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Présentation des membres candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

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Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
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#2554167
Magnifique, ce triptyque est tout simplement sublime. Dans la réalité, je ne suis pas l'amant, je suis le mari mais j'avoue avoir très souvent pensé aux émotions de l'autre, avant et après nos rencontres et en avoir discuter avec certains. Je retrouve ici beaucoup de leurs confidences et c'est superbe!
Nous pensons toujours à l'intensité du moment mais ce qui est merveilleux, c'est le souvenir que nous offrons aussi à ces amants-complices et de cela, on ne parle jamais sauf toi,@Dionysos06 , toi qui parle de tout avec tellement d'émotions...
Merci!!!!
Dionysos06 a liké
#2554176
@Patrice63, tes compliments me vont droit au cœur. 8-)
C'est vrai que la, ou plutôt les visions de l'amant manquent souvent. C'est dommage car beaucoup de sensations puissantes, contradictoires, magiques bouillonnent en lui, pendant l'acte bien sûr, mais au moins autant avant et après. Je me suis efforcé de combler ce vide.
#2554263
Ce matin, @Patrice63 m'a envoyé une photo de la nuque de Marine en me demandant si je pouvais faire un poème sur cette partie du corps que lui et moi trouvons, à la fois très érotique et trop négligée. Je lui rends ma copie 0=)

La nuque,

Est-ce à cause des rimes difficiles ?
De son accès parfois inaccessible ?
En tout cas, voici un lieu ignoré,
Méconnu, trop rarement honoré.
De toutes tes créations, toi mon Dieu,
Jamais ton doigt magique n’a fait mieux,
Par ce souffle auréolé de tes flammes,
Que la plénitude du corps des femmes.
C’est incroyable avec quelle foison
Les poètes louent leurs belles toisons ;
C’est une épopée, géante à dessin,
Qui chante la volupté de leurs seins.
Leurs cheveux, crinières ondulant au vent,
Suscitent des commentaires émouvants.
Et pourtant, rien ou presque n’est écrit
Sur une zone au contour bien précis.
De port noble et délicat, fier heiduque
Où se pose le chef, voici la nuque,
Grande oubliée des cartes érogènes.
Et pourtant, elle en vaut vraiment la peine !
Le soyeux de sa peau est un délice
Qui réjouit mes doigts gourmets qui y glissent
Avec la tendresse d’un pèlerin
Pour le trésor négligé d’un grand saint.
Quand dans un geste proche de l’épure,
Une femme lève sa chevelure,
Et que lentement apparaît sa nuque,
Moi le roturier, je deviens grand-duc.
Alternez entre caresses et baisers,
Faites-lui du bien messieurs ! Oui, osez
Donner du plaisir à ce lieu discret !
Faites gémir cet endroit trop secret !
Les corps de nos femmes sont bien trop beaux
Pour ne pas en chérir tous les joyaux.

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Patrice63, Bri, casper7742 et 2 autres a liké
#2554266
Alors là, chapeau bas. Je pensais bien que tu nous ferai un truc super sur cette photo mais franchement, tu as été bien au-delà de ce que j'espérais... C'est beau et c'est vrai que provoquer de petits frissons en allant butiner la nuque du bout des lèvres, quel plaisir!
@Dionysos06 , rien n'est impossible pour toi, Marine découvrira ce soir ta réponse à sa première proposition :x
Encore bravo ! Moi, j'adore...
Dionysos06 a liké
#2554501
"Il faut bien commencer un jour", dit-on. Alors voici une fable éducative et coquine pour illustrer les premiers pas d'un homme dans un monde plein de malices :x

Début,

Un homme aux nobles appâts,
Ses semblables ne le sachant pas,
Portait une lourde croix
Qui en la vie érodait sa foi.
Et quoiqu’il fût fort vivace,
Avec plus d’un tour dans sa besace,
Il rentrait toujours bredouille.
Même la plus infâme gargouille
Dépourvue de tout panache,
Couverte de la boue d’une flache,
Obtenait mille succès.
Apparaît sa marraine la fée
Munie d’un curieux bougeoir.
Ne supportant plus son désespoir.
Elle agite son bâton
Et change l’homme en un gai luron.
Lui pour qui son appendice
N’avait jamais été un complice,
Le voit encapuchonné
Sur sa longueur surdimensionnée.
Derechef il n’est plus sage,
Et la fée lui prend son pucelage.

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#2554752
J'aime beaucoup le corps des femmes. Alors je vous dédie, mesdames, ces textes sur deux parties si importantes de vos corps que nous adorons tout particulièrement (avec une pensée particulière pour une femme du forum qui m'est très chère).

Confluence,

La terre du lait et du miel,
Canaan vivant et réel
Aux rivages tendres et sensuels,
Vers où m’a guidé l’Éternel.
Ils sont la douce confluence
Qui berce mon grand jour de chance.
Entre leurs colonnes de marbre,
S’épanouit une peau d’albâtre,
Coquine scène de théâtre
Où la déesse aime le pâtre.
Pour leurs pointes, mon attirance
Met en route ma transhumance.
Pour un fidèle à l’esprit sain,
Le Seigneur a de grands dessins.
C’est pourquoi, il guide mes mains
Vers la volupté de tes seins.

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L’éclat de l’or,

Pour sa lumineuse beauté magique,
Repoussant toutes leurs peurs chimériques,
Ils partirent conquérir l’Amérique ;
Pizarre au Pérou, Cortés au Mexique.
Je suis un conquistador elliptique
Atteint de fulgurances poétiques.
Je laisse à ces conquérants la mystique
Folle de l’or. À eux la frénétique
Chasse pour ces biens tueurs polémiques.
Ils manqueront le trésor véridique.
Je garde pour mon bonheur l’irénique
Volupté de ta toison chromatique.

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cplelanceetlau, Bri, jf313 et 6 autres a liké
#2555812
Hier, @Brigittecandaule a raconté sa récente aventure très chaude avec son amant :cuck: qui lui fit le "grand chelem". Un très bel exploit, sachant la difficulté de l'entreprise (pour mémoire, en tennis aucun homme ne l'a fait depuis 1969, "année érotique" ; et en golf, personne n'a percé le mystère insondable ses 18 trous). Cette révélation a titillé...mon cerveau :x et m'a suggéré cette fable coquine.

La bergère et le passant,

À en perdre l’haleine,
Une dame Lorraine
Chantait à pleins poumons.
Gardant ses blancs moutons,
Sur la verte pâture,
Son âme était fort pure.
Sur son calme chemin
Passaient très peu d’humains.
Un mardi, vint un mâle
Portant des grains en jale.
Il cache bien son jeu
Par des mots sirupeux
Qui font la mie rougir.
Elle ne voit pas surgir
Le Malin de son bois.
Hardiment son pavois
Il montre à la donzelle
Qu’il prenait pour pucelle.
La mie était coquine
Et adorait les pines.
Les pâtres du canton
Connaissaient sa toison.
En bouche elle prit le pieux
Pour le pomper au mieux.
Dès qu’il s’en fut durci
Elle exigea aussi
Qu’il occupât les zones
Pour faire le grand chelem
Que plus que tout elle aime.
Elle fut si ravie,
Qu’elle héla son mari
Qui vint avec ardeur
Partager son bonheur.

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Patrice63, Bri, casper7742 et 6 autres a liké
#2556128
Dans l'excitation du moment avec sa complice gémissante et trempée, une embardée, à découvert, du pénis peut survenir. Ne pas dramatiser, et pourquoi ne pas en faire un poème ?

Embardée,

Je me suis laissé emporter
Par ton immense volupté.
Au bord de ta mer détrempée,
Saisi par l’hubris d’un Pompée,
J’ai visité ton doux flacon,
En dépassant le Rubicon.
Mais qu’elle en serait l’importance,
Vague et confuse remembrance,
Sauf si dans un acte nature
Avait eu lieu cette aventure ?
La chair est faible aux conquérants ;
Elle l’est aussi pour les amants.
Et quand ce sexe se révèle
Être la terre la plus belle,
Il faut s’avérer surhumain
Pour rester hors d’un tel écrin.
N’étant pas pontife infaillible,
Mon art demeure perfectible.
« Ne te mets pas martel en tête !
Oublie, viens me faire la fête ! »
Sont les mots sortant de ta bouche,
Quand allongés nus sur la couche,
Tu coiffes mon pieux de plastique
Pour finir nos travaux pratiques.

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#2556614
De nouveau un joli poème !!!
Mais je retiens ce derniers vers:

Tu coiffes mon pieux de plastique
Pour finir nos travaux pratiques.


Avec un Miss ici... qui... en soirées multis, club, sera toujours en mode plastique...
Mais elle prend après 10 ans certaines libertés qui me bousculent en prenant des initiatives sans plastique pour ces travaux pratiques...
Ceux qui ont lu le dernier trio comprennent... Mais qu'est-ce que ça peut bousculer un mari... une femme libérée... qui prend de telles initiatives...
#2556833
@canlib merci beaucoup pour ton appréciation et ton commentaire.
La puissance érotique et le potentiel de surprises coquines d'une femme sont immenses, voire insondables. Leurs initiatives sont des bombes érotiques et émotionnelles incroyables. Comme elle savent nous déstabiliser, nous piquer, nous faire mal aussi ; mais nous réjouir et nous aimer également bien sûr.
#2557633
Les maris candaulistes possèdent de nombreuses facettes à leurs personnalités, riches et contrastées, trop rarement explorées. Voici une esquisse de découverte de ces facettes.

Janus,

Pour mes voisins, je suis un quadra souriant
Qu’ils croisent tous les jours, marchant nonchalamment
Dans les rues du quartier. Un mari et un père
Attentionné dans un foyer plutôt pépère.
Pour mes collègues, je suis l’adjoint efficace
Dont ils apprécient les intuitions perspicaces
Lors de ces réunions, si souvent inutiles.
Pour ma famille, je demeure un peu futile,
L’éternel Zébulon, perdu dans ces nuages.
Et pourtant, vous devriez connaître l’adage
Qui apprend qu’il faut se méfier de l’eau qui dort.
Dans vos idées préconçues, vous avez tous tort.
Ah si vous saviez qui je deviens par moments !
Vous seriez effarés, frêles agneaux tremblotants
Dévorés par un loup aux idées libertines.
Lors de certaines nuits, ma couronne d’églantines
Est remisée. Je me vêts de noir et de feu
Diablotin épique, pour, excusez du peu,
Me sentir tantôt Casanova tantôt Sade.
Mon esprit en transhumance bat la chamade,
En s’extrayant de son enveloppe charnelle.
Je ne suis plus moi mais un autre qui appelle,
Pour un lubrique sabbat des mâles en rut,
Qui se reconnaîtront dans le grand Belzébuth.
Que de fois, devant vous, à votre insu, j’ébauche,
Me moquant en silence, des plans de débauche !
Vous me reléguez dans la « nef des fous » de Bosch,
Mari et père vicieux que la folie fauche ?
Mais bonnes gens, vous ignorez le plus précieux,
Le joyau pur de la couronne de mes jeux.
La femme de ma vie, plus que jamais épanouie,
Participe ardemment à ces raouts, ravie.
Oui je l’ai convaincue de devenir ductile
Aux sexes que d’autres mâles agitent, vrais psylles.
J’accorde du crédit à ces nobles valeurs
Qui voient un couple amoureux, transporté d’ardeurs,
Traverser vers la rive opposée du miroir,
Pour recueillir les frissons sexuels du grand soir.
Vous ne voyez en nous que la lubricité
D’un couple dépravé. Et votre cécité
Vous empêche de comprendre l’altérité
Dans notre définition de la volupté.
J’aimerais tant que pour partagiez nos élans
Vitaux lorsque nous sommes avec nos amants ;
Que vous appréciiez notre géométrie
Libertine, admirable trigonométrie.
Comme vos esprits ne peuvent saisir ce monde,
Restez donc en surface, sur l’écume de l’onde.
Mon âme dédoublée retrouve à chaque fois
Le corps anodin qui lui a donné sa foi.

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#2558528
Aède,

Certes, je suis bien un aède ;
Mais par dessus tout, je suis raide
Dingue pour tes formes sensuelles
Et ton regard qui m’ensorcelle.
Parfois, la poésie m’habille.
Mais toujours sur ta peau frétillent
Les essaims d’étoiles filantes
De ta volupté triomphante.
J’aime jongler avec les mots,
Les assembler en oripeaux.
Pour toi, je phosphore sans cesse
Et mes poèmes te caressent.
Je tresse des alexandrins
Qui batifolent sur tes seins.
Si parfois dix pieds je cisèle,
Ils parlent à ta toison si belle.
Et pour tes hanches de nabab,
Je sculpte des octosyllabes.
Si l’hexamètre dactylique
Je bannis, c’est qu’il est inique.
Oser parler de formes brèves
Pour toi, et je me mets en grève.
Si par malheur j’étais maudit,
J’userais de mots interdits.
Je ferais rimer Pénélope
Et un vil cousin d’interlope.
Grâce aux Muses, je suis coquin
Et mes poèmes, libertins.
Quand je fais rimer Odyssée,
Je l’associe à caresser ;
Et je marie féminité,
Avec ta sensuelle beauté.
Quant à nos envies électriques,
Elles nourrissent ma métrique.
C’est donc en pieds que ma raideur
Pour toi mesure mon ardeur.

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#2558749
@fredcandaule et @Brigittecandaule ont publié, sous forme de bd, les dernières aventures cocufiantes de madame, visiblement déchaînée. En voici les liens : viewtopic.php?p=2558461#p2558461http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2558462#p2558462.
Cette superbe initiative m'a inspiré cette fable.

L’épouse et le dossier,

À son bureau, un mari s’échinait
Rudement sur un dossier qui n’était
Jamais assez réglé pour son patron.
Pendant ce temps, sa femme avait le bon
Goût de s’occuper d’un cas singulier.
Un collègue fort peu épistolier
Se noyait face à mille formulaires,
Dont beaucoup s’avéraient surnuméraires.
Elle est connue de tous pour son ardeur
Au travail. Mais la bonté de son cœur
N’est pas réservé qu’à son seul époux.
Affamée, le désir lui monte aux joues.
L’épouse fourmi se mue en cigale
Et déjà, elle veut croquer ce mâle.
« Je vous serai plus utile chez moi 
Mon cher ». Lui, croyant en sa bonne foi,
La suit innocemment vers son logis.
Mais au lieu du bureau, c’est sur le lit
Que sera rempli cet épais dossier.
Le collègue, sans se faire prier,
Obéit aux consignes à la virgule
Près. Et son stylo défait l’opercule
Intime qui n’est guère résistant.
En une poussée, il est son amant.
Pendant que son époux travaille à fond,
Madame se fait baiser bien profond.
Alors que lui, de ses dossiers se plaint,
Elle et son bel amant se font du bien.
Quoique chaude, elle reste attentionnée
Pour son mari qu’elle aime cocufier.
Elle sait comment le faire bander.
C’est donc ainsi qu’est née cette bd.

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#2559182
Comment un amant d'un couple candauliste voit-il son rôle dans ce trio tellement étonnant et spécial ? J'essaye une première réponse avec ce poème.

Préposé,

Si j’annonce qui je suis, les visages changent.
Les méchants, remplis d’agressivité, se ferment.
Les incrédules, de leurs petits yeux tous ronds
Vont, sans savoir quoi dire, du sol au plafond.
Pour les narquois, les plus nombreux, je suis menteur.
Et les bigots m’excommunient pleins de rancœur.
Les rares qui me croient pensent que c’est facile,
Voire même enfantin, et qu’il est inutile
D’approfondir de quelque façon que ce soit
La dite question. Et vouloir mettre le doigt
Sur les subtilités de cette occupation,
Bien plus complexe qu’à la la première impression,
Vous fait passer pour un amoindri du caleçon.
Pourtant, sachez messieurs les donneurs de leçons,
Que les certitudes qui vous font pérorer
Érigent les remparts de vos médiocrités.
L’affaire voyez-vous, s’avère plus complexe
Qu’une présentation bien corsée sur le sexe.
Car qui je suis, dépasse votre entendement.
Devant le maire et le curé, je suis l’amant
De femmes mariées, agréé par leurs époux.
Le silence se fait, vous accusez le coup.
Monsieur doit être lâche et sa femme salope
Pour vivre des amours tellement interlopes.
Quant à l’amant, pour voguer dans cet univers,
C’est un obsédé, nécessairement pervers.
Rien n’est plus faux que ces mots sortant de vos bouches.
Lorsque nous nous rencontrons, la grâce nous touche.
Chacun, dans le théâtre du libertinage,
Doit jouer sa partition. C’est mon apanage
De combler intimement ces si jolies femmes.
Mais nos scènes d’amour respectent une trame
Sans laquelle notre opéra ne serait pas.
Et si dans mon rôle je commets un faux pas,
La représentation se termine aussitôt.
Être amant agréé, c’est sous le chapiteau
Dressé par le couple, devenir l’instrument
Vivant qui mènera madame au firmament
Gémissant, exaltant de son plaisir charnel
Dans un tourbillon de ressenti démentiel.
Mais c’est à trois, que se pratique ce grand jeu.
Pour madame, vous restez le numéro deux,
Dans sa belle âme, tout autant que dans son cœur.
Car c’est son mari, le havre de son bonheur.
Pour être un tel amant, oubliez votre orgueil ;
De leur intimité, restez bien sur le seuil.
Si vous avez compris que votre utilité
Consistait à faire jouir sans duplicité,
Et à chérir leur couple avec délectation,
Alors vous accéderez à la perfection.

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