Mars 2021, joyeux anniversaire Fabien ! Suite et fin.
Comme si cela ne suffisait pas, elle se laisse de nouveau aller sur le dos. Puis, lentement, elle descend une main sur son ventre puis sur sa vulve. Je me sens défaillir. Je vacille un peu, la tête qui tourne. Je tremble de partout, c’est terrible ! Je respire à fond et me raidit sur mes jambes pour me maintenir debout. Je regarde Fabien, halluciné par ce qu’il voit lui aussi. Il ne se branle plus, un bras appuyé sur le dossier d’une chaise, il regarde ma coquine qui commence à se masturber, très, très lentement...
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Le spectacle est fantastique. Les doigts se promènent, légers, effleurant à peine la fleur rouge écarlate. Au début, c’est évident qu’elle reste dans le contrôle. Elle joue son rôle à la perfection, parfaitement consciente de l’effet produit sur ses voyeurs. Au fur et à mesure que les secondes s’écoulent, son souffle s’accélère et devient plus intense. Yeux fermés, bouche entrouverte, elle aspire l’air par saccade. Prise à son propre piège, elle lâche prise petit à petit. Je n’en reviens pas ! Ce n’était pas prévu et son improvisation l’emmène visiblement bien au-delà de ce qu’elle avait sans doute imaginé…
Ses doigts s’enfoncent plus profondément entre les pétales humide et un petit gémissement se fait entendre. Je me dis qu’elle va finir par jouir, là, juste devant nous. Mais soudain, elle s’arrête, le souffle court, sa main immobile, posée à plat sur son mont de vénus. Je tourne la tête vers Fabien, nos regards se croisent et nous nous comprenons immédiatement. Les joues rouges, lui aussi respire fort. Son excitation est sans doute comparable à la mienne, insupportable ! Je regrette tellement d’avoir promis de ne rien faire… Je le regarde s’avancer vers la table. Il hésite et finit par se pencher au-dessus du ventre qui palpite encore. Je fixe sa bouche qui se pose sur la main qui se retire lentement pour libérer la fleur rouge. Sa langue qui aussitôt se met à visiter les grandes lèvres gonflées de sang. Marine lâche une sorte de hoquet et ouvre ses cuisses au maximum afin de tout lui offrir. Je deviens fou ! Putain que c’est excitant ! J’ai vraiment du mal à respirer, la gorge serrée. J’ai l’impression que ma poitrine est prise dans un étau. C’est complètement dingue. Je regarde mon pote dévorer la chatte de ma femme qui est au bord de l’explosion. Elle soulève son bassin tout en appuyant sur sa tête. Elle le veut en elle, tout au fond, impatiente de se faire baiser. Soudain, elle se raidit et Fabien se redresse aussitôt. Marine gémit et redresse la tête, haletante.
_ Oooooohhhh nooonnnn… Vient ! Maintenant… vient !
Je suis sidéré ! Jamais je ne l’ai vu ainsi. Aussi pressée, aussi avide de sexe… Sa main se plaque de nouveau sur sa chatte et, les yeux fermés, elle se caresse un peu, comme si elle voulait empêcher le feu de quitter son ventre.
Fabien s’approche. Lui aussi a beaucoup de mal à respirer. Il tremble de partout. Il avance son bassin, sa queue tout près de l’objet de son désir.
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Dès que Marine sent le gland se poser sur le dos de sa main, elle la retire en ouvrant les yeux. Redressant la tête, elle regarde la bite s’approcher de sa vulve et lâche un long râle lorsque celle-ci s’enfonce en elle. Fabien entreprend immédiatement de la baiser lentement, profondément… Je regarde sa magnifique queue aller et venir entre les grandes lèvres toutes brillantes. En bonne salope totalement libérée, Marine remonte ses jambes afin de s’ouvrir au maximum.
Soudain, Fabien se libère de l’étreinte des cuisses serrées autour de sa taille en reculant. Il est visiblement au bord de la jouissance et semble vouloir faire une pause.
Marine pousse de nouveau un petit cri de déception et le regarde, sourcil froncés :
Fabien répond d’une voix rauque, entre deux souffles.
_ Désolé… Mais je veux que ça dure… Plus longtemps… Tu me fais trop envie…
Son visage se détend immédiatement tandis qu’elle repose sa tête et ses cuisses sur la table. Compréhensive, elle finit même par sourire. Je me dis que si je n’avais pas fait cette putain de promesse, je pourrai prendre le relai mais, non, j’ai promis ! Je ne dois que regarder. C’est terrible de se sentir autant frustrer et je suis sûr que ça aussi, ça la fait sourire… Je jure immédiatement de me venger un jour, je ne sais pas comment mais c’est sûr, j’aurai ma revanche !
Fabien fait le tour de la table et se retrouve près de la tête de Marine. Sa queue se balance au-dessus du front de ma coquine qui l’attrape aussitôt dans sa main. Elle l’approche de sa bouche et commence à l’embrasser avec ce qui ressemble à de la tendresse. Puis elle sort sa langue et le lèche doucement avant de le prendre délicatement dans sa bouche. Pendant de longues secondes, elle le suce, visiblement attentive à ses réactions. Dès qu’elle sent qu’il est de nouveau proche de la rupture, elle le retire de sa bouche, attend quelques secondes avant de le lécher de nouveau.
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Pendant plusieurs minutes, je me branle lentement en les regardant. Moi aussi je m’arrête dès que je sens que je vais jouir. Moi aussi je veux durer. Moi aussi je veux en profiter un max de temps, même si ma frustration continue de croitre ! C’est vraiment insupportable pour moi…
Pour la énième fois, je regarde Fabien sortir sa bite de la bouche de ma coquine. Mais cette fois, il se recule et détache la main de Marine de sa queue. Elle le regarde, un petit sourire au coin des lèvres. Je devine qu’elle a compris, comme moi, qu’il va enfin faire ce que nous attendons tous.
Lentement, il contourne de nouveau la table. Il se place face à Marine qui l’observe, attendant la suite.
Fabien se penche en avant et saisit les deux bras de ma coquine avec ses deux mains. Il la tire vers lui, l’obligeant à se relever. Elle se retrouve assise sur le bord de la table, jambes pendantes. Fabien s’avance et se plaque contre elle. Leurs bouches se rejoignent dans un baiser torride ! Bruits de succion, langues qui se cherchent, s’enlacent, se lèchent. Ils se dévorent mutuellement tout en frottant leur ventre l’un contre l’autre. Je n’en peux plus. Une envie folle de le voir enfin la pénétrer, la baiser, la défoncer. Envie de la voir écarter ses cuisses pour se faire prendre devant moi. Je sais que le fait que je puisse regarder une autre bite s’enfoncer dans son ventre contribue à l’exciter encore plus.
Je m’approche, pour mieux voir, la seule chose qui m’est autorisée…
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Ils continuent de se chauffer, encore et encore. Ce baiser « goulu » qui n’en finit pas pendant que les mains de Fabiens pétrissent les seins gonflés par le plaisir. De temps en temps, il pince un téton, arrachant un petit gémissement à ma coquine qui ondule du ventre tout contre le sien. Je me penche pour vérifier, mais non, il ne l’a pas encore pénétré. Je suis là, comme un gamin attendant sa récompense. Je ne peux rien dire, rien faire, juste regarder en me branlant, exclu temporairement de leur monde à eux et eux seuls.
Soudain, Fabien lâche une sorte de petit grognement et recule un peu. A bout de souffle, les joues rouges, ils s’observent, prêts à reprendre « le combat ». Fabien me jette un coup d’œil, remarque ma main serrant ma queue, mon portable dans l’autre. De nouveau il regarde Marine, toujours assise sur le bord de la table, en appui sur ses bras tendus en arrière, cuisses écartées. Il avance ses mains et la saisit par les hanches. Puis il avance son bassin, dirigeant sa bite vers la chatte totalement offerte. Il est tellement raide et la vulve tellement humide qu’il n’a pas besoin de s’aider de la main pour la pénétrer. Il s’enfonce d’un coup tout au fond du ventre de ma coquine qui lâche un petit « han ! » de plaisir. Puis il ressort, entièrement, et recommence, plusieurs fois, en prenant bien soin de laisser assez d’espace pour me permettre de prendre des photos. Je suis aux anges, voir une queue coulisser entre les lèvres du sexe de ma femme, quel pied ! Surtout qu’elle en veut… Elle aime ça et en redemande…
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Je pose mon portable, j’ai assez de souvenirs. Je me branle doucement, serrant fort ma queue dans ma main. Fabien continue ses va et viens, lentement, en soufflant de plus en plus fort. Marine, les yeux fermées, halète, bouche grande ouverte. A chaque coup de bite, ses seins tressautent et une sorte de petit grognement s’échappe de sa gorge. Je m’avance, plaque ma main libre sur les fesses de Fab et appui pour accompagner chaque pénétration. J’ai envi qu’il aille le plus profondément possible. J’ai l’impression qu’on la baise tous les deux en même temps… Il accélère, pilonne la chatte béante qui semble l’aspirer. Marine ondule du ventre, gourmande. Elle gémit, feule, râle et laisse échapper plusieurs « Oh oui… Plus fort… ». La voir ainsi me rend fou. J’avais juré mais c’est plus fort que moi. J’avance ma main, m’empare de ses seins. Ils sont doux et fermes, gonflés par le plaisir. Je les caresses, les malaxe, les pétri. Je pince ses tétons, l’un après l’autre en tirant légèrement dessus. Ils sont bien raides, durs, facile à faire rouler entre le pouce et l’indexe. Je sais qu’elle adore ça et le résultat est là. Elle gémit plus fort, se tortille sur la table, sa tête rejetée en arrière. Quelle magnifique salope !
Fabien se met à la pilonner, un bruit de clapotis se fait entendre et soudain, elle se raidit et hurle, les mains crispées sur les bras de Fabien qui continue de la baiser comme un fou. Elle n’en fini pas de jouir, tremblante de partout, le corps en feu. A son tour, Fabien se fige après un pilonnage frénétique. Tendu, dans un grognement, il joui, sa queue toute au fond du ventre frissonnant.
Je suis en apnée, hypnotisé par cette vision totalement folle… C’est tellement intense… Je regarde le sperme de Fabien dégouliner entre les grandes lèvres de la vulve béante. Marine, toujours assise, cuisses écartées sur la table, les joues écarlates, me fixe en soufflant. J’ai trop envie de la baiser à mon tour!
Mais j’ai promis... C’était son cadeau à lui, à lui seul !