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Présentation des membres candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
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#2587822
Aimer est le grand point, qu’importe la maîtresse ?
Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ?
{ Alfred de Musset, dans La Coupe et les Lèvres (1831) }

@Brigittecandaule par cette très coquine photo postée (voir : viewtopic.php?p=2587147#p2587147) a illustré à sa façon ces deux beaux vers que je complète par le poème qui suit.

Si,

Si les autres savaient,
Ils seraient stupéfaits.
Si les autres pouvaient,
Ils seraient très tentés.
Si les autres voulaient,
Tu les ignorerais.

Tu as posté ici
À qui tu dis merci,
Qui est à ta merci,
De qui tu te soucies.
Jamais n’est indécis
Ton plaisir si précis.

Ton désir en flacon,
Berlingot en bourgeon,
Pour ton amant champion.
Tu as damé le pion
À feu tes conventions.
Vis tes inspirations !

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#2588438
Pour vous mesdames qui, aussi, êtes lisses...et toujours aussi belles et excitantes. <3

Lisse,

Gourmande tentatrice !,
Pour mon plus grand délice,
Ton rougeoyant calice
Aux subtiles épices
Est devenu tout lisse.
Ô exquises prémices !

Une force motrice,
Directe et directrice,
Me pousse entre tes cuisses,
Vers ce fin interstice
Tout rempli de malice.
Ô exquises prémices

Et sur ton clitoris
Aux senteurs de réglisse,
Ma langue exploratrice,
Grande navigatrice,
Privée d’obstacles, glisse.
Ô exquises prémices !

Temple orné de blandices
Qui chasse mes cilices.
Ô exquises prémices !

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Cunnilingus.png

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coculopeencage, jlopsave, Bri et 8 autres a liké
#2590118
Cunnilingus,

J’entre. Tu m’attends, nue. Tu esquisses
Ton beau sourire d’impératrice
Tu offres à mes yeux le doux supplice
Du compas grand ouvert de tes cuisses.

Depuis le temps, tu me sais par cœur
L’autel soyeux de mon pur bonheur
Toujours, vers lui, attire mon chœur
Pour y prier ; ardent zélateur.

Comme emporté par un tourbillon,
Par le vent de mon exaltation ,
Je me penche pour mes dévotions
Vers le calice de ma passion.

Sitôt que je suis à tes genoux,
Ta féminité embrase tous
Mes sens dans son feu qui me rend fou.
Ton sexe est mon supplice tout doux.

Il est grand temps de briser l’attente.
Ma langue se glisse vers ta fente
Le long de ta rougeoyante sente
Dont je dévale l’humide pente.

Je te fouille, tu mouilles et frémis.
Plus je lèche, plus ta fente luit.
Plus je te bois, et plus tu gémis.
Final sur ton bouton. Tu as joui.

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fredcandaule, Bri, canlib et 2 autres a liké
#2590324
Je reprends ici la forme de la nouvelle pour raconter ma dernière rencontre avec un couple particulièrement chaud et sympathique.

Nuit américaine,

Chapitre I

Les volets à l’italienne laissaient filtrer un faible halo de lumière à l’intérieur de la chambre silencieuse, brisant la monotonie du noir complet.

Ma complice dormait, nue, blottie contre mon corps en tenue d’Adam, ses beaux seins emprisonnés dans mes mains. Son souffle régulier et paisible contrastait incroyablement avec la folle intensité de notre partie de baise qui s’était achevée plus tôt dans la soirée.

Dans le lit voisin, son mari dormait profondément lui aussi ; les rêves pleins des images de nos ébats passionnés qu’il avait encouragés et commentés avec humour et satisfaction, tout en s’astiquant avec énergie.

Dès nos premiers échanges, la tension érotique, puis sexuelle, s’était emballée entre nous. Très vite, l’évidence d’une rencontre s’était imposée ; et très rapidement, nous avions réussi à bloquer un week-end.

C’était peu dire que ce rendez-vous était attendu. Nous étions chauds comme des pizzas sorties du four et comptions les jours pour, enfin, passer au réel le plus torride. Le temps agit comme un grand sadique : trop lent lors de l’attente, trop rapide pendant la concrétisation.

Chapitre II

Nous nous étions retrouvés devant l’hôtel. Ma complice, plus que joueuse, avait tenu à me rouler une pelle en pleine rue, histoire d’annoncer la couleur. Son enthousiasme avait été communicatif et ma langue avait aussitôt joué avec la sienne. Nous avions oublié le mari, et les passants.

Ce baiser achevé, nous étions entrés tous les trois, main dans la main, dans l’hôtel. Comme j’avais déjà la clé, nous étions montés aussitôt vers la chambre, sous le regard médusé et égrillard du réceptionniste qui me mata en train de peloter sans vergogne le beau cul de ma complice me précédant dans les escaliers. Je ne pus m’empêcher de sourire et de penser que s’il nous voyait monter, il n’était pas prêt de nous voir descendre.

Dès l’entrée dans la chambre, nous nous étions enlacés, tels des affamés en manque. Nos vêtements avaient volé à travers la pièce. Et nous nous nous étions jetés sur le lit. Les préliminaires avaient été brefs, tant ma queue dressée piaffait, et sa chatte trempée miaulait. Nous baisâmes avec passion, avec fougue, avec douceur, avec envie. Sous le regard heureux, gourmand et amoureux de monsieur, nu dans son fauteuil, se caressant en épousant le rythme de nos accouplements.

Les grincements du lit faisaient écho aux gémissements sonores de madame et à mes grognements. Si des clients passaient dans le couloir, leurs oreilles bandaient d’excitation voire d’envie.

Faisant des pauses pour reprendre notre souffle, nous fîmes l’amour jusqu’à l’heure du dîner. Pour se rendre au restaurant, madame, guillerette, tenait la main à ses deux hommes du week-end. Je m’assis à côté d’elle pour dîner et eus tout le loisir de caresser sa chatte trempée et rendue très accessible par l’absence de culotte. Bien sûr, en femme bien élevée, elle me rendit la pareille en massant longuement mon entrecuisse où mon sexe se trouvait de plus à l’étroit. C’est fou comme un repas devient encore meilleur par de telles pratiques.

Ayant repris du poil de la bête après cet intermède dînatoire, sitôt notre nid douillet retrouvé, nous fîmes de nouveau l’amour, avec la même passion, jusqu’à tomber de sommeil.

Chapitre III

Lors de nos discussions, nous avions évoqué, assez rapidement, le désir que madame et moi dormions dans le même lit ; avec monsieur, seul dans la couche voisine.

Ce qui semblait initialement une boutade, devint bientôt un désir ardemment partagé par nous trois. Aussi, j’avais réservé la chambre en conséquence. Et je devais dire que le résultat avait été à la hauteur avec ses deux grands lits doubles voisins.

À l’heure de s’endormir, madame me rejoignit au lit, nue. Elle faillit faire une faute de goût en mettant une nuisette. Je la réprimandai en lui demandant de me tailler une pipe ; il ne faut en aucun cas laisser passer de telles erreurs.

Après avoir salué le mari prêteur, nous éteignîmes la lumière afin de nous endormir et de plonger dans un repos réparateur que nous n’avions vraiment pas volé.

Ma complice était blottie contre moi sous la couette, ses fesses girondes collées contre mon bas-ventre. Mes mains emprisonnaient ses beaux seins. La chaleur de nos corps nus enlacés créait une ambiance tendrement érotique et sensuelle.

Bien vite, nos trois respirations régulières rythmaient le lourd silence de la chambre plongée dans une quasi obscurité. Même la ruelle sur laquelle donnaient les fenêtres s’était assoupie, comme repue de nos ébats.

Chapitre IV

Soudain, je me réveillai. Mes yeux s’habituèrent rapidement à la faible luminosité régnant dans la chambre.

Je pris pleinement conscience de la situation singulièrement excitante dans laquelle je me trouvais. Ma complice dormait avec moi, en tenue d’Ève, et son mari se trouvait tout seul dans le lit voisin. Cette seule réalité me fit bander comme un fou. J’avais de nouveau envie de la baiser, peu importait l’heure.

Langoureusement, je me mis à caresser ma complice. J’empaumais d’une main ses seins, tout en glissant entre ses lèvres intimes de l’autre. Très vite, elle se réveilla, tortillant du cul, devenant trempée, gémissant doucement. Puis elle se retourna vivement pour m’embrasser à pleine bouche et s’emparer vigoureusement de ma bite qu’elle commença à branler.

Sans allumer la lumière, à la lueur de la lune, elle vint s’empaler, avec beaucoup d’envie, sur ma queue qui n’attendait que ça. Je n’avais plus envie de quitter cette chatte si chaude, si mouillée, si accueillante ; ma queue y prenait résidence encouragée en cela par les propos crus de madame qui montait et descendait, de plus en plus excitée, sur mon engin dur à faire mal.

Notre énième coït réveilla, bien sûr m, son mari. Je devinais son regard satisfait, sa joie de voir sa femme prendre son pied avec un amant ; et les tremblements de son lit indiquaient qu’il se faisait du bien en nous regardant et en nous écoutant baiser.

La nuit fut courte. Nous avions tellement envie de baiser, de nous embrasser, de nous étreindre, de nous chuchoter des mots doux, de nous caresser, que le sommeil passa au second plan.

C’était comme si nous étions des drogués en manque. Nous ne pouvions pas nous arrêter ; mieux, nous ne voulions plus nous arrêter. Une simple caresse, un seul mot, et c’était reparti pour un tour.

Hélas, les meilleures choses ont toujours une fin qui arrive trop vite. Et il fallut se quitter ; sous un très doux et radieux soleil certes, mais se dire au revoir tout de même. Après un dernier baiser fougueux dans la rue, nous partîmes chacun vers nos vies et leurs contingences, laissant derrière nous cette merveilleuse bulle sexuelle. Mais en ayant la certitude que nous nous reverrions bientôt.

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coculopeencage, FB57, Bri et 5 autres a liké
#2591015
Un poème rafraîchissant et velouté comme une tasse de thé. Je le dédie à toutes les belles plantes de ce forum, et elles sont nombreuses.

Pluie,

Ton corps est volupté,
Jolie poudre de thé
Au vert doux et soyeux,
Nectar des plus précieux.

Ton corps de céladon,
Fondant petit bonbon,
Risque la sécheresse
Sans d’humides caresses.

C’est là que j’interviens.
De ma lance d’airain,
Je fais tomber sur toi
La pluie de mes émois.

Ton joli corps fleurit.
Enchanté, il gémit.
Mon nuage de lait
A bien su l’irriguer.

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coculopeencage, casper7742, Bri et 5 autres a liké
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