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#2605160
Hanches,

Astres jumeaux gravitant
Autour d’un soleil béant.
Détroits forts et délicats,
Charybde attirant Scylla.
Éruptives péninsules
De ton corps en majuscule.
Vasques tapissées d’agrumes
Légères comme des plumes.
Balançoires de nos fêtes
Qui me font perdre la tête.
Baous au toucher soyeux
Que j’empaume de mon mieux.
Féminines vibrations
De ta libérée passion.
Est-ce un idiome mirage ?
Ma langue, dans leurs nuages,
Mande le déchiffrement
De la Pythie, instamment.
C’est l’univers féerique
De tes hanches si tantriques.

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Saxojaune, Bri, jlopsave et 14 autres a liké
#2605735
Je dédie ce poème à tous les hommes mûrs, de ce forum et d'ailleurs.

L’âge,

Certains croient à une date limite
Avant que nos chairs ne soient décrépites ;
Ils pensent aussi qu’une finitude
Frappe forcément nos béatitudes.

Ces rabat-joie se triturent la tête
Pour voir s’éteindre les feux de nos fêtes.
Cependant, comme elles sont loin du compte
Leurs vérités qui s’avèrent des contes.

Arrivé à l’âge d’être chenu,
Je m’en trouve meilleur dans l’art du cul.
Car, outre le grand rôle de ma lance,
De tout le reste, je sais l’importance.

Pour donner aux femmes toute la joie
Qui leur est due, il faut que mes dix doigts,
Sur leurs beaux corps subtils, tels des archers,
Les fassent vibrer et se relâcher.

Pour entendre d’elles tous leurs plaisirs,
Il faut que ma langue fasse sortir
De la protection de son capuchon
De rubis leurs coquins petits boutons.

L’art d’aimer cache des subtilités
Que l’on découvre à la maturité ;
Un âge auquel, la seule performance
S’enrichit des joies de la connaissance.

C’est au long de la vie, au fil des ans,
Que les hommes deviennent bons amants.
Notre âge est secondaire, importe peu,
Quand du corps des femmes l’on est amoureux.

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casper7742, Tony63, Yvelines49 et 9 autres a liké
#2605739
Cher ami des lettres...

2 courtes réflexions (oui... on m'a encore dit il n'y a pas longtemps dans un "joli" MP sur le Tchat que j'écris trop... que je ne donne pas envie de lire... donc style plus court...):

- Les hanches: superbement écrit, illustré... les hanches sont un object de désir, ne serait-ce que pour la levrette !!!
- L'âge... Ah... Cet âge... Miss a encore fait une réflexion... la semaine dernière en club (oulala... CE fut chaud mais on ne raconte plus pour ne plus recevoir de si gentilles réflexions sur notre mauvaise qualité d'écriture): des jeunes... sont passés sur elle... mais le sentiment fut: BOF BOF BOF !!! de vrais lapins... 2 minutes maximum chrono en main !!! et encore... pas de préparation, direct pénétration... nous avons préféré en rire !!! (et femme qui rit...)... Ben oui... A force de rire... c'est un... un peu plus âgé... qui l'a eue dans son lit :) et le mec... Là... Pas un lapin que du contraire... Des rounds, deux décharges... du temps, des cris, des positions... C'est simple... A l'entendre ainsi crier... il y a fait de plus en plus de "spectateurs" dans le couloir... pour venir écouter son récital !!!

Voilà

merci pour toujours tes jolies mots...
Je n'en rajoute pas !!!
#2605742
@canlib, cher ami les lettres,

"Vita brevior est, sed epistola amici numquam nimis longum est" dit l'adage latin. "La vie est trop courte mais la lettre d'un ami n'est jamais trop longue". Laisse les envieux et les pisse-vinaigre de dissoudre dans leur brièveté étouffante. Écris comme il te chante. Trop rares sont les amoureux des mots.

Comme toujours, merci pour tes réponses intéressantes et détaillées.

1) Oui les hanches sont sensuelles, excitantes, érotiques. Elles sont les guitares des femmes, l'instrument dont sont issues les mélodies que nous aimons tant quand nous les tenons fermement lors des levrettes.

2) Et l'âge ! Vaste sujet, qui à mon âge, précisément, me touche plus que jamais. Je suis convaincu que vieillir, c'est d'abord dans la tête, et ensuite dans le corps (sauf maladies par exemple). Et que la jeunesse n'est pas toujours synonyme de qualité et de qualités. J'insiste que le singulier et le pluriel que j'ai utilisé sciemment. Et ta femme en apporte la preuve, par elle même, et avec ce dernier amant. Quel grand moment ce dût être pour vous.

Merci à toi pour ton suivi de ce post.
#2607818
Cette magnifique photo { viewtopic.php?p=2607802#p2607802 } de @Saxojaune montrant Clara et Abel faisant l'amour dans la pénombre méritait bien ce sonnet.

Ombre et lumière,

La flamme de mon cœur vacille
Sous les éclairs de mes pupilles ;
Et je plonge dans les abysses,
Apesanteur de mes délices.

Je les regarde, ils sont si beaux,
Mêlés dans ce tendre tango ;
Je vibre de contentement
De la voir avec son amant.

Femme libre, son regard luit,
Quand, devant moi, elle est à lui.
Les murs de leur Maison du Jouir,

Bâtie des pieux de leurs plaisirs,
Brillent d’incroyables soleils
Libertins teintés de vermeil.

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jefetlola, Bri, indiscretions et 6 autres a liké
#2608247
Insatiables,

Ta rosée brille sur mon tref,
Poutre maîtresse de ma nef,
Roulant sur le flot de tes lèvres,
Que des vagues de feu enfièvrent.

Je rends grâce à cette Odyssée.
Je revis d’être caressé
Par les fières pointes d’airain
Ceignant les rondeurs de tes seins.

Ton art m’a mené pas à pas
Vers la grotte de mes repas.
Je me nourris de ton clito,
Énigmatique Calypso.

Électrique comme Rati,
Ta fente sucrée me ravit
M’enthousiasme, puisqu’elle mouille
Quand j’y entre et que je la fouille.

Et plus encore que Circé,
Ton appétit est insensé.
Je n’ai jamais trop de mes ruses
Pour, qu’enfin, ta libido s’use.

Et autant la nuit que le jour,
Affamés, nous faisons l’amour.
Avec toi, c’était imparable :
Je suis devenu insatiable.

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aswad95, Saxojaune, Bri et 7 autres a liké
#2608267
Les si beaux seins de ma complice valent tellement mieux que ce poème. <3 :cuck:

Seins,

Ils sont ma Voie Lactée,
Mes monts de volupté ;
Globes blancs faits d’ivoire
Façonnés pour sa gloire.

Si fiers et arrogants,
Dans mes paumes d’amant ;
Les coquins se redressent
Quand, sur eux, je m’empresse.

Et leurs tétons bien roses,
Pendards roués, osent
Vouloir être sucés.

Je n’ai jamais assez
De ses seins. Quel bonheur !,
Merci, mari prêteur.

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#2609962
Une rencontre de quelques heures avec un couple complice, c'est formidable. Une escapade chez eux de quatre jours, cela confine à l'exceptionnel.

Escapade,

Chapitre I

Un long cri rauque s’échappe de son corps saisi de tremblements désordonnés. Elle vient de jouir bruyamment. Je la regarde depuis son entrecuisse où ma langue s’affaire avec bonheur depuis de longues minutes. Ses mains, posées sur ma tête pour m’inciter à continuer (comme si un homme normalement constitué voulait s’arrêter !), bloquent légèrement ma vue en contre plongée. Le temps s’est comme arrêté ; plus rien ne compte dans la chambre conjugale que le plaisir de cette femme gourmande.

Peu à peu, elle redescend de son nuage, félicitée par son mari, allongé, nu, contre elle. Qu’il est fier de ce moment ! Sa chérie s’est lâchée sans aucune retenue, transformée en une femelle incandescente et insatiable. Je quitte la chatte trempée et remonte le long de ce corps qui m’excite tant pour rouler une longue pelle à la coquine qui n’attend que ça.

Mais je n’ai pas fini. Je plonge, sans crier gare, ma queue raide et excitée, dans la féminité brûlante et mouillée de mon amante. En une seule poussée, mon sexe est englouti et mes couilles viennent taper contre son pubis. Elle pousse un cri de surprise et de plaisir. Je la prends en missionnaire avec intensité. Elle enserre mes reins de ses jambes, m’incitant à la baiser plus fort. Et je ne le fais pas prier. Nous jouons à la bête à deux dos de longues minutes. Seuls dans notre bulle, nous distinguons à peine monsieur qui se branle au rythme de mes va-et-vient. C’est à mon tour de pousser un cri rauque, presque animal, quand je jouis en elle.

En sueur, épuisés, repus, heureux, nous reprenons nos souffles, allongés côte à côte.

Chapitre II

Tout avait commencé deux heures plus tôt, en tout début d’après-midi, sur le quai de la gare. En fait, non. Tout avait démarré plusieurs jours auparavant, quand nous avions mis au point cette folle escapade de quatre jours chez mes complices. Quatre-vingt-seize heures dédiées au sexe et au candaulisme. Quatre-vingt-seize heures consacrées au plaisir de madame, toujours demandeuse, toujours prête. « Coquine affamée » serait son totem chez les scouts.

Le train qui me mène chez eux roule trop lentement à travers la campagne méditerranéenne, éclaboussée du chaud et lumineux soleil du sud. La hâte grandit au fil des minutes. Jusqu’à en devenir douloureuse.

Enfin, j’arrive. Je la vois, puis elle me découvre à son tour. Nos visages s’illuminent aussitôt. Elle est seule, vêtue d’une courte veste cintrée, d’un chemisier blanc transparent laissant deviner l’absence de soutien-gorge, d’une jupe courte s’arrêtant au-dessus du genou, et des bas couleur chair moulant ses jambes sexy. Détail cocasse, alors qu’elle m’attendait, un homme s’approcha pour lui demander un renseignement, avant de partir, bafouillant, voyant sa femme, manifestement courroucée, arriver.

Un chaste baiser sur les joues (on ne sait jamais) et nous nous dirigeons vers la voiture où monsieur, au moins aussi impatient que nous, attend. Nous montons, il démarre aussitôt.

Chapitre III

Le trajet jusqu’à chez eux file à toute allure. Me voici rendu dans l’antre de nos folies. Je pose mes affaires, et nous passons à table pour un déjeuner, aussi simple que succulent. Nous trinquons au champagne.

Mais il est grand temps de passer aux choses sérieuses.

C’est donc dans la chambre conjugale que l’action se déroule. Monsieur, prévoyant, a partiellement fermé les volets pour nous garder de voisins trop curieux. Nous sommes si impatients que nos vêtements volent littéralement à travers la pièce. En un clin d’œil nous sommes sur le lit, nus.

Nous en avions tellement envie, que nous prenons de vitesse monsieur qui débarque dans la chambre alors que nous avons déjà démarré un soixante-neuf endiablé. Il râle (un peu) pour le principe et se déshabille à la vitesse de l’éclair. Heureusement pour lui, il ne va rien manquer de la suite torride, s’approchant au plus près, pour admirer nos corps tantôt mêlés, tantôt emboîtés.

Le lit conjugal vibre, grince, couine. Nous baisons comme des fous, comme des enragés, comme des coquins ivres de cette liberté généreusement offerte par un formidable mari prêteur. Les positions s’enchaînent, fluides, naturelles. Nos bouches fusionnent en des baisers profonds. Nos yeux se soudent en des regards brûlants.

Le soleil s’est caché quand, vaincus par la fatigue, nous déposons les armes. Madame vient se blottir dans mes bras. Je la caresse tendrement. Le temps reprend son souffle, comme nous. Je réalise que monsieur s’est éclipsé pour préparer le dîner ; occupé à faire l’amour à sa chérie, je ne m’en étais pas rendu compte.

Chapitre IV

Le dîner recharge nos énergies. Les échanges sont amicaux, simples et vrais. Nous rions de bon cœur. La nuit est tombée et les étoiles brillent dans le ciel purifié par le vent. Nous nous sentons comme des héros libertins des « Lettres de mon moulin ».

Elle me prend par la main pour m’entraîner sous la douche. Nous nous frottons de plus en plus coquinement, tout en s’embrassant. Bien vite, mon sexe retrouve de la vigueur et je pénètre dans la chatte si accueillante et familière de ma complice que j’ai plaquée, face à moi, contre le mur. L’eau chaude ruisselle sur nos corps. Elle gémit, les yeux clos, agrippée à mon cou. Mais la nuit ne fait que commencer, et il faut garder des forces.

Nous allons dans la chambre en peignoir. Monsieur, instruit de la dernière fois, est déjà assis, nu, sur le lit ; il frétille quand nous laissons tomber les vêtements sous lesquels nous sommes en tenues d’Ève et d’Adam.

Et nous reprenons nos ébats avec la même fougue, le même bonheur. Nos corps se ressoudent naturellement, sans effort. Je nous trouve beaux, plus encore faiblement éclairés par une simple veilleuse.

Minuit sonne quand le sommeil nous gagne. Monsieur nous salue, et se dirige vers la chambre d’amis où il dormira seul, pendant que sa femme et moi partagerons le lit conjugal. Nous éteignons les lumières et nous endormons blottis l’un contre l’autre.

Chapitre V

Un puissant coup martèle le mur de la chambre plongée dans l’obscurité la plus totale. Son bruit résonne comme un coup de canon à travers la nuit. Madame vient d’avertir son cocu de mari.

Nous refaisons l’amour. Encore et toujours. Nous n’en avons jamais assez. Nous n’avons pas dormi longtemps. Je ne sais pas résister à son corps lorsqu’il se trouve contre moi. Quelques caresses mutuelles, des baisers, elle mouille, je bande.

Monsieur allume une petite veilleuse qui éclaire faiblement la chambre, et découvre sa femme me chevauchant hardiment, gémissant de plus en plus bruyamment. Mes mains pétrissent ses seins fermes et ses belles fesses. Nous nous roulons des pelles gourmandes.

Notre galop sexuel dure longtemps, rythmé de mes coups de rein et des coups de mains masturbatoires de monsieur. Les positions sont moins variés que lors de nos coïts précédents, non par paresse, mais car nous n’en ressentons pas la nécessité. Ils s’avèrent, par contre, tout aussi intenses et merveilleux.

Un dernier cri, un ultime spasme, et mon amante jouit de nouveau.

Monsieur s’esquive sur la pointe des pieds vers sa chambre. La pièce retrouve le silence de la nuit. Nous replongeons dans les bras de Morphée, des rêves coquins pleins la tête.

Madame, insolente et taquine, gourmande et déchaînée, martèlera encore deux fois le mur de la chambre avant le lever du jour.
Le reste de ce séjour fut du même acabit. Une longue et folle chevauchée de plaisirs partagés.

Vivement la prochaine escapade !

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CoupleLibre6, Bri, ssandraexib et 13 autres a liké
#2610401
Vent divin,

Le ciel d’encre se creuse à toute allure,
Typhon effrayant de mauvaise augure.
Taranis lacère de ses griffures
Notre horizon au bord de la rupture.

La vie, anxieuse, paraît aux abois.
Les arbres tordus, les maison de bois,
Les ruisseaux en crue, les barques des rois,
Attendent transis, tout en restant cois.

L’orage lâche sa rage de pluie
Contre les murs épais de mon logis.
Envolée funeste, les Érinyes
Traquent la douceur blottie dans la nuit.

À la lueur de leurs torches bien vertes,
Incarnant l’ordre établi, toujours prêtes,
Ces âmes laides rêvent qu’elles fouettent
Les amants emmêlés par Aphrodite.

Elles cherchaient à raison ces furies.
Empalée sur ma mentule qui luit,
Heureuse, libérée, épanouie,
Une Belle connue souffle et gémit.

Son corps aube en marbre du Pentélique
Chante un poème parfait, hypnotique ;
Muse aux envies fulgurantes, extatiques.
De mes coups de reins, j’écris ma métrique.

Un voile d’amour, magique et puissant,
Cache nos deux corps des regards glaçants.
Charme invincible du mari aimant
Pour que fleurisse la joie des amants.

Quand s’abat l’ire sombre de l’orage,
Quand la norme coule dans les rouages,
Qu’il est bon de rebattre les suffrages
En plébiscitant le libertinage.

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#2610847
Fusion,

Ma course éperdue sur les fragiles voliges
M’a précipité dans l’abysse du vertige.
Je m’étais rêvé félin régnant sur les toits,
Je ne suis qu’une feuille ondoyante qui choit.
Pourtant, jamais mon bonheur n’a été si grand
Car j’ai trouvé l’Éden, avec l’aide du vent.
À l’opposé des noires allées maléfiques,
Je vogue sur de rouges fleuves extatiques.
L’audace libérée de leurs eaux rubicondes,
Offrande d’Aphrodite à notre Terre ronde,
Transforme en un instant mon errance tombante
En un duel de diction aux langues chatoyantes.
Que m’importe les toits, je me sens orateur ;
Du haut de ta chaire, je parle de bonheur,
Détachant bien chaque lettre de ma passion
Qui conduit mon cœur et mon âme à la fusion.
Jamais ma soif de toi, ne se trouve étanchée,
Lorsque sur tes lèvres mon désir est penché.

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