- 23 mars 2024, 01:33
#2787729
Victoire avait rencontré un nouvel amant, un jeune médecin...
Suite
Victoire, à mon insu, appela M.. son ami médecin. Ils se fixèrent rendez-vous un midi dans une brasserie, je n’y fus pas convié. Elle revînt fort gaie, le vin peut-être mais pas que. Elle m’annonça qu’elle avait rencontré le docteur, qu’il partait une semaine en colloque à Lisbonne et qu’il lui avait proposé de l’accompagner en tant que secrétaire ! « Qu’en penses-tu » me demanda-t-elle ? J’estimai la proposition assez cavalière de la part de son amant que je ne connaissais même pas ! Comme il était clair qu’elle brûlait d’envie de l’accompagner, je ne formulai pas d’objection mais lui fit part de mon sentiment en accentuant une pointe de jalousie.. « Ne fais pas ton jaloux, tu ne risques rien, que voudrais-tu qu’il fasse d’une vieille « caramel » comme moi, à part la baiser de temps à autre ? »
Elle fut méticuleuse dans ses préparatifs : il lui fallait de nouveaux sous-vêtements, pantalons, robes, jupes, vestes.. elle fit les boutiques de mode - surtout chez la
coûteuse AgnèsB qui est sa favorite - durant les quinze jours qui la séparait du départ ! « Je veux être chic pour lui, pour qu’il n’ait pas honte d’être accompagné par une cougar ! Le jour venu elle refusa que je la conduise à l’aéroport, prétextant que ça gênerait son ami de me rencontrer en ces circonstances, elle commanda un taxi et, vêtue de ses nouveaux atours, me quitta en me soufflant dans l’oreille : « je te dirai tout.. ou presque » ! Je me sentais dans la position du cocu, néanmoins excité ! Je lui envoyai des messages explicites, je voulais savoir s’il la baisait, mais en réponse je ne reçus que des sms d’elle, genre « Affirmatif, RAS! » Un langage de militaire !
Elle revint un samedi soir de la semaine suivante, débarquant du sorte de limousine : elle était élégante, maquillée, radieuse ! Je ne la reconnaissais pas !. « M.. m’a ramenée, c’est sympa de sa part.. Fais-nous couler un bain, et je te raconterai tout quand on sera dedans ». Elle se déshabilla devant moi, enlevant un mini slip que je ne connaissais pas, je découvris qu’elle s’était fait faire un « ticket de métro ». « C’est lui qui t’a fait ça ? » demandais-je.. « Tu n’aimes pas ? » Je n’aime pas trop, je préfère tout ou rien. « Oui c’est lui.. avec son rasoir électrique, les vibrations m’excitaient, un peu comme avec l’Hitachi ! » me dit-elle dans un souffle. « Et le mini slip ? » .. « Aussi ».
Nous nous glissâmes dans l’eau chaude, risquant de faire déborder la baignoire ! Elle me raconta sa semaine avec son amant médecin : rien de très passionnant car les jours se suivaient et se ressemblaient. Il assistait à son colloque une partie de la journée, se libérait pour un rapide déjeuner avec elle à midi puis revenait en fin d’après-midi pour se mettre au lit et baiser jusqu’au dîner en ville, avec des collègues ou à deux. Ils visitèrent Lisbonne, firent les boutiques, - il lui acheta ce mini slip et un soutif qu’elle essaya en cabine avec lui -, et regagnèrent leur hôtel de luxe avec piscine, jacuzzi, massage, où elle se fit masser par un beau mec assez coquin ! La suite devenait routine pour moi, elle répondit à mes questions : oui il la baisa comme la première fois, sans préservatif, oui elle avait aimé être pénétrée par une jeune queue vigoureuse, oui il est bien monté et on peut dire que ça fait une différence, oui peut-être qu’elle le reverrait encore mais elle ne savait pas quand, oui P.. était déjà au courant de sa relation avec M.. « Et qu’en dit-il ? » Elle répondit qu’elle s’en fichait de ce qu’il pensait, qu’elle s’était un peu fatiguée de lui, qu’elle pensait qu’il lui préférait Lison, tout en ajoutant qu’elle aimerait encore la revoir, et pourquoi pas avec moi ! J’en pris acte : un trio avec Lison et Victoire ? Pourquoi pas, pensais-je en glissant mon gros orteil dans sa fente à la recherche de son vagin. « Mais dîîîs ! » Ça l’excita, alors elle me parla à nouveau de Lison, de son corps qu’elle aimait caresser, et se faire caresser par elle.. « Imagine si on partait pour l’Espagne à trois, mais c’est compliqué avec elle puisqu’elle ne veut pas prendre l’avion ! » Je répondis qu’on pouvait partir en voiture.. « Tu crois qu’elle accepterait? » Je fus affirmatif, mais pas avant le printemps prochain. En échange je lui demandai d’arrêter sa relation avec M.. le docteur. « T’inquiète, je n’ai pas l’intention de continuer longtemps cette relation, il est trop jeune, il va sûrement trouver une femme d’un âge en rapport avec le sien, je préfère le laisser tomber avant que ça ne m’arrive.. tu penses : une cougar ! .. Quoique je coucherais bien encore une ou deux fois avec lui si tu m’y autorises ! » Que pouvais-je lui répondre ?
Par hasard, quelques jours plus tard nous le rencontrâmes lors d’un we chez des amis ce qui me permit de faire sa connaissance : un bel homme, je comprends bien qu’il ait plu à Victoire ; intelligent et cultivé, ayant le sens de l’humour, bref un mâle dangereux s’il eut quelques années de plus. Il me prit à part et nous parlâmes de Victoire. Je ne lui cachai pas que Victoire m’avait tenu au courant de leur relation et que je ne m’y étais pas opposé. Il m’avoua qu’il avait eu beaucoup de plaisir à la connaître aussi intimement, mais qu’il ne voulait pas mettre à mal notre couple. Je le rassurai en lui disant que j’éprouvais un plaisir cérébral en sachant qu’elle couchait avec un autre homme de qualité pour autant qu’il la fasse jouir, ce qui semblait être le cas avec lui. Il me parla de sa sensualité exacerbée, de son habilité à faire monter la jouissance chez son partenaire ; il avait discerné chez elle une cougar passionnée de sexe.
Après son escapade portugaise, nous avions besoin de nous retrouver seuls, aussi nous quittâmes à la fin octobre pour l’Espagne afin que nous soyons moi pour elle et elle pour moi, sans interférences de nos amant et maîtresse respectifs. Nos liens étaient et sont toujours restés très forts, jamais il n’a été question d’envisager une séparation. Les libidos exacerbées furent mises HS durant notre séjour. Soleil, piscine, plage, cueillette des olives, nous avions besoin de nous ressourcer en voyant des amis sans aucune arrière pensée à connotation sexuelle. P.. voulu nous rejoindre, mais nous convînmes de refuser. Nous parlions de nos dernières aventures vécues, elle parla du jeune médecin qui lui avait bien plu et que j’avais rencontré. « Voudrais-tu le revoir ? » lui demandais-je.. Elle n’hésita pas à me répondre que pour ce qui la concernait elle aimerait encore se donner à lui, mais la question était de savoir si lui aurait encore envie d’une « cougar » ! « Et P.. ? » Elle répondit que sa relation avec lui se tarissait un peu, elle s’en fatiguait.. surtout depuis qu’il semblait préférer coucher avec Lison. « Et toi avec Lison » lui demandais-je ? « J’ai toujours plaisir à me trouver avec elle au lit, et si je suis un peu jalouse qu’elle couche avec P.. , curieusement ça boost mon excitation pour elle ! Une fois nous avons couché à trois, Lison, P.. et moi, mais je n’aime pas trop ça, je préfère le faire avec elle et toi.. D’autant plus que, et ça m’inquiète, elle s’alcoolise de plus en plus : souvent, dès la mi-journée elle a un verre dans le nez, alors le soir… »
Seuls, invisibles du voisinage, nous nagions nus dans la piscine. Tôt matin nous descendions à la plage quasi déserte à cette heure-là, nagions tout aussi nus dans la mer ; quelques femmes nous imitaient, souvent âgées, mais aussi quelques jolies créatures. En Zodiac, nous allions nous baigner dans des criques accessibles que par mer, ce qui inévitablement me fit évoquer son équipée avec P.. et Ali. En jetant l’ancre dans l’une d’entre elles, particulièrement abritée, elle me dit «ici , sur ce sable fin, on l’a fait plusieurs fois ; P.. et Ali m’ont prise chacun, puis je plongeais dans l’eau de mer pour me rincer de tout ce qu’ils m’avaient mis; c’est ici que P.. a pris cette photo où on me voit enserrée dans les bras d’Ali et moi je lui saisis le sexe, c’était le bonheur ! »
Nos corps nus étaient bronzés et salés ; le soir, après une douche d’eau douce, j’aimais masser Victoire avec de la crème hydratante : ça l’excitait d’imaginer que j’étais un masseur inconnu, passant les mains entre ses cuisses, caressant sa fente, malaxant ses fesses, comprimant ses seins, tourmentant ses tétons ! Après nous dînions à l’extérieur, Victoire vêtue d’une robe légère, ne portant ni slip ni soutif.. Puis nous faisions l’amour une partie de la nuit, comme lorsque nous avions la trentaine! On était bien!
Quittant l’Espagne nous revînmes chez nous ; nous eûmes l’impression étrange que tous nous avaient oubliés. Lison ne répondait pas, P.. semblait vexé de n’avoir pas pu venir nous rejoindre.