- 13 janv. 2024, 18:08
#2771057
Suite
Les mois suivants furent calmes, Victoire, convaincue par sa gynéco de suivre un traitement d’hormones de synthèse, fut heureuse de ressentir à nouveau l’envie de coquiner avec un partenaire: sa libido renaissait !. Elle recommença à fréquenter P.. de temps à autre et de mon côté je prenais le temps de passer un après-midi ou une nuit avec Lison qui me reprochait de ne pas la rejoindre plus souvent ; elle aurait voulu que je l’emmène faire un petit voyage en Italie, pays qu’elle ne connaissait pas. « Et P.. ? tu l’as revu ? » lui demandais-je.. Elle rougit légèrement en me disant que c’était de ma faute, que je n’avais qu’à lui rendre visite plus souvent. Un aveu implicite.. « Combien de fois l’as-tu revu ? » « Il me téléphone pour savoir si je suis libre, et comme je suis presque toujours libre…alors il vient; tu sais bien que j’aime le faire avec lui! »
Après tout, ça m’arrangeait qu’elle ait un second amant et je le lui dis, car je ne pouvais pas lui consacrer beaucoup plus de temps.
Une situation assez singulière : P.. couchait avec Victoire et Lison, je couchais avec Lison et Victoire, parfois P.. et moi baisions Lison ! Il advint, une fois seulement, que P.. et moi couchions ensemble avec Victoire ; sans oublier que P.. et Ali couchèrent avec Victoire plusieurs fois. Une grande famille !
Il arrivait que P.. et moi déjeunions ensemble. La conversation portait sur nos métiers respectifs mais pas que : nous parlions bien évidemment de nos femmes ! Il était désappointé par Victoire qui semblait se détourner de lui. Etait-elle jalouse de sa relation avec Lison ? Je lui ai dit que c’était vraisemblable, mais la cause provenait aussi de sa baisse naturelle de libido. Mais je lui appris qu’elle prenait depuis peu des hormones de synthèse et que son envie de coquiner progressait. S’il voulait resserrer le lien avec elle, il fallait qu’il s’en occupe un peu plus. « Dis-moi ce que je devrais faire, depuis la Barbade elle s’est fatiguée de moi.. m’avoir dans son lit avec elle toutes les nuits a fini par la lasser. Faut que je fasse quoi pour qu’elle ne me boude plus ? ». « Commence par la laisser reposer un mois sans la voir, le temps que sa libido progresse, sans même prendre contact.. Attends qu’elle t’appelle, et alors va la baiser, fais-la monter au septième ciel! »
Le résultat fut concluant et P.. m’en remercia: Victoire m’annonça toute heureuse qu’elle se sentait beaucoup mieux depuis le nouveau traitement hormonal, qu’elle avait renoué avec P.. et qu’elle aimerait passer une ou deux nuits par semaine avec lui jusqu’à notre départ printanier pour l’Espagne. Me laissant seul durant ses escapades nocturnes, j’en profitai pour sortir avec des amis et amies en tout bien tout honneur. Victoire regagnait le logis tôt matin, passablement éreintée. « Il a fait craque boum hue toute la nuit, je ne peux plus tenir ce rythme, mais qu’est-ce qu’il me baise bien ! » Elle ne se refusa pas à moi, moi qui aime tant la pénétrer après son amant mais objecta qu’elle avait toujours P.. en tête, qu’avec moi ça n’irait peut être pas aussi bien qu’avec lui. Peu m’importait, j’inspectai des doigts sa fente, ses lèvres étaient gonflées et ouvertes, son clitoris sensible, et de son vagin sourdaient quelques reliquats d’humeurs que son amant y avait laissés. Après l’avoir caressée, alors que sa respiration s’accélérait, je glissai ma queue raide de désir dans son vagin doux et chaud, lubrifié à foison, touchai le fond, et par de petits mouvements de va et vient rapides de très faible amplitude, je limai longuement son fourreau tout en tamponnant doucement sa « petite bouche » (expression de Lison non utilisée par Victoire). Je ne pensais pas, vu ce qu’elle venait d’endurer avec P.. de la mener à l’orgasme. Et pourtant ! Elle me dit soudain « Oh continue, j’aime ce que tu fais comme ça, encore.. encore.. je vais venir… je vais venir…». Et elle vint, ce qui me fit venir en même temps ! Elle eut un orgasme puissant, assourdissant ! Elle resta pantelante plusieurs minutes avant de reprendre ses esprits, découvrant avec amusement le flot s’écoulant de son fondement, inondant le drap. « C’était très fort, le plus fort avec toi depuis longtemps, comme une explosion dans ma tête se répandant à travers tout mon corps, comme si je vous avais tous les deux en moi : P.. dans mon esprit et toi dans mon ventre ! La fusion nucléaire des deux a déclenché l’explosion atomique ! »
Extrait du journal
Samedi 22
J’ose pas demander à D.. s’il me laisse aller en Bretagne avec P.. Je cherche une solution dans ma tête mais ne sais pas comment le lui dire.
Profitant de notre absence future, P.. me demanda s’il pouvait emmener Lison chez lui en Bretagne pour une quinzaine: permission accordée. Elle n’osa pas m’en parler et je la laissai venir. Elle inventa une petite histoire par laquelle une amie l’invitait à passer un petit séjour en Bretagne.. « Une amie qui s’appelle P.., c’est ça ? » lui dis-je en l’embrassant et la voyant rougir ! « Mais vas-y ma chérie, va avec lui si c’est ton bonheur, mais ne va pas t’imaginer qu’il veut vivre avec toi, je le connais bien, il veut avant tout conserver une liberté absolue pour baiser de jolies femmes comme toi. Carpe diem ! » Elle m’embrassa tout en me caressant la queue à travers le tissu de mon jean pour me remercier.. « Tu ne m’en veux pas d’avoir inventé cette histoire ? » me demanda-t-elle.. Mais non bien sûr ! « Alors viens je veux te remercier, prends-moi » dit-elle en se déshabillant. Je lui répondis que je n’avais pas le temps, j’étais pressé, j’ai un rv.. « Alors fais-moi juste un cuni, fais-moi jouir ».. Exécution, mais elle jouit si bien et si fort que cela se prolongea au lit où je la défonçai, manquant mon rv qui était en réalité une sortie avec des amis. Lison paru si triste que je décidai de l’emmener ; je comptais la présenter comme une cousine éloignée..
Lundi 24
Mon chéri est venu passer l‘après midi de dimanche avec moi. On est resté au lit car il fait couvert et frisquet. J’ai pensé que c’était le moment pour lui parler. Quelle idiote ! J’ai inventé une petite histoire comme quoi une amie m’invitait à aller en Bretagne.. Mais lui il savait déjà, il m’a dit «une amie qui s’appelle P..?» La honte ! Il n’était pas fâché au contraire il a ri ! Il m’a dit d’y aller si c’était mon plaisir. J’étais si soulagée que je me suis offerte à lui. Il m’a bien fait jouir d’abord un cuni puis il je l’ai accueilli dans mon ventre. J’aurais voulu le garder en moi mais il était pressé de rentrer, soit disant pour un rv, mais je savais que Victoire l’attendait pour une sortie avec des amis. Comme il voyait que j’étais triste, il m’a emmenée avec eux. J’ai mis les vêtements qu’il m’avait achetés pour aller chez Michel, j’étais très chic !
Il y avait du monde et ça m’intimidait. D.. m’a présentée en me faisant passer pour une cousine éloignée. Mais j’ai eu l’impression que personne n’était dupe. Je suis restée près de Victoire qui était en grande conversation avec un très beau mec, il me plaisait alors je le regardais à la dérobée et lui me regardait aussi.. Je ne savais pas si Victoire avait un plan avec lui je me suis abstenue. Victoire a été appelé par une copine et je suis restée parler avec le beau mec. Il me plaisait et je voyais bien que c’était réciproque. Il m’a même demandé si j’avais quelqu’un ! «Ben oui», ai-je dit, j’allais pas mentir. Il sembla déçu tout en disant qu’avec une aussi jolie femme c’était normal. Ça m’a fait rougir. J’ai regretté que la conversation s’arrête là car j’ai toujours aimé être draguée, surtout par un beau mâle !
On a bu beaucoup, trop! Alors D.. m’a dit de venir coucher chez eux. Dans le lit j’espérais que D.. me rejoindrait, mais tôt matin c’est Victoire qui s’est glissée dans mon lit. Elle m’a dit : «je t’aime bien toi!» Moi aussi je l’aime bien.. On s’est fait du bien toutes les deux en se collant en petites cuillères, mes fesses contre son ventre, ses mains sur mes seins. Après quelques papouilles très sensuelles, puis un petit déj’ copieux, D.. m’a reconduite chez moi , j’ai voulu une petite gâterie et puis ça a fini au lit.. Quand on commence à me toucher!..
Jeudi 27
D.. et Victoire sont partis ce matin pour l’Espagne. P.. viendra me chercher demain . On part chez lui en Bretagne
Dimanche 30
Pont Aven, c’est près de là que P.. a une vieille ferme bretonne toute petite, ça s’appelle Rospico, c’est un drôle de nom! P.. a roulé plein tube, nous sommes arrivés vendredi nuit. J’ai passé la nuit dans son lit et on l’a fait.. et encore le matin et aussi l’après midi. Il est affamé !
Il n’y a qu’une chambre avec un grand lit, je dors avec lui, à portée de ses mains.. et du reste . Il dors nu, moi aussi, on se réchauffe l’un contre l’autre et ça prépare la suite !
Lundi 31
On a été au port pour acheter des langoustines super fraîches, bien vivantes. Rien à voir avec celles qui sont vendues en grandes surfaces.
Je les ai cuisinées et on s’est régalés.
Mercredi 2 juin
On a pris la douche ensemble. Il a caressé ma fente lisse pendant que je saisissais son sexe encore mou. Je suis étonnée de voir qu’il ne s’allonge presque pas quand il durcit. Au repos il est déjà très long ! Il m’explique qu’il y a des bites de chair, c’est son cas et des bites de sang qui s’allonge beaucoup plus entre l’état de repos et l’érection. Ça c’est la queue de mon chéri qui passe de 7 cm à 18 . P.. me dit que la sienne passe de 14 à 19.. Trèèès intéressant !
Il fait beau, P.. dit qu’on va aller se baigner à la plage de Raguénez. J’ai pas pensé prendre de maillot. Il me dit qu’il lui en reste un d’une ex.. Je l’essaie, c’est un 2 pièces mais il est trop petit : j’arrive pas à loger mes nibards dans le soutif, mes aréoles sortent à moitié. Le slip est un string, trop petit, il me scie la fente ! Elle devait être menue son ex ! Quand je me vois dans un miroir mon corps me paraît obscène avec ce maillot : ça sort de partout!
La plage est vaste et presque déserte. P.. dit qu’il va se baigner nu, j’hésite car il y a des gens plus loin qui nous regardent.. P.. m’encourage en disant qu’ils sont loin ; alors j’en fais autant, je me sens bien mieux sans cette loque sur moi ! Personne ne nous voit, sauf eux là-bas qui on l’air de faire du jogging. Me tenant pas la main il m’entraîne dans les vagues, mais Dieu que c’est froid ! On nage un peu mais c’est vraiment froid, on sort. Pour me réchauffer il me plaque nue contre lui.. On a oublié les serviettes ! On reste comme ça, ventre contre ventre, mes seins contre son torse, il m’enserre fortement dans ses bras. Les joggeurs passent en courant.. « si vous voulez, on peut vous aider à vous réchauffer » Ils nous tournent autour mais ils ne voient que 2 paires de fesses, comme une bête à 2 dos ! On a été se réchauffer et manger dans un bistrot sur le cap. Rentrés un peu pompettes, comme d’hab’!
Dimanche 6
Le journées passent et se ressemblent : papouilles le matin avant la douche et le p’tit dèj. On va au port pour voir s’ils ont rapporté quelque chose. Puis à la plage. Il fait beau et chaud. On se baigne nus, sauf ce dimanche il y a du monde. J’ai mis le maillot, je suis obscène. Vaudrait mieux être nue.
On trouve un coin abrité dans les rochers. On se papouille, il veut me prendre mais j’ose pas, si on nous voit ?
Lundi 7
Fait pas beau, c’est la Bretagne.
On a été se balader dans l’arrière pays.
Bouffe puis au lit. On a encore une fois trop bu. P.. m’a pénétrée mais n’est pas arrivé au bout : il s’est endormi, collé à mon dos, queue encastrée dans ma chatte. Je me suis endormie en la gardant dans mon vagin. Mais sa queue ramollie a été éjectée de mon ventre.
Jeudi 10
Hier sortie avec des amis locaux de P.. Ils charrient P.. avec sa nouvelle fiancée. « Chaque fois que tu viens tu en amènes une nouvelle» disent-ils ! On boit, on danse. Un jeune breton très beau m’invite. Il me plaît bien. En dansant un slow il m’enserre dans ses bras, sa tête contre la mienne. Il demande si ça fait longtemps que je sors avec P.. Je lui réponds que je suis seulement une amie. Il me regarde incrédule ! « Alors tu peux aussi devenir mon amie » dit-il.. Je lui réponds qu’il est un coquin, il me dit que j’en suis une autre. P.. est occupé ailleurs, à raconter des blagues avec ses amis. Je me laisse draguer avec plaisir par ce joli garçon. On finit pas s’embrasser.. je sens bien la raideur de son sexe .. il prend ma main et la pose dessus. « C’est moi qui te fait cet effet-là ? » Il n’a pas le temps de répondre, P.. me prend par la main et me dit « laisse tranquille S.. il est trop jeune pour toi, on rentre». Regard désolé du garçon !
Moi j’aurais pas dit non..
Vendredi 11
On a été se baigner à Raguénez, puis on s’est abrité dans les rochers. On s’est allongés sur les matelas de plage que P.. a apporté.. Il m’a prise mais j’avais peur qu’on nous voit. Il m’a quand même fait jouir. On était juste rhabillés quand des gens sont passés ! On est retourné au bistrot pour croquer quelque chose. On y a rencontré mon admirateur de l’autre soir qui est venu m’embrasser sans façon. P.. m’a dit «tu connais S.. ? C’est mon plus vieil ami ici. S.. m’a regardée : il m’aurait déshabillée… et j’aurais aimé ça!
P.. est revenue sur le sujet : « j’ai bien vu, tu lui plais, il est pas mal.. tu aurais envie de lui ? » J’ai menti en répondant « Bof, il est trop jeune» Ça semblait l’exciter plus que moi , quoique.. je lui ai dit que si on me le demandait gentiment je ne refuserais pas.
Le soir on est allés à Concarneau pour manger un plateau de fruits de mer. J’adore ! Comme d’hab, on est rentrés pompettes tous les deux. Il m’a baisée avec ardeur.. Alors que je peinais à atteindre l’orgasme P.. me dit à l’oreille que « S.. attend son tour, je me retire et il va te pénétrer » ! j’ai poussé un gémissement et brusquement l’orgasme m’a envahit ! « Tu vois, bien que tu as envie de lui » j’ai dit oui en soupirant !
Dimanche 13
Dans 2 jours on rentre. Il fait beau temps on a décidé d’aller à la plage avec un pic-nic. On a été retrouver notre coin dans les rochers. P.. m’a dit que S.. nous rejoindra peut être. A tout hasard j’ai mis mon bikini pour me baigner. S.. est arrivé bien plus tard, le pic nic était avalé et la bouteille de rosé vidée.. S.. m’a regardée puis m’a dit qu’il se demandait si mon bikini n’était pas trop grand en fixant mes nichons débordant du soutif.. Il nous a menés plus loin, dans un coin de rochers accessible par marée basse. « Ici il n’y a personne qui passe » P.. s’est mis nu comme S.. je restais avec mon bikini. P.. m’a défait le soutif et m’a dit d’enlever aussi le bas. J’ai pas voulu, parce que ça me gênait de montrer à S.. que j’étais épilée. On s’est baigné, puis séchés au soleil. P.. a dit à S.. que j’étais épilée , c’est pour ça que je n’avais pas voulu enlever le bas. « Allez montre moi juste un petit bout » J’ai tiré un côté du slip sans montrer la fente. Il a fait « wow c’est super ! » P.. m’a dit que puisque j’avais montré la moitié je pouvais montrer l’autre. « C’est bon » j’ai dit en retirant mon slip. S.. voulait toucher, j’ai dit demande à P.. P.. a pris la main de S.. et la plaquée sur ma fente. .J’ai eu un reflex de défense mais j’ai laissé faire, ça ne me déplaisait pas, ses doigts étaient doux. J’ai pensé « oh là là, s’il sent que je mouille ..! J’ai saisi la queue de P.. d’une main. P.. m’a dit que j’avais deux mains et qu’une autre queue attendait.. Je n’osais pas, j’ai protesté . S.. a dit que la marée montait, il fallait s’en aller. Je me sentais frustrée de ne pas avoir saisi S.. On est rentré avec S.. pour prendre une douche. Trop petite pour deux. Chacun son tour. Puis enveloppés dans de grands draps de bain on s’est affalés sur le grand lit de P..
La suite en résumé : P.. m’a baisée devant S.. puis S.. m’a prise devant P.. J’ai eu deux orgasmes, le plus fort avec S.. j’ai bien aimé une belle queue neuve, hélas latexée.
Lundi 14
On est retourné à la plage, mais le temps est gris ; ça fait fin de vacances ! Au bistrot je retrouve S.. qui m’embrasse. Il me dit à l’oreille de rester encore un peu, le temps qu’il fasse le test, comme ça on pourra le faire sans latex ! Mais on part demain matin. Dommage car il me plaisait bien ce jeune breton.
Victoire et moi allions partir pour l’Espagne pendant que Lison profitait de l’amant de Victoire en Bretagne ! Les liens affectifs persistaient tout en se diversifiant !
Nous en parlâmes Victoire et moi : cela l’arrangeait aussi que P.. s’éclate avec Lison, car elle recommençait à se fatiguer de lui. Quand elle le retrouvait, il lui vantait les qualités sexuelles de Lison, l’étroitesse et la profondeur de son vagin, la douceur de son corps, sa façon de claironner sa jouissance. Il pensait que cela excitait Victoire qui avait goûté au corps de Lison, avait aimé la fermeté de ses seins et la rondeur de ses fesses, mais ce qu’il ignorait c’est que cela l’agaçait pendant qu’elle le chevauchait. Nous évoquions ces épisodes de notre vie érotique, les échanges, les découvertes.. cela nous excitait.. Je revins sur sa première expérience sexuelle avec P. au mois d’août 1975. Elle m’avoua qu’elle avait eu envie de lui dès leur première rencontre en 1967, avant même notre mariage ; elle l’aurait bien épousé lui plutôt que moi, mais à l’époque il était marié avec une très jolie fille. Elle a conservé dans son esprit cette attraction pour P.. jusqu’au jour où elle s’est donnée à lui après qu’il l’eût chauffée en la coquinant pendant mon absence . Elle avait entendu parler par ses amies que P.. avait la réputation d’être un baiseur hors norme, que la taille de ses attributs y contribuaient. Ainsi elle découvrit qu’une queue n’est pas l’autre, que la mienne n’avait peut-être pas les mêmes qualités que celle de P.. Elle avoua que lorsqu’il la pénétra pour la première fois, elle jouit vaginalement à l’instant même où son gland toucha le fond de son ventre : ça ne lui était jamais arrivé ! En un éclair elle ressentit une puissante envie de fécondation. Se souvenant qu’elle avait choisi de ne pas prendre la pilule pendant mon absence, elle décida de ne pas gâcher son plaisir en ne disant rien à P.., laissant faire le hasard. Le risque encouru de tomber enceinte l’excita encore plus, à tel point qu’elle eût un orgasme qu’elle qualifia d’éruptif. Il la baisa tous les jours suivants, Victoire se donnant à lui avec passion et délice, laissant le hasard décider pour elle . La veille de mon retour, elle l’avait fait venir chez nous, il l’avait prise dans notre lit toute la nuit, mais cela elle me l’avait déjà raconté. Ce que j’ignorais et qu’elle m’avait caché, c’est qu’ayant fait un test de grossesse après mon retour, il fut positif ! Elle se précipita chez sa gynéco qui lui aspira le fond de l’utérus suivi d’un curetage, mais quand ce fut fait elle le regretta. Et fit une dépression passagère jusqu’à ce que P.. lui promit que si elle le voulait vraiment il lui en ferait un autre ! Je n’en sus rien jusqu’à aujourd’hui.
Après quoi Victoire me demandait de la prendre et nous faisions l’amour avec passion, alimentée par nos souvenirs érotiques. C’est un fait que le désir féminin comme celui de son partenaire doit être alimenté par un imaginaire érotique commun à partager, renforçant la complicité au sein de notre couple.
A notre retour mi- juin, qui coïncidait avec celui de Lison, je me précipitai pour la retrouver en pleine forme, sa bouche goûtait le sel et sa vulve les algues marines! « Regarde, je suis toujours toute lisse, ça ne repousse plus! » me dit-elle en relevant sa jupe et tirant son slip sur le côté, dévoilant une demi fente ! J’adorais.. «Raconte-moi ». Elle me dit qu’ils passaient une bonne partie de la journée au lit ; il la baisait le matin avant le petit déj’ puis aussi après. Ils prenaient la douche ensemble puis partaient au port pour acheter des langoustines, se promener sur la plage, récolter des coquillages. Ils déjeunaient dans un bistro sur le port avec des copains de P.. qui draguaient gentiment « sa nouvelle fiancée » comme ils disaient, puis rentraient faire la sieste, c’est-à-dire qu’il la baisait une ou deux fois avant de s’endormir. Pendant ce temps elle allumait la TV pour suivre des séries, jusqu’à ce que P.. se réveille. C’était le soir, ils sortaient pour aller dîner dans un resto de poissons avec d’autres amis, tous imbibés au calva dès l’apéro ! Rentrés assez poivrés, il la baisait en la troussant sur le divan du salon, puis après l’avoir mise nue il l’allongeait sur le lit, et couchés en petite cuillères il la pénétrait par derrière en l’agrippant par les hanches pour s’enfoncer en elle. A ce stade il lui arrivait de s’endormir avant d’avoir tiré son coup ; il restait en elle, sa grosse queue profondément enfoncée dans son ventre. Elle voulait le garder en elle toute la nuit mais, mollissante, son vagin l’éjectait. Parfois au milieu de la nuit il se réveillait la queue en érection ; il en profitait pour se glisser dans son vagin encore lubrifié par ses secrétions et la baisait doucement en essayant de ne pas la réveiller. Elle gémissait doucement en basculant le bassin d’avant en arrière pour accompagner la pénétration. Il lui arrivait de jouir dans un soupir pendant que P.. jouissait au fond de son ventre.. et s’endormaient à nouveau. Lison adorait ça. Elle était heureuse, sachant bien qu’il ne fallait rien attendre de plus de la part de P..
Elle évoqua à peine la petite aventure « plaisante » qu’elle eu avec un ami de P.. un certain S.., un breton de souche.