Une rencontre de quelques heures avec un couple complice, c'est formidable. Une escapade chez eux de quatre jours, cela confine à l'exceptionnel.
Escapade,Chapitre IUn long cri rauque s’échappe de son corps saisi de tremblements désordonnés. Elle vient de jouir bruyamment. Je la regarde depuis son entrecuisse où ma langue s’affaire avec bonheur depuis de longues minutes. Ses mains, posées sur ma tête pour m’inciter à continuer (comme si un homme normalement constitué voulait s’arrêter !), bloquent légèrement ma vue en contre plongée. Le temps s’est comme arrêté ; plus rien ne compte dans la chambre conjugale que le plaisir de cette femme gourmande.
Peu à peu, elle redescend de son nuage, félicitée par son mari, allongé, nu, contre elle. Qu’il est fier de ce moment ! Sa chérie s’est lâchée sans aucune retenue, transformée en une femelle incandescente et insatiable. Je quitte la chatte trempée et remonte le long de ce corps qui m’excite tant pour rouler une longue pelle à la coquine qui n’attend que ça.
Mais je n’ai pas fini. Je plonge, sans crier gare, ma queue raide et excitée, dans la féminité brûlante et mouillée de mon amante. En une seule poussée, mon sexe est englouti et mes couilles viennent taper contre son pubis. Elle pousse un cri de surprise et de plaisir. Je la prends en missionnaire avec intensité. Elle enserre mes reins de ses jambes, m’incitant à la baiser plus fort. Et je ne le fais pas prier. Nous jouons à la bête à deux dos de longues minutes. Seuls dans notre bulle, nous distinguons à peine monsieur qui se branle au rythme de mes va-et-vient. C’est à mon tour de pousser un cri rauque, presque animal, quand je jouis en elle.
En sueur, épuisés, repus, heureux, nous reprenons nos souffles, allongés côte à côte.
Chapitre IITout avait commencé deux heures plus tôt, en tout début d’après-midi, sur le quai de la gare. En fait, non. Tout avait démarré plusieurs jours auparavant, quand nous avions mis au point cette folle escapade de quatre jours chez mes complices. Quatre-vingt-seize heures dédiées au sexe et au candaulisme. Quatre-vingt-seize heures consacrées au plaisir de madame, toujours demandeuse, toujours prête. « Coquine affamée » serait son totem chez les scouts.
Le train qui me mène chez eux roule trop lentement à travers la campagne méditerranéenne, éclaboussée du chaud et lumineux soleil du sud. La hâte grandit au fil des minutes. Jusqu’à en devenir douloureuse.
Enfin, j’arrive. Je la vois, puis elle me découvre à son tour. Nos visages s’illuminent aussitôt. Elle est seule, vêtue d’une courte veste cintrée, d’un chemisier blanc transparent laissant deviner l’absence de soutien-gorge, d’une jupe courte s’arrêtant au-dessus du genou, et des bas couleur chair moulant ses jambes sexy. Détail cocasse, alors qu’elle m’attendait, un homme s’approcha pour lui demander un renseignement, avant de partir, bafouillant, voyant sa femme, manifestement courroucée, arriver.
Un chaste baiser sur les joues (on ne sait jamais) et nous nous dirigeons vers la voiture où monsieur, au moins aussi impatient que nous, attend. Nous montons, il démarre aussitôt.
Chapitre III Le trajet jusqu’à chez eux file à toute allure. Me voici rendu dans l’antre de nos folies. Je pose mes affaires, et nous passons à table pour un déjeuner, aussi simple que succulent. Nous trinquons au champagne.
Mais il est grand temps de passer aux choses sérieuses.
C’est donc dans la chambre conjugale que l’action se déroule. Monsieur, prévoyant, a partiellement fermé les volets pour nous garder de voisins trop curieux. Nous sommes si impatients que nos vêtements volent littéralement à travers la pièce. En un clin d’œil nous sommes sur le lit, nus.
Nous en avions tellement envie, que nous prenons de vitesse monsieur qui débarque dans la chambre alors que nous avons déjà démarré un soixante-neuf endiablé. Il râle (un peu) pour le principe et se déshabille à la vitesse de l’éclair. Heureusement pour lui, il ne va rien manquer de la suite torride, s’approchant au plus près, pour admirer nos corps tantôt mêlés, tantôt emboîtés.
Le lit conjugal vibre, grince, couine. Nous baisons comme des fous, comme des enragés, comme des coquins ivres de cette liberté généreusement offerte par un formidable mari prêteur. Les positions s’enchaînent, fluides, naturelles. Nos bouches fusionnent en des baisers profonds. Nos yeux se soudent en des regards brûlants.
Le soleil s’est caché quand, vaincus par la fatigue, nous déposons les armes. Madame vient se blottir dans mes bras. Je la caresse tendrement. Le temps reprend son souffle, comme nous. Je réalise que monsieur s’est éclipsé pour préparer le dîner ; occupé à faire l’amour à sa chérie, je ne m’en étais pas rendu compte.
Chapitre IV Le dîner recharge nos énergies. Les échanges sont amicaux, simples et vrais. Nous rions de bon cœur. La nuit est tombée et les étoiles brillent dans le ciel purifié par le vent. Nous nous sentons comme des héros libertins des « Lettres de mon moulin ».
Elle me prend par la main pour m’entraîner sous la douche. Nous nous frottons de plus en plus coquinement, tout en s’embrassant. Bien vite, mon sexe retrouve de la vigueur et je pénètre dans la chatte si accueillante et familière de ma complice que j’ai plaquée, face à moi, contre le mur. L’eau chaude ruisselle sur nos corps. Elle gémit, les yeux clos, agrippée à mon cou. Mais la nuit ne fait que commencer, et il faut garder des forces.
Nous allons dans la chambre en peignoir. Monsieur, instruit de la dernière fois, est déjà assis, nu, sur le lit ; il frétille quand nous laissons tomber les vêtements sous lesquels nous sommes en tenues d’Ève et d’Adam.
Et nous reprenons nos ébats avec la même fougue, le même bonheur. Nos corps se ressoudent naturellement, sans effort. Je nous trouve beaux, plus encore faiblement éclairés par une simple veilleuse.
Minuit sonne quand le sommeil nous gagne. Monsieur nous salue, et se dirige vers la chambre d’amis où il dormira seul, pendant que sa femme et moi partagerons le lit conjugal. Nous éteignons les lumières et nous endormons blottis l’un contre l’autre.
Chapitre V Un puissant coup martèle le mur de la chambre plongée dans l’obscurité la plus totale. Son bruit résonne comme un coup de canon à travers la nuit. Madame vient d’avertir son cocu de mari.
Nous refaisons l’amour. Encore et toujours. Nous n’en avons jamais assez. Nous n’avons pas dormi longtemps. Je ne sais pas résister à son corps lorsqu’il se trouve contre moi. Quelques caresses mutuelles, des baisers, elle mouille, je bande.
Monsieur allume une petite veilleuse qui éclaire faiblement la chambre, et découvre sa femme me chevauchant hardiment, gémissant de plus en plus bruyamment. Mes mains pétrissent ses seins fermes et ses belles fesses. Nous nous roulons des pelles gourmandes.
Notre galop sexuel dure longtemps, rythmé de mes coups de rein et des coups de mains masturbatoires de monsieur. Les positions sont moins variés que lors de nos coïts précédents, non par paresse, mais car nous n’en ressentons pas la nécessité. Ils s’avèrent, par contre, tout aussi intenses et merveilleux.
Un dernier cri, un ultime spasme, et mon amante jouit de nouveau.
Monsieur s’esquive sur la pointe des pieds vers sa chambre. La pièce retrouve le silence de la nuit. Nous replongeons dans les bras de Morphée, des rêves coquins pleins la tête.
Madame, insolente et taquine, gourmande et déchaînée, martèlera encore deux fois le mur de la chambre avant le lever du jour.
Le reste de ce séjour fut du même acabit. Une longue et folle chevauchée de plaisirs partagés.
Vivement la prochaine escapade !
Vulva_and_pubic_hair.jpg
photos-fellations-zaza25400-lustrage-du-gland.1.jpg
levrette-4-1024x640.jpg
file copie.jpg
Le bateau ivre.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.