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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Nicreampie
#2805469
Bonjour,
Avant de commencer ce récit, je précise qu'il s'agit d'une fiction.
Si vous voulez savoir ce qu'il en est de mon histoire véritable, j'ai commencé à en parler dans la rubrique des fantasmes candaulistes.
J'en profite également pour rappeler que la vraie vie n'est pas une fiction, qu'il faut respecter le consentement de ses partenaires.
Bonne lecture.

*

Je viens tout juste de rentrer. La journée a été longue et mes collègues, particulièrement insupportables.
Je m'installe dans le fauteuil du salon après m'être servi un grand verre de vin. Je dénoue ma cravate, boit une gorgée, et alors que je m'enfonce confortablement au fond du fauteuil, je ferme les yeux.
La lueur du jour s'amenuit, il commence à se faire tard. Marie n'est pas encore revenue du travail mais je ne m'en inquiète pas.
Il n'est pas rare qu'elle fasse des heures sup'. Ma femme a toujours été très investie dans son boulot … Un peu trop même à mon goût.
Ma fille Aurélie, quant à elle, réside quelques jours chez ses grands-parents. Me voilà donc seul. Je profite de ce moment de tranquillité pour m'assoupir. Une courte sieste me fera du bien.

*

A mon réveil, ma tête me paraît lourde. J'ai de toute évidence dormi bien plus longtemps que prévu, car la pièce est plongée dans la pénombre.
Je n'ai pas entendu Marie, mais je la sais rentrée puisque le son de la télé me parvient depuis notre chambre. Sans doute n'a-t-elle pas voulu me réveiller.
Je mets quelques minutes à émerger de ma somnolence puis décide de rejoindre ma femme à l'étage.
En me levant, je remarque un post-it collé sur mon verre de vin. Je décolle le morceau de papier et entreprends de lire ce qui est écrit dessus malgré le manque de lumière.
"Monte, Mets le masque et toque à la porte de notre chambre."
C'est tout. Le masque en question est posé en évidence sur la table basse, juste à côté du verre de vin.
Il s'agit d'un masque de nuit pour se couvrir les yeux. Ma femme a manifestement envie de s'amuser.
Pour ma part, je ne suis pas vraiment d'humeur à ça. Je vais toutefois faire un effort et me prêter au jeu, car Marie et moi faisons peu l'amour ces derniers temps.
Quand elle m'a demandé pourquoi je n'avais plus envie d'elle, je lui ai répondu que nos rapports manquaient de piment.
Le coup de faire l'amour les yeux bandés, ça n'est pas très original. Mais au moins Marie essaye de faire quelque chose … Contrairement à moi.

*

Une fois devant la porte de notre chambre, j'enfile le masque et toque … Deux coups. La télé s'éteint et j'entends les pas de Marie sur le parquet, de l'autre côté.
Elle marque une pause, puis m'ouvre la porte. S'imposent alors quelques secondes de silence durant lesquelles ni moi ni ma femme ne bougeons.
Marie prend ma main, me fait entrer dans la chambre et me plaque contre le mur. Sans dire un mot, elle s'agenouille - du moins j'en ai l'impression - et commence à déboutonner mon pantalon.
En quelques secondes, je me retrouve la queue à l'air, mon pantalon et mon caleçon baissés à mi-hauteur des cuisses.
Toujours dos au mur, je sens le souffle de Marie sur ma queue. La situation commence à m'exciter et mon pénis entre en érection.
Après quelques secondes à trépigner d'impatience, Je tente de passer ma main dans la chevelure blonde de mon épouse pour l'inciter à me sucer. Mais la coquine semble s'être éloignée.
Je l'entends fouiller dans son sac à main, à quelques pas de là. Elle est partie chercher quelque chose.
Un accessoire peut-être ? Je suis curieux.
Ma femme revient vers moi et s'agenouille à nouveau. Elle dépose un baiser sur ma queue avant de la saisir de sa main gauche.
Puis, avec sa main droite, elle effectue des gestes étranges … Je n'arrive pas à bien définir ce qu'il se passe. Je ressens soudainement quelque chose de froid sur mon gland.
Ah ! Ca y est, je comprends … Sans vraiment comprendre … Ma femme vient de m'enfiler une capote.
Pourquoi ? Bientôt quinze ans de mariage, ça fait longtemps qu'on ne se protège plus ! J'ai eu recours à une vasectomie après la naissance de notre fille. Alors, à quoi bon ?
Cependant, une idée me traverse l'esprit : Peut-être n'est-ce pas Marie qui se tient devant moi ?
Je peine à y croire, car ma femme est plutôt jalouse. Est-ce que de me savoir les yeux bandés l'aide à freiner sa jalousie ?
Peut-être que je me tiens devant l'une de ses amies et que Marie nous observe dans un coin de la pièce ?
Les amies de ma femme sont toutes très belles, j'ai de nombreuses fois fantasmer sur elles.
Au fond, je sais tout cela peu probable, mais j'en ai tellement envie qu'il m'est très facile de l'imaginer.
Marie compte sans doute là-dessus, c'est pourquoi elle n'a rien dit jusque là : Si elle parle, le mystère vole en éclat.
Quant à moi, je n'ose pas poser de questions. Je veux me convaincre que je vais bel et bien en baiser une autre.

*

L'amie de Marie me prend par la main à nouveau. Elle me fait avancer vers le lit, s'allonge et m'invite à me positionner au-dessus d'elle.
Comme je ne vois rien, elle prend les choses en mains. Elle guide ma queue à l'entrée de sa chatte et appuie sur mes fesses de sa main droite pour me faire entrer doucement en elle.
Mon dieu, que c'est chaud.
Je n'ai plus l'habitude des capotes mais, lorsque nous étions jeunes, Marie avait trouvé une technique pour me faire oublier la sensation de "plastique" du préservatif. Elle mettait du lubrifiant à l'intérieur avant de me l'enfiler.
C'est ce qui a été fait là aussi, je m'en rends bien compte. Cela explique la sensation de froid que j'ai ressenti quelques instants plus tôt.
Dois-je en déduire que Marie a confié sa technique à son amie ?

*

La femme que je suis en train de pénétrer soupire mais se retient de crier. Je ne peux pas identifier sa voix et mon imagination s'emballe de plus belle.
Qui suis-je en train de baiser ? Julie ? Mélissa ?... Qu'importe, elles sont toutes sublimes.
Je commence à accélérer le rythme, et enfonce ma queue plus profondément dans l'intimité de l'inconnue qui s'offre à moi.
Quand soudain …
-Tu veux enlever la capote ?
Déception ! C'est la voix de ma femme. C'est bel et bien elle que je baise depuis cinq minutes.
Pourquoi a-t-elle parlé ? Pourquoi arrêter de jouer ? Que de frustration …
-Oui, dis-je simplement.
Maintenant que je sais qu'il s'agit de Marie, la capote n'est plus nécessaire.
-Je vais l'enlever, me dit mon épouse. En échange, lèche moi la chatte.
Bah voyons ! Madame n'a même pas daigner me sucer, mais moi, il faut que je lui fasse un cuni …
Elle tire sur la capote et, très lentement, la retire de ma queue. J'entends le froissement des draps alors qu'elle se repositionne dans le lit.
Sans dire mots, elle met sa main dans mes cheveux et enfonce ma tête entre ses cuisses.
La chatte de Marie m'est familière … Pourtant, lorsque le bout de ma langue effleure son sexe, je devine un goût inhabituel.
C'est amer … Et alors que ma langue glisse doucement le long de sa fente, je sens un liquide visqueux couler dans ma bouche.
J'opère immédiatement un mouvement de recul, par réflexe, mais Marie resserre rapidement ses larges cuisses autour de mon cou.
-Lèche !, m'ordonne-t-elle.
Je nai pas le choix, je suis pris au piège ! Et alors que je m'apprête à obéir, Marie enleve le masque de mes yeux.
Là ... Je n'en reviens pas ...
A quelques centimètre de mon visage, la capote est négligemment posée sur le bas-ventre de ma femme, au niveau de ses poils pubiens. Un liquide blanchâtre s'en échappe et coule sur sa chatte.
Du sperme ... La capote en est pleine. Ce que j'ai pris pour du lubrifiant, c'est en fait du sperme ! Marie m'a fait porter une capote usagée à mon insu !
Elle se met à rire en voyant ma tête déconfite :
-Hé oui mon chéri, ta queue a trempé dans le sperme d'un autre … Maintenant, lèche !
Je n'ai aucune envie de lui obéir.
-Lèche ou c'est le divorce !, s'impatiente-t-elle.
Je n'en reviens pas qu'elle me menace ainsi … Que lui arrive-t-il ?
Je ne veux pas que ma famille vole en éclat, alors je commence à lécher malgré mon dégoût.
-C'est bien, tu as compris, me chuchote Marie.
Elle prend la capote, et la vide complétement sur sa toison parsemée de poils clairs.
-Et t'as intérêt à bien tout nettoyer, poursuit-elle.
Je continue donc à lécher la chatte pleine de foutre de ma femme. Plus je m'y applique, moins ça me répugne.
-Tu sais au moins comment je me suis procurré ces capotes ?, me demande mon épouse. Je pense que je n'ai pas besoin de te l'expliquer.
Je me fige un instant. Je n'y avais même pas réfléchi ... Marie m'a trompé ?
Pas besoin de lui demander, elle me donne la réponse sans plus attendre :
-Hé oui mon chéri, tu es cocu ! Tu lèches le sperme d'un de mes amants.
Un de ses amants ? Elle en a plusieurs ? Depuis quand ?
Elle reprend :
-Des mois que tu ne me baises plus, tu croyais que j'allais t'attendre ?
Evidemment que non, quel idiot j'ai été.
-Tu voulais de la nouveauté ? Et bah voilà. Maintenant je suis une salope, comme mes copines, m'avoue-t-elle avant de poursuivre :
-Je sais que t'as toujours rêvé de te les taper. Je te comprends, c'est vrai qu'elles sont bonnes. Mais tu vas voir. Moi aussi, je peux être bonne quand je veux.
Sur ces mots, Marie me prend par les cheveux et colle ma bouche contre sa chatte avec force.
-Tu me trouves pas bonne comme ça, cocu ?, jure-t-elle en serrant les dents.
Si … Je dois bien l'avouer, la situation m'excite. En guise de réponse, je bouffe la chatte mielleuse de ma femme.

*

-C'est bien, tu m'as bien nettoyé, me félicite Marie après un moment. J'imagine que tu n'es pas encore satisfait. Tu veux me baiser ?
Je ne réponds pas, la question est rhétorique.
-A partir de maintenant, nouvelle règle !, poursuit-elle. Si tu veux me baiser, ce sera uniquement dans le sperme de mes amants. Chaque fois que je reviendrai avec une capote pleine, tu pourras en profiter.
Je me décide alors à sortir de mon mutisme :
-Mais, du coup, je ne pourrais plus te prendre sans capote ?
-J'ai dis que tu devais me baiser dans le sperme d'autres hommes, me rétorque-t-elle. Pas que tu étais obligé d'enfiler leurs capotes pour ça.
Je ne suis pas sûr de comprendre, ou plutôt, j'ai peur de comprendre.
Marie se lève. Elle se dirige vers la commode sur laquelle ses affaires sont éparpillées.
-Tu as de la chance. Aujourd'hui, tu vas pouvoir me baiser, m'annonce-t-elle.
A ces mots, elle sort de son sac à main une capote taille XXL, remplie de liquide blanc et nouée par un nœud.
-Très gros calibre. Très gros juteur, chuchote ma femme, obnubilée par ce qu'elle tient entre les doigts.
Marie se rallonge sur le lit avant de me demander sans détour :
-Alors ? tu veux baiser ta salope d'épouse ?
Je réponds, un peu honteux :
-La capote n'est pas à ma taille.
-C'est vrai, me confirme Marie. Pas la peine d'essayer de la mettre sur ta petite queue.
Sur ces mots, Marie serre la capote entre ses dents, et tire dessus afin de créer une ouverture. Elle ne manque pas de se faire éclabousser le visage - c'était inévitable, la capote était pleine à craquer - avant de verser un peu de sperme sur sa fente.
-Si tu veux me baiser, c'est le moment., s'exclame-t-elle enfin.
J'ose à peine protester :
-Mais Marie …
-Quoi ?!, me coupe-t-elle. T'as peur que je tombe enceinte ? Et alors ? Moi, j'ai jamais dit que je ne voulais pas de deuxième enfant !
Je reste sans voix. Marie ne m'a jamais parlé de son désir d'avoir d'autres enfants.
Elle poursuit :
-Maintenant, à toi de voir. Soit tu acceptes de me foutre enceinte avec la semence d'un autre. Soit je me rhabille, je sors de cette maison, puis je demande au premier mec que je croise de me baiser comme une vulgaire pute et de se finir dans ma chatte.
Je suis sous le choc. Tu parles d'un choix …
Devant tant d'autorité, Je m'approche timidement de ma femme - si je peux encore l'appeler ainsi - et frotte ma queue contre sa chatte gluante. J'hésite à la pénétrer. Si je vais plus loin, il sera trop tard, je ne pourrai plus revenir en arrière.
-Vas-y ! Fais-le, chuchote Marie avec un air de défi dans le regard.
Il n'en faut pas plus pour que ma queue s'enfonce dans son intimité. Je suis comme hypnotisé, l'attitude salope de ma femme me fait perdre la tête.
-C'est bien, tu es un bon cocu, me félicite-t-elle.

*

Alors que je la pénètre doucement, Marie vide le reste de la capote sur ma queue.
A chaque mouvement de vas et viens, ma bite fait entrer un peu plus de sperme dans l'intimité de mon épouse.
Elle me demande :
-Tu aimes ta femme ? Même si c'est une grosse pute ?
Je ne réponds pas, peut-être par fierté … Mais dans ma tête je pense très fort :
"Oui ! Je t'aime ! Je t'aime justement parce que t'es qu'une grosse pute."
Entendre Marie dire des choses aussi obscènes me met dans un état second.
Elle passe sa main dans mes cheveux et approche mon visage du sien. Elle sent le foutre. J'observe le noir de son mascara se mélanger au blanc de la semence qui coule sur ses joues.
-Embrasse-moi si tu m'aimes, me murmure-t-elle avec un regard de chienne.
Je m'exécute sans réfléchir. Je fourre ma langue dans sa bouche … Quel délice !
Mon cœur bat la chamade.
J'ai du mal à réaliser ce qui m'arrive mais je suis sûr d'une chose : Jamais je n'ai été aussi excité. La situation est trop intense, je sens que je ne vais plus tenir longtemps.
Je préviens Marie :
-Je vais jouir ...
-Pas en moi, me répond-elle. Ton sperme m'est inutile.
Sur ces paroles dégradantes, je me retire in extremis de la chatte de ma femme et jouis au creux de sa main tendue vers moi.
J'éjacule abondement. Ma jouissance terminée, Marie colle sa main sur ma joue et étale ma semence sur celle-ci.
Ma tendre épouse dépose un rapide baiser sur mes lèvres avant de murmurer :
-C'est bien.
Visiblement, c'est tout ce qu'elle a à dire. Elle se lève et part prendre une douche, me laissant seul avec mes pensées, à la fois humilié et plus amoureux que jamais.
Avatar de l’utilisateur
par sergio
#2805513
Voila un fantasme qui devrait plaire à beaucoup.
Merci du partage.
Nicreampie a liké

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