Je déballais toutes ses affaires pour trouver 2 tenues qui conviendraient à ma femme mais aussi à Jacques.
"Pas vulgaire"... facile à dire.
Pour ce qui etait du vendredi café, j'optais pour une jupe qui lui arrivait juste en haut des genoux. Des bottes sans talon. Des collants fantaisie. Un haut pas trop décolleté. Pour la lingerie, juste un body aubade classe. J'aimai beaucoup ce body. Quand elle le mettait, avec moi, cela signifiait que nous allions faire l'amour. Il était donc comme une symbolique.
Pour le samedi. Ce fût jupe courte. Le même porte jarretelles que sur la photo et donc bas. Chaussures à talons vernis rouge. Soutient gorges transparent. Culotte transparente assortie (J'adore voir ses tétons et sa toison en transparence, je me disais qu'il aimerait aussi). Et un petit pull léger qui a la fâcheuse tendance à descendre de ses épaules.
Je pensais avoir fait un bon choix et je lui soumis.
Elle inspecta tout cela et approuva en disant "Top, ça va lui plaire tout ça. Et pour samedi, tu n'as pas mis de culotte. C'est normal?"
"Oui, c'est normal"
La journée du vendredi fût assez longue et pénible de mon côté. Interminable, sachant l'évènement du soir.
Quand je rentrais vers 18h, elle était déjà dans la salle de bain à se préparer.
Elle avait pris une douche et se maquillait, encore nue, devant le miroir.
Je m'assis près d'elle sans rien dire pour l'observer.
Et je lui dis "Le spectacle commence ici pour moi".
Elle ne me repondit pas. Trop occupée.
Elle me dit juste "Quand je serai partie, tu penseras à pendre le linge? J'ai fait une lessive."
"Tu veux que je t'enmène au cas où?"
Elle me répondit "Non, t'inquiète, je suis une grande fille".
"Alors comment tu me trouves".
Je lui répondais "Parfaite".
L'heure approchait.
Avant qu elle ne parte je lui lançais "Tu penseras à moi quand même? Tu m'enverras des messages?"
Sa reponse ne fût qu'un simple sourire. Elle pris les clés de la voiture, se dirigea vers la porte et me lança en dernier regard malicieux.
La porte claqua, j'entendais ensuite le bruit du moteur s'allumer, puis s'éloigner. Et me voilà soudain seul. Dans le silence de mon salon. Les images du profil de Jacques et de ma femme se préparant défilant à vitesse grand v dans ma tête.
Je pris mon téléphone, ouvrait l'application de rencontre sur laquelle nous étions inscrit et pris l'adresse du troquet dans les messages.
Sans plus réfléchir, je pris les clés de notre deuxième voiture et décidait de me rendre prestemment vers le lieu de leur rendez-vous.
Je me garais sur une place discrète. Suffisamment éloignée pour qu'elle ne me voit pas
Je voyais Jacques l'attendre à l'entrée.
Elle, elle descendait de la voiture et s'approcha de lui avec un large sourire qui disait "Enfin te voilà en vrai!"
Il la prit dans ses bras et je l'ai ressentit, n'osa pas l'embrasser. Il prit un recul pour la voir et lui dit certainement quelque chose du genre "Tu es belle".
Il l'a fît entrer tel un gentlman en lui tenant la porte avant de lui emboiter le pas.
Je les vîs s'assoir à une table, puis disuter.
Au bout d'1/4 d'heure. Mis à part constater une discussion muette du fait de la vitre, je décidais de rentrer. Je ne pouvais pas voir s'il lui tenait la main ni s'il lui faisait du pieds...
J'avais peur, d'une part qu'elle me voit. Et d'autre part je me disais qu'il fallait que je me force à accepter de les laisser seul. Parce qu'à l'instant, je ne tenais pas paroles. Je la trahissais en l'espionnant alors qu'elle ne me cachait rien.
Malgré mon besoin voyeur, je reprenais donc ma voiture et rentrais chez moi... frustré. Avec pour seule compagne mon imagination.
Une fois à la maison, toujours silencieuse, sans elle. Une nouvelle tourmente s'offrait à moi.
Que se disaient-ils? Est-ce qu'ils allaient décider de se revoir le lendemain pour aller plus loin. N'iraient-ils pas déjà trop loin ce soir. Mon coeur battait à chaque fois que je pensais au pire et la sensation se muait invariablement en excitation.
Je me mis sur un moteur de recherche porno et je tapais "old man cuckold". Il y avait des résultats mais je me dis qu'il valait mieux me laisser ce critère de recherche pour demain soir. Alors je fermais le naviguateur, me mis au lit et commençais à regarder une série... pour m'occuper.
Mes yeux commencèrent à se fermer de fatigue. Il était 23h. Aucune nouvelle. Je luttais. Je me disais qu'il ne se passerait rien ce soir... mes yeux fixait la télé, mes oreilles n'écoutaient pas vraiment.
Une explosion retentit soudain et me réveilla. Elle provenait de la télé. Je m'etais endormi. Il était 1h30. Je regardais à côté de moi. Personne.
Je fondais sur mon portable. J'avais un message reçu à 0h30. "Tout va bien, je t'aime".
Tout d'abord inquiet tout de même. Il était tard. Mais qu'est ce qu'elle fait bordel?? C'est plus juste un café là..
Un instant plus tard, j'entendais la clé dans la porte. Elle rentrait. Toute souriante, elle entrait dans la chambre, encore fraîche de l'air extérieur et plongea sur le lit. Ses jambes et ses pieds galbées par ses collants, j'adorais ça, elle me faisait envie.
Mais ce n'était pas le moment. Elle me regarda et me demanda si ça allait. Je lui dis que "peu importe bébé, racontes alors?".
Elle posa sa tête sur l'oreiller et me conta la soirée.
"Ben au début, ça faisait bizarre tu vois. Il a quand même 25 ans de plus que moi donc j'osais pas trop. Et puis il fait son âge en fait physiquement. Mais bon écoute, il est interessant tu vois. Il a plein d'histoires à raconter mais bon ça je m'en fous un peu. Mais bon il te met à l'aise, il est sympa. Et puis il est chou pour tout dire. Et puis physiquement, il me rend curieuse j'avoue.. j'ai jamais couché avec un homme de cet âge, tu crois ça bande dur à cet âge là?"
Je coupais sans répondre "Et donc, tu le revois demain soir ou pas?" Et comme dans un bref et impossible espoir qu'elle me dise "Non" pour en finir avec l'ascenseur emotionnel, je continuais par "Tu as toujours envie de lui?".
Elle me repondit "Oh oui, après je sais pas on va laisser le feeling faire les choses mais il est adorable, vraiment, et il est coquin... ça, on peut dire qu'il a envie de moi.
Il a commencé à me faire du pieds à un moment. Il m'a pris la main aussi. Je disais rien tu vois. Eh franchement il a un touché..., je frissonais, je sais pas pourquoi. Et puis à la fin, il devenait entreprenant. Genre il a commencé à me toucher les cuisses sous la table. Donc je lui ai dit "Si je comprends bien, demain soir, tu me prépares un bon petit repas aux chandelles?.
Il m'a dit qu'il était très bon cuisinier. Voilà voilà. Et puis en partant, il m'embrassé sur le parking. Une sacrée pelle!... et il m'a tripoté un peu les seins.Voilà".
"Ca t'as excité?"
"Oui, en plus quand il m'a embrassé, il se collait sur moi, genre en rût, je sentais sa bosse. On aurait presque pu aller chez lui directement mais on a été raisonnable.. ".
"Raisonnable" ... je le disais que ce mot etait un peu mal choisi. On est pas dans une situation "raisonnable". C'est une femme mariée qui a déjà eu 2 aventures sexuelles hors couple et qui prépare le terrain pour se faire sauter par une personne du 3ème âge.
Comme elle le faisait souvent pour sentir mon excitation, je fis comme elle. Je glissais ma main sous sa jupe, dégraphais son body et palpais sa chatte. Elle se laissa faire et je pu sentir qu'elle etait trempée. "Eh ben il te fait de l'effet...".
Elle me fît un petit signe de tête positif, enleva ma main, partit mettre son pyjama et me dit "Aller dodo, il est tard et demain j'ai une longue soirée de prévue!"
Le lendemain matin, dès le réveil, je lui demandai à quelle heure elle irait chez lui le soir et où il habitait. Elle me donna toutes ces informations. Le rendez-vous était fixé à 20h directement chez lui.
A nouveau, elle mit un temps infini à se préparer. Entre les essayages, la coiffure, le maquillage, répondre aux messages de notre ami, elle prit bien 2h. Je l'interrompais quelques fois.
"Du coup, je vais pas être là ce soir, tu pourrais m'envoyer des messages histoire de ?"
Réponse "Oui".
"Avec des photos?" Elle me regarda et me demanda "Tu as besoin de ça?".
Je lui répondais "Oui, déjà pour me rassurer et puis ça serait cool que tu me donnes des petites infos croustillantes."
J'étais d'une part excité car le fait de savoir ma femme dans les bras d'un tel homme était plaisant. De part cette offrande que je faisais à nouveau mais aussi du côté transgressif que comportait leur différence d'âge.
Je lui dis avec une sincérité salace "Franchement, si tu peux prendre un max de photos et me les envoyer ça serait excitant pour moi. Prends sa bite en photo. Ou que lui te prenne en photo quand il te prend... je sais pas... même limite des vidéos..."
Elle me dit "Alors techniquement, ok mais je verrai en fonction de lui et ne t'attend pas à recevoir pleiiiiin de photos. C'est un moment à Jacques et moi tu vois. Il sais que tu es au courant et que tu es d'accord mais je veux pas gâcher le délire tu vois?"
Je réfléchissais et lui dit "Alors juste au moins 3 photos. Je peux bien te demander ça non? Un selfie de vous 2, une autre de sa teub et une dernière de toi nue avant de passer à l'acte."
Je sentais qu'elle devait se forcer mais effectivement, elle me devait bien ça alors elle me dit d'accord et finit par "Je compte pas m'éterniser non plus, je pense qu'il va vouloir vite me secouer après le repas, après, je rentre."
"Ok top".
A 19h30, elle partait et cette fois-ci, je ne la suivais pas. Je me suis dit que j'allais me préparer une soirée aux petits oignons avec au menu : plat à emporter, bière, photos et message de ma belle et pour parfaire le tout: porno "old man cuckold".
La jalousie était présente, ca me faisit des pincements au coeur mais elle n'était plus qu'un condiment pour la masturbation que j'envisageais de me procurer avec délectation.
A 20h, je recevais un 1er message: "Bien arrivée, Jacques s'est fait tout beau et 1ère galoche dans le couloir de sa maison. Il embrasse comme un ado de 15 ans."
Mes limites... Je pense que mes limites sont le noeud du problème. Plus ça allait et plus elles s'éloignaient. Je crois que ce qui m'excitait le plus, c'était de savoir "Jacques le chanceux" bandant de son vieux sexe introduire le vagin de ma femme. Je trouvais l'image bien plus satisfaisante encore que s'il avait s'agissait d'un homme de notre âge
2ème message 1/4 d'heure plus tard: "Je suis toute seule dans son salon, il prépare à manger. Son chien essaye de me grimper dessus depuis tout à l'heure.. ça commence bien...
"
Je répondais à ce 2ème message: "Continus à me tenir au courant. Je t'aime. Profites bien."
Je recevais dans la foulée un nouveau message. Un selfie d'elle et de son Jule. Visage collée Jacques langue sortie.
Puis une autre photo. Elle le prenait alors qu'il était à genoux devant elle, les mains sur ses cuisses.
J'étais fou d'excitation. Mon imagination allait bon train et je me touchais en même temps que je lui écrivait en retour "Tu vas prendre cher".
Lors des précèdentes aventures de ma femme, j'avais eu le sentiment que tout le plaisir que je prenais était issu d'une espèce de transformation de ma jalousie en un état d'excitation.
Cette fois ci j'avais l'impression que mon cerveau devait faire double travail. La jalousie était bien plus importante car je ne maîtrisais pas du fait de mon absence et j'avais en plus une frustation monumentale de ne pas être observateur. Je devais imaginer. Alors j'imaginais peut-être plus que ce qu'il se passait en réalité. Plus c'était hard dans mes pensées et plus je prenais de plaisir.
Dans ma tête, je la pensais être en train de sortir la grande artillerie pour durcir le membre de Jacques, peut-être plus exigeant du fait de son âge.
Qu'elle le désabillait comme un infirmière, puis qu'elle touchait de ses doigts son membre encore mou juste sortie du slip. Puis qu'elle le suçait avec perservérance tout en caressant son corps d'homme âgé bedonnant. Qu'elle gémissait d'envie en prononçant son prénom.
Je l'imaginais, lui, se frottant maladroitement sur elle comme un vieux pervers libidineux et elle ne le repoussant pas.
Je l'imaginais nu, bite pendante devant ma femme prête à le durcir pour qu'il la pénètre.
Puis la fusion de ces 2 corps si différents dans un mouvement de va et vient passionné.
Enfin, j'imaginais qu'elle ne pensait plus du tout à moi. Intégralement investie dans ces instants de plaisirs. Elle le serrait fort dans ses bras. Elle l'aimait. Je ne pu attendre plus longtemps, je jouissais puissamment sur ces dernières pensées...
J'aurai aimé me conserver pour quand elle serait rentrée. Pour pouvoir reprendre possession d'elle mais ça a été plus fort que moi. "Je me suis branlé comme un connard et j'ai joui de ma souffrance." pensais je...
Elle rentra vers 4h du matin. Moi j'étais endormi sur le canapé. En train de cuver toutes les bières que j'avais ingurgité pendant son absence.
Elle s'assit à côté de moi, me caressa le visage et me demanda "Ça va?".
Je me réveillais difficilement. Regardais mon portable près de moi. Pas de message de sa part et lui dit "Oui alors il est quelle heure? Et toi, racontes s'il te plait?"
Elle me dit "4h, attends, je me désabille". Elle enleva son manteau, ses chaussures, sa jupe, ses bas, son soutif et sa culotte souillée qu'elle me donna et se mis nue contre moi.
J'entamais "Alors il a un gros kiki? Racontes"
Elle me dit "Normal +, il a un gros gland, j'adore".
"Alors raconte un peu?"
"Et bien on a bien mangé, il n'a pas menti, il cuisine super bien. Ensuite, il m'a fait beaucoup de rentre dedans, il arrêtait pas de dire que je suis belle et qu'il n'en revenait pas que je sois là.. après je lui ai donné ce qu'il voulait..." je finissais "Et que tu voulais aussi..". Elle continua "Oui, que je voulais aussi... il m'a bien prise j'avoue, j'ai aimé, on a fait beaucoup de préliminaires, il avait l'air vraiment en manque le pauvre."
Elle sentait son parfum et un peu la transpiration.
Mais vous avez fait quoi d'autre? Il est 4h du mat'"
"Ben on s'est vite mis sous la couette après le repas, je te dis, on a fait de longs préliminaires et on a fait l'amour. Ensuite, on est resté à se câliner un bon moment tout en discutant. C'est bon aussi les câlins comme ça. Il me caressait un peu partout et puis moi aussi je le caressais puis vers 1h, on a "remis le couvert. Il a été long à jouir et tant mieux."
A ce moment, elle me toucha en me regardant comme on demande pitance.
Je lui demandais "Et toi tu as joui". Et me répondit "Oh oui, plusieurs fois. C'était bon" à ces mots elle sortit mon membre et se mit à me sucer. Je bandais de toute ses évocations. Je la pris pendant quelques minutes et non des heures en respirant ses effluves de coïts pas encore nettoyées. Installant mon membre là où un autre avait déchargé à plusieurs reprises quelques instants auparavant.