Le lendemain Thomas me relança tout la journée pour savoir si nous nous joignions à leur week end à Francfort. Il se faisait plutôt insistant et ça m'inquiétait. J'avais peur de perdre le contrôle de la situation.
Je lui répondis en milieu d'après-midi:
_ Salut Thomas ! On part ce soir du côté de Francfort mais ce ne sera pas pour profiter de l'Oktober fest.
_
_ On va passer la journée de samedi au centre thermal de Nurberg, à 20min de Francfort. On va se reposer comme ça
Thomas tenta de me convaincre de participer à l'oktoberfest. J'imagine qu'il avait une idée derrière la tête. Puis il se ravisa d'un coup, trouvant que cela pouvait être une bonne idée pour nous deux au final. Je convaincs avec lui que l'on se croiserait peut être le samedi soir. Mais en réalité je ne comptais pas que Claire apprenne que je connaissais Thomas.
Au final nous réussîmes à partir tôt en fin d'après midi pour arriver vers 21h30 sur les lieux. L'idée de passer la frontière pour le week end était particulièrement dépaysant et Claire était enchantée. Nous avions été chanceux: j'étais parvenu à réserver plus tôt dans la journée une chambre haut de gamme dans un hôtel idéalement situé par rapport à Francfort et les thermes. Cela constituait un tour de force étant donné la masse de gens que draine l'oktoberfest durant cette période. Le dîner au restaurant de l'hôtel fut très agréable.On parla de l'organisation de nos prochaines vacances, du travail et de nos projets communs. Claire était resplendissante. Le repas touchant à sa fin je lui demandais si elle était fatiguée et si elle souhaitait se rendre à Francfort. Mais après une semaine de travail et le trajet en voiture nous convînmes qu'il valait mieux rester à l'hôtel. Il s'avéra que l'hôtel disposait d'un magnifique spa pour les résidents. C'était parfait. On alla enfiler nos maillots, les peignoirs de l'hotel et nous nous nous rendîmes sur place pour découvrir un cadre très reposant et des installations magnifiques.
L'utilisation des installations était laissée à la discrétion des pensionnaires de l'hôtel. La majorité des gens étant venus pour l'Oktoberfest et étant 23h passés nous ne decomptâmes pas plus de 5 personnes, 2 couples et un homme d'une soixantaine d'années. Nous nous dirigeâmes vers les jakuzzi après une douche rapide. Nous avions repéré un hammam, un sauna, une piscine ainsi que des douches d'ambiance. Nous profitions pleinement de notre séjour après une longue semaine de travail. Nous parlions à vous basse. Le calme de lieu ainsi que les lumières tamisées offraient une occasion de détente unique. Claire était assise à mes côtés profitant des buses de massages. J'avais laissé ma main négligemment sur le haut de sa cuisse. Nous nous décontractions ainsi lorsqu'un couple décida de nous rejoindre dans ce grand jacuzzi. Il s'agissait d'un couple d'une quarantaine d'années. Ils engagèrent rapidement la conversation lorsqu'ils se rendirent compte que nous étions français, comme eux. Ils venaient pour profiter des fêtes mais aussi des installations thermales de la région. Ils avaient l'habitude de venir dans la région plusieurs fois dans l'année. Ils se debarrassaient de leurs deux enfants et venaient se ressourcer en couple. L'homme, qui se prenommait Marc, était plutôt grand et brun. Il avait le corps d'un sportif. Sa compagne Béatrice,blonde aux cheveux bouclés, était encore une très belle femme malgré les stigmates de ses grossesses. Ses quelques rondeurs, que j'avais pu noter lorsqu'elle était entrer dans le jacuzzi, n'étaient pas désagréables à regarder. Elle avait une belle paire de seins lourds corsetés dans un haut de bikini rose. Béatrice nous louait l'ouverture d'esprit des pays nordiques que l'on retrouvait dans la région lorsqu'un second couple passa. Ils nous firent un discret salut de la tête auquel nous répondirent poliment. La femme, grande et fine, dans la trentaine, avait serré en dessous de ses bras une petite serviette qui lui arrivait en haut des cuisses. Je n'avais pas remarqué de bretelle de maillot de bain. Béatrice nous expliqua qu'il s'agissait justement d'un couple de néerlandais avec qui ils avaient parlé un peu plus tôt et qui utilisaient le sauna et le hammam de manière traditionnelles, c'est à dire completement nus. Marc et Béatrice trouvaient génial le fait de pouvoir pratiquer le nudisme librement en comparaison avec la France où même le monokini disparaissait petit à petit sur les plages. Nous acquiescâmes poliment. Claire nourrissait des complexes malgré son corps magnifique. La taille de ses seins, je le savais, la gênait. Béatrice poirsuivit:
_Je vais d'ailleurs en profiter pour me débarrasser de mon haut de maillot,si ça ne vous derange pas ? J'ai pris du poids et j'ai l'impression de ne plus pouvoir respirer!
Nous la rassurâmes, cela ne nous dérangeait pas. Béatrice joignit dont le geste à la parole, passa les mains derrière le dos et degraffa son haut de bikini. Elle sortit partiellent de l'eau pour poser son haut de maillot sur le côté du jacuzzi. Nous pûmes donc apercevoir seux seins blancs magnifiques bien lourds. Ils semblaient plus que jamais soumis aux lois de la physique et présentaient une légère asymétrie. Je trouvais Béatrice sacrément sexy mais ce qui m'excitait le plus c'était de me demander comment Claire allait réagir. J'avais peur qu'elle ne soit mal à l'aise surtout devant une poitrine si imposante. Mais ma chérie ne semblait pas plus gênée que cela. A mon grand étonnement elle lança même:
_ Et bien, il n'y a pas de raisons, je vais faire la même chose et me mettre à l'aise!
Comme dans un rêve Claire défit le noeud de son haut de maillot pour le retirer. Elle sortit partiellement de l'eau pour ranger son maillot,se couvrant pudiquement la poitrine d'un bras. Elle s'empressa ensuite de se réfugier dans l'eau. J'avais noté que Marc avait suivi l'opération non sans un intérêt certain. La vision de Claire ainsi exposée, la courbe de son dos magnifique avait été à couper le souffle et je comprenais que Marc ai voulu en profiter. Claire semblait à son aise, j'étais aux anges. A un moment donné le programme du jacuzzi arrivant à la fin, les bulles de massage s'arrêterent soudainement. Le corps des deux femmes se dessina nettement sans l'eau transparente. Béatrice se proposa de choisir un nouveau programme pour le jacuzzi. Elle sortit donc la moitié de son corps hors de l'eau et se pencha pour s'affairer sur le tableau de programmation de l'appareil. Je profita du spectacle. Souidain une lumière tamisée s'alluma dans le jacuzzi. Le corps de ma belle apparut distinctement au fond de l'eau. Je devina les deux tentons de ma chérie, je savais que Marc qui lorgnait de notre côté devait les voir aussi. Claire semblait à son aise et ne cachait pas sa poitrine de ses mains. Soudain les turbines de massage se remirent en route et Béatrice nous rejoignit. Nous profitâmes ainsi un petit moment de l'instant. Je laissais toujours négligemment ma main sur le haut de la cuisse de ma chérie, cette dernière se laissait complètement aller. A la fin du programme Marc et Béatrice nous expliquèrent qu'ils allaient aller un peu à la piscine afin de se rafraîchir. Une fois partis nous sortîmes de l'eau également. Claire était ainsi debout seins nus. Je n'en pouvais plus. Elle hésita un bref instant, ramassa son bikini et l'enfila à nouveau. J'étais déçu mais je me dis que cela constituait déjà une bonne première expérience pour Claire. Je ne désespérais pas de pouvoir encore assister à une nouvelle séance d'exhibition. Nous enfilâmes nos peignoirs et nous nous rendîmes au hammam. Personne ne. L'occupait et une demi-obscurité régnait à l'intérieur. Ce fut Claire qui décida d'y rentrer. Nous laissâmes nos peignoirs et serviettes à l'extérieur. Je m'assis sur le banc dur et Claire s'allongea sur le dos, sa tête sur ma cuisse. Elle ferma ses yeux. J'en profitais pour mater ma belle alors qu'elle se laisser ainsi aller dans cette atmosphère chaise et humide. Je repensais à la situation avec Marc et Béatrice. J'avais envie de Claire. Doucement je me mis à caresser son torse puis, face à l'abscence de réaction, je glissa ma main lentement dans son haut de bikini.
Je saisis un de ses mamelons qui réagit immédiatement. Claire a toujours les yeux fermés mais je vois son corps se cambrer doucement. Elle apprécie manifestement mes caresses. Ainsi allongée, l'élastique de son maillot me laisse voir le haut de son mont de venus. Une se ses mains se rapproche imperceptblement de son bas de maillot. Elle relève une se ses jambes. J'ai une envie folle de la caresser. Son mamelon est tout dur dans mes doigts.
Soudain nous entendons des murmures, quelqu'un approche. Une ombre d'avant la porte, je retire doucement et à regret ma main du maillot de ma belle. Le couple, que nous savons être des Pays-Bas grâce à Marc et Béatrice entre silencieusement dans la pièce. Nous nous saluons d'un signe de tête. L'homme et la femme détachent leurs serviettes révélant leurs corps nus, les plient rapidement, les placent sur le banc en face du notre et s'installent dessus. Ils sont tous les deux plutôt grands et maigres. Ils ne semblent avoir aucun problème avec leur nudité. La femme a les seins et les fesses qui tombent mais à un joli visage encadré par des cheveux courts. Elle présente une petite toison pubienne. L'homme ne présente aucun signe de graisse. Son penis au repos est relativement petit, peut être plus petit que le mien, ce qui ne manque pas de me rassurer. Je sais que je suis loin d'être impressionnant à ce niveau là et j'aurais été gêné sur le moment que Claire puisse admirer un engin plus gros que le mien, même au repos.
La vapeur emplit la pièce de plus belle masquant les silhouettes. Je ne peux, maintenant, que deviner la présence de nos deux voisins. C'est plus fort que moi, je déplace très lentement ma main pour de nouveau la glisser dans le haut de bikini de ma belle. Celle-ci ne tente pas de m'en dissuader. La réaction de son mamelon montre qu'elle est pleinement excitée par mes caresses. Je sens son corps se raidir sous l'effet de ma caresse. Claire a toujours été très sensible des seins. Ces yeux sont fermés, un petit sourire s'affiche sur son visage. La vapeur d'eau est desormais tellement épaisse que l'on ne distingue la sortie que grâce au panneau lumineux de sortie au-dessus de la porte. Je sens la poitrine de ma chérie se soulever de manière plus marquée, sûrement du fait de la chaleur suffocante, mais aussi, j'imagine, grâce à l'excitation de mes caresses. J'ai une envie folle d'aller plus loin avec Claire mais je ne veux pas la brusquer de peur qu'elle fasse machine arrière. Je repense à la scène dans le jacuzzi et me remémore le corps de Claire à la vue de nos voisins. Soudain Claire se redresse et m'explique qu'il fait trop chaud et qu'elle n'arrive pas à tenir. Pas de souci pour moi, nous sortons donc tous les deux du hammam laissant nos voisins dans la semi-obscurité et le nuage de vapeur.
À l'extérieur nous croisons Marc et Béatrice qui rentrent dans leur chanbre. Ils nous apprennent qu'ils compte aussi se rendre aux Thermes de Nurberg. Ils sont enchantés, particulièrement Marc j'ai l'impression.
_ C'est un super endroit pour se retrouver, en dehors du temps, on laisse ses soucis dehors et on se fait du bien, nous lâche-t-il dithyrambique.
On convient donc de se retrouver sur place. Ils pensent venir en fin de journée, nous nous arriverons en début d'après midi.
On se sépare et nous nous dirigeons vers les douches thématiques ce qui ne sera pas du luxe compte tenu de notre passage au hammam. Les douches sont plutôt spacieuses, à l'italienne. A l'entrée nous laissons nos peignoirs sur les porte-manteaux prévus à cet effet. Je rentre le premier. Je me retourne et la vois hésiter. Puis, lentement, elle passe la main sans son dos et défait son haut de bikini. Je suis étonné. En rentrant elle m'explique:
_ C'est quand même plus agréable comme ça. Et il n'y a à quasiment plus personne. Je vais profiter qu'ici les mœurs ne soient pas pareils!
Pour rigoler je lui réponds que ça lui permettra de respirer faisant allusion à l'explication de Béatrice.
Nous lançons un programme au hasard. Des jets d'eau dont la température évolue, un jeu de lumières changeantes. Claire défait ses cheveux qui tombent en cascade dans son dos.
_ Mouai, au fait tu as sacrément dû te rincer l'œil tout à l'heure toi ?
Je sens que la question, posée sur le ton de l'humour, traduit une réelle inquiétude de la part de Claire. Je pressens que ce n'est pas moi le réel problème mais son rapport vis-à-vis de son propre corps, et de sa poitrine en particulier. Je sens qu'il faut la rassurer et, si possible, la mettre en confiance.
_Oui, c'est une belle femme tu sais. Mais on ne peut pas la comparer avec toi.
_ Flatteur !
_ Béatrice est marquée par ses grossesses. Elle a de gros seins mais qui tombent un peu et qui ne sont même pas symétriques. Toi par contre tes seins ont une forme parfaite. Tu as les mêmes seins que dans les magazines.
L'eau parcourt notre corps. Nous avons une certaine intimité et en même temps nous sommes dans un lieu public, où nous pourrions être surpris. Claire est dos à moi, face contre la paroi. Elle se retourne et me regarde droit dans les yeux.
_ J'ai une poitrine d'adolescente, me dit-elle tout bas. C'est ridicule pour quelqu'un de mon âge. Et je n'ai pas de forme.
Des bruits de pas, quelqu'un entre dans une douche à proximité de la notre. Claire se retourne vers la paroi. Je jette un petit coup d'œil.
_ Ce n'est que nos amis néerlandais qui se prennent une douche bien méritée après un long passage au hammam.
Je la retourne vers moi.
_ Tu as un corps magnifique, de sportive. Ne vois-tu pas comment les femmes te jalousent ?
_ Mais les hommes préfèrent…
_ Tu as un magnifique bonnet B, lui fis-je en lui caressant du bout des doigts un de ses seins. Si tu te regardes dans une glace tu verras qu'ils sont parfaitement proportionnés. N'as-tu pas vu comment Marc te matait tout à l'heure ?
Elle sait bien que son corps suscite du désir chez les hommes,elle a juste besoin de se l'entendre dire et se sentir rassurée.
_ Tu parles !
_ Si si, il n'arrêtait pas de te mater. Et puis tu as un ventre tellement bien dessiné et une taille de guêpe qui mettent en évidence tes hanches. Il en avait l'eau à la bouche lorsqu'il t'a vu sortir de l'eau. Je pense que Béatrice devait être un peu jalouse.
_ Et toi ça ne te gêne pas qu'on me mate alors ?
_ Tu sais, c'est important pour une femme de se faire désirer. Il n'y a aucun mal à ça. Elle a besoin de se sentir belle. Et moi j'éprouve même du plaisir à te voir être matée. Je te fais confiance,donc c'est OK pour moi.
Un silence. C'est la première fois que je lui dis les choses si clairement. Des voix venant de la douche des néerlandais.
J'en profite pour enfoncer le clou:
_As-tu vu comment était foutue notre voisine tout à l'heure dans le hammam? Pourtant elle ne semblait vraiment pas complexée. Et je peux t'assurer que nombre d'hommes prendraient du plaisir à la regarder. Alors Je te raconte même pas pour toi… Le père Marc doit être en train de penser à toi !
_ Tu parles, il a tout ce qu'il faut avec Béatrice!
Je prends conscience que Claire n'éprouve, à ce moment précis, pas juste le besoin d'être rassurée, mais aussi de se faire dire qu'elle est désirée.
Je suis pris d'une inspiration soudaine. D'un geste qui se veut naturel je fais tomber mon maillot de bain sur les chevilles et le laisse négligemment sur le côté de la cabine de douche.
Claire me regarde, interloquée.
_ Mais qu'est ce que tu fais ?
_ Et bien je me plis aux us et coutumes du coin. Nos amis néerlandais font exactement la même chose dans la cabine à côté.
Elle ne me répond rien, indécise. J'enfonce le clou:
_ Et Béatrice avait raison, on est drôlement mieux sans maillot. Tu devrais faire la même chose, d'autant plus qu'il n'y a quasiment plus personne. Et puis j'ai très envie de pouvoir contempler ce que Marc n'a pu voir tout à l'heure…
Le temps se fige, nous sommes hors du temps. Un souffle d'air tiède est pulsé dans la cabine beignée d'une lumière bleutée. Nous n'entendons que la musique d'ambiance du spa partiellement couverte par le bruit de l'eau qui coule. Claire est dos au mur, face à moi, ses seins nus exposés à quiconque passerait devant notre refuge. Elle se décide et saisit les deux côtés de son maillot de bain pour le faire descendre le long de ses jambes.
Elle le laisse par terre et se redresse se dévoilant ainsi dans le plus simple appareil. Ses 2 petites lèvres fines sans protection m'appellent. Je la dévore des yeux. Qu'est ce que j'aimerais pouvoir faire profiter quelqu'un de la nudité de ma chérie.
_ J'en ai de la chance !
_ Tu crois ? Me répond-elle, mutine.
Je la prends par une main et la retourne doucement face à un côté de la cabine, je parcours de l'autre main, lentement, son dos de haut en bas.
_ Qu'est ce que tu es sexy comme ça ! Ce n'est pas des courbes ça?
Claire se cambre, mettant son adorable cul en arrière. Elle est incendiaire présentée comme cela. La douche a côté de la notre s'éteint, on entend des voix asourdies puis des bruits de pas qui s'éloignent. Nous sommes définitivement seuls.
J'ai une érection comme je n'en ai encore jamais eu. J'introduis une main entre ses cuisses, de l'autre je saisis un bout de ses seins si sensibles. Claire ne peut retenir un petit gémissement alors que je la caresse.
Je m'occupe d'elle ainsi quelques minutes, je sens l'excitation lui faire tourner la tête,elle s'est oubliée, ne fait plus attention à rien d'autre que son plaisir.
_ Prends moi, s'il te plaît! Murmure- t-elle.
Je me glisse alors en elle, elle est humide comme jamais. Là encore elle ne peut réfréner un long gémissement au fûr et à mesure que je prends possession de son intimité. Elle est étroite, c'est un pur bonheur. J'entreprends des va-et-vient en elle, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. J'ai agrippé ses deux hanches et la besogne énergiquement. Je dispose d'une vue panoramique inégalable de sa nuque à son adorable cul. Je repense à notre soirée, à notre rencontre de Marc et Béatrice, de notre conversation et la tension monte encore d'un cran. Les gémissements de Claire se font plus nombreux et plus bruyants maintenant.
Soudain je perçois un mouvement dans mon champ de vision. Un rapide coup d'œil m'apprend que le soixantenaire, que j'avais repéré lorsque nous étions rentrés dans le spa et complètement oublié depuis, est en train de se rincer l'œil caché dans une douche à proximité. Il n'a de visibilité que sur une partie de mon corps en train de donner des coups de hanches à ma Claire. Il doit, par contre, distinctement percevoir les gémissements de plaisir de ma chérie qui est définitivement ailleurs.
Je n'ai plus de limite sur le moment et déplace ma chérie de telle manière à présenter une meilleure vue à notre voyeur. Il peut ainsi nous voir de ¾. J'imagine la vision qu'on lui offre, moi de dos en train de pilonner Claire, elle les deux mains posées sur la cloison, jambes écartées. Je lui lève le bras présentant ainsi la meilleure vision possible du sein de Claire. Elle semble définitivement perdre la tête,elle répète mon prénom en boucle. Je lui susurre des propositions interdites, je fais référence à Marc et son envie de la prendre, à ma place. Je vais exploser. Je la sens défaillir soudainement, elle lâche un long gémissement de plaisir lorsqu'elle atteint l'orgasme. Quasiment à l'unisson j'explose et déverse en elle toute cette tension erotique via de longs jets nerveux.
Nous restons immobiles, un long instant, reprenant nos esprits et notre respiration.
Nous nous essuyons et enfilons nos peignoirs. Je balaye des yeux les alentours et note que mon voyeur a disparu.
Nous rejoignons avec Claire notre chambre main dans la main. Je me rends alors compte du chemin parcouru. Nous avons commencé à explorer de nouvelles sources de plaisirs communes. Il ne s'agit que d'un début cependant et j'entends bien aller plus loin avec ma chérie.
_ C'était une soirée incroyable ! me dit-elle sur l'oreiller.
_ Attends de voir ce que je t'ai préparé demain ma chérie. Tu n'as pas fini d'être surprise