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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par velo
#2778062
Depuis 2 ou 3 ans, Séverine, ma femme, met des portes-jarretelles quand on baise. À ma demande. La première fois, ça l'a rendue furax mais ça l'a quand même bien excitée.
Depuis elle ne rouspète plus et ça a bien boosté notre sexualité. J'aime ce côté salope qui ressort inévitablement, surtout qu'elle porte ses jarretelles nue et sans culotte. Son sexe légèrement épilé est ainsi totalement mis en valeur et ça me rend dingue. Elle aussi d'ailleurs ! Mais elle ne le fait qu'à la maison. En voyage, je lui prends juste des bas auto fixants. C'est moins sexe, mais ça le fait quand même, surtout qu'elle est totalement nue et ne porte que ses bas. Pourtant, pour notre dernier voyage en Thaïlande, comme les enfants n'étaient pas avec nous, j'ai décidé d'emmener ses portes-jarretelle et ses bas noir...

Un soir, juste avant de sortir dans un resto à Bangkok, comme ma femme est bien lunée, je lui propose de sortir en portes-jarretelles. Elle est déjà dans une petite jupe sexy et dit que je suis taré et qu'elle n'osera jamais. J'insiste, lui dis qu'elle sera magnifique et surtout terriblement bandante dehors avec ça sur elle. Elle commence à s'attendrir et je ne lâche pas le morceau ! Pour une fois qu'on est sans les gosses, autant se lâcher, s'éclater... Je lui tends le porte-jarretelles et les bas, bien enroulés, comme je les laisse habituellement sur sa table de nuit. Elle avance la main, les prends, relève sa robe et commence à les mettre. Génial ! Je lui dis juste de les mettre sous sa culotte afin de pouvoir aller facilement aux toilettes. Je l'aide à attacher ses bas, surtout les jarretelles de derrière et la prends dans mes bras sans oublier de bien lui peloter les fesses. Elle est bien réceptive, bien chatte et j'ai un barreau d'enfer...

On sort de la chambre et je guète son attitude, ses réactions. On traverse le hall d'entrée. Elle est un peu tendue et je la comprends. Je l'encourage en la félicitant et en lui disant combien elle est belle et désirable. On sort dans la rue. Nouvelle étape difficile pour Séverine et elle me parait à deux doigts de faire demi-tour, surtout qu'il y a pas mal de monde dehors. Je parle pour la distraire et, la marche aidant, elle commence à se détendre. On réside près d' un quartier festif qui bouge pas mal dans cette ville, et on n'a que quelques minutes de marche pour y arriver. Ma chérie a compris que les bas ne tombent pas et se comporte maintenant normalement malgré la faune qui grouille autour de nous. En allant au resto, je repère un petit bar sympathique dans une ruelle. Mmmm...
wtf, frinaya, candaul91 et 22 autres a liké
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par sergio
#2778123
Il est vrai que bas et porte-jarretelles apportent une excitation supplémentaire sur nos femmes. Comment s'est passé le repas ?
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par velo
#2778772
Le resto est plutôt cool. Cadre agréable, petite musique légère mais bien pêchue, du monde et du bruit, petit apéro... On se sent bien, surtout Séverine qui ne semble plus préoccupée par ses portes-jarretelles. À la fin du repas, je l'envoie payer au bar et me régale de la voir se déplacer devant tout le monde avec ses dessous affolants, un peu intimidée et gênée certes, mais debout au milieu des gens. On sort dans la rue et je lui propose d'aller boire un verre dans ce petit bar que j'avais repéré.
J'ai l'oeil ! Ce bar est roots mais chouette. Une petite entrée discrète, une première salle avec quelques tables qui se prolonge par un couloir rempli de tables qui longe le bar sur quelques mètres et se termine par une petite salle en guise de piste de danse. Il y a du monde, mais pas trop. Par contre la musique est top, l'ambiance est super et ça danse un peu dans le fond.

On boit un ou deux verres et on commence à danser. À ma grande surprise, ma chérie ne se préoccupe plus trop de ses jarretelles et danse avec de plus en plus d'aisance. Quelques filles, franchement jolies comme tant de thaïlandaises, dansent à côté de nous. Elles sont sympas et rigolotes et n'hésitent pas à danser avec nous de temps en temps. L'une d'elles apprécie ma femme et danse de plus en plus avec elle, de plus en plus collée, laissant trainer ses mains sur ses hanches et n'hésitant pas à frotter son corps contre elle. J'adore et n'en perds pas une miette. J'en rajoute même lorsque je danse avec Séverine, lui pelotant les fesses et essayant de faire légèrement remonter sa robe pour dévoiler ses jarretelles. On s'amuse donc un moment mais décidons de rentrer car on est un peu crevé et les filles s'en vont. "Tomorrow, tomorrow !" nous répètent-elles. Oui, on reviendra demain, promis !

On rentre à l'hôtel et, surprise!, ma petite femme est surexcitée. Chaude comme de la braise !! Bien entendu, je laisse les rideaux ouverts.Elle fait glisser sa robe et sa petite culotte, arrache mes vêtements et entreprends immédiatement de nettoyer mes couilles et ma bite avec sa langue. Bien sûr elle a gardé ses portes-jarretelles et ses bas noirs. C'est une experte, soumise à tous mes caprices depuis tant d'années, et elle m'astique un bon moment avec l'envie et le sérieux qui la caractérise quand elle me suce. Après une bonne dizaine de minutes (c'est le tarif minimum, ma petite femme est une sacrée suçeuse), je l'allonge sur le dos et me place à genoux à côté d'elle, au niveau de ses côtes. Elle a bien mérité que je m'occupe d'elle. Je me penche vers son sexe et lèche et suce doucement son ventre et ses cuisses le long de ses portes-jarretelles. Je progresse lentement vers sa chatte, mais bien bien lentement histoire de lui faire prendre des tours ! J'attaque enfin ses lèvres. Elles sont trempées et brûlantes. Sa chatte est super dilatée et son clitoris est déjà tendu comme un petit soldat au garde à vous. Ça fait un moment déjà que sa main a attrapé mes couilles et ma queue et me caresse vigoureusement. Je lui bouffe le minou. Elle est tellement excitée que je peux tout de suite y aller fort. Je mordille son clito, aspire sa chatte dans ma bouche et la laisse ressortir entre mes dents. Elle est comme une folle. Je lui prodigue ces soins pendant un moment et décide de la finir à la main, ce qu'elle adore particulièrement. Je me redresse donc et attrape son clito entre le pouce et l'index. Comme je me suis dressé sur mes genoux, elle se penche vers moi et lèche et gobe mon gland qui lui fait maintenant face. On fait souvent ça et elle apprécie vraiment. Je serre bien son clito entre les doigts et le masturbe, d'abord doucement puis de plus en plus fort. De temps en temps, je me penche et l'aspire pour bien le sucer. Puis je lui fourre direct trois doigts dans la chatte et commence à la limer. Elle gémit malgré sa bouche pleine. Je sors mes doigts et lui donne une petite claque sur le sexe. Elle sursaute mais ne se plaint pas. C'est le signal que j'attendais. Je vais pouvoir la défoncer... Je replonge mes doigts dans sa chatte béante et tire fort vers le haut, comme pour soulever son bassin. Je la branle ainsi un moment, ressors les doigts et claque à nouveau sa chatte, juste un peu plus fort. C'est limite si elle ne me mord pas le gland, mais je sais à ses couinements qu'elle prend un pied du tonnerre. Je continue ce traitement de faveur, alternant masturbation puissante et sonore, et bonne claque sur la chatte. Aucune douceur et c'est volontaire. Rien que de la soumission, de l'abandon de sa part. Quand elle est chaude comme ça, elle aime se faire malmener. À ce rythme, elle décolle très vite et se met à jouir. J'écrase alors son clitoris et le fait rouler sous mes doigts. Ça la rend dingue et elle continue de jouir en s'agitant, ma bite toujours bien calée dans sa bouche. Je me place alors sur elle, la pénètre d'un coup et la baise violemment. Elle jouit en criant, ou l'inverse. Je la défonce furieusement jusqu'à l'orgasme. Je sors sans crier gare, me place au-dessus de ses seins et elle attrape ma queue pour me branler jusqu'à ce que je lui gicle dessus dans un râle de soulagement. Putain quel coup !!!
Je m'allonge à côté d'elle.
"Dis-moi ça t'a drôlement excité cette petite virée en portes-jarretelles ma chérie... Demain on y retourne ! "
julesx630, c2b78, MADMARL et 12 autres a liké
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par velo
#2780543
Le lendemain se passe assez tranquillement. Nous nous promenons dans la ville et évitons de parler de notre dernière soirée. Comme un non-dit, je sens qu'elle est clairement dans nos têtes même si on ne l'évoque pas. Dans la mienne en tout cas, c'est sûr, mais dans celle de ma femme également. Avec en ligne de mire, le spectre de la soirée qui se rapproche minute après minute... Tic-tac, tic-tac, tic-tac...
On rentre assez tard à l'hôtel, ce qui nous permet de ne pas trop cogiter. On se prépare la boule au ventre (enfin surtout moi), petite douche, et je ne suis pas surpris de voir Séverine prendre d'elle-même ses portes-jarretelles sur la table de nuit et s'assoir sur le bord du lit pour enfiler ses bas noirs. Je prends cette initiative avec optimisme et commence à blaguer avec elle. La soirée se lance enfin !
Nous sortons de la chambre. Toute guillerette dans sa petite robe moulante, elle traverse l'hôtel sans appréhension et se lance confiante à l'assaut de la ville. Je lui fais remarquer qu'on ne voit absolument pas qu'elle a des portes-jarretelles sur elle. "Encore heureux !" me répond-elle en riant.
On retourne au même restaurant qu'hier. Pourquoi changer quand tout se passe bien... La musique et l'ambiance sont toujours aussi agréables. Je commande deux margaritas et attends que l'effet de l'alcool monte pour demander à ma femme d'aller aux toilettes pour enlever sa culotte. Devant son refus immédiat, mais rieur, j'insiste en lui rappelant que personne ne nous connait ici, qu'on est seul et que merde, après tout qu'est-ce qu'elle risque ? j'ajoute que ça m'exciterait à mort de la savoir sans culotte avec ses jarretelles et ses bas. Elle aussi d'ailleurs, puisqu'elle se lève, marche en direction des toilettes et reviens cinq minutes plus tard. Sa main droite est serrée et semble tenir quelque chose. Elle s'assied en face de moi, approche sa main de la mienne, l'ouvre lentement et y dépose sa culotte. Sacrée gonzesse ! Je la glisse dans ma poche et la félicite pour son audace ! Elle passe le repas la chatte à l'air, ou presque. Comme hier, je l'envoie payer au bar et me délecte à la regarder marcher et se tenir debout, sans culotte et en porte-jarretelles, devant tant de monde. Elle est pas mal gênée chaque fois qu'elle croise mon regard, mais s'en sort plutôt pas mal. Vivement la suite de la soirée...
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par velo
#2787642
Notre petit bar est ouvert. Je laisse Séverine passer devant, ce qui me permet de profiter du merveilleux spectacle que sa tenue, secrète, offre à mon esprit vicieux qui vagabonde sur ses fesses. Il y a un peu moins de monde qu'hier, mais l'ambiance est toujours bonne. Elle fonce directement vers la salle du fond. Nos amies d'hier sont là ! Sourires, échanges de paroles de bienvenue, ma femme a complètement oublié qu'elle ne porte rien d'autre que ses jarretelles sous sa robe. À moins que...

On parle un peu, on danse un moment et je propose de boire un verre. Tournée de margaritas !! On s'installe au bar et on continue de faire connaissance. Nos deux copines s'appellent Bô et Anong. Le gars au bar, qui est le patron, est le copain de Bô. Elle est de taille moyenne, super mignone et ses longs cheveux décolorés rebondissent sur ses épaules. Elle porte une petite jupe sexy et un chemisier blanc moulant qui enserre merveilleusement ses jolis petits seins. Anong est plus grande, brune et franchement jolie elle aussi. Elle porte une robe-combinaison courte et moulante qui est fermée devant par une grosse fermeture éclair qui court sur toute la longueur. Les deux sont habillées très jeunes filles asiatiques bien délurées, c'est clair, mais leurs beaux yeux noirs et leurs sourires pulpeux invitent à la confiance. D'autant qu'elles sont vraiment sympas et rigolotes. On s'entend bien et Séverine est ravie.

On re-danse, plus longtemps cette fois, on re-bois un verre, on danse encore... La musique est rythmée et ma femme se colle souvent à moi pour danser un genre de zouk. J'en profite chaque fois pour lui attraper les fesses comme pour lui rappeler qu'elle n'a pas de culotte. Puis c'est Anong qui vient danser avec moi. Bô en profite vite pour se coller à ma femme et zouker avec elle. Génial ! Je n'attendais que ça. Ses mains courent sur ses épaules, son dos, ses côtes et le haut de ses fesses. Leurs ventres se touchent, se frottent, se collent, leurs jambes se croisent, leurs bassins s'épousent. Anong fait pareil avec moi, mais je n'ai d'yeux que pour ma chérie et son amie. Le bar se vide doucement. Je vais me reposer et boire une bière sur le côté du bar qui borde la piste. Les filles continuent de danser entre elles, puisqu'il n'y a maintenant personne d'autre sur la piste. Leurs peux trempées brillent de sueur. À tour de rôle, chacune d'elles se retrouve parfois en sandwich entre les deux autres. Les mains volent sur les corps. Elles prennent vraiment des tours et ma femme se régale.

La bar est maintenant vide, à part nous, et le patron baisse le rideau en me faisant un clin d'oeil. Je mets la main dans ma poche, en ressort la culotte de ma femme et la montre discrètement à Bô. Aussitôt, elle descend ses mains sur les fesses de Séverine et commence à les caresser tout en continuant de danser collée contre elle. Comme ma chérie se laisse faire, les mains se font plus insistantes, plus charnelles, plus présentes aussi puisqu'elle font légèrement remonter la robe de ma chérie. Leurs jambes s'emmellent et c'est à celle qui se frottera le plus sur sa copine. Laissée pour compte, Anong s'approche pour me parler, mais je suis subjugué par le spectacle qui s'offre à moi sous les lumières rouges de la piste de danse. Elle s'en amuse et me sussure à l'oreille quelque mots en thaïlandais que mon esprit enivré traduit pas "attention, Bô est une petite cochonne qui aime beaucoup les filles". J'aime...

Les deux filles continuent de danser quelques morceaux en se frottant comme jamais. Il fait au moins 35° au fond du bar et leurs peaux ruisselantes donnent un côté résolument sensuel à cette chaude soirée tropicale. La beauté enivrante de Bô n'est certainement pas étrangère à cette atmosphère. Enfin, épuisée et radieuse, Séverine vient s'assoir sur le tabouret à côté du mien. Elle ne s'est pas rendue compte qu'une jarretelle de devant a sauté et le haut de son bas est visible sur sa cuisse. Bô, qui n'a pas les yeux dans sa poche, s'approche d'elle et vient lui parler à l'oreille tout en lui glissant une main sous la robe. Sa main remonte très vite et je comprends à la réaction de ma femme et au soupir qui s'échappe en silence de sa bouche entrouverte qu'elle s'est attaquée directement à sa petite chatte. Bô profite vite de cette bouche offerte pour y poser délicatement ses lèvres. Encouragée par le chaleur de l'accueil, elle lui roule un palot phénoménale, attrapant le cou de ma chérie de son autre main pour mieux lui faire sentir son emprise. Ses doigts continuent de s'agiter sous la robe et elle fait maintenant courir sa langue sur ses lèvres. Séverine se laisse faire, subjuguée. Puis Bô s'accroupie devant elle, ses jolis yeux bridés devant ses cuisses brûlantes et raccroche la jarretelle sur la bas. Autant troublée qu'excitée, sa proie ne réagit toujours pas. Alors, très lentement, notre belle asiatique écarte les cuisses qui se présentent devant elle et approche sa bouche du sexe de ma femme...
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par velo
#2792985
Machinalement, Séverine ouvre davantage ses cuisses, ce qui fait apparaitre le haut de ses bas. Bô place ses mains sur la robe et la pousse en arrière, aidée par Séverine qui se soulève légèrement pour permettre au tissus de remonter au-dessus de ses hanches. Sous la lumière rouge qui inonde la piste de danse de ce petit lupanar de rue thaïlandais, au centre de ce porte-jarretelles et de ces bas noirs, le sexe de ma femme chérie s'offre sans pudeur et attend l'assaut final.

Je ne dis plus un mot. Je ne respire même plus. Seules la musique et la douce voix d'Anong qui continue de parler en thaïlandais troublent cet instant. Ma petite femme est assise sur un tabouret de bar, la chatte à l'air, et attend de se faire lécher par une super jolie fille. Bô approche sa bouche et embrasse doucement l'intérieur de ses cuisses. Elle remonte lentement jusqu'à sa chatte qu'elle vient lécher délicatement. Séverine apprécie. Elle ferme les yeux, entrouvre sa bouche et rejette sa tête en arrière. Derrière son bar, le patron continue son rangement en jetant des regards de plus en plus intéressés par le spectacle de sa copine. Profitant de ce flottement, Anong approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes. Elle m'embrasse avec fougue et ses mains trouvent naturellement leur chemin. Elle ouvre mon jean, le baisse, s'accroupie devant moi, sort ma queue et la lèche sur toute sa longueur en susurrant des mots inconnus que je devine bien cochons. Juste à côté, Séverine commence à prendre des tours sur son tabouret. Elle respire de plus en plus fort, agite son bassin et attrape à pleines mains la tête de Bô qui torture son clitoris. Elle entrouvre des yeux hagards et ne réagit pas plus que ça en apercevant Anong en train de pomper mon gland. Elle les garde bien ouverts et fixe à tour de rôle le visage de Bô et la bouche d'Anong. Elle commence à décoller, frotte de plus en plus fort sa chatte sur la bouche qui semble vouloir l'avaler et se met à jouir longuement et gémissant comme une jeune chienne en chaleur. Merveilleux spectacle ! Bô se relève, l'embrasse goulument pour bien lui faire goûter sa chatte, la fait descendre de son tabouret, prend sa place, relève sa jupe et écarte les cuisses en posant ses mains sur les épaules de ma femme. La messe est dite. Elle sait ce qu'il lui reste à faire...

Séverine regarde d'abord Anong travailler cette queue qui est normalement sienne, me sourit, pose ses mains sur les cuisses de Bô et se penche pour m'embrasser tendrement. Elle s'accroupit alors devant sa partenaire, lui enlève sa culotte et pose ses lèvres que je devine brûlantes en haut de son entrecuisse. C'est sa première fois, mais elle se comporte avec assurance. Je vois sa langue trainer autour du sexe parfaitement épilé et venir s'échouer sur les lèvres dilatées. J'attrape la jambe de Bô et la pose sur ma jambe, afin de bien profiter de la vision de ma femme qui lèche avec envie le sexe d'une autre femme. Je ne calcule même plus cette pauvre Anong, pourtant très belle, qui fait son possible pour capter mon attention. Elle frotte son visage sur ma queue, l'avale, la pompe avec force. C'est super, elle est experte mais je suis focus sur ma femme, ce qui ne m'empêche pas d'avoir un braquemart du tonnerre ! Cette satanée lumière rouge rend la scène encore plus excitante. Ma chérie dévore maintenant le sexe de Bô . Cette dernière aussi semble apprécier et elle parle souvent à Séverine. Sa jolie voix douce prononce des mots qui n'ont aucun sens pour nous, mais que nous devinons aisément. Son ami commence à s'intéresser sérieusement à ce qui se passe, mais il est patient et continue de ranger son bar. Séverine remonte ses mains, ouvre le chemisier décidément trop petit de Bô et attrapent ses seins. C'est au tour de notre petite asiatique de grimper aux rideaux. Elle s'agite et gémit sur son tabouret. Séverine malaxe ses seins avec vigueur et sa bouche s'acharne sur sa chatte béante. Elle la lèche, l'aspire, l'avale, la mord. Visiblement elle prend elle aussi son pied. Le rythme monte, les respirations s'emballent. Bô attrape la tête de mon épouse et l'écrase sur sa chatte trempée. Son bassin fait des va-et-viens saccadés de plus en plus rapides sur sa bouche jusqu'à ce qu'un cri annonce la capitulation. Elle jouit violemment et bruyamment, sans pudeur, avec toute la fougue de sa jeunesse. Elle jouit longuement, en continuant de se frotter sur la bouche de ma femme qui n'a pas abandonné son étreinte. Loin de là. D'ailleurs, ma chérie est en train de se masturber d'une main, toujours accroupie, et a l'air de prendre beaucoup de plaisir à servir ainsi sa jeune amie.

Nos deux amies échangent alors quelques mots en riant. Bô descend de son tabouret. Sa petite jupe est tellement serrée qu'elle reste relevée au-dessus de ses hanches et laisse son minou rasé parfaitement visible. Elle vient prendre la place d'Anong qui se lève et réinstalle Séverine sur ce vieux tabouret qui n'en revient toujours pas de voir défiler autant de chattes ! Elle approche son visage du sien, la fixe de ses yeux noirs en parlant calmement et l'embrasse avec douceur. Ma chérie se laisse faire une fois de plus et écarte machinalement les jambes lorsqu'Anong se baisse à son tour devant elle. Bô est déjà en train de lécher méticuleusement mon gland. Décidément, ces filles sont sur un rythme d'enfer. Ma femme garde cette fois ses yeux ouverts, et fixe à tour de rôle la bouche de Bô sur mon sexe et celle d'Anong sur le sien. Elle est bien chaude maintenant et va pouvoir enchainer les orgasmes. Elle jouit vite sous la bouche apparemment experte de sa nouvelle compagne, qui ne s'arrête pas pour autant de déguster ce fruit offert. De son côté, après avoir copieusement nettoyé et gouté ma bite avec sa langue et sa bouche pulpeuse, Bô a sorti un préservatif et, profitant de son poids plume et de sa souplesse, est venue s'empaler sur ma bite, à califourchon sur le tabouret. Cette position, pour le moins acrobatique, lui permet de poser ses petits pieds sur les bords du tabouret et donc de gérer au mieux ses va et viens le long de mon sexe, d'autant plus que je ne peux pas bouger. Sa chatte est bien serrée et c'est un vrai plaisir de sentir ses lèvres étirées glisser difficilement le long de mon membre tout en voyant celle qui partage ma vie depuis de longues années jouir à n'en plus finir sous les caresses buccales d'une autre femme.

Sans doute impatiente que l'on s'occupe enfin d'elle, Anong se relève, et, attrapant Séverine par les hanches, la fait descendre de son merveilleux piédestal. Ma femme comprend ce qu'on attend d'elle. Elle embrasse Anong à pleine bouche et commence à baisser lentement la fermeture éclair qui ferme la robe tunique ultra moulante. Elle s'accroupie alors, pour ne pas abimer ses bas sur le sol, et pose ses mains sur la culotte avec une délicatesse que j'interprète comme une volonté de bien profiter du moment. Anong porte également des portes jarretelles mais avec des bas résilles. La culotte descend lentement, découvrant un pubis parfaitement rasé jusqu'à ce que, tel un diable qui jaillit de sa boite, une bite soudainement libérée de son étreinte surgisse devant le nez de ma femme. CHTOOINNG !! Incroyable, on n'a rien vu venir... Éclat de rire de nos trois thaïlandais ! D'abord surprise, ma femme parait tout de même intéressée par cette belle queue parfaitement imprévisible mais fièrement dressée au-dessus des bas résilles ! Elle maintient son visage juste devant, à quelques centimètres seulement, et ne la quitte des yeux que pour remonter sur le visage d'Anong qui ne cache pas son amusement devant notre air incrédule et l'encourage de sa voix féminine. Elle m'interroge alors du regard pour savoir si elle doit s'en occuper et, voyant Bô s'agiter autant qu'elle peut sur ma queue, décide que oui et comment qu'elle va s'en occuper !

D'ailleurs, c'est une sacrée queue, droite et lisse, de belle taille et avec un superbe gland bien décalotté. C'est pas ma tasse de thé, mais faut avouer que c'est une belle bite. D'autant plus spectaculaire qu'elle se dresse sous le porte jarretelles d'une superbe femme ! Enfin, c'est la vision qu'on en a et qui joue parfaitement avec notre débile mentale.
Et ma femme en a visiblement très envie... Mais c'est une championne de la turlutte, une marathonienne de la pipe, une diplômée de la fellation. Alors elle prend son temps, comme elle sait si bien le faire. Pourquoi accélérer la plaisir quand on peut le faire durer. Elle commence par bien lécher tout autour, en évitant surtout de la toucher. Le sexe tendu sursaute à chaque coup de langue. Puis elle descend sur les bourses de notre ami(e) qui commence à moins rigoler. Elle les lèche à pleine langue, les suce et les avale avant de recommencer. Elle pose enfin sa langue sous les couilles, lèche copieusement et la remonte sans interruption jusqu'à la base du gland qu'elle tient relevé dans sa jolie petite main. Elle sait y faire et cela attire l'attention du copain de Bô qui a soudain l'air plus intéressé par ma femme que par la sienne qui continue de monter et descendre sur ma queue. Il faut dire qu'elle aussi ne perd pas une miette du spectacle et a bien ralenti sa cadence. Tant mieux, je pourrai durer plus longtemps, d'autant que Séverine m'excite à mort ! Ma petite femme répète ce manège plusieurs fois avant de décider qu'il était temps de s'attaquer au gland. Elle le décalotte à fond et entreprend de parfaitement en nettoyer la base avec sa langue comme une belle petite cochonne qu'elle est ! Elle aime beaucoup ça et a une totale conscience du plaisir qu'elle procure. Notre barman lâche un commentaire, auquel nos deux belles asiatiques répondent en coeur. Mais ça ne rigole plus.
"Sûrement un compliment sur tes talents de pompeuse de bites " dis-je à Séverine qui bien sûr ne répond pas. Je pense d'ailleurs qu'elle sent nos regards vicieux l'observer. Elle continue de s'appliquer comme une bonne élève sur ce gland franchement balaise qu'elle va bien devoir finir par avaler. Mais elle n'en est pas encore là. Elle remonte alors sa langue et la fait courir sur le gland. Commence alors un fantastique roulement de langue tout autour du gland. Elle le lèche dans tous les sens, comme un cornet de glace qu'on ne veut pas laisser fondre. Anong apprécie ce traitement et le fait savoir à Séverine qui va finir par parler thaïlandais ! Ça y est, tout est prêt. Ma femme soulève sa bouche au-dessus du formidable gland qu'elle vient de bien astiquer, baisse la tête en avant pour trouver le bon angle, ouvre en grand sa bouche et l'avance lentement sur le terrible engin. Tout le monde s'est arrêté pour la regarder. Même Bô reste immobile sur son tabouret et ne remue plus son joli petit cul.
Dug, maxou501, zztop et 3 autres a liké

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