©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#2465891
J'ai pu évoquer ailleurs sur ce forum comment certains événements ont pu amener à m'interroger sur mes envies en général et sur candaulisme en particulier. J'ai d'abord été étonné par l'intensité du plaisir à évoquer des scènes (et quelques photos :x ) qui paraîtront banales à beaucoup d'entre vous.

En imaginant les aventures de Claire et Etienne, j'ai d'abord cherché à me faire plaisir, puis j'ai essayé de creuser mes envies,mes interrogations sans me mettre en danger ou nous mettre en danger. A ce titre, des similitudes avec des personnages réels ne sont, bien entendu, absolument pas fortuites!
Certaines scènes font écho à des souvenirs. Cette histoire c'est un moyen de me replonger dedans et aussi imaginer ce qu'on n'a pu ou pas osé faire.
Lorsque je parle de Claire c'est à ma chérie que je pense. Pour Étienne, je suis moins sûr de moi. Da's qu'elle mesure me ressemble-t-il ? J' imagine que là où je suis plus prudent et protecteur vis à vis de mon couple, Étienne, lui, va d'abord chercher à vivre l'expérience ou le fantasme jusqu'au bout malgré sa peur. On partage néanmoins un point commun tous les deux: notre passion pour la femme de notre vie.

Thomas, qui ne devait être au début qu'un personnage en arrière-plan, mériterait certainement à ce que l'on s'attarde plus sur lui par la suite.

L'histoire s'arrête à un moment important pour moi qui correspond à un de mes propres fantasmes. J'hésite sur la direction à faire prendre au récit. Je pourrais peut être retenir des idées qui pourraient m'être soumises ou encore réaliser des variantes :?

On fait ce qu'on veut, ce ne sont que des histoires !
:cuck:
#2465894
Il est temps pour moi de m’arrêter pour faire un peu d’introspection. Parfois on court longtemps après quelque chose et lorsqu’on l’obtient avec difficultés on se rend compte que l’on n'est plus très sûr de l’avoir vraiment voulu. Est-ce que le prix payé n’est pas trop élevé ?
Je m'appelle Etienne, tout juste la trentaine, une bonne situation, 1m75 avec un physique banal.
Mais on peut dire que je suis un chanceux car j’ai surtout une compagne au physique parfait. Très mince, 1m65, elle présente un physique harmonieux. Pratiquant la danse depuis toute petite elle a de longues jambes et une taille très fine. Un petit bonnet B mais des seins magnifiques et bien fermes.
Mais Claire dispose surtout d’un visage de princesse un peu timide avec des yeux verts tirant sur le bleu et encadrés de longs cheveux châtains clairs. Suivre du regard sa longue chevelure descendre le long de son dos est un plaisir sans fin, et l’occasion de s’attarder sur sa chute de reins dessinée par les heures de sport.
Elle a le même âge que moi. En couple depuis 5 ans nous n’avons pas eu d’enfants. Nous nous sommes concentrés sur nos carrières respectives puis Claire a décidé de changer d’orientation professionnelle. Après avoir travaillé dans l’industrie textile elle a voulu enseigner. Elle a donc trouvé un poste de professeur pour des formations dans le textile pour jeunes adultes.

C’est sa deuxième rentrée. Je vous avoue que ça a été pour moi source d’inquiétude de savoir ma petite chérie confrontée à une classe entière. Mais il s’avère finalement que son public, en majorité féminin, est attentif et plût facile à encadrer. Elle me parle longuement de son nouveau travail. Je sais qu’il y a quelques garçons également qui suivent ses cours. Ce qui ne peut qu’être un détail pour vous revêt pour moi une certaine importance. Car depuis que nous nous sommes rencontrés je suis tiraillé entre la jalousie et le plaisir de la voir belle et observée.

Claire est plutôt prude. Entre nous rien ne sort de l’ordinaire. Très coquette, elle adore se faire belle mais ne dépasse jamais les limites de la bienséance. Tous les matins c’est avec un certain plaisir que je la regarde se préparer. Je guette les moindres détails, un chemisier qui s’ouvre laissant voir furtivement un morceau de dentelle, un haut un peu échancré, une robe fine laissant deviner ses courbes lorsqu’elle passe devant une fenêtre …

Je passe ensuite ma journée à l’imaginer devant ses élèves qui ont tout le loisir, les garçons surtout, de l’épier dans les moindres détails.
Je lui fais remarquer de temps en temps que certains de ses élèves, belle comme elle est, doivent la reluquer éhontément. Elle me traite généralement d’imbécile le sourire en coin mais elle sait que ces jeunes adultes doivent pour certains fantasmer sur elle. C’est quelque chose qui m’excite au plus haut point; la savoir l’objet de leurs désirs coupables, à la merci de leurs regards inquisiteurs, à la deshabiller du regard toute la journée.
Elle n’avait jusqu’alors pas eu à gérer d’élèves trop ardents. Mais elle me confia un jour qu’un de ses élèves, Thomas, la vingtaine, ne cessait de la solliciter à la fin des cours utilisant les motifs les plus divers. Il était resté jusqu'alors à sa place. Elle n’était pas rentrée dans les détails mais je devinais que son regard sur ma chérie était très peu discret. Lorsque Claire m’expliquait que Thomas était encore venu lui parler à la fin des cours je ne pouvais m’empêcher de passer en revue la tenue de ma chérie et imaginer ce que le regard lubrique du jeune homme avait pu saisir. Sa nuque fine, la naissance des seins lorsqu’elle devait se pencher pour prendre sa sacoche ou encore ses petites hanches adorablement moulées dans cette petite jupe. Mon imagination m’emmenait sans relâche dans cette salle de classe et j’imaginais alors ce Thomas espionner ma petite chérie, la reluquer de la tête aux pieds.

Notre quotidien était jusque-là parfaitement réglé, je m’étais remis au foot depuis quelques semaines. J’avais suivi des collègues et nous nous retrouvions à l'entraînement après le travail. Un jour que je me changeais dans le vestiaire après l’entrainement j’entendis un de mes coéquipiers expliquer qu’il suivait des cours dans l’établissement X. Il s’agissait de l’établissement dans lequel Claire enseignait. Je connaissais le joueur en question sous le prénom de Thomas justement. Il s’agissait d’un garçon grand, plus d’1 m80 qui faisait partie de nos meilleurs joueurs. Je ne perdis pas une miette de la conversation. Il suivait la formation prodiguée par ma copine. Il était pressé de finir pour commencer à travailler. Il aimait bien ce qu’il étudiait et la forte proportion de filles qui suivait les cours était quelque chose de positif à l’entendre. Les profs étaient plutôt jeunes et savaient de quoi ils parlaient ce qui le changeait des autres formations qu’il avait entamées auparavant. Je n’en perdais pas une miette, il s’agissait bien du fameux Thomas qui prenait plaisir à solliciter régulièrement Claire pour le seul plaisir d’être avec elle. J’étais donc parvenu à enfin mettre un visage sur ce garçon.
Monsieur, glissements, jc21 et 2 autres a liké
#2465897
Les non sans éprouver un sentiment de honte coupable. Car il faut dire qu’il en imposait surtout par rapport à moi et malgré son jeune âge. Il était musclé et n’avait pas un gramme de graisse alors que je commençais à arborer des petits bourrelets disgracieux, c’était d’ailleurs la raison n° 1 de ma reprise du sport. Alors que je me faisais toujours discret lors du passage des douches, attendant le dernier moment pour enlever mon caleçon et me mettre sous une douche dans un coin lui se foutait naturellement à poil sans aucune gêne et menant généralement la conversation avec toute l’équipe de la douche à la vue de tous. Son sexe au repos était long et pendait orgueilleusement au milieu d’une touffe hirsute. Il n’avait quasiment pas de poils sur le reste du corps. Il transpirait la forme et était sûr de lui malgré son jeune âge.

Le savoir mater Claire m’excitait encore plus, l’idée de son regard parcourir le corps de ma copine m’excitait fortement mais j’éprouvais également une pointe de jalousie vis-à-vis de ce garçon plus jeune et au physique plus attirant que le mien. Je fis petit à petit connaissance avec lui. J’éprouvais le besoin de le savoir mater Claire et en même temps j’avais une peur folle de perdre le contrôle. Il me fît des confidences sur ses aventures, il faisait son expérience mais ne semblait jamais totalement satisfait. Il m’expliqua un jour qu’il préférait les femmes plus âgées, il trouvait les filles de son âge ennuyeuses. Il avait par contre des vues sur une femme plus âgée, mais c’était sans espoir pour lui.
Elle lui faisait tourner la tête, c’était l’une des plus belles filles qu’il n’avait jamais croisé.

_Tu sais, lui répondis-je dans un élan, il ne faut pas hésiter à tenter ta chance. Elle peut paraître inabordable mais ça ne coûte rien d’essayer ! Plein de femmes sont malheureuses en couple, et sont prêtes à saisir une occasion qui se présenterait.
_ T’as raison me fit-il en riant. En plus elle n’a pas l’air de se marrer tous les jours. Ca vaut peut être le coup de tenter l’affaire. Je te tiendrai au courant.

Je n’en revenais pas, j’étais en train de persuader ce jeune mec de draguer ma copine.
Les semaines qui passèrent je pris l’habitude de discuter avec Thomas. Il me parlait de temps en temps de la « milf » qu’il n’arrêtait pas de zieuter. Je faisais exprès de ne pas lui demander où il la voyait et dans quel cadre. Je trouvais ma situation ambigüe et je voulais pouvoir paraître de bonne foi le jour où il découvrirait que j’étais le compagnon de la nénette sur laquelle il fantasmait. C’était devenu notre sujet de blague, il me racontait la dernière tenue de son « amoureuse » avec force de détails. Cela me retournait les sangs car je voyais bien à chaque fois de qu’elles tenues il parlait et je me représentais très bien le tableau qu’il me dépeignait avec force de détails. Je faisais l’amour à Claire frénétiquement le soir même m, me l’imaginant dans sa salle de classe, nue, offerte à la vue de Thomas, son sexe imposant en érection.

Elle me parlait encore de temps en temps de Thomas, la façon dont il l’avait retenu à la fin d’un cours ou à l’entrée de la salle des profs. Je prenais çà à la rigolade. Elle le prenait également avec le sourire. Je n’avais de cesse de la pousser à s’habiller plus sexy. Elle en avait conscience et s’en amusait. Elle concédait un geste de temps en temps, choisissait la robe un peu plus courte que je lui avais conseillé ou mettait un petit soutien-gorge qui transparaissait sous son chemisier. C’était toujours très sage mais j’imaginais l’effet procuré sur ses élèves, un en particulier.


Un jour la situation bascula. Nous venions de terminer l’entrainement de foot. Nous étions en plein mouvement social des professeurs contre un énième projet de réforme de l’éducation nationale. J’étais en train de me déshabiller tranquillement lorsqu’un de mes collègues du boulot, qui connaissait également Claire, m’apostropha :

_ Dis donc Etienne, c’est Claire qui va encore se la couler douce. Ils doivent encore faire la grève de son côté non ? Le mouvement est suivi dans son établissement ?

Je sentais du coin de l’œil le regard de Thomas, assis pas très loin sur un banc.
_ Je ne sais pas, bredouillai-je.

Thomas se mêla à la conversation :

_ J’étudie là-bas et il n’y a pas beaucoup de grévistes. Il s’agit de professeurs venant du privé, c’est peut-être une raison.
Le collègue rebondit dans la foulée :
_ Tiens du dois connaître la copine d’Etienne, Claire, elle est prof là-bas ? Dis Etienne, elle fait quoi déjà Claire ?
_ Heu, c’est en rapport avec les matériaux textiles mais je ne suis pas foutu de rentrer dans les détails.

_ Dis-donc Thomas, tu ne la connaitrais pas par hasard Claire ?
J’aurais étranglé ce gros balourd.

_ Non, répondit-il sans hésitation, ça ne me dit rien.

_ Ah, poursuivit l’autre qui se lança dans la description de Claire.

J’étais décontenancé. Je n’appréciais pas du tout l’idée que Thomas me connaisse personnellement, j’avais l’impression qu’il rentrait dans notre intimité en faisant le lien entre moi et ma copine, sa prof. Je fuyais la conversation et me dirigeai vers les douches. Je mis machinalement ma serviette le plus prêt possible de l’entrée des douches et retirai mon caleçon. Je m’installai ensuite sous la douche la plus éloignée de l’entrée. L’eau n’y était pas la plus chaude, elle était même presque froide, mais j’étais complètement de dos à l’entrée et aux coéquipiers du club qui se lavaient dans les douches communes à l’ancienne. J’aurais bien aimé garder mon caleçon mais tous les autres l’enlevaient ce qui n’aurait pas manqué d’attirer l’attention ainsi que les moqueries. J’étais en train de faire le point sur la situation lorsque j’entendis la voix de Thomas derrière moi :

_ Alors comme ca ta copine est prof dans le même bahut que moi ? C’est drôle ca !

Je ne l’avais pas entendu venir. Il s’installa dans une douche à ma gauche, le même mur que moi.

_ Oui c’est rigolo, mais tu es sûr de ne l’avoir jamais rencontrée ?

_ Non, comme je le disais à Fred, ca ne me dit rien.

Il mentait sans vergogne. Par contre je ne savais pas trop s’il savait que je le savais. Sur le coup je regrettai d’être là. Il était tourné vers moi, il me parlait de l’ambiance dans l’établissement, des débats sur le fait de suivre ou non le mouvement de grève.

Je n’écoutai que d’une oreille, je lui répondais mécaniquement. Je m’étais tourné de ¾ par rapport à lui. Je ne voulais pas lui tourner le dos complètement pour ne pas lui montrer ma gène. Je sentais son regard sur moi alors qu’il me parlait. J’avais la désagréable impression qu’il était venu à côté de moi pour me jauger.

Je termina le plus vite possible. Alors que je m’éloignais frigorifié il m’interpella,

_ Attends Etienne, faudra qu’on aille se boire un verre un de ces jours, t’en penses quoi ?
Je me retournai piteusement pour lui répondre. C’était moi qui avait l’air d’un enfant en face de lui, il me parlait son regard posé sur mon anatomie ridiculeusement ratatinée suite au passage sous l’eau froide. Il avait un petit sourire en coin, debout devant moi, les jambes écartés et sa virilité fièrement exhibée. Il pensait à Claire qui lui paraissait certainement beaucoup moins inaccessible. J’avais envie de rentrer sous terre et en même temps j’essayais de faire bonne figure.

Dis dons Etienne, on dirait que t’as un peu froid finit-il par dire. T’as pas perdu quelque chose ?
Je dus me résoudre à battre en retraite, complètement humilié. Je me remémorai souvent cet épisode les semaines qui suivirent. A mon grand étonnement, ce sentiment d’humiliation n’était pas désagréable.
Monsieur, zztop, glissements et 4 autres a liké
#2465899
Les jours se suivaient.
Avec Claire nous continuions à filer le parfait amour. Mais le travail était une source de crispations entre nous. Nous nous impliquions alors énormément dans nos jobs respectifs.
Claire faisait énorment d'heures et s'investissait à fond pour mener à bien son projet de partenariat avec ce groupe industriel. Le Groupe avait mis à disposition des étudiants des machines afin de mettre en place une unité de production spécialisée dans les petites séries de textiles dits techniques hautement spécialisés. Claire était passionnée et me parlait longuement de son travail. Ces textiles pouvaient avoir des propriétés multiples et étaient utilisés dans des domaines très variés: l'aéronautique, l'automobile voire même le bâtiment. Voilà 1 an qu'elle travaillait sur le projet et espérait être en mesure de produire les premières productions avec ses étudiants d'ici quelques semaines. Les derniers réglages lui prenaient énormément de temps.
Nous étions alors début octobre. Cette année scolaire s'annonçait encore épuisante pour Claire qui ne se ménageait pas. Nous étions un mercredi et je croisais le soir Claire qui rentrait tout juste à la maison alors que je me rendais à mon entraînement de foot de 20h30. Il était 20h et je lui faisais remarqué ses horaires.
_ Tu es mal placé pour me faire des reproches, je te signale que tu fais aussi des horaires à rallonge,me rétorqua-t-elle manifestement excédée.
_ Moi je me débrouille pour terminer un peu plus tôt pour faire du sport ou nous organiser des activités. Toi tu es incapable de t'amenager du temps pour nous…
_ Mais si je peux m'arranger quand je veux, il suffit de prevoir.
_ Et bien demain soir par exemple, on se retrouve à la maison pour 18h30. Je parie que tu es incapable de ne pas passer ta soirée au boulot!
_ Bien sûr que si ! Me fit-elle. Tu es de mauvaise foi, demain je rentre tôt, aucun problème pour moi…
Elle était fatiguée et ne voulait pas convenir qu'elle serait incapable de rentrer plus tôt, même avec la meilleure foi du monde. Je sentis qu'elle ne pourrait pas revenir sur sa parole. J'eus un éclair et sans réfléchir lança:
_ 3 gages!
Elle tressaillit.
_ Comment ça ?
_ Tu m'as très bien compris.
_ Attends je ne vais pas accepter si je ne sais pas de quoi il s'agit. Il n'est pas question que je…
Je la coupe:
_ Tu sais que tu ne vas pas arriver à te libérer pour demain. C'est pour cela que tu négocies. Si tu es sincère, tu acceptes et tu t'organises pour être là à 18h30 demain soir afin que l'on passe une soirée ensemble tranquille.
Je ne lui avais laissé aucune chance.
_ D'accord, me fit-elle en haussant les épaules. Celui qui n'est pas là à 18h30 demain soir doit 3 gages à l'autre. Fais attention, je ne compte pas te laisser gagner. Je sais que tu as des idées derrière la tête en ce moment mais elles vont rester au stade d'idées. Tu peux aller jouer au foot.

On se quittait en froid ce soir là. A l'entraînement j'essayais de limiter la casse, je n'avais pas la tête à jouer. J'étais préoccupé par cette histoire de pari. Je ne comprenais pas pourquoi cela revêtait une telle importance pour moi. Ce ne devait qu'être un jeu mais je sentais confusément que j'avais vraiment envie de gagner. De retour dans le vestiaire je retrouvais Thomas en grande conversation avec d'autres joueurs faisant partie des plus jeunes de l'équipe. Ils discutaient l'organisation d'une virée du côté de Francfort pour célébrer la fête de la bière. Je trouvais l'idée de passer le week-end en Allemagne intéressante. Thomas se retourna vers moi et me demanda:
_ Dis donc Etienne ça te dirait de venir avec nous ? C'est un sacré truc à faire.
_ Je l'ai déjà faite il y a quelques années mais j'aimerais bien la refaire un jour. Mais bon la gestion de l'emploi du temps est compliquée en ce moment pour moi.
Sans réfléchir je lui expliqua les horaires de Claire, la difficulté de prendre la route un vendredi en fin d'après midi pour arriver dans la soirée. Je lui parla du pari passé avec Claire. Je sentais que je dépassais une frontière en faisant rentrer Thomas dans notre intimité.
_Tu veux dire que si ta copine rentre un peu plus tard demain c'est toi qui deviens le chef à la maison c'est ça ?
_ En gros oui.
_Attends je vais regarder ce que je peux faire. Retarder un prof ça ne doit pas être trop compliqué. Elle s'occupe de qu'elle formation déjà ?
Je le sentais concerné pas mon histoire de pari mais je ne comprenais pas trop pourquoi. Je rentrais ce soir là un peu inquiet. J'étais le propre spectateur de l'ambivalence de mes sentiments. Je prenais un plaisir coupable à faire rentrer Thomas, étudiant de Claire, dans l'intimité de notre couple. D'autant plus qu'il en pinçait manifestement pour elle, d'après Claire et de ce qu'il m'avait dit. Je sentais le danger, et je m'en voulais de l'emprise que ce gamin avait sur moi.
Rentré à la maison je retrouvais Claire de meilleure humeur et encline à faire la paix. Les disputes ont ce point positif qu'elles se règlent souvent sur l'oreiller. Comme souvent je me plongeais dans mes fantasmes alors que je faisais l'amour à Claire. Je l'imagine souvent nue devant des témoins dans des situations diverses et variées. Dans mes rêveries elle subit souvent ces situations, parfois elle les génère et en tire du plaisir. Cette fois ci j'imaginais Claire complètement nue dans une salle de classe. Devant elle Thomas qui la dévorait du regard. Ses longs cheveux devalaient dans son dos. Sa petite poitrine nue, bien dessinée, était complètement exposée. Ses bras pendaient le long du corps et n'offraient aucune protection aux regards lubriques de Thomas. Sa seule fantaisie était le petit diamant à son nombril. Sa petite chatte complètement rasée était aussi étroite qu'elle en avait l'air, je le savais. Elle pourrait difficilement accueillir un membre aussi gros que celui de Thomas même au repos. Son corps de sportive, sans défaut, était ainsi complètement exhibé. Je m'imaginais cette situation comme la conséquence d'un gage que je lui avais imposé. Thomas s'approcha d'elle avec assurance. Il était lui aussi nu. J'imaginais Claire tétanisée pas la vue de cette longue tige, trônant au milieu de poils pubiens drus et noirs. Les attributs de Thomas tranchaient avec la jeunesse de son visage. Mais Claire ressemblait à une petite fille devant Thomas qui la dominait de toute sa hauteur. Il avança la main vers sa poitrine, certainement pour saisir sans aucun gêne un des adorables seins de Claire. Celle-ci ne bougeait pas, ses yeux passant de la main de Thomas à son long sexe, tellement plus long que le mien. Je reviens un peu à la réalité en entendant, comme venant de très loin, les gémissements de Claire. J'accelera alors le mouvement de mes hanches au moment où Thomas allait se saisir du sein sans défense de ma chérie. Claire redoubla alors ses gémissement, je fus incapable de me retenir et explosa alors en elle en longs jets et nous nous partîmes tous les deux, simultanément emportés dans dans un orgasme commun.
Monsieur, zztop, jc21 et 2 autres a liké
#2465908
Le lendemain matin je suivais comme d'habitude avec attention les préparatifs de ma belle pour se rendre au travail. Je prenais des photos pour les retoucher plus tard. Ma Claire semblait aimer être le sujet de l'objectif. Je m'excitais à imaginer à les envoyer à des inconnus sur internet ou même à Thomas. Claire choisît ce matin là un emsemble de sous-vêtements verts composé d'un tanga ainsi que d'un soutien-gorge en dentelle.
Ce tanga lui faisait un cul divin. Nous bénéficions, comme souvent ces dernières années, d'un automne très doux. Elle mit donc un pantalon en lin de couleur claire et présentant une taille haute mettant en exergue la courbure de sa croupe. Elle opta pour un chemisier blanc en soie très près du corps. Son maquillage était très discret et elle choisit de ramener sa longue chevelure auburn en chignon qu'elle attacha avec un long bâtonnet en bois. Elle choisit pour seuls bijoux une paire de boucles d'oreille créoles fines et brillantes. L'ensemble était très sage mais laissait deviner son corps fin et tellement appétissant. Comme d'habitude je me demanda si tous les étudiants de Claire la couvaient du regard comme je le faisais. Je me fis particulièrement gentil ce matin là. Claire enfila une petite veste blazer et se retourna vers moi avant de partir.
_N'espère pas arriver à me faire oublier notre petit pari, me lança-t-elle avant de partir. Tu as intérêt à être là ce soir pour 18h30 sinon gare à toi !
Non non je n'avais pas oublié, elle pouvait en être sûre. Nous nous embrassâmes langoureusement et nous souhaitâmes une très bonne journée. Les heures défilèrent lentement ce jour là. J'imaginai Claire en cours, Thomas la couvant du regard. J'expediai ce jour là mes dossiers pour finir le travail à 17h00, un horaire d'employé municipal. J'arrivai à la maison à 17h30 et me mis à préparer un aperitif dînatoire. Je comptais bien mettre Claire dans les meilleurs dispositions. 17h57. Sms de Claire:
_ Coucou mon chéri, j'espère que tu ne vas pas oublier de rentrer tôt ce soir . Je pars d'ici 5 minutes.
Mauvaise nouvelle: Claire n'ayant qu'un petit quart d'heure de trajet pour rentrer à la maison, elle a donc toutes les chances d'être dans les temps. Je décide de ne pas lui mettre la pression en lui affirmant que je pars à peine du travail.
_ OK, attention à toi si tu es en retard lol À tout à l'heure
De mon côté je décide d'aller me prendre une douche.
Une fois fini je sors de la salle de bain et regarde mon portable. 18h16 et aucune nouvelle de Claire. Elle ne devrait pas tarder à apparaître au portail de la maison. Je navigue un peu sur internet, un plan germe tout doucement mais qui risque que de ne pas se réaliser si Claire rentre pour 18h30. Je laisse divaguer mes pensées.
Ça y est il est 18h25! Plus que 5 minutes. Dans son dernier message elle disait être sur le point de partir. Que s'est il passé ? J'essaie de l'appeler, sans succès. Ça y est je m'inquiète. J'ai le pressentiment que Thomas est pour quelque chose dans le retard de Claire. Je voulais tellement gagner mais je regrette maintenant. On a échange nos numéros de portable avec Thomas mais je n'ose pas le joindre, j'ai peur de montrer mon inquiétude.
De longues minutes passent. 18h44. Un message. Je sursaute. Il s'agit de Thomas.
_ Salut Étienne, tu dois être content te voilà libre de choisir le programme du week-end lol
Je réfléchis un peu avant de repondre:
_ Oui c'est cool, j'étais justement en train de réfléchir à ce que j'allais faire
Quelques minutes passent, je me retiens de le relancer. Je me jette sur son message:
_Ok, c'est cool si vous pouvez venir ce week-end. Ça va être génial. Tiens moi au courant surtout.
Je note qu'il part du principe que je vais venir avec Claire mais il est hors de question qu'elle découvre que j'entretiens des contacts avec Thomas. Je change de sujet:
_ Pas de problème. Mais Claire rentre bientôt?
La réponse arrive rapidement:
_ Oui oui ce ne devrait plus tarder maintenant. Mais elle a payé de sa personne :P
Ma gorge se noue. Que veut-il dire ? Un message arrive dans la foulée. Il s'agit d'une photo. Claire est au milieu d'un petit groupe d'étudiants dans ce qui semble être un atelier. Ils sont tous complètement trempés mais c'est Claire que l'ont voit. Le chemisier est collé à sa peu dévoilant son soutien-gorge en dentelles. Le niveau de détails est incroyable. Consciente de sa nudité, Claire a détaché sa longue chevelure pour la faire retomber de part et d'autre sur sa poitrine. Elle est en train de montrer du doigt une machine à un élève. Les autres élèves s'affairent autour d'elle avec des raclettes sur le sol détrempé. Un érotisme intense se dégage de cette photo.
Je lui reponds:
_ Mais qu'est ce qui s' est passé ?
_ Oh 3 X rien. Des Élèves qui bossaient sur le projet sont venus chercher ta copine au moment où elle allait partir. Ils lui ont signalé un pb avec une machine. Elle est allée vite fait voir ce qu'il se passait et le dispositif d'extinction incendie s'est mis en route alors qu'elle travaillait sur la machine. Mdr !
Je m'en veux des soucis que j'ai créé à Claire, car je sais que c'est l'œuvre de Thomas.
Je luis ecris:
_ J'imagine que ce petit contretemps est grâce à toi… J'espère que tu ne vas pas avoir de pb :?
La réponse de Thomas ne tarde pas:
_ Pas de pb, ça me fait plaisir de t'aider. Tu me redevras ça. Et puis j'ai pu profiter du spectacle de miss T-shirt mouillé :x Le message est ensuite rempli de smileys équivoques, des étoiles dans les yeux.
Je n'ai pas le temps de répondre que je reçois une nouvelle photo.
La photo a manifestement été prise avant la première.
Claire est prise de ¾,sur la pointe des pieds, la tête en arrière et les bras en hauteur. Elle semble être en train de fermer la vanne d'une machine. Ses longs cheveux n'ont pas encore été ramenés en avant. Elle est détrempée. Son chemisier tout fin est presque invisible tant il colle à la peau. Son soutien gorge ressort quant à lui parfaitement, moulant sa poitrine. Son pantalon est également détrempé laissant apparaître la forme de son petit tanga. Je suis estomaqué par la nudité de Claire. A ses côtés des étudiantes détrempées elles aussi.
Je reprends mes esprits et relis le dernier message de Thomas. Il fait référence à une dette que je lui dois. Je n'aime pas ça. Je lui réponds:
_ Veinard, tu as bien du en profiter avec toutes tes copines détrempées ?
_ Bof il n'y en avait qu'une qui m'intéresse vraiment... Mais le spectacle vaut le coup, elle est drôlement sexy :x
J'ai bien conscience que Thomas fait référence à Claire, sa professeur et qu'il ne me respecte pas beaucoup.
Je préfère changer de sujet que de le lui faire remarquer:
_ Et comment ça se passe avec la panne ? J'espère que Claire ne va pas rentrer trop énervée…
10 minutes passent et je reçois une nouvelle photo accompagnée du commentaire: ça va on ne devrait plus tarder.
Claire est avec des élèves tout sourire et regarde d'autres étudiants éponger le sol. Elle est toujours détrempée mais à enfilé son petit blazer. Elle semble avoir retiré son chemisier. Le blazer très échancré laisse donc apparaître une grande partie de sa peau de pêche. Je distingue le regard d'un des élèves mâles en train de logner sur les fesses de ma chérie.
Je zoome sur la photo. Je ne distingue pas la trace du soutien-gorge. L'a t elle retiré étant mouillé? Dans qu'elles circonstances a t elle pu se changer avec tous ses étudiants autour d' elle ? Je ne vois pas sa blouse de travail qu'elle met à l'atelier. Certainement détrempée elle aussi. C'est plus fort que moi, je demande à Thomas:
_ Dis donc j'ai loupé un épisode ?
La réponse ne se fait pas attendre:
_ Oui on a trouvé de quoi s'essuyer et on s'est changé dans les salles...
_ OK merci pour les infos. Préviens moi juste quand vous rentrez.
5 bones minutes passent avant que je ne reçoive un SMS, de Claire cette fois-ci:
_ Dsl mon chéri, j'ai eu un sacré contre-temps


... Qu'elle soiree :( Tu m'en veux, je le sais. Je vais essayer de me faire pardonner! À tout à l'heure.
Je m'en veux pour Claire. Je lui réponds qu'il n'y a pas de souci et qu'elle prenne son temps pour rentrer. Mais je sais qu'elle a des principes et respectera les gages que je vais lui donner.
Un nouveau message de Thomas m'interrompt dans mes pensées. Encore une photo avec le commentaire "tout est en ordre on y va". Claire est tout sourire au milieu du groupe d'une dizaine d'étudiants. Que 2 garçons, torses nus,, le reste des filles. Thomas n'apparaît pas, c'est lui qui doit prendre la photo. Tout le monde prend la pose avec le sourire. Tout le monde a les cheveux mouillés. Certaines filles sont en soutien-gorge ou on enfilé leurs blouses d'atelier. L'ambiance semble être à la franche rigolade et tranche avec les premières photos.
Claire a mis les mains sur les épaules des deux étudiantes à sa gauche et sa droite. Se faisant, elle a écarté les pans de son blazer laissant apparaître la naissance de ses seins. Je zoome sur la photo. Les boutons de son blazer se sont écartés sous la pression dévoilant ainsi la peau nue du torse de ma belle. Je ne vois pas la trace du soutien-gorge. Elle a dû le retirer. Je ne reviens pas de son audace. Elle a l'air vraiment contente, certainement soulagée d'avoir réglé le problème.
Nouveau message de Thomas:
_ On a tout rangé, j'y vais. Je suis crevé mais ça valait le coup. Je me suis bien rincé l'oeil :x j'ai pu avoir un aperçu des petits trésors cachés que je convoite depuis un bout de temps 8-) Surtout on se tient au courant pour le week-end… et profite bien de tes gages :cuck:
Je lui réponds machinalement. Je constate qu'une limite est nouvelle fois franchie entre nous. Il mate ma copine, il sait que je le sais et il m'en parle. Cet irrespect m'excite.
Je suis toujours plongé dans les photos envoyées par Thomas lorsque Claire rentre enfin à la maison. Je me précipité vers elle. Elle a l'air fatigué mais semble étrangement contente. Ses vêtements sont toujours humides. Elle enlève un trench qu'elle avait à l'école et dévoile son blazer. Dans le mouvement je ne perçois pas de soutien gorge et une surface importante de peau est dévoilée. Elle me raconte comment, au moment où elle partait, des élèves qui travaillaient sur des réglages dans l'atelier sont venus la prévenir qu'une machine tournait anormalement. Inquiète, elle était allée voir de quoi il retournait. Alors qu'elle avait identifié l'origine du problème, une erreur de réglage incompréhensible, l'alarme incendie et le système d'extinction à eau s'étaient allumés. Heureusement les tableaux électriques étaient bien protégés et le système s'était allumé de manière très localisée. Au final elle était contente de la réaction de ses étudiants et de leur engagement. Elle pensait que cet péripétie constituerait un bon souvenir pour tout le monde finalement.
Elle ne croyait pas si bien dire. Alors qu'elle me parlait elle retira son blazer dévoilant sa poitrine nue.J'imagina ses étudiants, surtout Thomas, en train de contempler son corps si sexy. Elle vit ma tête. Elle m'expliqua qu'elle avait retiré son chemisier et son soutien-gorge à l'écart dans un bureau car porter ses vêtements humides était bien trop désagréable.
Je me montra taquin:
_ Ce n'est pas de ta faute mais tu es encore rentrée super tard ! Tu me dois 3 gages.
_ Je suis désolé, je vais essayer de me rattraper.
_ J'y compte bien. Nous sommes jeudi soir, demain tu essayes vraiment de terminer plus tôt car on a 2h30 de route.
_ Ah bon et on va où ?
_ A Francfort.
_ Tu as organisé un week-end ? Mais c'est super ca! me lança-t-elle en se jetant dans mes bras. Ça va être l'occasion de nous retrouver tous les deux et de se faire plaisir me susurra-t-elle.
_Mais j'y compte bien…
Monsieur, zztop, jc21 et 3 autres a liké
#2465909
Le lendemain Thomas me relança tout la journée pour savoir si nous nous joignions à leur week end à Francfort. Il se faisait plutôt insistant et ça m'inquiétait. J'avais peur de perdre le contrôle de la situation.
Je lui répondis en milieu d'après-midi:
_ Salut Thomas ! On part ce soir du côté de Francfort mais ce ne sera pas pour profiter de l'Oktober fest.
_ :?
_ On va passer la journée de samedi au centre thermal de Nurberg, à 20min de Francfort. On va se reposer comme ça
Thomas tenta de me convaincre de participer à l'oktoberfest. J'imagine qu'il avait une idée derrière la tête. Puis il se ravisa d'un coup, trouvant que cela pouvait être une bonne idée pour nous deux au final. Je convaincs avec lui que l'on se croiserait peut être le samedi soir. Mais en réalité je ne comptais pas que Claire apprenne que je connaissais Thomas.

Au final nous réussîmes à partir tôt en fin d'après midi pour arriver vers 21h30 sur les lieux. L'idée de passer la frontière pour le week end était particulièrement dépaysant et Claire était enchantée. Nous avions été chanceux: j'étais parvenu à réserver plus tôt dans la journée une chambre haut de gamme dans un hôtel idéalement situé par rapport à Francfort et les thermes. Cela constituait un tour de force étant donné la masse de gens que draine l'oktoberfest durant cette période. Le dîner au restaurant de l'hôtel fut très agréable.On parla de l'organisation de nos prochaines vacances, du travail et de nos projets communs. Claire était resplendissante. Le repas touchant à sa fin je lui demandais si elle était fatiguée et si elle souhaitait se rendre à Francfort. Mais après une semaine de travail et le trajet en voiture nous convînmes qu'il valait mieux rester à l'hôtel. Il s'avéra que l'hôtel disposait d'un magnifique spa pour les résidents. C'était parfait. On alla enfiler nos maillots, les peignoirs de l'hotel et nous nous nous rendîmes sur place pour découvrir un cadre très reposant et des installations magnifiques.

L'utilisation des installations était laissée à la discrétion des pensionnaires de l'hôtel. La majorité des gens étant venus pour l'Oktoberfest et étant 23h passés nous ne decomptâmes pas plus de 5 personnes, 2 couples et un homme d'une soixantaine d'années. Nous nous dirigeâmes vers les jakuzzi après une douche rapide. Nous avions repéré un hammam, un sauna, une piscine ainsi que des douches d'ambiance. Nous profitions pleinement de notre séjour après une longue semaine de travail. Nous parlions à vous basse. Le calme de lieu ainsi que les lumières tamisées offraient une occasion de détente unique. Claire était assise à mes côtés profitant des buses de massages. J'avais laissé ma main négligemment sur le haut de sa cuisse. Nous nous décontractions ainsi lorsqu'un couple décida de nous rejoindre dans ce grand jacuzzi. Il s'agissait d'un couple d'une quarantaine d'années. Ils engagèrent rapidement la conversation lorsqu'ils se rendirent compte que nous étions français, comme eux. Ils venaient pour profiter des fêtes mais aussi des installations thermales de la région. Ils avaient l'habitude de venir dans la région plusieurs fois dans l'année. Ils se debarrassaient de leurs deux enfants et venaient se ressourcer en couple. L'homme, qui se prenommait Marc, était plutôt grand et brun. Il avait le corps d'un sportif. Sa compagne Béatrice,blonde aux cheveux bouclés, était encore une très belle femme malgré les stigmates de ses grossesses. Ses quelques rondeurs, que j'avais pu noter lorsqu'elle était entrer dans le jacuzzi, n'étaient pas désagréables à regarder. Elle avait une belle paire de seins lourds corsetés dans un haut de bikini rose. Béatrice nous louait l'ouverture d'esprit des pays nordiques que l'on retrouvait dans la région lorsqu'un second couple passa. Ils nous firent un discret salut de la tête auquel nous répondirent poliment. La femme, grande et fine, dans la trentaine, avait serré en dessous de ses bras une petite serviette qui lui arrivait en haut des cuisses. Je n'avais pas remarqué de bretelle de maillot de bain. Béatrice nous expliqua qu'il s'agissait justement d'un couple de néerlandais avec qui ils avaient parlé un peu plus tôt et qui utilisaient le sauna et le hammam de manière traditionnelles, c'est à dire completement nus. Marc et Béatrice trouvaient génial le fait de pouvoir pratiquer le nudisme librement en comparaison avec la France où même le monokini disparaissait petit à petit sur les plages. Nous acquiescâmes poliment. Claire nourrissait des complexes malgré son corps magnifique. La taille de ses seins, je le savais, la gênait. Béatrice poirsuivit:
_Je vais d'ailleurs en profiter pour me débarrasser de mon haut de maillot,si ça ne vous derange pas ? J'ai pris du poids et j'ai l'impression de ne plus pouvoir respirer!
Nous la rassurâmes, cela ne nous dérangeait pas. Béatrice joignit dont le geste à la parole, passa les mains derrière le dos et degraffa son haut de bikini. Elle sortit partiellent de l'eau pour poser son haut de maillot sur le côté du jacuzzi. Nous pûmes donc apercevoir seux seins blancs magnifiques bien lourds. Ils semblaient plus que jamais soumis aux lois de la physique et présentaient une légère asymétrie. Je trouvais Béatrice sacrément sexy mais ce qui m'excitait le plus c'était de me demander comment Claire allait réagir. J'avais peur qu'elle ne soit mal à l'aise surtout devant une poitrine si imposante. Mais ma chérie ne semblait pas plus gênée que cela. A mon grand étonnement elle lança même:
_ Et bien, il n'y a pas de raisons, je vais faire la même chose et me mettre à l'aise!
Comme dans un rêve Claire défit le noeud de son haut de maillot pour le retirer. Elle sortit partiellement de l'eau pour ranger son maillot,se couvrant pudiquement la poitrine d'un bras. Elle s'empressa ensuite de se réfugier dans l'eau. J'avais noté que Marc avait suivi l'opération non sans un intérêt certain. La vision de Claire ainsi exposée, la courbe de son dos magnifique avait été à couper le souffle et je comprenais que Marc ai voulu en profiter. Claire semblait à son aise, j'étais aux anges. A un moment donné le programme du jacuzzi arrivant à la fin, les bulles de massage s'arrêterent soudainement. Le corps des deux femmes se dessina nettement sans l'eau transparente. Béatrice se proposa de choisir un nouveau programme pour le jacuzzi. Elle sortit donc la moitié de son corps hors de l'eau et se pencha pour s'affairer sur le tableau de programmation de l'appareil. Je profita du spectacle. Souidain une lumière tamisée s'alluma dans le jacuzzi. Le corps de ma belle apparut distinctement au fond de l'eau. Je devina les deux tentons de ma chérie, je savais que Marc qui lorgnait de notre côté devait les voir aussi. Claire semblait à son aise et ne cachait pas sa poitrine de ses mains. Soudain les turbines de massage se remirent en route et Béatrice nous rejoignit. Nous profitâmes ainsi un petit moment de l'instant. Je laissais toujours négligemment ma main sur le haut de la cuisse de ma chérie, cette dernière se laissait complètement aller. A la fin du programme Marc et Béatrice nous expliquèrent qu'ils allaient aller un peu à la piscine afin de se rafraîchir. Une fois partis nous sortîmes de l'eau également. Claire était ainsi debout seins nus. Je n'en pouvais plus. Elle hésita un bref instant, ramassa son bikini et l'enfila à nouveau. J'étais déçu mais je me dis que cela constituait déjà une bonne première expérience pour Claire. Je ne désespérais pas de pouvoir encore assister à une nouvelle séance d'exhibition. Nous enfilâmes nos peignoirs et nous nous rendîmes au hammam. Personne ne. L'occupait et une demi-obscurité régnait à l'intérieur. Ce fut Claire qui décida d'y rentrer. Nous laissâmes nos peignoirs et serviettes à l'extérieur. Je m'assis sur le banc dur et Claire s'allongea sur le dos, sa tête sur ma cuisse. Elle ferma ses yeux. J'en profitais pour mater ma belle alors qu'elle se laisser ainsi aller dans cette atmosphère chaise et humide. Je repensais à la situation avec Marc et Béatrice. J'avais envie de Claire. Doucement je me mis à caresser son torse puis, face à l'abscence de réaction, je glissa ma main lentement dans son haut de bikini.
Je saisis un de ses mamelons qui réagit immédiatement. Claire a toujours les yeux fermés mais je vois son corps se cambrer doucement. Elle apprécie manifestement mes caresses. Ainsi allongée, l'élastique de son maillot me laisse voir le haut de son mont de venus. Une se ses mains se rapproche imperceptblement de son bas de maillot. Elle relève une se ses jambes. J'ai une envie folle de la caresser. Son mamelon est tout dur dans mes doigts.
Soudain nous entendons des murmures, quelqu'un approche. Une ombre d'avant la porte, je retire doucement et à regret ma main du maillot de ma belle. Le couple, que nous savons être des Pays-Bas grâce à Marc et Béatrice entre silencieusement dans la pièce. Nous nous saluons d'un signe de tête. L'homme et la femme détachent leurs serviettes révélant leurs corps nus, les plient rapidement, les placent sur le banc en face du notre et s'installent dessus. Ils sont tous les deux plutôt grands et maigres. Ils ne semblent avoir aucun problème avec leur nudité. La femme a les seins et les fesses qui tombent mais à un joli visage encadré par des cheveux courts. Elle présente une petite toison pubienne. L'homme ne présente aucun signe de graisse. Son penis au repos est relativement petit, peut être plus petit que le mien, ce qui ne manque pas de me rassurer. Je sais que je suis loin d'être impressionnant à ce niveau là et j'aurais été gêné sur le moment que Claire puisse admirer un engin plus gros que le mien, même au repos.
La vapeur emplit la pièce de plus belle masquant les silhouettes. Je ne peux, maintenant, que deviner la présence de nos deux voisins. C'est plus fort que moi, je déplace très lentement ma main pour de nouveau la glisser dans le haut de bikini de ma belle. Celle-ci ne tente pas de m'en dissuader. La réaction de son mamelon montre qu'elle est pleinement excitée par mes caresses. Je sens son corps se raidir sous l'effet de ma caresse. Claire a toujours été très sensible des seins. Ces yeux sont fermés, un petit sourire s'affiche sur son visage. La vapeur d'eau est desormais tellement épaisse que l'on ne distingue la sortie que grâce au panneau lumineux de sortie au-dessus de la porte. Je sens la poitrine de ma chérie se soulever de manière plus marquée, sûrement du fait de la chaleur suffocante, mais aussi, j'imagine, grâce à l'excitation de mes caresses. J'ai une envie folle d'aller plus loin avec Claire mais je ne veux pas la brusquer de peur qu'elle fasse machine arrière. Je repense à la scène dans le jacuzzi et me remémore le corps de Claire à la vue de nos voisins. Soudain Claire se redresse et m'explique qu'il fait trop chaud et qu'elle n'arrive pas à tenir. Pas de souci pour moi, nous sortons donc tous les deux du hammam laissant nos voisins dans la semi-obscurité et le nuage de vapeur.
À l'extérieur nous croisons Marc et Béatrice qui rentrent dans leur chanbre. Ils nous apprennent qu'ils compte aussi se rendre aux Thermes de Nurberg. Ils sont enchantés, particulièrement Marc j'ai l'impression.
_ C'est un super endroit pour se retrouver, en dehors du temps, on laisse ses soucis dehors et on se fait du bien, nous lâche-t-il dithyrambique.
On convient donc de se retrouver sur place. Ils pensent venir en fin de journée, nous nous arriverons en début d'après midi.
On se sépare et nous nous dirigeons vers les douches thématiques ce qui ne sera pas du luxe compte tenu de notre passage au hammam. Les douches sont plutôt spacieuses, à l'italienne. A l'entrée nous laissons nos peignoirs sur les porte-manteaux prévus à cet effet. Je rentre le premier. Je me retourne et la vois hésiter. Puis, lentement, elle passe la main sans son dos et défait son haut de bikini. Je suis étonné. En rentrant elle m'explique:
_ C'est quand même plus agréable comme ça. Et il n'y a à quasiment plus personne. Je vais profiter qu'ici les mœurs ne soient pas pareils!
Pour rigoler je lui réponds que ça lui permettra de respirer faisant allusion à l'explication de Béatrice.
Nous lançons un programme au hasard. Des jets d'eau dont la température évolue, un jeu de lumières changeantes. Claire défait ses cheveux qui tombent en cascade dans son dos.
_ Mouai, au fait tu as sacrément dû te rincer l'œil tout à l'heure toi ?
Je sens que la question, posée sur le ton de l'humour, traduit une réelle inquiétude de la part de Claire. Je pressens que ce n'est pas moi le réel problème mais son rapport vis-à-vis de son propre corps, et de sa poitrine en particulier. Je sens qu'il faut la rassurer et, si possible, la mettre en confiance.
_Oui, c'est une belle femme tu sais. Mais on ne peut pas la comparer avec toi.
_ Flatteur !
_ Béatrice est marquée par ses grossesses. Elle a de gros seins mais qui tombent un peu et qui ne sont même pas symétriques. Toi par contre tes seins ont une forme parfaite. Tu as les mêmes seins que dans les magazines.
L'eau parcourt notre corps. Nous avons une certaine intimité et en même temps nous sommes dans un lieu public, où nous pourrions être surpris. Claire est dos à moi, face contre la paroi. Elle se retourne et me regarde droit dans les yeux.
_ J'ai une poitrine d'adolescente, me dit-elle tout bas. C'est ridicule pour quelqu'un de mon âge. Et je n'ai pas de forme.
Des bruits de pas, quelqu'un entre dans une douche à proximité de la notre. Claire se retourne vers la paroi. Je jette un petit coup d'œil.
_ Ce n'est que nos amis néerlandais qui se prennent une douche bien méritée après un long passage au hammam.
Je la retourne vers moi.
_ Tu as un corps magnifique, de sportive. Ne vois-tu pas comment les femmes te jalousent ?
_ Mais les hommes préfèrent…
_ Tu as un magnifique bonnet B, lui fis-je en lui caressant du bout des doigts un de ses seins. Si tu te regardes dans une glace tu verras qu'ils sont parfaitement proportionnés. N'as-tu pas vu comment Marc te matait tout à l'heure ?
Elle sait bien que son corps suscite du désir chez les hommes,elle a juste besoin de se l'entendre dire et se sentir rassurée.
_ Tu parles !
_ Si si, il n'arrêtait pas de te mater. Et puis tu as un ventre tellement bien dessiné et une taille de guêpe qui mettent en évidence tes hanches. Il en avait l'eau à la bouche lorsqu'il t'a vu sortir de l'eau. Je pense que Béatrice devait être un peu jalouse.
_ Et toi ça ne te gêne pas qu'on me mate alors ?
_ Tu sais, c'est important pour une femme de se faire désirer. Il n'y a aucun mal à ça. Elle a besoin de se sentir belle. Et moi j'éprouve même du plaisir à te voir être matée. Je te fais confiance,donc c'est OK pour moi.
Un silence. C'est la première fois que je lui dis les choses si clairement. Des voix venant de la douche des néerlandais.
J'en profite pour enfoncer le clou:
_As-tu vu comment était foutue notre voisine tout à l'heure dans le hammam? Pourtant elle ne semblait vraiment pas complexée. Et je peux t'assurer que nombre d'hommes prendraient du plaisir à la regarder. Alors Je te raconte même pas pour toi… Le père Marc doit être en train de penser à toi !
_ Tu parles, il a tout ce qu'il faut avec Béatrice!
Je prends conscience que Claire n'éprouve, à ce moment précis, pas juste le besoin d'être rassurée, mais aussi de se faire dire qu'elle est désirée.
Je suis pris d'une inspiration soudaine. D'un geste qui se veut naturel je fais tomber mon maillot de bain sur les chevilles et le laisse négligemment sur le côté de la cabine de douche.
Claire me regarde, interloquée.
_ Mais qu'est ce que tu fais ?
_ Et bien je me plis aux us et coutumes du coin. Nos amis néerlandais font exactement la même chose dans la cabine à côté.
Elle ne me répond rien, indécise. J'enfonce le clou:
_ Et Béatrice avait raison, on est drôlement mieux sans maillot. Tu devrais faire la même chose, d'autant plus qu'il n'y a quasiment plus personne. Et puis j'ai très envie de pouvoir contempler ce que Marc n'a pu voir tout à l'heure…
Le temps se fige, nous sommes hors du temps. Un souffle d'air tiède est pulsé dans la cabine beignée d'une lumière bleutée. Nous n'entendons que la musique d'ambiance du spa partiellement couverte par le bruit de l'eau qui coule. Claire est dos au mur, face à moi, ses seins nus exposés à quiconque passerait devant notre refuge. Elle se décide et saisit les deux côtés de son maillot de bain pour le faire descendre le long de ses jambes.
Elle le laisse par terre et se redresse se dévoilant ainsi dans le plus simple appareil. Ses 2 petites lèvres fines sans protection m'appellent. Je la dévore des yeux. Qu'est ce que j'aimerais pouvoir faire profiter quelqu'un de la nudité de ma chérie.
_ J'en ai de la chance !
_ Tu crois ? Me répond-elle, mutine.
Je la prends par une main et la retourne doucement face à un côté de la cabine, je parcours de l'autre main, lentement, son dos de haut en bas.
_ Qu'est ce que tu es sexy comme ça ! Ce n'est pas des courbes ça?
Claire se cambre, mettant son adorable cul en arrière. Elle est incendiaire présentée comme cela. La douche a côté de la notre s'éteint, on entend des voix asourdies puis des bruits de pas qui s'éloignent. Nous sommes définitivement seuls.
J'ai une érection comme je n'en ai encore jamais eu. J'introduis une main entre ses cuisses, de l'autre je saisis un bout de ses seins si sensibles. Claire ne peut retenir un petit gémissement alors que je la caresse.
Je m'occupe d'elle ainsi quelques minutes, je sens l'excitation lui faire tourner la tête,elle s'est oubliée, ne fait plus attention à rien d'autre que son plaisir.
_ Prends moi, s'il te plaît! Murmure- t-elle.
Je me glisse alors en elle, elle est humide comme jamais. Là encore elle ne peut réfréner un long gémissement au fûr et à mesure que je prends possession de son intimité. Elle est étroite, c'est un pur bonheur. J'entreprends des va-et-vient en elle, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. J'ai agrippé ses deux hanches et la besogne énergiquement. Je dispose d'une vue panoramique inégalable de sa nuque à son adorable cul. Je repense à notre soirée, à notre rencontre de Marc et Béatrice, de notre conversation et la tension monte encore d'un cran. Les gémissements de Claire se font plus nombreux et plus bruyants maintenant.
Soudain je perçois un mouvement dans mon champ de vision. Un rapide coup d'œil m'apprend que le soixantenaire, que j'avais repéré lorsque nous étions rentrés dans le spa et complètement oublié depuis, est en train de se rincer l'œil caché dans une douche à proximité. Il n'a de visibilité que sur une partie de mon corps en train de donner des coups de hanches à ma Claire. Il doit, par contre, distinctement percevoir les gémissements de plaisir de ma chérie qui est définitivement ailleurs.
Je n'ai plus de limite sur le moment et déplace ma chérie de telle manière à présenter une meilleure vue à notre voyeur. Il peut ainsi nous voir de ¾. J'imagine la vision qu'on lui offre, moi de dos en train de pilonner Claire, elle les deux mains posées sur la cloison, jambes écartées. Je lui lève le bras présentant ainsi la meilleure vision possible du sein de Claire. Elle semble définitivement perdre la tête,elle répète mon prénom en boucle. Je lui susurre des propositions interdites, je fais référence à Marc et son envie de la prendre, à ma place. Je vais exploser. Je la sens défaillir soudainement, elle lâche un long gémissement de plaisir lorsqu'elle atteint l'orgasme. Quasiment à l'unisson j'explose et déverse en elle toute cette tension erotique via de longs jets nerveux.
Nous restons immobiles, un long instant, reprenant nos esprits et notre respiration.
Nous nous essuyons et enfilons nos peignoirs. Je balaye des yeux les alentours et note que mon voyeur a disparu.
Nous rejoignons avec Claire notre chambre main dans la main. Je me rends alors compte du chemin parcouru. Nous avons commencé à explorer de nouvelles sources de plaisirs communes. Il ne s'agit que d'un début cependant et j'entends bien aller plus loin avec ma chérie.
_ C'était une soirée incroyable ! me dit-elle sur l'oreiller.
_ Attends de voir ce que je t'ai préparé demain ma chérie. Tu n'as pas fini d'être surprise
laurentca, zztop, glissements et 5 autres a liké
#2466771
SUITE

Thomas rongeait son frein.
Arrivé la veille au soir à Francfort avec ses potes, ils avaient déjà bien profité,buvant et faisant la fête toute la nuit. Ils n'avaient dormi que quelques heures et avaient recommencé à s'amuser au petit matin.
Ils s'étaient noués d'amitié avec un groupe de jeunes bavaroises complètement déchaînées. En temps normal Thomas se serait contenté de tirer son coup avec une de ces filles alcoolisées.
Mais Thomas ne se comportait plus normalement depuis quelques temps.
Le début d'après-midi approchait et toujours pas de nouvelle d'Etienne. Mais il ne s'attendait pas à en avoir. Thomas savait que Étienne allait bientôt amener Claire à ce centre thermal. Thomas avait pris une décision sur ce qu'il allait faire, en fait il se rendit compte que sa décision avait été prise dès le moment où ce gros nul d'Etienne l'avait prévenu de son intention d'amener Claire au centre thermal.
Cela faisait la 2eme année que Thomas suivait les cours délivrés par Claire. Il devait reconnaître qu'elle était, de loin, la meilleure prof qu'il avait eu dans toute sa scolarité.
Elle était impliquée et avait une réelle expérience professionnelle qu'elle faisait partager avec passion.
Thomas avait d'abord été subjugué et impressionné par sa prof. Il avait tout de suite aimé mater son corps tellement féminin, mais sans jamais franchir la barrière qui doit exister entre un prof et un élève.
Thomas n'était pourtant pas attaché aux convenances. Il avait commencé à avoir une vie sexuelle active très jeune. Mais on ne peut pas dire qu'il avait énormément de succès non plus. Très sûr de lui, il agissait souvent avec impulsivité ce qui lui avait déjà apporté des ennuis malgré son jeune âge. Les jeunes filles étaient souvent rebutées par ses approches directes qui ne laissaient pas de place à l'ambiguïté. Il était bien monté, le savait, et enrageait contre ces saintes nitouches incapables de choisir un homme un vrai.
En fait, Thomas devait souvent se contenter du second choix en matière de filles. Les coups d'un soir, récupérés sur une piste de danse à 4h du matin dans le cadre d'une soirée alcoolisée c'était plus dans ses cordes. Il ne voulait pas se l'avouer, mais Claire, au-delà de la différence d'âge, représentait ce qu'il n'aurait certainement jamais: un femme incroyablement belle, intelligente et avec beaucoup de classe.

Ce n'était pas dans les habitudes de Thomas d'être intimidé comme il l'avait été par Claire. Claire faisait extrême jeune. Elle était incroyablement mignonne de visage… et vraiment super bien roulée.
Ce n'était habituellement pas son genre mais il était sous le charme de ce corps fin et sportif, de cette poitrine de taille plutôt moyenne mais tellement harmonieuse.
Thomas avait tout le loisir de la déshabiller du regard en cours, imaginer tous les trésors que Claire cachait sous les vêtements qu'elle choisissait avec tellement de goût. Thomas avait longtemps considéré Claire comme quelque chose d'inaccessible.

Il sollicitait régulièrement des conseils auprès de Claire à la fin des cours. Il avait besoin de s'approcher d'elle, regarder sa nuque, sentir son parfum ou jeter un regard furtif dans son discret décolleté. Il se sentait à chaque fois pitoyable à la sortie de ce tête à tête mais il recidivait toujours, accroc à cette proximité.


Thomas en était là dans sa sacralisation de sa prof lorsqu'il apprit accidentellement, après un entraînement de foot, qu'Etienne était en fait le compagnon de Claire. Ce fut un choc. Il savait que Claire était en couple mais il l'imaginait avec un homme grand, musclé, charismatique. Mais là, Etienne…
Il était plus petit que lui, un physique très moyen. A l'entraînement il faisait partie des plus nuls et était réduit à chauffer le banc pour les matchs. Il était effacé dans les vestiaires. Et quant à ses attributs masculins… Thomas ricana en y repensant. Thomas n'avait pu se remettre de savoir cette femme adulée avec cette lavette. Etienne avait un sexe d'enfant. Le fait de le voir nu avait été comme entrer dans l'intimité de Claire, aussi peu glorieuse soit-elle.

Un jour que Thomas était dans le vestiaire après l'entraînement, il fit tomber un portable. Il le ramasse et se rend compte qu'il doit appartenir à Etienne.Petit coup d'œil autour de lui: personne ne le regarde et Étienne est de corvée pour ranger le matériel, ayant fini l'un des derniers à un concours de jongle. Thomas tente un code, 0000: Bingo, ça marche!
Quel imbécile ce type. Vite il parcourt rapidement les messages. Il va sur "Mon Amour". Quel tocard ce type ! Il fait défiler les messages et tombe soudain sur une photo de Claire qu'elle avait envoyé à Etienne. Elle était dans un soutien-gorge rouge,un peu de rouge à lèvres...Le sang de Thomas ne fit qu'un tour. Vite il transféré la photo vers son portable pour ensuite supprimer toute trace de l'envoie.
Il remet ensuite le portable en place. Il ne sait pas pourquoi il a fait ca, cette femme le rend fou.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Deretour49ans, zztop, jeanrp et 16 autres a liké
#2466779
Thomas avait éprouvé le besoin de nouer le contact avec le copain de Claire, mû par l' instinct. Étienne était dans la force de l'âge, avait plus d'expérience mais Thomas se sentait le dominer. Thomas aimait s'exhiber devant lui, voir les regards d'Etienne se détourner comme un petit garçon pour revenir régulièrement sur sa tige triomphante.
Ce fut un tournant qui permit de faire redescendre Claire de son piedestal aux yeux de son étudiant. Ce dernier essaya à partir de ce moment de rentrer dans l' intimité du couple par l'intermédiaire de Thomas.

L'orque Étienne se confia à Thomas sur son paris avec Claire, ce dernier vit immédiatement dans cette histoire de gage un moyen d'augmenter son emprise sur Étienne et surtout de faire venir le couple à l'Oktoberfest.
Cela avait été d'une facilité déconcertante pour Thomas de retarder Claire en sabotant une machine. Il avait n'avait pas hésité, c'était dans son tempérament de prendre des risques, et il avaitnbien rigolé. Mais surtout il s'était rincé l'œil. Le fait de voir la nudité de Claire ainsi exposée dans ses vêtements mouillée avait enflammé ses sens. Il n'arrivait pas à sortir de sa tête ces images d'un érotisme incroyable.
Mais Thomas n'avait pas tout dit à Étienne. Lorsque Claire s'était isolée dans un bureau pour enlever ses vêtements mouillés et se sécher Thomas, mû par une inspiration subite s'était esquiver de l'atelier. Personne n'avait remarqué son absence soudaine.
Il avait rapidement fait le tour du bâtiment pour se retrouver sous une des fenêtre du bureau situé en rez de chaussé surélevé.

Thomas se hisse sur le bord de la fenêtre et risque un rapide coup d'œil à l'intérieur. Claire est là dos à la fenêtre, elle s'essuie sa longue chevelure. Thomas de retire immédiatement, il ne doit pas être pris. Vite il sort son portable et le tenant à bout de bras, filme l'intérieur de la pièce. Seule une partie du portable peut être visible de l'intérieur et Thomas peut contrôler ce qu'il se passe à l'intérieur via l'écran. Le risque est énorme pour lui d'être surpris si quelqu'un fait le tour du bâtiment mais ça lui est égal.
Claire, une fois sa longue chevelure essuyée, déboutonne lentement son chemisier et le retire. Elle degraffa également son pantalon en lin et le descend lentement sur les chevilles pour le retirer. Elle se redresse et passe ses mains dans le dos pour retirer son soutien-gorge. Elle le dépose avec ses autres affaires sur un dossier de chaise.
Elle est là de ¾ dos, un de ses seins en partie visible. Sa chute de reins est parfaitement visible, son tanga fait ressortir son petit cul. Elle s'essuie avec sa serviette. La scène dégage un érotisme fou. Claire penche sa tête en arrière et se cambre pour éloigner sa longue crinière auburn de son dos et mieux la sécher. Elle fait ainsi ressortir sa poitrine, une vraie pose de mannequin.

Enfin elle enfile son pantalon et son blazer. Thomas n'en a pas perdu une miette sur son écran. Il bat en retraite et retourne dans le bâtiment.

Ce n'est que plus tard lorsqu'il avait quitté l'établissement que Thomas avait pu repasser en détail la vidéo, encore et encore. Il ne s'était pas lassé de mater ce corps là nuit entière qui avait suivi la scène. Il n'avait jamais vu de femme aussi belle. Thomas en était là de ses souvenirs lorsqu'il regarda sa montre. Claire et Etienne devaient être en direction de ce centre Thermal.
Ce cocu en puissance d'Etienne lui avait fait une sorte d'invitation.

Et l'invitation d'un cocu, il serait particulièrement malpoli de la refuser.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
john75, Deretour49ans, zztop et 13 autres a liké
#2466780
FIN DE LA PARTIE
J'avais prévu de faire des posts plus cours mais c'est quelque chose que j'ai du mal à tenir.
Je voulais vraiment m'attarder un peu sur Thomas avant de passer à la suite. Ma chérie m'ayant réclamé une séance photos j'espère pouvoir agrémenter les prochaines parties de qqs jolis clichés en rapport avec l'histoire bie entendu...
#2471129
J'étais aux anges alors que nous nous balladions dans les rues de Francfort avec Claire. Nous avions passé une excellente matinée et nous nous étions arrêtés manger dans un petit estaminet dans l'Altstadt. Nous avions entamé ensuite une courte promenade et nous retournions maintenant à la voiture pour nous rendre au centre Thermal. Claire était radieuse, dans une tenue lui permettant de se promener à l'aise. Elle avait opté pour un jean completé d'une chemise légère avec un décolleté discret. Elle ne portait pas de soutien-gorge, comme d'habitude. Elle avait ramené sa longue chevelure en chignon, mettant à nu sa nuque fine. Elle avait l'air d'une adolescente avec cette tenue décontractée et aurait très bien pu être prise pour une des nombreuses étudiantes qui festoyaient bruyamment autour de nous.

L'ambiance dans la ville était électrique, la bière coulait à flot malgré l'heure et même si nous avions profité de la fête, nous nous réjouissions de nous retrouver au calme.

Le trajet ne dura que quelques minutes et c'est le calme qui nous frappa lorsque nous arrivâmes sur le parking du centre Thermal. Claire était enchantée par l'environnement qui faisait la part belle à la végétation. Le temps était magnifiquement ensoleillé pour un mois d'octobre et nous nous dirigeâmes main dans la main vers l'entrée du centre. Je n'étais pas aussi détendu que Claire, j'avais omis de lui préciser un détail d'importance sur ce centre. Je ne trouvais pas cela honnête et je m'en voulais maintenant. Comment allait elle réagir?

Le hall d'entrée était plutôt luxueux avec des matières nobles à la romaine. Il n'y avait que quelques personnes qui attendaient leur tour pour entrer. Lorsqu'arriva notre tour, on se décida pour un pass qui nous permettait de rester jusqu'à la fermeture des lieux, à 23h. On fournit à chacun une serviette avec des petites sandales. On nous dirigea vers le vestiaire… qui se révéla être mixte! Claire sembla d'abord interdite regardant à droite et à gauche pour essayer de trouver le vestiaire des femmes. Les vestiaires étaient composés de plusieurs rangées dans lesquelles on pouvait apercevoir des gens se changer. Au dessus de la porte donnant sur les douches se trouvait un grand pictogramme rappelant l'interdiction de maillots dans l'établissement.
Claire se retourna vers moi, en panique:
_ Mais les maillots sont interdits ? Tu étais au courant ?
Elle sonda mon regard, intensément..
Je lui mentis, je n'en suis vraiment pas fier encore aujourd'hui. Je lui expliqua que je n'avais pas vu de mention sur le site de l'office du tourisme. Il s'agissait certainement d'un pratique habituelle ici, d'ailleurs Marc et Béatrice nous en avait parlé. Je ne sais si elle me crut sur le coup. Peut être avait elle deviné mes envies ?
Claire sembla vouloir faire demi-tour, réfléchit puis sembla se décider.
J'enfonçai alors le clou:
_ Écoute, maintenant qu'on est là on peut aller faire un tour en gardant notre serviette. Regardons au moins les installations. Et si vraiment on ne se sent pas bien on s'en va.
_ Mais on va se changer devant tout le monde ?
_ Personne ne fait attention à nous. Et puis, il n'y a pas grande affluence, on peut aller se changer dans un endroit à l'écart.

Claire me suivit dans un coin des vestiaires, manifestement pas très à l'aise.
Je n'étais moi-même pas très à l'aise, mais commença à ranger rapidement mes vêtements dans un casier. C'est ce moment que choisit un couple de sexagénaires pour s'installer auprès de nous. Ils semblaient habitués. Ils nous firent un discret signe de la tête et commencèrent à se dévêtir sans plus de façon. Je les imitais de mon côté. Claire semblait interdite,elle temporisait, trafiquant dans ses affaires.

Je fis tomber mon polo puis mon pantalon me retrouvant en caleçon. Je voulais donner le change mais je n'en menais pas large. La dame, brune, s'était dénudée rapidement et présentait de larges hanches et des seins tombantes qui avaient dû être lourds il y a encore quelques années. Elle trafiquait dans son sac, sereine. L'homme, plutot grand et le crâne dégarni, retira tranquillement son slip devoilant un sexe court et très large, qui trônait au milieu d'une épaisse toison. Il ne faisait aucun cas de nous. Claire sembla d'abord gênée, puis se s'étendit face à la décontraction de nos voisins. Je voulais faire bonne figure et ne me voyais pas retirer mon caleçon sous ma serviette, cela aurait été ridicule. Je me lança et fit descendre le bout de tissus me retrouvant ainsi nu. Claire arborait un petit sourire en coin en me regardant. J'avais un peu honte de ma nudité que Claire pouvait comparer avec cet homme d'une soixantaine d'année. Bien qu'en léger sur poids, son sexe restait bien visible et était respectable par rapport au mien. Claire semblait régulièrement jeter des coups d'œil du côté de nos voisins comme interloquée par autant de liberté. Elle se tourna alors vers moi et commença à déboutonner sa chemise.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
diouee, speed95, 1et2 et 11 autres a liké
#2471185
Ses seins apparurent, puis son ventre plat et, enfin, son nombril agrémenté d'un piercing.

J'étais plus que troublé. Elle retira définitivement son chemisier pour le mettre dans son casier. Elle se retrouva ainsi, seins nus, en public, son jean déboutonné. Sa beauté était à couper le souffle. Des personnes passèrent au bout de notre rangée jetant un coup d'œil furtif vers nous. Des inconnus venaient de saisir l'image de ma belle seins nus… Je n'en revenais pas. J'étais à la fois jaloux, et terriblement troublé.

Elle retira ensuite son jean, le faisant ainsi descendre le long de ses jambes fuselées dévoilant un magnifique tanga qui mettait en avant son petit cul si bien galbé.

Elle était de dos à nos discrets voisins, en tanga, à moitié nu. Cette promiscuité me rendait fou, et en particulièrement la présence de cet homme imposant. C'est à cet instant que débarquèrent, au bout du vestiaire, 2 couples, d'une vingtaine d'années environ et parlant en français. Leurs discussions s'interrompit en nous voyant. Ils dévorèrent tous ma Claire du regard, sa poitrine offerte, nue. C'était la première fois que je la voyais ainsi exhibée sous des yeux de personnes qui avaient l'âge de ses élèves. Celle-ci se détourna lentement et attacha sa serviette sous les bras. J'enroulai également ma serviette autour de mes hanches. Nos 2 sexagénaires s'en allèrent à ce moment là, les fesses à l'air et leur serviette à la main.
Nos nouveaux voisins, se trouvaient dans la même situation que nous quelques minutes auparavant. Ils étaient indécis, ne sachant certainement pas comment aborder cette situation apparemment nouvelle pour eux. Ils gloussaient, mal à l'aise. Ma Claire passa ses mains sous sa serviette et fit descendre son tanga le long de ses jambes. La serviette réglementaire fournie par le centre était dangereusement courte et s'arrêtait juste en dessous de la naissance de ses fesses, dévoilant la quasi-totalité de ses jambes. Il aurait suffi d'un geste un peu brusque, un mouvement malencontreux pour dévoiler son intimité. Mon regard était sans cesse appelé par cette vision impudique, à la fois inquiet et demandeur d'un éventuel incident. Nos jeunes voisins masculins semblaient également souvent lorgner vers Claire. On ferma nos casiers, attachâmes les clés à nos poignets et nous prîmes la direction des douches pour cette première expérience dans un centre Thermal nudiste qui s'annonçait, d'ores et déjà, inoubliable.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
1et2, FB57, DANA et 14 autres a liké
#2482027
Je me suis remis sur la suite des aventures de nos protagonistes. Je parle de Claire et Etienne bien entendu , mais aussi de Thomas.
Le cocufieur n'est pas un personnage secondaire dans une une relation candauliste. Thomas a été dépeint comme un pauvre type, mais ne peut-il pas ressortir transformé de cette aventure?
J'ai longtemps hésité à la conduite à faire tenir à Claire. Devait-elle continuer à être le jouet d'Etienne ? Allait-elle finir par freiner ses ardeurs ? Ou encore déciderait-elle de prendre les choses en main ? Avec du recul, je trouve qu'Etienne, bien qu'amoureux, n'a pas été très honnête avec sa belle. Il ne serait que justice, je trouve, que Claire le prenne à son propre jeu. :cuck:
#2482999
(Suite)

On entre dans les douches, passage obligé pour se rendre aux bains. Pour l'intimité on repassera. Pas de cabine. Les douches sont alignées le long des murs, au centre des emplacements pour mettre ses affaires,en l'occurrence juste nos serviettes. Peu de monde, mais assez pour me mettre mal à l'aise. Des hommes et des femmes. Personne ne semble faire attention aux autres, chacun vaquant à ses affaires. Claire me surprend: alors que j'hésite sur la marche à tenir, elle se dirige tout de suite vers le mur le plus proche. Elle s'arrête en chemin pour retirer d'un geste rapide sa serviette,se dévoilant complètement nue. Je ressens une violente émotion. Elle est dos à moi, je ne perçois pas l'expression de son visage. Je l'imagine rougissantte. Elle n'attend pas et s'adjuge une douche. Je limite et la rejoins dans une douche à ses côtés. Je suis surpris, elle a l'air plus à l'aise que moi. A part une légère rougeur au visage, elle semble plutôt calme étant donné la situation. J'ai du mal à réaliser à la voir nue, comme celà, en public. Elle ne tente pas de masquer sa nudité. Elle passe ses mains dans les cheveux, les yeux fermés, la tête en arrière, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle est face au mur. Son dos est entièrement exposé à nos voisins, sa taille si fine, ses longues jambes fuselées et, surtout, sa chute de reins sculptée par des années de pratique de la danse. Alors que je suis encore tout à mon émoi, elle me regarde et me lance :
_C'est drôle, je n'aurais jamais cru faire ça aujourd'hui ! Mais ca va, pour l'instant…

Alors qu'elle me parle, elle se retourne pour exposer son dos au jet d'eau chaude. Voilà sa nudité exposée de face aux yeux de tous. Son visage candide ne laisse rien transparaître, la voilà même qui ferme les yeux. Ses seins ronds, qui m'étaient jusqu'ici réservés exclusivement, sont exposés aux regards. Ses abdos de sportive ne peuvent qu'attirer les regards. Et surtout, son intimité complètement épilée, me paraît outrageusement érotique. Ses deux petits lèvres si délicates semblent trancher avec les quelques femmes présentes à ce moment là dans les douches.
J'ai l'impression que certains hommes lancent des oeillades de notre côté. N'est-ce qu'une imprssion ? J'aimerais que ma présence puisse être dissuasive. Malgré mon trouble, ma verge est étonnamment ratatinée. J'aimerais tellement être à la hauteur de ma belle. Je regrette déjà de l'avoir ramenée. Claire se retourne vers moi tout sourire:
_ On y va ?
Je la suis. On récupère nos serviettes pour les enrouler pudiquement autour de nos corps.
On traverse les douches pour déboucher dans un hall immense qui semble desservir les différents espaces du centre. La décoration fait la part belle aux plantes et à des matériaux naturels. C'est Claire qui semble décider où nous allons. Elle m'indique un panneau. J'y lis "bains extérieurs". On s'engage dans un couloir qui nous mène à une vaste bassin couvert. Sur le trajet nous rencontrons de nombreuses personnes complètement nues, leur serviette à la main ou sur l'épaule. J'ai l'impression que l'on ne voit que nous parce que nous affichons de la pudeur en gardant nos serviettes nouées autour de nous. Nous avons l'impression d'être à l'autre bout du monde, en pleine jungle. Une épaisse végétation à été disposée tout autour du bassin. D'épaisses volutes s'élèvent de l'eau laissant deviner la chaleur qui y règne.
L'entrée du bassin est un espace protégé du regard par des rochers et qui permet de rentrer progressivement dans l'eau.
Ma Claire me regarde, elle me dit:

_ On y va?

Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle dénoue d'un geste rapide sa serviette, la laisse dans un coin et se dirige vers l'entrée du bassin.

Je la vois de dos s'éloigner de moi. Après quelques secondes d'hésitation je me decide à faire tomber ma serviette et m'élance derrière elle.

D'autres personnes sont dans cet espace d'accès au bassin. Personne ne semble faire attention à elle mais Claire tranche par rapport aux autres femmes présentes. Claire entre résolument dans l'eau jusqu'à la taille puis se retourne vers moi , un large sourire aux lèvres:

_ L'eau est divinement chaude!

Je n'ai l'eau que jusqu'aux genoux, aussi je me dépêche de la rejoindre. Je suis mal à l'aise de la voir me regarder, mon sexe a l'air alors que d'autres hommes sont à proximité. Je n'aime pas l'idée qu'elle puisse me comparer, même avec des hommes plus vieux que moi.

Nous continuons de nous enfoncer dans l'eau et quittons l'espace protégé d' accès au bassin.

J'oublie ma gêne et commence à éprouver du plaisir à évoluer dans cette eau souffrée divinement chaude.

Claire me montre un tunnel permettant l'accès au bassin extérieur. Je lui fais un petit signe d'assentiment de la tête et nous nous y engageons. Nous débouchons à l'extérieur. L'expérience est merveilleuse. Nous profitons de longues minutes du cadre, de la nature, évoluant dans l'eau chaude dont d'épaisses volutes s'échappent. L'écart de température entre la fraicheur de cette magnifique journée d'automne et celle de l'eau procure des sensations particulièrement agréables. La superficie du bassin est incroyable nous permettant de nous isoler si nous le souhaitons. Nous avons pied et si nous nous tenons debout l'eau nous arrive en dessous de la poitrine. Claire se tient complètement debout par moment comme pour mieux se mouvoir et appréhender la vue autour d'elle dévoilant ainsi, par intermittence, des bouts de sa poitrine. Je n'ose le lui faire remarquer, étant dans un établissement nudiste et ayant même insisté à l'entrée pour rester. Je la ramène aux abords du bassin, prétextant vouloir observer la végétation qui le jouxte.

J'observe les gens autour de nous. Beaucoup de couples dont une majorité à plus de la cinquantaine. Pas beaucoup de jeunes. Quelques hommes seuls évoluent aussi. J'en repère d'ailleurs un qui nage à proximité. La quarantaine, le front dégarni. Nous nous dirigeons à l'écart, la végétation aux bords du bassin est magnifique et touche presque l'eau. Ce décor est incroyablement dépaysant.

Nous passons un bon moment mais je note toujours la présence de cet homme à proximité. Il nous a suivi. Claire se dresse dans l'eau et me montre certaines plantes du doigt. Elle verrait bien la même chose dans notre jardin. Ses deux seins sont hors de l'eau. Notre voisin ne se gêne pas pour la reluquer sans aucune gêne. Cette situation est troublante. Il sait que je l'ai remarqué et il n'en a cure.
Claire continue à deviser comme si de rien n'était. Elle ne semble pas l'avoir remarqué. Cette situation est complètement nouvelle. Je m'approche de Claire et pose une main sur ses fesses et lui montre un autre endroit,tentant d'ôter la vue de la poitrine de ma princesse à notre voyeur. Jamais un autre que moi n'avait eu l'occasion jusqu'alors de reluquer ainsi ses deux admirables seins.
J'imagine l'émoi de ce type, son envie de saisir les seins de Claire, mordiller ses adorables tétons roses dressés sous l'effet de la fraicheur de l'air extérieur. Mais n'est-ce vraiment dû qu'à la fraicheur de l'air ? Je suis déchiré entre l'excitation et un violent sentiment de rejet envers ce type.
Mes mains posées sur ses hanches,je tente de la détourner vers un autre centre d'attention, lui faisant remarquer la présence de bains moussants plus loin. Las, elle n'en a pas fini avec ses réflexions sur le parti-pris de l'établissement quant à la décoration et l'agencement des lieux.
Elle me le fait savoir, énervée:
_ Mais qu'est ce que tu as, enfin ? On ne peut pas se poser deux minutes ? Tu sais bien que ça m'intéresse…

_D'accord, mais fais un peu attention quand même. Il y a ce type qui se rince l'œil depuis tout à l'heure….
Elle m'interrompt d'un grand éclat de rire.
_Mais enfin, nous sommes dans un centre nudiste. Des seins il y en a tout un tas ici, et bien plus gros que les miens.
Je suis désarmé par tant de candeur. Mais en est-ce vraiment? Ne voit-elle pas le regard de cet homme qui se cache à peine?
_ Et bien non justement, des comme les tiens il n'y en a pas beaucoup, voire pas du tout. Et je vois bien qu'il en profite.
_ Mais dis donc, tu ne serais pas un peu jaloux toi ? Ce faisant, elle s'approche de moi. Sa main frôle mon sexe dressé par l'excitation.
_ Mais non ce n'est pas de la jalousie du tout ça ! Me lance-t-elle alors qu'elle se saisit de mon penis d'une main.
_ Qu'est ce que tu fais ?
_ Détends-toi, tu en as besoin, je le sens.
Elle me pousse, je me retrouve dos au bord du bassin. Elle est en face de moi,comme si de rien n'était.
Elle attrapé mes bourses d'une seconde main. Une vague de plaisir me traverse. L'établissement doit être intransigeant avec ce genre de pratiques. Je nous imagine déjà jetés dehors. Mais rien ne semble transparaître dans le regard de Claire. Elle n'est pas collée à moi, me regarde dans les yeux en me répétant de me détendre. Notre voisin s'est positionné à notre gauche. Il fait mine d'observer les abords du bassin. Je détecte du coin de l'œil ses fréquents regards vers nous. Mais il doit être déçu car Claire est désormais immergée dans l'eau jusqu'au coup. Notre voyeur se doute-il de notre manège?
Claire me connaît par cœur, elle effectue de lents va-et-vient le long de mon penis, s'attardant par moment sur mon gland afin de le titiller du bout des doigts.
Je sens que je vais exploser. Claire continue de me parler calmement. Moi je ne réfléchis plus, mes deux mains agrippent ses hanches, j'imprime une force vers le haut malgré moi. Son corps se redresse, l'eau lui parvient en-dessous des épaules et, enfin, à la naissance de ses seins. Un rapide coup d'œil de sa part sur le niveau auquel arrive l'eau sur sa poitrine puis elle me fait un sourire coquin:
_ Fais attention ou je vais offrir la vision de mes seins à notre indiscret voisin. Ce n'est pas ce qu'un gros jaloux comme toi voudrait, n'est ce pas ?
Je ne réponds pas, je suis en transe.
Elle me répète la question:
_N'est-ce pas ?
Elle se redresse dans l'eau, et relâche d'une main mes testicules tenant toujours de l'autre ma verge au bord de l'implosion. Avec une assurance déconcertante elle fait mine de s'interesser aux abords du bassin.

_ Tu aimes que je me montre hein ? Que je montre mes seins à notre voisin n'est-ce pas ?
Mon cerveau met du temps à comprendre sa question.
_ Je t'ai posé une question, me relance-t-elle fermement. Elle serre en même temps fermement mon penis dans sa main. Sa voix a une fermeté que je ne connais pas. Je crois y déceler aussi un peu d'agacement. Me tend-elle un piège, est-elle en train de me faire une blague ?
Je suis littéralement au pied du mur.
J'arrive péniblement à articuler quelques mots:
_Ce serait… Enfin je veux dire…
Ça a du mal à sortir.
_ hein ? Qu'est ce que tu dis ?
_ Oui, vas y. Ça m'exciterait terriblement!
Ca y est, j'ai fini par l'accoucher, par verbaliser cette envie sourde et jusqu'à présent cachée.
Claire, sans rien laisser paraître de ce qu'elle est en train de me faire, se redresse alors lentement. Ses seins apparaissent, puis ses tétons roses qui pointent de manière arrogante au milieu de quelques mèches de cheveux éparses collées à sa peau humide. Elle se tourne encore, pour donner une meilleur visibilité à notre voyeur qui n'en espérait certainement pas tant. Ce n'est plus un étranger pour moi, il fait partie d'un triangle composé de nous trois, chacun de nous jouant avec les deux autres. Mais est-ce bien un jeu? Claire continue de me regarder dans les yeux tout du long, avec ses yeux bleus tirant sur le vert. Son regard qui m'a toujours paru doux semble maintenant habité par une flamme que je ne lui connais pas. Je ne parviens pas à soutenir son regard et passe sans cesse de ses yeux à sa poitrine. Soudain elle arrête tout et se positionne de dos à mes côtés,entre moi et notre voisin.
Ses intentions sont claires mais sa voix change, elle m'implore maintenant:
_ Prends moi vite,là, toute de suite!
Je regarde autour de nous, personne ne semble regarder de notre côté à part le chanceux qui se trouve maintenant en face de Claire, immergé jusqu'au menton et qui ne semble par perdre une miette de la scène qui se joue.
_ Mais vas-y, qu'est ce que tu attends ?
Se faisant elle se cambre et me guide, je la pénètre alors immédiatement. Je me mets alors à la besogne violemment,à la fois terriblement excité et anxieux du scandale qui risque d'éclater si nous sommes découverts.


Il me semble percevoir chez Claire un plaisir fou,mais également quelque chose d'autre peut-être enfoui depuis longtemps et qui ne demandait qu'à s'exprimer.
Son corps est complètement chambré, son cul offert vers moi et son torse tendu vers l'avant, l'ensemble dessinant une courbe époustouflante.

Comme pour mieux se dévoiler, je sens qu'elle se hisse sur la pointe des pieds dévoilant ainsi l'intégralité de ses seins et même une partie de son ventre dessiné. J'imagine alors la scène qu'est en train de voir cet homme, cette vision incroyable de ma belle qui perd la tête, s'offre pour ainsi dire, et qui ne peut que retenir difficilement ses gémissement.
Une pensée me traverse soudain l'esprit, j'imagine Claire regarder cet homme droit dans les yeux. Elle se fait mettre ainsi en public, nue, et ne fuit pas le regard inquisiteur de cet homme, certainement en train de se branler devant elle, l'eau jusqu'au menton. S'en est trop, je perds le contrôle et explose en elle.
Elle laisse échapper son étonnement mêlé de déception alors qu'elle s'enfonce dans l'eau:
_ Déjà?
Elle s'est retournée immédiatement vers moi, n'attendant même pas que je finisse complètement.
Je regarde autour de nous, reprenant mes esprits. Personne ne semble nous remarquer. Un coup d'œil m'informe que notre voisin s'est quelque peu détourné, j'ai l'impression de distinguer une moue moqueuse sur son visage.
Un silence gêné et inhabituel semble s'installer entre moi et Claire.
Elle rompt soudain la glace:
_ Et bien, je t'ai connu plus endurant…
Je bafouille des excuses, invoque l'excitation et la surprise.
Elle me coupe:
_ Tu as intérêt à te rattrapper car tu m'a laissé sur ma faim…

Nous nous éloignons lentement du lieu de notre forfait, laissant là notre voyeur qui semble vouloir rester sur place. Je suis embêté, le sexe a toujours eu tendance à nous rapprocher mais là ce n'est pas le cas. Nous empruntons à nouveau le tunnel pour rejoindre l'intérieur du bâtiment. Nous sortons de l'eau et retrouvons nos serviettes là où nous les avons laissées. Vite, j'enroule ma serviette autour de ma taille.
J'ai l'impression que ma Claire s'est habituée à sa nudité, j'ai même l'impression à un moment qu'elle ne va pas remette sa serviette autour d'elle.
_ Tu en as peut être assez ? Tu veux peut-être que l'on s'en aille ?
Entendre son rire cristallin est un soulagement.
_Mais non ! Maintenant qu'on est là je compte bien en profiter. Je suis sûre qu'il y a plein de choses à voir encore…
Nous voilà à déambuler dans le complexe.
Je suis en partie rassuré. Mais il va falloir que l'on parle. J'ai l'impression que l'on a beaucoup de choses à se dire afin digérer tous les deux cette expérience. Et puis, j'ai le sentiment qu'il y a un élément qui m'échappe dans le comportement de Claire. Oui il faut qu'on parle.

J'en suis là de mes réflexions lorsque nous sommes soudain interpellés par une voix qui ne m'est pas inconnue:
_Et mais qui voilà ! Claire et Etienne ! Quel plaisir de vous retrouver !

Notre boutique candauliste 100% sécurisée