes amples. Comme pour prendre son élan à chaque coup de rein.
Il sortit même quelque fois entièrement sa verge avant de la renfoncer, excité d'avoir la voie libre. Elle se remit à s'exprimer et lui dit que c'était bon, qu'elle aimait ça. Elle avait passé sa main sous elle pour se caresser le clitoris.
Il se redressa, lui attrapa les cheveux et tira dessus pour satisfaire son besoin de domination. Il la chevauchait. Elle aimait ça.
Je découvrais décidemment beaucoup de facettes de ma femme que je ne soupçonnais pas, au travers cette aventure. Et qu'elle ne soupsonnait peut-être pas non plus. Etait-elle en train de se découvrir?  D'explorer ses propres désirs et limites?
En même temps, au travers de ce fantasme de se faire prendre par un reubeu qu'elle m'avait confié il y a quelques jours et que nous réalisions, n'est-ce pas tout cela qu'elle recherchait? Une femme si forte de caractère habituellement ici, devant moi, n'était plus que le jouet soumi de son étalon.
"Je pourrais te ken pendant des heures, t'es trop bonne, t'es une miss" Lui di-t'il.
Elle se retourna alors vers lui, lui retirant ainsi sa verge massive de son anus. Le ramena contre elle et se remit la verge dans le "trou classique". Elle le serra dans ses bras et lui répondit doucement "Je suis à toi, tu peux me sauter tant que tu veux"
Je pense que ces mots déclenchèrent un point de non retour pour lui. Il sortit vivement, se diriga rapidement vers son visage et lui enfonça sa verge dans la bouche qu'elle ouvrit sans résistance.
Il déchargea à l'intérieur en prenant garde qu'elle n'en perde pas une goutte. Ressortit une fois son orgasme passé et lui ferma la bouche en lui maintenant la machoire inférieure avec sa main.
Elle fit tourner la semence dans sa bouche et je la  vis déglutir puis lui lancer un large sourire pour lui signifier que tout était bien avalé. Elle lui suça ensuite encore une fois le gland.
Une fois, cette finition terminée. Il s'allongea à côté d'elle, me regarda et dit "Putain de barjot".
clahire, claire95, damienlove et 12 autres a liké
#2606653
Hello les gens,
Je tiens juste à préciser que ces récits sont poussés à l'extrême (dans mon prisme en tout cas).
Des situations certes qui peuvent paraître excitantes mais dans lesquelles je n'aimerai pas du tout me retrouver.
Si j'imaginais encore une suite, elle serait certainement catastrophique pour les personnages.
J'en viens à, peut-être, faire réfléchir chacun sur cette suite. Quelle pourrait-elle être?
A mon sens, et comme est parti ce couple, dans une escalade incontrôlable qui les mènerait à un puissant échec.
Incapables de respecter leurs limites, aveuglés par leurs pulsions. Ils ne parviendront plus à redevenir "normaux". Il se dégraderont. Jusqu'à s'auto détruire.

Merci en tout cas à ceux qui auront pris ma peine de lire ces longs textes.
c2b78, elianeetserge, Alesso88 et 8 autres a liké
#2611013
Tom78 a écrit :Hello les gens,
Je tiens juste à préciser que ces récits sont poussés à l'extrême (dans mon prisme en tout cas).
Des situations certes qui peuvent paraître excitantes mais dans lesquelles je n'aimerai pas du tout me retrouver.
Si j'imaginais encore une suite, elle serait certainement catastrophique pour les personnages.
J'en viens à, peut-être, faire réfléchir chacun sur cette suite. Quelle pourrait-elle être?
A mon sens, et comme est parti ce couple, dans une escalade incontrôlable qui les mènerait à un puissant échec.
Incapables de respecter leurs limites, aveuglés par leurs pulsions. Ils ne parviendront plus à redevenir "normaux". Il se dégraderont. Jusqu'à s'auto détruire.

Merci en tout cas à ceux qui auront pris ma peine de lire ces longs textes.


Après avoir tout lu je désire une suite !! Peut étre madame qui perd complètement le contrôle et devient soumise à ce mâle alpha qu'elle revoit régulièrement. Ou qui va expérimenter d autres aventures toutes pires que les autres
Cocucornu a liké
#2682219
On se réveilla comme d'une anesthésie dans notre lit conjugual en début d'après-midi.
Medhi ne nous avait pas fait l'honneur de nous ramener chez nous au petit matin, nous étions rentrés en taxi.
Je n'avais qu'un vague souvenir de ce voyage...
Les yeux mal demaquillés de ma femme étaient posés sur moi. Les miens sur elle. On puait littéralement. Nous n'avions même pas pris le temps de nous laver en rentrant. Ivres du moment que nous venions de vivre.
Le stress des premières paroles qu'on allait devoir s'adresser était puissant. J'avais presque envie que l'on continue de se taire jusqu'à réaliser qu'il ne s'agissait que d'un film que nous aurions regardé ensemble et que les enfants allaient entrer dans la chambre et sauter sur le lit. Mais non...
J'avais d'innombrables questions. La 1ère étant "A quoi tu penses?" Ou plus exactement, "est-ce que tu penses comme moi?". "Es tu perdue comme je le suis?". "M'aimes-tu toujours comme je t'aime?"...
Elle coupa ce questionnement interne en me tournant le dos. En fuyant.
J'osais tout de même poser ma main sur sa hanche nue. Sur ce corps sublime qu'un nouvel autre homme avait hier exploité jusqu'à ses plus intimes limites. Elle pris ma main, la serra et ce fût un 1er soulagement. Les mots ne venaient cependant pas.
Je pris l'initiative de fuir à mon tour après avoir eu la délicatesse de poser un baiser dans son cou. J'allais prendre une douche. J'avais besoin de me réveiller mais aussi de laver cette culpabilité envahissante.
Je décidais ensuite de revenir vers elle sous la couette.
Elle pris la parole "alors ? Ça t'a plû ?"
Je lui répondis "Je suis mitigé j'avoue.. Oui, c'était très excitant.. mais c'est parti loin là non?". J'avais envie de la sonder. D'analyser chacune de ses paroles pour nous re-situer précisemment. Sur quelle planète sommes nous aujourd'hui? Sommes nous bien échoués sur la même?
Plutôt que d'y répondre simplement, elle toucha mon sexe et dit "En tout cas, vu ce que je sens, ça t'excite encore... oui, c'était la réalisation d'un fantasme, j'ai adoré... Medhi a été vraiment parfait pour ça. Maintenant que c'est fait, je me sens un peu désapointée. Physiquement, je le vis bien, j'ai joui comme jamais, j'ai touché à mes limites. Mais j'ai peur que tu ne m'aimes plus pareil. Que tu me prennes pour une pute. Je ne suis pas comme ça...".
- "T'es pas une pute bébé. Ensuite, hier soir, excuses moi mais tu étais vraiment en mode chienne... j'aurai jamais imaginé que tu ailles si loin, si vite... mais oui, quand j'y repense, ça m'excite encore et si tu as joui comme jamais, alors tant mieux. C'est ça mon fantasme. C'est que tu sois comblée, pour moi, c'est le plus important."
Elle se mit à me masturber lentement et me dit en chuchotant "tu veux jouir? Tu veux jouir en moi? T'aime que je sois une salope?"
A toutes ces questions je répondais "oui" et je jouis sur sa main.
Frustré de ne pas avoir pu la pénétrer, frustré de ne pas avoir pu me glisser dans son antre souillé par un autre mâle.
Elle se montra déçue également. Elle me dit d'un ton sec "Ne compte pas sur moi pour recommencer en tout cas".
"Ça me va!" Dis-je.
Je pensais avoir eu ma dose. Et la peur de perdre mon couple devait s'en aller. C'est un sentiment trop douloureux. Tout cela avait été très rapide et je craignais trop qu'on ne bascule dans une situation critique, irréversible. Notre vie était entre parenthèse. Les enfants été confiés régulièment à leurs grands parents et notre vie professionnelle ne devenait plus qu'un passage sans aucune saveur dans nos journées. Personnellement, je ne pensais plus qu'à ça.
Nous avions été en phase pendant ces moments et nous pouvions reprendre notre vie normale avec un secret qui ferait maintenant partie de nos souvenirs agréables. C'est en tout cas ce que j'espèrais à cet instant où je venais de jouir. Ephémère instant...
Je me demandais tout de même si je n'allais pas avoir envie de recommencer avec le temps. Quand? Comment? En fait, j'en étais certain... quel plaisir de voir sa femme si soumise à un autre... Mais je décidais de lui accorder cette trêve qui serait peut-être, d'après ce qu'elle venait de me dire, définitive. Mon fantasme avait perdu de son intensité puisque ce n'en était plus un de toute façon.
Je lui demandais tout de même pourquoi.
Elle m'expliqua qu'il ne fallait pas abuser des bonnes choses et m'avoua qu'elle n'était pas à l'abri de développer des sentiments profonds pour un futur potentiel amant. Ce qui détruirait notre amour et qu'elle n'en avait pas envie. Elle avait également ce besoin de retrouver sa vie de famille.
Excluant qu'elle puisse envisager cela avec Medhi, je lui demandais "Tu penses à Thierry?". Elle me repondit "Non je pense pas à lui. Mais je change pas le fait que pour me faire sauter, j'ai besoin ď'avoir plus qu'une attirance physique. Le danger est là...".
Cette question des sentiments qu'elle pourrait developper pour un autre était effectivement un risque et en effet donc un argument massu pour me convaincre.
Aussi, je ne sais pas ce qu'il m'a pris de lui repondre
"Ça me paraît normal que tu ais des sentiments pour un autre homme et je conçois bien que tu en ais besoin pour te faire prendre. Pour autant, je suis persuadé que ça ne détruira pas notre amour. Surtout si on se fixe comme règle de ne pas se mettre dans une relation suivie".
"T'insistes?" Me demanda t'elle.
"Non, tu fais comme tu veux. Moi je te suis"
"Alors la discussion est close" conclue t'elle.

Nous reprenions alors une vie "normale" à faire l'amour une fois par semaine sans plus de fantaisie. A la différence qu'elle aimait maintenant mettre de la lingerie et qu'en guise de préliminaire. J'avais droit quasi systématiquement à une fellation. Ce qui était très rare avant nos aventures. Et dieu, qu'elle faisait ça bien... je me souviens qu'une fois elle m'a demandé de ne pas me laver parce qu'elle aimait mon odeur. J'avais tenté une sodomie, mais non. Ce plaisir n'aura été que pour son dernier amant. A chaque fois je m'imaginais être un autre. Et puisque nous l'avions vécu, je m'imaginais être Thierry ou Medhi. Ces pensées avaient pour conséquence que je déchargais vite. Elle n'avait pas le temps de jouir. Mais elle ne s'en plaignait pas.

Des semaines passèrent.
Un soir, elle partit brusquement, prétextant avoir des documents urgents à imprimer au travail.
Cela arrivait regulièrement.
Je restais donc seul à la maison avec les enfants.
J'entendis soudain une vibration venant du bar. Elle avait oublié son téléphone.
Je le dévérouillais et lu le message qu'elle venait de recevoir sur whatsapp dans ses notifications.
"Finalement je peux pas, j'ai une merde, viens pas" venant d'un contact nommé M.
J'ouvris le fil de discussion. Il était fourni. Ma femme correspondait avec qqu'un.
Je rougis de stupéfaction. J'eue une énorme montée d'adrénaline en découvrant la teneur des messages. Les dernier étant:
"Si tu veux, c'est tout de suite chez moi".
Ce à quoi elle répondait "J'arrive".
En remontant plus haut, je voyais que l'inconnu réclamait des photos régulièrement et elle lui envoyait des parties de son corps. Ses lèvres, un téton, ses fesses, ses pieds, sa toison...
Elle n'en demandait qu'une de lui et de son choix. Ce fût une photo d'un pénis bandant qu'elle reçut et c'était juste avant qu'il ne l'invite à le rejoindre.
Je refermais le portable et attendit son retour. Elle revint 1/2 d'heure plus tard. Un paquet de feuilles imprimées à la main en guise d'alibi.
Je ne dis rien mis à part "Tu as été rapide...".
J'épiais son comportement. Elle faisait style d'être normale. Rien à se reprocher. D'après ce que j'avais vu, la discussion avait démarré il y a 2 semaines.
J'étais en colère. Mais je ne savais pas définir à quel degré et comment réagir. Alors je décidais de faire comme si je n'avais rien vu dans un premier temps.
Je faisais à manger. Du coin de l'oeil; je vis qu'elle pris son portable et partit aux toilettes.
Je laissais faire. Choqué mais presqu'encore excité pas la situation. Alors qu'elle n'était pas admissible. Alors que j'aurais été d'accord pour qu'elle use de son corps avec quelqu'un d'autre que moi à la seule condition que je participe et surtout que je sois au courant. Pourquoi me cacher une liaison et tomber bêtement dans l'adultère?
Je décidais d'amener le sujet et je décidais de le faire alors que nous faisions l'amour. Planté en elle. Elle prenait plaisir en fermant les yeux. Je lui dis en murmurant:
"Tu penses à qui là?". Elle rouvrit les yeux et me répondit "A toi mon coeur.."
J'enchainais "C'est qui M.?" Je continuais mon va et vient alors qu'elle commençait à faire la mou. Elle dit "T'as fouillé dans mon portable?" Je lui répondit "Peu importe bébé. C'est qui M.? C'est à lui que tu penses?"
Elle ne répondit qu'au bout de quelques secondes en reprenant ses gémissements "Oui je pense à lui, à Medhi".
Pris par l'excitation de cette annonce, je lui demandais alors "Appelle moi Medhi".
Et c'est ce qu'elle fit "oh oui Medhi, continu. Continu, c'est bon, j'aime ta queue". Je joui donc dès qu'elle eu prononcé ces mots et déchargais au plus profond d'elle.
"Alors comme ça tu revois Medhi?" D'un ton calme.
"Non je l'ai jamais revu. Il m'a écrit il y a 15 jours".
"Pourquoi tu mens? J'ai vu que tu c'est toi qui lui as envoyé le 1er message..."
Elle fronça comme une enfant prise la main dans le sac.
"Et puis alors?? Ça t'excite non que j'aille voir ailleurs, non?? J'allais t'en parler..."
Trop de mauvaise foie pour moi, je me lançais dans une tirade, poussé par la colère "Ecoute, ça ne sert à rien de mentir ou de trouver des prétextes. L'autre fois, c'était un jeu entre nous. Là tu fais ça dans mon dos. Ça s'appelle une trahison. T'es partie l'autre jour en faisant genre que tu allais imprimer des papiers alors que c'était pour le rejoindre. J'étais pas au courant! Y a quoi d'excitant pour moi là dedans??!! Tu fais quoi là putain!!??"
Et me demanda, penaude et avouant ainsi la faute "Tu vas me quitter?"
Je répondis séchement "Non... je sais pas... tu veux faire quoi avec lui? Pourquoi tu fais ça? Me dit pas que tu as des sentiments pour ce déchet de banlieue?"
"Je sais pas". Cette réponse me poignarda. "Je sais pas".. pour moi ça voulait dire "oui".
Elle continua "j'ai envie de lui" et 1 seconde plus tard "J'ai envie de lui sans que tu sois là en fait. C'est pour ça que je ne t'en ai pas parlé. Il m'attire... et te savoir présent, j'ai l'impression de dégrader mon image de femme et de maman".
"Je suis pas ton gosse! Je t'interdis de le revoir ok?"
D'un côté la situation m'excitait car imaginer ma femme prise à nouveau par Medhi me faisait bander. Elle s'était tellement laissé aller l'autre fois et puis savoir qu'elle était l'objet de désir de cet homme me faisait beaucoup d'effet.
Mais d'un autre côté je savais maintenant qu'il avait un potentiel néfaste sur elle. Une part d'ombre dans laquelle il ne faut pas tomber. Le risque qu'elle devienne sa chose était là.
De plus, ne pas être présent me frustrerait sexuellement. J'avais toujours ce besoin d'être voyeur mais surtout de garder le contrôle. Donc pour moi, pas d'intérêt et pas question.

Elle me dit "Ok" d'un air pas très convaincant.
Je lui demandais "Tu veux pas qu'on aille sur un site de rencontre et qu'on te trouve un amant normal d'un soir ou 2? Franchement, je comprends bien que tu ais besoin d'être séduite mais une relation prolongée, surtout avec un type comme lui, ça ne m'inspire pas du tout. Et puis c'est pas mon délire de te laisser coucher avec d'autres sans que je sois là."
Elle me repondit: "Non, ça me dit rien. Tanpis. Laisse tomber."

J'étais évidemment déçu de sa réponse. J'aurai bien rejouer à nos jeux candaulistes. Mais dans ces conditions, ce n'est pas possible. Cette situation, certes prévisible, faisait entrer notre couple entrait dans une zone de fragilité extrême. Et donc tanpis.
Il ne me restait plus qu'à la surveiller car je sentais que cette histoire n'allait pas s'arrêter là...
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#2682232
Superbe récits. Si vous franchissez le pas tu sais maintenant ce qui peut t’arriver lol :cuck: Il existe aussi une forme de Caudaulisme festif, ou les 3 sont complices, respectueux des 2 autres. Où on s’aime pour une heure, une nuit sans remettre en cause l’équilibre du couple. Ou tous trouvent un équilibre et la joie de se retrouver à 2 ou 3 pour des moments de plaisir. Le Caudaulisme est une sorte de boîte de Pandore qu’on ouvre et où il est possible de perdre le contrôle voir tout perdre. C’est aussi des grands moments de complicité pour des gens qui ont la maturité nécessaire pour ne pas tout casser :cuck:
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par Bri
#2682614
Je partage l’avis d'@Ericlu .
Sans vouloir occulter les risques pour le couple, il y a également de fortes chances pour que tous les protagonistes puissent trouver leur bonheur dans cette pratique.
Les ingrédients indispensables à cette recette du candaulisme heureux : un couple aux bases solides, un amant fiable, de la maturité affective et surtout une grosse dose de « tempérament joueur ».
Et quel bonheur de retomber amoureuse même si ce n’est que pour une heure ou une nuit ! :x
#2684033
Je n'arrivais pas à croire qu'elle pourrait se ranger si facilement après de tels échanges avec Medhi.
De plus, connaissant la bête, je pensais bien que lui non plus n'aurait pas lâché l'affaire. Il s'était montré dominant. Je l'imaginais donc également possessif. Une femme comme la mienne, si désirable, était à porté de main. Elle s'était montrée si gourmande lors de cette nuit et c'était elle qui avait, de plus, pris l'initiative de le recontacter.
Il ne me restait plus qu'à être patient pour m'engouffrer dans une faille qui naîtrait sûrement bientôt.
Je pense qu'elle essayait de tenir parole mais quelques indices me mettaient la puce à l'oreille.
Le 1ers : elle ne portait plus de lingerie lorsque nous faisions l'amour. D'ailleurs, elle faisait mine de ne plus trop être attirée par le sexe. Elle se ré impliquait dans la vie de famille comme auparavant. Les changements de cap dans se font selon moi plus progressivement généralement.. mais je me trompais peut-être...
Le 2ème: je scrutais régulièrement son portable. Force était de constater qu'il n'y avait plus aucun message après son "J'arrive". La logique aurait voulu que l'un ou l'autre renchérisse ou clôture cette conversation.
Aussi, selon moi, ils avaient continué de se parler. Ils avaient simplement changé de canal de communication.
Le 3ème: elle prenait un bain un soir après m'avoir dit avoir besoin de se détendre.
Je m'étais relevé pour aller boire de l'eau et j'avoue aussi un peu pour la voir nue. Lorsque je suis rentré je l'ai surpris en train de se faire du bien avec le pommeau de douche. Ce n'était rien mais je me dis alors qu'elle ne se désintéressait pas tant du sexe que ça. Et puis, à qui ou à quoi pensait-elle lorsqu'elle se masturbait? J'étais de mon côté tout à fait disponible sexuellement pour elle.. donc bon...

Alors que j'étais en course, je croisais Thierry. En le voyant je me suis dit que c'était vraiment pas une bonne idée d'avoir choisi un amant habitant trop près de chez nous. Je n'avais vraiment pas envie de lui parler. Mais il vint m'adresser la parole. Il me demandait comment j'allais et bien sûr comment allait ma femme. Il m'avoua assez vite qu'il avait apprécié les moments passés ensemble et qu'il n'était pas contre nous revoir si nous étions d'accord. Il m'avoua lui avoir envoyé un message mais n'avoir reçu aucune réponse.
Je lui répondais que je n'étais pas contre et que j'allais lui en parler. Que ce n'etait pas moi qui décidait.
Le fait d'avoir été abordé par Thierry finalement me rassurait un peu. Il était beaucoup moins dangeureux à mon sens que Medhi. Il était respecteux. Et elle avait su mettre des distances avec lui alors que je la savais éprise de lui.
Je parlais de ma rencontre le soir même avec ma femme et lui fit part de sa proposition. Elle la rejeta. Je m'en doutais.
J'étais pris dans un dilem car in fine, le jeux de ma femme était bien monté.
Je ne la quiterrai pas. Elle le savait.
Seuls 2 scénarios étaient possibles d'après ma logique:
Soit elle reverrait Medhi dans mon dos, soit elle le reverrait avec mon accord. Je me sentais coincé.
La meilleure solution était fatalement de lui donner mon accord si je voulais que mon couple ne s'autodétruise pas. Je ne pouvais décidemment pas feindre de ne pas savoir. Je ne pouvais pas ignorer l'adultère. Je l'aime trop.
Je lui en parlais un soir et lui expliqua mon dilem.
Je lui dis "donc je n'ai pas le choix chérie tu vois?"
Sa réponse me surpris: " Non, je veux pas revoir ce connard qui ne sait pas ce qu'il veut".
"Alors tu l'as déjà recontacté c'est ça?"
"Oui, il ne sait pas ce qu'il veut, je le laisse tomber".
Cela me fit un petit choc qu'elle parle de le larguer. Comme s'ils étaient en couple...
"Tu l'as contacté comment?"
"Il m'a appelé, il m'a dit qu'il avait une copine "sérieuse" et qu'il ne voulait plus me revoir, qu'il voulait être "clean" et bien tanpis pour lui."
"Mais tu l'as contacté pour le revoir alors. Je te l'avais interdit..". Je me montrais triste de cette déclaration. "Tu sais, en fait, j'allais te dire que je te permettrai d'aller coucher avec lui parce que je ne me sentait pas avoir le choix"
"Effectivement chéri, tu as pas vraiment le choix. Tes jeux de candauliste en fait sont assez égoïstes je trouve. Tu me permets, en gros d'avoir des sentiments pour d'autres et de baiser ailleurs à condition que tu sois là, à condition que tu nous mattes, que tu gardes le contrôle. Mais au final, ça veut dire quoi? Que tu me laisses libres avec tout de même une laisse pour pouvoir tirer dessus quand tu en as envie? Tu crois vraiment que c'est ça la liberté? Tu crois vraiment que je peux contrôler mes sentiments?
Bien sûr que je t'aime et bien sûr que je ne veux pas que l'on se sépare. Je ne veux pas détruire tout ce que l'on a construit. Mais les sentiments, je les contrôle pas. Je peux pas. Et j'ai plus trop envie que tu me suives dans ce que j'ai de plus intime: ma sexualité. C'est mon corps et j'en fais ce que je veux. C'est comme ça que tu m'avais vendu le truc, non?
Je répondais penaud "oui enfin..."
Elle me coupa "Alors cette liberté que tu m'as offert, laisses la moi pour de vrai! Ok, grâce à toi, j'ai le sentiment de pouvoir m'épanouir. D'être désirable et de pouvoir dire "oui" à des hommes qui m'attirent. D'assouvir ton fantasme de me sentir comblée. Mais mes fantasme à moi, est ce que en tiens compte?
Ce n'est pas un fantasme pour moi de te voir dans un coin de la pièce en train de te pignoler pendant que je me fais sauter. Tu es mon mari et je te désire aussi mais comme un homme. Pas comme un voyeur pervers parce que figure toi que c'est l'impression que ça donne!"
Je prenais en pleine face cette tirade visiblement bien réfléchie. Tant est si bien qu'elle me paraissait parfaitement légitime. Elle m'imposait de prendre mes responsabilités. De payer le prix de l'avoir enmener avec moi dans cette part d'ombre que j'avais mûri pendant tant d'années. Et dont je n'avais pourtant pas mesurer toutes les conséquences.

Elle continuait "Alors maintenant soit tu acceptes que je ne suis pas un objet et que je vive ma vie telle que tu me l'as proposé parce que oui, c'est tentant. Soit on reprends une vie parfaitement normale".
Je répondais tout de même.
"Mais bébé tu es sûre que c'est ainsi que je voyais les choses? Je t'aime tellement que pour moi te laisser seule comporte d'une part trop importante de risques et vraiment, quel intérêt pour moi? Ce que j'envisagais, c'était une experience de couple. Un piment qu'on aurait mis dans la casserole pour donner encore plus de goût à notre amour. En fait, au début, mon trip était juste un plan à 3 pendant lequel j'aurai pris quelque fois du recul pour pouvoir t'admirer. Au final, c'est pas ce qu'on a fait parce que je me suis adapté à toi. Et aujourd'hui, voilà où on en est... tu me demandes, en gros, de te laisser avoir une double vie.."
Je repensais à ces témoignages maintes fois lus sur les forums où les hommes disaient basculer quasi invariablement dans le cuckolding et à laisser leur femme passer des nuits entières voire des week-end entiers avec leur amant.
J'étais persuadé qu'il s'agissait d'un désir du couple et d'une évolution des limites du fantasme mais que je ne comprenais pas encore parce qu'il fallait qu'il y ait d'abord des étapes plus "soft".
Je continuais: "Dans mon spectre bébé, ce que j'aime aubourd'hui c'est de te regarder. De voir le désir que vous avez réciproquement et te voir prendre du plaisir. Rien de plus.
Pas des relations suivies avec des sentiments qui entrent en jeu. Pas avec des tromperies, des non dit et des prises de tête comme maintenant.
Ensuite, excuses moi mais tu avais le fantasme d'être dominée par un homme autoritaire. On peut dire que tu as été servie non?".
Elle me répondait "Pour ça oui c'est vrai, je dois bien avouer mais il y a la théorie et la pratique. Te savoir là en train de m'observer. Ça me... gêne...C'est pas très sexy... Si moi aussi je veux aller au bout de mon envie, c'est d'avoir un amant et puis toi, et bien tu es pas dans la pièce. Je me sentirai plus libre... mais ça ne remet pas en question notre couple. Tu as ouvert la boite de pandore bébé.."
Je refléchissais à nouveau à cette histoire de cuckolding. A tous ces hommes qui disaient que ces expériences étaient les plus puissantes. Je me forçais à essayer de ressentir le plaisir que je pourrai y prendre. Je pouvais concevoir y prendre du plaisir mais pas autant qu'en la voyant et surtout, cela faisait peur. Cela nécessiterait que je lâche prise complétement, que j'ai une confiance absolue vis à vis d'elle. Et ce n'était pas le cas. Elle venait de faire des choses à mon insu. A l'instant T, ce n'était donc pas envisageable.
Je décidais de lui expliquer tout cela.
Elle me disais comprendre et me demandais comment je pouvais être rassuré. Je ne savais pas...
Elle me dit qu'elle m'aimait plus que tout. Que si elle avait dû partir, elle l'aurait déjà fait. Que si un jour on devait se séparer cela ne serait pas pour une question d'amant puisque j'acceptais cela. Qu'elle ne serait donc pas en proie à quelconque frustration de ce côté là. Qu'elle m'aimait pour une infinité de choses et en particulier pour tout ce que l'on avait construit ensemble. Ce qu'aucun autre homme ne pourrait égaler.
Je lui dis que j'avais besoin d'un peu de temps. Ensuite que j'avais envie d'elle. Nous montions alors dans notre chambre. J'avais envie de faire l'amour à ce corps pour qu'il m'appartienne encore un peu. Et puis, cette discussion, bizarrement m'avait encore excité.
Ma femme avait ce besoin de se sentir libre tout en étant la mienne. Je considérais qu'elle avait été constructive dans ces propos et que notre discussion n'était qu'une mise au point.
Une fois dans le lit, elle était particulièrement sensuelle. Elle me caressait le visage, le torse et descendait doucement vers mon sexe bandé par tant d'évocations. Elle le pris dans sa main et le serra légèrement. Puis se mit sur le côté, je me tournais vers elle et je la caressais à mon tour. Sa peau était si douce. Je décidais de profiter de chaque centimètre. Les côtés de ses seins que je ponctuais pas un baiser sur ses tétons. Puis son ventre. Je descendais vers sa toison. J'appuyai sur son clitoris puis enfonça lentement 1 doigt puis 2 dans sa caverne chaude. Elle ferma la yeux et se mis à gémir. Puis elle chuchota "Je t'aime" puis "J'aime te sentir, viens".
Je ne lui obéis pas. Je continuais à appuyer sur son bouton tout en la fouillant de mes doigts.
Je lui dis tout en la regardant "Tu es tellement bonne. T'aimes te faire doigter?".
Elle me repondis "oui j'aime ça" et me repéta "Viens".
Je lui dis "tu as envie de te faire pénétrer? T'as envie d'une queue?" J'avais encore envie d'être un autre. J'avais envie qu'elle se fasse prendre par un autre et je pris dans ce moment qui n'était pas forçément le bon la décision de lui accorder sa liberté.
"T'as envie d'une bonne grosse bite?"
Elle me répondit "Oui, et bien épaisse".
Je me mis sur elle et me mi à frotter mon gland de haut en bas sur l'entrée de sa chatte et je regardais son visage pour y lire son envie d'être pénétrée par cet autre imaginaire.
Elle pris mes hanches pour m'enmener et j'entrais alors en elle aussi lentement que possible en me disant quel plaisir elle avait de sentir ce membre dur et chaud qui ne serait pas le mien. Et pour l'amant, quelle sensation je lui offrais de parcourir cette peau si douce, cet antre si accueillant. Celui de ma femme. Celui que moi seul avait jusqu'il y peu le droit de pénétrer.
Elle dit "Continus de me dire à quoi tu penses".
Aussi j'eue envie de prendre une decision dans ce qui semble être un très mauvais moment (sur l'oreiller) et donc pris dans mon excitation je lui repondais en murmurant: "Là tu vois, j'imagine que je suis un autre homme.
Un homme grand et fort, tatoué, bien membré".
Elle me demanda "Continus oui".
"Un homme que tu désires profondément. Que tu désires depuis des jours et des jours et qui te désires tout autant."
Pris dans le feu je partais vers ce que je redoutais pourtant il y a quelques minutes .
"Tu es seule avec lui, chez lui. Moi je ne suis pas là. Tu es toute à lui et rien qu'à lui pour toute la nuit. Tu as ma permission. J'ai envie que tu sois comblée chérie. Vous vous aimez le temps d'une nuit, il est endurant. Il te fait jouir. Tu es juste à lui et tu ne penses qu'à lui". Puis je répetais près à jouir: "Tu as ma permission. Je veux que tu vois des amants sans moi. Pour que tu prennes ton pieds comme tu le mérites."
Elle me répondit dans cette frénesie de ma part "oh oui, ça t'excite hein? Ça t'excite vraiment? J'ai ta permission pour aller me faire sauter ailleurs? Dis le moi encore."
"Oui bébé tu peux te faire sauter ailleurs sans moi" et je jouis sur ces derniers mots en la remplissant de ma semence. Au plus profond d'elle en ayant l'impression d'y avoir laissé en même que ces quelques millilitres de sperme une partie de mon intégrité. Pourquoi? Pourquoi jeter notre vie sur ce tapis comme j'aurai pu y jeter tous mes jetons et dire "Tapis"?

Je ne revins ensuite pas sur ma parole.
C'est elle qui le fît quelques heure plus tard. En me demandant si j'étais sérieux.
Je lui dis que oui mais que je tenais à être au courant bien sûr. Et que ça serait un minimum non négociable. Et à mon tour, lui ai demandé la permission de préparer avec elle ses rencontres. Elle fût d'accord.
#2684257
J’ai bien pris le temps de lire chacun de tes posts… En effet tu es très doué, une belle plume. Tu as l’air d’être quelqu’un de très intelligent et ta femme tout autant. Tu as su transmettre des belles émotions à travers tes mots. Des émotions tant positives que négatives. Tu as su rentrer dans la peau de ce personnage que tu rêves d’être, et c’est sublimement narré. Ton imagination racontée m’a aussi permis de me remettre en question.

Je me sentais un poil candauliste quand je me suis inscrit sur ce forum. L’idée de ces choses que tu racontes si bien m’avait traversé l’esprit plus d’une fois. J’en avais fait l’allusion à ma chérie quelques fois lors de nos ébats et en dehors, mais je crois qu’elle n’en avait jamais vraiment saisi le sens véritable. Jusque hier, où nous avons pu discuter. Par moments la discussion était teintée de tensions et par moments il était vraiment agréable d’échanger, ça ressemblait presque à une séance de thérapie chez un.e sexologue tant d’un côté que de l’autre. Cela m’a permis de la rassurer sur sa beauté et sa légitimité à pouvoir se sentir belle et désirée, à panser des blessures de son passé et des croyances limitantes acquises de son entourage qui a parfois été malsain, en somme, à se libérer sexuellement. Mais cela m’a également permis de trouver la raison qui m’a poussé à en arriver à ce fantasme.. il y en a quelques une en réalité :

1- Les vidéos pornographiques que j’ai pu consommer dans ma jeunesse.. à un moment nous sommes toujours dirigés vers du contenu du type cuckolding, hotwife, cheating, BBC, etc… je suis persuadé que cela avait implanté une graine inconsciente de fantasme qui se nourrissait du manque de confiance que je pouvais avoir à ce moment-là et du désir d’expérimenter ce quelque chose d’interdit et de tabou d’après la société, j’ai toujours été anti-conformiste… cela m’attirait donc naturellement.
2- Même si je n’ai jamais été trompé (à ma connaissance), mon ex petite-amie avec qui j’avais passé 4 belles années s’est directement mise en couple avec son meilleur ami à peine une semaine et demi après notre séparation. Lorsque je les ai croisés dans notre café habituel bras dessus bras dessous, j’ai vécu cela comme une trahison qui m’a fendu le cœur en mille, l’ego aussi. J’ai depuis cela réalisé un énorme travail psycho-spirituel sur moi-même qui m’a permis de développer un lâcher prise dans beaucoup de situations, celle-ci en fait partie. Peut-être un peu trop de lâcher prise… au point de ne plus jamais arriver à être jaloux, ce qui ouvre encore plus la porte à ce fantasme. Aussi, inconsciemment, il y a peut-être cette peur de se retrouver trahi un jour, cela pousse à préférer voir sa chérie dans les bras d’un autre volontairement plutôt que de risquer d’être blessé de nouveau par le sentiment de trahison.
3- Ayant des soucis de santé, je suis sous traitement et prends des merdes qui ont (c’est ce que je pensais) des effets secondaires sur mon endurance… comme j’étais devenu précoce et que j’aime à l’infini ma chérie, j’ai toujours eu envie de lui offrir plus, plus gros, plus longtemps.. je ne suis pourtant pas à plaindre d’après elle et les précédentes…
4- Le fait de continuer à visiter ce genre de site ne faisait qu'entretenir des idées qui n'étaient en réalité pas les miennes.. il m'a fallu du temps pour m'en rendre compte.
Bref, le fait d’avoir mis le doigt sur tout cela avait désamorcé cette bombe d’autodestruction que je cherchais inconsciemment à enclencher… je pèse bien mes mots quand je parle d’autodestruction car il y a toujours le risque de foutre son couple en l’air à un moment ou un autre. Or, j’aime sincèrement ma future femme avec qui le mariage est prévu dans un peu plus d’un an et avec qui j’ai envie de réaliser des beaux projets plus tard. Cette discussion qui s’accompagnait parallèlement d’une remise en question nous a fait du bien, et m’a permis de me rendre compte que je n’avais en réalité pas besoin de tous ces artifices, elle de son côté s’est rendue compte qu’elle pouvait vivre une sexualité encore plus épanouie et un rapport aux autres de meilleure qualité en acceptant son passé.. Je me suis alors rendu compte que mon plus grand fantasme en réalité, c’était de pouvoir lui faire l’amour en sachant et en ressentant qu’elle est complètement libérée de tout conditionnement lié au passé. On l’a fait le soir même, c’était génial. Elle a joui 5 fois, j’ai joui 2 fois, mais surtout on a pris notre pied comme jamais… nos corps ont fusionné et l’extase était au sommet. Je sais que ce ne sera pas toujours comme cela mais je veux bien le répéter le plus souvent possible. La vraie clé d’une sexualité épanouie selon moi est donc la communication et la confiance… Même si l’on parle de ses fantasmes et que l’autre ne l’accepte pas, on peut découvrir d’autres choses qui rendent la relation meilleure que la veille, et c’est très bien aussi.

Si un admin me lit, j’en profite pour demander la suppression de mon compte sur le forum et sur le chat (même pseudonyme). En vous remerciant.
Tom78, Mex, zztop et 1 autres a liké
#2684338
Merci pour les compliments par rapport à l'écriture!
Je te rejoins sur plusieurs point quant à la naissance du fantasme.
Le 1er concernant les vidéos porno. J'en ai regardé beaucoup aussi. Une de mes ex dont j'étais très amoureux avait trouvé un dvd porno dans mes affaires. Elle avait été très en colère. A l'époque, je ne me sentais pas candauliste et j'imaginais que l'actrice c'était elle et que moi j'étais l'acteur. Je pensais lui expliquer cela pour adoucir sa colère mais je n'ai rien dit.
De fil en aiguille, comme tu l'expliques, j'ai fini par ne plus m'identifier à l'acteur et à lui laisser cette place d'inconnu qui baisait ma femme. Et j'ai donc fini par faire des recherches plus précises sur les moteurs de ces sites en tapant des mots comme cuckold.
Un youtubeur explique cela dans une de ces vidéos. Et il indique que pour se défaire du fantasme candau, il suffit de stopper les porno... ce qui me semble un peu trop raccourci...
J'ai ensuite mis un mot sur ce fantasme et recherché des communautés avec qui en parler. Ne plus se sentir seul et surtout, trouver des moyens pour la faire glisser vers cette idée. Un univers entier s'ouvrait. Je n'ai malheureusement pas trouvé de clé. Et suis toujours au point mort.
Car elle a une vision du sexe hyper saine avec moi. Aucun artifice, pas de lingerie, pas de mot coquin.. on s'aime, on est nus, on fait l'amour et on reprend l'émission à la télé là où on s'était arrêté.
J'ai tenté de chercher s'il n'y avait pas eu dans son passé des événements qui l'amenait à être si "basique" en lui expliquant que de mon côté j'aimais aussi être plus joueur, que j'adore la lingerie etc... mais grosse crise de couple. Elle l'a très mal pris et m'a accusé d'insinuer qu'elle n'était pas normale. Qu'elle n''avait subi aucun traumatisme dans son passé etc.. "si tu es frustré va voir ailleurs etc..." ça a été un peu violent ..

Ensuite, il y a effectivement, je pense, cette espèce de protection qu'on se met face à un éventuel futur adultère. Ayant vécu des ruptures difficiles également, je suis persuadé que c'est une adaptation du cerveaux pour éviter de souffrir.
Je suis toujours resté jaloux vis à vis de ma femme actuellement qui me promet pourtant d'être ma seule et unique pour le reste de nos jours. La peur qu'elle me quitte quand même peut-être, qu'un autre soit mieux que moi et qu'il en prenne possesion. Il y a toujours mieux que soit et c'est une femme au pouvoir de séduction incroyable. C'est ici peut-être une sorte de bouclier pour ne pas que cette jalousie vienne pourrir le couple. J'en fais quelque chose d'excitant par l'adrénaline que cela procure de penser au pire.

Je suis content pour toi si tu penses pouvoir te défaire de ce fantasme. Ton respect pour votre amour est une très belle chose.
Je rêverai de pouvoir ne plus avoir ce secret. Toute cette énorme part de ma vie dont elle n'a pas connaissance...
Néanmoins je n'imagine pas pouvoir m'en défaire.
J'aimerai pouvoir avoir l'opportunité juste de lui en parlé sans être jugé et que cela ne nous remette pas en question. Cela le démystifierait peut-être.
Et puis qu'elle se libère un peu comme la tienne. Mais de ce côté la j'ai bien compris que je devais la prendre telle qu'elle était.
Après cette dispute, elle consentait à consulter pour se mettre en phase avec moi mais elle ne l'a jamais fait.. certains m'ont dit trouve en toi une autre puisque vous êtes trop différent. Mais je l'aime bcp trop. Et on aime pas quelqu'un que pour le sexe.
Je rédige donc ces textes comme un exutoire en y définissant mes limites et en cherchant des réponses à mes propres questionnements... tout en les écrivant.

Quoiqu'il en soit, je vous souhaite une la meilleure des continuations.
Epicurien90, nousdeux00, Mex et 3 autres a liké
#2685598
Suite .
Nous n'étions pas du genre à beaucoup patienter entre les étapes et alors que je me tourmentais de cet accord que je lui avais donné, nous discutions déjà du mode de recrutement de notre futur +1.
Je ne savais toujours pas comment j'allais réagir lorsque ce moment arriverait, dans quel état je serais.. inquiet? Jaloux? Excité? Les 3 à la fois?
Elle trouva elle même un site de rencontres et s'y inscrivait. Elle me sollicita pour 2 choses: la rédaction de l'annonce et une scéance photos pour enrichir notre profil.
Il fallu que j'insiste un peu pour qu'elle nous inscrive en tant que couple et non comme femme seule. "Faut peut-être pas déconner!" Lui dis-je . Elle sourit.

Dans nos tendances, nous notions "Candaulisme".
Dans nos préfèrences de recherche, elle prit la main et cocha plusieurs choix: "Caucasien", "Africain", "Métisse"... Je pensais "ok ok^^"... Et lui dis "ah bon?"
Ce sur quoi elle me répondit juste "Et oui..".
Dans l'âge, elle indiqua "+ de 35 ans".
Aux cases "hommes mariés" et "hommes célibataires". Elle hésita et remit ce choix à plus tard.
Et dans la partie "Homme qui recherche" elle cocha "Femme en couple" et"Femme seule". Elle m'indiqua qu'elle le dirait bien sûr aux prétendants lors de leurs discussions.

Nous choisissions ensuite les photos que nous allions mettre pour agrémenter notre profil. On se mit d'accord pour ne mettre, pour l'instant, qu'une seule photo soft habillée mais suggérant sa silhouette des plus agréables et sans son visage.
Je la sentais impatiente de cliquer sur le bouton "Valider" et pour contempler la taille de son terrain de jeu.
Je lui dis "Attends, un peu de patience, on a même pas rédigé d'annonce."
Elle me répondit: "Tu écris bien toi. Rédiges là et je te dirai".
J'avoue avoir aimé ce petit moment d'inscription avec elle. Un moment somme toute complice et assez excitant. Lorsque, par exemple, elle avait coché "Africain" et "Métisse", je l'ai regardé et me suis demandé si elle n'avait pas fouillé dans mon historique de recherche ou si c'était vraiment un désir de sa part... quoiqu'il en soit les si nombreuses recherches "wife bbc" que j'avais pu faire dans ma vie xhamsterrienne vinrent toquer à la porte de mes pensées. Je souriais donc mais jaune puisque selon notre accord, je n'aurai pas cette chance de la voir blacked si nous trouvions un amant de cette nature..
Bref, je m'exécutais, bandant, sur la rédaction de l'annonce. Je fût, je pense, synthétique mais complet en écrivant.
"Magnifique femme mariée à mari prêteur cherche relation non suivie avec homme charmant, respectueux et bien membré. Madame a besoin avant tout d'être séduite alors à votre plus belle plume".
Elle me demanda d'ajouter "Cultivé, avec de l'humour et endurant".
J'enregistrais l'annonce et lui laissa le plaisir de cliquer sur "Valider l'inscription".
En quelques minutes seulement, nous avions déjà une 15zaines de vues et 3 messages étaient déjà reçus dans les Courriers.
On les visionnait mais il fallait payer un abonnement ou alors se certifier pour pouvoir répondre..
Bon... alors il faut faire quoi? Il s'agissait de se prendre en photo avec une affiche indiquant la date et en montrant nos visages.
Ce selfie n'était pas franchement excitant à réaliser... j'avais l'impression d'être un condamné qui allait bientôt être exécuté... mais bon bref. On envoyait cette fameuse photo de certification et nous recevions une réponse positive 24h plus tard.
Dans ce laps de temps, le nombre de vues de notre profil était passé à plus de 400 et nous avions reçu exactement 104 courriers... non lus donc...
Ma femme avait entre temps parcourus de nombreuses fiches d'hommes. Certains par curiosité, d'autre par intérêt.
Lorsqu'elle passait sur les fiches, nous avions quasi instantanément une visite et un courrier qui disait en résumé "Merci d'avoir visité mon profil, je m'appelle xxxx, au plaisir de faire plus ample connaissance. Vous êtes d'où?". Quelques fois, ils nous donnaient directement leur n° de téléphone. D'autres fois, nous avions droit à des photos de torses ou même de bites en érection.
Ma femme me disait "Les morts de faim, non merci".
Mais je prenais tout de même plaisir à lui demander si elle trouvait leur sexe appétissant. Ce à quoi elle me répondait invariablement "Non" et finissait par me faire un cours de "Nous les femmes, on est cérébrales".
Quelques hommes tentaient de se démarquer par des arguments stéréoptypé du genre "Il faut avant tout que le feeling passe", "l'humour est important", "dans le respect des envies de chacun" etc... mais ça ne prenait pas.
Dans cette masse, et étant donné que je comprenais de plus en plus un besoin de ma femme de se sentir unique, quelques 3 ou 4 hommes se démarquaient mieux que les autres. Par leur originalité et la personnalisation de leurs messages. Mais restait à creuser. Je lui laissai cette tâche évidemment.
Un "Nico" tout d'abord. La quarantaine. Célibataire en recherche de plaisirs "sans prise de tête avec ou sans lendemain". Assez basique mais un physique et une écriture agréables. On sentait qu'il avait de l'éducation. 1er message: "Bonjour, je suis Nicolas, 42 ans. Votre annonce ne me laisse pas de marbre. J'aurai plaisir à discuter avec vous si le coeur vous en dit. A bientôt j'espère...".
Un "Ibra". Black se disant Tbm. Libertin expérimenté. Un dos musclé et luisant terminé par un fessier rebondi en guise de photo de profil. Affûblé d'une 10zaine de recommandations de couples ayant passé des "Moments exquis avec cet etalon très courtois, endurant et gâté par la nature" faisant passer son court 1er message ("Salut, comment vas tu?") au second plan.
"Tristan". Un jeune homme de 25 ans. Sportif. Grand. S'annonçant tout aussi romantique que fougueux. Lui aussi se distinguait pas des recommandations. Majoritairement de femmes seules ventant des moments inoubliables. L'une d'entre elle semblait éprise et ecrivait "Allez y les yeux fermés et prenez soin de lui".

Elle commença a discuter avec Nico. "Il a l'air mignon" me dit elle. J'avais moi aussi accès à leur discussion et je ne me gênais pas pour la regarder. Il était à une cinquantaine de km de chez nous. Elle lui annoncait de suite la couleur en lui indiquant qu'elle cherchait un amant discret et qui devrait la faire s'évader le temps d'une ou 2 soirées.
Le pauvre, peut-être sous pression, ne parvenait pas vraiment à provoquer la curiosité de ma belle. Il restait peut-être trop poli, assez peu d'originalité...
Elle feint d'avoir le repas à faire. Elle termina ainsi la discussion.
La cloche indiquant une nouvelle visite tinta.
Un homme de 65 ans, prénommé "Jacques" et une annonce assez fournie qui expliquait qu'il était marié. Retraité, bien conservé qui recherchait des plaisirs charnels en toute discrétion avec une femme dont il saurait s'occuper avec passion et vigueur. Il recherchait une relation basée sur la réciprocité des envies. Adepte de longs préliminaires, il disait avoir besoin de cérébralité et de feeling avant toute chose. Enfin, il assurait une réponse même de politesse à quiquonque lui écrirait.
Un simple "Bonjour à vous" de sa part vînt faire son apparition dans nos courriers.
Je commentais cette intrusion auprès de ma femme en me moquant un peu: "Nan ce vieux pervers! S'il pense pouvoir se taper une femme de 25 ans de moins que lui dans le dos de sa femme, il va sela garder derrière l'oreille pendant longtemps!".
Sa photo de profil montrait un homme faisant bien son âge. Cheveux gris, dégarni. Bien portant...
Je ne savais pas sur l'instant s'il c'était par pur esprit de contradiction mais elle me dit "Et bien moi je le trouve plutôt pas mal!"
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"Tu plaisantes?" Lui dis-je. "Tu aurais envie de coucher avec un homme de cet âge, sérieux?"
Elle me dit: "Si son annonce dit vrai, je serai curieuse" dit elle d'un ton coquin. Puis elle termina son argumentaire en venant palper mon pantalon "Et on dirait bien que tu n'es pas contre..."
C'était un peu sa manière à elle de me sonder ces dernier temps et en effet, cette perspective me faisait de l'effet.
Intérieurement, je pensais "Mais en fait c'est quoi ma limite? Il va jusqu'où mon fantasme?". Je m'auto choquais presque en me disant que je pourrai la livrer à une bande de vieux pervers s'il elle le désirait... (peut-être même pire et là je vous laisse à vos plus grands démons...)
Alors je lui dis "Ainsi soit-il..." avec un large sourire...

Elle se mit donc à entamer une conversation avec Jacques que je surnommais "Le vieux chanceux".
Je méditais sur le fait que je m'éloignais de ma femme. J'étais encore jaloux mais pas trop. Le fait de la laisser toucher à d'autres zizis entrait dans mes moeurs et je digérais, assez facilement, ces instants qui n'étaient plus seulement théoriques.
Son intimité avait déja maintenant été remplies par d'autres que moi et le fait d'imaginer un vieil homme s'occuper d'elle maintenant ne devenait qu'un évènement de plus dans le pays des limites franchies. Je me demandais si j'aurai ressentit quelque chose s'il avait été plus jeune. Son âge étant finalement peut-être un atout au regard du peu qu'il restait à investir de mon bon vieux fantasme.
Jacques s'immiça en elle avec beaucoup de tact et de patience.
Elle lui écrivait, il ne répondait pas de suite et ça l'agaçait. Elle devait patienter quelque fois des heures. Mais il finissait toujours par répondre et ceux, avec la précision d'un sniper. Je pense que cela participait au fait de la rendre curieuse de lui. Parce qu'impatiente de sa finesse d'esprit, elle finit par être impatiente de le goûter.
Je lui demandais si elle restait sur sa position que je la laisse seule lors de leur rencontre. Insinuant ainsi que j'aurai bien aimé être à nouveau là.
Elle me dit qu'ils ne s'étaient pas encore fixés rendez-vous. Qu'ils faisait connaissance et que non, elle ne tenait pas à ce que je sois présent.
Je lui demandais: "Et alors vous allez vous voir? Ça accroche?".
Elle me dit: "Il est intéressant et plutôt charmant, respectueux... oui, je suis curieuse et puis il a envie de moi pour autre chose que mes gros seins. Mais sa femme a l'air d'être souvent dans ses pattes. Tu n'as qu'aller voir la conversation..".
Ce que je fis de suite.

Il était flatteur, lui disant regulièrement, qu'elle était splendide et j'etais bien d'accord avec lui.
Depuis notre inscription, elle prenait plus soin d'elle. Elle faisait attention à ses tenues. Elle lui envoyait chaque jour des photos soft d'elle et même de son visage. Elle lui montrait comment elle était habillée chaque jour et lui demandait comment il la trouvait.
Elle lui disait qu'elle se faisait belle pour lui.
De son côté, il lui envoyait des photos de lui en ballade ou lors de repas. Sûrement des photos que sa femme avait prises...
Il souhaitait être honnête en disant qu'il aimait sa femme mais qu'ils ne faisaient plus l'amour. La passion des corps étant passée depuis des années et qu'il avait pourtant un appétit sexuel hors important.
Il recherchait une femme pour des moments câlins et coquins en toute discrétion.

Un jour, il lui demanda une photo d'elle nue. Je lui proposais d'être photographe. Elle se posa sur notre lit avec un joli porte jarretelle, sans culotte et sans soutient gorge.
J'en pris 3. Une devant la glace lorsqu'elle enlevait sa culotte.
Une assise sur le bord du lit, les jambes croisées, ses mains sur maintenant ses seins.
Et une dernière allongée sur le lit. Jambes écartée avec l'une de ses mains posée sur sa chatte. L'entrebaillement de ses doigts laissait apparaître une petite partie de sa vulve. L'index de son autre main posé sur sa bouche.
Elle lui envoya les 3 et ponctua son envoi par "Rien que pour toi. Qu'est ce que tu voudrais me faire?".
Ne souhaitant pas attendre sa réponse et ne pouvant pas la laisser dans cette tenue sans rien faire. Aussi, une fois ces messages envoyés, je la pris fougueusement.
Encore une fois le jeux s'invita dans nos ébats. Je lui disais que j'aimais qu'elle ait envie de Jacques le chanceux et lui demandait comment elle avait envie de lui pour m'acheminer vers la jouissance. Elle évoquait une certaine douceur derrière des mains rugueuses, façonnées par le temps. Elle l'imaginait la fouillant tout en lui léchant les tétons.
A peine notre affaire terminée, elle m'annonça dans un soupir "J'ai hâte".
Je le pris un peu mal dans un réflexe assez primaire de constater que je ne lui avait pas donné entière satisfaction. Non, elle pensait déjà à se faire fourrer par le vieux chanceux.. Mais encore une fois, mis à part faire la gueule (ce dont elle ne s'aperçu même pas), je ne dis rien.
Le soir, vers 23h, un nouveau courrier reçu appela ma femme vers son portable. Il répondait à ses photos et sa question:
"Tu es tellement magnifique.. j'ai envie de m'occuper de toi. Mais je n'en dis pas plus. Ma femme se rend chez sa soeur ce week-end. Elle part vendredi et revient dimanche soir. J'aimerai que nous prenions un café dans un troquet demain soir vendredi pour notre 1ère rencontre. Pour voir si tu es vraie. Et si le courant passe, j'aurai plaisir à t'inviter chez moi samedi autour d'un bon repas et plus... j'espère que je ne te prends pas de court et que tu pourras. Les occasions sont malheureusement rares... "

Ma femme frémissait littéralement. Elle lui répondit immédiatement qu'elle serait enchantée de boire un café avec dès demain soir.
Elle me regarda les yeux plein d'étoile et me dit:
"Aller, tu as du boulot, tu as 2 tenues à préparer. Une poir vendredi et une pour samedi! Tu me fais belle hein! Sexy mais pas vulgaire!" Elle enchainait ses conditions.
Mes pensées salaces me prirent par la main m'enmenaient vers son dressing.
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Je déballais toutes ses affaires pour trouver 2 tenues qui conviendraient à ma femme mais aussi à Jacques.
"Pas vulgaire"... facile à dire.
Pour ce qui etait du vendredi café, j'optais pour une jupe qui lui arrivait juste en haut des genoux. Des bottes sans talon. Des collants fantaisie. Un haut pas trop décolleté. Pour la lingerie, juste un body aubade classe. J'aimai beaucoup ce body. Quand elle le mettait, avec moi, cela signifiait que nous allions faire l'amour. Il était donc comme une symbolique.
Pour le samedi. Ce fût jupe courte. Le même porte jarretelles que sur la photo et donc bas. Chaussures à talons vernis rouge. Soutient gorges transparent. Culotte transparente assortie (J'adore voir ses tétons et sa toison en transparence, je me disais qu'il aimerait aussi). Et un petit pull léger qui a la fâcheuse tendance à descendre de ses épaules.
Je pensais avoir fait un bon choix et je lui soumis.
Elle inspecta tout cela et approuva en disant "Top, ça va lui plaire tout ça. Et pour samedi, tu n'as pas mis de culotte. C'est normal?"
"Oui, c'est normal"
La journée du vendredi fût assez longue et pénible de mon côté. Interminable, sachant l'évènement du soir.
Quand je rentrais vers 18h, elle était déjà dans la salle de bain à se préparer.
Elle avait pris une douche et se maquillait, encore nue, devant le miroir.
Je m'assis près d'elle sans rien dire pour l'observer.
Et je lui dis "Le spectacle commence ici pour moi".
Elle ne me repondit pas. Trop occupée.
Elle me dit juste "Quand je serai partie, tu penseras à pendre le linge? J'ai fait une lessive."
"Tu veux que je t'enmène au cas où?"
Elle me répondit "Non, t'inquiète, je suis une grande fille".

"Alors comment tu me trouves".
Je lui répondais "Parfaite".
L'heure approchait.
Avant qu elle ne parte je lui lançais "Tu penseras à moi quand même? Tu m'enverras des messages?"
Sa reponse ne fût qu'un simple sourire. Elle pris les clés de la voiture, se dirigea vers la porte et me lança en dernier regard malicieux.
La porte claqua, j'entendais ensuite le bruit du moteur s'allumer, puis s'éloigner. Et me voilà soudain seul. Dans le silence de mon salon. Les images du profil de Jacques et de ma femme se préparant défilant à vitesse grand v dans ma tête.
Je pris mon téléphone, ouvrait l'application de rencontre sur laquelle nous étions inscrit et pris l'adresse du troquet dans les messages.
Sans plus réfléchir, je pris les clés de notre deuxième voiture et décidait de me rendre prestemment vers le lieu de leur rendez-vous.
Je me garais sur une place discrète. Suffisamment éloignée pour qu'elle ne me voit pas
Je voyais Jacques l'attendre à l'entrée.
Elle, elle descendait de la voiture et s'approcha de lui avec un large sourire qui disait "Enfin te voilà en vrai!"
Il la prit dans ses bras et je l'ai ressentit, n'osa pas l'embrasser. Il prit un recul pour la voir et lui dit certainement quelque chose du genre "Tu es belle".
Il l'a fît entrer tel un gentlman en lui tenant la porte avant de lui emboiter le pas.
Je les vîs s'assoir à une table, puis disuter.
Au bout d'1/4 d'heure. Mis à part constater une discussion muette du fait de la vitre, je décidais de rentrer. Je ne pouvais pas voir s'il lui tenait la main ni s'il lui faisait du pieds...
J'avais peur, d'une part qu'elle me voit. Et d'autre part je me disais qu'il fallait que je me force à accepter de les laisser seul. Parce qu'à l'instant, je ne tenais pas paroles. Je la trahissais en l'espionnant alors qu'elle ne me cachait rien.
Malgré mon besoin voyeur, je reprenais donc ma voiture et rentrais chez moi... frustré. Avec pour seule compagne mon imagination.
Une fois à la maison, toujours silencieuse, sans elle. Une nouvelle tourmente s'offrait à moi.
Que se disaient-ils? Est-ce qu'ils allaient décider de se revoir le lendemain pour aller plus loin. N'iraient-ils pas déjà trop loin ce soir. Mon coeur battait à chaque fois que je pensais au pire et la sensation se muait invariablement en excitation.
Je me mis sur un moteur de recherche porno et je tapais "old man cuckold". Il y avait des résultats mais je me dis qu'il valait mieux me laisser ce critère de recherche pour demain soir. Alors je fermais le naviguateur, me mis au lit et commençais à regarder une série... pour m'occuper.
Mes yeux commencèrent à se fermer de fatigue. Il était 23h. Aucune nouvelle. Je luttais. Je me disais qu'il ne se passerait rien ce soir... mes yeux fixait la télé, mes oreilles n'écoutaient pas vraiment.
Une explosion retentit soudain et me réveilla. Elle provenait de la télé. Je m'etais endormi. Il était 1h30. Je regardais à côté de moi. Personne.
Je fondais sur mon portable. J'avais un message reçu à 0h30. "Tout va bien, je t'aime".
Tout d'abord inquiet tout de même. Il était tard. Mais qu'est ce qu'elle fait bordel?? C'est plus juste un café là..
Un instant plus tard, j'entendais la clé dans la porte. Elle rentrait. Toute souriante, elle entrait dans la chambre, encore fraîche de l'air extérieur et plongea sur le lit. Ses jambes et ses pieds galbées par ses collants, j'adorais ça, elle me faisait envie.
Mais ce n'était pas le moment. Elle me regarda et me demanda si ça allait. Je lui dis que "peu importe bébé, racontes alors?".
Elle posa sa tête sur l'oreiller et me conta la soirée.
"Ben au début, ça faisait bizarre tu vois. Il a quand même 25 ans de plus que moi donc j'osais pas trop. Et puis il fait son âge en fait physiquement. Mais bon écoute, il est interessant tu vois. Il a plein d'histoires à raconter mais bon ça je m'en fous un peu. Mais bon il te met à l'aise, il est sympa. Et puis il est chou pour tout dire. Et puis physiquement, il me rend curieuse j'avoue.. j'ai jamais couché avec un homme de cet âge, tu crois ça bande dur à cet âge là?"
Je coupais sans répondre "Et donc, tu le revois demain soir ou pas?" Et comme dans un bref et impossible espoir qu'elle me dise "Non" pour en finir avec l'ascenseur emotionnel, je continuais par "Tu as toujours envie de lui?".
Elle me repondit "Oh oui, après je sais pas on va laisser le feeling faire les choses mais il est adorable, vraiment, et il est coquin... ça, on peut dire qu'il a envie de moi.
Il a commencé à me faire du pieds à un moment. Il m'a pris la main aussi. Je disais rien tu vois. Eh franchement il a un touché..., je frissonais, je sais pas pourquoi. Et puis à la fin, il devenait entreprenant. Genre il a commencé à me toucher les cuisses sous la table. Donc je lui ai dit "Si je comprends bien, demain soir, tu me prépares un bon petit repas aux chandelles?.
Il m'a dit qu'il était très bon cuisinier. Voilà voilà. Et puis en partant, il m'embrassé sur le parking. Une sacrée pelle!... et il m'a tripoté un peu les seins.Voilà".
"Ca t'as excité?"
"Oui, en plus quand il m'a embrassé, il se collait sur moi, genre en rût, je sentais sa bosse. On aurait presque pu aller chez lui directement mais on a été raisonnable.. ".
"Raisonnable" ... je le disais que ce mot etait un peu mal choisi. On est pas dans une situation "raisonnable". C'est une femme mariée qui a déjà eu 2 aventures sexuelles hors couple et qui prépare le terrain pour se faire sauter par une personne du 3ème âge.
Comme elle le faisait souvent pour sentir mon excitation, je fis comme elle. Je glissais ma main sous sa jupe, dégraphais son body et palpais sa chatte. Elle se laissa faire et je pu sentir qu'elle etait trempée. "Eh ben il te fait de l'effet...".
Elle me fît un petit signe de tête positif, enleva ma main, partit mettre son pyjama et me dit "Aller dodo, il est tard et demain j'ai une longue soirée de prévue!"

Le lendemain matin, dès le réveil, je lui demandai à quelle heure elle irait chez lui le soir et où il habitait. Elle me donna toutes ces informations. Le rendez-vous était fixé à 20h directement chez lui.
A nouveau, elle mit un temps infini à se préparer. Entre les essayages, la coiffure, le maquillage, répondre aux messages de notre ami, elle prit bien 2h. Je l'interrompais quelques fois.
"Du coup, je vais pas être là ce soir, tu pourrais m'envoyer des messages histoire de ?"
Réponse "Oui".
"Avec des photos?" Elle me regarda et me demanda "Tu as besoin de ça?".
Je lui répondais "Oui, déjà pour me rassurer et puis ça serait cool que tu me donnes des petites infos croustillantes."
J'étais d'une part excité car le fait de savoir ma femme dans les bras d'un tel homme était plaisant. De part cette offrande que je faisais à nouveau mais aussi du côté transgressif que comportait leur différence d'âge.
Je lui dis avec une sincérité salace "Franchement, si tu peux prendre un max de photos et me les envoyer ça serait excitant pour moi. Prends sa bite en photo. Ou que lui te prenne en photo quand il te prend... je sais pas... même limite des vidéos..."
Elle me dit "Alors techniquement, ok mais je verrai en fonction de lui et ne t'attend pas à recevoir pleiiiiin de photos. C'est un moment à Jacques et moi tu vois. Il sais que tu es au courant et que tu es d'accord mais je veux pas gâcher le délire tu vois?"
Je réfléchissais et lui dit "Alors juste au moins 3 photos. Je peux bien te demander ça non? Un selfie de vous 2, une autre de sa teub et une dernière de toi nue avant de passer à l'acte."
Je sentais qu'elle devait se forcer mais effectivement, elle me devait bien ça alors elle me dit d'accord et finit par "Je compte pas m'éterniser non plus, je pense qu'il va vouloir vite me secouer après le repas, après, je rentre."
"Ok top".
A 19h30, elle partait et cette fois-ci, je ne la suivais pas. Je me suis dit que j'allais me préparer une soirée aux petits oignons avec au menu : plat à emporter, bière, photos et message de ma belle et pour parfaire le tout: porno "old man cuckold".
La jalousie était présente, ca me faisit des pincements au coeur mais elle n'était plus qu'un condiment pour la masturbation que j'envisageais de me procurer avec délectation.
A 20h, je recevais un 1er message: "Bien arrivée, Jacques s'est fait tout beau et 1ère galoche dans le couloir de sa maison. Il embrasse comme un ado de 15 ans."

Mes limites... Je pense que mes limites sont le noeud du problème. Plus ça allait et plus elles s'éloignaient. Je crois que ce qui m'excitait le plus, c'était de savoir "Jacques le chanceux" bandant de son vieux sexe introduire le vagin de ma femme. Je trouvais l'image bien plus satisfaisante encore que s'il avait s'agissait d'un homme de notre âge
2ème message 1/4 d'heure plus tard: "Je suis toute seule dans son salon, il prépare à manger. Son chien essaye de me grimper dessus depuis tout à l'heure.. ça commence bien... lol"
Je répondais à ce 2ème message: "Continus à me tenir au courant. Je t'aime. Profites bien."
Je recevais dans la foulée un nouveau message. Un selfie d'elle et de son Jule. Visage collée Jacques langue sortie.
Puis une autre photo. Elle le prenait alors qu'il était à genoux devant elle, les mains sur ses cuisses.
J'étais fou d'excitation. Mon imagination allait bon train et je me touchais en même temps que je lui écrivait en retour "Tu vas prendre cher".
Lors des précèdentes aventures de ma femme, j'avais eu le sentiment que tout le plaisir que je prenais était issu d'une espèce de transformation de ma jalousie en un état d'excitation.
Cette fois ci j'avais l'impression que mon cerveau devait faire double travail. La jalousie était bien plus importante car je ne maîtrisais pas du fait de mon absence et j'avais en plus une frustation monumentale de ne pas être observateur. Je devais imaginer. Alors j'imaginais peut-être plus que ce qu'il se passait en réalité. Plus c'était hard dans mes pensées et plus je prenais de plaisir.
Dans ma tête, je la pensais être en train de sortir la grande artillerie pour durcir le membre de Jacques, peut-être plus exigeant du fait de son âge.
Qu'elle le désabillait comme un infirmière, puis qu'elle touchait de ses doigts son membre encore mou juste sortie du slip. Puis qu'elle le suçait avec perservérance tout en caressant son corps d'homme âgé bedonnant. Qu'elle gémissait d'envie en prononçant son prénom.
Je l'imaginais, lui, se frottant maladroitement sur elle comme un vieux pervers libidineux et elle ne le repoussant pas.
Je l'imaginais nu, bite pendante devant ma femme prête à le durcir pour qu'il la pénètre.
Puis la fusion de ces 2 corps si différents dans un mouvement de va et vient passionné.
Enfin, j'imaginais qu'elle ne pensait plus du tout à moi. Intégralement investie dans ces instants de plaisirs. Elle le serrait fort dans ses bras. Elle l'aimait. Je ne pu attendre plus longtemps, je jouissais puissamment sur ces dernières pensées...
J'aurai aimé me conserver pour quand elle serait rentrée. Pour pouvoir reprendre possession d'elle mais ça a été plus fort que moi. "Je me suis branlé comme un connard et j'ai joui de ma souffrance." pensais je...

Elle rentra vers 4h du matin. Moi j'étais endormi sur le canapé. En train de cuver toutes les bières que j'avais ingurgité pendant son absence.
Elle s'assit à côté de moi, me caressa le visage et me demanda "Ça va?".
Je me réveillais difficilement. Regardais mon portable près de moi. Pas de message de sa part et lui dit "Oui alors il est quelle heure? Et toi, racontes s'il te plait?"
Elle me dit "4h, attends, je me désabille". Elle enleva son manteau, ses chaussures, sa jupe, ses bas, son soutif et sa culotte souillée qu'elle me donna et se mis nue contre moi.
J'entamais "Alors il a un gros kiki? Racontes"
Elle me dit "Normal +, il a un gros gland, j'adore".
"Alors raconte un peu?"
"Et bien on a bien mangé, il n'a pas menti, il cuisine super bien. Ensuite, il m'a fait beaucoup de rentre dedans, il arrêtait pas de dire que je suis belle et qu'il n'en revenait pas que je sois là.. après je lui ai donné ce qu'il voulait..." je finissais "Et que tu voulais aussi..". Elle continua "Oui, que je voulais aussi... il m'a bien prise j'avoue, j'ai aimé, on a fait beaucoup de préliminaires, il avait l'air vraiment en manque le pauvre."
Elle sentait son parfum et un peu la transpiration.
Mais vous avez fait quoi d'autre? Il est 4h du mat'"
"Ben on s'est vite mis sous la couette après le repas, je te dis, on a fait de longs préliminaires et on a fait l'amour. Ensuite, on est resté à se câliner un bon moment tout en discutant. C'est bon aussi les câlins comme ça. Il me caressait un peu partout et puis moi aussi je le caressais puis vers 1h, on a "remis le couvert. Il a été long à jouir et tant mieux."
A ce moment, elle me toucha en me regardant comme on demande pitance.
Je lui demandais "Et toi tu as joui". Et me répondit "Oh oui, plusieurs fois. C'était bon" à ces mots elle sortit mon membre et se mit à me sucer. Je bandais de toute ses évocations. Je la pris pendant quelques minutes et non des heures en respirant ses effluves de coïts pas encore nettoyées. Installant mon membre là où un autre avait déchargé à plusieurs reprises quelques instants auparavant.
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par Tom78
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Une performance bien médiocre alors qu'elle venait de passer une nuit de passion avec son nouvel amant. Pourtant assez âgé, bien plus âgé que moi.
Je me suis retiré d'elle sans un mot et me suis mis de mon côté du lit. Elle s'endormit. Et moi je continuais de penser...
Elle avait maintenant plusieurs amants sous la main.. Thierry, Medhi et Jacques. Je savais chacun disponible pour elle quand elle le voulait. Accros à sa peau, à sa manière de prendre du plaisir sous leurs mains.
Elle avait un amant pour chaque type d'envie qu'elle pouvait avoir. Sentimentale, viril, endurance, romantique etc...
Je me demandais alors "Et moi? Quel est son plaisir avec moi? Est ce que je ne suis plus là que pour assurer le fait quelle soit mariée et être le père de ses enfants? Quel est son intérêt maintenant d'être avec moi?"

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