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#2556614
De nouveau un joli poème !!!
Mais je retiens ce derniers vers:

Tu coiffes mon pieux de plastique
Pour finir nos travaux pratiques.


Avec un Miss ici... qui... en soirées multis, club, sera toujours en mode plastique...
Mais elle prend après 10 ans certaines libertés qui me bousculent en prenant des initiatives sans plastique pour ces travaux pratiques...
Ceux qui ont lu le dernier trio comprennent... Mais qu'est-ce que ça peut bousculer un mari... une femme libérée... qui prend de telles initiatives...
#2556833
@canlib merci beaucoup pour ton appréciation et ton commentaire.
La puissance érotique et le potentiel de surprises coquines d'une femme sont immenses, voire insondables. Leurs initiatives sont des bombes érotiques et émotionnelles incroyables. Comme elle savent nous déstabiliser, nous piquer, nous faire mal aussi ; mais nous réjouir et nous aimer également bien sûr.
#2557633
Les maris candaulistes possèdent de nombreuses facettes à leurs personnalités, riches et contrastées, trop rarement explorées. Voici une esquisse de découverte de ces facettes.

Janus,

Pour mes voisins, je suis un quadra souriant
Qu’ils croisent tous les jours, marchant nonchalamment
Dans les rues du quartier. Un mari et un père
Attentionné dans un foyer plutôt pépère.
Pour mes collègues, je suis l’adjoint efficace
Dont ils apprécient les intuitions perspicaces
Lors de ces réunions, si souvent inutiles.
Pour ma famille, je demeure un peu futile,
L’éternel Zébulon, perdu dans ces nuages.
Et pourtant, vous devriez connaître l’adage
Qui apprend qu’il faut se méfier de l’eau qui dort.
Dans vos idées préconçues, vous avez tous tort.
Ah si vous saviez qui je deviens par moments !
Vous seriez effarés, frêles agneaux tremblotants
Dévorés par un loup aux idées libertines.
Lors de certaines nuits, ma couronne d’églantines
Est remisée. Je me vêts de noir et de feu
Diablotin épique, pour, excusez du peu,
Me sentir tantôt Casanova tantôt Sade.
Mon esprit en transhumance bat la chamade,
En s’extrayant de son enveloppe charnelle.
Je ne suis plus moi mais un autre qui appelle,
Pour un lubrique sabbat des mâles en rut,
Qui se reconnaîtront dans le grand Belzébuth.
Que de fois, devant vous, à votre insu, j’ébauche,
Me moquant en silence, des plans de débauche !
Vous me reléguez dans la « nef des fous » de Bosch,
Mari et père vicieux que la folie fauche ?
Mais bonnes gens, vous ignorez le plus précieux,
Le joyau pur de la couronne de mes jeux.
La femme de ma vie, plus que jamais épanouie,
Participe ardemment à ces raouts, ravie.
Oui je l’ai convaincue de devenir ductile
Aux sexes que d’autres mâles agitent, vrais psylles.
J’accorde du crédit à ces nobles valeurs
Qui voient un couple amoureux, transporté d’ardeurs,
Traverser vers la rive opposée du miroir,
Pour recueillir les frissons sexuels du grand soir.
Vous ne voyez en nous que la lubricité
D’un couple dépravé. Et votre cécité
Vous empêche de comprendre l’altérité
Dans notre définition de la volupté.
J’aimerais tant que pour partagiez nos élans
Vitaux lorsque nous sommes avec nos amants ;
Que vous appréciiez notre géométrie
Libertine, admirable trigonométrie.
Comme vos esprits ne peuvent saisir ce monde,
Restez donc en surface, sur l’écume de l’onde.
Mon âme dédoublée retrouve à chaque fois
Le corps anodin qui lui a donné sa foi.

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#2558528
Aède,

Certes, je suis bien un aède ;
Mais par dessus tout, je suis raide
Dingue pour tes formes sensuelles
Et ton regard qui m’ensorcelle.
Parfois, la poésie m’habille.
Mais toujours sur ta peau frétillent
Les essaims d’étoiles filantes
De ta volupté triomphante.
J’aime jongler avec les mots,
Les assembler en oripeaux.
Pour toi, je phosphore sans cesse
Et mes poèmes te caressent.
Je tresse des alexandrins
Qui batifolent sur tes seins.
Si parfois dix pieds je cisèle,
Ils parlent à ta toison si belle.
Et pour tes hanches de nabab,
Je sculpte des octosyllabes.
Si l’hexamètre dactylique
Je bannis, c’est qu’il est inique.
Oser parler de formes brèves
Pour toi, et je me mets en grève.
Si par malheur j’étais maudit,
J’userais de mots interdits.
Je ferais rimer Pénélope
Et un vil cousin d’interlope.
Grâce aux Muses, je suis coquin
Et mes poèmes, libertins.
Quand je fais rimer Odyssée,
Je l’associe à caresser ;
Et je marie féminité,
Avec ta sensuelle beauté.
Quant à nos envies électriques,
Elles nourrissent ma métrique.
C’est donc en pieds que ma raideur
Pour toi mesure mon ardeur.

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#2558749
@fredcandaule et @Brigittecandaule ont publié, sous forme de bd, les dernières aventures cocufiantes de madame, visiblement déchaînée. En voici les liens : viewtopic.php?p=2558461#p2558461http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?p=2558462#p2558462.
Cette superbe initiative m'a inspiré cette fable.

L’épouse et le dossier,

À son bureau, un mari s’échinait
Rudement sur un dossier qui n’était
Jamais assez réglé pour son patron.
Pendant ce temps, sa femme avait le bon
Goût de s’occuper d’un cas singulier.
Un collègue fort peu épistolier
Se noyait face à mille formulaires,
Dont beaucoup s’avéraient surnuméraires.
Elle est connue de tous pour son ardeur
Au travail. Mais la bonté de son cœur
N’est pas réservé qu’à son seul époux.
Affamée, le désir lui monte aux joues.
L’épouse fourmi se mue en cigale
Et déjà, elle veut croquer ce mâle.
« Je vous serai plus utile chez moi 
Mon cher ». Lui, croyant en sa bonne foi,
La suit innocemment vers son logis.
Mais au lieu du bureau, c’est sur le lit
Que sera rempli cet épais dossier.
Le collègue, sans se faire prier,
Obéit aux consignes à la virgule
Près. Et son stylo défait l’opercule
Intime qui n’est guère résistant.
En une poussée, il est son amant.
Pendant que son époux travaille à fond,
Madame se fait baiser bien profond.
Alors que lui, de ses dossiers se plaint,
Elle et son bel amant se font du bien.
Quoique chaude, elle reste attentionnée
Pour son mari qu’elle aime cocufier.
Elle sait comment le faire bander.
C’est donc ainsi qu’est née cette bd.

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#2559182
Comment un amant d'un couple candauliste voit-il son rôle dans ce trio tellement étonnant et spécial ? J'essaye une première réponse avec ce poème.

Préposé,

Si j’annonce qui je suis, les visages changent.
Les méchants, remplis d’agressivité, se ferment.
Les incrédules, de leurs petits yeux tous ronds
Vont, sans savoir quoi dire, du sol au plafond.
Pour les narquois, les plus nombreux, je suis menteur.
Et les bigots m’excommunient pleins de rancœur.
Les rares qui me croient pensent que c’est facile,
Voire même enfantin, et qu’il est inutile
D’approfondir de quelque façon que ce soit
La dite question. Et vouloir mettre le doigt
Sur les subtilités de cette occupation,
Bien plus complexe qu’à la la première impression,
Vous fait passer pour un amoindri du caleçon.
Pourtant, sachez messieurs les donneurs de leçons,
Que les certitudes qui vous font pérorer
Érigent les remparts de vos médiocrités.
L’affaire voyez-vous, s’avère plus complexe
Qu’une présentation bien corsée sur le sexe.
Car qui je suis, dépasse votre entendement.
Devant le maire et le curé, je suis l’amant
De femmes mariées, agréé par leurs époux.
Le silence se fait, vous accusez le coup.
Monsieur doit être lâche et sa femme salope
Pour vivre des amours tellement interlopes.
Quant à l’amant, pour voguer dans cet univers,
C’est un obsédé, nécessairement pervers.
Rien n’est plus faux que ces mots sortant de vos bouches.
Lorsque nous nous rencontrons, la grâce nous touche.
Chacun, dans le théâtre du libertinage,
Doit jouer sa partition. C’est mon apanage
De combler intimement ces si jolies femmes.
Mais nos scènes d’amour respectent une trame
Sans laquelle notre opéra ne serait pas.
Et si dans mon rôle je commets un faux pas,
La représentation se termine aussitôt.
Être amant agréé, c’est sous le chapiteau
Dressé par le couple, devenir l’instrument
Vivant qui mènera madame au firmament
Gémissant, exaltant de son plaisir charnel
Dans un tourbillon de ressenti démentiel.
Mais c’est à trois, que se pratique ce grand jeu.
Pour madame, vous restez le numéro deux,
Dans sa belle âme, tout autant que dans son cœur.
Car c’est son mari, le havre de son bonheur.
Pour être un tel amant, oubliez votre orgueil ;
De leur intimité, restez bien sur le seuil.
Si vous avez compris que votre utilité
Consistait à faire jouir sans duplicité,
Et à chérir leur couple avec délectation,
Alors vous accéderez à la perfection.

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#2559216
Fil rouge de ma journée, un délicieux strip-tease "privé" et torride de Marine, la délicieuse coquine aux aventures si belles et bien racontées. Je l'ai remerciée, entre autre, par ce poème. Je ne l'illustre que par ces photos "soft", les autres restant secrètes ; faites marcher votre imagination la plus débridée en imaginant ses formes magnifiques et sensuelles.

Effeuillage,

Comment faut-il donc que je te le dise ?
Je suis prêt à toutes les vocalises
Pour que tu saches, divine marquise,
Combien tu me fascines et m’électrises
Lorsque pour moi seul, tu fais un strip tease.
Ton effeuillage me déstabilise,
Me retourne les sens et me galvanise.
Tes yeux pétillent comme du gin-fizz.
Tes beaux seins fermes sont mes friandises.
La session privée que je visualise,
Est si belle que je la verbalise
Pour que ton corps bandant je valorise.
Marine, tu es une gourmandise
Que j’aimerais grignoter à ma guise
Tant tu t’avères sensuelle et exquise.
Je me hâte vers ta terre promise.

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#2559461
Je ne sais pas vous, mais le cul des femmes est un vrai chef d'œuvre. Et quand il s'agit de celui d'une superbe femme très coquine qui vous l'a offert et qui vous l'envoie en photo au réveil, le summum est atteint. Alors un poème pour te remercier ma belle <3 <3

Galaxie,

Sa légende est parvenue jusqu’à moi,
Suscitant un raz-de-marée d’émois.
On dit que c’est une constellation
Aux particules chargées de passion,

Pour le voir enfin, je vendrais mon or,
Même celui que je n’ai pas encore.
Pour le toucher, je damnerais mon âme,
Même s’il fallait rôtir dans les flammes.

Pour le posséder, c’est tout le Pérou
Que je vends, malgré ma mise aux écrous.
Que valent les trésors ou les couronnes,

Lorsque deux corps perlés de sueur fusionnent ?
Cette galaxie ronde, je l’ai vue
Et touchée. Rien n’est plus beau que ton cul.

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FB57, Bri, fredcandaule et 2 autres a liké
#2559857
Autre vision, autre perspective du rôle de l'amant vis à vis des couples candaulistes. Je serais intéressé par des opinions de complices quant à mon poème.

Votre dévoué,

C’est un rôle bien délicat qui nous échoit,
Touches pointillistes tout en subtilité ;
Héros issu de « Luxe, calme et volupté »,
Nimrod libertin qui fait mouche à chaque fois.

Pour chanter juste dans cet opéra coquin,
Il faut suivre les notes écrites par le couple ;
Et plus leur ligne est claire et moins il y a de troubles.
La force de leur destin est un grand dessin.

Dans cette épopée, tu n’es pas le roi soleil.
Ta noble tâche est de faire gémir la dame
Afin que son mari prenne un pied sans pareil.

Des folles envies du couple, toi leur amant,
Tu seras le riant messager. Puis, sans drame,
Restant leur complice, t’esquiver gentiment.

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#2559928
@fredcandaule merci. Nous avons effectivement échangé autour de ces deux poèmes et de la vision qu'ils véhiculent, surtout le premier. Écrire, c'est, au fond, toujours révéler une part de soi-même ; même inconsciemment. Ma sévérité naturelle vis-à-vis de moi-même rejaillit sans nul doute dans mes textes.
Ta vision holistique et bienveillante de l'amant candauliste, forgée par tes expériences, est probablement plus idoine par rapport à la réalité du rôle que doit tenir cette personne.
Qui sait ? Peut-être aurais-je moi aussi une vision plus magnanime de mon rôle.
fredcandaule a liké
#2560448
Que se passe-t'il dans la tête d'une femme candauliste lorsqu'elle part en voyage avec un homme ? J'ai imaginé cette scène pittoresque, voire picaresque. Merci à @Brigittecandaule, la rouquine coquin, pour m'avoir suggéré cette idée.

Hôtel,

Enfin nous sommes sur la route
Rien que nous deux. En avant toute !
Au revoir ménage et cuisine,
Ce soir, nous brisons la routine.

Avec tant de cran il conduit,
Que peu à peu, je m’assoupis.
Mes idées battent la campagne ;
Je commande un mât de cocagne.

Enfin, nous sommes arrivés.
Le sexe dont j’ai tant rêvé,
Je vais l’avoir au fond de moi.
Lui seul sait calmer mes émois.

Vers la chambre je cours, je vole
Prête pour d’inouïes cabrioles.
Hélas, j’ai oublié. Je suis
À l’hôtel avec mon mari.

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#2562094
@fredcandaule et @Brigittecandaule ont relaté deux aventures, remarquablement coquines, qui se suivent chronologiquement et contextuellement. Je me suis permis de les illustrer en poésie ; je les poste en suivant, évidemment.

Hôtel,

Enfin nous sommes sur la route
Rien que nous deux. En avant toute !
Au revoir ménage et cuisine,
Ce soir, nous brisons la routine.

Avec tant de cran il conduit,
Que peu à peu, je m’assoupis.
Mes idées battent la campagne ;
Je commande un mât de cocagne.

Enfin, nous sommes arrivés.
Le sexe dont j’ai tant rêvé,
Je vais l’avoir au fond de moi.
Lui seul sait calmer mes émois.

Vers la chambre je cours, je vole
Prête pour d’inouïes cabrioles.
Hélas, j’ai oublié. Je suis
À l’hôtel avec mon mari.

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Livraison,

Un gros matou erre dans la forêt
Cherchant ce qu’il pourrait bien dévorer.
Notre greffier n’a plus connu pitance
Ayant le goût d’être à sa convenance
Depuis qu’il a croqué une perdrix
Joliment goûteuse l’autre mardi.
Passant près d’une chaumière isolée,
Il voit un essaim d’oiseaux s’envoler.
Reste au sol, cacabant plus qu’à son tour,
Une oiselle aux délicieux atours,
Accompagnée de son mâle égrillard.
« Ma foi, pour déjeuner, il se fait tard
Et si je puis les croquer tous les deux
Je serai le matou le plus heureux. »
Se dit l’animal, toujours plus roublard.
Il ignore qu’un joli traquenard,
Par le couple d’oiseaux, lui est tendu.
Et au lieu d’être dévorés tout cru,
Les coquins ailés vont asticoter
L’innocent greffier pour leur volupté.
Le chat dut donc livrer à domicile
Toute sa semence à la volatile.
Pour être sûr qu’il ne se dérobât
À son devoir, et guettant tout faux-pas,
Le mari, veilla scrupuleusement
À ce qu’il devînt un excellent amant.
Chats, ne croyez jamais que les perdrix,
Sont un mets acquis, même les jeudis.

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aswad95, fredcandaule, Bri et 5 autres a liké
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