Juillet 2023, un cadeau hors norme !
Je suis terriblement impatient de partir cette année. Demain, direction Marseillan, Pinet pour être plus précis. Ca fait trois semaines que j’attends ça, trois semaines que je piaffe d’impatience. Je me dis que n’importe quel mec à ma place serait dans le même état d’esprit ! Je n’arrête pas de me repasser en boucle cette conversation avec ma petite femme, un mois plus tôt...
Un soir en rentrant du boulot, elle pose ses affaires et me rejoint sur le canapé. Comme d’habitude, on se raconte nos journées respectives et là, tout d’un coup :
_ Mon chéri, figure toi qu’aujourd’hui, je n’ai pas arrêté de penser à un truc...
Je la regarde, attendant la suite. Elle me fixe avec ce petit sourire en coin que je connais bien. Mon attention redouble car je sais que ce n’est pas de son boulot qu’elle va me parler.
_ J’ai envie de te faire un cadeau pour te remercier mon amour !
Là, je reste bouche bée. Je ne vois pas vraiment de quoi elle veut me remercier. Je cherche dans ma tête et je dois avoir l’air particulièrement stupide car elle se met à rire.
_ Tu te demandes de quoi je veux te remercier, c’est ça ?
_ Ben... Heu... Désolé, je vois pas trop.
Elle pouffe de rire avant de me lâcher :
_ Tout simplement, merci de me permettre de vivre tout ça ! Merci pour toutes ces petites choses... pas vraiment courantes, si tu vois ce que je veux dire...
Tout en parlant elle me caresse le bras doucement.
_ Je veux parler de nos petites folies... En fait, j’ai une vie de dingue !!! Je me dis que j’ai une chance extraordinaire de t’avoir rencontré !
Là, je suis tellement surpris pas cette entrée en matière que je reste bouche bée quelques secondes. Je finis par lui demander pourquoi elle me sort ça maintenant, aujourd’hui plus particulièrement.
Elle pose sa tête sur mon épaule :
_ A midi, j’ai déjeuné avec des collègues, toutes des filles. Je sais plus comment on en est venues à discuter de nos vies respectives.
Elle marque une petite pause, puis continue :
_ C’est incroyable. C’était d’une banalité ! Il y en a une qui a osé parler sexe. Ben figures toi qu’elles ont toutes autour de la cinquantaine et pratiquement plus d’envies, c’est fou, non ? Moi, j’ai trouvé ça triste... (petit silence). J’ai rien dit mais j’ai imaginé leur têtes si je leur avais dit « ben moi, je me fais sauter de temps en temps par d’autres mecs et mon mari adore regarder. »
Elle éclate de rire et je l’imite en imaginant à mon tour la scène. C’est sûr que ça aurait jeté un froid.
_ Bref, j’ai pris conscience que j’avais une vie fabuleuse grâce à mon adorable petit mari.
Elle dresse la tête et dépose un petit bisou sur mes lèvres avant de reprendre :
_ Merci de m’avoir entrainée dans cette vie complètement dépravée.
Elle rit avant de poursuivre :
_ J’assume totalement maintenant... Tu sais !
Je la regarde, plus amoureux que jamais.
_ Et moi, j’en profite un max. Donc, on est un couple parfait !
Nouvelle crise de rire, on se sert un verre pour fêter ça. Après la première gorgée :
_ Bon, j’ai donc décidé de te faire un petit cadeau pour ça.
Elle plisse les yeux comme si elle réfléchissait puis pouffe de rire. Elle me fixe avec un petit sourire en coin.
_ Cet aprèm, j’ai bien réfléchi à la question et j’ai décidé de t’offrir une petite virée de trois jours dans un endroit bien spécial... Et si tu es sage, je pourrai... éventuellement... Faire certaines choses dont tu aurais... éventuellement... envie... Bref, ce serait toi qui déciderais de ce qu’on fait.
Je la regarde, sidéré. Je me dis « Hoouuuaaaa, là, c’est le graal ! ». Je commence immédiatement à gamberger. J’imagine tellement de choses que je ne sais pas quoi lui répondre. De nouveau elle pouffe de rire en me fixant, ravie de la tempête qu’elle vient de déclencher en moi. Putain, quel mec ne rêverai pas d’un tel cadeau ? Je reprends pied avec la réalité et lui demande timidement :
_ Heuuu, tu entends quoi par « c’est moi qui décide » ?
Elle éclate de rire.
_ Ah, j’étais sûr que tu commencerais par là !
Je la regarde, plus attentif que jamais. Elle reprend un semblant de sérieux et la tête penchée en avant, avec un petit regard par en dessous, me glisse :
_ Ben tout ce dont tu as envie... J’ai suffisamment confiance en toi pour te suivre dans tes délires.
Je suis abasourdi, c’est tellement inattendu et en même temps tellement tentant. Soudain, elle éclate de rire devant ce qui doit être à ses yeux, un mec totalement dépassé. Je réalise que je la regarde, la bouche grande ouverte, la tête d’abruti parfaite !
Je l’attire contre moi et l’embrasse tendrement sur la bouche. Un long baiser amoureux. Je suis plein d’elle, mon cœur déborde de tendresse pour cette femme merveilleuse. Putain comme je l’aime !
Elle niche sa tête dans mon cou et murmure :
_ En me baladant sur internet, je suis tombée sur le site d’un camping naturiste un peu particulier. Je suis allé sur d’autres sites pour être sûr d’avoir tout compris et c’est vraiment un camping naturiste. Pas libertin mais pour moi, c’est tout comme. Ca s’appelle « terre de soleil » et c’est que pour les couples sans enfants. Le camping est sur un petit domaine avec un club libertin accolé qui s’appelle l’Extasia. Il y a aussi un restaurant genre cabaret avec des spectacles, le Palaisia.
Elle rigole doucement avant de continuer d’une petite voix :
_ Il y a un autre truc aussi qui est bizarre... Un petit bois où il se passe des trucs le jour et la nuit. Bref, j’ai téléphoné et il n’y a pas besoin de réserver pour les camping-cars donc tout m’a paru bien pour mon petit cadeau... On pourrait partir le vendredi en début d’aprèm et revenir le lundi soir, tu en penses quoi ?
Je me mets à rire puis je la regarde droit dans les yeux en plissant mes paupières :
_ Je pense que tu as toi aussi très envie d’aller explorer ce camping et que je ne vais surtout pas te contrarier mon amour...
Et voilà où on en est ! Inutile de préciser que je me suis empressé d’aller consulter tout ce que je pouvais concernant l’endroit. Cela ressemble beaucoup à un truc de rêve pour coquiner... Demain, on part et je me dis qu’une fois sur place, je n’aurai qu’à profiter des opportunités qui se présenteront pour qu’on s’éclate ensemble. Je n’aurai pas à me soucier de ce qu’elle sera prête à accepter puisqu’elle m’offre une soumission totale à mes envies !
Après 5h de route, ça fait du bien de se balader nus aux chants des cigales. On se sent ailleurs, déjà dépaysés... Le camping est assez grand, un espace avec des bungalows, un pour les camping-cars et un pour quelques tentes en location. Le tout sous des pins où vivent des milliers de cigales. Il y a un petit bar-restaurant et une piscine. On se ballade dans les allées et on finit par arriver devant une entrée ouverte dans une clôture encerclant le camping. Devant nous, une large allée, clôturée de chaque coté traverse un bois. A l’autre bout, on devine une autre ouverture donnant sur un bâtiment, le club Extasia sans aucun doute. Marine me sert la main et me regarde avec un petit sourire. Elle murmure :
_ C’est le petit bois... On va voir ?
On s’avance dans l’allée et un peu plus loin, une autre ouverture donne accès à un sentier s’enfonçant dans le bois. Il serpente entre les arbres, jalonné de temps en temps par quelques bancs. On débouche soudain sur un petit espace dégagé avec au centre une table ronde en pierre. Sur notre droite une sorte de chapiteau de toile tout en longueur avec, à l’intérieur, côté gauche, des sortes de paillasses alignées le long de la paroi et leurs faisant face, côté droit, une rangée de bancs. On ressort pour découvrir au fond de l’espace ouvert un autre chapiteau, plus petite. A l’intérieur, de chaque côté, une rangée de bancs et au centre, une seule grande paillasse légèrement surélevée. L’endroit est désert. Je regarde ma montre, 20h, l’heure Du diner pour la majorité des campeurs sans doute...
A droite du petit chapiteau, le sentier continue, on le suit. Il amorce une large boucle et nous ramène à l’entrée prise précédemment. Au passage, nous avons noté une autre sortie donnant directement accès à la piste de dance à ciel ouvert et au bar de l’Extasia. Le portails est fermé à clé et ne doit s’ouvrir que la nuit sans aucun doute.
De retour au camping car, on décide d’aller manger au petit restau. L’ambiance est plutôt calme et comme nous le pensions, plusieurs couples ne sont pas là par hasard. Nous devinons rapidement que le camping se partage entre deux populations, les libertins et les autres. Les premiers, pour la plupart, mangent en groupe, des habitués, ça se voit. En tendant l’oreille, on surprend quelques brides de conversations grivoises. Nous faisons rapidement connaissance avec quelques uns d’entre eux et nous apprenons beaucoup de choses...
L’extasia est ouvert tous les soirs mais le samedi, c’est là qu’il y a le plus de monde. Beaucoup plus de gens venant de l’extérieur, du cap d’Agde notamment. Pas trop d’hommes seuls, ils sont filtrés à l’entrée. Lorsqu’on se sépare, je note quelques regards, comme si on nous évaluait...
Une fois rentrés dans notre camping car, nous décidons de nous coucher tôt afin d’être en pleine forme le lendemain, il y a pas mal de chose à visiter dans le coin et la soirée qui suivra sera sûrement très longue...
Les cigales nous réveillent dès que le soleil chauffe un peu. Petit dèj rapide puis on sort du camping, direction Marseillan. Ballade sur le petit port puis vers les baraquements des ostréiculteurs. Petit restau de fruit de mer avant d’aller faire une sieste sur la plage. En fin d’aprèm, visite chez un producteur de vins puis retour au camping. Une journée merveilleuse qui nous permet d’être bien détendus...
Vers 18h30, alors qu’on sirote une petite bière sur notre emplacement, on remarque un étrange manège du coté des sanitaires situés au bout de notre allée... Il ne nous faut pas longtemps pour comprendre que pour une partie de la gente féminine du camping, l’heure de certains préparatifs est arrivée ! Je jette un coup d’œil vers ma coquine. Elle a les yeux qui brillent et je devine un début d’excitation. Elle tourne la tête vers moi et avec un grand sourire :
_ Je crois que moi aussi je vais aller me faire belle...
Elle pouffe de rire avant de se lever. Elle grimpe dans le camping car est en ressort avec une serviette et une trousse sous le bras. Je la regarde se diriger vers les sanitaires, son cul, ses hanches, qu’elle est bandante ! Je ferme les yeux et je commence à l’imaginer en train de se faire baiser devant moi... Putain que ça va être bon ! Sûr que je vais l’offrir à un ou plusieurs mecs ce soir. Elle m’a dit que je pouvais assouvir toutes mes envies mais je suis persuadé que les siennes n’ont rien à envier aux miennes... Je la devine prête pour plein de choses et mon cœur commence à battre la chamade. Je sens cette sorte de fébrilité annonciatrice d’un grand moment de plaisir intense. Je me dis que de son côté, elle doit imaginer certaines choses elle aussi, des mains sur son corps, ses seins, des sexes en érection pressés de la baiser... Je suis sûr que cela doit commencer à la chatouiller du côté de son ventre.
Je secoue la tête. Je bande déjà et ça ne se fait pas dans un camping naturiste ! C’est du n’importe quoi. Je me lève, monte dans le camping car et sort mes fringues pour ce soir, histoire de penser à un truc moins salace. J’étale sur la couchette un jean et une chemise blanche pour faire un peu chicos. J’entends des rires féminins et je me penche pour voir au travers du pare-brise. Elles sont trois qui passent devant moi, trois femmes superbes habillées hyper sexy, déjà chaudes. Le ton est donné.
Marine revient au bout de ce qui me semble une éternité, douchée et maquillée. Elle monte dans le camping car et me pousse dehors en me demandant d’attendre bien sagement pour faire mon choix. Elle a prévu deux robes.
Je tourne en rond pendant une dizaine de minutes et je finis par la voir ressortir avec sa première tenue. J’ignore la suivante mais j’approuve immédiatement celle-ci.
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Elle tourne plusieurs fois devant moi puis remonte dans le camping car sans un mot. Je tremble de partout...Rien que de la voir à fond dans le sujet, c’est terriblement excitant. Ma femme exprime clairement son envie de sexe sans aucune retenue. Elle est prête à tout pour me faire plaisir, c’est une sensation extraordinaire, fabuleuse pour le candauliste que je suis. J’attends la suite avec une impatience grandissante et la porte s’ouvre enfin.
Quelle magnifique salope ! Je reste sans voix devant la bombe qui se tient devant moi.
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De nouveau, elle tourne sur elle-même plusieurs fois puis me regarde droit dans les yeux :
_ Alors ? Tu en penses quoi ?
Je cherche mes mots, souffle un bon coup et fini par lui répondre :
_ Les deux sont hyper bandantes... Je sais pas trop laquelle choisir en fait. Dans la deuxième, tu fais franchement...
J’hésite à lui dire le mot. Elle éclate de rire et me lance :
_ Pute ?
Je hoche la tête en souriant, un peu gêné et lui souffle :
_ C’est ça... Et j’adore...
Elle pouffe de rire et me lance :
_ C’est comme tu veux mon amour, c’est ton cadeau. Mais je peux t’aider un peu en te donnant un indice concernant la première.
Je la regarde en silence. Elle attend quelques secondes avec un petit sourire coquin puis murmure :
_ Elle s’enlève beaucoup plus facilement que l’autre...
Impossible d’être plus claire ! Pour elle, autant choisir la plus pratique pour s’en débarrasser le moment venu. Elle est parfaitement dans son rôle de coquine soumise. C’est géant ! Finalement, je pouffe de rire en lui répondant :
_ Tu as raison, je n’avais pas vu les choses sous cet angle... Mais c’est un critère important !
Elle se met à rire elle aussi et je me dis que c’est fabuleux de vivre ça d’une manière aussi détendue. On parle d’une soirée baise comme du menu d’un repas...
Elle remonte immédiatement dans le camping car pour se rechanger et peaufiner son maquillage et moi, je file à la douche.
Lorsque je reviens, elle est là, superbement bandante. Je me dépêche d’aller m’habiller puis nous partons, main dans la main comme pour une petite ballade.
Le Palaisia est situé juste à coté du club. Il possède toutefois son propre parking et sa propre entrée. Il nous faut 10mn pour y accéder à pied. A notre grande surprise, il y a une longue file d’attente. L’ambiance est plutôt festive. Des rires fusent, les gens patientent en plaisantant. On avance doucement et nous comprenons soudain pourquoi c’est si lent. A l’entrée, plusieurs hôtesses d’accueil se relaient pour accompagner les arrivants à leur place. C’est bien organisé et il le faut vu la taille de la salle. C’est immense. De grandes tablées sont alignées de chaque coté et perpendiculairement à une scène surélevée toute en longueur. On nous conduit vers l’une d’elle pour la compléter. Le hasard veut qu’on y retrouve, entre autres couples, l’un de ceux rencontrés au petit restau du camp la veille au soir. La conversation s’engage immédiatement. Loïc, charment quinqua, plutôt svelte, blagueur et Isabelle, fausse blonde assez petite, un peu enveloppée mais très agréable à regarder quand même. D’une nature très avenante, elle nous explique qu’ils viennent ici depuis plusieurs années. Ils sont intarissables sur les lieux de rencontres coquines de toute la région.
Les premiers plats arrivent dans un ballet bien rodé tandis que sur la scène, le spectacle commence. Musique, dance, sketchs comiques, tout s’enchaine sans temps mort. Un vrai spectacle de cabaret avec des filles habillées de plumes et de paillettes.
Le repas touche à sa fin et soudain, Isabelle nous interroge :
_ Vous allez au club après ?
Marine me jette un rapide coup d’œil avant de répondre :
_ Oui et vous ?
Echange de regards entendus avec un sourire entre les deux autres avant que Loïc nous annonce que pour eux, c’est un passage obligé mais que ce n’est pas le cas de tout le monde autour de nous. Puis il nous demande si on est marié et Marine lui répond par l’affirmative et précise même, en riant, que nous sommes un vieux couple maintenant. Je lui demande en retour si eux aussi sont mariés.
Ils pouffent de rire avant qu’Isabelle nous murmure :
_ Oui, nous aussi, nous sommes un vieux couple...
Silence. Puis elle me gratifie d’un beau sourire tandis que Loïc se lève et nous indique, d’un signe de tête, une sortie sur le côté de la salle.
_ Nous, on y va, c’est directe par là. A plus tard peut-être...
Nous les regardons partir, main dans la main. Je regarde ma coquine :
_ Tu les trouves comment ?
Elle hésite puis :
_ Plutôt sympa.
_ Il te plait ?
_ Rrrrôôô tout de suite...
Je ris doucement avant de lui murmurer :
_ Moi, j’ai bien vu qu’il ne te déplait pas, tu n’arrêtais pas de le regarder en douce. Et lui aussi d’ailleurs... Allez, avoues !
_ Pfff ça va... C’est vrai qu’il est pas mal...
Je la regarde avec un petit sourire.
_ Tu as bien dit que pour ce weekend-cadeau, je pouvais décider et que toi tu suivrais !
_ Oui, je l’ai dit... Et donc ?
Je prends un air sérieux avant de lui répondre :
_ J’ai trop envie de le voir te baiser ma chérie... Lui et un ou deux autres... Ensembles ...
_ Tiens donc, rien que ça !
Elle se mord la lèvre inférieure, semblant réfléchir.
_ Je m’attendais à un truc de ce genre... Je te connais par cœur, tes envies, tes fantasmes...
J’ai le cœur qui bat la chamade. Pendant quelques secondes je me dis que c’est foutu, qu’elle ne va pas aller jusqu’au bout du deal. Elle me fixe toujours droit dans les yeux, sans ciller. Je craque. Je lui demande d’une petite voix :
_ Tu ne veux pas ?
_ Je n’ai pas dis ça ! Quand je t’ai fait cette proposition, je savais que tu voudrais tenter ce genre d’expérience. Par contre, je trouve que c’est compliqué. On ne connait personne. A part Loïc et encore, si on peut appeler ça « connaitre » !.
_ Ben justement, c’est encore plus excitant avec des inconnus, non ? Et bandante comme tu es, je suis sûr qu’il y aura des volontaires. En tous cas, j’ai hyper envie de ça.
Elle me répond avec un petit sourire.
_ Oui mais ce serait bien qu’ils me plaisent un peu quand même...
_ Ben c’est évident. C’est pour ça que je te demandais pour Loïc. Pour les autres, on laisse faire les choses et tu choisis. Moi, je serais là tout proche pour juste regarder, c’est toi qui décideras avec qui.
Oh putain, elle ne dit pas non ! C’est géant ! Elle est vraiment prête à me suivre ! Je suis déjà hyper excité. C’est terrible comme sensation, je tremble de partout.
La piste de danse et le bar sont en plein air, sous des arbres. Au fond, derrière le bar, un bâtiment avec un étage. On devine que tout se passe en haut car des couples font régulièrement des allers-retours dans l’escalier dont la porte reste ouverte en permanence. En bas, seules des toilettes sont accessibles. Une grande partie du patio est occupée par des tables basses entourées de fauteuils et de banquettes.
Mais il y a un autre endroit avec beaucoup de passage dans les deux sens, un portillon donnant accès au petit bois...
Nous n’avons connu qu’une seule expérience en club jusqu’à présent et nous avions été très déçus. Au point de ne pas y être resté très longtemps. C’était trop sombre avec très peu de monde et une ambiance pas très festive. Bref, on appelle ça une mauvaise expérience.
Ici, c’est complètement différent. On s’amuse avec une majorité de couples, légitimes ou non, tout le monde s’en moque. Les gens rient, discutent et dansent sous des guirlandes lumineuses accrochées aux branches. Je sirote ma bière en observant tout cela tandis que Marine ondule lascivement entre nos nouveaux « amis » qui l’effleurent régulièrement de leurs mains. En fait, nous avons rapidement intégré un groupe d’amis complices, invités par Loïc et Isabelle. Nous avons fait connaissance d’Hervé et sa femme, présents eux aussi au restau du camp le soir de notre arrivée et de Fred, un de leurs « copains célibataires » du coin. Deux autres couples étaient là aussi au début mais ils ont disparu en entrainant la femme d’Hervé avec eux.
Il est 1h du mat et cela fait une heure que le jeu de flirt-séduction a commencé. Je cherche Isabelle du regard et l’aperçois en compagnie d’un autre mec. Ils dansent en se frottant l’un à l’autre. Je souris, il y a à peine vingt minutes, elle faisait la même chose avec moi. C’était très agréable et je me dis que je devrai tenter ma chance plus tard. Depuis le début de la soirée, elle et Loïc nous ont bien fait comprendre que nous étions tout à fait à leurs goûts. Déjà, le soir de notre arrivée, j’avais remarqué leurs regards très appuyés...
Au beau milieu de la piste trône une barre de Pole Dance. Les filles se succèdent dans des postures sans équivoques. Je me dis que cet endroit est vraiment très agréable avec cette ambiance chaude, sans tabous, excitante...
Je jette en coup d’œil du coté de Marine et de ses « prétendants » et je remarque que ma coquine accepte des caresses beaucoup plus « directes ». Elle tourne sur elle-même et tout en ondulant des hanches, les laisse se plaquer contre son dos et se frotter contre elle. Au bout de quelques secondes, ils l’enveloppent à tour de rôle de leurs bras et en profitent pour palper ses seins. Je croise le regard de Marine qui me sourit tout en se laissant tripoter. Elle sait bien ce que j’attends d’elle... Et j’ai la nette impression que ses partenaires ont compris qu’elle était disponible, très disponible. Je sens ma queue se redresser lentement dans mon jean... Autour d’eux, beaucoup de couples agissent de même, rien de choquant ici. Il y a même quelques femmes qui sont carrément torse nu. Je sens mon cœur taper dans ma poitrine, les choses semblent s’accélérer depuis quelques instants et ce n’est pas pour me déplaire.
Soudain, Hervé les laisse pour venir me rejoindre. Il s’assoit et attrape son verre en me lançant :
_ Ca va ?
_ Très bien, oui... Et toi ?
_ Très bien aussi... (Petit silence). Ta femme a l’air de bien s’amuser aussi.
En disant cela, il me regarde avec des yeux rieurs. Je lui réponds avec un sourire.
_ Je vois ça, en effet...
Je cherche mes mots avant de prolonger :
_ Elle sait qu’elle peut en profiter... Je ne suis pas jaloux !
Et je me mets à rire de ma blague à dix balles. Il a la gentillesse de m’accompagner et je passe instinctivement au tutoiement :
_ Vous avez l’air de vous retrouver régulièrement dans ce genre d’endroit ! Votre bande est sympa... Il y a longtemps que vous vous connaissez ?
_ Une dizaine d’années... Un peu moins avec Fred, lui ça fait trois ans qu’on le retrouve ici.
_ Ah... Le seul, qui soit célibataire ?
_ Oui, c’est un habitué des clubs de la région. On est nombreux à le connaitre ici. Disons qu’on passe de bons moments avec lui. Nos femmes apprécient sa compagnie si tu vois ce que je veux dire.
Il appui sa dernière phrase avec un clin d’œil. Je hoche la tête en signe de compréhension et m’enfile une rasade de bière à mon tour. Puis je jette un coup d’œil vers la piste et observe ma chérie toujours entre les deux autres qui continuent de la caresser sans aucune gêne. Je tourne la tête et observe Hervé qui ne baisse pas les yeux. Je me racle la gorge, hésite puis me lance :
_ Je... J’aime bien regarder ma femme avec d’autres mecs... Je veux dire que c’est mon truc de la voir en bonne compagnie.
J’hésite, j’ai la voix qui tremble, on dirait un ado qui fait sa première demande pour sortir avec une fille. Je me traite d’idiot et me dis que ce serait temps d’assumer quand même !
Il regarde vers le trio avant de me répondre avec un sourire narquois :
_ Tu as envie de quoi exactement ?
_ Ben... Je voulais juste dire que si vous... Si vous aviez quelques envies... Ensemble... Ben moi, ça ne me gênerai pas... Elle est libre de faire ce qu’elle veut, c’est tout.
Il se met à rire avant de me répondre :
_ On avait deviné que vous étiez plutôt libérés... Comme nous tous ici d’ailleurs.
Il jette un coup d’œil autour de lui avant de poursuivre :
_ D’ailleurs, ma chérie est partie pour en profiter elle aussi mais sans moi... Tiens et regarde Isa, elle ne se gêne pas non plus.
Il me regarde en riant puis s’approche de moi et me glisse :
_ Marine est franchement bandante et elle semble plutôt bien partie, non ? Donc, tu devrais trouver ton bonheur d’ici la fin de cette soirée. En tous cas, tu peux compter sur nous pour faire en sorte que vous vous sentiez bien...
Il rit en me donnant une petite tape amicale sur l’épaule puis se lève pour rejoindre les autres. Je finis ma bière, détendu, ravi que « mon cadeau » sera au niveau.
Je danse seul, à quelques mètres d’eux. Je transpire de partout et la chaleur n’est pas la seule responsable. Marine passe de bras en bras, les laissant la caresser un peu partout. Elle semble plutôt à l’aise et me jette souvent un regard avec un petit sourire complice. Je suis frustré, je ne sais pas comment ils se sont entendus mais c’est évident que pour eux, c’est réglé. Ces trois là se connaissent parfaitement et ils vont se faire une salope ensemble, MA salope ! Et elle ne leur laisse aucun doute quand à son consentement pour ça ! C’est ce que je voulais mais en même temps j’aurai bien aimé les écouter pour savoir ce qu’ils se sont dits tous les quatre.
Soudain, alors que Fred et Loïc dansent avec Marine prise en sandwich entre eux, Fred se penche et leurs dit un truc. Loïc acquiesce d’un signe de tête et Marine fait de même. Je suis trop loin pour entendre ce qu’ils se disent. Je note qu’Hervé s’est approché et les trois mecs se parlent avant de visiblement interroger Marine. J’observe attentivement ma coquine qui fait oui de la tête et finit par prendre la main tendue par Loïc. Elle tourne brièvement la tête vers moi pour s’assurer que je suis bien là puis le suit. Hervé me jette un coup d’œil à son tour en me souriant avant de leur emboiter le pas. Je les suis à distance, en parfait voyeur, en parfait mari candau.
Ils se dirigent vers l’entrée du bâtiment et son escalier menant à l’étage. Il y a du monde, beaucoup de monde. Ca circule dans un dédale de petits couloirs ouvrant sur de petits espaces où quelques couples baisent devant d’autres qui les regardent en se caressant. On dirait un parcours initiatique qui chauffe peu à peu nos sens. On se croise, on s’effleure...
On finit par arriver au bout du couloir et là on tombe sur une grande pièce avec des banquettes le long du mur sauf au fond où se trouve une sorte de grande scène-paillasse. Sur les banquettes, des couples qui s’embrassent, se caressent. Des femmes qui sucent des mecs tout en regardant trois trios en action sur la scène. Au milieu de la pièce, d’autres couples qui circulent en matant. Nous suivons le mouvement et finissons par nous arrêter devant la scène, juste en face d’une femme baisée en levrette tout en suçant un autre partenaire. Marine semble captivée par le spectacle. Je suis sûr qu’elle est hyper excitée et que si ses accompagnateurs décidaient de la baiser là, maintenant, elle ne dirait pas non. Mais il y a trop de monde, c’est franchement insupportable. Sans doute pensent-ils la même chose car Hervé prend à son tour la main de Marine et l’entraine vers la sortie. Je suis de nouveau le groupe et nous voilà de retour dans la cour. Loïc prend la tête et se dirige vers l’angle opposé de la cour, vers le petit portail donnant sur le petit bois.
Je m’en doutais. Je les suis. Tout en marchant, je me dis que pour Loïc et Hervé, l’absence de leurs femmes ne semble pas les perturber. Sans doute sont-ils habitués à s’amuser chacun de leur côté comme beaucoup d’autres ici. Tout le monde ne fonctionne pas pareil et c’est très bien ainsi. On suit d’autres couples et on en croise quelques autres qui reviennent vers le patio. C’est étrange, c’est toujours en mouvement ici. On se faufile entre les arbres et on arrive sur la petite place. Là aussi ça baise un peu partout. Les paillasses sont toutes occupées sous les deux chapiteaux. Des gémissements, des cris, des bruits de souffle s’en échappent. Des couples voyeurs sont massés tout autour dans une ambiance totalement dédiée au sexe. C’est chaud, c’est hyper excitant et on devine qu’ici, tout est permis.
Mes « complices » se faufilent sous le plus petit des chapiteaux en entraînant Marine derrière eux. Je les suis. Nous nous retrouvons serrés parmi une foule de voyeurs. Sur la paillasse devant nous, une femme chevauche un type en se balançant d’avant en arrière. Autour de nous, les gens respirent fort tout en se caressant. Des mains se promènent et on entend des chuchotements, des petits rires parfois. Beaucoup de femmes ont les seins à l’air et se laissent caresser sans rien dire. Certains mouvement sont sans équivoque et je devine que pas mal de couple se branle mutuellement tout en regardant le spectacle sur la paillasse. Je regarde la femme sur la paillasse et éprouve une immense surprise. Je reconnais la femme d’Hervé et constate que lui aussi la regarde sans broncher ! C’est bien ce que je pensais, chacun est libre de faire ce qu’il veut ici.
Je m’approche de Loïc, placé derrière Marine avec Fred et Hervé de chaque côté. Je me retrouve légèrement en retrait et je les observe, excité comme un fou. Les trois hommes embrassent ma coquine dans le cou et de temps en temps, l’oblige à tourner la tête pour l’embrasser sur la bouche. Elle ne semble pas du tout réticente et je me sens hyper excité et rassuré en même temps. Je me décale un peu et dans la pénombre, j’aperçois leurs mains qui s’activent sur sa poitrine mais aussi plus bas. Bien que trop serré pour voir ce qu’il se passe sous le niveau de la ceinture, je suis sûr qu’ils en profitent pour visiter sa chatte et son cul. Tout dans son attitude montre qu’elle est en train de perdre pied. Sa tête penche de plus en plus en arrière et sa bouche grande ouverte m’indique qu’elle est déjà à bout de souffle. Les trois lascars doivent la branler un max et elle est déjà à la limite. Un couple près de nous s’écarte pour sortir du chapiteau et m’offre l’opportunité de m’approcher et de voir ce qu’ils lui font vraiment. J’avais deviné juste. Sa robe est remontée autour de sa taille et leurs mains vont et viennent entre ses cuisses et ses fesses bien écartées. Jambes semi fléchies, elle se laisse visiter sans la moindre réticence. Putain que c’est bon ! Le jeu se poursuit encore quelques instants mais je remarque que ma coquine a de plus en plus de mal à se tenir debout. Loïc l’a vu lui aussi et soudain, il se retourne vers moi. Il savait que j’étais là ! Il me sourit et je saisis à peine ce qu’il me dit :
_ Il y a des bancs un peu plus loin, ça vous dit ?
J’acquiesce immédiatement et les deux autres hochent la tête à leur tour. Marine, hébétée, me fixe avec un regard voilé, elle semble perdue, le souffle court. Machinalement, elle baisse sa robe et je lui prends la main pour l’entraîner hors du chapiteau.
Loïc passe devant nous et s’engage sur un petit sentier. On passe devant un premier banc occupé. Dans la pénombre, on devine un couple, lui assis, elle à genoux entre ses cuisses en train de le sucer. Plus loin, nous passons devant un deuxième banc. La fille est debout, les deux bras tendus en appuis sur le dossier, prise en levrette. Elle est totalement nue, ses fringues jetées dans l’herbe. Notre passage les laisse complètement indifférents. Ici, on baise, c’est la norme et on se fou du reste. Loïc tourne à gauche dans un sentier plus petit et on arrive devant un autre banc. Il se retourne et regarde Fred qui acquiesce d’un signe de tête. Je comprends que ces deux là ont une certaine habitude de ce genre de jeux. Fred s’assoit et prenant la main de Marine, l’attire vers lui de manière à l’avoir sur ses genoux. Totalement soumise, elle se laisse faire avec un petit rire. Elle me jette un petit regard de connivence qui en dit long. Un truc du genre « Tiens ! C’est ton cadeau, profites en ! ».
Fred pose sa main sur sa nuque et attire sa tête contre la sienne. Leurs bouches se trouvent et se collent l’une à l’autre. Ils s’embrassent dans un bruit de succion tandis que Loïc s’avance vers eux. Il s’accroupit, saisit la robe de Marine et la tire vers le bas sans qu’elle ne s’y oppose. Elle va même jusqu’à l’aider en soulevant son bassin afin qu’il la fasse passer dessous. Je bande comme un cheval. Elle est entièrement à poil entre leurs mains. Et le plus excitant pour moi, c’est que je devine qu’elle a une envie folle de se faire baiser. Loïc se redresse et se déshabille entièrement, imité par Hervé. Ce dernier me jette un coup d’œil avec un petit sourire de connivence. Un truc du genre « On va baiser ta femme et c’est ce que tu voulais ». Sa queue bien raide se balance devant lui tandis qu’il avance son ventre vers ma coquine. Toujours assise sur les genoux de Fred, elle regarde la bite avec un intérêt évident. Elle l’empoigne et sans hésiter, se penche pour l’emboucher tandis que Loïc s’avance à son tour. Hoouuuaaaa, j’ai trop mal dans mon bas ventre. Je défais mon jean et sort ma queue à mon tour. Je me branle lentement, comme d’habitude lorsque je matte ma femme avec un autre mec. J’ai la gorge serrée et du mal à respirer tandis que je la regarde écarter ses cuisses pour se laisser doigter par Fred tout en suçant les deux autres chacun leur tour. C’est géant ! Je m’approche pour mieux voir. Dans mon dos, j’entends des bruits de pas. Je me retourne et constate qu’un couple vient de s’arrêter à quelques mètres de nous afin de profiter du spectacle. Un deuxième puis un troisième arrive et s’arrêtent eux aussi.
Marine laisse échapper un petit gémissement, preuve de l’efficacité de Fred qui fouille sa chatte d’un doigt expert. Il regarde la bouche de Marine aller et venir le long des hampes dressées qui s’offrent à elle... De temps en temps elle les lèche jusqu’aux testicules. Loïc et Hervé soufflent fort et font des petits mouvements de va et vient avec leur bassin quand elle les reprend en bouche. Fred continue de lui caresser les seins d’une main tout en s’activant de l’autre entre les cuisses grandes ouvertes. J’ai la tête qui tourne et les jambes en coton. Mais qu’est ce que c’est bon ! Quel pied de voir sa femme se comporter comme une salope, prête à se faire tringler devant son mari. Je suis sûr qu’elle est excitée à mort du fait que je la regarde. Je serre ma queue plus fort, un vrai délice.
Soudain, j’entends Fred murmurer :
_ Tu es drôlement chaude... Ca te plait on dirait... J’ai envie de te la mettre...
Marine rejette sa tête en arrière, libérant la queue de Loïc. Elle tourne la tête de côté de Fred. Elle a ce regard trouble, un peu voilé de celle qui ne sait plus trop où elle en est mais qui n’a qu’une envie, écouter son corps. Je m’approche et avec une voix rauque :
_ Oui, vas-y, prend là assise sur ta queue...
C’est sorti tout seul, crument, simplement, sans détour. Je n’ai plus aucunes barrières mentales et les autres non plus !
D’instinct, elle se soulève, en appui sur ses jambes pliées, bien écartées. Son regard croise le mien et elle me fixe droit dans les yeux tandis que Fred baisse à son tour son pantalon et enfile rapidement un préservatif. Je n’y pensais même pas à ce foutu caoutchouc... Hervé et Loïc s’écartent un peu, m’invitant à m’approcher au plus près. Glissant sa main droite sous son ventre, Marine saisit la bite dressée et, toujours en me fixant, fléchit un peu ses jambes, abaissant son bassin pour s’empaler lentement sur la queue bien raide. Elle n’a pas besoin de parler, on se comprend. Tout est dans ses yeux. Avec un soupçon de défit, son regard me hurle « regarde mon chéri, regarde comme je la prends bien profondément cette queue. Regarde comme j’aime me faire baiser devant toi! ».
Fasciné, j’observe le gland gonflé de sang s’insinuer entre les lèvres roses de sa vulve. Il s’y enfonce, disparait tout doucement comme avalé par cette autre bouche gourmande. Elle se laisse descendre jusqu’à se retrouver de nouveau assise sur lui, sa queue au plus profond de son ventre. Elle ferme les yeux, rejette sa tête en arrière et pousse un long soupir. Fred la saisit aux hanches et tout en secouant son bassin d’avant en arrière, tente quelques mouvement de va et viens. Marine se soulève légèrement afin de l’aider en le soulageant de son poids. Je tremble de partout, j’entends mon cœur battre la chamade, je perds les pédales... Loïc s’avance et elle s’appui des deux mains sur ses cuisses tout en prenant sa verge dans sa bouche. Hervé s’approche à son tour et glissant ses mains sous le torse de ma coquine, commence à lui masser les seins. C’est magique ! Je ne vois plus rien d’autre que ma femme, debout, les jambes fléchies, en train de se faire baiser par un inconnu assis sous elle pendant qu’elle en suce un autre et se fait tripoter par un troisième. Je suis figé, le temps vient de s’arrêter... Soudain, je sens une main sur mes fesses. Surpris, je lâche mon sexe et tourne la tête pour découvrir Isabelle, torse nue, sa robe sur les hanches. Elle me sourit puis regarde le spectacle. Ma femme fait une fellation à son mec mais visiblement, elle s’en moque. Elle se serre contre moi, passe sa main devant mon ventre et s’empare de ma queue. C’est comme une décharge électrique, je tressaille tandis qu’elle me branle doucement, les yeux toujours rivés sur le trio. D’une voix à peine audible :
_ Elle est en bonne compagnie. (petit silence). Ca t’excite de la voir avec d’autres mecs ?
Entre deux souffles, d’une voix étranglée, je lâche un simple petit « oui ». Elle continue de me masturber lentement... Soudain, elle pouffe de rire et murmure :
_ Si tu m’avais dit non... vu ce que je tiens dans ma main...
Soudain elle se place face à moi et se laisse tomber à genoux. Je sens ses mains tirer mon jean vers le bas ainsi que mon slip. Puis elle saisit mon sexe pour l’approcher de son visage, de sa bouche. C’est encore une décharge électrique dans mon ventre. Elle embouche mon gland, m’aspire tandis que sa langue chatouille mon frein. C’est tellement bon que j’ai un mal fou à me contrôler. Surtout qu’au même moment, Marine lâche un premier gémissement parfaitement audible.
J’ondule du ventre tout en matant ma salope prendre un plaisir évident. Elle gémit en continue, la bouche pleine des deux queues qui se succèdent devant elle, le corps secoué par les coups de rein de Fred. Je vacille. Autour de nous, il y a tout un groupe de voyeurs qui se caressent plus ou moins ouvertement.
Soudain, Isabelle se redresse, passe ses bras autour de ma tête et m’embrasse à pleine bouche tout en frottant sa chatte contre mon sexe. Sa langue tourne autour de la mienne avec lenteur puis elle recule d’un pas, me prend la main et me dit ;
_ Viens !
Je la suis sur l’herbe sèche, juste à côté du banc. Elle me sourit et m’attire vers le sol. Je bredouille que je n’ai pas de préservatif et elle me répond :
_ Pas grave, d’après toi, pourquoi on vous a demandé si vous étiez marié ?
Avec un petit sourire, elle me branle un peu puis se retourne, et se positionne à quatre pattes. Le message est limpide. Je m’avance à genoux entre ses jambes, remonte sa jupe sur ses hanches. Comme Marine, elle ne porte pas de sous vêtements. Je saisis ma queue et guide mon gland vers sa vulve offerte. Je la pénètre lentement jusqu’à ce que mon ventre touche ses fesses.
Elle lâche une sorte de grognement tout en baissant la tête. Son cul est magnifique ! Encore une belle salope qui en veut... Je la baise doucement avec un rythme régulier tout en regardant Marine qui a visiblement de plus en plus de mal à se contrôler. Je baisse la tête pour observer ma bite aller et venir entre les fesses bien écartées. C’est divin.
Un petit cri ! Je relève la tête, Fred se démène comme un fou et Marine a son premier orgasme... Hervé a passé ses mains sous les épaules de ma coquine pour la soutenir tandis qu’elle joui. Au bout de quelques secondes, elle semble s’effondrer et il l’aide à se relever, le souffle court. Il jette un coup d’œil dans notre direction et entraine Marine vers nous. Isabelle gémit à son tour et je ralenti ma cadence pour bien la prendre profondément. Je regarde Hervé qui me fait un petit sourire tout en invitant Marine à se coucher à plat dos. Il s’allonge sur elle, en appuis sur ses bras tendus. De nouveau, je la regarde écarter ses cuisses afin de recevoir cette nouvelle bite dans sa chatte. Il s’enfonce en elle avec un grognement. Lui non plus n’a pas de préservatif... Il la baise lentement pendant plusieurs minutes puis au moment où elle va jouir de nouveau, il se redresse et laisse sa place à Loïc. Le jeu dure longtemps... Ils se relaient tous les deux, l’amenant plusieurs fois au seuil de la jouissance.
Nos deux coquines se tortillent sous nos coups de queue. On les baise en cadence tout en se regardant mutuellement. Je suis en apnée, je craque, je suis fou, perdu dans un monde de plaisir incontrôlable. Je ne sais plus où je suis, j’explose. Je pilonne une salope blonde qui a le feu au cul. Près de nous, je perçois au travers d’une sorte de brume mentale les cris de l’autre salope, la mienne, qui visiblement en prend plein la chatte. Je ne sais pas si Fred est toujours là et s’il y a toujours des voyeurs, je m’en fou, je baise encore et encore... A côté, Marine lâche un cri et cuisses relevées, replie ses jambes autour des reins de Loïc pour mieux profiter de son deuxième orgasme.
Même après avoir éjaculé, jJe suis comme un robot. Mon corps échappe à tout contrôle. Je pilonne encore et encore ce cul qui ne s’en lasse visiblement pas. Isabelle lâche enfin un râle de jouissance en tremblant de partout sous mes coups de boutoir. Je suis épuisé, fourbu. Je me retire et tombe allongé sur le sol, à bout de souffle. Je tourne la tête et regarde Hervé enfilé Marine en levrette. Ils ne perdent pas de temps ces deux là ! De nouveau ma chérie se fait pilonner et de nouveau, elle se met à gémir. De plus en plus vite, de plus en plus fort tandis que Fred (il est bien encore là) s’approche à genoux pour lui offrir sa bite à sucer. Marine redresse la tête, le souffle court et embouche le membre dressé. La bouche pleine, elle gémit sous les coups de boutoir d’Hervé. Je suis sidéré, ma femme se comporte en vraie nympho et je kiffe à mort !
Quel spectacle, quel magnifique cadeau, je suis fou de bonheur.
Troisième orgasme pour Marine qui lâche un long râle, tétanisée, cambrée au maximum pour s’offrir du mieux qu’elle peut aux coups de queue qui la secouent sans ménagement.
C’est fini, enfin ! Des bruits de pas qui s’éloignent, des respirations haletantes près de moi. Je me sens comme endormis, vidés.
Peu à peu je reprends conscience. Ma respiration se calme un peu. Je sens un corps brulant contre le mien. Marine a fait l’effort de venir se plaquer tout contre moi. Je l’enveloppe de mes bras et l’embrasse tendrement. Je caresse ses seins qui se soulèvent au rythme de sa respiration encore rapide. Je glisse ma main sur son ventre. Il est poisseux de sperme. Je descends plus bas. Sa vulve dégouline de sperme également. Je remonte ma main pour étaler la semence sur son ventre. Elle frémit sous mes caresses. Soudain entre deux souffles elle me demande :
_ Ton cadeau te plait ?
Je rigole un peu avant de lui répondre :
_ Pour le moment, c’est le top... Et toi... Tu en profites bien ?
A son tour, elle lâche un petit rire :
_ D’après toi... Tu as pu voir que je faisais beaucoup d’effort pour toi, mon chéri... Et j’ai vu que je n’étais pas la seule à te gâter... Mais là, je suis épuisée... J’en peux plus...
_ Oui, j’avais remarqué que tu donnais le maximum pour me faire plaisir... Et Isabelle a sans doute voulu te donner un coup de main même si elle n’était pas au courant pour ton cadeau.
Elle pouffe de rire et se tourne vers moi. Elle plaque sa main sur mon sexe flasque.
_ On dirait qu’elle en a bien profité elle aussi...
Après quelques minutes, Loïc se relève en tirant Isabelle par la main pour l’aider à en faire autant. Hervé et Fred nous observent, un petit sourire au coin des lèvres. Je me redresse à mon tour et les regarde. Loïc lance :
_ Et si on allait boire un coup pour fêter ça ?
Les autres acquiescent de la tête et je réponds :
_ Bonne idée !
A suivre....
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