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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Askelletbelle
#2806929
Nous avions rencontré Benjamin lors d’un mariage dans ma famille. C’était un copain de lycée du marié, avec qui les relations s’étaient un peu relâchées depuis, mais qu’il avait voulu revoir à l’occasion de son mariage. On avait discuté un peu avec lui, Maëlie et moi, le jour de la cérémonie et le lendemain. Il devait avoir 28 ans, si je me souviens bien, un physique classique, rien de particulièrement remarquable, mais agréable, en tout cas aux yeux de Maëlie, et sympathique.

Le marié nous appela quelques semaines après cette rencontre pour nous demander si nous accepterions de loger Benjamin pour deux nuits, car il avait un entretien d’embauche dans notre ville et pas de gros moyen pour faire le voyage et se loger. Ayant une petite maison complètement à l’écart de la ville, avec une chambre disponible, nous avons bien sûr accepté. Je suis allé chercher Benjamin à la gare un jeudi soir du mois de mai, il faisait déjà bien chaud. Maëlie avait eu le temps de préparer un petit repas, avec des salades de crudités, du bon pain, un peu de fromage, et je me proposais d’ouvrir une bouteille de vin pour accompagner le tout, si Benjamin était amateur. Nous ne voulions pas passer trop de temps à préparer le séjour de Benjamin, qui n’était que de passage et que nous ne connaissions à peine, ni le recevoir sur un coin de table avec une pizza tiède.

Pendant le trajet de retour vers la maison, il m’expliqua un peu ses projets pour son court séjour ainsi que pour son avenir, si son embauche se concrétisait. Il commençait les entretiens vers 8h30, ce qui me permettait de le déposer avant mon travail et finirait vers 17h. Il n’y avait malheureusement pas de train pour repartir après cette heure là le jour même, ce qui l’obligeait à s’imposer un peu chez nous.
- Tu ne t’imposes pas, puisqu’on l’a accepté de bon cœur, ne t’inquiète pas. Peut-être qu’un jour tu nous rendras la pareille en Bretagne, qui sait ?
- Ah ça, si j’en ai l’occasion, tu peux me faire confiance, je le ferai. On se connaît à peine et vous m’hébergez, vous me faites le taxi, c’est vraiment sympa, je ne sais pas comment je pourrais vous remercier. Et au fait, je voulais que tu saches que David t’a appelé pour te demander ça sans me mettre au courant, je n’aurais jamais accepté si je l’avais su avant.
- T’en fais pas, je te dis, c’est pas grand-chose et on trouve ça tout à fait normal, avec Maëlie. David a bien fait

En arrivant à la maison, je le laissais prendre son sac et j’allais prévenir Maëlie de notre arrivée. Elle accueillit Benjamin avec un grand sourire et il s’avança pour l’embrasser :
- Salut Maëlie, tu vas bien depuis le mariage ? Ca me fait plaisir de vous revoir tous les deux !

Il se pencha pour lui faire la bise et lui posa la main droite sur la hanche, tandis qu’elle lui posait les 2 mains sur les épaules. On aurait dit qu’ils se connaissaient depuis des lustres. Je trouvais ça légèrement déplacé comme attitude, mais je devais reconnaître que tout le monde faisait ce qu’il pouvait pour que l’ambiance soit agréable. Surtout Maëlie, qui s’était changée en rentrant de son travail pour passer une petite tenue légère : elle avait passé sa petite robe très près du corps, d’une seule pièce de tissu léger, du bustier jusqu’au genou ainsi qu’une paire de chaussures à lanières et talons mi-hauts. Je la trouvais super excitante dans cette tenue et je me demandais si elle l’avait fait exprès ou si c’était juste une façon pour ne pas avoir trop chaud.

En tout cas, quand elle porte cette robe et que vous posez la main sur elle, vous avez vraiment l’impression de poser la main directement sur sa peau. Je suppose que c’était ce que ressentait Benjamin, ce qui n’avait pas l’air de le troubler outre mesure, puisqu’il laissait sa main là, le temps de la complimenter sur sa mine radieuse.
- Mais dis-donc, il y a du soleil toute l’année ici ou quoi ? Tu as déjà une petite robe d’été, tu es toute dorée, jusque sur les jambes, tu es vraiment superbe !
- merci, minauda-t’elle avec un sourire gêné.
Je notais au passage qu’il avait eu le temps de regarder ses jambes. Il faut dire que c’est un réflexe normal, je pense, quand on se trouve en présence de Maëlie dans une tenue de ce style : elle est toute fine, elle a des jambes magnifiques, en particulier ses petits mollets galbés et ses pieds magnifiques. Un homme qui la croise le notera immédiatement, à moins qu’il ne note en premier son décolleté. Non pas qu’elle ait une poitrine plantureuse, énorme, ce qui semble être le fantasme de tellement d’hommes. Non, elle a seulement un grain de peau magnifique et des courbes très douces, ce qui fait que, quand elle ouvre son décolleté, il faut se retenir pour ne pas y glisser sa main.

Benjamin finit donc par entrer et poser ses affaires. Il était déjà un peu tard, nous sommes donc passés rapidement à table, sans apéritif, ce qui convenait bien à notre hôte : il voulait se coucher tôt pour se reposer et être frais pour son entretien du lendemain. Le repas fut amical et léger, comme Maëlie qui virevoltait partout dans sa tenue légère.

Vers 23 h, nous étions tous les trois au lit, ou du moins dans nos chambres. J’attrapais Maëlie par la taille et la serrais contre moi en souriant :
- dis-donc, ça va pas de t’habiller comme ça et de faire des sourires enjôleurs pour rendre fou notre invité ? Tu ne veux pas qu’il dorme de la nuit et râte son entretien ou quoi ?
- bah, t’es fou ? Il ne m’a même pas regardée, je ne suis pas si jolie quand même.
- Arrête, tu crois qu’il n’y a que moi que ça met dans un état pareil ? Tu ne sens pas, là, comme je suis serré dans mon pantalon maintenant ?
Je l’attirais contre moi de ma main placée sur le bas de son dos.
- Ah oui, maintenant que tu le dis, tu parais tout tendu me dit-elle avec un petit air malicieux
- Et monsieur qui pose ses mains sur toi, comme ça, et les laisse se balader tout un moment sans que tu ne dises rien…
En disant ça, je posais ma main comme Benjamin à son arrivée, mais je la déplaçais ensuite exagérément vers son dos, puis ses fesses. Elle fit semblant de croire que c’était la vérité, sachant ce que j’avais en tête et comment tout cela allait finir.
- Ben quoi, il est plutôt mignon, c’est normal que j’en profite un peu, non ? Et puis ça devait te plaire, j’imagine. Pas vrai ?
- Hmmmm, si, c’est pas faux lui répondis-je en me penchant pour l’embrasser.
Aussitôt, nos langues se touchèrent et nous nous embrassâmes avec fougue. Je fis tomber les 2 petites bretelles minuscules de sa robe pour ensuite pouvoir abaisser la fermeture qui maintenait son corps prisonnier de sa robe. Je sentis aussitôt la peau délicate de son dos et j’y posais mes deux mains, passant chacune sous le tissu qui s’ouvrait. Elle est tellement petite qu’avec chaque main, je pouvais toucher ses côtes du côté opposé. Je l’enlaçais complètement en aspirant sa langue dans ma bouche. Je desserrai un peu mon étreinte pour pouvoir lui retirer toute sa robe.

- Mais tu ne portes même pas de soutien-gorge, en plus ?!
- Ben non, tu le sais bien, avec cette robe.
- Mais tu voulais vraiment l’allumer, le pauvre ! Et qu’est-ce que j’étais censé faire, moi, s’il était devenu fou et qu’il t’avait sauté dessus, hein ?
- Hmmm, ben je suppose que tu l’aurais aidé, ou bien tu aurais filmé, je ne sais pas dit-elle, mutine.
- Oui, c’est p’têt vrai lui répondis-je en la basculant sur le lit.
Cette fois encore, nos ébats furent passionnés. Cette petite plaisanterie qu’on s’était faite mutuellement nous trottait tous deux dans la tête, sans qu’on veuille le reconnaître vraiment. Là, on était déjà près du bord du plongeoir, il ne s’agissait plus seulement de situations purement théoriques évoquées pour nous exciter.
Une fois complètement nus, je continuais de l’embrasser en passant ma main gauche sur tout son corps, lentement.
- C’est vrai, tu aurais pu le faire avec lui, ce soir ? lui demandais-je en remontant ma main entre ses cuisses, jusque sur son sexe.
- Aaahhhh, je sais paaas.
Mon majeur ouvrit son sexe déjà trempé d’excitation et remonta jusqu’à son clitoris.
- ouiiiiihhhhh
- Tu dis oui pour mon doigt ou pour lui ?
- Ahhhhhh, les deuxhhhhh
J’étais dans un état incroyable, c’était la première fois qu’on fantasmait tous les deux sur quelqu’un de réel. D’habitude, c’était juste « un inconnu ». Là, il s’agissait de quelqu’un qui se trouvait dans une pièce juste en face de notre chambre.
- tu le laisserais enfoncer ses doigts en toi, comme moi maintenant
- ah oui ! Ce serait bon !
Je continuais de la doigter de mon index, vite rejoint par mon majeur. Elle se cambrait de plaisir, pour m’inciter à la plus prendre plus loin encore, ce que je fis. J’enfonçais mes deux doigts le plus possible. Je sentais les parois de son sexe humide contre mes doigts et je forçais sur ses lèvres intimes pour aller le plus loin possible. J’écartais ensuite mes doigts et fis tourner mon poignet pour augmenter les contacts entre son sexe et mes doigts.
Elle commençait à se cambrer de plus en plus, en poussant de petits cris qu’elle étouffait en mordant l’oreiller. Je me plaçais au-dessus d’elle, retirais mes doigts et présentais mon gland devant son sexe qui n’attendait plus que ça.
- alors maintenant, imagine que c’est lui qui est là, à ma place. Il t’a caressée, embrassée toute la soirée et maintenant, il va enfoncer son sexe bien dur en toi, il va te faire l’amour jusqu’à te faire jouir. Tu en as envie ?
- Hmmmmmmm ! Sa réponse fut plus un râle, toujours étouffé par l’oreiller.

Je posais mon gland sur ses lèvres humides et je le fis glisser plusieurs fois, sachant qu’une fois encore, une fois que je l’aurais pénétrée, le dénouement serait rapide. Elle semblait me supplier de la prendre, ce que je finis par faire. Je m’aidais de ma main gauche qui tenait fermement mon pénis pour l’apposer sur sa fente entrouverte. Je regardais mon gland se frayer un passage puis ses lèvres se refermer sur lui. Je lâchais alors mon sexe pour poser mes mains de chaque côté d’elle et mieux me positionner. J’adore cette sensation de ne se toucher que par l’intermédiaire de nos 2 sexes, rien d’autre. Je reste un moment au-dessus d’elle, avec uniquement l’extrémité de mon sexe en elle.

Puis je m’enfonce complètement, jusqu’au contact de nos bassins l’un contre l’autre. Je remonte alors aussitôt et je recommence, plusieurs fois de suite, savourant la sensation de fraîcheur sur ma bite humide de son plaisir lorsque je me retire. Cette sensation de contact ponctuel est finalement une frustration, que je fais disparaître en m’allongeant de tout mon long sur son corps brûlant de désir. Je passe mes mains derrière ses fesses pour l’attirer encore plus vers moi, et j’introduis un doigt dans son anus, je l’attire vers moi et je l’empale sur mon sexe bien dur, juste avant qu’elle ne jouisse avec force.

Nous restons un moment comme ça, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, pendant que le sommeil nous gagne rapidement. Je ne sais pas si je me suis vraiment endormi, mais je sors de ma torpeur quand mon sexe est redevenu aussi mou et gluant qu’un mollusque et qu’il se fait expulser de son refuge temporaire par la pression des muscles de ma partenaire. Elle se réveille à peine et nous passons tous deux une nuit paisible.

Au réveil, nous ne parlons de rien et nous nous préparons, comme d’habitude. Maëlie prend une douche pendant que je m’occupe du petit déjeûner de tout le monde. Benjamin se lève, uniquement vêtu d’un caleçon et passe directement à table.
- ça va, t’as bien dormi ? Pas trop stressé par ton entretien ?
- Non, ça va. J’ai juste un peu eu chaud, j’espère que ça n’embêtera pas Mäelie, ou toi, de me voir comme ça, mais j’ai vraiment eu trop chaud cette nuit.
- Ah mince, ça doit être parce qu’on t’a laissé notre couette d’hiver. C’est sûr que si tu dormais dessous, t’as dû crever de chaud.
- Ben non, j’étais dessus, et je peux te dire que j’avais plus rien sur moi, je suis pas idiot ! Mais j’ai eu chaud quand même. Il faut dire que ça fait déjà une belle différence de température avec la Bretagne tout cet hiver, je ne suis plus habitué.
Sur ce, Maëlie sort de la chambre, vêtue de son petite tunique parme en satin. Je ne sais pas si elle est nue dessous, mais elle pourrait très bien l’être. Elle se dirige aussitôt vers Benjamin :
- bonjour, t’as bien dormi ? et elle se penche vers lui pour lui faire deux bises, moins proches de ses oreilles que de ses lèvres, j’ai trouvé, mais bon, je ne suis pas un spécialiste du protocole.

Etant assis sur le banc à table, il doit relever la tête pour recevoir les bises et n’est donc pas en meilleure position pour voir, comme moi, le chemisier glisser et bailler légèrement, laissant apparaître les délicieuses courbes de la douce poitrine de ma jeune épouse. Elle, en revanche, le sent forcément s’ouvrir mais ne fait pas d’efforts désespérés pour le retenir. Elle attend seulement de s’être redressée pour ajuster à nouveau sa ceinture. Je sais maintenant qu’elle ne porte vraisemblablement que sa culotte sous cette tenue légère. Je suis tout excité et je suppose qu’elle aussi, mais elle évite mon regard à ce moment là et je ne peux pas lire la réponse dans ses yeux.

Le petit déjeûner se passe sans incident notable et nous partons tous travailler, je dépose Benjamin à son entretien et je vais à mon boulot. En chemin, comme il me demande où il pourrait manger à midi, je lui propose de revenir le chercher, car il n’y a pas grand-chose là où il se trouve. Nous prenons donc notre pause déjeûner ensemble et il me fait un premier compte rendu de son entretien. Ca semble bien parti, il doit ensuite faire un entretien de groupe dans l’après-midi et voir les ressources humaines.

Je l’amène à un petit resto dans un centre commercial et on discute tranquillement, en mangeant une entrecôte frites.
- ça m’a fait du bien cette petite soirée avec vous hier soir, ça m’a permis de me détendre et de bien dormir, je ne pensais pas trop à mes entretiens en me couchant, c’est pas plus mal.
- On a bien apprécié aussi, c’était sympa.

Je ne lui parle pas de ce que ça a déclenché pour nous, il n’a quand même pas besoin de savoir.
- J’aime beaucoup Maëlie, c’est une fille vraiment charmante, tu as bien de la chance. J’espère bien que moi aussi je trouverai un jour une perle rare, comme elle.
- Merci, c’est sympa. Elle t’a bien apprécié aussi.
- C’est vrai ? Bon et bien tant mieux. En plus, elle est vraiment jolie.
- Oui, je suis très heureux avec elle, et je ne me lasse pas de la regarder. Toi non plus, apparemment alors? lui dis-je en riant
- Ah… euh… je suis désolé. Tu veux dire que je l’ai un peu trop maté, c’est ça ? Vraiment désolé, je ne voulais pas être malpoli ou quoi que ce soit…
- Non, ne t’en fais pas, moi ça me plaît de voir qu’elle plaît aux autres hommes. Je ne suis pas vraiment jaloux. Enfin… si, d’ailleurs. Mais pas avec elle. Je suppose, comme j’ai une entière confiance en elle, il ne peut pas y avoir de jalousie à naître entre nous. En fait, je crois même que ça m’excite de la voir se faire mater, ou même draguer par d’autres, si c’est pas trop lourd. Il y a quelque-chose d’excitant à la voir désirée tout en sachant qu’il ne se passera rien, en tout cas sans mon accord !
- Sans ton accord ? Pourquoi, tu pourrais le donner ?
- Non, je ne dis pas ça, j’en sais rien. Mais c’est juste pour dire que c’est un peu comme jouer avec le feu. Ca fait un moment qu’on est ensemble et peut-être que ça me permet de retrouver un peu l’excitation de la première rencontre par procuration, ou quelque-chose comme ça.
- Oui, euh… à propos de ça… tu ne lui en parles pas, hein ? Mais, elle n’a pas eu pitié de moi ce matin…
Il voulait me dire un truc mais semblait hésiter. Mais je voyais bien qu’il allait en parler de toute façon, c’était plus fort que lui.
- qu’est-ce que tu veux dire ?
- ben, avec une tenue pareille, quand on est aussi jolie, il ne faut pas avoir peur d’attirer les regards. Si j’avais su, je ne me serais peut-être pas présenté avec juste un caleçon, moi.
- hein ?!
- ben oui, c’est pas que je mange tant que ça d’habitude au p’tit déj, mais là, si j’ai traîné, c’est surtout parce que j’ai eu peur d’être accusé d’attentat à la pudeur si je m’étais relevé dans l’état où j’étais ! Désolé de te dire ça, hein. J’espère que tu ne m’en veux pas.
Je riais de bon cœur.
- ça alors ! Tu fais bien de me le dire. Demain, c’est col roulé et salopette !
- ah ben non, t’es dur avec elle, là. Si elle a chaud le matin, la force pas à se couvrir me répondit-il avec un petit sourire coquin. Non, maintenant que je le sais, je mettrai un pantalon demain, c’est tout !
On continua à plaisanter sur le sujet et je retrouvais un peu mon excitation de la veille. Curieux de se dire que sa femme est attirée par un homme qui vient de vous avouer qu’il l’était lui aussi par elle. Si j’avais le courage, si j’étais sûr d’en avoir envie, je n’aurais pas grand-chose à faire pour que tout se déchaîne. Mais c’est juste un fantasme et je ne veux pas risquer de briser l'équilibre de notre couple.

Je le ramène pour son entretien et je retourne travailler pour quelques heures. Je reçois un petit mail de Maëlie qui me me demande des nouvelles de notre « bel invité ». Elle s’y met elle aussi, il va plutôt falloir que je fasse des efforts pour les retenir, tous les deux, si ça continue ! Mais elle a mis un petit smiley qui m’indique qu’elle plaisante, elle me taquine en sachant très bien l’effet que ça a sur moi.

La journée terminée, je passe prendre Benjamin qui a le sourire. Il a l’impression que c’est plutôt bon pour lui et il est de très bonne humeur. Il me demande de l’arrêter dans un super marché pour prendre de quoi arroser ça, même si c’est un peu prématuré. Il a confiance et de toute façon, même si ce n’est pas bon ensuite, on en aura toujours profité pour passer une bonne soirée.

Il repart avec 2 bouteilles de Champagne et je lui demande s’il a l’intention d’inviter des amis.
- non, mais attends, il vaut mieux ne pas manquer. Ce soir, on ne conduit pas, on ne bosse pas demain et si on ne boit pas la deuxième, vous la garderez pour l’ouvrir en pensant à moi.
C’est en arrivant à la maison que je réalise que Maëlie, dans son mail, m’avait demandé de passer prendre des pizzas. Je téléphone donc en arrivant, mais le resto me dit qu’il va y avoir au moins une heure d’attente. Pas de problème, on a de quoi attendre !
Benji (ah oui, il veut qu’on l’appelle comme ça maintenant) ouvre une bouteille pour l’apéritif et Maëlie sort les flûtes à Champagne.
- pas trop pour moi, s’il-te-plaît
- allez, Maëlie, j’ai acheté 2 bouteilles, tu ne vas pas me dire que tu ne bois qu’un demi verre ?
- Mais moi, ça me rend toute pompette, après je ris et je dis n’importe quoi !
- C’est pas grave, ce sera amusant alors !
- Tu parles, si c’est pour vous moquer de moi ensuite…
Effectivement, après un seul verre de Champagne, je ne reconnais déjà plus le comportement de ma jeune épouse. Elle qui est plutôt un peu réservée d’habitude, elle se met à rire, à parler plus fort et ça nous amuse beaucoup, Benji et moi.
- bon, ça vous dit de faire un jeu de société en attendant les pizzas ? On en a pas mal, propose Maëlie.
- D’accord, un strip poker ! répond Benji du tac au tac, sans réfléchir
- Ah non, je ne sais pas jouer, je vais perdre !
- Aaaaaah, ben on y joue alors ! lui répondit-on tous les deux en cœur
Elle rit, mais ne bougea pas pour aller chercher des cartes. Je proposais alors un autre jeu, plus sérieusement
- allez, on va jouer au jungle speed, c’est marrant et on peut jouer à trois.
C’est un jeu où chacun reçoit un certain nombre de cartes sur lesquelles se trouvent des motifs plus ou moins complexes, de couleur. On retourne une carte à tour de rôle et, si 2 cartes sont de même forme, les 2 joueurs qui les possèdent doivent attraper un totem en bois au milieu de la table. Celui qui l’attrape donne ses cartes déjà retournées à l’autre. Il faut être concentré et le moment où on saute sur le totem libère tellement les joueurs à cran qu’on s’offre en général de belles rigolades.
Et, je ne sais pas pourquoi, j’ajoute :
- mais là, à chaque fois qu’on attrape le totem, on peut donner un gage aux deux autres !
Et voilà, celui qui nous a poussés du haut du plongeoir, c’est moi. Un peu grisé par l’alcool, je viens de mettre en place le piège qui peut se refermer sur nous.

- Quoi comme gage ? demande Maëlie
- Ben je ne sais pas, des trucs marrants, ce qu’on veut. Tu n’auras qu’à faire enlever ses fringues à Benji, lui qui voulait faire un strip poker !
- N’oublie pas que je peux demander la même chose, alors, ajoute-t’il. Et j’ai plutôt de bons réflexes, je ne devrais pas être mauvais à ton jeu.
- Bon, ben alors je vais préparer une bouteille de rhum et je t’en ferai boire comme gage, ça devrait te rendre moins bon, ça !
- Eh oh, je ne veux pas que ça finisse en beuverie, moi, hein ?
- On n’a qu’à dire que c’est 3 petits verres à liqueur maxi pour les mecs et 1 seul pour toi, ça te va ?
- D’accord, mais vous n’êtes pas obligés de m’en faire boire, avec le Champagne déjà, c’est pas mal. Et elle se mit à rire.
- Ah ben c’est ça ou les fringues, il faudra choisir répondit Benji avec un petit air canaille.

Je me lève pour aller chercher le jeu et je me dis, quand je regarde la tenue de Maëlie, qu’elle va probablement boire son verre de rhum : elle n’a pas assez de vêtements pour perdre trop souvent !!! Sans doute pour ne pas donner l’impression d’allumer notre invité, après s’être déjà présentée en tenue assez sexy deux fois d’affilée, elle a opté pour une petite chemise et un pantalon léger. Si on compte les sous-vêtements et ses chaussures, elle serait nue en perdant 5 fois, ou 6 si on accepte les chaussures une par une. Je me demande si on se dirige vraiment vers ça, quand même. C’est une chose de fanfaronner, de plaisanter sur ça, qui ne l’a pas fait, entre garçons et filles, on a même fantasmé souvent sur le sujet. Mais dans le fantasme, on imagine des corps, des sensations, pas des visages. Or, là, on est devant un visage. Celui-ci est d’ailleurs réjoui, il se pose peut-être moins de questions que moi.

Le jeu commence et je gagne immédiatement le premier tour contre Benji, plus habitué aux formes à observer sur les cartes que lui.
- allez, puisque tu nous as menacés d’être un bon candidat et de faire déshabiller ma femme, je vais te réduire à néant et tu vas boire un petit verre de rhum cul-sec. Tu remarqueras que je ne me moque pas de toi, je t’ai sorti le vieux rhum ambré, quand même.
- Ok, allez, amène ton rhum

Je lui sers un petit verre à liqueur et il le vide d’un trait. Il ferme les yeux et avale, mimant la souffrance physique de celui qui se brûle la gorge, puis ouvre la bouche et expire bruyamment, tel un dragon crachant le feu.
- ouaaaah, c’est pas un truc de mauviettes, ça !

On rit tous les trois et on reprend le jeu. Il se passe quelques tours où personne ne gagne, on est concentrés sur les cartes, on ne parle pas. Soudain, Benji sors la même carte que Maëlie et saute immédiatement sur le totem. Le rhum n’a pas encore eu le temps de lui faire de l’effet, je suppose.

- ah ah ! J’ai gagné, j’ai le droit de te donner un gage !  Alors tu vas enlever un vêtement.

Il se tourne vers moi, pour s’assurer tout de même qu’il ne va pas trop loin, mais il me voit sourire, comme quelqu’un de vaincu de bonne fois par un adversaire amical.

- Bon, alors j’enlève une chaussure
- Eh oh, non, c’est pas un vêtement ça s’écrie-t’il, en souriant.
- Et c’est quoi alors ? lui demandai-je
- Ok, mais alors au moins, on les enlève par deux, elles vont ensemble, c’est ridicule d’être avec une seule chaussure.

Maëlie se prête au jeu et retire ses chaussures. Elle se rassoit à côté de lui sur le canapé et je les vois se regarder tous les deux en souriant, un peu comme à se lancer un défi. Je me suis installé en face, sur un petit pouf, de façon à former un triangle autour du totem.

Au tour suivant, je gagne contre Maëlie et je me demande ce que je vais lui donner comme gage. Je suis excité par la tournure que prennent les choses, mais il est encore temps de prendre une autre direction. Si je lui demande de débarrasser la table toute seule, par exemple, c’est sûr que ce sera autre chose. Mais c’est pas vraiment marrant, et encore mois excitant. D’un autre côté, si je lui demande de se déshabiller, je donne un signal fort à tout le monde et je n’ai pas vraiment envie de ça non plus. J’ai l’impression d’avoir de la glace qui me circule dans les veines des bras, mon cœur bat plus vite car j’ai un choix à faire et l’une des possibilités m’attire autant qu’elle me fait peur. Je décide :
- allez, je n’ai pas vue souvent faire ça, alors ce soir je voudrais que tu…
Ils me regardent tous les deux, je pense que Maëlie est dans le même état que moi, qu’elle se pose les mêmes questions.
- … boive un verre de rhum !
Je n’ai pas tranché, toutes les possibilités restent ouvertes. Je ne remplis pas trop son verre et je lui tends, elle l’avale d’un coup, avec une réaction plus violente que celle de Benji. Elle se rejette en arrière et tousse en tirant la langue, se tenant la poitrine d’une main et tapant sur le canapé de l’autre. On rit beaucoup Benji et moi à la voir comme ça.

Je perds le tour d’après contre Benji et il préfère me voir boire moi aussi un verre d’alcool que de me voir enlever un vêtement. Ca me convient très bien, je résiste assez bien au rhum, curieusement, car je n’ai vraiment pas l’habitude de consommer de l’alcool. Je le préfère avec un peu de citron et de sucre, mais c’est du rhum vieux, c’est bien de le consommer aussi nature, pour profiter des arômes.

Avant de continuer, je vais éteindre les lumières qui étaient restées allumées dans la cuisine. J’en profite pour également changer l’éclairage du salon, éteignant le principal pour allumer 2 petites lampes secondaires, qui nous procurent alors une lumière tamisée plus propice aux jeux du soir.

Le jeu reprend et je sens immédiatement qu’on atteint une zone de non retour, lorsque je vois Benji gagner contre Maëlie. Il la regarde sans rien dire, avec un sourire coquin.
- ah non, tu ne veux pas vraiment, quand même ?
- ben si, on joue, non ? J’ai le droit de choisir un gage, c’est ton mari qui l’a proposé.
Elle me regarde et je hausse les épaules, l’air impuissant. Elle semble réfléchir à la moins mauvaise des solutions, mais pas si longtemps que ça. Je pense vraiment que cette fois, l’alcool a commencé à passer dans le sang de tous les participants. Se disant que ce qu’elle dévoilerait le moins, en étant assise, c’est le bas de son corps, elle enlève son pantalon, ce qui me surprend beaucoup. Je pensais qu’elle aurait opté pour son chemisier, ou tenté de négocier sur un bijou qu’elle portait. Elle le défait en restant assise et dégage ses fesses d’un coup vif, en se levant le moins possible. On a juste le temps d’apercevoir une petite culotte noire. Je la connais bien et je me demande juste si c’était la version culotte ou la version string qu’elle portait. Je la regarde enlever son pantalon et réalise qu’il est plutôt léger, elle avait dû opter pour le string !

Benii aussi a eu le temps de remarquer, il n’en perd pas une miette. Il a l’air plutôt content de son coup et moi, j’ai une boule au creux du ventre, alors que je sens un mouvement un peu plus bas. Le cœur s’agitant comme un fou, il envoie du sang tous azimuts dans mon corps. Je dois avoir les joues rouges, les intestins me travaillent, mes bras mes semblent en revanche toujours glacés, et mon sexe sort de sa torpeur.
Ben gagne à nouveau contre Maëlie. Tout le monde a l’air un peu pompette, mais on arrive à suivre le jeu quand même, certainement avec un petit temps de retard par rapport à ce qu’on aurait fait autrement.

- bon, je ne vais pas encore te faire enlever ce petit chemisier, je le trouve très sexy. Mais je pense qu’il le serait encore plus si tu ouvrais 2 boutons de plus !

Maëlie fait un peu la moue, mais je suis sûr qu’elle est flattée : je suis certain que Ben lui plaît et quelle fille ne serait pas flattée qu’un beau jeune homme s’intéresse à elle, si c’est fait avec tact ? Or, Benjamin a du tact. Il avance doucement et sait jauger les attitudes de chacun pour savoir où sont les limites. Le chemisier était déjà ouvert jusqu’à la naissance de ses seins, laissant entrevoir un peu de son soutien-gorge noir. Elle l’ouvre doucement, comme si elle allait se mettre à nu devant nous. C’est d’un torride insoutenable.

Le jeu reprend et Benji gagne contre moi. Je me demande ce qu’il va trouver, mon rythme cardiaque ne redescend plus depuis un moment, tout peut se produire.
- tu as un sablier dans ce jeu ?
- ah non, pour quoi faire ?
- tu verras bien, je voudrais un truc pour mesurer une minute.
- Hmmm, tu m’inquiètes. Mais prends ta montre. Ou bien, attends, j’ai un autre jeu avec un sablier. Je vais le chercher et je lui tends.
- Super. Alors je voudrais, pour être sûr que Maëlie ne t’en veuille pas des gages que tu lui donnes, que tu la prennes dans tes bras et que tu lui fasses un vrai baiser, langoureux, pendant une minute entière !
- Ah voilà un gage facile !
Maëlie sourit, elle trouve que c’est une bonne idée. Elle est excitée par la situation, mais heureuse de pouvoir me prouver que c’est toujours moi qu’elle aime. Ce mec est vraiment malin : avec ce gage, il met tout le monde dans sa poche, mais surtout, il oblige Maëlie à se lever pour pouvoir admirer son postérieur tout à loisir ! Elle se lève du canapé, son chemisier couvre le haut de ses jambes et ne doit laisser apparaître qu’une partie des courbes de ses fesses. Mais elle est terriblement sexy avec cette chemise entrouverte, en petite culotte.

Je la prends dans mes bras et la rapproche de moi. Elle se colle à moi avec un grand sourire amoureux et je me penche sur sa bouche pour l’embrasser. Nos lèvres se rencontrent, sa bouche s’entrouvre et je sens sa langue venir à la recherche de la mienne, s’enrouler et caresser ma langue. Elle plaque ses mains sur mon dos, je pose les miennes sur ses fesses. Elle doit être parfaitement consciente de mon état d’excitation, car son bassin est plaqué à mon pubis avec force, appuyant sur mon sexe emprisonné, qui pousse de toute son énergie sur le tissu de mon boxer pour se libérer.

Qu’il est excitant de s’embrasser de cette façon, très sensuellement, devant ce garçon qui nous regarde. Il doit lui aussi apprécier le spectacle, je suppose. Pour le remercier, et aussi pour me faire plaisir doublement, je remonte mes mains sur son dos, entraînant avec elles le bas de son chemisier. J’adore tenir ma femme de cette façon, je devine le reste de son corps au contact de la peau et des muscles de son dos. Ses lèvres et sa langue se font encore plus caressantes et je dévoile à Benjamin un peu de ce que Maëlie voulait garder dissimulé le plus longtemps possible.

- une minute !
- Ouf, le plus dur, c’est pas de tenir une minute, c’est de réussir à s’arrêter ! déclare-t’elle en s’essuyant discrètement la bouche.
- Ouais ben pour moi, le plus dur c’est de me dire que je me coucherai tout seul ce soir, en vous regardant vous embrasser comme ça !

On sourit, on rit un peu, personne ne fait de commentaire. Il existe deux autres types de cartes, dans ce jeu : l’une d’elle est constituée de flèches toutes orientées vers le centre, elle indique que tous les joueurs doivent tenter de se saisir du totem. L’autre est la même, mais en couleur, elle indique que, tant qu’elle est visible sur la table, seules les couleurs doivent être prises en compte. La première carte sort et je me saisis du totem avant que les deux autres n’aient même réalisé.

- Alors celle-là, c’est même pas la peine, c’est sa carte, personne n’a jamais réussi à le battre indique Maëlie.
- Bon, déjà, je vous donne à vous deux mes cartes, la moitié chacun. Maintenant, reste un gage qui vous impliquerait tous les deux…

Je sais déjà ce que je voudrais leur dire, mais il me reste à trouver le courage. Je crois qu’au fond de moi, je sais déjà qu’il est trop tard pour reculer et je sais aussi qu’ils sont d’accord, sinon, on n’en serait pas arrivé jusque là. Mais on fait tous comme si ce n’était qu’un jeu et on doit pouvoir continuer à prétendre qu’on le croit.

- Maëlie, tu vas venir t’installer à califourchon sur notre invité.

Elle me regarde, un peu interloquée, l’air interrogateur. Je souris et l’encourage :
- Allez, tu ne vas pas faire ta timide. C’est ça ou je te demande d’enlever ton chemisier
Elle se lève et fait face à Benjamin, pose son genou gauche sur le canapé, à côté de sa jambe droite, puis fait de même avec l’autre jambe. Benjamin semble un peu intimidé, mais, ne sachant pas où mettre ses mains, les pose sur les jambes de Maëlie. Ils me regardent tous les deux, n’osant pas se regarder eux-mêmes.
- Maintenant, Benji, puisque tu voulais jouer au strip poker, je vais te donner une chance de faire faire un pas de plus à Maëlie dans ce sens. Tu vas devoir laisser ta main gauche là où elle se trouve et avec uniquement ta main droite, tu as une minute pour lui retirer son soutien-gorge, sans retirer le chemisier ; TOP !

Ils poussent tous les deux un cri de surprise amusée mais Benjamin enfouit immédiatement sa main sous le chemisier de Maëlie, provoquant chez elle un deuxième cri de surprise. La plupart des hommes sont un peu embarrassés avec ce genre de choses, il leur faut voir les attaches du soutien-gorge, alors que le geste est plutôt simple, quand on le connaît. Seulement, il se trouvait qu’il le connaissait ! En quelques instants, l’attache est défaite et sa main glisse de son dos vers son épaule gauche, pour abaisser la bretelle à travers la manche.

Puis il retire sa main de sous le chemisier et attrape la manche pour la retenir, pendant qu’il demande à Maëlie de retirer son bras, le temps qu’il finisse de dégager la bretelle. Elle s’exécute et il replonge sous le chemisier pour tirer sur le soutien-gorge du côté droit. Tout se passe très vite, mais Maëlie m’avouera ensuite qu’elle a eu un frisson quand elle a senti sa main revenir chercher le soutien-gorge : il passa d’abord sur son dos, remonta jusqu’au niveau où se trouvait l’armature quelques instants auparavant, puis glissa sa main sur sa peau, pratiquement jusqu’à toucher la base de son sein. Elle avait levé le bras pour lui laisser le passage, mais ses doigts avaient effleuré son sein avant d’attraper le bonnet libéré.

- ok, tu peux changer de main pour l’autre côté

La scène se renouvelle et il brandit fièrement le soutien-gorge alors qu’il reste encore du sable dans la partie haute du sablier. Maëlie se relève et vient se rasseoir à côté de lui, le chemisier béant désormais sur une poitrine nue.

Je pense qu’à partir de ce moment, on a tous su où on allait et qu’on voulait aller plus vite. Benjamin tourna une carte jaune, puis Maëlie également. Quand ce fut mon tour, je sortis à nouveau la carte avec les flèches et je me saisis à nouveau du totem. Pas de commentaires, juste des moues de mes deux adversaires qui se regardent, l’air complices, mais se demandant ce que je vais trouver cette fois.

Je reprends le petit verre de Maëlie et je lui sers du rhum.
- eh oh, on avait dit un seul verre pour moi, c’est bon, je l’ai eu !
- c’est pas pour toi.
- Ah bon, ben c’est mon verre pourtant.
- Tu vas te remettre à sur Benji, comme tout à l’heure.
Elle s’exécuta, mais cette fois, ils osaient se regarder, trop contents de se retrouver à nouveau dans cette situation.
- tu vas devoir prendre le rhum dans ta bouche, puis le faire passer à Benjamin, en 3 fois minimum.
Ils me regardèrent, interdits, Maëlie me fixant comme si j’étais devenu fou. Je la regardais avec un petit air content de moi, ce qui lui fit hausser les épaules, l’air de dire « si c’est ça que tu veux ». Elle prit un peu de rhum et se pencha sur la bouche de Benji. Leurs lèvres se rencontrèrent et je le vis déglutir, mais leurs bouches ne s’éloignaient pas encore l’une de l’autre. Il avait déjà avalé le rhum, mais voulait continuer de profiter de ce contact sensuel et elle aussi. Après un instant, elle reprit une gorgée et reposa sa bouche sur la sienne. Cette fois, au vu des mouvements des muscles de son cou, je comprenais que la langue de Benjamin était venue à la rencontre de celle de ma femme.

Je retrouvais cette sensation étrange de mon adolescence, lorsque la fille que je convoitais partait avec un gars plus populaire que moi pour aller danser un slow, puis que je les surveillais jusqu’à découvrir avec une délicieuse jalousie qui me dévorait les intestins qu’ils étaient en train de s’embrasser langoureusement.

Les mains de notre hôte avaient quitté la position qu’elles occupaient il y a un instant, pour remonter sur les jambes magnifiques de ma jeune épouse, glisser tout doucement sur le haut de ses fesses, puis remonter sur le bas de son dos. Maëlie reprit un peu de rhum pour faire bonne mesure, puis retourna à son baiser ultra sensuel. Cette fois, aucun de nous ne pouvait prétendre qu’il se passait autre chose que ce qui se passait réellement : ma femme, presque nue, était en train de rouler une pelle magistrale à un jeune gars séduisant, en ma présence.

Soudain, j’aperçois de la lumière sur le chemin devant la maison. Les pizzas ! Ils s’interrompent un instant, conscients tous les deux du fait qu’on ne pouvait pas laisser entrer quelqu’un dans la maison étant données nos tenues.
- j’y vais !
Je file dehors et accueille le livreur devant le portail. Je le règle d’un chèque que j’avais attrapé en sortant puis retourne à l’intérieur, avec les boîtes de pizzas en main. Elles étaient chaudes et sentaient vraiment bon. J’avais tiré la porte en partant, mais elle n’avait pas claqué. Je pousse la porte et j’entre pour découvrir que Maëlie n’a pas changé de position, ils ont profité de mon absence pour prolonger leur étreinte. Maëlie se redresse brutalement, comme une collégienne prise sur le fait, et j’ai juste le temps de voir les mains de Benji quitter la poitrine de ma femme, à travers le chemisier ouvert.
- je suppose que personne ne veut de pizza pour le moment ?
- Non, ça va, merci, on n’a pas faim…
Elle retourne s’asseoir sur le canapé, comme à regret. Je pose les pizzas sur la table et m’installe à nouveau sur mon pouf. J’ai une trique d’enfer, je sens mon gland décalotté frotter sur le tissu de mon boxer, me brûlant douloureusement. Je ne sais plus où on en est du jeu, mais je tourne ma carte, comme si c’était à moi de jouer et personne ne proteste. Chacun retourne un carte, mais sans la moindre vivacité, comme l’esprit ailleurs. Après un deuxième tour, Benji sort à nouveau la même carte que Maëlie, mais personne ne semble l’avoir remarqué et Maëlie joue à son tour.
- top, attends !
Je retire la carte qu’elle vient de jouer et leur montre ce qu’ils ont laissé passer.
- j’ai l’impression que vous n’y êtes plus trop. L’un de vous aurait dû un gage à l’autre, normalement. Bon, c’est moi qui décide, attendez-moi là.
Je file dans la chambre et j’attrape dans notre placard un certain nombre de choses laissées toujours à portée de main. Cette fois, ma décision est prise. J’ai toujours cette boule au ventre, les bras et les jambes comme parcourus de frissons, je me sens fébrile, mais je sais que, si je renonce maintenant, on le regrettera tous les deux. J’ouvre la porte de notre salle de bain attenante à la chambre et j’attrape deux serviettes, puis je retourne au salon.
- Ben, il y a quelque-chose que Maëlie aime bien et qu’elle me reproche de ne pas lui faire assez souvent, alors tu vas lui faire un massage.
Ils ont l’air agréablement surpris tous les deux et s’apprêtent à se lever, m’interrogeant du regard sur la façon dont je compte procéder.
- Maëlie tu vas t’allonger sur la serviette, sur le canapé, mais tu vas d’abord enlever ta chemise, Ben et moi, on va te faire un massage à l’huile de massage.
- Tous les deux ? Hmmm, ça c’est un super gage dit-elle avec un sourire
Benjamin se lève et me laisse étendre la serviette blanche pour protéger le canapé. Maëlie se tourne dos à nous et défait les deux boutons de sa chemise avant de la retirer et de s’allonger, sans jamais se tourner vers nous, de façon à ne pas dévoiler ses jolis seins, qu’elle a pourtant déjà laissé Ben caresser sous sa chemise.
- Je te conseille d’enlever un max de vêtements, parce que tu te mets toujours de l’huile partout. Moi, je vais juste garder le boxer.
Bien entendu, je ne garde rien d’habitude, mais là, je me sens encore un peu mal à l’aise de me déshabiller devant un autre mec avec la gaule dressée comme je l’ai ! Maëlie s’est allongée et pose sa joue sur ses bras croisés sous sa tête.

Je verse de l’huile sur ses épaules, elle frémit et Ben commence à la masser. Avec l’huile, pas moyen de presser les chairs, il faut d’abord étaler l’huile, ce qu’il fait consciencieusement. Elle ferme les yeux pour profiter des sensations que lui procure ce contact. Les mains de Ben descendent sur ses omoplates, puis le milieu de son dos. Je rajoute de l’huile sur le milieu du dos et je laisse tomber un filet d’huile vers ses reins. Il se dépêche d’intercepter toute le liquide qui s’écoule et s’apprête à tomber sur le côté, ses mains glissent sans frotter sur tout le bas du dos, s’approchant de l’élastique de son string, qui marque la limite du terrain exploré pour le moment. Je rajoute une généreuse dose d’huile de massage entre le milieu du dos et la nuque et je pose rapidement la bouteille, pour assister Benjamin. Je me place près de la tête de ma jeune épouse et je caresse son dos en étalant le liquide gras vers ses bras, ses épaules, je descends sur le côté de ses seins puis je continue sur ses côtes, pendant que les mains de Benjamin s’attardent sur ses reins. Je remonte vers ses omoplates et je vois que Benjamin suis les traces que je laisse sur son corps. Je décide alors de changer légèrement de trajectoire et je repasse sur le bord de ses seins.
Ben suit mes mains et passe légèrement plus bas. Je ralentis, j’effleure juste la base et le côté de son sein droit. Ben a placé son genou entre les jambes de ma belle et se penche pour faire coulisser ses mains sur le buste huileux de celle qui va devenir ce soir sa maîtresse, avec mon accord. Sa main glisse sur les côtes de Maëlie et ses doigts atteignent la base du sein de ma femme. Elle gémit un peu, se soulève, comme pour lui permettre de le prendre à pleine main. Il est encore un peu tôt pour ça et je vois ses doigts continuer leur mouvement sur le globe tendre de Maëlie, effleurant de la pulpe l’aréole et le mamelon durci d’excitation. Ni lui ni moi ne pouvons cacher notre excitation, nous avons tous les deux une tache humide là où notre gland déforme le plus notre boxer.

Je redescends mes mains le long de l’épine dorsale de ma chérie, les doigts perpendiculaires à sa peau, comme si je voulais la griffer, imité de notre nouveau complice. Elle est comme parcourue de décharges électriques, on reproduit le même manège plusieurs fois avant que je reprenne la bouteille d’huile pour aller lui en verser un peu sur les fesses et les jambes. Ben s’occupe de sa jambe gauche et moi de la droite, en essayant d’être symétriques. On descend jusqu’à ses chevilles, puis on remonte, une main de chaque côté de ses jambes. Ses jambes sont un peu trop serrées sur le canapé pour qu’on puisse vraiment lui caresser l’intérieur des cuisses, mais on s’attarde tous les deux sur la raie de ses adorables petites fesses avant de rouler sur ses fesses et de reprendre le trajet inverse.

Après un moment, sans un mot, je saisis l’élastique de son string de chaque côté et j’exerce une poussée vers ses chevilles. Elle reste tout d’abord plaquée contre le canapé, le visage enfoui dans son bras, comme hésitant, mais sans protester non plus. J’attends, en maintenant la pression, mais sans lui arracher, comme pour lui demander son accord. Elle finit par soulever son bassin et son string glisse tout seul sur ses jambes. Je fais passer ses petits pieds tout fins à travers et le jette à terre. Quelle sensation ce doit être pour elle que de se retrouver complètement nue devant ce garçon qu’elle connaît à peine, abandonnée entre nos mains qui la caressent d’une façon de plus en plus intime.

Je verse à nouveau de l’huile partant de la nuque pour aller jusqu’au sillon de ses fesses. Elle tressaillit et nos mains repartent à l’œuvre. Ben est toujours sur ses cuisses. De là où il se trouve, il doit maintenant voir les lèvres de mon épouse. Je fais glisser mes mains sur son dos pour atteindre rapidement ses fesses. Mes deux index s’immiscent à la recherche du filet d’huile qui s’est introduit plus loin, mes mains écartent les deux globes de chair tout en continuant leur exploration. Les mains de Ben remontent sur ses cuisses et ses pouces font un peu le même travail, écartant les chairs alors que les mains glissent vers l’antre interdit. Il me regarde et je lui fais comprendre mon accord, en maintenant les fesses ouvertes alors que mes doigts remontent doucement, lui laissant le champ libre.

Ses pouces avancent en éclaireurs, passant tous deux sur sa petite rosette complètement refermée. Je vois sa tête appuyer plus fort sur son bras et son bassin se soulever, sans qu’on puisse être sûr que c’est pour se soustraire à la caresse ou, au contraire, plus l’intensifier. Les pouces quittent le sillon vers le haut, pendant que mes mains repartent vers les seins plaqués sur la serviette. Ben arrête ses mains sur les deux petites fossettes au niveau des reins, puis les redescend en joignant ses index qui suivent le sillon luisant d’huile de massage. Ma chérie semble s’être un peu relâchée et j’ai l’impression que Benji augmente la pression de ses doigts en passant sur son petit trou, testant son inviolabilité, fortement réduite par la lubrification de l’huile de massage. Je vois ses doigts descendre profondément entre le haut des cuisses de ma belle, je suis sûr qu’il cherche à sentir ses lèvres humides de plaisir avant de continuer sa route vers les jambes maintenant légèrement ouvertes.

Je saisis Maëlie doucement par le coude qu’elle a plié sous elle et j’exerce une légère traction vers le haut, pour lui faire comprendre ce que je veux. Elle gémit un peu, fronce les sourcils, mais accepte de se retourner, comme à contre-coeur et toujours sans ouvrir les yeux, gardant son bras plié sur son visage. Benjamin pose ses mains sur le haut de ses jambes, n’osant pas vraiment aller plus haut pour le moment. Il regarde le corps complètement nu de ma femme, cette poitrine qu'il a caressée sans la voir il y a quelques instant à peine. Je me saisis à nouveau de la bouteille et j’en verse généreusement sur tout le corps de ma belle. Je fais courir le filet d’huile entre ses seins, descends sur son joli ventre bien plat et couvre son petit nombril, puis m’éloigne vers le haut de sa cuisse au lieu d’en verser directement sur son petit triangle soigneusement taillé. Je remarque d’ailleurs qu’il est plus étroit que d’habitude, elle a dû faire ça ce matin, pendant sa douche ! Quelle coquine, j’adore ça !

Elle garde les jambes serrées et l’huile s’accumule sur son petit buisson. Benjamin glisse ses doigts dans la petite réserve et l’étale en la remontant vers le bassin, pendant que je me charge d’enduire son adorable poitrine. Une fois allongée, ses seins offrent des courbes qui me rendent fou, jamais rompues, s’élevant doucement depuis ses côtes vers ses mamelons dressés, pour redescendre ensuite vers ses jolies clavicules. Les pouces de Ben éloignent l’huile de l’endroit où elle cherche à s’accumuler, pendant que son regard suit mes mains qui pétrissent ces petits seins offerts. Je remarque que Maëlie a entrouvert la bouche et respire plus fort, toujours masquant ses yeux.

Je me redresse comme si j’avais mal au dos, laissant le champ libre à Benjamin qui se jette sur l’occasion et plaque ses mains sur le bassin de ma chérie pour les faire glisser le long de son corps, jusqu’à atteindre sa douce poitrine. Elle sait à qui sont ces mains et elle expire un soupir de plaisir, pendant que les mains englobent ses atours, glissent dessus, y reviennent, que ses pouces flattent ses mamelons durcis, les saisissent sans pouvoir les pincer, rendus glissants par l’huile généreusement étalée, les pressent gentiment. Je le laisse faire et le regarde, fasciné par la scène d’un érotisme incroyable. Suis-je en train d’offrir ma femme à un autre, ou suis-je en train d’offrir à ma femme un nouveau plaisir ? Je penche plutôt pour la deuxième réponse, lui autorisant de nouveaux plaisirs que j’aurais aussi bien pu lui refuser. J’ai toujours eu un côté un peu voyeur et j’adore voir ma femme atteindre l’orgasme quand on fait l’amour. Je me délecte de la voir prendre du plaisir avec un autre, car je sais que les premières fois ont une intensité particulière qu’on ne retrouve plus ensuite.

Profitant de ce que Benjamin ait éloigné ses mains un instant du buste chéri, j’y pose à mon tour les mains et je les laisse descendre très doucement en suivant le creux qui part du plexus, pour me diriger cette fois clairement vers son sexe trempé d’huile. Mes mains appuient sur son ventre, je passe un index sur son nombril et je poursuis la descente, penché par-dessus le corps de ma femme, offerte. Je passe mes doigts sur la fine toison et insère mes doigts entre les cuisses refermées, qu’elle ouvre aussitôt, laissant tomber une jambe du canapé. Immédiatement, mes doigts glissent sur ses lèvres intimes. Sous la jolie toison, le sexe est entièrement épilé et l’huile m’offre une sensation délicieuse quand je parcoure de mes doigts cette peau complètement lisse. J’appose des doigts de chaque côté de sa fente et je passe et repasse, exerçant une légère pression sur les lèvres. Celles-ci glissent sous mes doigts, m’empêchant de les saisir, de les pincer. Il est clair que la lubrification a été intense à l’intérieur également. Je pose ma main droite à plat sur son pubis, mon majeur appuyant juste sous son clitoris, obligeant son sexe à me laisser le passage libre, puis je laisse glisser mon doigt sur ce sillon humide. Elle inspire bruyamment et mon majeur se faufile entre les doux remparts qui s’ouvrent sans effort, me laissant approcher l’entrée de sa grotte intime. Je laisse négligemment mon doigt échouer sur sa vulve, exerçant une pression à peine suffisante pour m’introduire complètement, puis je retire ma main, laissant glisser mes doigts au fond de son sillon, de façon a toucher au passage son petit bouton, protégé jusque là.

Benjamin est surexcité et suit mon exemple, glissant sa main droite sur le pubis de ma femme, puis lui caressant les lèvres intimes. Je le vois passer ses doigts sur la fente luisante d’huile de massage, s’aventurant un peu plus profondément que moi à chaque nouveau passage. Il est assis entre ses jambes et, de sa main gauche, incite Maëlie à replier sa jambe droite, pour lui permettre de se rapprocher un peu. Ce faisant, elle lui offre également un passage encore un peu plus dégagé vers son intimité. Je caresse les seins d’un geste sensuel, pendant que je dévore la scène des yeux. Il place maintenant sa main gauche paume vers le haut et l’insère sous les fesses de ma chérie, puis bascule sa main en la plaquant sur le sexe ouvert et remonte d’un geste lent. Quand je la vois se cambrant et inspirant bruyamment, je comprends que son majeur a forcé un peu plus loin sa rosette, probablement maintenant beaucoup plus détendue, avant de continuer vers sa petite chatte trempée de plaisir. Je vois Benjamin se relever un peu, pour soulager son poignet tordu en arrière et lui permettre d’introduire un doigt complètement dans le sexe de ma femme. L’excitation est à son comble, je sais qu’elle adore ce moment de la première pénétration par les doigts de son amant. Il introduit son doigt profondément, avant de le ressortir, de remonter jusque sur son clitoris, puis de retourner s’introduire en elle et de la fouiller gentiment.
Je me lève et retire mon boxer qui est devenu insupportable. Avant de me rasseoir sur l’accoudoir, je tire doucement la main qui protège le visage de ma douce et j’approche mon sexe de ses lèvres. Elle comprend et me gratifie de doux passages de sa langue sur ma verge, dans la mesure du possible, étant donnée sa position et sa concentration, totalement dévolue aux caresses de son nouvel amant.

Je me redresse et l’oblige à en faire autant, Benjamin retire ses doigts à regret. Je la fais asseoir entre nous deux et Benjamin retire son boxer, étant désormais le seul à porter un vêtement. Maëlie ouvre à peine les yeux, feignant la gêne de la lumière, mais étant plus certainement incommodée par nos regards. Elle cherche toutefois le mien, pour savoir ce que je veux. Lui tenant toujours le poignet, je le repousse vers elle pour me permettre de m’asseoir. Ce faisant, je dirige sa main comme par accident vers le sexe dressé de Benjamin qui passe un bras autour de ses épaules. Quand ses doigts rencontrent le dard raidi, elle tourne la tête vers lui et il en profite pour prendre sa bouche, sa main droite posée sur sa joue pour la guider et la caresser. Maëlie se saisit délicatement de l’objet de son désir et commence à faire coulisser ses doigts sur la peau soyeuse. Son membre est différent du mien, mais je pense que les dimensions sont très similaires. Pas de « membre au dimensions généreuses » comme dans toutes les histoires que j’ai pu lire auparavant !

Maëlie se repositionne pour être mieux et change de main pour prodiguer ses caresses. Sa main droite entoure maintenant la verge de Benjamin, qui l’embrasse à pleine bouche et caresse son sein de sa main droite, pendant que la gauche descend sur son épaule. Je m’écarte un peu, gêné par le contact de cette main masculine contre moi, et pour pouvoir mieux profiter de ce spectacle. La main droite glisse en caresses circulaires sur le sein de ma chérie, dont je devine la langue se frotter à celle de son amant d’un soir. Puis il descend sa main droite sur le côté et le ventre de ma belle, pendant que sa main gauche glisse depuis l’omoplate pour saisir le sein libéré.

Ses doigts prennent possession de l’entrejambe glissant d’huile de massage et se livrent à de douces caresses, jouant avec les lèvres de ce sexe que je suis seul à avoir touché depuis des années. Je devine aux réactions de Maëlie que la pénétration tant attendue se rapproche sensiblement, la voyant se cambrer la bouche toujours collée à celle de son amant et sa main ne lâchant pas la verge offerte. Soudain, leurs bouches se séparent, pour permettre à Maëlie d’expulser un râle de plaisir, au moment où il introduisait deux doigts en elle. J’ai juste le temps de voir la langue de Benjamin se rétracter, rendant encore plus concret pour moi l’intensité de leur baiser.

Il la fouille de ses doigts pendant un long moment, la tête posée en arrière sur le dossier du canapé. Elle semble vouloir se lever pour lui faciliter une pénétration plus profonde, elle soulève ses fesses du canapé, s’appuyant sur son bras qui a saisi la bite brûlante. J’en profite pour passer une main sous sa jambe et remonter au plus près de ses fesses et de son sexe, mais la place est déjà bien occupée. Prenant sans doute ce geste pour une incitation à se pencher sur le côté, je vois sa bouche descendre vers la colonne de chair. Elle pose sa tête sur le ventre de Benjamin, ses lèvres touchant déjà la peau soyeuse. Il retire alors sa main droite pour reprendre appui sur le canapé, pendant que sa main gauche prend la relève. Il la pose sur le sillon de ses fesses, je prends la jambe de Maëlie pour la soulever un peu et la maintenir, facilitant à la fois l’introduction de Ben et m’offrant une meilleure vue sur ce moment. Je vois deux doigts glisser depuis son anus luisant vers les lèvres de son sexe qu’ils ouvrent d’une légère pression, puis disparaître en entier, complètement enfoncés dans sa petite chatte que je me croyais réservée à jamais. Je caresse sa jambe, remontant jusqu’à son ventre en passant par son clitoris, délaissé pour l’instant par son nouvel amant.

Je vois la langue de ma belle parcourir cette verge qui lui est désormais promise, la tête reposant toujours dans une position confortable sur le ventre de Benjamin. Je sais qu’elle est capable de faire durer ce plaisir pendant de longues minutes, si son amant est capable d’y résister, maintenant qu’elle s’est installée confortablement. Elle passe consciencieusement sa langue sur toute la longueur de la magnifique bite, la rendant luisante de salive. Elle change parfois de position, pour pouvoir accéder à chaque centimètre carré de ce sexe dressé pour elle. Puis, elle se redresse et je la vois placer ses lèvres entrouvertes sur le gland découvert et l’avaler doucement, alors que Benjamin pousse un râle animal et enfonce ses deux doigts aussi loin qu’il le peut dans la chatte de ma femme qui semble avoir désormais oublié toute réserve.
Mais je suis gêné par le fait qu’il ne soit pas protégé et je me lève tout de suite, pour interrompre ce dangereux petit jeu. L’excitation a visiblement fait oublier toute prudence à ma chérie. Elle interrompt son acte, un peu surprise, pour me regarder. Je lui dis « viens » en la tirant un peu par le bras. Benjamin retire ses doigts et attend lui aussi mes instructions. Il se lève quand il voit que je veux faire allonger Maëlie sur le dos, sur le canapé. Pendant qu’elle s’exécute, je saisis un préservatif sous la deuxième serviette que j’avais amenée et je lui tends. Il sourit et elle aussi, il commence à en déchirer l’emballage, mais ses doigts sont glissants. Je caresse mon épouse pendant qu’il s’essuie les mains sur la serviette et s’y reprend à deux fois, pour finir par le saisir entre les dents et extraire le petit accessoire de latex.
- ça va ?
- oui, me murmure-t’elle, en évitant de me regarder trop longtemps, sans doute quand même un peu gênée de la situation, malgré son excitation visible.
Elle le regarde mettre son préservatif, le cœur battant. Je suis dans un état d’excitation oublié depuis longtemps, si j’en ai jamais connu de semblable. Il le déroule sur toute la longueur de sa verge, lui saisis les mollets pour rapprocher ses talons de ses fesses et lui ouvrir les jambes puis, alors que je pensais qu’il allait la pénétrer, il se penche en avant et pose sa bouche sur les lèvres trempées de ma chérie. Elle se redresse comme pour lui dire « non » et je la retrouve comme dans nos premiers ébats : à chaque fois que je lui enlevais sa petite culotte, elle se redressait de la même façon, comme si ça la gênait de me voir découvrir sa petite culotte trempée de son plaisir, alors que c’était une grande source d’excitation pour moi.

Je pose une main sur sa poitrine et je lui chuchote « laisse-toi faire, profite de ton plaisir, laisse-toi aller, pour une fois que tu as deux hommes pour toi ». Elle s’allonge à nouveau et ferme les yeux, gémissant sous les caresses de la langue de son amant. Je lui caresse les seins, le ventre, les bras, je pose ma bouche sur la sienne et je sens immédiatement sa langue venir à la recherche de la mienne, s’enrouler autour de ma langue, me mordiller, pendant que je pince gentiment son mamelon. Elle gémit et s’agite beaucoup, elle quitte ma bouche pour pouvoir gémir plus fort.

Benjamin se redresse et me regarde, comme s’il voulait savoir s’il pouvait la prendre. Je lui fais un petit signe d’assentiment et il se place entre les cuisses ouvertes de ma femme, offerte à son bel étalon, le premier autre que moi depuis sans doute 10 ans. Parfois, je me dis qu’elle a peut-être profité un peu d’une ou deux relations qu’elle avait déjà nouées au moment de notre rencontre pour assouvir une étreinte éphémère. Elle a toujours adoré faire l’amour et je pense que de nombreux mecs ont dû rêver d’elle et tenter d’obtenir ses faveurs. Elle est d’avis qu’il faut faire des expériences avant de se mettre vraiment en couple et je suis d’accord avec elle. A ce titre, elle m’a peut-être trompé dans les premiers mois de notre relation, ne sachant pas si elle allait devenir sérieuse. Je suis excité à cette idée mais, finalement, j’en doute.

En tout cas, ce soir, plus la peine de fantasmer : son amant est là, le sexe fièrement dressé vers la petite chatte épilée de mon épouse prête à le recevoir. Il s’avance à genoux vers elle, elle penche la tête sur le côté pour mieux le voir, je retire ma main de sa poitrine pour la laisser faire. Il pose une main à côté de son bassin et tient sa verge de l’autre. Il s’approche, pose son gland sur les lèvres de ma femme et appuie doucement. Elle ouvre la bouche, haletante, impatiente. Il la regarde intensément, fait quelques minuscules mouvements du bassin, pour exciter sa vulve et la faire attendre. Elle semble ne plus en pouvoir, mais il joue avec elle.

Puis, il lâche sa bite, pose son autre main de l’autre côté de son bassin et la pénètre profondément. Elle se renverse en arrière en criant de plaisir, me broyant la main dans la sienne. Il se met à la limer lentement, poussant à bien à fond quand il s’introduit à nouveau en elle, lui arrachant un petit « han ! » à chaque fois. Il reste en appui sur ses bras, pour pouvoir donner le maximum d’amplitude à son bassin. Je les regarde faire, partagé entre frustration et excitation. Ma femme fait l’amour avec un autre homme. Ces mots tournent dans ma tête, je reconnais mes sensations d’adolescents qui me tiraillent les intestins. Elle a posé ses mains sur ses bras et se laisse pilonner docilement. Je vois le regard de Benjamin rivé sur leurs deux sexes, sans doute hypnotisé par ce délicieux minou presque entièrement épilé qu’il pénètre sensuellement devant le mari complaisant. Il relève la tête, tout en continuant ses mouvements de va-et-vient et regarde la douce poitrine, avant de s’en saisir d’une main et de serrer le téton entre son pouce et l’index, le faisant glisser plusieurs fois entre ses doigts.

Il se redresse un peu de façon à pouvoir tenir sur ses genoux sans l’aide de ses mains, la bite toujours enfoncée dans le sexe de Maëlie. Il saisit sa jambe droite et la replie, la repousse par-dessus le ventre de sa maîtresse, comme pour la passer devant lui. Mais, profitant de cette nouvelle position, il reprend ses mouvements de pénétration, jouissant d’une nouvelle sensation. Il poursuit quelques instants, avant de ramener la jambe devant lui et de s’allonger derrière ma belle. Je me rapproche pour la caresser sur tout le corps, elle saisit doucement mon membre qui ne faiblit pas. Benjamin fait quelques contorsions, de façon à pouvoir passer une main sous ma chérie et lui saisir un sein, tandis qu’il guide son bassin de l’autre main. Ses mouvements se font plus rapides, il la pilonne littéralement, tandis qu’elle se cambre sous les assauts, la tête en arrière et le bouche ouverte.
Sa poitrine est totalement offerte, elle est magnifique. Il fait glisser sa main du bassin vers le milieu de sa jambe, pour la tirer par-dessus les siennes. Son sexe est à nouveau accessible et la main de son amant se met immédiatement à masser les lèvres du sexe possédé, pendant que sa verge dure comme du bois le ramone tant qu’il peut. Maëlie est complètement possédée : la langue de son amant fouille sa bouche, sa main étreint un sein, son sexe est en elle et sa deuxième main masse les lèvres de son sexe, son clitoris, tandis que moi, je caresse tout ce qui reste accessible de mes mains huilées.

Benjamin accélère son pilonnage, la serrant de plus en plus fort contre lui. Je suis presque jaloux de ne pas pouvoir lui procurer ce genre de plaisir. Je sais qu’elle aime aussi les cadences rapides et profondes, les assauts virils, alors que moi, je lui prodigue plutôt des caresses lentes et profondes. Mais je sais que ce plaisir, c’est aussi moi qui lui offre, par procuration. Ce n’est pas ça qui me fera perdre celle que j’aime, au contraire. Leurs bouches se séparent, Maëlie reste cambrée, la bouche ouverte. Chaque nouvelle poussée lui arrache un cri, elle se met à gémir en continu, hachée par les à-coups de son amant.

Mais il veut prolonger le plaisir et il ralentit les pénétrations saccadées, pour finir par relâcher son étreinte et la repousser gentiment. Elle me lâche et roule vers le bord du canapé, pose un pied à terre et un genou sur le canapé. Benjamin s’installe sur le dos et tend les bras vers elle. Comprenant ce qu’il souhaite, elle passe sa jambe gauche par-dessus le corps de son amant et vient à califourchon sur lui. De sa main gauche, elle guide le phallus gonflé de sang vers son antre de plaisir, avide d’être à nouveau rempli par ce membre fièrement dressé. Elle positionne le gland entre ses lèvres puis s’empale sur le pieu de chair avec un râle de plaisir.

Son amant la regarde, semblant ne pas croire en sa chance. Il caresse doucement les seins de la jeune femme, qui se cambre en arrière pour les lui offrir. Elle monte et redescend régulièrement, lentement, cherchant la meilleure façon de s’enfoncer encore plus sur cette verge délicieuse. Les mains de Benjamin descendent sur ses hanches et il l’empêche de redescendre complètement, de façon à pouvoir reprendre le contrôle de la cadence. Il se met à la pilonner à nouveau, sur un rythme un peu plus lent que tout à l’heure. Elle semble adorer cette façon de faire, qu’elle n’a plus connue depuis longtemps avec moi. N’étant plus tenue vers l’avant, elle s’effondre complètement sur la poitrine de son amant. Les jambes complètement ramenées sous elle, elle offre un accès profond à son sexe, pour la plus grande joie de son amant.

Je comprends que c’est sans doute aussi ma chance, car elle a la croupe offerte et je compte bien m’en emparer. Je glisse une main sur son dos et je descends vers son postérieur. Tout son corps est luisant, sensuel, mes doigts y glissent sans retenue. Je descends le long de sa raie ouverte à mes attouchements, jusqu’à rencontrer une rupture dans la glissade. Mon majeur flatte son anus, pendant que Benjamin la ramone consciencieusement mais plus calmement par en-dessous. Elle est complètement collée à lui, les coudes posés de chaque côté de sa tête, sur le canapé. Elle cherche sa bouche et je vois leur langue se mélanger, ils se sucent les lèvres, aspirent à tour de rôle la langue de l’autre.

J’exerce une pression pour introduire mon doigt en elle, mais la présence de Benjamin rend la pénétration un peu moins facile. Il doit le comprendre et arrête ses mouvements. Maëlie soulève un peu ses fesses pour moins comprimer son petit orifice et mon doigt y pénètre sans résistance jusqu’à la garde. Benjamin fait un mouvement de va-et-vient complet et je sens parfaitement le mouvement de son sexe dans le corps de ma femme, à travers la mince paroi. J’insère un deuxième doigt pour dilater un peu son anus, pendant que je trouve moi aussi un préservatif, que je libère comme l’avait fait Benjamin, avec les dents. Maëlie me voit faire et ne bouge plus, ne dit rien, priant probablement en silence pour que j’arrive en elle avant qu’elle ne jouisse. Benjamin comprend également et évite aussi de bouger. Mon deuxième doigt est en elle et je sens son jardin secret pulser au rythme de son plaisir. Une veine palpite en elle, je la sens distinctement sous me doigts. Je les déplace doucement pour ne pas déclencher l’orgasme et je viens derrière elle sur le canapé. Je dois repousser un peu les jambes des amants enchevêtrées pour arriver à m’installer où je le souhaitais.
Je retire doucement mes doigts et je les remplace par le bout rougi de mon chibre tendu à mort. Benji a placé les mains sur les fesses de ma femme, il les écarte l’une de l’autre, pour m’aider dans ma manœuvre, son sexe toujours fiché dans celui de mon épouse. On est tous tendus, conscients qu’on est au bord de l’orgasme ; Si l’un de nous démarre, les autres suivront avant qu’on ait atteint notre objectif. Je place fermement mon gland sur l’anus de ma femme et je pousse immédiatement pour la pénétrer. A ma grande surprise, la résistance est faible et je me retrouve en elle en un instant, au milieu des râles de chacun.

La sensation est étrange, je la sens possédée en même temps par l’amant que je lui ai offert. Je ne peux pas trop bouger, mais Benjamin reprend sa pénétration vaginale, ce qui déclenche aussitôt des mouvements saccadés de Maëlie, proches de la jouissance. Il poursuit doucement et je me retiens, je bouge à peine mon sexe, mais je caresse le corps de ma déesse, qui nous donne tellement de plaisir ce soir. Benjamin sort un peu plus son membre de la chatte ruisselante de ma femme, doucement, puis se fiche à nouveau en elle, d’un mouvement plus rapide. Elle est parcourue de tressaillements, j’appuie un peu sur son joli petit cul, pour l’empaler profondément sur les deux membres de ses amants. Elle pousse un petit cri, bloque sa respiration, puis se met à onduler en criant « oh non, oh non, oh noooon, NOOOON, AAAAAAHhh ». Son cri de jouissance nous libère tous les deux et je sens les contractions involontaires de nos membres, sans presque pouvoir dire si ce sont les siens ou les miens que je ressens parcourir le corps de ma femme en écho.

Elle tressaute et crie comme lors de nos ébats avec le membre en latex, mais avec une nouvelle intensité, ça ne semble pas vouloir s’arrêter cette fois. Elle gémit, continue à dire « non, non, oh nooonn », ce qui traduit plus un refus de devoir arrêter là notre corps à corps qu’un refus de jouir avec autant de force, à mon avis.  Benjamin rue en elle et la bourre de coups de butoir en vidant sa semence en elle, heureusement contenue par le préservatif. Je jouis également, essayant de ne pas trop la brutaliser, pour ne pas lui faire mal. Elle s’effondre sur lui, il ne bouge plus. Moi seul ne peut pas m’affaler, pour ne pas les étouffer et parce que je ne suis pas assez bien installé pour le faire. Je reste un moment en elle, la regardant dans les bras de son amant, qui trouve juste la force de dire « j’aime bien le jungle speed », ce qui nous arrache un petit rire à tous les trois. On transpire tous, on est épuisé, mais on a ressenti un plaisir inédit, on est heureux. Je reste à genoux, en elle, sans bouger.

La jalousie commence à monter en moi, maintenant que les hormones sont retombées, je suis partagé, mais j’ai réalisé mon fantasme et, je pense, celui de ma femme aussi !
Je fini pas me lever et quitter le canapé, retirant avec précaution mon sexe encapuchonné qui pend lamentablement maintenant que la fête est finie. Je regarde les deux nouveaux amants, couchés l’un sur l’autre, les yeux fermés, avec une pointe de jalousie mêlée d’excitation, quand j’observe le pénis de Benjamin toujours fiché dans le sexe de ma femme. Je vais jeter le préservatif et fais couler l’eau de la douche de notre chambre, j’ai besoin de me laver. Mon corps est tout gras de l’huile de massage, j’ai du mal à dire si je suis excité, content d’avoir réalisé un fantasme, jaloux. Les sentiments se mélangent et me mettent un peu mal à l’aise.

Je rentre dans la douche et l’eau chaude me fait du bien. Mais je réalise aussi que je ne sais plus rien de ce que font Benji et Maëlie : je ne les vois plus et il pourrait être en train de la faire crier de plaisir que je ne l’entendrais peut-être même pas. Des images se forment dans ma tête qui font descendre une sensation glacée jusque dans mes tripes.

Soudain, la porte de notre mini salle de bain coulisse et la porte de la douche s’ouvre :
- il reste un peu de place pour nous ?
Ce « nous » me fait frissonner : ainsi, maintenant, il existe un « nous » autour de Maëlie dont je ne fais pas partie. Elle a dû entendre l’eau couler et je suis sûr qu’elle n’a pas voulu me laisser seule pendant qu’elle se faisait câliner sur le canapé.
- ce sera un peu étroit mais on devrait y arriver.

Ils entrent tous les deux dans la douche et on se retrouve immédiatement les uns sur les autres, à essayer de ne pas poser un dos ou une épaule sur le carrelage froid. La porte se referme, on rit et la vapeur remplit la cabine. L’eau éclabousse nos têtes, nos épaules, ce qui réchauffe très vite le carrelage, qui n’est rapidement plus un problème. J’étais en train de me savonner la poitrine et Maëlie reprend le mouvement là où je l’avais interrompu, pendant que Benjamin essaye de se mouiller suffisamment les cheveux pour se faire un shampoing. Elle attrape le savon et en fait couler dans sa main, en me regardant avec un air coquin. Je lui souris, pour lui faire comprendre que j’ai apprécié ce qui vient de se passer. Elle me regarde intensément et je crois comprendre que ça signifie quelque-chose comme « moi aussi j’ai adoré, mais c’est toi que j’aime ».

Avant qu’elle ait reposé le savon, Ben lui demande le flacon, qu’elle lui tend. Elle commence à me savonner le torse, pendant que lui se sert puis repose le flacon sur le portant. Il se frotte un peu les mains pour faire mousser, puis, alors que je pensais qu’il allait se savonner, il entoure Maëlie de ses bras et pose ses mains juste sous sa poitrine, puis remonte doucement. Elle tourne la tête vers lui pour lui faire un sourire et continue de me savonner. Je regarde fasciné les mains de Ben passer sur les jolis seins de ma femme. Le savon a le même effet que l’huile, ses mains glissent sur elle, il fait mine de pincer ses mamelons, mais les seins lui glissent des mains, il descend sur son ventre, la caresse jusque sur le pubis, passe une main derrière et caresse ses fesses, son dos, avant de revenir sur sa poitrine.

Maëlie reprend du savon dans les mains et entreprend de me savonner tout le corps, pendant que je décide d’aider un peu Ben dans sa pénible tâche ! Je sens les mains de mon épouse attraper mon sexe et commencer à le faire glisser entre ses doigts. Elle m’a fait découvrir cette sensation il y a des années, au début de notre relation. Maintenant que je suis épilé, la sensation est encore meilleure : je sens ses petites mains se saisir de mon membre regonflé d’espoir, le faire glisser entre ses doigts, le redresser et faire coulisser sa main le long, le relâcher, le reprendre.

Pendant ce temps, Benjamin continue de palper tout le corps de ma femme. Le savon étant rincé au fur et à mesure, il en rajoute plusieurs fois, pour conserver cette glisse magique sur la peau de sa maîtresse. Puis, il avise un flacon de savon intime. Je ne l’ai pas vu faire, mais j’ai tout de suite reconnu le parfum, associé à nos jeux sexuels sous la douche. Parfois, alors qu’on avait juste l’intention de prendre une petite douche ensemble, les caresses que nous nous sommes prodiguées mutuellement nous ont rendus fous d’excitation et nous avons fait l’amour debout, rapidement, avec très peu de préliminaires. Maëlie avait à chaque fois utilisé son savon pour lubrifier mon sexe et le sien et faciliter la pénétration rendue plus difficile par l’eau. Depuis, j’adore enduire mes doigts de ce gel et les introduire en elle.

Mais ce soir, c’est Benjamin que je vois se préparer à ce plaisir. Il fait couler généreusement le gel intime sur les doigts de sa main droite, puis repose le flacon. Il appose ses mains l’une contre l’autre, sans chercher à faire mousser, juste pour répartir le savon entre ses deux mains, puis place rapidement ses mains de chaque côté du corps de ma femme : une main sur son sexe, une autre sur ses fesses. Elle semble un peu surprise et me regarde, je lui souris. Je ne pensais pas qu’on referait l’amour dans la douche, je n’ai toujours pas retrouvé ma vigueur après ce qui vient juste de se passer dans la pièce d’à côté. Et puis, on n’a pas de préservatif dans la douche !

Je vois sa main gauche descendre entre les jambes de mon épouse, qui les ouvre en posant un pied sur la margelle, tandis que sa droite disparaît dans son dos. Aussitôt, je vois ses yeux se fermer, sa bouche s’ouvrir tandis qu’elle aspire brutalement de l’air. Bien préparée par une belle double pénétration, il n’a eu aucun mal à introduire deux doigts dans son sexe et deux autres dans son anus, avec l’aide du savon intime. Du coup, la main gauche de Maëlie quitte mon torse pour aller flatter le sexe de son bel étalon, tandis qu’elle s’appuie sur moi, les jambes flageolantes sous les caresses intimes. Celles-ci se font douces et profondes, sa main gauche remonte pour exercer une caresse sur son clitoris tout en fouillant doucement le sexe de ma belle.
J’en profite pour glisser ma langue dans sa bouche entrouverte, trouvant immédiatement sa langue. Je lèche ses lèvres rendues glissante par l’eau de la douche qui s’écoule sur elles, je retrouve sa langue, je la suce, je l’embrasse. Tout ça est délicieux, mais on comprend confusément qu’il vaut mieux de ne pas refaire l’amour immédiatement : nos corps n’ont pas encore rechargé l’énergie nécessaire pour un vrai bel orgasme, ce sera plus agréable si on se repose un peu d’abord.

Je commence donc à relâcher Maëlie, à me rincer, pendant que son amant lui prodigue de sensuelles caresses sur le ventre, les seins et les fesses. Je quitte la cabine en me disant à nouveau qu’ils pourraient très bien décider maintenant de faire l’amour, sans moi, ce qui est une sensation assez bizarre, sans que je puisse dire si elle est agréable ou insupportable.

Je me sèche et je me glisse rapidement dans notre lit, au diable les pizzas, il est trop tard ! De toute façon, elles sont froides, ce qui n’est pas le cas de Maëlie !

L’eau s’arrête rapidement de couler et ils me rejoignent tous les deux, une fois sèchés. Maëlie vient se lover conre moi et invite Benjamin à nous rejoindre :
- tu ne vas pas aller dormir tout seul après ce qui vient de se passer ? On a acheté un lit en 160 il n’y a pas longtemps, c’est l’occasion d’en profiter !

Il ne se fait pas prier et s’allonge à côté d’elle. On la caresse tous les deux, elle nous rend nos caresses, doucement, avec l’intention de dormir quand même un peu. Je navigue un long moment entre veille et sommeil, l’esprit troublé par les images de notre soirée. Je n’ai pas l’impression de m’endormir et pourtant, je me rends compte soudain qu’il y  un mouvement à côté de moi dont je n’ai pas perçu le début. Des frottements, du mouvement, des respirations plus fortes. J’entrouvre les yeux sans bouger, en essayant de garder une respiration qui ressemble à celui de quelqu’un qui dort. Il fait noir, mais l’heure du réveil projetée au plafond donne une légère clarté qui me permet d’apercevoir ce qui est en train de se passer : Maëlie est à quatre pattes sur le lit, le visage dans l’oreiller, sans doute pour masquer sa respiration, et Benjamin est à genou derrière elle.

Elle me dira le lendemain qu’elle a senti une main la caresser, qu’elle s’est tournée vers lui à moitié endormie, sans réaliser si c’était lui ou moi. Sentant une réponse, ses caresses s’étaient faites plus appuyées et avaient amené ma femme dans un état d’excitation intense. Elle ne se voyait pas me réveiller pour faire l’amour, alors ça avait été la douce escalade entre eux.

Je l’ai regardé se placer derrière ma femme et se préparer. Je me demande s’il a mis un préservatif et c’est là que je réalise que c’est ce bruit qui m’a réveillé. J’en avais laissé plusieurs près du canapé hier soir et il en a probablement récupéré avant de venir dans la chambre ! Il est donc déjà prêt à la pénétrer quand je me réveille. Leurs mouvements semblent s’arrêter pendant qu’il la prépare et se positionne. Je devine qu’il vient de s’introduire au mouvement du bassin de ma femme, puis à son souffle à lui quand il expire longuement. Il se retire doucement pour revenir en elle sur le même rythme, ne voulant pas m’éveiller. J’observe avec la fascination du voyeur ma femme se faire posséder alors qu’elle doit se croire à l’abri de mon regard.

Je veux lui faire part de ma présence en lui touchant la jambe, je remonte le long de l’intérieur de sa cuisse et je dévie vers son ventre, pour ne pas rencontrer le pénis de Benjamin. J’avance jusqu’à ses seins pour lui prodiguer de douces caresses et elle semble adorer. Benji ayant perçu ma présence également ne se gêne plus pour la culbuter plus fort, plus profondément aussi, sans doute. Je fais glisser ma main entre ses seins et sur son ventre, puis vers son pubis. Là, je ralentis, pour atteindre son clitoris sans risquer de toucher ce sexe masculin, ce dont je n’ai pas très envie. Je commence à caresser ses lèvres intimes, lorsque je m’aperçois de quelque-chose : depuis que je la masturbe doucement, Benjamin n’a pas ménagé ses efforts pour la pénétrer et je ne ressens aucun mouvement ou presque des lèvres de son sexe. Pris d’un doute, je fais glisser ma main plus loin et je découvre sa petite chatte trempée, mais libre de toute pénétration. En revanche, là, je sens son périnée transmettre les mouvements de butoir de son amant : tout excité par ce qui s’est passé hier, il l’a sodomisée et elle a accepté ça, alors que j’étais le seul jusque là à avoir eu ce privilège.
Encore une fois, la glace envahit mes bras, mes jambes, mon ventre. Mais mon sexe est aussi parcouru de frissons délicieux. Je me raisonne et me dit que ce n’est pas différent. On n’a rien défini entre nous, puisqu’on n’avait pas prévu ce qui allait se passer. Mais il s’agit d’une relation sexuelle, c’est tout, on se fait mutuellement plaisir physiquement et, si le plaisir passe par là, pourquoi pas ?

Je glisse un doigt en elle et je sens les mouvements de ce phallus bien rigide qui lui vrille les entrailles et la fait vibrer de plaisir dans des allers-retours puissants. Je m’introduis au plus profond, mais je sens qu’ils ont pris de l’avance sur moi et que je n’ai qu’une solution pour ne pas me faire coiffer au poteau. Je fais passer ma jambe droite entre les genoux de ma belle épouse, suivie de la gauche et je me fraye une place entre ces quatre jambes, de façon à amener mon pieu de chair dressé sous la vulve ruisselante de plaisir de ma belle. Les mouvements de son étalon s’apaisent, pour nous permettre de procéder à la manœuvre. Elle me guide, prend mon sexe dans une main et le caresse un peu, retrouvant une peau douce et non protégée de latex. Elle m’aide à me placer sous elle, puis vient s’embrocher d’elle-même sur le poteau que je lui tends.

Son râle est guttural, on sent qu’elle est transpercée par le plaisir de nos deux bites plantées en elle. Elle ondule, monte, descend, va d’avant en arrière et on la laisse guider son plaisir et le nôtre, sachant que la position pourrait vite être douloureuse pour elle si nous ne faisions pas attention. Je sens la chaleur de son sexe humide envelopper le mien, puis, quand elle arrive à la garde, elle donne un coup d’inclinaison du bassin vers l’arrière, pour gagner encore un peu de profondeur, ce qui doit lui en faire perdre du côté de son amant. Elle donne alors un coup en arrière et je sens la profondeur de la pénétration augmenter dans son anus tandis qu’elle râle plus fort. Elle commence une série de mouvements circulaires, qui font alterner la profondeur de l’introduction de nos phallus en elle. Je lâche ses jambes et vient effleurer ses jolis petits seins, alors que Benjamin la tient bien par la taille pour s’enfoncer de toute sa longueur dans l’intimité qui lui est offerte.

On profite tous les trois le plus longtemps possible de ce plaisir nouveau et intense, on veut le faire durer le plus possible. C’est Maëlie qui partira la première, dans un concert de cris de jouissance et une débauche de convulsions frénétiques. Elle s’affale sur moi, écrasant mes mains par surprise sous sa poitrine, tordant mes poignets en arrière. Je l’entends hurler de plaisir dans mon oreille alors que je sens le plaisir déferler dans son corps bien mieux que la veille : elle est toute collée à moi, les bras autour de mon cou, ses jambes enserrant ma taille, sa chatte emprisonnant mon pénis sur le point de jaillir à nouveau. Ses jambes voudraient m’écraser, ses bras m’étranglent, son buste est parcouru de contractions électriques, elle tressaille, sursaute, comme surprise par de nombreuses vagues de plaisirs qui déferlent en elle. Benjamin est le deuxième et son jet de semence en Maëlie, même contenue dans le réservoir de latex, déclenche un nouvel assaut de contractions et de cris d’orgasme.

Je les rejoints aussitôt, incapable de résister plus longtemps à cette orgasme partagé. Je sens mon sperme jaillir de moi et se déverser au plus profond de mon épouse, dans ce ventre qui vient déjà de lui procurer tellement de plaisir. Elle réagit à nouveau avec enthousiasme et c’est un nouveau cran dans le plaisir qu’elle franchit alors à cet instant, si j’en juge à ses réactions. Elle semble incapable de se tenir plus longtemps, comme si toute son énergie venait de passer dans cet orgasme fou. Elle est pourtant toujours secouée de convulsions et ses cris de plaisir confinent presque à la plainte maintenant, probablement vidée de toute force alors que son cerveau commande toujours aux muscles de son sexe, de son périnée, de son ventre, ses jambes, ses bras, de s’agiter en tout sens encore une fois.

Elle finit par s’effondrer sur moi, sans un mot, alors que je sens Benjamin glisser en arrière et la quitter. Elle reste sur moi avec un soupir d’épuisement dans lequel je décerne néanmoins une immense satisfaction. Cette fois, elle est sur moi, je suis en elle, son amant a disparu et c’est bien moi qui lui ai offert cet orgasme mémorable dont je suis heureux et fier. On a partagé une magnifique expérience sexuelle, avec la complicité qui anime notre couple depuis le début.

Peu de temps après, le soleil se lèvera et Maëlie et moi seront debout avant Benjamin. Il nous rejoindra un peu plus tard pour le petit déjeûner et nous parlerons peu de cette nuit tous les trois. J’en parlerai un peu plus en le ramenant à la gare. Il est un peu gêné de ce qui s’est passé, mais je le rassure. Nous avons tous les trois fait un choix d’adulte qui ne regarde personne et on s’est tous régalé, y compris Maëlie et sans doute surtout elle. C’est ce qui lui faisait un peu peur, il ne voulait pas qu’elle ait une mauvaise image de lui. Le souvenir de cette soirée alimentera longtemps nos ébats, avant de devoir être renouvelée, qui sait ?
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par sergio
#2806968
Superbement excitant.
Votre couple a passé une magnifique soirée tout comme Benji qui doit se souvenir encore de ces moments de plaisirs.
#2807112
Oui il y a une suite, meme si cette suite me concerne plutot moi, seul. Enfin... disons plutot sans Maelie. Jai aussi des centaines de photos d'elle, j'en mettrai quelques-unes ici
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par frenchy
#2807130
Askelletbelle a écrit :Oui il y a une suite, meme si cette suite me concerne plutot moi, seul. Enfin... disons plutot sans Maelie. Jai aussi des centaines de photos d'elle, j'en mettrai quelques-unes ici
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J'ai cru que nous n'allions plus l'avoir sur cette suite ;) :D
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par sam17
#2807151
Superbe récit, long mais si bien détaillé, qui permet sans doute à beaucoup de candauliste que nous sommes de revivre des moments que nous avons tous connu plus ou moins. Bravo.
La miss est ravissante, hate de la découvrir d'avantage.
#2807279
Merci à tous pour vos commentaires. Je suis content que mes recits (et mon épouse) vous plaisent. On me fait remarquer que cette robe pourrait laisser apercevoir un sein. Cest vrai. Benjamin m'a avoué que c'était bien le cas et que ça l'avait vraiment excité de voir furtivement la poitrine nue de Maëlie lors d'un mouvrment involontaire de sa part (?) avant quil sache qu'il aurait droit à bien plus. Pour ceux qui n'auront pas sa chance, voici 2 petites photos sympas
Screenshot_20240628_151831.jpg
Screenshot_20240628_151741.jpg
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#2807316
Jolie femme et audacieuse avec deux hommes.
#2807317
Comme promis, je publie la suite de cette histoire. Vous allez comprendre un certain nombre de choses en la lisant, je vous laisse découvrir quoi.

Me voilà en train de pédaler avec sous les yeux des images de volcan en éruption depuis 20 mn. Le volcan Eyjafjöll vient de se réveiller et ses cendres bloquent le nord du Royaume uni. Cette info est en boucle sur Sky news, sur la télé de la salle de sport. J’aimerais bien changer de chaîne, mais un gars s’est emparé de la télécommande et on dirait que c’est vital pour lui d’avoir le contrôle. Je ne vois pas bien pourquoi, puisqu’il passe son temps rivé à son portable et que le son des infos l’oblige à parler plus fort, m’empêchant par le même coup de suivre, si j’en avais eu l’envie.

Peut-être que j’en aurais eu l’envie, d’ailleurs, si j’avais su quel impact allait avoir cette info sur moi. Mon métier m’amène à m’éloigner de Maëlie régulièrement pour des périodes plus ou moins longues. Je suis pilote de ligne et je passe donc pas mal de temps dans les hôtels, comme en ce mois d’avril où je dois rester un mois sur place, volant par périodes de 3 jours environ, entrecoupées de périodes de 3 jours de repos, pendant lesquels je m’occupe comme je peux, par exemple en fréquentant la salle de sport, ou en allant me promener en ville.

J’étais « OFF » depuis déjà 3 jours quand on a commencé à parler de ce nuage de cendres volcaniques. Les espaces aériens se sont fermés comme des huîtres et j’ai commencé à me demander ce que j’allais faire pendant les jours qui arrivaient.

Avant chaque vol, on est censé aller « pointer » notre présence au bureau des opérations aériennes de la compagnie, puis préparer le vol en consultant la météo, calculer le carburant etc. Je n’étais pas censé préparer ce jour-là, puisque je ne devais voler que le lendemain, mais j’ai décidé de passer au bureau des ops, pour consulter les informations disponibles, après être passé manger au restaurant de la compagnie. Je mange tout seul, en général, car je ne suis que de passage sur cette base et je n’ai pas eu le temps de rencontrer grand monde.

A quelques tables de là, je remarque un groupe de jeunes gens qui mangent ensemble, peut-être une dizaine de personnes. Je le remarque, car, habituellement, on voit plutôt des groupes de 2 à 4 personnes, guère plus. Il y a surtout des bureaux, dans ce bâtiment, et les gens viennent manger à des heures très diverses, par petits groupes.

Je finis mon repas tranquillement, puis je me dirige vers l’ascenseur pour redescendre les 5 étages du bâtiment. Il est très long à venir, les portes s’ouvrent lentement. Je me demande si je n’aurais pas fait plus vite en redescendant par les escaliers. Mais bon, à tergiverser, l’ascenseur est là et la réponse m’est donnée : ce sera l’ascenseur. Je m’avance vers le fond et appuie sur le zéro. Pffff, il est aussi long à se refermer ; Vraiment, la prochaine fois, je prends l’escalier !

Et puis, alors que la porte commence à coulisser, j’entends celle du restaurant s’ouvrir brutalement et un cri, en anglais « vite, l’ascenseur ! Attendez !!! ». J’appuie sur le bouton d’ouverture de la porte et je vois arriver le petit groupe du restaurant, mené par une charmante jeune femme, toute souriante. Elle me remercie chaleureusement et je la reconnais : je l’ai déjà vue une fois ou deux dans la salle qui jouxte celle des opérations. Il s’agit d’hôtesses et de stewards stagiaires de la compagnie. On discute un peu sur le chemin de notre salle respective. « Tu es français ?
- ah ça, oui ! Comment tu le sais ? J’ai pas de béret sur la tête, ni de baguette sous le bras. J’ai un drapeau sur un vêtement que j’ai oublié ?
- C’est ton accent.
- Ah bon ? Mais alors tu as l’habitude d’entendre cet accent, pour être capable de le reconnaître comme ça, non ?
- J’ai une copine de Paris qui a le même accent. C’est pour ça ».
Elle n’est pas très grande, dans les 1,60 m avec ses talons, elle porte une petite jupe et un haut moulant qui dévoile ses formes agréables. Des cheveux longs bien coiffés en arrière, comme savent le faire les hôtesses de l’air et les danseuses classiques !
- j’au l’impression qu’on va au même endroit, ou presque.
- Oui, on est en formation dans la salle juste à côté. Et je pense que tu vas te faire des tas d’amies aujourd’hui me dit-elle avec un petit air coquin
- Ah bon ? Et pourquoi ?
- Parce que tu as un badge qui ouvre la salle des ops, où il y a les ordinateurs et la cafetière ! Nous, on n’a pas encore reçu les nôtres et, comme il n’y a pas de vol aujourd’hui, il n’y a pas d’équipages pour nous ouvrir !
- Et moi qui pensais que c’était grâce à mon physique avantageux !
Elle rit en me regardant, mais ne cherche pas à entrer dans mon jeu :
- eh non, c’est juste pour ton badge. Tu sais, les filles sont comme ça, toujours intéressées.

Effectivement, quand j’ouvre la porte de la salle des ops, j’entends des cris enthousiastes et je vois une vingtaine de personnes, hommes et femmes, se précipiter à ma suite. Je me fais l’effet du vigile qui vient d’ouvrir la porte de la salle de concert de Tokyo Hotel devant les fans surexcités !
Je prends place devant le premier ordinateur près de la porte et chacun se jette sur quelque-chose, entre les autres ordinateurs, les téléphone, la photocopieuse, la cafetière, le réservoir d’eau. On dirait de petits animaux qu’on avait privés de nourriture pendant toute une journée et qu’on vient de lâcher dans le garde-manger. A peine assis, j’entends frapper à la porte. Personne ne bouge et je suis le plus près, je me lève pour ouvrir à la retardataire, toute surprise de me voir lui ouvrir, alors qu’on ne s’est jamais vus. Elle me remercie et je me retourne vers mon ordinateur : ce n’est déjà plus le mien, une jeune stagiaire s’y est installée, sans remarquer que je n’avais pas fini, car même pas commencé, de m’en servir. Ses copines voient ma mine déconfite et s’en amusent, elles lui font remarquer que j’étais là avant et la future hôtesse de l’air me rend mon siège, en riant et en s’excusant.

Je regarde cette activité frénétique dans cette salle habituellement tranquille et j’ai une pensée pour les paysans d’Afrique qui voient arriver sur leurs cultures un nuage de criquets ! Mais l’ambiance est amicale et je suis plutôt bien entouré. Ces filles ont été notamment sélectionnées sur un physique et une attitude avenants, elles ne sont pas vraiment repoussantes.

Je termine ce que j’ai à faire et je laisse ma place à l’une des stagiaires. Je lance un « au-revoir » général et je croise le regard de celle qui m’avait rejoint dans l’ascenseur. Elle a des yeux sombres magnifiques et me répond avec un beau sourire « merci encore pour la porte, et bonne journée ».

Je retourne dans ma chambre m’occuper pour une partie de l’après-midi, puis je décide d’aller faire un tour au centre-ville. Il y a un grand centre commercial, disons une galerie couverte, sur plusieurs étages, avec des bars, des restaus, des cinémas etc. Je vais faire un ou deux achats et je pense aller boire un verre quelque-part avant d’aller y dîner. Je me trouve une table sur une sorte de terrasse avec d’immenses plantes vertes, un bassin avec des jets d’eau, le tout surplombé d’une immense verrière aux formes torturées. Je commande un cocktail et je reprends mon roman où je l’avais laissé quelques heures plus tôt, alternant la lecture et la contemplation distraite de la foule.

Soudain, ma contemplation se fait moins distraite quand mon regard est attiré par une charmante silhouette qui avance d’un pas décidé et s’apprête à passer devant moi sans ralentir. Je lance un « hello ! » qui lui fait tourner la tête dans ma direction. Elle croise mon regard et son visage s’illumine d’un magnifique sourire. « Hey, qu’est-ce que tu fais là ?
- et bien tu vois, je prends le soleil en buvant un verre. Et toi ?
- J’allais au cinéma, Je voulais voir My Own Love Song, un truc de fille, je pense.
- Ah ok, tu vas dans les salles juste à côté, alors ?
- Ben oui, il y a en plusieurs, tu y es déjà allé ?
- Ah ben, tu sais, ta langue, pour moi, c’est comme le chinois alors ça ne me motive pas trop trop !
- Mais attends, ils sont en anglais la plupart. Ils les passent en VO, ils ne sont pas doublés, ils sont juste sous-titrés. Tu veux venir en voir un avec moi ?
Je ne sais pas du tout de quel film il s’agit, mais elle a un sourire et un regard auxquels on ne refuse pas ce genre de propositions. J’avale donc d’un trait ce qui reste de mon jus de fruit et je la rejoins. Elle me montre l’affiche et je vois juste Forrest Whitaker, un acteur que j’aime bien, alors pourquoi pas ? Elle commande deux tickets et discute une minute avec le guichetier, elle a l’air surprise et se penche en arrière pour regarder une affiche, qui présente les horaires me semble-t’il.
- ah ok, je me suis trompée pour l’heure, on a encore 30 mn, tu veux aller boire un verre ? J’ai foncé pour venir après le boulot et du coup, j’ai soif !
- D’accord, si je te l’offre
Elle accepte et on retourne s’asseoir un moment pour discuter. Je me rends compte qu’on ne se connaît pas du tout, on ne connaît même pas nos prénoms !
- Sofia !
- Enchanté alors !
Je lui serre la main et me présente à mon tour. Elle est très bavarde et a toujours quelque-chose à dire, elle est d’un enthousiasme communicatif et je suis bien content de l’avoir rencontrée. Elle me parle un peu d’elle, me pose des questions sur moi et 30 mn après, on a l’impression de se connaître depuis des semaines. On finit nos verres et on se dirige vers le cinéma ; Apparemment, il n’y aura pas grand monde, les gens se dirigent toujours vers Avatar en priorité. Effectivement, notre salle est déserte pour le moment. Elle me montre 2 sièges à l’arrière de la salle :
- ça te convient là ? J’aime bien parce qu’il n’y a personne pour nous embêter avec des pop-corn ou des coups de pieds dans le dossier
Ce sont deux sièges complètement isolé, ce que ne comprends pas tout de suite. Ils ont au centre de la salle, mais c’est comme si on avait retiré tous les sièges de la rangée du fond, sauf ceux-là. Il y en a une autre paire à l’opposé de la rangée.
- c’est pour pouvoir mettre des fauteuils roulants ! m’explique-t’elle
- Ah mais oui, d’accord ! Ah c’est bien ça. Et comme ça, ils n’ont pas de marches à descendre. Malin.
Les bandes annonces défilent, on continue notre discussion. La salle se remplit sporadiquement, les gens s’installent de préférence loin les uns des autres.

La lumière finit par s’éteindre et je me sens de bonne humeur, je suis content d’être là. J’ai envie de la remercier et, mu par un élan impulsif, je me penche vers sa joue en lui disant « merci » pour lui déposer une bise amicale. Elle ne comprend pas immédiatement et se tourne au moment ou j’arrive à sa hauteur, me prenant au dépourvu : j’atterris plus près de sa bouche que ce que j’avais envisagé, mais elle ne semble pas offusquée. Elle reçoit le bisou avec un sourire et me regarde un instant. Elle me répond « my pleasure » et s’avance vers moi avant que j’aie le temps de vraiment comprendre et pose ses lèvres contre les miennes. Elle se recule et me regarde avec un petit battement de cils mutins, comme savent le faire les filles sûres de leur charme. Mon cœur se bloque dans ma gorge, j’ai été rattrapé par mon propre petit jeu de séduction !
Je me sens comme un collégien devant sa première aventure, avec le cœur qui bat, à ne pas savoir si je dois oser aller plus loin ou s’il vaut mieux que je m’arrête. La Nature fait bien les choses, en général, mais il y un défaut de fabrication sur l’homme. Et je ne dis pas sur l’Homme, avec un H majuscule, qui engloberait tous les êtres humains. Non, c’est sur les mâles uniquement qu’il y a ce souci : on a deux organes qui ont été reliés selon le principe des vases communicants par erreur. La bite et le cerveau communiquent et, quand c’est le cas dans un système hydraulique, on met des clapets de priorité, pour n’alimenter que le système prioritaire en cas de baisse de pression. Mais sur les mecs, le clapet doit être monté à l’envers : si le corps caverneux se remplit sous le coup de l’excitation, il pompe tout le sang dévolu au cerveau et il ne réfléchit plus !

Elle s’est déjà adossée à son fauteuil, avec un petit sourire content d’elle, savourant probablement ma perplexité. Guidé par le seul organe de réflexion encore alimenté en oxygène, je me penche vers elle pour renouveler ce baiser. J’ai le temps de voir son regard se tourner vers moi juste avant d’être plongé dans le noir, entre le logo de la compagnie de cinéma et le début du générique. Je suis vraiment un collégien ! Pas possible d’interpréter ce regard si court, je ne sais pas si elle va bien le prendre ou me rejeter en disant « eh là mon coco, c’était juste un bisou amical, tu peux te la mettre sur l’oreille ! ».
Mais avant d’avoir eu le temps de m’auto-flageller, je sens sa bouche se poser dans le noir sur la mienne. Elle est douce et humide, je la sens s’ouvrir et pointer sa langue à la recherche de la mienne. C’est un baiser hésitant et doux, nos langues se frôlent en douceur, pendant que nos lèvres glissent les unes sur les autres. Elle sait que je suis marié, je sais qu’elle a un copain, on est donc tous les deux un peu bridé par notre mauvaise conscience. Mais on est aussi animés par nos hormones qui sont au top, sans doute du fait de notre abstinence de plusieurs semaines tous les deux. Ce n’est pas de l’amour, c’est une attirance physique, animale.

Je pose ma main sur sa joue, pour accompagner ce baiser délicieux, elle pose sa main sur la mienne en signe d’acceptation. Je saisis délicatement sa lèvre inférieure entre les miennes et je la suce doucement, tandis que ma langue l’effleure à l’intérieur de ma bouche. Puis je la relâche et reçois sa langue, que je suce avec envie. On retrouve toutes les pratiques du baiser sensuel qu’on délaisse un peu quand on est en couple depuis longtemps.

Elle a gardé sa jupe de ce matin, ou bien elle est très similaire, mais elle a maintenant un chemisier ouvert sur un joli décolleté. Ma main glisse doucement de sa joue vers son cou et se faufile sous l’ouverture du vêtement, à la recherche des limites de l’accessible. Je joue un peu le long de sa bretelle et suis le dessin du bonnet sur son petit sein. Elle frissonne et ma laisse faire. On est à l’abri des regards à l’arrière de la salle, sans aucun voisin et on a le temps, le film vient de commencer. Il ne faudra pas me demander l’histoire, moi je préfère la 3D anatomique, sans lunettes, uniquement en braille.

Je délaisse sa bouche pour guider ma main vers les boutons de son chemisier, elle me regarde faire, sans intervenir. Je les détache doucement, savourant l’instant. Je glisse alors à nouveau ma main dans sa chaude intimité, pour empaumer complètement son globe, pendant que mon pouce refait le chemin du bonnet de dentelle en se faufilant à l’intérieur cette fois. Je sens distinctement le bord de son aréole et je repasse plusieurs fois, jusqu’à sentir le contact avec son mamelon durci. Je joue avec un instant, puis remonte vers la bretelle sous laquelle je passe mes doigts pour la repousser autant que possible. Je reviens vers la dentelle du bonnet et je la tire doucement, retirant la protection du mamelon dressé pour le livrer à la succion de ma bouche.

Elle se laisse aller en arrière avec un soupir discret, la bouche ouverte. Ma bouche s’occupant de son sein, ma main explore le reste de son corps. Je la pose sur sa jambe et je remonte sur ses bas, mes doigts glissant sur l’intérieur de sa jambe. Juste après avoir franchi la limite de sa jupe, je sens le synthétique qui gaine sa jolie jambe changer de texture et je réalise qu’elle porte des DIM UP, ou l’équivalent, en tout cas. J’adore cette idée, bien que je ne puisse pas m’en régaler la vue pour le moment. Mes doigts rencontrent la fraîcheur de sa peau, contraste délicieux avec l’artificiel du synthétique. Ma main toute entière plonge au creux de ses jambes, qu’elle entrouvre au mieux pour me faciliter l’accès. Mon pouce et mon index arrivent aussitôt au contact de sa petite culotte, que je caresse délicatement de mon pouce, au niveau de son clitoris.
Je me redresse pour venir lui prendre la bouche à nouveau, tout en la caressant entre les cuisses. Elle pose sa jambe la plus près de moi sur l’accoudoir entre nous, m’indiquant ainsi sa volonté d’aller encore plus loin. Je fais glisser mon index sous le tissu de sa culotte, au niveau de l’aine, et je parcoure toute l’ouverture accessible. Sa peau est très douce et j’ai l’impression qu’elle est épilée, quand mon doigt redescend vers ses lèvres intimes. Elle a une peau d’abricot à cet endroit et je me délecte d’y passer et repasser mon doigt, en soulevant le tissu qui la protège.

Finalement, je remonte ma main sur son ventre et la pose bien à plat, les doigts vers le bas. Je la laisse descendre sous l’élastique de sa culotte que j’entraîne avec moi dans le même mouvement. Elle se soulève un peu pour permettre à sa culotte de glisser légèrement, ce qui me donne un libre accès à sa petite chatte bien lisse. Je fais passer mon majeur le plus loin possible sous elle et je le replie doucement entre ses lèvres intimes. Celles-ci s’ouvrent immédiatement, me livrant le passage vers la moiteur de son intimité. Je réalise alors qu’il s’agit de bien plus que de la moiteur. Elle est parfaitement lubrifiée et, si on en avait la possibilité, je pourrais la pénétrer immédiatement avec un préservatif sans rencontrer aucune résistance.

J’y glisse tout d’abord un doigt, la fouillant doucement, m’immisçant en elle, puis me retirant pour aller flatter toute la longueur de son sillon jusqu’à son petit bourgeon sur lequel je m’attarde, avant de replonger en elle un peu plus profondément. Un deuxième doigt rejoint le premier et je m’introduis franchement cette fois, le majeur et l’annulaire enfoncés profondément dans sa chatte, alors que l’index et l’auriculaire se rejoignent juste sur sa petite rosette, qui commence à bénéficier elle aussi de l’humidité ambiante. Je la soulève presque de mes deux doigts, pressant au passage son clitoris et stimulant la paroi interne de son vagin. Elle a le souffle coupé, elle semble adorer ce massage intime que je poursuis en mordillant son sein presque entièrement découvert. Brutalement, elle se redresse et m’arrache la main de ses entrailles, elle reste pliée en deux en me bloquant le poignet. Elle finit par reprendre ses esprits et me dire qu’elle a préféré m’arrêter car elle avait peur de ne pas pouvoir s’empêcher de crier sa jouissance si elle me laissait l’amener jusqu’à l’orgasme! Voilà qui me fait plaisir, même si ça me laisse un peu sur la béquille. Mais je sens que ce n’est que partie remise, profitons alors de chaque moment de plaisir !

On laisse tous les deux redescendre la pression en contemplant d’un œil absent l’écran 16/9. Je passe ma main sur sa jambe, sur son sein, je l’embrasse doucement, sans chercher à rallumer la machine. Elle s’approche de mon oreille et me chuchote « mon appartement n’est pas loin, ne t’inquiète pas, tu auras ce que tu désires après le film » et elle me fait un petit bisou sur la joue. Bien, voilà qui est prometteur !
- super ! Euh… sinon, t’as vraiment envie de voir la fin de ce film, là ? Parce qu’il est quand même pas terrible, non ? Et puis, on n’a même pas vu le début…
Elle me sourit avec un air malicieux
- tu es un petit gourmand, toi. Mais je crois que tu as raison, il n’est pas terrible ce film, allons-y !

On attrape tous les deux nos manteaux et on sort discrètement par une porte du fond de la salle. On marche côte à côte sans se tenir la main, car il est clair pour tous les deux que nous ne sommes pas un couple. On est juste deux animaux qui ont envie d’un coït là maintenant, tout de suite ! On marche assez rapidement et on atteint son appartement en moins d’un quart d’heure. Elle me fait monter au 3ème étage, c’est un petit appartement, mais très joli, visiblement habité par une fille : tout y est soigneusement rangé, bien décoré, avec des bougies un peu partout. Je ne pense pas qu’elle vive beaucoup avec son copain dans cet appartement.

Elle me propose à boire, puis se remet à discuter, à me poser des questions, à me raconter sa vie. Je sens qu’elle est un peu gênée et qu’elle ne sait pas comment reprendre ce qu’on a laissé en plan tout à l’heure. Je suis habituellement patient et relativement gentleman, mais je pense que là, je dois faire quelque-chose pour l’aider. Je pose mon verre après l’avoir vidé d’un trait, je la regarde dans les yeux et la prends par les deux bras et je lui dis, avec mon plus beau sourire :
- c’est très intéressant tout ce que tu me racontes, mais on n’est pas venu là pour ça !
Je lui pose ma bouche sur la sienne et sa réponse est immédiate. Je lui relâche les bras, qu’elle me passe autour du cou. Je lui enserre la taille et la pousse à reculons vers la porte que j’imagine être celle de la chambre. Elle se laisse repousser, j’ai dû viser juste. On bute sur le lit, je n’allume pas la lumière. Je la pousse un peu plus, elle bascule en arrière et recule sur le lit en s’aidant des coudes. Je me débarrasse rapidement de mon pull et je viens m’allonger sur elle, pour la couvrir de baisers.
Je glisse mes mains sous sa toute petite jupe et je la débarrasse de cette entrave de dentelle, qui me fait barrage depuis un moment. Elle sourit. Je pense qu’elle considère elle aussi qu’on s’est suffisamment consacré aux préliminaires pour s’affranchir des politesses d’usage. Notre histoire est allée incroyablement vite, en tout cas en ce qui concerne mes références habituelles. On s’est rencontré le matin, et me voilà en train de jeter sa petite culotte humide dans sa chambre, afin de goûter tout à loisir le nectar de son délicieux abricot. C’est sans doute parce que les enjeux sont clairs : il n’y en a pas d’autres que celui de se faire plaisir mutuellement.

Je lui laisse ses bas, bien que je préfère le contact de la peau. Il y a dans sa façon de s’offrir une sorte d’urgence, gardant ses vêtements mais me laissant lui retirer sa culotte pour la lécher immédiatement à l’endroit le plus intime, que je trouve d’un fort érotisme. Je profite donc de cette situation rare, concentrant mes caresses et mes baisers sur la zone entre le haut de ses DIM UP et la ceinture de sa jupe. L’endroit est étroit, et je rétrécis encore ma zone d’exploration à sa fente soyeuse, véritable appel au cunnilingus. Je baise ses lèvres comme s’il s’agissait de sa bouche, j’y introduis ma langue de même, découvrant le goût délicieux de son sexe. Elle pousse un petit gémissement de contentement puis s’allonge, me faisant comprendre qu’elle s’était installée confortablement et qu’elle ne souffrait pas le la position, qu’elle pouvait tenir longtemps. Elle ouvre un peu plus les jambes, dans un souci complètement désintéressé de me donner plus d’espace pour respirer.

Son sexe s’ouvre un peu plus, je pose mes doigts négligemment sur la commissure inférieure de ses lèvres, comme prêts à s’introduire. Mais c’est ma langue et mes lèvres qui l’honorent, lentement, savamment, reproduisant les gestes de nos baisers dans la salle de cinéma, cette fois sur ses lèvres intimes. Je pince ses lèvres entre les miennes, je les aspire, les suce, une par une, puis les deux ensemble, je les sépare en appliquant entre elles ma langue dans toute sa largeur, je frôle plusieurs fois son petit bouton protégé mais je l’évite, je repositionne ma main, faisant entrer un doigt un peu plus loin, comme par mégarde, comme si je n’y attachais pas d’importance. Ma langue le rejoint et je lèche tout autour de mon index le nectar qui s’écoule doucement. Je me retire un instant, pour laisser le passage à ma main : mon majeur se faufile entre les lèvres humides, tandis que l’index et l’auriculaire prennent chacun une lèvre en la pressant contre le majeur. Je fais coulisser l’ensemble plusieurs fois jusqu’à son clitoris, rajoutant de la salive à l’aide de ma langue tout le long du parcours.
Mon autre main se glisse subrepticement dans l’ouverture de son chemisier, et je caresse ses petits seins alternativement. Ma main frôle la peau de sa gorge, effleure les courbes d’un sein, puis s’insinue entre le bonnet légèrement relâché et la chair sous laquelle le cœur bat la chamade. Je la regarde savourer mes attouchements, les yeux fermés. Je quitte un instant sa peau pour ouvrir totalement son chemisier, elle ouvre les yeux et se redresse avec un petit air malicieux. Moi qui croyais le tenir en mon pouvoir, elle veut me montrer qu’il n’en est rien et qu’elle sait reprendre le contrôle. Elle enlève elle-même sa chemise, dévoilant un corps sublime, puis avance ses mains vers moi pour m’aider à me débarrasser de mes vêtements. Elle commence à soulever mon pull et je finis le mouvement. Elle profite de ce que le pull la masque entièrement à mon regard pour s’attaquer au bouton de mon jean. Je suis déjà torse nu, je m’allonge sur le dos pour enlever moi-même la toile Denim qui me prive de ses caresses. Alors qu’elle se redresse vers moi, je l’attire doucement pour l’embrasser à nouveau et lui dégrafer son soutien-gorge d’une main. Je sens ses lèvres se plisser dans un sourire, probablement surprise de ma dextérité pourtant légendaire dans ce domaine ! Les petits bonnets de dentelle fine tombe le long de ses bras, je saisis doucement sa jolie poitrine. On dirait une fille du Crazy Horse, elle a ce genre de poitrine : pas trop grosse, ni trop petite. Sa peau est douce et je la caresse un instant en l’embrassant.

Je n’ai pas allumé la lumière en entrant dans la chambre, mais je la vois se pencher vers mon boxer avec un air gourmand. Elle pose sa bouche sur la bosse qui déforme le sous-vêtement et prend mon pénis entre ses lèvres, à travers le tissu. Elle joue avec moi un moment, mimant la fellation, rendue impossible par le coton du boxer. Enfin, elle passe un doigt sous l’élastique de chaque côté de mon bassin et soulève délicatement le tissu, en prenant bien soin de ne pas simplement le tirer vers le bas. Elle sait déjà que mon gland est découvert, sans doute, et que, si elle tire vers le bas, elle rencontrera une douloureuse résistance de ma part. Elle découvre donc calmement l’objet de son désir, puis abaisse mon caleçon. Je présente mon sexe à une inconnue pour la première fois depuis un temps infini, je sens la fraîcheur envahir mon pubis et la chaleur envahir mon phallus. Elle me débarrasse du sous-vêtement devenu inutile et je savoure ma nudité devant cette magnifique jeune fille.

Elle saisit ma verge délicatement dans sa main et y dépose un petit baiser, puis un autre, couvrant ainsi toute la longueur de mon sexe. Ses seuls doigts posés sur ma peau ultra-sensible sont déjà un plaisir, mais sa bouche qui me parcourt est un bonheur. Je me suis allongé à mon tour pour profiter de ce moment, quand je perçois une sensation différente sur mon pénis : plus précise, légèrement humide, concentrant le plaisir sur une zone plus étroite qui remonte le long de ma verge. Sa langue me parcourt, distillant chaleur, puis fraîcheur lorsqu’elle s’éloigne, douceur quand elle revient. Toute ma bite est parcourue par les caresses linguales de la petite stagiaire. Finalement, elle semble s’intéresser plus précisément à ma toute extrémité, mon gland décalotté est l’objet de toutes ses attentions. Je sens une douce chaleur se poser sur celui-ci, puis descendre lentement sur tout mon sexe : elle m’a pris dans sa bouche et commence à avaler mon phallus dressé de plaisir. Elle coulisse plusieurs fois de haut en bas, lubrifiant l’organe de sa salive.
J’entends un bruit de papier métallisé qu’on froisse, et qu’on déchire, pendant qu’elle semble me délaisser un instant. Elle m’avait comprendre que j’aurais tout ce que je voulais une fois chez elle et qu’il n’était pas besoin de se mettre à la recherche de préservatifs avant d’y aller. Je suppose qu’elle en utilise avec son copain et qu’ils accessibles quelque-part dans la chambre. En tout cas, je ne l’ai pas vue s’en saisir, mais je sens le contact du latex sur mon sexe, puis de ses mains qui le déroulent sur moi. Alors que je pense qu’elle va me libérer pour que je puisse la prendre sur le lit, elle passe ses mains sur ma poitrine et m’enjambe, pour se placer à cheval sur moi. Je pose ses mains sur ses hanches pour l’accompagner. Nouvelle surprise, elle n’a plus sa jupe, mais uniquement ses DIM UP ! Elle se penche un peu en posant ses bras de chaque côté de ma tête, pour placer son bassin au-dessus du mien. Je sens qu’elle va venir s’empaler, que le moment en proche.

Mais elle joue avec moi, nos sexes se rencontrent, puis s’éloignent, elle pose son sexe sur le mien et fait semblant de vouloir s’y embrocher, mais elle glisse à côté et je sens ses lèvres humides contre mes testicules. Elle remonte et semble vouloir tenter une nouvelle manœuvre, mais, une fois qu’elle est en position, que je sens parfaitement son sexe s’ouvrir pour me recevoir, elle se redresse encore une fois et me laisse sur ma faim. Je finis pas comprendre son petit manège et je la vois s’en amuser. Elle veut garder le contrôle, décider de ce que je lui ferai et quand. Alors je capitule et je la laisse faire, me disant qu’elle finira par s’empaler d’elle-même. Quand elle réalise qu’elle est en train de me perdre, elle s’enfonce d’un coup, pour redevenir le maître du jeu. En un instant, je suis en elle, je la possède enfin, mon pénis est dressé dans le sexe moite de cette jeune femme magnifique qui se cambre de plaisir. Je reprends ses seins dans mes mains, je les fais descendre le long de son jeune corps superbe et soyeux tandis qu’elle entame une danse sensuelle sur mon pieu de chair. Elle prend mes mains pour les retenir sur sa poitrine, tout en ondulant le bassin pour me rendre fou de plaisir.

Elle est tellement légère que je n’ai pas de mal à lui inculquer quelques mouvements moi aussi, un peu vifs et profonds, rapides ou lents, je veux moi aussi donner mon rythme à nos ébats. Elle l’accepte et commence à se laisser faire, la bouche légèrement ouverte et les yeux fermés. Je passe mes mains sous ses fesses pour la guider, je la remonte et la redescends sur mon braquemart, lui écartant les fesses quand elle est au plus haut, pour lui faire sentir sa vulnérabilité. Alors qu’elle s’attend à ce que je la pénètre à nouveau profondément, je me retire d’elle une fois que seul mon gland se trouve entre ses lèvres intimes. Elle pousse un petit gémissement de frustration, mais comprend que je veux changer de position et se laisse allonger sur le dos.

Je pose mes mains de chaque côté de sa tête et je présente mon dard luisant de sa mouille à nouveau à l’entrée de son antre de plaisir. Elle ouvre grand ses jambes pour reprendre notre coït, mais je glisse sur elle comme par erreur et je pose mes testicules contre son sexe inondé. Elle vient de comprendre que les rôles s’étaient inversés et que c’était à moi de jouer avec elle. C’est bien plus facile quand on est l’organisateur de sa propre frustration. J’ai moi aussi très envie de la pénétrer, de rejoindre sa douce moiteur, mais je m’en prive volontairement, je caresse ses lèvres et son clitoris de mon sexe avide de nouvelles sensations. Quand je sens qu’elle n’en peut plus, je la satisfais en la pénétrant rapidement et profondément, je lui relève les jambes pour aller chercher son plaisir tout au fond de son être. Je la pilonne quelques instants de cette façon, lui relevant les jambes au maximum contre sa poitrine.

Après un instant, je passe ses jambes devant moi, me redressant légèrement pour permettre la manœuvre. J’ai le temps de voir mon sexe englouti entre ses cuisses, ne laissant dépasser que la collerette du préservatif. Je bascule une de ses jambes devant moi, sur le côté et je m’assois à califourchon sur celle restée sur le lit. Nos jambes sont en ciseau, mes 2 jambes encadrant son bassin, les 2 siennes encadrant l’une de mes jambes. J’adore cette position : je sens son sexe contre le mien, contre mon bassin, ses jambes contre la mienne, je serre son ventre et son dos contre mes jambes, je peux caresser ses seins d’une main, la regarder se tordre de plaisir, caresser son dos, ses jolies fesses et leur sillon de l’autre main. Elle ne ressent aucun poids sur elle, juste du plaisir, diffus, la prenant partout à la fois, je peux profiter de tous mes sens, mêlant la vue, l’odorat et le toucher, le tout avec une pénétration profonde.

Je dépose de la salive sur 2 doigts de ma main gauche que je passe ensuite le long de son sillon fessier. Elle a des fesses magnifiques, toutes petites, délicieuses. Notre position me permet de lui soulever une jambe pour m’ouvrir son accès à cette zone sensible. Quand elle sent mes doigts humides glisser sans résistance vers son petit trou, je sens une légère crispation de sa jambe et j’ai l’impression qu’elle n’est pas très adepte de ce genre de pratiques. Je ne veux pas la brusquer et ne fais que passer plusieurs fois sur son délicieux orifice qui reste fermé, mais qui se détend peu à peu. Elle semble découvrir qu’on peut prendre du plaisir de cette façon, une fois que la confiance s’est installée en douceur.

Le temps s’écoule sans qu’on y prenne garde. On passe doucement, naturellement, d’une position à une autre, pour explorer toutes les possibilités de plaisir que nous offrent nos deux corps. Des jambes en ciseau, je la fais pivoter un peu plus pour  m’installer dans son dos. Je caresse ses hanches, son ventre et ses seins, alors que l’amplitude de mes pénétrations se trouve réduite de par notre position. Je sens ses fesses posées contre mon pubis et je l’embrasse dans le cou. Notre peau devient moite, après de longues minutes d’exercices amoureux. Du coin de l’œil, j’aperçois l’heure sur son réveil et je me demande depuis quand on s’étreint de la sorte. Il y a maintenant plus d’une heure trente qu’on est dans sa chambre, en tout cas. Je commence à réaliser mes limites et je suis pris d’une angoisse, car je n’ai pas encore réussi à la faire jouir. Le plaisir de ma partenaire, qui se tord, s’accroche aux draps, gémit ou crie, qui se contracte autour de mon pénis est ma récompense ultime, juste avant ma propre jouissance. Je suis arrivé très facilement à approcher cet état au cinéma et là, alors que le plaisir me semble intense et partagé, je n’y arrive pas.

J’éloigne un peu ma poitrine de son dos, pour la regarder et me rafraîchir un peu. Je regarde ses courbes magnifiques et régulières. Elle a le visage sous son bras, me laissant limer son corps en soupirant doucement. Je m’approche de son oreille, pour lui avouer la situation : « je suis désolé, je n’arrive pas à te faire jouir ». Elle se retourne brutalement, comme surprise de ma révélation, avec un grand sourire : « j’ai déjà joui trois fois ! »
- quoi ?! et tu ne m’as rien dit, tu m’as privé de ça ?
- Je ne voulais pas que tu t’arrêtes
Cette fille est incroyable : sous ses airs ingénus, elle a toujours eu le contrôle. Le problème, c’est qu’à se retenir trop longtemps, il est ensuite difficile de retrouver un nouvel état d’excitation suffisant pour un bel orgasme, quand on est un homme. Je bande toujours et je pourrais continuer à lui procurer un certain plaisir, mais on ne pourrait pas revenir à ce qu’on a connu il y a une heure.

- Bon, alors maintenant c’est à moi de trouver mon plaisir. Et je vais te punir un peu, par la même occasion, lui dis-je avec un air canaille.

Je me retire de son sexe moite de plaisir et je la repositionne en PLS, comme on dit en secourisme : Position Latérale de Sécurité. Je vais juste développer une petite variante qui n’a pas grand-chose à voir avec le secourisme. Sa position devient une Position Latérale de Sodomie ! Je reprends de la salive sur mes doigts et retourne caresser son sillon secret. Elle comprend tout de suite, je suppose, mais semble prête à tenter l’expérience. Je suis sûr que ce sera une première fois, étant donné sa réaction précédente. De plus, elle n’a qu’une vingtaine d’années, il y a toutes les chances qu’elle n’ait encore jamais pratiqué ça. Elle est déjà détendue et je peux introduire mon majeur très vite. Je l’enfonce profondément, elle se cambre et ouvre la bouche dans un râle. Elle ne semble pas souffrir, c’est donc un râle de plaisir. Je reste un instant sans bouger trop, pour habituer ses chairs. Je déplace mon doigt latéralement, pour élargir doucement son petit orifice. Elle écrase l’oreiller entre ses doigts et je sens une nouvelle vigueur s’emparer de mon membre.

Je jette d’ailleurs un œil sur lui, et je constate qu’il est vraiment temps de lui changer sa protection : le préservatif a souffert de tous ces efforts, il semble un peu distendu ! J’en place donc un nouveau sur moi, après lui avoir demandé où en trouver. Ses efforts pour se déplacer et atteindre la boîte près du lit oeuvrent dans mon sens, obligeant mon doigt à forcer doucement sur sa petite rondelle toute neuve. Je lui replie un peu sa jambe supérieure, jusqu’à sentir la pression réduire sur mon majeur, puis je présente mon index au même endroit, et je force doucement son entrée. Celle-ci s’ouvre sans effort, lentement. Je suis patient, pour ne pas lui faire mal, mais la progression se fait naturellement. Elle inspire plus fort et je pose ma main droite juste sous son sein : en plus de plaisir que j’ai à empaumer à nouveau ce globe magnifique, je sens distinctement les pulsations de son cœur augmenter notablement. Je lui pince doucement le téton et je sais qu’elle va à nouveau accéder au plaisir. Cette nouvelle me redonne une nouvelle motivation et je me place derrière elle, sans retirer mes doigts. Je la fais mettre à genoux, la tête dans l’oreiller, pour me présenter ses jolies fesses bien ouvertes. Elle est offerte, totalement livrée à son amant d’un jour. J’imagine le nombre de passagers qui va fantasmer en la regardant les servir dans son petit uniforme, avec son physique de top modèle. Mais aucun d’eux ne verra jamais cette scène autrement qu’en rêve. De toute façon, plus personne ne la prendra de la sorte pour la première fois.

Je retire mes doigts pour laisser la place à mon chibre sous pression. Je place mon gland entre ses adorables fesses et je me redresse un peu, pour placer mon poids dans l’axe de mon pieu de chair, qui va l’embrocher. Elle me sent arriver en elle, se cambre plus pour résister à la poussée, ce qui a pour effet de lui ouvrir un peu plus l’anus, dans lequel je m’introduis en douceur. Elle crie, mais c’est un cri mêlant souffrance et plaisir. N’en étant pas totalement sûr, je me penche sur elle et je lui demande si ça va, lui prenant un sein au passage. Elle me murmure un « ouiiiii » qui ne laisse pas de place au doute. Je la caresse sans trop bouger, pour ne pas lui faire mal. C’est elle qui reprend les mouvements, doucement. Elle a envie de me sentir la pénétrer à nouveau. Je la laisse nous guider, donner le rythme qui correspond à son envie. Je suis de plus en plus excité et ma main sur son sexe m’indique qu’il en est de même pour elle. Les mouvements sont lents, mais de plus en plus amples. La première douleur passée, elle a envie de se sentir véritablement ramonée, ce que j’accomplis avec plaisir. J’oscille entre la tenir fermement de mes deux mains sur les hanches pour bien la pénétrer profondément, et passer mon bras sous elle pour pouvoir introduire deux doigts dans le sexe que je viens de quitter, simulant une double pénétration.

C’est dans ce dernier mouvement je suis submergé par un orgasme terrible. Tous mes muscles semblent se contracter en même temps. Mon bras plongé sous elle l’écrase contre mon pubis tandis que mes doigts plongent au plus profond de son sexe, mes abdos se contractent à me faire mal, je la pénètre brutalement de façon saccadée en criant ma jouissance, je n’ai plus assez d’appui pour lui transmettre toute cette énergie qui remonte en moi, je suis secoué par un orgasme sublime. Elle sent mon sperme jaillir de moi le long de ma colonne de chair, giclant en elle par saccades. Elle ressent chaque giclée le long de son périnée, de son anus, puis en elle, ce qui est nouveau pour elle. Son cri est un miaulement félin, entre plainte et plaisir. Elle semble ruer pour m’éjecter d’elle, mais je pense que c’est plutôt pour se faire pilonner une dernière fois profondément, avec de nous laisser nous effondrer l’un sur l’autre.

Je reste un moment en elle, avant de me retirer lentement. Elle ne bouge pas, je ne dis rien et je me recouche sur elle. On ne peut plus bouger, la fatigue nous est tombée dessus, dès que nos hormones ont fui nos corps.  Ce volcan n’aura pas fait que des malheureux, finalement.


Je n'ai aucune photo de ma collègue alors j'en mets quelques-unes de Maëlie
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