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C'est dans cette partie réservée du forum cando que les membres sont invités à partager et échanger toutes sortes de contenus médiatiques en lien avec le candaulisme.

Ici, les amateurs de ce fantasme sont encouragés à poster et mettre en ligne des vidéos coquines, des photos suggestives, des enregistrements sonores évocateurs ou toute autre production visuelle et auditive représentant des scènes candaulistes.

Que ce soit pour montrer fièrement sa propre compagne ou épouse, pour exhiber le cocu de service soumis à cette pratique, pour commenter et discuter autour de ces contenus ou simplement pour jouer et interagir grâce aux images, vidéos et sons érotiques publiés, cette section du forum regroupe tout ce qui a trait de près ou de loin au candaulisme.

C'est un espace privilégié pour celles et ceux qui souhaitent partager leur intérêt pour cette déviance sexuelle, échanger sur leurs expériences et fantasmes, se découvrir de nouvelles pratiques ou plus simplement se délecter du plaisir coupable que procure l'observation de ces contenus tabous.

Bref, tout amateur de candaulisme, du plus timide au plus assumé, trouvera ici de quoi assouvir sa curiosité et nourrir ses fantasmes les plus intimes. Cette partie du forum cando est entièrement dédiée au partage et à la mise en commun de tout ce qui touche de près ou de loin aux images, vidéos et sons à caractère candauliste.
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par Dionysos06
#2448288
Je trouve DouSSeur particulièrement inspirante par sa beauté naturelle et coquine que son DouX a la plus grande gentillesse de nous faire partager, souvent dans des situations ou des lieux décalés ou cocasses. J'ai donc décidé, avec son accord, de créer un post où des poèmes tenteront d'être le plus en harmonie possible avec des photos de sa belle qu'il aura montrées.

Je commence par la série de randonue de dimanche. DouSSeur rencontre une écrevisse. Je me suis dit que cela valait une fable.
fable 1.jpg


DouSSeur et l’écrevisse

Par une belle journée d’été
DouSSeur voulut aller marcher nue.
« J’ai bien œuvré et j’ai mérité
D’être comme Ève » dit l’ingénue.
Et c’est ainsi qu’elle chemina,
Vêtue comme quand elle était née.
Toute gaie, elle n’imagina
Pas où elle allait être entraînée.
Elle arriva près d’une rivière
Aux berges garnies de jolies pierres
Blanches qui rendaient l’eau plus diaphane.
DouSSeur, en ces lieux, était profane
Et ne vit pas le mal, quand, soudain,
Surgit une petite écrevisse.
Sans plus y tenir, d’un air badin,
Elle trempa plus haut que ses cuisses.
Hélas, l’irascible crustacé
Fut dérangé et, sans crier gare,
Jugeant qu’il en avait plus qu’assez,
Pinça, mon Dieu quel vil traquenard !,
Les lèvres intimes de DouSSeur
Qui en eut une vive douleur.
Moralité, le maillot de bain
Est d’un port qui n’est pas anodin.
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par Dionysos06
#2448650
Levrette

La journée s’annonçait morose
Et B n’avait pas le moral.
Son travail, qui le payait mal,
Engloutissait ses heures, chose
Effrayante. Au moindre prétexte
Il en changerait. Mais que faire
En attendant ? D’ennuyeux textes
L’attendaient et B devait taire
Son ennui. Soudain, on sonna
À la porte. Il ouvrit. Stupeur !
Devant lui se tenait DouSSeur.
Aussitôt, la belle donna,
En se pendant à son cou,
Et en se mettant toute nue,
Le signal qu’il y aurait du cul
Et que B tirerait son coup.
Sans plus attendre, elle se mit
À quatre pattes sur le lit,
Prête à recevoir la saillie
De ce mâle qui ne faillit
Jamais quand elle veut de la baise.
Ils entamèrent une levrette
Endiablée. La chatte de braise
De DouSSeur engloutissait cette
Queue bandée avance tant d’envie
Que B, surexcité, se dit
Que c’était trop bon, qu’il devait
Filmer leurs corps qui s’activaient
Bruyamment, pour montrer à DouX
Que DouSSeur est un super coup.

levrette.jpg
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par Dionysos06
#2448804
Le sirop,

DouSSeur était fort dépitée,
Sa gorge la brûlait toujours.
Grande était sa contrariété
De souffrir depuis tant de jours.
Tous les médicaments classiques
S’étaient révélés inutiles.
« Ce docteur est un imbécile
Avec ses cachets archaïques !
Je dois prendre les choses en main,
Sinon, tout demeurera vain. »
Faisant fi de sa fatigue, elle
Se maquilla et se fit belle.
Tout de rouge vêtue, DouSSeur
S’en alla trouver son sauveur.
Quand elle toqua à l’huis de B,
Se dernier en fut bouche bée.
« Ma gorge est en feu, j’ai besoin
De toute urgence de tes soins.
Le mal est profond, agis vite !
Viens près de moi et sors ta bite.
Pour guérir je dois avaler
Ton sirop quelque peu salé. »
Aussitôt dit, aussitôt fait.
DouSSeur, à genoux, devient fée.
Et c’est avec ses yeux bandés
Qu’elle engloutit la queue bandée
De B, devenu marabout,
Et grognant de plaisir debout.

Le sirop.jpg
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par Dionysos06
#2448931
Cette magnifique photo de la jolie DouSSeur, m'a immédiatement fait penser à la célèbre scène biblique où le roi David tombe amoureux de Bethsabée qui prend son bain.

Bethsabée,

DouX errait comme une âme en peine
Dans une profonde forêt.
Quand il arriva à l’orée
De cette hêtraie, une faîne
Tomba et roula vers le fleuve.
Il la poursuivit des yeux, preuve
De sa grande curiosité,
En dépit de son anxiété.
Et c’est ainsi qu’il l’aperçut
Alors qu’elle prenait son bain.
Cupidon se fit très taquin
Envers notre homme qui reçut
Un trait de passion en plein cœur.
« C’est elle que je veux aimer,
Cette fée qui a enflammé
Mes sens. Elle est un pur bonheur. »
Soudain timide, il avança
Vers l’élue qui, enfin, le vit
De ses yeux gris bleus plein de vie.
Ouvrant les mains, elle enlaça
Le jeune homme, et par son sourire
Mutin, elle sut le conquérir.
« Tu es à moi, mon joli cœur !
Pour toi seul, je deviens DouSSeur. »

Bethsabée@.jpg
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par Dionysos06
#2449164
DouSSeur est décidément une beauté aquatique. J'adore cette photo de la belle dansant, seule, sur la grève.

La valse,

Même la mer s’est retirée
Pour te contempler, t'admirer.
Le soleil a baissé ses feux,
Éclairant de rose les cieux.
Le sable fin se fait miroir
Pour mieux réfléchir ce grand soir.
Alors tu entres en scène, nue,
Belle, souriante, ingénue,
Et la brise devient orchestre.
Tu irradies de tout ton être.
Tes jambes bougent en cadence,
Tes bras tournoient. C’est beau la danse
Avec toi, exquise DouSSeur,
Vraie icône de pur bonheur,
Quand tu laisses ta plénitude
Chasser au loin les inquiétudes.

La valse.jpg
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par Dionysos06
#2449886
DouX a posté il y a quelque temps, une photo très original de DouSSeur portant une ruban noué au creux de ses seins. Cliché plein d'amour qui m'a inspiré ces vers libres.

Nœud,

Nœud. Cinq petites lettres
Mais tout un univers,
Gentil, lugubre ou bien pervers.
Nœud des cravate, pour être
Reçu dans les ministères ;
Celui aux barreaux, bien serré,
Pour jouer les filles de l’air ;
De marin, se les remémorer,
C’est comme passer le Cap Horn,
Tant ils sont compliqués,
De taille et de formes.
Le petit nœud masculin, perdu
Tout la-bas, au bout,
Que l’on voudrait bien dodu
Pour être applaudi debout ;
Le nœud qu’on appelle “mille“,
Autant fil des cieux que des mers,
Qu’inlassablement enquillent
Les nefs loin des terres.
Le nœud sinistre du condamné,
Corps décharné
Pendu dans le vide et l’effroi
De la faux qui sème l’effroi.
Jovial, le nœud de la vigne
Qui nous fait signe
Que l’on peut se lâcher
Sans commettre un péché.
Le nœud qui simplement
Orne les jolis rubans.
Et que dire des pauvres gens
Aux têtes de nœud,
Quand ils ne sont pas neuneu !
Non, pour moi, le seul nœud qui m’émeut
C’est le tissu rouge passion
Posé entre tes seins et qui se meut
Au rythme de ta respiration.
Nœud qui nous relie et nous aimante,
Point nodal de notre attraction,
Liaison incandescente avec toi mon amante
Ma fée de bonheur,
Mon ange de DouSSeur.

ruban DouSSeur.jpg
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par Dionysos06
#2450922
Un hommage que je ne pouvais rater à la magnifique série de la 200ème de DouSSeur à visage découvert qui la dévoile dansant. Merci à vous deux pour tous vos partages.

La danse,

L’histoire des mots est étonnante
Mais finalement très instructive.
L’analogie est fort peu voyante,
Et pour quelques uns très subjective.
Qui pourrait soupçonner que danser
Est apparenté au verbe tendre ?
Cela paraît fou, presque insensé.
Pourtant, c’est la vérité à prendre
Et à accepter.

Fine lettrée connaissant ces mots,
En appréciant toute leurs saveurs,
Les dégustant comme du pavot,
Une coquine nommée DouSSeur
Se dit « ma foi, montrons-leur donc
À quel point je connais le français,
Que l’étymologie a raison,
Que tendre et danser sont associés.
Je vais le montrer. »

Elle se lève et va demander
À un danseur qu’elle sait brillant
Qu’il l’invite à se déhancher. D,
Flatté, dit oui. Les yeux scintillants
De la coquine le déshabillent
De pied en cap. Alors qu’elle danse,
Sans retenue, son désir le vrille.
D se trouve tendu, en cadence !
DouSSeur l’a prouvé.

danse.jpg
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par Dionysos06
#2451879
DouX a posté une très belle photo de DouSSeur qui m'a fait aussitôt fait penser (tout comme à pat58 d'ailleurs) à une odalisque.

Odalisque,

Odalisque !
Vif éclair,
Féerie orientale
À la beauté fatale.
Lit ouvert
Au Zéphyr du Bosphore,
Frais parfum de l’aurore.
Rêve clair
Aux formes callipyges
Qui donnent le vertige.
Mot impair
Aux notes si magiques
Qu’elles en sont électriques.
Doux avers
Avec tes seins taquins
Qui hèlent les coquins.
Beau revers
Dont les très jolies fesses
Chantent sous mes caresses.
Buisson vair,
Gardien frêle, ondoyant
D’un antre chatoyant.
Odalisque !
Cristal vert
Qui éclaire mon cœur
De ta grande DouSSeur.

DouSSeur Odalisque.jpg
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par Dionysos06
#2452383
DouX a posté une magnifique photo de DouSSeur sur le point d'être investie par un beau pieu dressé et pressé (comment ne pas l'être tant elle est bandante ?). Je me suis dit que ce cliché méritait une libre adaptation du discours d'André Malraux pour le transfert des cendres de Jean Moulin.

Entre ici !

Comme le bienveillant DouX
Investit ce petit trou
Avec son exaltation
Née du ciel de sa passion,
Entre ici ! dévoué B,
Avec ta terrible épée.
Entre enfin dans ce moulin,
Qu’il ne soit pas orphelin
De ton désir masculin,
De ton sexe chevalin !
Prends-la donc cette clairière !
Et plus un pas en arrière !
Entre ici !, elle t’attend,
Chaude et docile, Satan
L’habite. Elle veut ton pieu
Et son contingent joyeux
De semence avec flagelles
Crachée en un blanc cortège.
Écoute donc ce soir, B !
Toi trop souvent bouche bée,
Les cloches de ton bonheur
Être agitées par DouSSeur.
Entre ici !.jpg
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par Dionysos06
#2452465
DouX avait écrit que DouSSeur s'était rendue, la coquine, chez L sans culotte en espérant qu'il s'en aperçût ; geste révolutionnaire s'il en fut. Qui vaut bien de remettre en mémoire, et en illustration, ce texte remanié.

La sans-culotte,

C’était un jour très chaud d’été.
Dès le réveil, toute excitée,
Elle rêvait de la Bastille.
« Mon antre est en feu et frétille.
C’est aujourd’hui que l’incendie
Sera éteint, je vous le dis ! »
DouSSeur, coquine chouette hulotte,
Ne mit donc aucune culotte,
De façon délibérée. Elle
Désirait que son hôte, L,
La découvrît, la touffe au vent,
Et que, toute gorgée de sang,
Sa queue dressée, admirative,
Prît aussitôt l'initiative
De pénétrer avec délice
Au plus profond de sa matrice.
La coquine, comme toujours,
Jouait gagnant, sur du velours.
Elle savait pertinemment
Que ce mâle était performant
Et qu’il comblerait son minou
Fâché ne n’avoir que du moût.
DouSSeur n'est point mauvaise fille.
Son soleil, son astre qui brille,
C'est son chéri, son roudoudou,
Celui qu'elle a choisi, son DouX.
Mais, pour garder son équilibre,
DouSSeur a besoin de gros chibres
Qui calment le feu qui tenaille,
Parfois, le fond de ses entrailles.
Mais dès la besogne finie,
DouX et DouSSeur sont réunis.
Leur amour est toujours vainqueur
Car un seul être est dans son cœur.

sans culotte.jpg
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par Dionysos06
#2452515
J'ai remarqué que le chéri de DouSSeur ainsi que ses complices de coquineries étaient connus par l'initiale de leur prénom, qui, curieux hasard, est une consonne. Je ne pouvais laisser passer cela. Voici donc ce poème remanié illustré par une photo de DouSSeur à la plage que je trouve très érotique.

Consonnes,

Avec toi, DouSSeur, tout tourne autour des consonnes,
Diablotine enjouée dont le sexe frissonne
Avec tant de passion que ses lèvres résonnent
De tes folles envies de piston à trombone.

B. L’ami coquin privilégié dont le dard
Surdimensionné est appelé sans retard
Quand, bien échauffée, tu veux un nouveau renard
Dans ton poulailler avant qu’il ne soit trop tard.

D. Le plus occasionnel, le danseur mondain
Dont le déhanché n’est pas resté anodin
À ton désir. Un soir de beuverie, soudain
Tu te mis à danser au bout de son gourdin.

L. Le grand costaud au caractère bourru
Dont le sexe rentre en toi quand tu n’en peux plus,
Et qu’il est le mâle avec qui tu as prévu
Une baise brute, un coït sans superflu.

P. Témoin plus timide de tes jeux, DouSSeur.
Il vit souvent tes intermittences du cœur
Et expérience plus rarement tes ardeurs
De cocufieuse qui vit ceinte de bonheur.

S enfin. L’être aimé, le compagnon parfait,
L’alter ego rêvé sans qui rien ne se fait.
S, sur qui, éblouie, chaque nuit, tu refais
Ta carte du Tendre dont il est le préfet.

DouSSeur consonnes.jpg
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par Dionysos06
#2453118
Hommage à DouSSeur, sirène merveilleuse, ô combien ravissante, mais que son DouX chéri a trouvé trop sage cet été.

Sage, trop sage,

DouSSeur, est-ce seulement concevable,
Sans même parler de raisonnable,
Que tu me nargues à ce point,
Toi qui prends le plus grand soin
À toujours dévoiler
Ton intimité bouclée,
À mettre sous mes yeux le plein
Ciel laiteux de tes beaux seins ?
Te voir arpenter la plage
Hérissée de ton corsage,
Te voir entrer dans les vagues
Vêtue, la triste blague,
De pièces de toiles écrues,
Dissimulant, mais qui l’eût cru,
Tes merveilleux appas.
Quand je te vois ainsi, comment ne pas
Se sentir agacé, déçu
Par ces maudits bouts de tissu ?
Vois, DouSSeur, comme l’écume
Te punit pour port de costume !
Vois comme ses courants froids
Peint sur ton visage l’effroi !
Vite, DouSSeur, ma belle ingénue
Recouvre tes sens et sois nue !

Sage.jpg@.jpg
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par Dionysos06
#2453744
Ce matin, DouX a posté une très jolie photo inédite de la belle DouSSeur, nue, devant l'océan. Sa perplexité face aux éléments m'a inspiré ce poème.

Hésitation,

« Y vais-je ? Ou n’y vais-je pas ?
Est-ce que je franchis le pas ? »
DouSSeur regardait, perplexe,
La mer bougeant sous ses pieds.
« Ma foi, tout ça est complexe,
Je ne vais pas le nier.
L’océan me semble calme
Et je pense que mon âme
Apprécierait le repos
Que procureraient les flots.
Ma peau, toute ointe de sel,
N’est-ce pas l’essentiel ?,
En sortirait rajeunie,
Et mon DouX serait ravi.
Mes jolis seins ballotés
Par le ressac impétueux
Brandiraient leur fermeté
En un drapeau majestueux.
Quant à mon fruit de passion,
Massé intimement
Il verrait l’excitation
Le retendre fermement. »
Alors que DouSSeur se tâte,
L’océan, en toute hâte,
Décide d’être coquin,
Sans être un vilain faquin.
Alors qu’elle hésite encore
Neptune lui fait faux bond.
Par un retrait fort sonore,
L’eau est partie pour de bon,
Laissant DouSSeur mécontente
D’avoir été hésitante.

hésitation.jpg@.jpg
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par Dionysos06
#2454004
Ce matin, en réponse à ma relance dans le post "1 photo # 1 mot", DouX a mis en ligne cette incroyablement intense photo de sa si jolie chérie remplie par un complice. Elle m'a inspiré ces quelques vers libres.

Le remplaçant,

Les Suisses se montraient inquiets.
Leur fête nationale approchait,
Et pourtant, ils ne voyaient
Toujours pas le meilleur archer
Du pays aux entraînements.
Mais où diable l’impétrant
Si convoité se cachait-il ?
Pour quelle raison futile,
Cet homme grassement payé
Serait-il donc effrayer
De faire usage de son arc,
Sur une cible, dans un parc ?
Il fallait vite un remplaçant
Aussi habile, aussi puissant.
Par chance, se présenta
Un gaillard qui accepta
De relever le défi.
« Bien fol est qui s’y fie »
Pensa notre homme bien bâti
Qui regardait, ravi,
La cible de ses envies.
« Mieux qu’un arc, j’ai une lance
Que je manie avec aisance.
Vous verrez, messieurs, rien de tel
Pour oublier Guillaume Tell !
Mettez la cible en position,
J’attaque la répétition. »
Et il en fut ainsi.
Aussitôt, un gros pieu durci
Jaillit hors de sa boîte,
Et dans la cible s’emboîte.
En un seul coup, il fait carreau
Tout au fond du petit fourreau.
Les bourgeois en restent bouche bée.
Ils se sont fait duper par B
Et la cible complice, DouSSeur,
Très avide de mâle grosseur.
Moralité, une coquine
Pipe les dés pour une pine !

Le remplaçant.jpg
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par Dionysos06
#2454770
Magnifique série (comme d'habitude) de DouSSeur photographiée de manière de plus en plus chaude par l'ami B (qui contrairement à l'ami Ricoré n'est pas en poudre) dont on n'entend jamais la voix. Mon imagination a fait le reste.

Le muet,

DouSSeur est fort dévouée.
C’est, il faut bien l’avouer,
Une qualité trop rare
Dont elle n’est jamais avare.
Ici-bas, nul ne sait mieux
Qu’elle faire des heureux.
À l’Hôtel-Dieu, sa bonté
A de tout temps suscité,
Et ce n’est pas sans raison,
Respect et admiration
De toutes les professions
De cette auguste maison.
En arrivant au travail,
À peine ôté son chandail,
DouSSeur fut appelée par
Le directeur. Le hasard
Allait se montrer taquin
En ce vendredi matin.
« C’est vous que je voulais voir
DouSSeur. Votre gentillesse
Met tous vos patients en liesse.
Vous savez les émouvoir,
Les rassurer. C’est pourquoi,
Pour pallier mon désarroi,
J’ai besoin de vos talents
Pour aider un turbulent
Gaillard atteint de mutisme.
Il faudra votre altruisme
Pour pouvoir le diriger,
En sachant le ménager,
Sur le chemin du bon sens
À savoir, communiquer.
Surtout ne pas le braquer !
Vos efforts seront intenses
Et peut-être sans effet ;
Mais vous êtes une fée
Et vous y arriverez ! 
Allez ! Foncez ! Vous serez
Récompensée. » Elle va
Donc voir ce patient. Et la
Destinée se mit en branle.
L’homme était dans le chambranle,
Les yeux clos, hagard, tendu.
« Le malheureux est perdu »
Se dit-elle « Il faut agir
Aussitôt, sans coup férir. »
Ce mâle à l’heur de lui plaire,
Désir qu’elle ne veut taire.
La belle lui prend la main
Pour indiquer le chemin.
« Je me dois d’être audacieuse
Pour lui être précieuse.
C’est par la sensualité
Que je ferai éclater
Ses envies d’apprentissages. »
Elle cesse d’être sage,
Se déshabille, s’allonge
Offerte au regard qui plonge
Vers son puits d’amour rougi.
« Regarde-moi et agis !
Tu vas lire sur mes lèvres.
C’est un vrai travail d’orfèvre.
Si tu sais communiquer,
Tu pourras me forniquer.
En attendant, au boulot !
Sans te toucher les grelots. »
B, ainsi aiguillonné,
Cessa d’être bâillonné
Volontaire et pu goûter
À cette féminité.
Il n’est de meilleur mainate
Qu’homme mené par la chatte.

muet.jpg
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par Dionysos06
#2454900
Merci pour tes compliments. Ta puce érotique est une belle source d'inspiration.
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par Dionysos06
#2455642
Superbe photo de DouSSeur postée par son DouX chéri ce matin. La voir nue, en pleine nature, au bord de la Cèze et sachant qu'elle avait croisé des textiles, m'a inspiré ce poème.

La Cèze

Sur les bords de la Cèze,
Voulant se mettre à l’aise,
DouSSeur décida d’une nouvelle tenue.
« Le soleil est trop fort,
J’ai besoin de confort.
Au diable mes habits, je cheminerai nue. »
Elle le fit aussitôt.
Libérée de l’étau
Des tissus, elle papillonnait, ingénue.
« Ma foi, j’ai bien raison.
Les vertes frondaisons
S’apprécient mieux ainsi, sans robe biscornue. »
En route, elle croisa
Quelqu’un qui l’accusa
D’être immorale, de vivre sans retenue.
La grande accusatrice
Se voulut délatrice,
Car d’enlever ses habits, s’était abstenue.
DouSSeur lui dit « Madame 
Quel est donc ce vacarme ?
Vous restez habillée, quelle idée saugrenue !
Faut-il que vous soyez
Laide pour aboyer
Ainsi sur moi, et me trouver fort malvenue
Sans nul habit. Vous êtes
Une vilaine bête
À mater ma toison comme une parvenue.
D’autant que vous le faites,
Alors que votre tête
Est couronnée de bois qui vous rendent cornue.
Et oui, ma bonne amie,
Je suis votre mari
Dans le lit conjugal à chaque retenue
Que crée votre travail.
Ça fait un sacré bail
Que nous vous infligeons cette déconvenue ! 
Il faut savoir se taire
Et n’être point mégère
Pour garder son mari. Vous voici prévenue ! »

Cèze.jpg&.jpg
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par Dionysos06
#2455661
Dommage pour moi aussi car une DouSSeur sucrée aussi délicieuse serait un cadeau du ciel :)
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par Dionysos06
#2455812
Et merci à toi d'en être ému au point de l'écrire deux fois ;)
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par Dionysos06
#2456277
Un hommage au nouveau et superbe fil de DouX “baS le maSque“. J'ai choisi cette photo de DouSSeur rayonnante sur la plage.

Le masque,

« Six lettres qui ont changé nos vies.
Trois voyelles et trois consonnes,
Sinistre glas qui frissonne
Comme les coups des nervis.
Plutôt que de sombrer et périr
Sans lutter, sans coup férir,
Il faut agir sans retard,
Sinon, il sera trop tard. »
Alors, d’un pas décidé, DouSSeur
Se fit, ô ciel !, Jeanne d’Arc.
« Il me faut mener ma barque
Pour bouter cet agresseur
Au loin ; ce maudit bout de tissu
Qui rend nos vies sans issue,
Ce vil oripeau qui cache
Mon joli visage et gâche
La vue de mon DouX chéri. Je vais,
Aux yeux du monde, montrer
Que lui et moi sommes prêts,
Enfin, à tout enlever. »
Encouragée par son homme, elle ôte
Prestement le masque blanc
Et sourit à pleines dents.
Se sentant poisson-pilote,
Héroïne de la liberté
Elle se met nue, riant
Avec son corps rayonnant,
Fière de sa fermeté.
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par Dionysos06
#2456282
La version floutée qui aurait dû être expédiée à la place de l'autre. Encore toutes mes excuses DouSSeur et DouX pour cette erreur grossière de ma part.

DouSSeur masque.jpg
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par Dionysos06
#2456532
"L'erreur n'est qu'une feuille tombée de l'arbre de la Vérité, et emportée par le vent" (Henri Lacordaire)
indiscretions a liké
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par Dionysos06
#2456537
Un poème pour remercier et rendre hommage à Élodie. À sa gentillesse et à son aide précieuse pour m'avoir appris à corriger une erreur postée sur le forum. Sans oublier sa beauté coquine et naturelle bien sûr. Bisous ma belle <3

Élodie

Petite fleur des champs
À la peau laiteuse
Au sourire charmant
À la bouche rieuse.
Jolie et fringante rouquine
D’apparence si sage
Mais pourtant fort coquine,
Parfois féline sauvage.
Tes petits seins blancs taquins
Que tu offres à mon regard
Se posent au creux de mes mains
Pour mon bonheur égrillard.
Papillons de jour agiles,
Tes tétons roses tressent
Sur mes yeux leur Évangile
Plein de toutes leurs promesses.

Elodie-2.jpg@.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
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par Dionysos06
#2456649
DouX avait posté un jour, une magnifique photo (pléonasme) de DouSSeur, marchant sur la plage, vêtue d'une tunique bleue aux pans entrouverts. J'ai trouvé que ce cliché méritait un poème.

Rêve bleu

Quand tu passes, ange bleu
Câlin vaporeux,
Tu es une héroïne,
Bien souvent coquine,
Sortie d’une œuvre de Matisse.
L’air de la mer est propice
À la concrétisation
De tes apparitions.
Tel l’oiseau de proie,
En marchant, tu déploies
Ô Circé, tes dons de magicienne
Experte en potions qui contiennent
Le secret des couleurs
Et les clés de nos cœurs.
Si grands sont tes talents
Que ton corps insolent
Change la froideur légendaire
Du bleu en une couleur solaire.
Les pans de ta robe bleue s’ouvrent
Sur le golfe profond que couvre
La transparente tunique
Toute lisse, si pudique.
Mais déjà l’océan efface
De ta vision toutes les traces.
Tout devient si calme et si vide
Pour nos rêves de toi si avides.

DouSSeur Bleue.jpg@.jpg
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par Dionysos06
#2457409
J'ai voulu innover pour ce poème en l'illustrant par deux photos, à dominante rouge. Une de DouSSeur et une d'Élodie, l'invitée vedette du fil “baS le maSque“.

Les seins,

Que de mots, que de noms,
Que d’abominations
Teintées d’objurgations
Ces deux gentils fripons
Ont crées chez des hommes,
En tous lieux, en tous nomes.
Mais que de joies immenses,
De folies ou de transes,
Mâtinées de respect
Pour ces monts escarpés
Chez les adorateurs
Des élans de douceur.
Simples plis de la peau
Ou majestueux hérauts ?
Fontaines nourricières
Ou collines aux mystères ?
Vulgaires boîtes à lait
Ou divins narguilés ?
Petits nichons tombants
Ou obusiers fringants ?
Tout ce vocabulaire,
Noble ou même vulgaire,
Nous fait perdre la tête
Et sait nous rendre bêtes.
C’est que nous les aimons,
Quoique nous en disions,
Ces deux divins coquins
Qui font rêver nos mains.

DouSSeur.jpg

Élodie.jpg
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par Dionysos06
#2458584
Encore un texte inspiré par une photo de DouSSeur et une d'Élodie, toutes les deux en pleine attitude de gymnastes.

Exercices,

Que les femmes sont étonnantes
Si belles, sensuelles, émouvantes.
Et que ne feraient-elles pas
Pour entretenir leurs appas.
Elles sont prêtes, pour nos plaire,
À braver toutes les galères,
À chevaucher sur les rayures
D’un tigre, sans peur des blessures.
Tous les jours, c’est la même chose,
Leurs corps et leurs cœurs en osmose.
Encore et toujours des efforts,
Sans avoir peur de l’inconfort.
Dès le lever, échauffement ;
Après le thé, étirements ;
À midi, montée en puissance ;
Vient le dîner, test d’endurance.
Elles peuvent être vêtues
Sobrement, toute en retenue.
Parfois, elles poussent l’audace,
Grand Dieu !, à fendre la cuirasse
Et à s’exercer toutes nues.
Ce qui n’est jamais malvenu.
Le vrai but de ces exercices,
C’est pour nous autres, les complices,
La satisfaction, le désir
D’éprouver l’énorme plaisir
De goûter leur féminité
Et bien plus, si affinités.

DouSSeur.jpg

Élodie.jpg
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par Dionysos06
#2459099
Le sourcier,

DouSSeur était désespérée.
« Voici des jours qu’il ne pleut plus.
Je suis tellement desséchée,
Craquelée, qu’il n’est pas exclu
Que ma peau devienne un désert
Sans l’aide d’un sourcier expert.
Mais où puis-je trouver cet être
Béni ? Où va-t-il apparaître ?
En existe-t-il seulement
Un seul qui, par son truchement,
Fera reverdir ma prairie, 
Remplira ma source tarie ? »
Alors qu’elle se morfondait,
Son vœu allait être accordé.
Posté nu au bout d’une branche,
Un grand gaillard doté d’un manche
Dont la taille le complexait
Fort, se contentait de fixer,
Benoîtement, et sans raison,
De ses yeux d’enfant l’horizon.
Dès qu’elle le vit, dame DouSSeur
S’exclama : « Voici mon sauveur ! »
De ses yeux coquins et roués,
Elle sut comment se jouer
De cet homme contemplatif.
« Ce beau luron est si naïf
Que je vais le croquer tout cru. »
Songea la friponne assoiffée.
Elle lui dit pour le gaffer.
« Bel Adonis, toi si féru,
Des richesses de la Nature,
Aide-moi ! Ne fais point injure
Aux Dieux ! Que ta noble mentule
Abolisse la canicule,
Et pourvoit par son lait sapide
Mon si grand besoin de liquide ! »
L’Apollon, qui s’appelait B,
Devant ces mots fut bouche bée.
La diablesse avait sciemment
Usé de propos aisément
Perturbants pour le beau sylvain.
Hardie, elle le prit dans sa main
La baguette de coudrier,
Viril attribut du sourcier,
Et l’agita avec vigueur,
Drûment, sur toute la longueur.
Tous ses efforts firent jaillir
La blanche liqueur du plaisir.
DouSSeur fut dûment arrosée
Par B, lui, enfin déniaisé.
Moralité, chaque mentule
Réjouit la femme et la macule.

sourcier.jpg
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