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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par frenchy
#2807530
Impressionnant de lire ce récit, tout est dans le détail au point qu'il n'y a qu'à lire pour carrément imaginer toutes ces scènes de la rencontre au cinéma pour débarquer dans l'appartement enfin bref , un réel plaisir @Askelletbelle :D
Askelletbelle a liké
#2807776
Et bien Wahou !!!! Et un grand merci pour ces beaux partages !!!
Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu un si beau récit sur le forum. J’aime ces descriptions qui nous plongent dans l’action et lorsque l’on peut imaginer et vivre les scènes. L’écriture est superbe. On est transporté ! Avec les émotions ressenties c’est sublime !
Peut être un peu moins fan du second récit car non candau et je reste extrêmement excité par la partie candau. Cela dit, la lecture est toute aussi appréciable et excitante.
Et que dire de la miss qui est juste sublime ! Les photos sont superbes ! Les tenues et les situations des photos sont de toutes beautés.
Je suis quand même impressionné par la combinaison de cette belle plume et ce talent de photographe.
Alors oui merci ! Et hâte de suivre la suite de vos aventures ! :x
Askelletbelle a liké
#2807777
Je suis d'accord, le second récit ne concernait que moi et ce n'est pas pareil. Considérons que c'est un bonus, j'avais envie de raconter cet épisode. Mais revenons à notre sujet principal maintenant:

Vacances en Grèce
Les semaines qui ont suivies, nous faisions l’amour comme des fous, en repensant à cette aventure. Je ne pouvais plus m’empêcher de lui rappeler cette fameuse nuit, à chaque fois que je la caressais, que je la pénétrais. Je voulais qu’elle retrouve ces sensations pour augmenter son plaisir, ce qui ne manquait pas d’arriver. Mais on ne parlait pas de renouveler l’expérience. En dehors de nos moments câlins, c’est comme si cette histoire n’avait pas existée. Elle était réservée à nos fantasmes.

En revanche, pendant que nous faisions l’amour, j’aimais lui demander si elle aimerait recommencer, avec un nouvel amant. Sa réponse m’électrisait à chaque fois : « ah ouiii, c’était tellement bon… ». Je caressais alors son sexe ruisselant de désir en lui demandant de s’imaginer à nouveau avec un autre à qui elle allait s’offrir, qui allait la pénétrer et elle ne répondait pas, les yeux fermés, les jambes ouvertes aux caresses légères de mes doigts sur son sillon moite de désir. « Imagine que ce soit lui qui soit sur toi maintenant. C’est la première fois que tu es nue devant lui, il va te pénétrer de ses doigts ». J’enfonçais alors doucement un doigt en elle, me penchant sur elle à la recherche de sa bouche. Notre baiser était sensuel, nos langues se frottaient lentement l’une à l’autre, pendant que mes doigts prenaient possession de sa petite chatte humide. Je sais qu’elle se voyait avec un amant inconnu, seule avec lui, sans moi. C’était l’expérience de la nouveauté, d’un nouveau corps à découvrir, d’un nouveau sexe qui la pénètre qui la rendait folle d’excitation. Cette décharge d’adrénaline qu’on prend quand on fait l’amour pour la première fois avec quelqu’un et qui s’estompe peu à peu avec le temps, et qui n’a rien à voir avec l’Amour mais tout avec le sexe. Jouer à ce petit jeu de rôle nous permettait de retrouver cette sensation, mais c’était la dopamine du drogué : rien ne vaut une vraie dose.

Cette année là, nous avions choisi de partir passer une petite semaine tranquille en Grèce, dans une petite île, à l’hôtel. Pas de tourisme effréné pour tout découvrir, juste du repos et du temps passé ensemble, rien que pour nous. Je savais aussi que c’était ici qu’elle avait rencontré un jour un beau grec avec qui elle avait eu une aventure, dont elle ne m’avait malheureusement révélé aucun détail. Elle était encore bien jeune et il n’y aurait sans doute rien eu de bien extraordinaire, mais ça m’aurait plu de pouvoir l’imaginer avec lui.

L’avantage de la Grèce, c’est que ce n’est pas loin, en quelques heures, on est à destination, on découvre notre chambre et on peut tout de suite aller profiter de la plage. Maëlie met un joli maillot deux pièces, dont les pièces de tissu coloré sont rassemblées par de minces cordelettes, couvrant juste ce qui est nécessaire, mais laissant imaginer sans peine le corps qu’il recouvre. On se dirige vers la plage et je surprends rapidement le regard d’hommes sur ce corps svelte, imaginant sans doute qu’ils sont en train de défaire le nœud qui retient le petit soutien-gorge. On place nos serviettes sur le sable, puis on va se baigner, dans l’eau fraîche de la mer Egée. Lorsqu’on remonte, un jeune homme brun est installé non loin de nos serviettes bleues et il nous fait un sourire, à moins qu’il ne soit destiné à Maëlie. Elle lui rend son sourire et s’allonge sur sa serviette, face contre terre, comme si elle l’avait déjà oublié.

Dis-donc, on dirait que tu as toujours du succès en Grèce.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Ben, t’as pas vu ce bel Apollon qui te détaillait du regard ?
- Qui ça ? Lui à côté ? Pfff, non, il me regardait pas, il a juste fait un sourire, faut pas exagérer !
- Moi je pense que tu lui plais, et c’est bien normal, tu es tellement belle.
- Mais arrête, je ne suis pas belle et il ne me regardait pas.
- Ben si, et d’ailleurs, il continue !
Ce n’était pas vrai, mais je pique sa curiosité et elle ne peut pas s’empêcher de tourner la tête vers lui. Au même moment, il se tourne lui aussi et leur regard se croisent, il lui sourit. Elle se retourne immédiatement vers moi, un grand sourire gêné au lèvres :
- Ah c’est malin, il m’a vue maintenant
- Mais puisque je te dis qu’il t’avait vue avant !
- Bon allez arrête, c’est bon maintenant.
Je souris, c’est bien elle ça : elle n’a jamais cru qu’elle était jolie, alors qu’elle est très belle, qu’elle a un corps magnifique. Alors sur une plage, avec un petit maillot comme ça, c’est normal qu’elle attire les regards.
Elle commence à sécher et me demande de lui mettre de l’huile solaire. Il est déjà 17h30, mais le soleil reste fort, il faut faire attention. Je m’approche d’elle et j’attrape la bouteille d’huile solaire. Je m’apprête à en verser, mais je m’avise que son maillot va me gêner. Je tire sur la ficelle dans le dos pour lui défaire.
- Eeeh, qu’est-ce que tu fais ?
- Tu ne veux pas le défaire ? Je te le rattacherai ensuite, mais sinon, ça va te faire une marque, non ?
- Oui, ok.
Je défais également le petit nœud sur sa nuque et je libère sa poitrine, bien qu’elle soit allongée dessus. Le jeune grec est toujours là, allongé sur le ventre lui aussi, mais je vois bien qu’il regarde toujours dans notre direction. Je ne fais rien pour l’en dissuader et je commence à faire couler de l’huile sur le corps de ma belle épouse. Je l’enduis consciencieusement, en prenant bien soin de passer mes mains le long de son buste du côté visible par le jeune homme. Je veux qu’il imagine ses propres mains parcourir ce corps, effleurer le côté de ce sein qu’elle cache, de ses adorables petites fesses et de ses jambes magnifiques. Je pense que c’est d’ailleurs ce qu’il fait ! De mon côté, je savoure par avance notre soirée, sachant que je vais pouvoir lui reparler de lui pendant une délicieuse étreinte. Il est plutôt mignon, les cheveux très bruns, le regard noir avec de longs cils et le corps musclé mais pas trop, juste ce qu’il faut pour faire craquer les filles. Je sais qu’il est tout à fait du goût de Maëlie.

On passe une petite heure sur la plage et on finit par rentrer à l’hôtel. Maëlie se relève légèrement et je me demande si elle ne fait pas un peu exprès de dévoiler juste un peu plus son sein, de façon à émoustiller un peu notre jeune voisin, avant de le demander de rattacher son soutien-gorge. Lui fait toujours semblant de regarder ailleurs, mais il n’en perd visiblement pas une miette. Au moment de partir, je vois Maëlie, qui pense que je ne peux pas la voir, étant deux pas devant elle, se tourner et faire un sourire au jeune grec. Je me tourne alors et je surprends son sourire à lui, charmeur. Il croise mon regard et je lui souris également, pour lui faire comprendre que j’ai bien vu son petit jeu mais que ça ne me dérange pas.

- Il est pas mal, hein ?
- Qui ça ?
Je regarde mon épouse droit dans les yeux, avec un air moqueur
- Arrête, t’es pas crédible ! T’as vu des tas de mecs sur la plage, de qui je pourrais dire ça ?
- Ah, lui ? me répond-elle avec un air coquin et un peu gêné. Oui, c’est vrai qu’il est pas mal.
- T’en ferais bien ton quatre heure, non ?
- Mouais, pourquoi pas ?
C’était un jeu entre nous, mais on savait tous les deux que c’était vrai. On n’a jamais cherché à prétendre l’un ou l’autre que plus personne d’autre ne nous intéressait, que l’autre était unique à nos yeux. C’est vrai pour ce qui est de partager notre vie. Mais sur le plan physique, on reste attiré par d’autres, et le nier ne serait pas sain. Alors pourquoi ne pas en jouer ?

La chambre et à deux pas de la plage et on rentre prendre une petite douche. J’ai bien envie de la prendre à deux, mais je sais que si on fait ça, on restera pour somnoler ensuite et qu’on se lèvera tout vaseux, ce qui déplaît fortement à Maëlie. Autant garder ça pour ce soir, lors de notre retour à la chambre. Je la prends néanmoins dans mes bras pour l’embrasser, j’aime serrer son corps chaud contre moi quand elle vient de s’exposer au soleil. Je passe mes mains sur sa peau et je détache à nouveau son soutien-gorge.
- eh la, bas les pattes ! Si on gardait ça pour ce soir ?
- T’inquiète pas, je suis bien d’accord, mais tu vas bien prendre une douche, non ? Alors c’est pour te donner un coup de main.
Elle me dépose un bisou sur le nez et fait demi-tour vers la douche, pour me signifier qu’on n’ira pas plus loin
- Ce n’est pas la peine de chercher à t’esquiver, je veux juste prendre ma femme dans mes bras, pas la culbuter sur la table du salon. Pas tout de suite, en tout cas…
Disant ça, je la rattrape et l’enserre par derrière, une main sous son sein gauche, l’autre descendant vers son ventre. Elle a un ventre bien plat, ce qui crée un petit espace entre la cordelette de son maillot et son aine. J’y glisse un doigt, puis toute ma main rapidement ensuite.
- Mais tu es infernal ! dit-elle en se libérant avec un sourire.
Mais j’ai eu le temps d’insinuer une phalange entre ses lèvres intimes, pour y découvrir une moiteur révélatrice.
- Hmmm, ça semble t’émoustiller le soleil grec. A moins que ce ne soit le grec lui-même ?
Elle ne répond pas mais file sous la douche avec un petit sourire gêné qui me fait comprendre que j’ai vu juste. Sa sieste au soleil, presque nue, à côté de ce beau jeune homme, a dû faire naître dans sa tête bon nombre d’images érotiques à qui elle a laissé libre cours. Après tout, Eros est un dieu grec, peut-être que certains lieux sont habités de son esprit dans cette île ? Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre en tout cas !

Pour le moment, l’hôtel est agréable et on décide d’aller le découvrir un peu plus, avant d’aller faire un tour dans le village d’à côté. Il y a une salle de restaurant avec une terrasse sur la plage, un gars en train de s’installer avec un clavier pour animer la soirée. C’est un peu le plan « familial », mais l’ambiance est sympa et on est venu pour ça. Je veux dire, pour se prélasser quelques jours ensemble. On va donc faire un tour à pieds au village d’à côté et on trouve un petit port avec des restaurants tout petits, tous avec quelques tables sur la jetée minuscule. On décide de prendre un Ouzo dans l’un d’eux, et de dîner ensuite à l’hôtel, pour voir un peu ce qu’ils ont prévu comme soirée. Maëlie a passé une de ses tenues atomiques : un haut rouge en coton un peu ferme, qui lui passe derrière la nuque et laisse son dos entièrement nu. Le bustier est fait de telle façon qu’elle n’a pas besoin de soutien-gorge et se termine par une partie légèrement en pointe qui descend sur le haut de sa toute petite jupe. Des sandales à lanières qui lui enserrent le mollet viennent compléter l’ensemble.

L’Ouzo dégusté au soleil, on regagne l’hôtel pour y dîner. On s’installe à une petite table qui donne sur la mer et le serveur nous apporte la carte. Et là, surprise ! Apollon est serveur dans notre hôtel !!! Il nous sourit et nous dit « re-bonjour » en français. On sourit tous les deux et on lui répond « Kalyspera ».
- S’il travaille ici, je ne vais plus pouvoir te lâcher d’une semelle, moi !
- Quoi, qu’est-ce que tu racontes ?
- Ben avec le charme qu’il a, si tu te retrouves seule avec lui, qui sait ce qui pourrait se passer ?
- Ah ça, tu as raison. Alors tu vas être obligé de prendre bien soin de moi, comme ça.
Il revient avec une carafe d’eau et du pain et commence à engager la conversation. Il y a peu de clients, c’est encore le début de la saison. Il nous demande d’où on vient, si on est en voyage de noces. On rit et on lui dit que non. Il nous conseille pour le choix de notre repas et on passe commande. Il repasse régulièrement nous voir, pour apporter les plats, de l’eau, ou juste pour voir si tout se passe bien. Mais il n’est pas insistant et ça reste agréable. Je le laisse plutôt discuter avec Maëlie, me réjouissant des frissons que ça me procure de la voir se faire gentiment draguer par un jeune homme à son goût. Il nous explique que l’hôtel a un petit club en sous-sol, qui ouvre dès 23 h. On décide d’aller voir et on y reste un peu, pour danser quelques rocks ou salsas.

Vers minuit, on voit entrer notre serveur, dans une tenue beaucoup plus décontractée que peu auparavant. Il nous voit et nous rejoint :
- j’ai fini mon service et j’aime bien venir passer une heure ou deux ici avant de rentrer chez moi. Je vous ai vus danser le rock, vous dansez bien.
- Merci
- Au fait, je m’appelle Vassilis et il me tend la main, que je lui serre.
Je me présente également et je lui présente officiellement mon épouse. Il pose la main sur son bras et se penche pour faire la bise.
- j’aime bien danser moi aussi et c’est rare de pouvoir trouver une bonne partenaire, tu permets que j’invite Maëlie ?
- Bien sûr !
Et les voilà partis sur un nouveau rock. Il danse plutôt bien et je vois que ça plaît beaucoup à Maëlie qui semble bien s’amuser. Soudain, le rock se termine et est remplacé par un zouk. Ils font tout deux mine d’être déçu, car ils n’ont dansé qu’à peine une minute. Puis je vois Vassilis qui hausse les épaules et tend les mains vers sa cavalière, qui les prend. Il en place une sur ses épaules et prend l’autre, puis place sa main droite dans le dos de Maëlie. Il a donc sa main directement en contact avec sa peau et un frisson glacé me parcourt l’échine. Il la colle à lui et, si j’étais dans sa situation, je sais qu’elle ne pourrait s’empêcher de noter l’effet qu’elle me procure. Il suffit que je place ma main sur son dos pour que la douceur de sa peau fasse naître en moi les idées les plus érotiques. Je serais surpris qu’il en soit autrement pour lui.

Ils dansent tous les deux avec beaucoup d’entrain et je repense à notre soirée du mois de mai. Est-ce qu’on se dirige vers une nouvelle expérience ? Est-ce que j’en ai vraiment envie ? Il est plus jeune que moi et vraiment mignon, elle pourrait devenir accro et être tentée de me laisser. J’ai le souffle court quand je les regarde et que je les imagine s’embrasser. Je vois sa main se déplacer plusieurs fois sur son dos, pour mieux la tenir quand il la fait tourner. Il ondule du bassin et lui place la main sur le haut de ses fesses pour l’aider à le suivre dans ses mouvements sensuels, ce qu’elle fait en riant. Je ne peux m’empêcher d’imaginer d’autres ondulations de bassins, lui, couché sur elle, regardant dans ses yeux l’effet que lui procure son membre ; elle, la tête basculée en arrière, les yeux fermés, la bouche entrouverte, la peau moite.

- Alors, tu ne danses pas, toi ? me demande le dieu grec, me tirant brutalement de ma rêverie.
- Si, mais il me faut une partenaire…
- Oh… désolé… je ne voulais pas… euh… comment on dit ? Euh… te prendre Maëlie…
Je réalise qu’il peut prendre ça comme un reproche.
- Ah non, ne t’en fais pas, je disais ça en plaisantant. Ca ne me dérange pas du tout qu’elle passe du temps avec toi. Du moment qu’elle y prend du plaisir, moi, ça me va.
Je suis conscient de ce qu’il peut entendre dans ma phrase, mais je pense qu’inconsciemment, je voulais qu’il l’entende.
- Mais puisque tu me la laisses un peu, je vais en profiter pour aller danser un peu, justement. Peut-être qu’à nous deux, on arrivera à la satisfaire et à l’épuiser assez pour qu’elle accepte d’aller se coucher ajoutais-je en lui faisant un clin d’œil.
Il a de quoi méditer mes propos pendant 2 ou 3 rocks, maintenant. Je prends mon épouse par la main et je l’entraîne à nouveau vers la piste.
- Alors, il danse bien ?
- Ah ça oui, tu as bien vu d’ailleurs
- Oui, j’ai vu que tu avais l’air d’apprécier
- Tu es jaloux ?
- Tu sais bien que non, pas vraiment. Un peu en fait, mais excité également, je sais que je suis bizarre.
- Excité ? Mais pourquoi ? Il n’y a rien, là !
- Arrête, lui dis-je en souriant. C’est clair que tu lui plais. Et toi, tu ne le trouves pas craquant ?
- Hmmm, si, bien sûr, mais je ne pense pas qu’il s’intéresse spécialement à moi.
Toujours ce manque de conscience de son sex appeal. La plupart des mecs autour de la piste lui jettent des regards plus ou moins discrets quand ils pensent que leur nana ne les regarde pas, à chaque fois que sa jupe tourne et se soulève sur ses jolies jambes, ils regardent son dos dénudé, ses cheveux, sa poitrine, mais elle, elle ne remarque rien.
- Allez, moi je suis claqué, là. Ca te dit d’aller te coucher ?
- Ok.
On retourne voir Vassilis, qui nous a attendu bien sagement et on lui dit qu’on va le laisser là pour ce soir.
- D’accord, et bien bonne nuit alors dit-il en se levant et en déposant deux gentils baisers sur les joues de Maëlie.
Je me demande, quand il dit ça en lui touchant le bras et en lui faisant deux bises un peu plus appuyées que nécessaires, s’il ne tente pas de mettre de sous-entendu dans ce « bonne nuit », sans doute conscient de la tension érotique qui nous a unis ce soir, tous les trois. S’il a raison, il sait qu’on va faire l’amour à peine la porte de la chambre fermée, et qu’il sera dans nos esprits. En tout cas, je suis sûr qu’il espère être dans celui de Maëlie.

- Si ça vous dit, demain je ne travaille pas et j’ai l’habitude d’aller dans une euh… comment on dit… une plage ? Fermée ?
- Une crique ?
- Oui, sans doute. Il n’y a personne, du sable, des rochers, c’est tranquille. Si ça vous dit, je peux vous emmener.
- Ok, à quelle heure tu y vas s’empresse de demander Maëlie ?
- Ben on part à 15 h, on y passera un moment et quand vous en aurez assez, je vous ramènerai.
- Ok, on se voit demain 15h alors. Tu passes nous chercher à la chambre ? On est à la 22
- Oui, je sais répond-il avec un air malin.
Je lui serre la main et on se sépare, je prends Maëlie tendrement par les épaules et je l’embrasse sur la joue, elle me sourit. Je me colle à elle, j’ai envie de son corps, de la caresser et je sens bien à ses réactions qu’elle n’aurait rien contre. Je cherche ses lèvres tout en marchant et elle me rend un baiser plein de promesses. La porte de la chambre à peine fermée, je la repousse contre le mur et je l’embrasse à pleine bouche, elle entoure mon cou de ses bras et me laisse caresser son corps à travers le tissu.
- Et bien, tu m’as l’air bien excité. Qu’est-ce qui te met dans un état comme ça ? me demande-t’elle avec un air mutin.
- Tu le sais très bien
- Ben non, je ne vois pas. C’est de danser le rock ?
- C’est le zouk, plutôt
- Mais on n’a pas dansé le zouk ensemble.
- Justement !
J’ai le sentiment qu’elle sait très bien ce que je ressens, mais qu’elle a besoin de m’en faire parler, comme pour s’assurer de ce que j’ai envie que cette histoire devienne. A moins que ce ne soit seulement pour donner vie à ce fantasme qu’elle partage avec moi. Juste faire l’amour en imaginant que ce serait possible à nouveau avec un autre.
- Ca m’a fait tout drôle de te voir danser comme ça avec lui, de te voir te frotter à lui pendant qu’il te caressait le dos. Tu as aimé, toi ?
- Hmmmoui… C’était assez excitant
Je lui détache son bustier tout en l’embrassant dans le cou. Je défais sa jupe qui tombe à terre, je passe mes mains sur ses jolies fesses, à peine couvertes de son petit string noir.
- Qu’est-ce qui t’a plus ? Qu’il te caresse ou que je regarde ?
- J’sais pas, un peu les deux
Mes mains glissent sous le bustier relâché et je lui saisis sa jolie poitrine, pinçant légèrement les mamelons dans la pince formée par mes pouces et mes index. Je remonte mes mains plus haut, pour soulever dans le même mouvement le bustier et l’en débarrasser. J’embrasse chacun de ses seins puis je lui prends la main pour l’entraîner vers la chambre. Je la lâche juste un instant, qui me suffit à me défaire de mon T-shirt et de mon bermuda. Je la renverse sur le lit et je passe immédiatement un index sur le mince cordelette de son string. Je me faufile ensuite sous le petit triangle de tissu, pour sentir la jonction de ses lèvres sur le dos de mon doigt.

- C’est moi qui te fait cet effet là en 3 mn ? J’ai plutôt l’impression qu’i y a un moment que tu es excitée, non ?
Je tente de lire la réponse dans ses yeux, mais elle le sait et les a fermés.
- Hmmmm ! gémit-elle en fronçant les sourcils, comme si elle ne voulait pas que j’aborde cette question, trop directe.
Je plaque ma bouche ouverte sur le tissu et je la referme, comme pour manger ce petit abricot humide. Le tissu m’en empêche, mais je sais qu’elle aime ressentir la pression de ma bouche sur elle. Je commence à lécher la pointe du triangle de tissu fin qui protège son sexe. Il est déjà humide, bien avant que j’aie commencé à la lécher. J’écarte ce tissu qui me gêne et j’immisce ma langue entre ses lèvres trempées. Je descends jusqu’à l’endroit où elles se rejoignent, où la peau est si douce et annonce le territoire réservé, celui que la morale réprouve, mais qui peut être la source de tellement de plaisirs. Je titille de ma langue ce territoire au-delà de la jonction des lèvres, puis je remonte franchement, plongeant ma langue au plus profond d’elle.

Je veux l’exciter, mais elle l’est déjà terriblement, et moi aussi. Je ne veux plus retarder ce qu’on veut tous les deux. Pendant des heures, on a fantasmé tous les deux de la situation et aucun de nous n’a besoin de prolonger les préliminaires, même si on a l’impression que ce serait tellement bon. Je passe mes mains de chaque côté de ses hanches pour me saisir de l’élastique de son string que je tire vers moi, pour le passer sous ses pieds. Pendant qu’elle rampe sur le lit à reculons, j’enlève mon boxer et je m’allonge sur elle.

- Tu préfèrerais l’avoir pour toi toute seule, la première fois, ou que je sois là pour participer ?
Elle sourit à cette idée
- J’sais pas… les deux pourraient être bien… me répond elle, les yeux fermés mais affichant un large sourire. Je pense qu’elle sent que c’est possible, que ce plaisir qu’elle ressent à faire l’amour avec moi pourrait être démultiplié dans quelques heures, si on décide de passer à l’acte. Elle sait bien, même si elle s’en défend, que Vassilis ne demanderait pas mieux que de se trouver à ma place en ce moment.
- Alors imagine que ce soir, c’est lui qui est là, qui te caresse, qui t’embrasse. Je te l’offre, pour toi toute seule.
Je passe mes mains entre ses cuisses et je fais glisser mes doigts sur son sexe, mon majeur s’enfonçant légèrement entre ses lèvres baignées de son plaisir. Elle râle doucement, plongée dans son propre fantasme. Elle remonte sa main à la rencontre de mon pénis qu’elle effleure doucement. Sa main est chaude, elle prend doucement mes testicules, glissant ensuite lentement vers mon sexe, comme si elle le découvrait pour la première fois. Mon majeur s’enfonce sans résistance en elle, puis je le fais coulisser d’avant en arrière, éprouvant la douceur de son antre.

- Tu as vraiment envie de lui ? Tu veux refaire une soirée avec lui, comme avec Benjamin ?
- Ouiiii, ah ouiii, ce serait bon
Sa réponse directe à ma question me transperce, c’est à la fois ce que je voulais et ce que je redoutais. Sa main sur mon sexe me donne l’impression qu’elle caresse un autre que moi de la même façon. J’ai l’estomac vrillé de sentiments contradictoires, mélange de jalousie et d’excitation extrême.
- Si tu le veux, demain, ce sera lui qui sera là, à ma place ; Ca te plairait ?
Elle se tord de plaisir, elle a envie d’être prise immédiatement. Ce plaisir que je lui promets la met en transe, elle le veut tout de suite.
- Imagine le moment où il va te pénétrer, comme ça…
Je saisis mon sexe de la main droite et le place pratiquement sur son anus, comme si j’avais l’intention de la prendre de cette façon. Je pousse un peu, comme pour la sodomiser, puis, comme si j’avais fait une erreur, je le redresse et l’enfonce exactement à la commissure de ses lèvres intimes que je léchais il y a un instant. Mon gland luisant de sperme s’enfile dans le sillon lubrifié de mouille et tout mon sexe s’enfonce rapidement en elle. La sensation est étrange, entre satisfaction de glisse intense et minimisation du plaisir à cause de la diminution des contacts due à la lubrification extrême. Mentalement, on est à l’apogée, atteignant virtuellement l’objectif de cette approche qu’on a vécue toute la soirée entre Vassilis et nous. Maëlie me confirme par son attitude et son sexe trempé avant même que je ne la touche que cette situation est possible, à très courte échéance et qu’elle l’excite énormément. On se projette dans notre fantasme partagé et on jouit brutalement, de concert. Elle crie plus qu’elle ne gémit, je savoure ce plaisir que je viens de lui offrir, et celui auquel je vais probablement lui permettre d’accéder dans quelques heures.

Je m’affale épuisé sur elle, le souffle court. Il se passe plusieurs minutes pendant que la pression retombe, puis elle me dit
- merci, c’était très bien, avec une voix dans laquelle j’entends son sourire.
- Tu veux qu’on lui demande vraiment, demain ?
- Si tu veux.
Elle a très peu hésité pour me répondre, j’ai le cœur qui bat encore plus vite qu’au moment de notre puissant orgasme. D’habitude, sitôt les hormones évacuées de notre cerveau, la fantasme s’évapore et on ne l’évoque plus entre nous, jusqu’à notre prochaine étreinte ; Là, c’est plus qu’un fantasme, puisqu’il est toujours présent. On va le réaliser à nouveau et ça me fait peur autant que ça m’excite.

15h, on frappe à la porte. Maëlie fait semblant d’être occupée, pour ne pas à avoir à l’accueillir, elle-même, alors je vais ouvrir. L’objet de nos fantasmes se tient là, debout, souriant.
- Vous êtes prêts ? On y va ?
- On est prêt, on te suit.
On a préparé nos sacs pour la plage, j’ai glissé discrètement des préservatifs dans le mien, on ne sait jamais. Il fait chaud et on roule avec les fenêtres ouvertes. Maëlie m’a laissé la place à l’avant et elle se penche en avant pour participer à la conversation. On fait tous comme si on était juste trois copains, mais il y a une tension sexuelle entre nous et chacun me semble en avoir conscience, malgré les apparences. La fin du trajet est mouvementée, on commence à comprendre pourquoi l’endroit n’est pas très fréquenté : le petit 4x4 de Vassilis est bringuebalé par les chaos de la route et on ne peut plus guère discuter, occupés qu’on est à se cramponner à tout ce qu’on peut pour ne pas être précipité sur un montant de la voiture ou contre le plafond de celle-ci !

Finalement, il se gare sur de l’herbe sèche qui prouve que peu de gens viennent jusqu’ici en voiture et il nous amène fièrement jusqu’à « sa » crique. Des rochers de 5 ou 6 m de haut surplombent une petite plage de sable fin qui vient mourir dans une eau turquoise.
- Ah oui, c’est pas mal ! que je pose mon sexe dressé contre son ventre. Elle m’embrasse et je vois Vassilis toujours en contemplation de la surface. Je réalise qu’il doit avoir placé son sexe contre la raie de ma chérie et je vois à ses mouvements qu’il le fait doucement glisser le long de cette douce vallée. C’est vrai que les grecs sont réputés pour aimer ce genre de pratiques…

Maëlie me prend dans ses  bras et me caresse le dos, les fesses tout en m’embrassant. Son baiser est sensuel, sa langue me détaille, elle m’aspire, me suce, pendant que son amant joue avec elle. Il lui prend les deux seins et se plaque contre son dos, rêvant sans doute d’une étroite pénétration. Mais nous dit Maëlie
On rit et on descend le long des rochers. Je dois descendre un parasol en plus de mon sac, ma peau supportant difficilement le soleil, contrairement à Maëlie et Vassilis.
- On va se baigner ? demande notre ami.
- C’est parti !
On court tous les trois vers l’eau turquoise, trop contents de pouvoir enfin se rafraîchir après ce trajet en voiture. L’eau nous éclabousse et on frissonne, avant de se jeter dans l’eau tête la première. On se redresse et on avance un peu plus loin, pour pouvoir se laisser un peu flotter.
- c’est chouette ici, non ?
- C’est vrai que c’est génial, répond Maëlie. Y’a pas un bruit, personne, c’est superbe.
- Et tu peux même te mettre nu ici, si tu veux.
- Euh, non, ça va, merci, répond-elle un peu gênée
- Et pourquoi pas ? Je le fais moi. Tu sais, les grecs, on n’est pas trop gênés par ça. Et puis, il n’y a personne !
- Ah mais tu peux te mettre nu, si tu veux !
Je suis la conversation avec intérêt, sans y prendre part.
- Non non, je ne veux pas vous gêner. Je ne le ferai que si vous le faites aussi, on n’est pas obligés.
- Bon, ben, on verra peut-être plus tard.
Il me regarde avec un sourire gentiment moqueur
- Elle est timide, hein ?
- Ah ça, oui. Et puis, elle est toujours peur de ne pas être à la hauteur.
Il se retourne vers elle
- Alors là, je peux te dire qu’il n’y a pas de soucis : je t’ai vue en maillot de bain. Tu es magnifique.
- Bon ben ça va, on ne va pas parler que de ça, vous n’allez pas vous y mettre tous les deux !
Et elle balance ses deux mains vers la surface, face contre nous, pour nous arroser le visage. Vassilis rétorque aussitôt et il s’ensuit une petite bataille navale, dans laquelle les futurs amants s’arrosent, se repoussent et tentent de se faire couler, tout étant prétexte à entrer en contact l’un avec l’autre.

Après quelques minutes, je donne le signal de repli, commençant à me refroidir. Je sors de l’eau et vais chercher ma serviette pour me couvrir, le soleil étant maintenant masqué par une couche de nuages gris.
- Maintenant qu’on voudrait avoir chaud, il n’y a plus de soleil ! se plaint Maëlie.
- Attends, tu vas voir : si on va sur les rochers plats, là-bas, on peut mettre les serviettes sur le rocher bien chaud, c’est agréable.
Effectivement, il y a quelques rochers bien plats, en pente légère vers la mer, qui ont dû emmagasiner pas mal de chaleur. On se dirige vers eux pour y poser nos serviettes, mais je m’avise que je ferais mieux de me poser juste à côté, pour pouvoir planter mon parasol dans le sable. Il n’y a plus beaucoup de soleil, mais je sais par expérience que la lumière peut suffire à me procurer un sacré coup de soleil.
- Installez-vous dessus, si vous voulez, moi je vais me mettre là, juste à côté.
Le sable est à 2 m et, de toute façon, la seule partie assez plane pour recevoir des serviettes ne pourrait pas en recevoir plus de deux, et encore, si on se serre. Deux serviettes sont donc étendues sur le rocher, pendant que je plante le parasol juste à côté et que je me glisse dessous. Maëlie s’allonge sur le ventre avec un petit soupir de bien être et commence à se faire sècher. J’entame une discussion avec Vassilis sur la pêche sous-marine dans le secteur. Il indique qu’il aime bien venir y pêcher le poulpe.
- Désolée de vous interrompre, les garçons, mais quelqu’un pourrait me passer de l’huile solaire ? Je commence à chauffer.
Qu’elle est forte, ma chérie. Elle profite de la confusion qu’on peut faire sur le terme « passer » ; Elle pourra toujours dire qu’elle voulait juste qu’on lui donne la bouteille, si je fais une remarque. Je donne la bouteille à Vassilis pour qu’il la « passe » à Maëlie. Lui se pose vraiment la question de ce qu’on attend de lui, mais pas trop longtemps. Il l’ouvre et en verse sur le dos de ma compagne. Elle se redresse avec un air surpris, comme si ce n’était pas vraiment ce qu’elle attendait, puis :
- ah mais si tu veux, en fait, merci.
- Je croyais que tu voulais que je t’en passe ?
- Oui, que tu me passes la bouteille. Mais tu peux continuer, au contraire !
Il commence donc à étaler l’huile sur le corps svelte de mon épouse, qui n’a connu que mes caresses pendant des années, si on excepte cette soirée du mois de mai, qui avait, elle aussi, commencé par de l’huile, de massage cette fois.
- Tu peux détacher mon maillot, s’il te gêne.
- D’accord, ce sera plus facile, oui.
Il tire une extrémité de la ficelle qui forme une boucle dans le dos de ma femme et fait de même avec celle qui se trouve sur sa nuque. La voilà presque nue, aux prises avec un jeune grec séduisant. Il s’agenouille à côté d’elle pour pouvoir utiliser ses deux mains et parcourt tout le corps qui lui est offert. Il s’attarde sur le bas du dos, le haut des jambes, pour ne pas dire les fesses, puis remonte le long des côtes, de façon à pouvoir effleurer la poitrine, sans en avoir l’air. Plus un mot n’est échangé, chacun profitant de la scène à sa façon.

Au bout d’un long moment, Vassilis s’arrête, ne pouvant plus prétendre depuis longtemps qu’il ne faisait qu’étaler de l’huile pour protéger ma belle du soleil. Maëlie redresse a tête et sort son visage de son bras replié pour lui sourire :
- hmmm, merci, c’était bien agréable.
- De rien, pour moi aussi, répond-il, un peu gêné en me jetant un regard en coin.
Je souris et j’ajoute :
- tu es en droit de lui demander le même service, si tu en as besoin. Je préfère que ce soit elle que moi qui te le fasse !
- C’est vrai ? Bon, je n’en ai pas vraiment besoin, mais je veux bien quand même ! me répond-il avec un grand sourire.
Maëlie se redresse avec l’air épuisé de quelqu’un qui comptait justement dormir :
- t’es dur, là !
Mais elle ne se fait pas vraiment prier et se met à genoux, comme oubliant qu’elle ne porte plus de soutien-gorge. Aucun de nous ne lui en fait la remarque, de peur de briser cet instant. Vassilis l’observe un instant avec un sourire, semblant se repaître du spectacle de cette jolie poitrine, puis se tourne sur le ventre à son tour. Elle retourne la bouteille vers son dos, pensant sans doute que l’huile allait s’écouler comme de la crème solaire. Une grande quantité s’échappe et inonde le dos du jeune grec.
- oups !
Elle se jette sur l’huile qui s’écoule et tente comme elle peut de la maintenir sur le corps musclé de notre ami. Il porte un long bermuda en tissu qui lui descend presque jusqu’aux genoux.
- J’ai peur d’en mettre sur ton bermuda, avec tout ce que j’ai mis !
- Attends, ça, c’est pas un problème !
Il attrape son bermuda de chaque côté et, sans hésiter, le tire vers la bas, découvrant son beau postérieur. Il se tourne alors de mon côté pour ramener ses jambes vers lui et pouvoir retirer complètement ce vêtement sans dévoiler son sexe à ma femme. Elle aurait sinon compris qu’elle ne le laissait vraiment pas indifférent, ce qui ne m’a pas échappé, à moi. Maëlie reste un instant interloquée et me regarde brièvement, plus pour guetter une éventuelle réaction que pour demander une approbation. On en a déjà parlé la veille et on sait tous les deux ce qui va se passer ensuite.
Il s’allonge à nouveau sur le ventre et elle se met à étaler l’huile sur tout son corps, limitant initialement la zone de travail au haut du corps. Mais, quand celui-ci fut entièrement couvert, elle fait descendre ses mains sur les fesses de Vassilis, puis ses jambes. Elle lui verse un peu plus d’huile sur les reins et entreprends à nouveau de la faire circuler vers le bas du corps, étant obligée pour cela de passer et repasser sur les fessiers bien fermes. Elle prolonge elle aussi plus longtemps que nécessaire ce moment. Ses mains parcourent l’intégralité de son corps, elle le caresse plus qu’elle ne le masse, elle part des reins et remonte sur le dos, les épaules, puis ses deux mains glissent sur les côtés pour redescendre le long du buste et venir se saisir des deux fesses. Les pouces remontent vers la raie pendant que les paumes pressent les fessiers. Elle pince doucement chaque fesse huilée entre les pouces et les index, avant de continuer sa route vers les jambes. S’il était allongé sur du sable, et non de la roche, Vassilis laisserait une empreinte plus ou moins cylindrique au niveau de son pubis, c’est certain !

Elle finit par retourner s’allonger sur sa serviette, comme à contrecoeur. Mais cette fois, elle s’allonge sur le dos, appréciant sans doute d’exhiber sa poitrine à ce garçon qui la séduit. Il y a un certain plaisir à se trouver nu la première fois devant quelqu’un qui nous plaît, une certaine liberté, mais aussi une certaine excitation de montrer quelque-chose qu’on passe son temps à cacher aux autres. Là, elle commence à se sentir à l’aise. Il faut dire qu’elle vient de masser les fesses nues du jeune homme, et que montrer sa poitrine, de nos jours, ce n’est plus si extraordinaire. Mais Maëlie n’est pas vraiment une adepte des seins nus sur les plages, essentiellement pour des raisons de santé. Je sais donc que c’est pour elle une situation un peu inhabituelle qui doit lui procurer un certain plaisir.
- C’était pas la peine que je te passe de l’huile sur le dos, si tu te mets comme ça !
- Ah oui, tu as raison, il m’en faudrait devant aussi maintenant lui répond-elle, gardant les yeux fermés comme pour dormir.
Il me regarde avec un air interrogateur, je hausse les épaules, comme si je ne savais pas si elle plaisantait ou non. Il se saisit alors de la bouteille et l’ouvre. Le bouchon produit un clac et je sais que Maëlie l’a entendu. Si elle ne voulait pas ce qui allait suivre, elle aura ouvert les yeux et l’aurait interrompu. Mais elle ne dit rien et prétend chercher à somnoler. Il verse de l’huile sur son ventre, mais elle ne réagit pas tout de suite. Il est vrai qu’elle doit être chaude et qu’on ne sent pas toujours son contact, ce n’est pas comme la crème.

Soudain, elle ouvre les yeux et joue la surprise :
- eeeh, je pouvais le faire, si j’avais besoin !
- Je pensais que tu préférais que je le fasse. Mais si ça t’ennuie, je te laisse faire.
- Non, vas-y, maintenant que tu as commencé.

Et elle repose sa tête en arrière, refermant les yeux. Vassilis pose sa main à plat sur son joli ventre plat et commence à étaler l’huile en lents mouvements circulaires, depuis son nombril finement dessiné. Il effleure le haut de son maillot en appuyant légèrement sur la peau bien douce, révélant un espace entre la peau et le tissu dans lequel la main aimerait s’insinuer, puis remonte sur le creux du ventre, le long des côtes flottantes, en route vers la poitrine dénudée. Après quelques instants de caresses limitées au ventre, il se verse de l’huile dans les mains et se place à genoux à côté d’elle. Je vois son sexe dressé et je sais qu’elle ne l’a pas encore vu, n’ayant pas osé regarder. Il pose ses deux mains simultanément sur les seins de ma jeune épouse et étale l’huile sur toute sa poitrine d’un premier geste. Puis, il y revient, plus doucement, pressant ses seins entre ses doigts, prenant alternativement tout le sein ou juste la pointe, jouant à faire rouler les mamelons entre ses doigts. Il prend possession de tout son buste, de la gorge au pubis, par de sensuelles caresses.

Se laissant gagner par l’excitation, il retrouve l’espace entre la peau du ventre légèrement creusé et le string et y insinue doucement le bout de ses doigts, découvrant au toucher la fine toison. Maëlie replie son bras sur son visage, comme pour se protéger du soleil. Je sais qu’en fait, elle veut dissimuler ses sentiments, à moi ainsi qu’à son futur amant. Il s’aventure un peu plus loin et je devine au mouvement visible à travers le tissu que ses doigts ont atteint ses lèvres qui doivent être complètement humides. Je devine de petits mouvements circulaires qui doivent avoir ouvert l’accès à son intimité, mais sa main reste relativement haute et je sais qu’il ne l’a pas encore pénétrée. C’est d’ailleurs quelque-chose que je veux voir, sachant quel plaisir elle tire de cette pénétration, d’après ce qu’elle m’avait avoué un jour.

Je me lève alors et me dirige vers eux. Vassilis croise mon regard et interrompt son mouvement, un instant inquiet d’avoir dépassé les bornes. Je le rassure d’un sourire et je m’agenouille de l’autre côté de mon épouse. Je saisis les côtés de son petit string et je le tire doucement vers ses pieds. Elle soulève son bassin pour me faciliter la tâche et je découvre le majeur de Vassilis à moitié enfoui entre des lèvres luisantes de plaisir. Je retire entièrement le maillot devenu inutile et reprends ma place d’observateur.

D’un mouvement lent et assuré, Vassilis fait glisser son doigt le long de la fente humide jusqu’à le faire disparaître entièrement dans la petite chatte offerte de ma femme. Celle-ci se cambre, la bouche ouverte et avale goulument de l’air dans un feulement, révélant ainsi à celui qui en aurait douté qu’elle ne dormait pas. Je vois Vassilis guetter les réactions de sa maîtresse pendant qu’il fouille consciencieusement son sexe. Il enfonce son doigt et le ressort plusieurs fois, avant de joindre son index au mouvement du premier. Il a maintenant 2 doigts en elle et je le vois faire des efforts pour les enfouir toujours plus loin, ce qu’il n’arrivera pas à faire malgré les efforts de ma chérie pour lui offrir le meilleur accès possible, se cambrant et ouvrant ses jambes au maximum. J’intercepte son regard subrepticement, alors qu’elle soulève son bras pour observer son amant et jouir de la vue de ce corps musclé qui va la prendre dans un instant. Elle s’aperçoit que sa main gauche est pratiquement posée entre les jambes du mâle qui la caresse et, comme avec moi la veille, elle lève la main vers le pieu de chair.

Elle l’effleure et je le vois tressaillir. Il est au comble de l’excitation et ma chérie a une vraie maîtrise des caresses sur des phallus chargés. Enfin, je dis « des », mais elle n’a pu pratiquer son art ces dernières années que sur moi, ainsi qu’une fois sur Benjamin, il n’y a pas si longtemps. Mais je lui ai montré les caresses que j’aimais, lui expliquant que je préférais être effleuré, caressé doucement sur les parties les plus érogènes, plutôt que saisi à pleine main et secoué violemment, comme dans un film X. Elle l’a tout de suite compris et depuis lors, je ne peux plus bénéficier tellement de ces caresses, redoutant toujours de laisser partir mon fusil chargé par inadvertance !

Elle passe la pulpe de ses doigt sous la verge tendue, lentement, sans insister, jusqu’à arriver à la base du gland rougi, puis redescend par le même chemin, pendant que son amant prolonge le va et vient de ses doigts dans le sexe lubrifié de désir. Elle passe sa main sous les bourses du jeune homme et la relève jusqu’à rencontrer la peau tendue des testicules, qu’elle saisit avec délicatesse, sans les serrer. Elle remonte sa main en tenant les précieux attributs jusqu’à les plaquer contre l’entrejambe/ J’imagine la douce chaleur que doit ressentir Vassilis au contact de cette main délicate. Il ferme d’ailleurs les yeux tout en enfonçant une fois de plus ses doigts dans l’antre du plaisir de cette jolie femme qui s’offre littéralement à lui, en plein air.

Je les vois nus tous les deux et j’ai à la fois envie de participer et de les laisser se découvrir mutuellement, de laisser Maëlie prendre un amant, sans moi, pour son seul plaisir. Celui de se savoir désirée par un beau jeune homme, celui de savourer les premières étreintes qui sont tellement spéciales. J’espère qu’elle sera plus à l’aise en la laissant obtenir et donner du plaisr à un seul homme, comme elle sait si bien le faire. Il sera toujours temps ensuite d’intervenir et de découvrir de nouveaux plaisirs à trois. Mais je suis jaloux de cette nudité qui leur procure déjà une partie de leur plaisir. Je retire donc mon boxer et j’expose mon membre dressé à l’air libre, comme s’il pouvait ainsi mieux capter l’érotisme et le plaisir charnel qui émanait des ébats de ce couple illégitime à un mètre de moi.

Vassilis se saisit de la bouteille d’huile solaire d’une main et, de l’autre, retient la main gauche de Maëlie, paume vers le haut. Il la remplit littéralement d’huile et la relâche, la laissant comprendre d’elle-même ce qu’il souhaite. Elle comprend immédiatement et je la vois saisir à nouveau le membre viril dans sa main, délicatement. Le trop-plein d’huile s’écoule de sa main, ce dont aucun des deux ne se soucie. Il frémit et bascule la tête en arrière, la bouche ouverte. Je me dis que toute cette huile n’est plus compatible avec le port d’un préservatif, ce qui est peut-être mieux ainsi. Je suis au comble de l’excitation, luttant à chaque instant pour ne pas toucher mon sexe et déclencher ainsi l’éruption que je ne pourrais plus contrôler. Mais je suis également retourné intérieurement de voir ma femme s’offrir ainsi à un gars aussi beau. Ce salaud est bien plus beau que moi, plus musclé, avec une peau halée, sans défaut, un sourire ravageur, des yeux sombres et de longs cils, exactement comme elle adore. Mais, comme si ça ne suffisait pas, son sexe est légèrement plus large que le mien, pour une taille et une forme apparemment très semblable.

Maëlie m’avait dit qu’elle n’aimait pas les verges trop longues, qui pouvaient lui faire mal, et que les sexes trop petits, trop fins, avaient du mal à lui donner du plaisir. Elle trouvait le mien très bien, heureusement, mais je savais qu’elle n’aurait rien eu contre le fait de s’amuser avec un autre un peu plus large. Et voilà que je lui offrais sur un plateau, si on peut dire. D’un côté, je m’en réjouissais, car je savais qu’elle allait avoir un maximum de plaisir. D’un autre, une jalousie glaciale me dévorait le ventre.
Maëlie a maintenant refermé tous ses doigts autour du pieu brûlant et coulisse sa main généreusement huilée sur la tige de chair. Vassilis s’allonge sur le dos, ses jambes le soutenant probablement de moins en moins, afin de profiter de son plaisir au mieux. Il se place juste derrière le dos de Maëlie qui lui fait une petite place et revient se coller à lui. Elle le saisit à nouveau et se tourne un peu vers lui, reprenant son délicieux mouvement de va-et-vient. Elle lève la tête vers lui, à la recherche de sa bouche. Elle la trouve et il l’embrasse sensuellement, tout en replaçant sa main entre ses jambes. Elle les ouvre généreusement et place sa jambe droite sur le corps de son amant, afin de lui délivrer complètement le passage vers son intimité. Je vois la main du jeune homme descendre le long de la raie aux plaisirs, jusqu’à atteindre le petit anneau étroit de son joli petit cul. Il le masse doucement et s’y introduit partiellement, avant de se retirer et de remonter de quelques centimètres, enfonçant à nouveau deux doigts en elle. Elle se cambre pour mieux goûter sa langue et je vois sa poitrine se tendre, offerte. Je lutte contre le désir de les rejoindre pour la lécher, l’embrasser, mais je veux lui laisser le plaisir de prendre seule ce nouvel amant, qu’elle a attendu de si longues années. On a toujours eu du plaisir à faire l’amour ensemble, mais tous les couples doivent avoir, à un moment ou un autre, une sorte de nostalgie de ne plus jamais avoir la possibilité de vivre ces premiers instants d’une nouvelle relation sexuelle. Je suis heureux de pouvoir lui offrir ça au sein de notre couple qui fonctionne très bien.

Il se dégage un peu de son dos pour la faire basculer totalement sur sa serviette et venir sur elle. Il est clair qu’il meurt d’envie de la pénétrer, mais je pense qu’ils savent tous les deux que ce ne sera pas pour maintenant. Aucun des deux ne sait où trouver des préservatifs et je ne leur dirai pas. De plus, cette huile si généreusement dispensée sur son sexe bien dur rendrait probablement la chose délicate à maintenir en place dès le premier mouvement dans son vagin contracté de plaisir.

Il se tourne donc sur elle, cherchant à introduire un troisième doigt  pour simuler son bel engin raidi pour elle. Elle ne le lâche pas non plus, créant de sa main un fourreau artificiel extrêmement bien lubrifié. Il se place sur elle, comme s’il pouvait la pénétrer, et son sexe se pose sur son aine, à quelques centimètres de l’entrée de son sexe. Il produit maintenant lui-même les mouvements de va-et-vient, tandis qu’elle immobilise sa main à plat sur son sexe, le dessous de celui-ci frottant sur le côté extérieur des lèvres de son petit minou parfaitement lisse. L’illusion doit être presque parfaite pour tous les deux. Je le vois accélérer la cadence et je me dis que Maëlie va se régaler quand il la prendra réellement, elle qui aime ces pénétrations rapides et profondes, ces à-coups virils quand on la pénètre.

Les trois doigts sont en elle, elle se cambre, la bouche ouverte, commence à râler, à gémir. Il se cambre lui aussi, donne des coups de butoir de plus en plus violents, transmettant probablement les mouvements dans toute sa tendre chair, jusqu’à son petit clitoris vibrant de désir. Cette étreinte en plein air avec un nouvel amant, observée par son mari, la fait atteindre un niveau de plaisir qu’elle ne peut absolument pas cacher et, quand elle sent les jets de sperme brûlant jaillir du sexe de son amant sur son ventre, elle ne peut retenir un cri de jouissance qui accompagne un orgasme puissant. Il enfonce ses doigts jusqu’à la garde et je vois les muscles de tout le corps de ma compagne se contracter plusieurs fois, illustrant physiquement le raz-de-marée de plaisir qui l’inonde.

Je regarde, fasciné, s’écouler sur le sein et le ventre de ma femme la preuve physique de cet état de grâce qu’ils viennent d’atteindre ensemble. Tandis qu’ils se relâchent et s’affalent l’un sur l’autre, ma tension est extrême, comme déchiré dans mes entrailles par ce que je viens de voir. Je n’ai jamais souillé ma femme de la sorte, je ne trouvais pas ça correct, ni même excitant, d’ailleurs. Mais là, privés d’une possible pénétration, ils l’ont sublimée par ce jet de semence directement sur la peau. C’est d’une telle intimité, peut-être encore plus que ses doigts en elle, que mon cœur explose. Mon sexe aussi, d’ailleurs. Je le prends doucement dans ma main et je la fais coulisser deux ou trois fois, le souffle court, le regard figé sur le corps des deux amants, avant de libérer brutalement la tension accumulée en jets rapides dans le sable.

Mon orgasme à moi était isolé, individuel et associé à une chute brutale de ma libido qui me laisse seul avec ma jalousie qui me submerge. Je suis en train d’offrir ma femme à un inconnu, de me rendre moi-même cocu, et d’aimer ça. Je dois être fou ! Elle est si belle, si formidable, je devrais plutôt tout faire pour me la garder pour moi seul. Les pensées les plus terribles m’assaillent, au moment de la chute du désir, un peu comme une crise d’hypoglycémie d’un diabétique.

Et puis, le reflux de libido s’apaise, revient à un niveau normal et je commence à ressentir le plaisir de Maëlie par procuration. Elle vit une nouvelle aventure sexuelle et c’est intense, comme toutes les premières fois. Mais je suis avec elle et on la vit en couple, même si ce n’est pas moi qui était directement aux commandes pour lui procurer cet orgasme qui l’a soulevée il y a 3 minutes.
Vassilis a saisi un mouchoir en papier et vient essuyer les traces de son forfait sur ma douce. Elle lui sourit et lui dépose un baiser sur la bouche, pour le remercier, de son geste ou du plaisir qu’il vient de lui procurer, je ne sais pas. Mais ça me bouleverse à nouveau, d’une manière inattendue : je viens de voir un gars enfoncer trois doigts dans le sexe de ma femme, de lui rouler une gamelle à lui lécher les amygdales, elle lui a saisi la queue jusqu’à ce qu’il éjacule sur elle en une longue traînée de sperme… et me voilà tout retourné par un petit bisou. Mais c’est bien la preuve qu’il y a en moi une différence entre le sexe et les sentiments : laisser un autre procurer du plaisir sexuel, et, encore mieux, y participer avec lui, c’est quelque-chose que j’offre à ma compagne. En revanche, une éventuelle preuve de sentiment entre ma femme et un autre, ce serait tout autre chose ! Mais ici, je sais que ce n’est pas ça.

Juste après avoir déposé ce petit baiser sur ses lèvres, elle se lève et vient me prendre la main, le délaissant complètement :
- ça va ?
- oui, lui réponds-je avec un sourire. Et toi, ça t’a plu ?
- oui, mais j’aime mieux quand tu es là.
- Mais j’étais là, lui dis-je avec un petit sourire
- Allez, tu sais ce que je veux dire. On va se baigner ?
- Oui, je pense que tu as un peu besoin de te laver
- Exactement
- Mais, même si je n’étais pas là, ça ne t’a pas vraiment empêchée d’avoir un bel orgasme, non ?
- C’est vrai, dit-elle avec un petit sourire coquin
- Alors il ne faut pas se priver, c’est les vacances et ça nous fait du bien à tous les deux. Ce soir, je voudrais te voir faire l’amour avec lui, qu’il te pénètre. Ca te dit ?
- Bien sûr ! Mais tu seras là, aussi, non ?
- Evidemment, je ne vais pas te laisser seule avec lui ! Sinon, je ferais quoi, moi, pendant ce temps ? Je vais faire un loto avec les vieilles de l’hôtel ?
- Oui, mais tu participeras ?
- Je ne sais pas encore, on n’a pas besoin de planifier, on verra sur le moment. On a encore plus d’une semaine, on a le temps de faire des tas de choses.  De toute façon, oui, on le fera à trois, c’est sûr. Mais peut-être que tu feras l’amour vraiment avec lui une fois, avant. Non ? Ca ne te dit pas ?
- Je ne sais pas… Allez, viens, on va se baigner, on verra le reste plus tard.
Je me tourne vers Vassilis pour l’inviter à nous rejoindre, je ne veux pas le tenir à l’écart pour ce qui vient de se passer, au contraire. Quand on a notre genre de fantasme, ce n’est pas facile de trouver le bon partenaire, alors, quand ça arrive, il faut le soigner !

L’eau nous paraît plus fraîche, en l’absence du soleil qu’on avait en arrivant. Mais on est nus tous les trois, c’est une sensation étrange. On a toujours adoré faire l’amour nus en pleine nature, avec Maëlie. C’est délicieux, cette sensation de l’air qui circule sur tout notre corps, peut-être cette crainte d’être surpris. On est toujours plus excité qu’enfermés dans une pièce sombre. Et là, pour la première fois, on partage cette impression avec un autre. Mon sexe retrouve déjà de sa vigueur, malgré la fraîcheur de l’eau et il me semble que Vassilis aussi. On rentre doucement dans l’eau, avec précaution, quand cet énergumène se met à courir vers nous en levant les pieds bien haut au-dessus de l’eau, pour mieux nous éclabousser. Le froid me saisit et ma virilité en prend un coup, tandis que Maëlie crie et se retourne pour se protéger. Il va droit sur elle et la prend à bras le corps, la soulève et la bascule vers la surface de l’eau. Elle a juste le temps de crier « non ! » avant de se retrouver immergée.

Je pensais qu’il la lâcherait, mais il la sort de l’eau en la tenant toujours de la même façon, ses bras l’entourant au niveau de la poitrine. Je suis sûr que son sexe est contre ses adorables fesses. Il desserre un peu son étreinte, pour la placer devant lui, dos à lui, une main juste sous son sein et l’autre descendant sous l’eau, vers son ventre. Il l’a placée vers moi, comme pour m’intégrer dans leurs jeux. Elle me sourit, pour m’inciter à m’approcher. Elle se tourne vers lui et tend sa bouche vers ses lèvres qui s’entrouvrent. Je vois la langue de Vassilis rejoindre celle de ma belle épouse, dans un savoureux baiser. La main sous son sein remonte un peu et se saisit du mamelon durci par la fraîcheur de l’eau, son autre main se déplace, sans que je puisse connaître l’objectif avec certitude.
Je m’approche et viens me placer contre elle. Il retire sa main juste avant que nos corps se touchent, je le vois la déplacer vers sa hanche. La main sur le sein se déplace elle aussi vers son autre sein, ralentit pour le caresser, puis glisse sur le côté, comme pour tenir sa partenaire devant lui. Je vois son regard tomber sur le bas du dos de ma femme, pendant que je pose mon sexe dressé contre son ventre. Elle m’embrasse et je vois Vassilis toujours en contemplation de la surface. Je réalise qu’il doit avoir placé son sexe contre la raie de ma chérie et je vois à ses mouvements qu’il le fait doucement glisser le long de cette douce vallée. C’est vrai que les grecs sont réputés pour aimer ce genre de pratiques…

Maëlie me prend dans ses  bras et me caresse le dos, les fesses tout en m’embrassant. Son baiser est sensuel, sa langue me détaille, elle m’aspire, me suce, pendant que son amant joue avec elle. Il lui prend les deux seins et se plaque contre son dos, rêvant sans doute d’une étroite pénétration. Maisnous dit Maëlie
On rit et on descend le long des rochers. Je dois descendre un parasol en plus de mon sac, ma peau supportant difficilement le soleil, contrairement à Maëlie et Vassilis.
- On va se baigner ? demande notre ami.
- C’est parti !
On court tous les trois vers l’eau turquoise, trop contents de pouvoir enfin se rafraîchir après ce trajet en voiture. L’eau nous éclabousse et on frissonne, avant de se jeter dans l’eau tête la première. On se redresse et on avance un peu plus loin, pour pouvoir se laisser un peu flotter.
- c’est chouette ici, non ?
- C’est vrai que c’est génial, répond Maëlie. Y’a pas un bruit, personne, c’est superbe.
- Et tu peux même te mettre nu ici, si tu veux.
- Euh, non, ça va, merci, répond-elle un peu gênée
- Et pourquoi pas ? Je le fais moi. Tu sais, les grecs, on n’est pas trop gênés par ça. Et puis, il n’y a personne !
- Ah mais tu peux te mettre nu, si tu veux !
Je suis la conversation avec intérêt, sans y prendre part.
- Non non, je ne veux pas vous gêner. Je ne le ferai que si vous le faites aussi, on n’est pas obligés.
- Bon, ben, on verra peut-être plus tard.
Il me regarde avec un sourire gentiment moqueur
- Elle est timide, hein ?
- Ah ça, oui. Et puis, elle est toujours peur de ne pas être à la hauteur.
Il se retourne vers elle
- Alors là, je peux te dire qu’il n’y a pas de soucis : je t’ai vue en maillot de bain. Tu es magnifique.
- Bon ben ça va, on ne va pas parler que de ça, vous n’allez pas vous y mettre tous les deux !
Et elle balance ses deux mains vers la surface, face contre nous, pour nous arroser le visage. Vassilis rétorque aussitôt et il s’ensuit une petite bataille navale, dans laquelle les futurs amants s’arrosent, se repoussent et tentent de se faire couler, tout étant prétexte à entrer en contact l’un avec l’autre.

Après quelques minutes, je donne le signal de repli, commençant à me refroidir. Je sors de l’eau et vais chercher ma serviette pour me couvrir, le soleil étant maintenant masqué par une couche de nuages gris.
- Maintenant qu’on voudrait avoir chaud, il n’y a plus de soleil ! se plaint Maëlie.
- Attends, tu vas voir : si on va sur les rochers plats, là-bas, on peut mettre les serviettes sur le rocher bien chaud, c’est agréable.
Effectivement, il y a quelques rochers bien plats, en pente légère vers la mer, qui ont dû emmagasiner pas mal de chaleur. On se dirige vers eux pour y poser nos serviettes, mais je m’avise que je ferais mieux de me poser juste à côté, pour pouvoir planter mon parasol dans le sable. Il n’y a plus beaucoup de soleil, mais je sais par expérience que la lumière peut suffire à me procurer un sacré coup de soleil.
- Installez-vous dessus, si vous voulez, moi je vais me mettre là, juste à côté.
Le sable est à 2 m et, de toute façon, la seule partie assez plane pour recevoir des serviettes ne pourrait pas en recevoir plus de deux, et encore, si on se serre. Deux serviettes sont donc étendues sur le rocher, pendant que je plante le parasol juste à côté et que je me glisse dessous. Maëlie s’allonge sur le ventre avec un petit soupir de bien être et commence à se faire sècher. J’entame une discussion avec Vassilis sur la pêche sous-marine dans le secteur. Il indique qu’il aime bien venir y pêcher le poulpe.
- Désolée de vous interrompre, les garçons, mais quelqu’un pourrait me passer de l’huile solaire ? Je commence à chauffer.
Qu’elle est forte, ma chérie. Elle profite de la confusion qu’on peut faire sur le terme « passer » ; Elle pourra toujours dire qu’elle voulait juste qu’on lui donne la bouteille, si je fais une remarque. Je donne la bouteille à Vassilis pour qu’il la « passe » à Maëlie. Lui se pose vraiment la question de ce qu’on attend de lui, mais pas trop longtemps. Il l’ouvre et en verse sur le dos de ma compagne. Elle se redresse avec un air surpris, comme si ce n’était pas vraiment ce qu’elle attendait, puis :
- ah mais si tu veux, en fait, merci.
- Je croyais que tu voulais que je t’en passe ?
- Oui, que tu me passes la bouteille. Mais tu peux continuer, au contraire !
Il commence donc à étaler l’huile sur le corps svelte de mon épouse, qui n’a connu que mes caresses pendant des années, si on excepte cette soirée du mois de mai, qui avait, elle aussi, commencé par de l’huile, de massage cette fois.
- Tu peux détacher mon maillot, s’il te gêne.
- D’accord, ce sera plus facile, oui.
Il tire une extrémité de la ficelle qui forme une boucle dans le dos de ma femme et fait de même avec celle qui se trouve sur sa nuque. La voilà presque nue, aux prises avec un jeune grec séduisant. Il s’agenouille à côté d’elle pour pouvoir utiliser ses deux mains et parcourt tout le corps qui lui est offert. Il s’attarde sur le bas du dos, le haut des jambes, pour ne pas dire les fesses, puis remonte le long des côtes, de façon à pouvoir effleurer la poitrine, sans en avoir l’air. Plus un mot n’est échangé, chacun profitant de la scène à sa façon.

Au bout d’un long moment, Vassilis s’arrête, ne pouvant plus prétendre depuis longtemps qu’il ne faisait qu’étaler de l’huile pour protéger ma belle du soleil. Maëlie redresse a tête et sort son visage de son bras replié pour lui sourire :
- hmmm, merci, c’était bien agréable.
- De rien, pour moi aussi, répond-il, un peu gêné en me jetant un regard en coin.
Je souris et j’ajoute :
- tu es en droit de lui demander le même service, si tu en as besoin. Je préfère que ce soit elle que moi qui te le fasse !
- C’est vrai ? Bon, je n’en ai pas vraiment besoin, mais je veux bien quand même ! me répond-il avec un grand sourire.
Maëlie se redresse avec l’air épuisé de quelqu’un qui comptait justement dormir :
- t’es dur, là !
Mais elle ne se fait pas vraiment prier et se met à genoux, comme oubliant qu’elle ne porte plus de soutien-gorge. Aucun de nous ne lui en fait la remarque, de peur de briser cet instant. Vassilis l’observe un instant avec un sourire, semblant se repaître du spectacle de cette jolie poitrine, puis se tourne sur le ventre à son tour. Elle retourne la bouteille vers son dos, pensant sans doute que l’huile allait s’écouler comme de la crème solaire. Une grande quantité s’échappe et inonde le dos du jeune grec.
- oups !
Elle se jette sur l’huile qui s’écoule et tente comme elle peut de la maintenir sur le corps musclé de notre ami. Il porte un long bermuda en tissu qui lui descend presque jusqu’aux genoux.
- J’ai peur d’en mettre sur ton bermuda, avec tout ce que j’ai mis !
- Attends, ça, c’est pas un problème !
Il attrape son bermuda de chaque côté et, sans hésiter, le tire vers la bas, découvrant son beau postérieur. Il se tourne alors de mon côté pour ramener ses jambes vers lui et pouvoir retirer complètement ce vêtement sans dévoiler son sexe à ma femme. Elle aurait sinon compris qu’elle ne le laissait vraiment pas indifférent, ce qui ne m’a pas échappé, à moi. Maëlie reste un instant interloquée et me regarde brièvement, plus pour guetter une éventuelle réaction que pour demander une approbation. On en a déjà parlé la veille et on sait tous les deux ce qui va se passer ensuite.
elle frissonne, elle a froid maintenant qu’elle est mouillée. Elle prend doucement mon sexe dans sa main, et de l’autre, elle se saisit de celui de son amant. Elle nous manipule doucement, nous embrasse à tour de rôle. Je passe une main entre ses jambes et je m’aperçois que je sens la chaleur et la moiteur de son sexe malgré la présence de l’eau. Jmon sexe dans sa main, et de l’autre, elle se saisit de celui de son amant. Elle nous manipule doucement, nous embrasse à tour de rôle. Je passe une main entre ses jambes et je m’aperçois que je sens la c’ai envie de elle frissonne, elle a froid maintenant qu’elle est mouillée. Elle prend doucement haleur et la moiteur de son sexe malgré la présence de l’eau. J’ai envie de la pénétrer, mais elle nous repousse gentiment.
- J’ai froid, alors c’est tout pour le moment ! Pour le reste, on verra ça plus tard.
Elle nous fait à tous les deux un petit bisou avant de se diriger vers la plage et sa serviette. On se regarde avec Vassilis et on sourit. On la regarde s’éloigner, de dos, nue.
- Elle est très belle, ta femme.
- Merci, content qu’elle te plaise.
On remonte nous aussi, tous les deux au garde à vous. Mais, curieusement, ça ne me dérange plus.

Maëlie a commencé à se rhabiller, ayant un peu froid. Pour le trio, ça sonne le retour à l’hôtel. Le trajet en voiture est relativement silencieux, chacun étant un peu plongé dans ses pensées. Je suppose qu’aucun de nous ne sait trop comment se comporter dans ces nouveaux rôles qu’on vient d’endosser de l’amant, de la maîtresse et du cocu volontaire ! De mon côté, je me demande en plus comment poursuivre notre journée : je ne voudrais pas me sentir obligé d’intégrer Vassilis à toutes nos activités, désormais. Mais je ne me vois pas non plus le congédier pour les 2 prochaines heures et le convoquer dans notre chambre plus tard. Finalement, c’est lui-même qui me sort de ce problème :
- la route passe près d’un petit village où il y a un petit port et je connais une auberge où on mange très bien, ça vous dit qu’on s’y arrête ?
Donc un endroit où on pourrait être vu avec Vassilis sans que tout l’hôtel jase sur la relation que pourrait avoir le petit couple de français avec le beau serveur…
- Oui, c’est une bonne idée, on peut faire ça.
On vient de trouver le moyen de passer les 2 prochaines heures, entre quelques verres de Retsina, salades grecques et bœuf à la cannelle. Alors que Vassilis s’absente quelques minutes, Maëlie me demande :
- Tu veux lui demander de rester un peu avec nous ce soir ?
- Tu veux dire, est-ce que j’ai envie qu’il te fasse l’amour dès qu’on arrive à l’hôtel ? Oui, ça me paraît un programme plus intéressant que la soirée karaoké.
Elle sourit, un peu gênée quand même par cette situation. Demander à son mari s’il veut bien inviter son amant à rester, c’est un peu inhabituel.
- Arrête, ne dis pas ça ! Je ne veux pas « faire l’amour avec lui ». Et puis, tu seras là aussi, non ?
- Ben oui, mais c’est quand même lui que tu veux.
- Oui, mais avec toi. Et puis, je ne veux pas « faire l’amour » avec lui.
- Ah bon, tu veux faire quoi alors ? Tu préfère que je dise « baiser » ?
- Non ! On peut dire « coucher », non ? « Faire l’amour », c’est avec toi.
- Hmmm, c’est mignon. Bon, ça me convient.
- Tu lui demanderas, alors ?
- Ah en plus, c’est moi qui dois lui faire ta demande ! lui dis-je avec un air coquin.

Je fanfaronne, mais je n’en mène pas large. On a déjà eu l’expérience avec Benjamin, mais ce n’était pas préparé et puis, avec quelques verres, on n’avait pas vraiment eu le temps ni la capacité de méditer ce qui allait se passer. Là, on dirige plus les choses, et on le fait à deux. On ne peut pas se mentir et prétendre que ce sera arrivé par accident.

Quand on regagne l’hôtel, il est 21 h et avant que Vassilis ne se demande comment agir, je lui demande :
- Tu restes discuter un moment avec nous, dans la chambre ?
- Oui, ok.
On sait très bien qu’on ne va pas discuter beaucoup, mais c’est plus facile que de lui demander abruptement si ça lui dirait de se taper vraiment ma femme, maintenant !

- Je vous laisse dix minutes, je vais prendre une douche, je suis pleine de sel.
Je repense à notre douche à trois, avec Benjamin, mais je trouve que ce n’est pas idéal. On sera mieux dans la chambre, bien installés, à prendre notre temps. On discute un peu avec Vassilis, comme si de rien n’était. Maëlie ressort de la douche, simplement habillée d’une petite culotte, même pas un maillot de bain, et d’une chemisette déboutonnée jusqu’à la naissance de ses jolis petits seins. L’érection me gagne immédiatement !

- Vas-y, Vassilis, si tu veux faire la même chose
- Non, non, vas-y en premier, si tu veux.
C’est ça, que je te laisse seul avec elle pendant ce temps ? Hmmm, de toute façon, je ne vois pas comment faire autrement, il faudra bien que je les laisse à un moment ou à un autre.
- Ok, je fais vite alors !

C’est une douche express, et je suis bien content qu’il n’y ait pas d’orage : avec mon engin dressé vers le ciel comme ça, ça ferait un sacré paratonnerre ! Je sors de la salle de bain avec un nouveau maillot de bain et un t-shirt, qui finit d’absorber l’eau que je n’ai pas pris le temps d’essuyer sur moi. Je les retrouve tous les deux assis en train de discuter bien sagement, et non en train de copuler frénétiquement comme je me l’étais imaginé sous la douche.

- C’est libre, tu peux y aller
- Ok, j’y vais. Je peux vous emprunter une serviette ?
- Sers-toi, tu sais où elles sont !

Je me retrouve avec mon épouse, plus belle que jamais. J’ai une furieuse envie d’elle, mais je sais que ce soir, elle va faire l’amour avec un autre que moi. Pardon, elle va coucher avec lui. Il est en ce moment nu sous la douche et nous rejoindra d’un instant à l’autre. Je me lève pour baisser les stores et, en revenant, je m’arrête derrière le dossier de son siège et je glisse mes mains dans sa chemise ouverte. Sa peau est douce, elle sent le frais, ses seins sont chauds. En se penchant en arrière pour me regarder, elle m’offre son buste que je caresse amoureusement.
Je glisse mes mains sur sa gorge, chacune descendant doucement vers un sein pendant que ma bouche et ma langue caressent ses lèvres. J’adore quand elle s’habille comme ça, laissant deviner plus qu’elle ne montre. Elle se laisse aller en arrière et je me penche un peu plus pour l’embrasser sur la gorge, puis descendre vers sa douce poitrine. Je défais encore un bouton, pour la dévoiler un peu plus. Mes mains se rassemblent sur son sein pour repousser le tissu de la chemise et offrir son mamelon à mes lèvres. Je le suce doucement, un instant, puis me redresse, mes mains parcourant son corps du ventre à ses épaules, en s’attardant sur son buste délicat.

Je me redresse complètement et elle se lève pour venir vers moi et m’embrasser. Je défais le dernier bouton qui ferme encore un peu sa chemise et mes mains partent explorer toute la surface de sa peau qui est encore dissimulée aux regards. Et à propos de regard, il y en a qui s’est posé sur nous sans qu’on s’en rende vraiment compte. Vassilis vient de nous rejoindre, une simple serviette autour de la taille.

- j’ai hésité à remettre mes vêtements, mais, juste après la douche, j’ai pensé que ce n’était pas une très bonne idée, ils sont pleins de sel.
- Oui, tu as eu raison, lui répond Maëlie sans quitter mes bras.
De mon côté, je lui caresse ostensiblement la poitrine, le ventre, le dos et j’observe que la serviette enroulée autour du corps de notre Apollon ne lui laisse pas toute la liberté qu’il aimerait. Je pense au numéro du magicien qui fait rouler une boule sur un foulard qu’il tient à deux mains, puis la boule disparaît derrière le foulard et vient le pousser au milieu, sans que le magicien ait lâché les extrémités un instant. Là aussi, on dirait qu’il y a un être animé derrière la serviette qui pousse pour remonter !

Vassilis se dirige vers nous et pose une main sur le ventre de ma femme, attendant sa réponse. Elle le regarde intensément et il se penche vers elle pour l’embrasser à son tour. Elle lui rend son baiser, sensuellement. Je me sens à la fois gêné de cette proximité avec ce garçon qui l’embrasse et surexcité de la voir l’embrasser de cette façon. Je vois la barbe naissante du jeune homme et je me demande comment elle peut éprouver du plaisir à ce contact, qui, moi, me repousse. Je me recule insensiblement et je vois leur langue se mêler, ses mains parcourir son corps. Maëlie pose une main sur son dos et commence elle aussi à le caresser. Je lui prends la main qu’elle avait encore sur mon dos pour la passer devant moi et la tourner un peu plus vers lui. Elle pose cette main libérée sur le ventre musclé du beau grec et je reste derrière elle, mon sexe dressé contre ses jolies petites fesses.

Il prend son menton dans sa main, comme pour mieux diriger son baiser, puis glisse sur sa joue, son cou, son sein. Il s’y attarde, le prend entièrement dans sa main, doucement, puis le presse légèrement, le relâche, s’éloigne vers le ventre, puis revient, remonte sur la clavicule, l’épaule, et entraîne en arrière la chemise complètement ouverte. Il fait de même avec sa main gauche et Maëlie laisse tomber sa chemise ouverte par terre. Elle pose ses mains sur les reins de son amant pour le serrer un peu plus contre elle, insère ses pouces entre la serviette et le corps musclé, puis tire doucement pour faire céder le fragile stratagème qui la retenait enroulée contre le corps viril. Je vois le tissu éponge s’entrouvrir, puis s’écouler comme de l’eau tandis qu’elle le laisse tomber au sol.

D’une main légère, elle flatte le membre qui se redresse immédiatement, sourit au jeune grec, à moi, puis se dirige vers la chambre, uniquement revêtue de sa petite culotte.
Nous la suivons tous les deux et je me demande s’il est possible qu’il soit plus excité que moi. Elle s’est arrêtée à côté du lit et se retourne vers lui. Il brandit son sexe fièrement, sans aucune gêne apparente. Il la prend à nouveau dans ses bras et l’embrasse langoureusement, ses mains parcourant tout le dos et les fesses de l’amante qui lui est offerte. Il la repousse légèrement pour la faire basculer sur le lit et s’allonge sur elle. Sa bouche quitte celle de Maëlie pour venir s’égarer dans son cou, puis ses épaules et, enfin, ses seins. Elle a un large sourire, bouche ouverte et les yeux fermés, comme pour mieux savourer ces instants. Il joue avec les mamelons durcis qu’il suce et embrasse de plus en plus fougueusement. Elle commence à onduler de plaisir, lui caressant le dos, la tête, les bras. Elle ne sait visiblement plus comment se remplir assez de lui pour la satisfaire. Il poursuit son exploration en embrassant son ventre plat, puis encore un peu plus bas, sur le délicat triangle de son tout petit string. Il semble vouloir dévorer son sexe, il y pose sa bouche ouverte, le referme, massant ainsi le sexe de ma femme à travers le tissu.

Elle ouvre grand la bouche pour avaler une grande quantité d’air et se cambre, comme pour plaquer encore plus son entrejambe sur la bouche avide de son amant. Il passe ses bras sous ses jambes pour venir s’installer entre celles-ci, plaquant ses mains juste sous les seins de la belle, sur ses côtes nues. Ils semblent survoltés tous les deux, la tension sexuelle est énorme. Elle l’est pour moi aussi. J’ai le souffle court et je ne suis plus capable de respirer par le nez uniquement. J’ai la bouche ouverte et j’halète, je sens mon cœur s’affoler dans ma poitrine. Le beau grec attrape le petit string de chaque côté et le tire vers la bas d’un mouvement décidé. Maëlie pose ses pieds sur le lit pour soulever son bassin et en profite pour se repousser plus loin sur le lit. Vassilis retourne entre ses jambes et semble se délecter par avance du moelleux nectar qui ne doit pas manquer entre les jolies jambes de ma femme.

Il plaque sa bouche sur les pétales de son sexe et je le vois s’activer doucement. La tension semble retombée pour tous les deux, maintenant qu’ils peuvent assouvir leur soif de plaisir. Ils s’adonnent aux caresses, elle lui offre son intimité qu’il saisit à pleine bouche. Il lui relève un peu plus les jambes, ce qu’elle lui laisse faire avec générosité, pour plaquer sa langue sur le sillon humide et le remonter sur toute la longueur, avec voracité. Il aspire son clitoris, puis reprend la manœuvre en plaçant sa langue à chaque fois plus près de son petit œillet qui se détend doucement sous les attouchements. Il s’attarde longuement sur les douces lèvres de mon épouse, lui soulevant les jambes, les écartant, lui attrapant un sein, pinçant un mamelon durci d’excitation, pendant qu’elle râle et soupire, entrouvrant parfois brièvement les yeux pour s’assurer de ma présence discrète.

Les doigts de son amant retrouvent le chemin de la vulve ouverte par sa langue, se promenant lentement entre les lèvres lubrifiées de désir. Il introduit un doigt, une phalange, puis ressort en suivant le fond du sillon vers son périnée, s’enfonce à nouveau, un peu plus loin, pendant que sa langue flatte le petit bourgeon ou se faufile sous les grandes lèvres. Quand l’humidité de sa salive mêlée à celle du sexe trempé de plaisir devient trop abondante, il plaque à nouveau sa bouche sur la douce ouverture et aspire le délicieux nectar, tout en profitant de la manœuvre pour attirer dans sa bouche les lèvres fines et les titiller de sa langue.

Je voulais participer, mais je suis subjugué par le spectacle et l’érotisme qui s’en dégage. Je prends un plaisir de voyeur, tout en me réjouissant de celui que s’octroie visiblement ma compagne. Je la récompense de sa fidélité et de son amour pour moi par une preuve d’amour de ma part : lui permettre de prendre un amant sans souffrir de la culpabilité qui devrait accompagner cet acte, sans craindre de mettre en péril tout ce qu’on a construit ensemble. Elle vit pleinement sa relation, savoure les attouchements de son bel amant, retrouve l’excitation du sexe pour le sexe, celui de la première fois avec un nouveau partenaire. Dans un couple, on se déshabille devant l’autre sans plus ressentir son regard sur soi. Là, en s’allongeant devant lui, en acceptant qu’il lui retire son string, son dernier rempart contre la nudité, elle s’est offerte à son regard, avant de lui laisser prendre son corps. Elle a ressenti les frémissements qui parcourent la peau quand on se retrouve complètement nu devant un nouveau partenaire.

Pendant qu’il s’affaire entre ses jambes, à genoux devant notre lit, je passe derrière Vassilis pour localiser nos préservatifs. J’en sors plusieurs de la boîte, ne sachant pas encore exactement à quoi m’attendre : est-ce que je participerai ? Est-ce qu’il va la prendre à la grecque ? Est-ce qu’on la pénétrera tous les deux en même temps ? En me penchant vers le sac qui contient les protections de latex, je jette un œil en direction du couple. Je vois nettement les lèvres soigneusement épilées être parcourues par la langue habile de Vassilis. Je le vois poser une main à plat sur les deux fesses, pendant qu’il lui soulève un peu le bassin par la jambe qu’elle a posée sur son épaule. Son majeur circule tout autour du petit œillet qui a bénéficié du surplus de lubrification prodigué par le jeune amant. Il tire un peu d’un doigt sur l’étroite ouverture et j’observe que celle-ci est bien relâchée, bien souple. C’est un signal qu’elle accepte déjà le principe d’une pénétration de la sorte, qu’elle soit le fait de ses doigts ou, plus tard, de son pénis, bien plus large.

Je le vois d’ailleurs tester ce qu’il a déjà compris, lui aussi. Il pousse doucement son doigt dans le passage et je le vois disparaître sans résistance jusqu’à la première phalange. Une contraction involontaire semble l’avoir interrompu dans sa progression, mais son travail buccal, lui, se poursuit avec bonheur. Quand il la sent se relâcher à nouveau, il reprend la poussée et c’est tout son index qui disparaît cette fois à l’intérieur. Elle a toujours une jambe posée sur l’épaule de son amant et elle tient l’autre contre sa propre poitrine, pour l’assurer du meilleur accès à toute cette zone de plaisir. Il exerce une pression latérale avec son doigt, d’un côté et de l’autre, pour diminuer l’étreinte et lui permettre de commencer un mouvement de va-et-vient, qu’il rend plus fluide grâce à de la salive généreusement déposé à chaque fois que son doigt se ressort.
Je suis un peu surpris de la facilité avec laquelle elle lui accorde ce privilège, qui augure de celui bien plus important qu’elle ne manquera pas de lui céder également. Je suis le premier à y avoir eu droit et je ne l’avais pas tenté avant plusieurs semaines d’étreintes répétées et passionnées. D’ailleurs, pour être honnête, je n’avais rien « tenté ». Simplement, une position un peu inhabituelle, un préservatif qui me prive un peu de sensations m’avaient amené par erreur devant le passage inviolé et elle m’avait laissé le prendre, croyant que c’était réellement mon objectif. Nous étions allongés en « petites cuillères » et cette position ne me permettait pas une grande liberté de mouvement, alors je m’étais retiré et je m’étais assis sur le canapé, l’invitant à s’installer sur moi. Elle s’était d’elle-même empalée à nouveau sur le pieu que je lui présentais et en avait tiré un plaisir bruyant en quelques instants. Je pensais que c’était un peu un cadeau qu’elle m’offrait, et qu’il me serait réservé à jamais. En réalité, ses amants précédents ne lui avaient pas permis de soupçonner le plaisir qu’on pouvait procurer de cette façon et le hasard avait fait qu’elle l’avait découvert avec moi. Aujourd’hui, elle ne voyait sans doute pas pourquoi elle devrait se le refuser, alors qu’il peut être si puissant.

Vassilis retire lentement son doigt parfaitement lubrifié et dépose un baiser sur le ventre de ma femme juste au-dessus du pubis. Il remarque alors les préservatifs que j’ai déposés négligemment à côté de lui, pour ne pas être obligé de lui donner en mains-propres (ce qui n’était d’ailleurs plus possible !). Il se saisit d’une petite enveloppe métallique et pose un genou sur le lit, juste derrière les fesses de Maëlie. Il tient dans sa main gauche la jambe de Maëlie qui reposait sur son dos et il la repousse tout en la soulevant, pour lui faire comprendre qu’il veut maintenant la rejoindre. Elle se déplace vers le centre du lit, il emprisonne son pénis dressé dans sa petite camisole de latex. Il lui tient toujours la jambe droite relevée et masse le sexe ruisselant du plat de la main, avant d’y insérer brièvement deux doigts, ce qui la fait se cambrer.

Il repose la jambe de ma belle épouse, et recule un peu ses genoux, de façon à amener l’extrémité de son phallus sur la zone qu’il vient d’exciter à nouveau. Il semble fouiller le ventre de Maëlie de son dard, avançant, reculant, se déplaçant sur un côté ou l’autre. Elle, se tord de désir d’être enfin prise comme il se doit, pénétrée et labourée par un fougueux amant. Il finit par mettre fin à son supplice et s’enfonce en une fois, mais sans brutalité, dans le sexe bien lubrifié de ma femme. Il s’enfonce jusqu’à la garde et observe son visage, savourant le plaisir qui la submerge et qui se lit sur ses traits. Il garde appui sur ses deux mains posés de chaque côté de sa maîtresse et commence un ample mouvement de va-et-vient, qu’il termine par un puissant coup de reins à chaque trajet qui arrache un cri rauque à mon épouse, offerte. Il passe sa main à nouveau sous sa jambe droite et la soulève, puis fait de même avec l’autre jambe. Il commence alors un véritable pilonnage de cette victime consentante, s’enfonçant en elle de toute sa longueur, faisant disparaître à chaque fois la petite collerette du préservatif entre les lèvres intimes de la belle.

Quand il semble en partie affranchi de cette frustration sexuelle qu’il accumulé tout l’après-midi, rêvant de la posséder depuis déjà des heures, il se retire et vient se placer derrière elle, pour une approche plus sensuelle. Il s’allonge contre elle dans son dos et elle se saisit de son membre sans se retourner, pour le masturber doucement. Elle ouvre à nouveau ses jambes et en place une en travers de son amant, m’offrant ainsi une vue sur l’intimité qu’elle vient d’offrir à son Apollon, ainsi qu’un accès libre à celui-ci. Il la laisse s’occuper de son pénis tandis qu’il caresse fébrilement son corps, passant et repassant sur ses hanches, son ventre, ses seins, l’embrassant dans le cou, la plaquant contre lui en lui enserrant la poitrine. Elle se tend vers lui pour lui offrir sa bouche, qu’il prend avidement, pendant que sa main droite flatte son joli sein bien rond, puis glisse vers son mont de Vénus maintenant délaissé. Leurs langues se lient, se délient, un doigt glisse en elle, puis deux. Elle guide le solide braquemart vers son entrejambe et le maintient en place pendant que son amant le pousse du bassin, afin de reprendre possession d’elle.

Il y a quelque-chose de plus que du sexe entre eux. Elle ondule de plaisir, mais également pour faire entrer chaque parcelle de son corps en contact avec celui de son amant. Il la pénètre avec douceur, dans un rythme régulier et accompagne ses profondes pénétrations de caresses sur tout le corps de ma femme, la couvrant dans le même temps de baisers. Elle lui offre son sexe, tout en se tournant sur le dos, se cambrant sous la pénétration, lui présentant ainsi sa douce poitrine. Il s’en saisit avec passion ; la presse, puis la relâche, pour descendre sur son ventre creusé par sa position cambrée. Elle pousse ses fesses vers lui, pour mieux s’empaler, ouvre ses jambes pour lui permettre de s’enfoncer autant qu’il le peut, bascule sa tête en arrière pour rechercher sa bouche et sa langue.
Ils sont tellement beaux ensemble, Maëlie semble tellement absorbée par la passion que je les laisse faire et que je savoure, une délicieuse brûlure de jalousie me consumant les entrailles et le cerveau. Je vois bien qu’elle est folle de lui, de son physique, en tout cas. C’est vrai qu’il est très beau, je dois bien le reconnaître. Elle est complètement submergée de désir, de l’avoir pour elle, de pouvoir toucher son corps, de se faire lécher, embrasser par cet Apollon. Elle n’en revient pas d’avoir son sexe en elle, de le sentir limer sa petite chatte trempée en lui prenant les seins, de le sentir bander tellement fort pour elle, rien que pour elle. C’est le mec sur lequel se retournent toutes les filles, et il est en train de la prendre, de la serrer contre lui en parcourant tout son corps de ses mains et de sa bouche, de sa langue.

Je n’y tiens plus, je les vois faire l’amour et moi, je suis là, à regarder, une nouvelle fois. J’avais envie de la voir s’offrir à lui, de l’avoir rien que pour elle. Mais je crois qu’elle a eu son quart d’heure de plaisir, je ne veux pas finir encore une fois en mode manuel pendant qu’ils prennent un pied d’enfer ensemble. Je jette mes vêtements par terre et je me place devant ma chérie, qui se fait toujours pilonner par son bel étalon. Elle a toujours une jambe par-dessus son corps, mais a le dos contre le lit, après s’être retournée pour pouvoir l’embrasser. Je me place à côté d’elle et je touche son sein, pendant que Vassilis lui maintient le bassin contre le matelas et coulisse régulièrement en elle, donnant parfois un coup de rein plus profond. Elle est surprise et ouvre les yeux, elle me sourit et tend sa bouche vers mon sexe, qu’elle prend d’une main.

Je la laisse me titiller de sa langue, pendant que le grec nous regarde sans interrompre sa pénétration. Elle parcourt ma tige tendue pour elle, je l’aide de mouvements du bassin car elle est un peu immobilisée. Sa bouche transmet parfois les à-coups de son amant, qui s’en rend compte et stoppe pour la laisser me lutiner gentiment. Il nous regarde et je suis un peu gêné, c’est comme s’il observait fonctionner notre couple. Mais de toute façon, je sais qu’on n’en est plus là : il fait partie maintenant du fonctionnement de notre couple, et je ne crois pas qu’il se pose de questions. Il profite de l’instant qu’on lui offre, c’est tout.

Maëlie me prend doucement dans sa bouche, j’adore le contact de ses lèvres sur moi. Je réalise à ce moment qu’elle a toujours fait une pipe à tous ses amants, y compris si elle n’avait couché qu’une seule fois avec eux. Pour pouvoir continuer à le dire, il va falloir qu’elle s’occupe de Vassilis à un moment ou à un autre. Mais ce ne sera probablement plus ce soir, on est trop avancé pour revenir à autre chose. Je pense qu’il ne voudra plus quitter son antre douillette.

Et pourtant, alors qu’il semblait immobile depuis un moment, je le vois poser une main sur une fesse de mon épouse et la repousser un peu. Elle gémit en regardant dans sa direction et je comprends qu’il vient de se retirer. Je suis un peu surpris, mais je suis trop perdu dans la recherche de mon plaisir pour vraiment y penser. Je l’aperçois tirer un peu la jambe de ma belle encore plus en arrière, sur son corps, et sa main glisser entre ses jambes. Il semble être descendu plus loin que son petit minou qui l’a si bien accueilli. Il profite de la cyprine recueillie sur le sexe encore ouvert de ma femme pour humidifier son majeur et l’introduire à nouveau dans le petit orifice.

Il se glisse sous elle et je le vois placer à nouveau sa tête entre ses jambes, mais par en-dessous, soulevant bien la jambe de ma chérie pour pouvoir lui butiner le petit trou à loisir. Elle ralentit ses mouvements sur moi, sa concentration s’étant déplacée vers les nouvelles sensations. Je décide de me reculer pour la laisser profiter du travail de cette langue agile qui la découvre et s’enfonce en elle. Il a déjà introduit un doigt en elle et modifie la position de la jambe pour faciliter la pénétration d’un deuxième. Du coup, je pose ma main sur la petite chatte de Maëlie et j’y glisse moi aussi un doigt, ce dont je rêve depuis l’après-midi : je l’ai laissé la caresser, la doigter, la lécher, la pénétrer, pendant que moi, je ne pouvais que rêver de ces caresses. Elle a maintenant trois doigts en elle, de deux différents amants.

On joue tous les deux à alterner de profondes pénétrations, du moins, aussi profondes que nous le permettent nos doigts. Nos mouvements sont prudents, pour ne pas la blesser, mais on observe tous les deux ses réactions sur son visage, on lit sur son corps. On peut dire qu’on lit aussi en braille, tant son excitation est perceptible sous nos doigts, on la sent palpiter, trembler.
J’ajoute quelques petits coups de langue sur son clitoris, mais sans exagérer, tant je la sens prête à partir. Vassilis doit le sentir aussi car il arrête ses mouvements et scrute ses réactions sur son visage, entre deux baisers sur son cou, sa bouche, ses seins. Elle lui glisse furtivement la langue entre ses lèvres et il l’aspire un instant. Je le sens se retirer lentement et je fais de même, pour la laisser reprendre un peu le contrôle d’elle-même. Son répit est de courte durée, car je vois Vassilis repousser d’une main une petite fesse et ajuster sa position pour présenter son membre à l’entrée qu’il vient de préparer. Je sens leurs corps se tendre tandis qu’il pousse doucement pour s’introduire. La pénétration semble douce, Maëlie n’a aucune crispation, aucune grimace de douleur. Au contraire, elle semble au bord de l’extase et gémit de plaisir.

Je me saisis moi aussi d’un préservatif que j’enfile rapidement. Vassilis me voit faire et comprend ce que je veux, il roule un peu sur le dos et entraîne Maëlis avec lui. Elle, ne m’a pas vu et cherche à se redresser un peu, pensant que son amant voulait juste changer d’angle de pénétration. D’ailleurs, ce n’était pas son idée initiale, mais il semble apprécier le changement et l’aide à se redresser, en la poussant des deux mains contre ses omoplates. Elle se redresse avec précaution et je vois sa bouche s’ouvrir, sa tête s’incliner en arrière, tandis qu’elle se retrouve assise sur la bite dressée, littéralement empalée. Lui, ouvre un peu ses jambes, pour permettre à Maëlie de descendre encore un peu, si c’était possible. Elle pousse un petit cri en aspirant de l’air à pleins poumons. La pénétration est profonde, je ne suis pas sûr de l’avoir jamais pénétrée aussi loin. Mais elle ne souffre pas, au contraire. Je suis partagé entre la satisfaction de son plaisir et la frustration de ne pas en être la seule source.

J’attends encore un instant, puis je viens me placer devant elle. Elle ouvre les yeux et me regarde, elle se soulève de quelques centimètres avant de se laisser redescendre doucement. Elle recommence une fois ou deux, le regard perdu dans le vague, me regardant sans me voir vraiment, aveuglée par ses sensations. Je m’avance encore un peu, jusqu’à la toucher. Soudain, elle semble revenir à elle et comprendre. Comprendre que je ne veux pas interrompre ce plaisir mais lui en procurer un nouveau. Elle se laisse aussitôt aller en arrière et ouvre elle aussi les jambes. Je regarde un instant le dard fiché profondément dans la chair de ma femme allongée, offerte à ses deux amants. La chair gonflée de sang vient comprimer son périnée, mais sa petite chatte me semble bien accessible malgré tout, les lèvres béant légèrement après les assauts de son jeune amant.

Je me positionne tant bien que mal entre leurs jambes emmêlées et je fais jouer mon gland sous latex entre ces lèvres qui m’appellent. Je réalise alors que je n’ai pas besoin de ce préservatif, que c’est quelque-chose que je peux lui offrir et que lui ne peut pas. Je m’empresse de le retirer et de le jeter à terre, pour reprendre la manœuvre. Sa réaction est immédiate, elle pousse un nouveau petit cri de plaisir et je la vois se redresser pour me regarder avec un sourire qui lui fend le visage, bouche ouverte. J’ai du mal, au début, à ne pas être paralysé par le contact de mes testicules avec une partie du sexe de Vassilis. Mais je me concentre sur Maëlie et le plaisir que j’ai à la voir aussi exaltée. Mon cœur palpite comme un fou et je ne pense plus qu’à la prendre, le reste disparaît de mon esprit. Si je ressens encore le contact avec l’autre phallus, je transpose sur ce que doit ressentir mon épouse, je partage une sensation avec elle et ça renforce mon excitation.

Je me place au-dessus d’elle pour trouver un meilleur angle, pour ne plus seulement glisser entre ses lèvres mais m’enfoncer en elle. Elle replace elle aussi son bassin pour m’y aider, s’empalant à nouveau au mieux sur le pieu de chair érigé pour elle. Soudain, je sens sa vulve entourer mon gland, je reconnais le contact tout autour de l’extrémité de mon sexe qui m’indique que j’ai commencé à m’immiscer et je me laisse petit à petit couler en elle. Elle râle et se cambre, la tête basculée en arrière, contre la joue de son amant qui l’embrasse partout fougueusement. Il ne peut plus agiter son sexe en elle mais il doit me sentir lui aussi la prendre, comme je sens derrière elle une résistance inhabituelle.
L’excitation de toute la journée est là, accumulée dans mon sexe tendu qui coulisse délicieusement dans cet antre humide. Je vois la main de Vassilis couler de la poitrine de mon épouse vers son ventre, puis son sexe. Je me redresse et j’hésite, car je n’ai aucune envie d’être manipulé par un autre homme. Mon excitation, du coup, marque le pas. Mais il ralentit en sentant le pubis épilé et progresse alors prudemment à la recherche des lèvres de la petite chatte. Il trouve les petits plis qui entourent encore le clitoris et il les prend délicatement entre deux doigts, les massant avec douceur tandis que son autre main pétrit un sein. Rassuré, je reprends mon va-et-vient. Je me retire presque entièrement, regarde l’image que nous formons tous les trois, ma femme prise en sandwich par deux hommes, l’un lui pétrissant un sein tout en la masturbant, son sexe bien planté entre ses jolies petites fesses, tandis que l’autre la ramone langoureusement, déployant tous les efforts de concentration pour ne pas perdre le contrôle trop vite.

Puis, je m’enfonce en elle à nouveau, écrasant presque la main qui caresse son sexe. Je sens monter un plaisir inextinguible, je sais que je ne vais plus pouvoir le juguler bien longtemps. On vit un fantasme mille-feuille qui nous plonge dans une folie sexuelle qu’on n’imaginait pas vraiment : ma femme fait l’amour avec un autre homme, ce qui ne lui était arrivé qu’une seule autre fois en dix ans. Ce gars doit faire fantasmer la plupart des filles qu’il croise et il est en train de lui faire l’amour, à elle. Il le fait devant moi, ce qui était un fantasme pour moi, mais qu’elle s’est mise à partager depuis un moment. C’est aussi le seul qui l’ait sodomisée dès le premier rapport sexuel. D’ailleurs, il n’y a que trois mecs qui ont eu ce privilège. Et pour finir, Maëlie s’offre une double pénétration, tout en douceur et sensualité. C’est bien plus qu’on n’aurait pu imaginer. Je me retire à nouveau et replonge très vite en elle, sentant un frisson remonter depuis la base de ma verge. Je me plie légèrement, pour me faire plus léger et pouvoir pivoter plutôt que d’avancer et reculer, de façon à accélérer mon mouvement. Je commence à râler quand je sens tout mon corps bouillonner à partir de mon entrejambe. Maëlie reconnaît le signal et elle n’arrive plus à retenir ses gémissements, mon plaisir semblant se transmettre à elle à travers mon sexe qui la laboure.

Vassilis lâche la douce poitrine pour placer sa main sous les fesses de ma femme et tenter de la soulever, de façon à pouvoir se redonner un peu de liberté de mouvement. Il se met à la pilonner à petits coups rapides par en-dessous, tandis que je lime de toutes mes forces son vagin inondé qui clapote sous les coups de boutoir. Soudain, la semence jaillit de moi et se répand dans le corps de ma femme, déclenchant l’orgasme qu’elle cherchait à retenir. Elle semble s’arrêter de respirer, de bouger, comme pour arrêter le temps, ou pour laisser le plaisir envahir chaque parcelle de son corps.
- Ah ! J’vais jouir ! oh non. Oh non ! nooon ! NOOOONN !! aah ! AAAAAHH !!!
Ses cris sont libératoires, la récompense de tous nos efforts, en plus de notre propre jouissance. Je la regarde se crisper, se détendre brutalement, elle semble se débattre comme un poisson hors de l’eau, empalée sur deux lances charnelles qui la transpercent.
e sens son sexe se contracter sur le mien, les frissons la parcourent, partent du ventre et remontent tout le long de son corps tendu, moite. Elle crie son plaisir, elle qui est d’habitude plutôt réservée. Vassilis serre les dents et grimace, comme si on lui arrachait ce plaisir qui monte en lui. Il continue ses mouvements en elle et semble s’épanouir soudain : sa bouche s’arrondit, ses yeux s’écarquillent, son corps se tend et il enfourne son dard au plus profond de l’intimité de Maëlie, pour se répandre en elle. Je sens leurs contractions à tous les deux, j’ai l’impression de percevoir le trajet de la semence le long du chibre enfoui dans le rectum de ma chérie, jusqu’à jaillir en elle. On est tous trois agités de soubresauts accompagnés d’exclamations bruyantes. L’orgasme est fort, prolongé, violent, pour tous les trois. Il nous assaille et nous libère en même temps, brûlant au passage toutes nos forces. Toute notre énergie passe dans la transformation de ce plaisir en sensations physiques qui agitent nos corps.

Nos corps qui s’affaissent, épuisés, les uns sur les autres. Je roule légèrement sur le côté, encore partiellement sur Maëlie, elle-même couvrant en partie le corps de son amant qui la retient toujours par le bassin, après une ultime poussée au fond d’elle. Les respirations se calment, les membres s’effondrent, les pensées s’évadent et parcourent à nouveau cette zone de fantasme qu’on vient de traverser, avant de nous entraîner vers une douce inconscience.

Je suis le premier à émerger et je me retire doucement pour aller me doucher et me rhabiller. J’aimerais bien dormir vraiment, maintenant, mais je n’ai plus vraiment envie de partager notre lit avec un autre. Je retourne vers la chambre et je vois les deux corps qui n’ont presque pas bougé, comme s’ils partaient pour une nuit complète. Je m’arrange pour faire assez de bruit pour qu’ils comprennent tous les deux que je n’ai pas l’intention de me recoucher comme ça. Je vois un œil s’ouvrir, puis deux, et un premier mouvement d’un bras, qui me prouve que ma manœuvre a fonctionné. Au bout d’une dizaine de minutes, ils sont tous les deux réveillés mais semblent plongés dans une sorte de léthargie.
- vous voulez boire quelque-chose ?
Je donne l’impression de me soucier de leur bien être, mais je veux surtout achever de les réveiller.
- non, merci, je crois que je vais aller prendre une douche surtout, me répond Maëlie
- Je crois que je vais faire comme toi, si ça ne te dérange pas.
Je comprends qu’ils vont la prendre ensemble, mais ça me dérange moins que de le voir passer la nuit là. Quand même, ça m’ennuie un peu de les voir faire ça en étant en dehors du coup. Vassilis se relève le premier et se dirige vers la salle de bains. Maëlie vient vers moi et me pose les mains sur la poitrine, pour me faire un doux baiser sur les lèvres.
- je t’aime.
Elle sent la difficulté de la situation pour moi et tient à me rassurer. Je la prends dans mes bras.
- moi aussi.

L’eau coule déjà dans la douche et Maëlie se lève, nue, pour rejoindre son jeune amant. Je la suis, bien qu’étant déjà douché. On vient de tout donner, mon excitation était retombée, mais de les savoir nus tous les deux en train de se savonner me procure de nouveaux frissons, sans que je puisse vraiment faire la part de la jalousie et de l’excitation sexuelle.

Elle ouvre la porte pour le rejoindre et je l’aperçois avec les mains sur la tête, en train de se savonner. La mousse coule sur son buste légèrement poilu et vient mourir dans la toison de son sexe qui pend doucement. Je sais que cette image de mâle sous la douche doit plaire à ma chérie. Cette eau qui coule sur lui, cette nudité, ce corps qui vient de lui faire l’amour. Elle entre et ferme la porte, il se recule pour la laisser se placer sous le jet. Il la regarde, elle penche la tête en arrière et envoie ses cheveux vers l’arrière des deux mains, offrant sa poitrine tendue à son regard. Il se penche d’ailleurs vers elle, pose ses mains sur la cambrure de ses reins et prend délicatement un sein dans sa bouche. Les yeux fermés, elle n’a pas vu l’amorce du mouvement et est légèrement surprise par le contact de sa bouche, mais elle se laisse faire et repose ses bras sur sa nuque, les yeux toujours fermés, le visage tourné vers l’eau qui tombe en pluie sur eux.

Il s’attarde gentiment sur les deux seins qu’elle lui offre, puis vient chercher sa bouche. Leurs lèvres coulent les unes sur les autres, leurs langues et cherchent, au milieu de l’eau qui ruisselle sur leur visage. Maëlie glisse sur la joue du jeune homme et descend vers son torse. Je sais qu’elle admire ses pectoraux que je lui jalouse. Elle titille elle aussi les mamelons de son amant avant de poursuivre sa route et de s’agenouiller devant lui. Son sexe a retrouvé un peu de vigueur et je comprends à l’instant ce qu’elle veut : elle l’a fait à tous ses amants, elle veut pouvoir continuer à le dire. Elle n’a pas encore goûté ce sexe qui lui a donné tant de plaisir et elle veut réparer ça. Elle le prend doucement dans la paume de sa main et joue lentement avec. Immédiatement, le membre se dresse et se trouve devant ses lèvres. Elle dépose un premier baiser sur la verge, puis un second, pendant que ses doigts se font aériens et parcourent l’objet de son désir.
Il se penche en arrière et s’appuie contre le mur de la douche. L’eau lui éclabousse le bas du ventre, elle tombe en pluie sur la tête et les épaules de Maëlie, qui redresse le membre revigoré pour le parcourir de la pointe de sa langue. Elle trace un sillon depuis les bourses du jeune grec jusqu’au gland pour le moment recouvert par le prépuce. Elle recommence la manœuvre plusieurs fois, le léchant sur toute la surface qu’il lui présente, alternant les longues glissades de bas en haut et les petites succions de ses lèvres tout autour du pénis. Elle joue avec les gouttelettes qui s’écoulent, titille le haut du gland avec le bout de sa langue puis la plaque longuement contre la verge, pour alterner les sensations de son amant. J’imagine ce qu’il ressent, pour m’être déjà trouvé à sa place. L’eau lui fouette la poitrine et le sexe, s’écrase sur les cheveux de sa maîtresse et lui éclabousse la poitrine, li procurant une sensation de fraîcheur surprenante pour de l’eau pourtant assez chaude. Il chancelle sur ses jambes et voudrait pouvoir s’allonger pour mieux profiter de son plaisir, mais il est obligé de rester de bout, le dos contre le carrelage froid. Il sent les doigts fins qui le parcourent, sur son sexe, ses bourses, qui se faufilent sous les testicules pour le caresser doucement, qui remontent entre ses fesses, pendant que les lèvres de la belle repoussent sa bite contre son ventre, la maintenant quelques instants au chaud avant de la livrer à nouveau aux fraîches éclaboussures.

Je la vois changer légèrement de position et je comprends qu’elle va enfin accéder à ce qu’il attend vraiment. Elle tire doucement la peau du sexe de son amant et découvre totalement le gland rougi. Elle le caresse de sa langue, le couvre de sa salive pour y faire glisser ses lèvres arrondies, comme elle sucerait une sucette Chuppa. Il lui pose une main sur la tête, pour lui faire comprendre son plaisir et son impatience qu’elle aille encore plus loin. Elle se hisse sur ses genoux et je vois sa bouche englober tout le gland, je vois les lèvres s’ouvrir un peu plus et glisser autour de la tige bien dure, elle engloutit lentement la moitié de ce sexe qui l’a fait jouir il y a une heure. Commence alors une danse sensuelle, ma femme, nue, penchée sur ce dard bien dressé, faisant coulisser sa bouche sur le membre de son amant, tandis que celui-ci l’accompagne de lascifs mouvements du bassin.

L’eau et la buée sur la vitre me privent d’une vision précise, mais je ne rate rien. Parfois, un peu d’eau accumulée s’écoule d’un coup, nettoyant une partie de la surface vitrée et me laissant voir alors la scène parfaitement. Je vois Maëlie, les yeux fermés, gênée pour respirer par les fines gouttelettes, s’appliquer à former un doux fourreau de sa bouche au pénis de son amant. Je le vois, lui, appuyé sur le mur, cambré pour mieux offrir sa bite à la délicieuse caresse, la bouche ouverte et les yeux fermés, recrachant parfois un peu d’eau qui menace de s’infiltrer dans ses poumons lors d’une profonde inspiration, quand les lèvres tendres l’aspirent un peu plus loin.
Encore une fois, je les laisse profiter seuls de cette relation sexuelle. Mon plaisir est aussi intellectuel, je suppose, tiré de ma torture de voir ma femme s’offrir à un autre, puis lui offrir à son tour un plaisir intime. On peut rapprocher ce sentiment de la douleur lors d’un acte sexuel, qui peut se transformer en plaisir sans que l’on comprenne pourquoi : en s’approchant de l’orgasme, des ongles qui labourent le dos, des doigts qui forcent l’anus, peuvent augmenter le plaisir, alors qu’ils sont à pourtant à l’origine d’une douleur. Je crois que ce que je vis est similaire.

Elle accélère un peu son mouvement, sentant la montée du plaisir dans ce sexe dont elle  pris possession. Quand il commence à gémir, elle sent les contractions monter entre les jambes du jeune homme. Je la vois y glisser une main et chercher un passage. Il ouvre un peu ses jambes, pour lui faciliter l’accès, et je devine qu’elle introduit doucement un doigt dans son rectum, pour bien sentir les contractions qui vont faire jaillir le sperme. Elle retire sa bouche et continue une lente mais ample masturbation, jouant de ses deux mains pour faire monter le plaisir.

Soudain, les abdos se tendent, le corps se crispe et j’entends une exclamation de surprise mêlée de plaisir. Elle lève la tête pour lire son expression et je vois un sourire se dessiner sur son visage : elle l’a mené jusqu’à un nouvel orgasme, elle est heureuse de son pouvoir sur un si beau jeune homme. Il donne des coups de reins dans la main qui forme un fourreau autour de son sexe et je vois quelques gouttes de semence jaillir et retomber sur l’épaule et la poitrine de ma femme. C’est la troisième fois aujourd’hui qu’elle le fait jouir et je sais que c’est une grande satisfaction pour elle. Elle n’a pas eu cette fois-ci de réel plaisir physique, mais elle n’aurait pas pu, de toute façon, ayant eu un rapport intense il y a moins d’une heure. Elle doit encore être sensible. En revanche, c’est l’esprit qui se réjouit, d’avoir pu à nouveau mener ce bel homme à un orgasme. Et puis, il y a cette sorte de « collection » de fellations, ces sexes différents qu’elle a pris dans sa bouche, comme si ça comptait presque plus que la pénétration sexuelle.

Elle se relève et lui tient une dernière fois le sexe entièrement dans sa main, avant de le laisser glisser doucement dans sa paume et de lui rendre sa liberté. Il ouvre les yeux, légèrement ébahi, lui sourit et dépose un nouveau baiser sur sa bouche. Il remarque les traces de son plaisir sur l’épaule et le sein de ma femme et entreprend de l’évacuer à grande eau, qu’il récupère au creux de ses mains. Il se saisit d’un flacon de savon pour compléter  le nettoyage et fait le fait mousser sur le buste parfait de mon épouse. Elle prend elle aussi un peu de savon dans ses mains pour terminer sa toilette, le fait mousser sur son ventre puis saisit doucement le sexe de Vassilis pour lui prodiguer une dernière caresse. Elle fait coulisser ses mains plusieurs fois sur le pénis affaibli, le masturbe quelques instants avant de le relâcher. J’adore cette sensation du savon entre sa main et mon sexe, et je suis sûr qu’il y aura goûté lui aussi, malgré la fatigue. Le sexe glisse sans frottement dans la main, à moins que ce ne soit la main qui glisse sur le sexe.

Un dernier baiser et les deux amants se rincent, avant de quitter la douche. Je m’éclipse juste avant, pour prétendre n’avoir rien vu de la scène. Mais quand Maëlie me dépose un nouveau bisou sur la bouche, j’hésite un peu en sachant ce qui m’a précédé.

- bon, je vais vous laisser, je travaille toute la journée demain, et les 4 jours qui suivent aussi. Je vais aller me reposer.
- Ok, de toute façon, on se revoit au resto.
- Pas de problème. Et merci pour cette journée fantastique.
- Merci à toi, lui répond Maëlie avec un sourire mutin.
On se serre la main, il embrasse Maëlie sur la joue et il quitte notre chambre. Nous voilà seuls à nouveau, avec une nouvelle expérience à notre actif. Maëlie vient se blottir dans mes bras avec un petit gémissement de bien être, qui est peut-être aussi une petite plainte d’excuse, comme si elle avait maintenant honte de son comportement.

- ça va ? Tu ne m’en veux pas ?
- T’en vouloir ? Mais de quoi ? C’est moi qui t’ai poussée là-dedans. C’est toi qui pourrais m’en vouloir. Mais je pense qu’on y a pris goût tous les deux, alors il n’y a pas de problème. On reste un couple, on a toujours du plaisir ensemble, on a envie des mêmes choses, alors pas la peine de culpabiliser.
Elle sourit, satisfaite, et rajoute avec un air coquin :
- En tout cas, c’était bien. J’ai bien aimé !

On retourne se coucher tous les deux, après s’être à nouveau déshabillés complètement. On s’endort dans les bras l’un de l’autre, en se caressant doucement.
Liberee21 a liké
#2807781
Désolé, erreur d'édition dans le précédent post... J'écris sur un logiciel et je copie ici, mais là, il y a eu un bug. Je ne peux pas rééditer si supprimer, je ne sais pas pourquoi, je suis donc obligé de reposter ici:


Finalement, il se gare sur de l’herbe sèche qui prouve que peu de gens viennent jusqu’ici en voiture et il nous amène fièrement jusqu’à « sa » crique. Des rochers de 5 ou 6 m de haut surplombent une petite plage de sable fin qui vient mourir dans une eau turquoise.
- Ah oui, c’est pas mal ! que je pose mon sexe dressé contre son ventre. Elle m’embrasse et je vois Vassilis toujours en contemplation de la surface. Je réalise qu’il doit avoir placé son sexe contre la raie de ma chérie et je vois à ses mouvements qu’il le fait doucement glisser le long de cette douce vallée. C’est vrai que les grecs sont réputés pour aimer ce genre de pratiques…

Maëlie me prend dans ses  bras et me caresse le dos, les fesses tout en m’embrassant. Son baiser est sensuel, sa langue me détaille, elle m’aspire, me suce, pendant que son amant joue avec elle. Il lui prend les deux seins et se plaque contre son dos, rêvant sans doute d’une étroite pénétration. Mais nous dit Maëlie
On rit et on descend le long des rochers. Je dois descendre un parasol en plus de mon sac, ma peau supportant difficilement le soleil, contrairement à Maëlie et Vassilis.
- On va se baigner ? demande notre ami.
- C’est parti !
On court tous les trois vers l’eau turquoise, trop contents de pouvoir enfin se rafraîchir après ce trajet en voiture. L’eau nous éclabousse et on frissonne, avant de se jeter dans l’eau tête la première. On se redresse et on avance un peu plus loin, pour pouvoir se laisser un peu flotter.
- c’est chouette ici, non ?
- C’est vrai que c’est génial, répond Maëlie. Y’a pas un bruit, personne, c’est superbe.
- Et tu peux même te mettre nu ici, si tu veux.
- Euh, non, ça va, merci, répond-elle un peu gênée
- Et pourquoi pas ? Je le fais moi. Tu sais, les grecs, on n’est pas trop gênés par ça. Et puis, il n’y a personne !
- Ah mais tu peux te mettre nu, si tu veux !
Je suis la conversation avec intérêt, sans y prendre part.
- Non non, je ne veux pas vous gêner. Je ne le ferai que si vous le faites aussi, on n’est pas obligés.
- Bon, ben, on verra peut-être plus tard.
Il me regarde avec un sourire gentiment moqueur
- Elle est timide, hein ?
- Ah ça, oui. Et puis, elle est toujours peur de ne pas être à la hauteur.
Il se retourne vers elle
- Alors là, je peux te dire qu’il n’y a pas de soucis : je t’ai vue en maillot de bain. Tu es magnifique.
- Bon ben ça va, on ne va pas parler que de ça, vous n’allez pas vous y mettre tous les deux !
Et elle balance ses deux mains vers la surface, face contre nous, pour nous arroser le visage. Vassilis rétorque aussitôt et il s’ensuit une petite bataille navale, dans laquelle les futurs amants s’arrosent, se repoussent et tentent de se faire couler, tout étant prétexte à entrer en contact l’un avec l’autre.

Après quelques minutes, je donne le signal de repli, commençant à me refroidir. Je sors de l’eau et vais chercher ma serviette pour me couvrir, le soleil étant maintenant masqué par une couche de nuages gris.
- Maintenant qu’on voudrait avoir chaud, il n’y a plus de soleil ! se plaint Maëlie.
- Attends, tu vas voir : si on va sur les rochers plats, là-bas, on peut mettre les serviettes sur le rocher bien chaud, c’est agréable.
Effectivement, il y a quelques rochers bien plats, en pente légère vers la mer, qui ont dû emmagasiner pas mal de chaleur. On se dirige vers eux pour y poser nos serviettes, mais je m’avise que je ferais mieux de me poser juste à côté, pour pouvoir planter mon parasol dans le sable. Il n’y a plus beaucoup de soleil, mais je sais par expérience que la lumière peut suffire à me procurer un sacré coup de soleil.
- Installez-vous dessus, si vous voulez, moi je vais me mettre là, juste à côté.
Le sable est à 2 m et, de toute façon, la seule partie assez plane pour recevoir des serviettes ne pourrait pas en recevoir plus de deux, et encore, si on se serre. Deux serviettes sont donc étendues sur le rocher, pendant que je plante le parasol juste à côté et que je me glisse dessous. Maëlie s’allonge sur le ventre avec un petit soupir de bien être et commence à se faire sècher. J’entame une discussion avec Vassilis sur la pêche sous-marine dans le secteur. Il indique qu’il aime bien venir y pêcher le poulpe.
- Désolée de vous interrompre, les garçons, mais quelqu’un pourrait me passer de l’huile solaire ? Je commence à chauffer.
Qu’elle est forte, ma chérie. Elle profite de la confusion qu’on peut faire sur le terme « passer » ; Elle pourra toujours dire qu’elle voulait juste qu’on lui donne la bouteille, si je fais une remarque. Je donne la bouteille à Vassilis pour qu’il la « passe » à Maëlie. Lui se pose vraiment la question de ce qu’on attend de lui, mais pas trop longtemps. Il l’ouvre et en verse sur le dos de ma compagne. Elle se redresse avec un air surpris, comme si ce n’était pas vraiment ce qu’elle attendait, puis :
- ah mais si tu veux, en fait, merci.
- Je croyais que tu voulais que je t’en passe ?
- Oui, que tu me passes la bouteille. Mais tu peux continuer, au contraire !
Il commence donc à étaler l’huile sur le corps svelte de mon épouse, qui n’a connu que mes caresses pendant des années, si on excepte cette soirée du mois de mai, qui avait, elle aussi, commencé par de l’huile, de massage cette fois.
- Tu peux détacher mon maillot, s’il te gêne.
- D’accord, ce sera plus facile, oui.
Il tire une extrémité de la ficelle qui forme une boucle dans le dos de ma femme et fait de même avec celle qui se trouve sur sa nuque. La voilà presque nue, aux prises avec un jeune grec séduisant. Il s’agenouille à côté d’elle pour pouvoir utiliser ses deux mains et parcourt tout le corps qui lui est offert. Il s’attarde sur le bas du dos, le haut des jambes, pour ne pas dire les fesses, puis remonte le long des côtes, de façon à pouvoir effleurer la poitrine, sans en avoir l’air. Plus un mot n’est échangé, chacun profitant de la scène à sa façon.

Au bout d’un long moment, Vassilis s’arrête, ne pouvant plus prétendre depuis longtemps qu’il ne faisait qu’étaler de l’huile pour protéger ma belle du soleil. Maëlie redresse a tête et sort son visage de son bras replié pour lui sourire :
- hmmm, merci, c’était bien agréable.
- De rien, pour moi aussi, répond-il, un peu gêné en me jetant un regard en coin.
Je souris et j’ajoute :
- tu es en droit de lui demander le même service, si tu en as besoin. Je préfère que ce soit elle que moi qui te le fasse !
- C’est vrai ? Bon, je n’en ai pas vraiment besoin, mais je veux bien quand même ! me répond-il avec un grand sourire.
Maëlie se redresse avec l’air épuisé de quelqu’un qui comptait justement dormir :
- t’es dur, là !
Mais elle ne se fait pas vraiment prier et se met à genoux, comme oubliant qu’elle ne porte plus de soutien-gorge. Aucun de nous ne lui en fait la remarque, de peur de briser cet instant. Vassilis l’observe un instant avec un sourire, semblant se repaître du spectacle de cette jolie poitrine, puis se tourne sur le ventre à son tour. Elle retourne la bouteille vers son dos, pensant sans doute que l’huile allait s’écouler comme de la crème solaire. Une grande quantité s’échappe et inonde le dos du jeune grec.
- oups !
Elle se jette sur l’huile qui s’écoule et tente comme elle peut de la maintenir sur le corps musclé de notre ami. Il porte un long bermuda en tissu qui lui descend presque jusqu’aux genoux.
- J’ai peur d’en mettre sur ton bermuda, avec tout ce que j’ai mis !
- Attends, ça, c’est pas un problème !
Il attrape son bermuda de chaque côté et, sans hésiter, le tire vers la bas, découvrant son beau postérieur. Il se tourne alors de mon côté pour ramener ses jambes vers lui et pouvoir retirer complètement ce vêtement sans dévoiler son sexe à ma femme. Elle aurait sinon compris qu’elle ne le laissait vraiment pas indifférent, ce qui ne m’a pas échappé, à moi. Maëlie reste un instant interloquée et me regarde brièvement, plus pour guetter une éventuelle réaction que pour demander une approbation. On en a déjà parlé la veille et on sait tous les deux ce qui va se passer ensuite.
Il s’allonge à nouveau sur le ventre et elle se met à étaler l’huile sur tout son corps, limitant initialement la zone de travail au haut du corps. Mais, quand celui-ci fut entièrement couvert, elle fait descendre ses mains sur les fesses de Vassilis, puis ses jambes. Elle lui verse un peu plus d’huile sur les reins et entreprends à nouveau de la faire circuler vers le bas du corps, étant obligée pour cela de passer et repasser sur les fessiers bien fermes. Elle prolonge elle aussi plus longtemps que nécessaire ce moment. Ses mains parcourent l’intégralité de son corps, elle le caresse plus qu’elle ne le masse, elle part des reins et remonte sur le dos, les épaules, puis ses deux mains glissent sur les côtés pour redescendre le long du buste et venir se saisir des deux fesses. Les pouces remontent vers la raie pendant que les paumes pressent les fessiers. Elle pince doucement chaque fesse huilée entre les pouces et les index, avant de continuer sa route vers les jambes. S’il était allongé sur du sable, et non de la roche, Vassilis laisserait une empreinte plus ou moins cylindrique au niveau de son pubis, c’est certain !

Elle finit par retourner s’allonger sur sa serviette, comme à contrecoeur. Mais cette fois, elle s’allonge sur le dos, appréciant sans doute d’exhiber sa poitrine à ce garçon qui la séduit. Il y a un certain plaisir à se trouver nu la première fois devant quelqu’un qui nous plaît, une certaine liberté, mais aussi une certaine excitation de montrer quelque-chose qu’on passe son temps à cacher aux autres. Là, elle commence à se sentir à l’aise. Il faut dire qu’elle vient de masser les fesses nues du jeune homme, et que montrer sa poitrine, de nos jours, ce n’est plus si extraordinaire. Mais Maëlie n’est pas vraiment une adepte des seins nus sur les plages, essentiellement pour des raisons de santé. Je sais donc que c’est pour elle une situation un peu inhabituelle qui doit lui procurer un certain plaisir.
- C’était pas la peine que je te passe de l’huile sur le dos, si tu te mets comme ça !
- Ah oui, tu as raison, il m’en faudrait devant aussi maintenant lui répond-elle, gardant les yeux fermés comme pour dormir.
Il me regarde avec un air interrogateur, je hausse les épaules, comme si je ne savais pas si elle plaisantait ou non. Il se saisit alors de la bouteille et l’ouvre. Le bouchon produit un clac et je sais que Maëlie l’a entendu. Si elle ne voulait pas ce qui allait suivre, elle aura ouvert les yeux et l’aurait interrompu. Mais elle ne dit rien et prétend chercher à somnoler. Il verse de l’huile sur son ventre, mais elle ne réagit pas tout de suite. Il est vrai qu’elle doit être chaude et qu’on ne sent pas toujours son contact, ce n’est pas comme la crème.

Soudain, elle ouvre les yeux et joue la surprise :
- eeeh, je pouvais le faire, si j’avais besoin !
- Je pensais que tu préférais que je le fasse. Mais si ça t’ennuie, je te laisse faire.
- Non, vas-y, maintenant que tu as commencé.

Et elle repose sa tête en arrière, refermant les yeux. Vassilis pose sa main à plat sur son joli ventre plat et commence à étaler l’huile en lents mouvements circulaires, depuis son nombril finement dessiné. Il effleure le haut de son maillot en appuyant légèrement sur la peau bien douce, révélant un espace entre la peau et le tissu dans lequel la main aimerait s’insinuer, puis remonte sur le creux du ventre, le long des côtes flottantes, en route vers la poitrine dénudée. Après quelques instants de caresses limitées au ventre, il se verse de l’huile dans les mains et se place à genoux à côté d’elle. Je vois son sexe dressé et je sais qu’elle ne l’a pas encore vu, n’ayant pas osé regarder. Il pose ses deux mains simultanément sur les seins de ma jeune épouse et étale l’huile sur toute sa poitrine d’un premier geste. Puis, il y revient, plus doucement, pressant ses seins entre ses doigts, prenant alternativement tout le sein ou juste la pointe, jouant à faire rouler les mamelons entre ses doigts. Il prend possession de tout son buste, de la gorge au pubis, par de sensuelles caresses.

Se laissant gagner par l’excitation, il retrouve l’espace entre la peau du ventre légèrement creusé et le string et y insinue doucement le bout de ses doigts, découvrant au toucher la fine toison. Maëlie replie son bras sur son visage, comme pour se protéger du soleil. Je sais qu’en fait, elle veut dissimuler ses sentiments, à moi ainsi qu’à son futur amant. Il s’aventure un peu plus loin et je devine au mouvement visible à travers le tissu que ses doigts ont atteint ses lèvres qui doivent être complètement humides. Je devine de petits mouvements circulaires qui doivent avoir ouvert l’accès à son intimité, mais sa main reste relativement haute et je sais qu’il ne l’a pas encore pénétrée. C’est d’ailleurs quelque-chose que je veux voir, sachant quel plaisir elle tire de cette pénétration, d’après ce qu’elle m’avait avoué un jour.

Je me lève alors et me dirige vers eux. Vassilis croise mon regard et interrompt son mouvement, un instant inquiet d’avoir dépassé les bornes. Je le rassure d’un sourire et je m’agenouille de l’autre côté de mon épouse. Je saisis les côtés de son petit string et je le tire doucement vers ses pieds. Elle soulève son bassin pour me faciliter la tâche et je découvre le majeur de Vassilis à moitié enfoui entre des lèvres luisantes de plaisir. Je retire entièrement le maillot devenu inutile et reprends ma place d’observateur.

D’un mouvement lent et assuré, Vassilis fait glisser son doigt le long de la fente humide jusqu’à le faire disparaître entièrement dans la petite chatte offerte de ma femme. Celle-ci se cambre, la bouche ouverte et avale goulument de l’air dans un feulement, révélant ainsi à celui qui en aurait douté qu’elle ne dormait pas. Je vois Vassilis guetter les réactions de sa maîtresse pendant qu’il fouille consciencieusement son sexe. Il enfonce son doigt et le ressort plusieurs fois, avant de joindre son index au mouvement du premier. Il a maintenant 2 doigts en elle et je le vois faire des efforts pour les enfouir toujours plus loin, ce qu’il n’arrivera pas à faire malgré les efforts de ma chérie pour lui offrir le meilleur accès possible, se cambrant et ouvrant ses jambes au maximum. J’intercepte son regard subrepticement, alors qu’elle soulève son bras pour observer son amant et jouir de la vue de ce corps musclé qui va la prendre dans un instant. Elle s’aperçoit que sa main gauche est pratiquement posée entre les jambes du mâle qui la caresse et, comme avec moi la veille, elle lève la main vers le pieu de chair.

Elle l’effleure et je le vois tressaillir. Il est au comble de l’excitation et ma chérie a une vraie maîtrise des caresses sur des phallus chargés. Enfin, je dis « des », mais elle n’a pu pratiquer son art ces dernières années que sur moi, ainsi qu’une fois sur Benjamin, il n’y a pas si longtemps. Mais je lui ai montré les caresses que j’aimais, lui expliquant que je préférais être effleuré, caressé doucement sur les parties les plus érogènes, plutôt que saisi à pleine main et secoué violemment, comme dans un film X. Elle l’a tout de suite compris et depuis lors, je ne peux plus bénéficier tellement de ces caresses, redoutant toujours de laisser partir mon fusil chargé par inadvertance !

Elle passe la pulpe de ses doigt sous la verge tendue, lentement, sans insister, jusqu’à arriver à la base du gland rougi, puis redescend par le même chemin, pendant que son amant prolonge le va et vient de ses doigts dans le sexe lubrifié de désir. Elle passe sa main sous les bourses du jeune homme et la relève jusqu’à rencontrer la peau tendue des testicules, qu’elle saisit avec délicatesse, sans les serrer. Elle remonte sa main en tenant les précieux attributs jusqu’à les plaquer contre l’entrejambe/ J’imagine la douce chaleur que doit ressentir Vassilis au contact de cette main délicate. Il ferme d’ailleurs les yeux tout en enfonçant une fois de plus ses doigts dans l’antre du plaisir de cette jolie femme qui s’offre littéralement à lui, en plein air.

Je les vois nus tous les deux et j’ai à la fois envie de participer et de les laisser se découvrir mutuellement, de laisser Maëlie prendre un amant, sans moi, pour son seul plaisir. Celui de se savoir désirée par un beau jeune homme, celui de savourer les premières étreintes qui sont tellement spéciales. J’espère qu’elle sera plus à l’aise en la laissant obtenir et donner du plaisr à un seul homme, comme elle sait si bien le faire. Il sera toujours temps ensuite d’intervenir et de découvrir de nouveaux plaisirs à trois. Mais je suis jaloux de cette nudité qui leur procure déjà une partie de leur plaisir. Je retire donc mon boxer et j’expose mon membre dressé à l’air libre, comme s’il pouvait ainsi mieux capter l’érotisme et le plaisir charnel qui émanait des ébats de ce couple illégitime à un mètre de moi.

Vassilis se saisit de la bouteille d’huile solaire d’une main et, de l’autre, retient la main gauche de Maëlie, paume vers le haut. Il la remplit littéralement d’huile et la relâche, la laissant comprendre d’elle-même ce qu’il souhaite. Elle comprend immédiatement et je la vois saisir à nouveau le membre viril dans sa main, délicatement. Le trop-plein d’huile s’écoule de sa main, ce dont aucun des deux ne se soucie. Il frémit et bascule la tête en arrière, la bouche ouverte. Je me dis que toute cette huile n’est plus compatible avec le port d’un préservatif, ce qui est peut-être mieux ainsi. Je suis au comble de l’excitation, luttant à chaque instant pour ne pas toucher mon sexe et déclencher ainsi l’éruption que je ne pourrais plus contrôler. Mais je suis également retourné intérieurement de voir ma femme s’offrir ainsi à un gars aussi beau. Ce salaud est bien plus beau que moi, plus musclé, avec une peau halée, sans défaut, un sourire ravageur, des yeux sombres et de longs cils, exactement comme elle adore. Mais, comme si ça ne suffisait pas, son sexe est légèrement plus large que le mien, pour une taille et une forme apparemment très semblable.

Maëlie m’avait dit qu’elle n’aimait pas les verges trop longues, qui pouvaient lui faire mal, et que les sexes trop petits, trop fins, avaient du mal à lui donner du plaisir. Elle trouvait le mien très bien, heureusement, mais je savais qu’elle n’aurait rien eu contre le fait de s’amuser avec un autre un peu plus large. Et voilà que je lui offrais sur un plateau, si on peut dire. D’un côté, je m’en réjouissais, car je savais qu’elle allait avoir un maximum de plaisir. D’un autre, une jalousie glaciale me dévorait le ventre.
Maëlie a maintenant refermé tous ses doigts autour du pieu brûlant et coulisse sa main généreusement huilée sur la tige de chair. Vassilis s’allonge sur le dos, ses jambes le soutenant probablement de moins en moins, afin de profiter de son plaisir au mieux. Il se place juste derrière le dos de Maëlie qui lui fait une petite place et revient se coller à lui. Elle le saisit à nouveau et se tourne un peu vers lui, reprenant son délicieux mouvement de va-et-vient. Elle lève la tête vers lui, à la recherche de sa bouche. Elle la trouve et il l’embrasse sensuellement, tout en replaçant sa main entre ses jambes. Elle les ouvre généreusement et place sa jambe droite sur le corps de son amant, afin de lui délivrer complètement le passage vers son intimité. Je vois la main du jeune homme descendre le long de la raie aux plaisirs, jusqu’à atteindre le petit anneau étroit de son joli petit cul. Il le masse doucement et s’y introduit partiellement, avant de se retirer et de remonter de quelques centimètres, enfonçant à nouveau deux doigts en elle. Elle se cambre pour mieux goûter sa langue et je vois sa poitrine se tendre, offerte. Je lutte contre le désir de les rejoindre pour la lécher, l’embrasser, mais je veux lui laisser le plaisir de prendre seule ce nouvel amant, qu’elle a attendu de si longues années. On a toujours eu du plaisir à faire l’amour ensemble, mais tous les couples doivent avoir, à un moment ou un autre, une sorte de nostalgie de ne plus jamais avoir la possibilité de vivre ces premiers instants d’une nouvelle relation sexuelle. Je suis heureux de pouvoir lui offrir ça au sein de notre couple qui fonctionne très bien.

Il se dégage un peu de son dos pour la faire basculer totalement sur sa serviette et venir sur elle. Il est clair qu’il meurt d’envie de la pénétrer, mais je pense qu’ils savent tous les deux que ce ne sera pas pour maintenant. Aucun des deux ne sait où trouver des préservatifs et je ne leur dirai pas. De plus, cette huile si généreusement dispensée sur son sexe bien dur rendrait probablement la chose délicate à maintenir en place dès le premier mouvement dans son vagin contracté de plaisir.

Il se tourne donc sur elle, cherchant à introduire un troisième doigt  pour simuler son bel engin raidi pour elle. Elle ne le lâche pas non plus, créant de sa main un fourreau artificiel extrêmement bien lubrifié. Il se place sur elle, comme s’il pouvait la pénétrer, et son sexe se pose sur son aine, à quelques centimètres de l’entrée de son sexe. Il produit maintenant lui-même les mouvements de va-et-vient, tandis qu’elle immobilise sa main à plat sur son sexe, le dessous de celui-ci frottant sur le côté extérieur des lèvres de son petit minou parfaitement lisse. L’illusion doit être presque parfaite pour tous les deux. Je le vois accélérer la cadence et je me dis que Maëlie va se régaler quand il la prendra réellement, elle qui aime ces pénétrations rapides et profondes, ces à-coups virils quand on la pénètre.

Les trois doigts sont en elle, elle se cambre, la bouche ouverte, commence à râler, à gémir. Il se cambre lui aussi, donne des coups de butoir de plus en plus violents, transmettant probablement les mouvements dans toute sa tendre chair, jusqu’à son petit clitoris vibrant de désir. Cette étreinte en plein air avec un nouvel amant, observée par son mari, la fait atteindre un niveau de plaisir qu’elle ne peut absolument pas cacher et, quand elle sent les jets de sperme brûlant jaillir du sexe de son amant sur son ventre, elle ne peut retenir un cri de jouissance qui accompagne un orgasme puissant. Il enfonce ses doigts jusqu’à la garde et je vois les muscles de tout le corps de ma compagne se contracter plusieurs fois, illustrant physiquement le raz-de-marée de plaisir qui l’inonde.

Je regarde, fasciné, s’écouler sur le sein et le ventre de ma femme la preuve physique de cet état de grâce qu’ils viennent d’atteindre ensemble. Tandis qu’ils se relâchent et s’affalent l’un sur l’autre, ma tension est extrême, comme déchiré dans mes entrailles par ce que je viens de voir. Je n’ai jamais souillé ma femme de la sorte, je ne trouvais pas ça correct, ni même excitant, d’ailleurs. Mais là, privés d’une possible pénétration, ils l’ont sublimée par ce jet de semence directement sur la peau. C’est d’une telle intimité, peut-être encore plus que ses doigts en elle, que mon cœur explose. Mon sexe aussi, d’ailleurs. Je le prends doucement dans ma main et je la fais coulisser deux ou trois fois, le souffle court, le regard figé sur le corps des deux amants, avant de libérer brutalement la tension accumulée en jets rapides dans le sable.

Mon orgasme à moi était isolé, individuel et associé à une chute brutale de ma libido qui me laisse seul avec ma jalousie qui me submerge. Je suis en train d’offrir ma femme à un inconnu, de me rendre moi-même cocu, et d’aimer ça. Je dois être fou ! Elle est si belle, si formidable, je devrais plutôt tout faire pour me la garder pour moi seul. Les pensées les plus terribles m’assaillent, au moment de la chute du désir, un peu comme une crise d’hypoglycémie d’un diabétique.

Et puis, le reflux de libido s’apaise, revient à un niveau normal et je commence à ressentir le plaisir de Maëlie par procuration. Elle vit une nouvelle aventure sexuelle et c’est intense, comme toutes les premières fois. Mais je suis avec elle et on la vit en couple, même si ce n’est pas moi qui était directement aux commandes pour lui procurer cet orgasme qui l’a soulevée il y a 3 minutes.
Vassilis a saisi un mouchoir en papier et vient essuyer les traces de son forfait sur ma douce. Elle lui sourit et lui dépose un baiser sur la bouche, pour le remercier, de son geste ou du plaisir qu’il vient de lui procurer, je ne sais pas. Mais ça me bouleverse à nouveau, d’une manière inattendue : je viens de voir un gars enfoncer trois doigts dans le sexe de ma femme, de lui rouler une gamelle à lui lécher les amygdales, elle lui a saisi la queue jusqu’à ce qu’il éjacule sur elle en une longue traînée de sperme… et me voilà tout retourné par un petit bisou. Mais c’est bien la preuve qu’il y a en moi une différence entre le sexe et les sentiments : laisser un autre procurer du plaisir sexuel, et, encore mieux, y participer avec lui, c’est quelque-chose que j’offre à ma compagne. En revanche, une éventuelle preuve de sentiment entre ma femme et un autre, ce serait tout autre chose ! Mais ici, je sais que ce n’est pas ça.

Juste après avoir déposé ce petit baiser sur ses lèvres, elle se lève et vient me prendre la main, le délaissant complètement :
- ça va ?
- oui, lui réponds-je avec un sourire. Et toi, ça t’a plu ?
- oui, mais j’aime mieux quand tu es là.
- Mais j’étais là, lui dis-je avec un petit sourire
- Allez, tu sais ce que je veux dire. On va se baigner ?
- Oui, je pense que tu as un peu besoin de te laver
- Exactement
- Mais, même si je n’étais pas là, ça ne t’a pas vraiment empêchée d’avoir un bel orgasme, non ?
- C’est vrai, dit-elle avec un petit sourire coquin
- Alors il ne faut pas se priver, c’est les vacances et ça nous fait du bien à tous les deux. Ce soir, je voudrais te voir faire l’amour avec lui, qu’il te pénètre. Ca te dit ?
- Bien sûr ! Mais tu seras là, aussi, non ?
- Evidemment, je ne vais pas te laisser seule avec lui ! Sinon, je ferais quoi, moi, pendant ce temps ? Je vais faire un loto avec les vieilles de l’hôtel ?
- Oui, mais tu participeras ?
- Je ne sais pas encore, on n’a pas besoin de planifier, on verra sur le moment. On a encore plus d’une semaine, on a le temps de faire des tas de choses.  De toute façon, oui, on le fera à trois, c’est sûr. Mais peut-être que tu feras l’amour vraiment avec lui une fois, avant. Non ? Ca ne te dit pas ?
- Je ne sais pas… Allez, viens, on va se baigner, on verra le reste plus tard.
Je me tourne vers Vassilis pour l’inviter à nous rejoindre, je ne veux pas le tenir à l’écart pour ce qui vient de se passer, au contraire. Quand on a notre genre de fantasme, ce n’est pas facile de trouver le bon partenaire, alors, quand ça arrive, il faut le soigner !

L’eau nous paraît plus fraîche, en l’absence du soleil qu’on avait en arrivant. Mais on est nus tous les trois, c’est une sensation étrange. On a toujours adoré faire l’amour nus en pleine nature, avec Maëlie. C’est délicieux, cette sensation de l’air qui circule sur tout notre corps, peut-être cette crainte d’être surpris. On est toujours plus excité qu’enfermés dans une pièce sombre. Et là, pour la première fois, on partage cette impression avec un autre. Mon sexe retrouve déjà de sa vigueur, malgré la fraîcheur de l’eau et il me semble que Vassilis aussi. On rentre doucement dans l’eau, avec précaution, quand cet énergumène se met à courir vers nous en levant les pieds bien haut au-dessus de l’eau, pour mieux nous éclabousser. Le froid me saisit et ma virilité en prend un coup, tandis que Maëlie crie et se retourne pour se protéger. Il va droit sur elle et la prend à bras le corps, la soulève et la bascule vers la surface de l’eau. Elle a juste le temps de crier « non ! » avant de se retrouver immergée.

Je pensais qu’il la lâcherait, mais il la sort de l’eau en la tenant toujours de la même façon, ses bras l’entourant au niveau de la poitrine. Je suis sûr que son sexe est contre ses adorables fesses. Il desserre un peu son étreinte, pour la placer devant lui, dos à lui, une main juste sous son sein et l’autre descendant sous l’eau, vers son ventre. Il l’a placée vers moi, comme pour m’intégrer dans leurs jeux. Elle me sourit, pour m’inciter à m’approcher. Elle se tourne vers lui et tend sa bouche vers ses lèvres qui s’entrouvrent. Je vois la langue de Vassilis rejoindre celle de ma belle épouse, dans un savoureux baiser. La main sous son sein remonte un peu et se saisit du mamelon durci par la fraîcheur de l’eau, son autre main se déplace, sans que je puisse connaître l’objectif avec certitude.
Je m’approche et viens me placer contre elle. Il retire sa main juste avant que nos corps se touchent, je le vois la déplacer vers sa hanche. La main sur le sein se déplace elle aussi vers son autre sein, ralentit pour le caresser, puis glisse sur le côté, comme pour tenir sa partenaire devant lui. Je vois son regard tomber sur le bas du dos de ma femme, pendant que je pose mon sexe dressé contre son ventre. Elle m’embrasse et je vois Vassilis toujours en contemplation de la surface. Je réalise qu’il doit avoir placé son sexe contre la raie de ma chérie et je vois à ses mouvements qu’il le fait doucement glisser le long de cette douce vallée. C’est vrai que les grecs sont réputés pour aimer ce genre de pratiques…

Maëlie me prend dans ses  bras et me caresse le dos, les fesses tout en m’embrassant. Son baiser est sensuel, sa langue me détaille, elle m’aspire, me suce, pendant que son amant joue avec elle. Il lui prend les deux seins et se plaque contre son dos, rêvant sans doute d’une étroite pénétration. Maisnous dit Maëlie
On rit et on descend le long des rochers. Je dois descendre un parasol en plus de mon sac, ma peau supportant difficilement le soleil, contrairement à Maëlie et Vassilis.
- On va se baigner ? demande notre ami.
- C’est parti !
On court tous les trois vers l’eau turquoise, trop contents de pouvoir enfin se rafraîchir après ce trajet en voiture. L’eau nous éclabousse et on frissonne, avant de se jeter dans l’eau tête la première. On se redresse et on avance un peu plus loin, pour pouvoir se laisser un peu flotter.
- c’est chouette ici, non ?
- C’est vrai que c’est génial, répond Maëlie. Y’a pas un bruit, personne, c’est superbe.
- Et tu peux même te mettre nu ici, si tu veux.
- Euh, non, ça va, merci, répond-elle un peu gênée
- Et pourquoi pas ? Je le fais moi. Tu sais, les grecs, on n’est pas trop gênés par ça. Et puis, il n’y a personne !
- Ah mais tu peux te mettre nu, si tu veux !
Je suis la conversation avec intérêt, sans y prendre part.
- Non non, je ne veux pas vous gêner. Je ne le ferai que si vous le faites aussi, on n’est pas obligés.
- Bon, ben, on verra peut-être plus tard.
Il me regarde avec un sourire gentiment moqueur
- Elle est timide, hein ?
- Ah ça, oui. Et puis, elle est toujours peur de ne pas être à la hauteur.
Il se retourne vers elle
- Alors là, je peux te dire qu’il n’y a pas de soucis : je t’ai vue en maillot de bain. Tu es magnifique.
- Bon ben ça va, on ne va pas parler que de ça, vous n’allez pas vous y mettre tous les deux !
Et elle balance ses deux mains vers la surface, face contre nous, pour nous arroser le visage. Vassilis rétorque aussitôt et il s’ensuit une petite bataille navale, dans laquelle les futurs amants s’arrosent, se repoussent et tentent de se faire couler, tout étant prétexte à entrer en contact l’un avec l’autre.

Après quelques minutes, je donne le signal de repli, commençant à me refroidir. Je sors de l’eau et vais chercher ma serviette pour me couvrir, le soleil étant maintenant masqué par une couche de nuages gris.
- Maintenant qu’on voudrait avoir chaud, il n’y a plus de soleil ! se plaint Maëlie.
- Attends, tu vas voir : si on va sur les rochers plats, là-bas, on peut mettre les serviettes sur le rocher bien chaud, c’est agréable.
Effectivement, il y a quelques rochers bien plats, en pente légère vers la mer, qui ont dû emmagasiner pas mal de chaleur. On se dirige vers eux pour y poser nos serviettes, mais je m’avise que je ferais mieux de me poser juste à côté, pour pouvoir planter mon parasol dans le sable. Il n’y a plus beaucoup de soleil, mais je sais par expérience que la lumière peut suffire à me procurer un sacré coup de soleil.
- Installez-vous dessus, si vous voulez, moi je vais me mettre là, juste à côté.
Le sable est à 2 m et, de toute façon, la seule partie assez plane pour recevoir des serviettes ne pourrait pas en recevoir plus de deux, et encore, si on se serre. Deux serviettes sont donc étendues sur le rocher, pendant que je plante le parasol juste à côté et que je me glisse dessous. Maëlie s’allonge sur le ventre avec un petit soupir de bien être et commence à se faire sècher. J’entame une discussion avec Vassilis sur la pêche sous-marine dans le secteur. Il indique qu’il aime bien venir y pêcher le poulpe.
- Désolée de vous interrompre, les garçons, mais quelqu’un pourrait me passer de l’huile solaire ? Je commence à chauffer.
Qu’elle est forte, ma chérie. Elle profite de la confusion qu’on peut faire sur le terme « passer » ; Elle pourra toujours dire qu’elle voulait juste qu’on lui donne la bouteille, si je fais une remarque. Je donne la bouteille à Vassilis pour qu’il la « passe » à Maëlie. Lui se pose vraiment la question de ce qu’on attend de lui, mais pas trop longtemps. Il l’ouvre et en verse sur le dos de ma compagne. Elle se redresse avec un air surpris, comme si ce n’était pas vraiment ce qu’elle attendait, puis :
- ah mais si tu veux, en fait, merci.
- Je croyais que tu voulais que je t’en passe ?
- Oui, que tu me passes la bouteille. Mais tu peux continuer, au contraire !
Il commence donc à étaler l’huile sur le corps svelte de mon épouse, qui n’a connu que mes caresses pendant des années, si on excepte cette soirée du mois de mai, qui avait, elle aussi, commencé par de l’huile, de massage cette fois.
- Tu peux détacher mon maillot, s’il te gêne.
- D’accord, ce sera plus facile, oui.
Il tire une extrémité de la ficelle qui forme une boucle dans le dos de ma femme et fait de même avec celle qui se trouve sur sa nuque. La voilà presque nue, aux prises avec un jeune grec séduisant. Il s’agenouille à côté d’elle pour pouvoir utiliser ses deux mains et parcourt tout le corps qui lui est offert. Il s’attarde sur le bas du dos, le haut des jambes, pour ne pas dire les fesses, puis remonte le long des côtes, de façon à pouvoir effleurer la poitrine, sans en avoir l’air. Plus un mot n’est échangé, chacun profitant de la scène à sa façon.

Au bout d’un long moment, Vassilis s’arrête, ne pouvant plus prétendre depuis longtemps qu’il ne faisait qu’étaler de l’huile pour protéger ma belle du soleil. Maëlie redresse a tête et sort son visage de son bras replié pour lui sourire :
- hmmm, merci, c’était bien agréable.
- De rien, pour moi aussi, répond-il, un peu gêné en me jetant un regard en coin.
Je souris et j’ajoute :
- tu es en droit de lui demander le même service, si tu en as besoin. Je préfère que ce soit elle que moi qui te le fasse !
- C’est vrai ? Bon, je n’en ai pas vraiment besoin, mais je veux bien quand même ! me répond-il avec un grand sourire.
Maëlie se redresse avec l’air épuisé de quelqu’un qui comptait justement dormir :
- t’es dur, là !
Mais elle ne se fait pas vraiment prier et se met à genoux, comme oubliant qu’elle ne porte plus de soutien-gorge. Aucun de nous ne lui en fait la remarque, de peur de briser cet instant. Vassilis l’observe un instant avec un sourire, semblant se repaître du spectacle de cette jolie poitrine, puis se tourne sur le ventre à son tour. Elle retourne la bouteille vers son dos, pensant sans doute que l’huile allait s’écouler comme de la crème solaire. Une grande quantité s’échappe et inonde le dos du jeune grec.
- oups !
Elle se jette sur l’huile qui s’écoule et tente comme elle peut de la maintenir sur le corps musclé de notre ami. Il porte un long bermuda en tissu qui lui descend presque jusqu’aux genoux.
- J’ai peur d’en mettre sur ton bermuda, avec tout ce que j’ai mis !
- Attends, ça, c’est pas un problème !
Il attrape son bermuda de chaque côté et, sans hésiter, le tire vers la bas, découvrant son beau postérieur. Il se tourne alors de mon côté pour ramener ses jambes vers lui et pouvoir retirer complètement ce vêtement sans dévoiler son sexe à ma femme. Elle aurait sinon compris qu’elle ne le laissait vraiment pas indifférent, ce qui ne m’a pas échappé, à moi. Maëlie reste un instant interloquée et me regarde brièvement, plus pour guetter une éventuelle réaction que pour demander une approbation. On en a déjà parlé la veille et on sait tous les deux ce qui va se passer ensuite.
elle frissonne, elle a froid maintenant qu’elle est mouillée. Elle prend doucement mon sexe dans sa main, et de l’autre, elle se saisit de celui de son amant. Elle nous manipule doucement, nous embrasse à tour de rôle. Je passe une main entre ses jambes et je m’aperçois que je sens la chaleur et la moiteur de son sexe malgré la présence de l’eau. Jmon sexe dans sa main, et de l’autre, elle se saisit de celui de son amant. Elle nous manipule doucement, nous embrasse à tour de rôle. Je passe une main entre ses jambes et je m’aperçois que je sens la c’ai envie de elle frissonne, elle a froid maintenant qu’elle est mouillée. Elle prend doucement haleur et la moiteur de son sexe malgré la présence de l’eau. J’ai envie de la pénétrer, mais elle nous repousse gentiment.
- J’ai froid, alors c’est tout pour le moment ! Pour le reste, on verra ça plus tard.
Elle nous fait à tous les deux un petit bisou avant de se diriger vers la plage et sa serviette. On se regarde avec Vassilis et on sourit. On la regarde s’éloigner, de dos, nue.
- Elle est très belle, ta femme.
- Merci, content qu’elle te plaise.
On remonte nous aussi, tous les deux au garde à vous. Mais, curieusement, ça ne me dérange plus.

Maëlie a commencé à se rhabiller, ayant un peu froid. Pour le trio, ça sonne le retour à l’hôtel. Le trajet en voiture est relativement silencieux, chacun étant un peu plongé dans ses pensées. Je suppose qu’aucun de nous ne sait trop comment se comporter dans ces nouveaux rôles qu’on vient d’endosser de l’amant, de la maîtresse et du cocu volontaire ! De mon côté, je me demande en plus comment poursuivre notre journée : je ne voudrais pas me sentir obligé d’intégrer Vassilis à toutes nos activités, désormais. Mais je ne me vois pas non plus le congédier pour les 2 prochaines heures et le convoquer dans notre chambre plus tard. Finalement, c’est lui-même qui me sort de ce problème :
- la route passe près d’un petit village où il y a un petit port et je connais une auberge où on mange très bien, ça vous dit qu’on s’y arrête ?
Donc un endroit où on pourrait être vu avec Vassilis sans que tout l’hôtel jase sur la relation que pourrait avoir le petit couple de français avec le beau serveur…
- Oui, c’est une bonne idée, on peut faire ça.
On vient de trouver le moyen de passer les 2 prochaines heures, entre quelques verres de Retsina, salades grecques et bœuf à la cannelle. Alors que Vassilis s’absente quelques minutes, Maëlie me demande :
- Tu veux lui demander de rester un peu avec nous ce soir ?
- Tu veux dire, est-ce que j’ai envie qu’il te fasse l’amour dès qu’on arrive à l’hôtel ? Oui, ça me paraît un programme plus intéressant que la soirée karaoké.
Elle sourit, un peu gênée quand même par cette situation. Demander à son mari s’il veut bien inviter son amant à rester, c’est un peu inhabituel.
- Arrête, ne dis pas ça ! Je ne veux pas « faire l’amour avec lui ». Et puis, tu seras là aussi, non ?
- Ben oui, mais c’est quand même lui que tu veux.
- Oui, mais avec toi. Et puis, je ne veux pas « faire l’amour » avec lui.
- Ah bon, tu veux faire quoi alors ? Tu préfère que je dise « baiser » ?
- Non ! On peut dire « coucher », non ? « Faire l’amour », c’est avec toi.
- Hmmm, c’est mignon. Bon, ça me convient.
- Tu lui demanderas, alors ?
- Ah en plus, c’est moi qui dois lui faire ta demande ! lui dis-je avec un air coquin.

Je fanfaronne, mais je n’en mène pas large. On a déjà eu l’expérience avec Benjamin, mais ce n’était pas préparé et puis, avec quelques verres, on n’avait pas vraiment eu le temps ni la capacité de méditer ce qui allait se passer. Là, on dirige plus les choses, et on le fait à deux. On ne peut pas se mentir et prétendre que ce sera arrivé par accident.

Quand on regagne l’hôtel, il est 21 h et avant que Vassilis ne se demande comment agir, je lui demande :
- Tu restes discuter un moment avec nous, dans la chambre ?
- Oui, ok.
On sait très bien qu’on ne va pas discuter beaucoup, mais c’est plus facile que de lui demander abruptement si ça lui dirait de se taper vraiment ma femme, maintenant !

- Je vous laisse dix minutes, je vais prendre une douche, je suis pleine de sel.
Je repense à notre douche à trois, avec Benjamin, mais je trouve que ce n’est pas idéal. On sera mieux dans la chambre, bien installés, à prendre notre temps. On discute un peu avec Vassilis, comme si de rien n’était. Maëlie ressort de la douche, simplement habillée d’une petite culotte, même pas un maillot de bain, et d’une chemisette déboutonnée jusqu’à la naissance de ses jolis petits seins. L’érection me gagne immédiatement !

- Vas-y, Vassilis, si tu veux faire la même chose
- Non, non, vas-y en premier, si tu veux.
C’est ça, que je te laisse seul avec elle pendant ce temps ? Hmmm, de toute façon, je ne vois pas comment faire autrement, il faudra bien que je les laisse à un moment ou à un autre.
- Ok, je fais vite alors !

C’est une douche express, et je suis bien content qu’il n’y ait pas d’orage : avec mon engin dressé vers le ciel comme ça, ça ferait un sacré paratonnerre ! Je sors de la salle de bain avec un nouveau maillot de bain et un t-shirt, qui finit d’absorber l’eau que je n’ai pas pris le temps d’essuyer sur moi. Je les retrouve tous les deux assis en train de discuter bien sagement, et non en train de copuler frénétiquement comme je me l’étais imaginé sous la douche.

- C’est libre, tu peux y aller
- Ok, j’y vais. Je peux vous emprunter une serviette ?
- Sers-toi, tu sais où elles sont !

Je me retrouve avec mon épouse, plus belle que jamais. J’ai une furieuse envie d’elle, mais je sais que ce soir, elle va faire l’amour avec un autre que moi. Pardon, elle va coucher avec lui. Il est en ce moment nu sous la douche et nous rejoindra d’un instant à l’autre. Je me lève pour baisser les stores et, en revenant, je m’arrête derrière le dossier de son siège et je glisse mes mains dans sa chemise ouverte. Sa peau est douce, elle sent le frais, ses seins sont chauds. En se penchant en arrière pour me regarder, elle m’offre son buste que je caresse amoureusement.
Je glisse mes mains sur sa gorge, chacune descendant doucement vers un sein pendant que ma bouche et ma langue caressent ses lèvres. J’adore quand elle s’habille comme ça, laissant deviner plus qu’elle ne montre. Elle se laisse aller en arrière et je me penche un peu plus pour l’embrasser sur la gorge, puis descendre vers sa douce poitrine. Je défais encore un bouton, pour la dévoiler un peu plus. Mes mains se rassemblent sur son sein pour repousser le tissu de la chemise et offrir son mamelon à mes lèvres. Je le suce doucement, un instant, puis me redresse, mes mains parcourant son corps du ventre à ses épaules, en s’attardant sur son buste délicat.

Je me redresse complètement et elle se lève pour venir vers moi et m’embrasser. Je défais le dernier bouton qui ferme encore un peu sa chemise et mes mains partent explorer toute la surface de sa peau qui est encore dissimulée aux regards. Et à propos de regard, il y en a qui s’est posé sur nous sans qu’on s’en rende vraiment compte. Vassilis vient de nous rejoindre, une simple serviette autour de la taille.

- j’ai hésité à remettre mes vêtements, mais, juste après la douche, j’ai pensé que ce n’était pas une très bonne idée, ils sont pleins de sel.
- Oui, tu as eu raison, lui répond Maëlie sans quitter mes bras.
De mon côté, je lui caresse ostensiblement la poitrine, le ventre, le dos et j’observe que la serviette enroulée autour du corps de notre Apollon ne lui laisse pas toute la liberté qu’il aimerait. Je pense au numéro du magicien qui fait rouler une boule sur un foulard qu’il tient à deux mains, puis la boule disparaît derrière le foulard et vient le pousser au milieu, sans que le magicien ait lâché les extrémités un instant. Là aussi, on dirait qu’il y a un être animé derrière la serviette qui pousse pour remonter !

Vassilis se dirige vers nous et pose une main sur le ventre de ma femme, attendant sa réponse. Elle le regarde intensément et il se penche vers elle pour l’embrasser à son tour. Elle lui rend son baiser, sensuellement. Je me sens à la fois gêné de cette proximité avec ce garçon qui l’embrasse et surexcité de la voir l’embrasser de cette façon. Je vois la barbe naissante du jeune homme et je me demande comment elle peut éprouver du plaisir à ce contact, qui, moi, me repousse. Je me recule insensiblement et je vois leur langue se mêler, ses mains parcourir son corps. Maëlie pose une main sur son dos et commence elle aussi à le caresser. Je lui prends la main qu’elle avait encore sur mon dos pour la passer devant moi et la tourner un peu plus vers lui. Elle pose cette main libérée sur le ventre musclé du beau grec et je reste derrière elle, mon sexe dressé contre ses jolies petites fesses.

Il prend son menton dans sa main, comme pour mieux diriger son baiser, puis glisse sur sa joue, son cou, son sein. Il s’y attarde, le prend entièrement dans sa main, doucement, puis le presse légèrement, le relâche, s’éloigne vers le ventre, puis revient, remonte sur la clavicule, l’épaule, et entraîne en arrière la chemise complètement ouverte. Il fait de même avec sa main gauche et Maëlie laisse tomber sa chemise ouverte par terre. Elle pose ses mains sur les reins de son amant pour le serrer un peu plus contre elle, insère ses pouces entre la serviette et le corps musclé, puis tire doucement pour faire céder le fragile stratagème qui la retenait enroulée contre le corps viril. Je vois le tissu éponge s’entrouvrir, puis s’écouler comme de l’eau tandis qu’elle le laisse tomber au sol.

D’une main légère, elle flatte le membre qui se redresse immédiatement, sourit au jeune grec, à moi, puis se dirige vers la chambre, uniquement revêtue de sa petite culotte.
Nous la suivons tous les deux et je me demande s’il est possible qu’il soit plus excité que moi. Elle s’est arrêtée à côté du lit et se retourne vers lui. Il brandit son sexe fièrement, sans aucune gêne apparente. Il la prend à nouveau dans ses bras et l’embrasse langoureusement, ses mains parcourant tout le dos et les fesses de l’amante qui lui est offerte. Il la repousse légèrement pour la faire basculer sur le lit et s’allonge sur elle. Sa bouche quitte celle de Maëlie pour venir s’égarer dans son cou, puis ses épaules et, enfin, ses seins. Elle a un large sourire, bouche ouverte et les yeux fermés, comme pour mieux savourer ces instants. Il joue avec les mamelons durcis qu’il suce et embrasse de plus en plus fougueusement. Elle commence à onduler de plaisir, lui caressant le dos, la tête, les bras. Elle ne sait visiblement plus comment se remplir assez de lui pour la satisfaire. Il poursuit son exploration en embrassant son ventre plat, puis encore un peu plus bas, sur le délicat triangle de son tout petit string. Il semble vouloir dévorer son sexe, il y pose sa bouche ouverte, le referme, massant ainsi le sexe de ma femme à travers le tissu.

Elle ouvre grand la bouche pour avaler une grande quantité d’air et se cambre, comme pour plaquer encore plus son entrejambe sur la bouche avide de son amant. Il passe ses bras sous ses jambes pour venir s’installer entre celles-ci, plaquant ses mains juste sous les seins de la belle, sur ses côtes nues. Ils semblent survoltés tous les deux, la tension sexuelle est énorme. Elle l’est pour moi aussi. J’ai le souffle court et je ne suis plus capable de respirer par le nez uniquement. J’ai la bouche ouverte et j’halète, je sens mon cœur s’affoler dans ma poitrine. Le beau grec attrape le petit string de chaque côté et le tire vers la bas d’un mouvement décidé. Maëlie pose ses pieds sur le lit pour soulever son bassin et en profite pour se repousser plus loin sur le lit. Vassilis retourne entre ses jambes et semble se délecter par avance du moelleux nectar qui ne doit pas manquer entre les jolies jambes de ma femme.

Il plaque sa bouche sur les pétales de son sexe et je le vois s’activer doucement. La tension semble retombée pour tous les deux, maintenant qu’ils peuvent assouvir leur soif de plaisir. Ils s’adonnent aux caresses, elle lui offre son intimité qu’il saisit à pleine bouche. Il lui relève un peu plus les jambes, ce qu’elle lui laisse faire avec générosité, pour plaquer sa langue sur le sillon humide et le remonter sur toute la longueur, avec voracité. Il aspire son clitoris, puis reprend la manœuvre en plaçant sa langue à chaque fois plus près de son petit œillet qui se détend doucement sous les attouchements. Il s’attarde longuement sur les douces lèvres de mon épouse, lui soulevant les jambes, les écartant, lui attrapant un sein, pinçant un mamelon durci d’excitation, pendant qu’elle râle et soupire, entrouvrant parfois brièvement les yeux pour s’assurer de ma présence discrète.

Les doigts de son amant retrouvent le chemin de la vulve ouverte par sa langue, se promenant lentement entre les lèvres lubrifiées de désir. Il introduit un doigt, une phalange, puis ressort en suivant le fond du sillon vers son périnée, s’enfonce à nouveau, un peu plus loin, pendant que sa langue flatte le petit bourgeon ou se faufile sous les grandes lèvres. Quand l’humidité de sa salive mêlée à celle du sexe trempé de plaisir devient trop abondante, il plaque à nouveau sa bouche sur la douce ouverture et aspire le délicieux nectar, tout en profitant de la manœuvre pour attirer dans sa bouche les lèvres fines et les titiller de sa langue.

Je voulais participer, mais je suis subjugué par le spectacle et l’érotisme qui s’en dégage. Je prends un plaisir de voyeur, tout en me réjouissant de celui que s’octroie visiblement ma compagne. Je la récompense de sa fidélité et de son amour pour moi par une preuve d’amour de ma part : lui permettre de prendre un amant sans souffrir de la culpabilité qui devrait accompagner cet acte, sans craindre de mettre en péril tout ce qu’on a construit ensemble. Elle vit pleinement sa relation, savoure les attouchements de son bel amant, retrouve l’excitation du sexe pour le sexe, celui de la première fois avec un nouveau partenaire. Dans un couple, on se déshabille devant l’autre sans plus ressentir son regard sur soi. Là, en s’allongeant devant lui, en acceptant qu’il lui retire son string, son dernier rempart contre la nudité, elle s’est offerte à son regard, avant de lui laisser prendre son corps. Elle a ressenti les frémissements qui parcourent la peau quand on se retrouve complètement nu devant un nouveau partenaire.

Pendant qu’il s’affaire entre ses jambes, à genoux devant notre lit, je passe derrière Vassilis pour localiser nos préservatifs. J’en sors plusieurs de la boîte, ne sachant pas encore exactement à quoi m’attendre : est-ce que je participerai ? Est-ce qu’il va la prendre à la grecque ? Est-ce qu’on la pénétrera tous les deux en même temps ? En me penchant vers le sac qui contient les protections de latex, je jette un œil en direction du couple. Je vois nettement les lèvres soigneusement épilées être parcourues par la langue habile de Vassilis. Je le vois poser une main à plat sur les deux fesses, pendant qu’il lui soulève un peu le bassin par la jambe qu’elle a posée sur son épaule. Son majeur circule tout autour du petit œillet qui a bénéficié du surplus de lubrification prodigué par le jeune amant. Il tire un peu d’un doigt sur l’étroite ouverture et j’observe que celle-ci est bien relâchée, bien souple. C’est un signal qu’elle accepte déjà le principe d’une pénétration de la sorte, qu’elle soit le fait de ses doigts ou, plus tard, de son pénis, bien plus large.

Je le vois d’ailleurs tester ce qu’il a déjà compris, lui aussi. Il pousse doucement son doigt dans le passage et je le vois disparaître sans résistance jusqu’à la première phalange. Une contraction involontaire semble l’avoir interrompu dans sa progression, mais son travail buccal, lui, se poursuit avec bonheur. Quand il la sent se relâcher à nouveau, il reprend la poussée et c’est tout son index qui disparaît cette fois à l’intérieur. Elle a toujours une jambe posée sur l’épaule de son amant et elle tient l’autre contre sa propre poitrine, pour l’assurer du meilleur accès à toute cette zone de plaisir. Il exerce une pression latérale avec son doigt, d’un côté et de l’autre, pour diminuer l’étreinte et lui permettre de commencer un mouvement de va-et-vient, qu’il rend plus fluide grâce à de la salive généreusement déposé à chaque fois que son doigt se ressort.
Je suis un peu surpris de la facilité avec laquelle elle lui accorde ce privilège, qui augure de celui bien plus important qu’elle ne manquera pas de lui céder également. Je suis le premier à y avoir eu droit et je ne l’avais pas tenté avant plusieurs semaines d’étreintes répétées et passionnées. D’ailleurs, pour être honnête, je n’avais rien « tenté ». Simplement, une position un peu inhabituelle, un préservatif qui me prive un peu de sensations m’avaient amené par erreur devant le passage inviolé et elle m’avait laissé le prendre, croyant que c’était réellement mon objectif. Nous étions allongés en « petites cuillères » et cette position ne me permettait pas une grande liberté de mouvement, alors je m’étais retiré et je m’étais assis sur le canapé, l’invitant à s’installer sur moi. Elle s’était d’elle-même empalée à nouveau sur le pieu que je lui présentais et en avait tiré un plaisir bruyant en quelques instants. Je pensais que c’était un peu un cadeau qu’elle m’offrait, et qu’il me serait réservé à jamais. En réalité, ses amants précédents ne lui avaient pas permis de soupçonner le plaisir qu’on pouvait procurer de cette façon et le hasard avait fait qu’elle l’avait découvert avec moi. Aujourd’hui, elle ne voyait sans doute pas pourquoi elle devrait se le refuser, alors qu’il peut être si puissant.

Vassilis retire lentement son doigt parfaitement lubrifié et dépose un baiser sur le ventre de ma femme juste au-dessus du pubis. Il remarque alors les préservatifs que j’ai déposés négligemment à côté de lui, pour ne pas être obligé de lui donner en mains-propres (ce qui n’était d’ailleurs plus possible !). Il se saisit d’une petite enveloppe métallique et pose un genou sur le lit, juste derrière les fesses de Maëlie. Il tient dans sa main gauche la jambe de Maëlie qui reposait sur son dos et il la repousse tout en la soulevant, pour lui faire comprendre qu’il veut maintenant la rejoindre. Elle se déplace vers le centre du lit, il emprisonne son pénis dressé dans sa petite camisole de latex. Il lui tient toujours la jambe droite relevée et masse le sexe ruisselant du plat de la main, avant d’y insérer brièvement deux doigts, ce qui la fait se cambrer.

Il repose la jambe de ma belle épouse, et recule un peu ses genoux, de façon à amener l’extrémité de son phallus sur la zone qu’il vient d’exciter à nouveau. Il semble fouiller le ventre de Maëlie de son dard, avançant, reculant, se déplaçant sur un côté ou l’autre. Elle, se tord de désir d’être enfin prise comme il se doit, pénétrée et labourée par un fougueux amant. Il finit par mettre fin à son supplice et s’enfonce en une fois, mais sans brutalité, dans le sexe bien lubrifié de ma femme. Il s’enfonce jusqu’à la garde et observe son visage, savourant le plaisir qui la submerge et qui se lit sur ses traits. Il garde appui sur ses deux mains posés de chaque côté de sa maîtresse et commence un ample mouvement de va-et-vient, qu’il termine par un puissant coup de reins à chaque trajet qui arrache un cri rauque à mon épouse, offerte. Il passe sa main à nouveau sous sa jambe droite et la soulève, puis fait de même avec l’autre jambe. Il commence alors un véritable pilonnage de cette victime consentante, s’enfonçant en elle de toute sa longueur, faisant disparaître à chaque fois la petite collerette du préservatif entre les lèvres intimes de la belle.

Quand il semble en partie affranchi de cette frustration sexuelle qu’il accumulé tout l’après-midi, rêvant de la posséder depuis déjà des heures, il se retire et vient se placer derrière elle, pour une approche plus sensuelle. Il s’allonge contre elle dans son dos et elle se saisit de son membre sans se retourner, pour le masturber doucement. Elle ouvre à nouveau ses jambes et en place une en travers de son amant, m’offrant ainsi une vue sur l’intimité qu’elle vient d’offrir à son Apollon, ainsi qu’un accès libre à celui-ci. Il la laisse s’occuper de son pénis tandis qu’il caresse fébrilement son corps, passant et repassant sur ses hanches, son ventre, ses seins, l’embrassant dans le cou, la plaquant contre lui en lui enserrant la poitrine. Elle se tend vers lui pour lui offrir sa bouche, qu’il prend avidement, pendant que sa main droite flatte son joli sein bien rond, puis glisse vers son mont de Vénus maintenant délaissé. Leurs langues se lient, se délient, un doigt glisse en elle, puis deux. Elle guide le solide braquemart vers son entrejambe et le maintient en place pendant que son amant le pousse du bassin, afin de reprendre possession d’elle.

Il y a quelque-chose de plus que du sexe entre eux. Elle ondule de plaisir, mais également pour faire entrer chaque parcelle de son corps en contact avec celui de son amant. Il la pénètre avec douceur, dans un rythme régulier et accompagne ses profondes pénétrations de caresses sur tout le corps de ma femme, la couvrant dans le même temps de baisers. Elle lui offre son sexe, tout en se tournant sur le dos, se cambrant sous la pénétration, lui présentant ainsi sa douce poitrine. Il s’en saisit avec passion ; la presse, puis la relâche, pour descendre sur son ventre creusé par sa position cambrée. Elle pousse ses fesses vers lui, pour mieux s’empaler, ouvre ses jambes pour lui permettre de s’enfoncer autant qu’il le peut, bascule sa tête en arrière pour rechercher sa bouche et sa langue.
Ils sont tellement beaux ensemble, Maëlie semble tellement absorbée par la passion que je les laisse faire et que je savoure, une délicieuse brûlure de jalousie me consumant les entrailles et le cerveau. Je vois bien qu’elle est folle de lui, de son physique, en tout cas. C’est vrai qu’il est très beau, je dois bien le reconnaître. Elle est complètement submergée de désir, de l’avoir pour elle, de pouvoir toucher son corps, de se faire lécher, embrasser par cet Apollon. Elle n’en revient pas d’avoir son sexe en elle, de le sentir limer sa petite chatte trempée en lui prenant les seins, de le sentir bander tellement fort pour elle, rien que pour elle. C’est le mec sur lequel se retournent toutes les filles, et il est en train de la prendre, de la serrer contre lui en parcourant tout son corps de ses mains et de sa bouche, de sa langue.

Je n’y tiens plus, je les vois faire l’amour et moi, je suis là, à regarder, une nouvelle fois. J’avais envie de la voir s’offrir à lui, de l’avoir rien que pour elle. Mais je crois qu’elle a eu son quart d’heure de plaisir, je ne veux pas finir encore une fois en mode manuel pendant qu’ils prennent un pied d’enfer ensemble. Je jette mes vêtements par terre et je me place devant ma chérie, qui se fait toujours pilonner par son bel étalon. Elle a toujours une jambe par-dessus son corps, mais a le dos contre le lit, après s’être retournée pour pouvoir l’embrasser. Je me place à côté d’elle et je touche son sein, pendant que Vassilis lui maintient le bassin contre le matelas et coulisse régulièrement en elle, donnant parfois un coup de rein plus profond. Elle est surprise et ouvre les yeux, elle me sourit et tend sa bouche vers mon sexe, qu’elle prend d’une main.

Je la laisse me titiller de sa langue, pendant que le grec nous regarde sans interrompre sa pénétration. Elle parcourt ma tige tendue pour elle, je l’aide de mouvements du bassin car elle est un peu immobilisée. Sa bouche transmet parfois les à-coups de son amant, qui s’en rend compte et stoppe pour la laisser me lutiner gentiment. Il nous regarde et je suis un peu gêné, c’est comme s’il observait fonctionner notre couple. Mais de toute façon, je sais qu’on n’en est plus là : il fait partie maintenant du fonctionnement de notre couple, et je ne crois pas qu’il se pose de questions. Il profite de l’instant qu’on lui offre, c’est tout.

Maëlie me prend doucement dans sa bouche, j’adore le contact de ses lèvres sur moi. Je réalise à ce moment qu’elle a toujours fait une pipe à tous ses amants, y compris si elle n’avait couché qu’une seule fois avec eux. Pour pouvoir continuer à le dire, il va falloir qu’elle s’occupe de Vassilis à un moment ou à un autre. Mais ce ne sera probablement plus ce soir, on est trop avancé pour revenir à autre chose. Je pense qu’il ne voudra plus quitter son antre douillette.

Et pourtant, alors qu’il semblait immobile depuis un moment, je le vois poser une main sur une fesse de mon épouse et la repousser un peu. Elle gémit en regardant dans sa direction et je comprends qu’il vient de se retirer. Je suis un peu surpris, mais je suis trop perdu dans la recherche de mon plaisir pour vraiment y penser. Je l’aperçois tirer un peu la jambe de ma belle encore plus en arrière, sur son corps, et sa main glisser entre ses jambes. Il semble être descendu plus loin que son petit minou qui l’a si bien accueilli. Il profite de la cyprine recueillie sur le sexe encore ouvert de ma femme pour humidifier son majeur et l’introduire à nouveau dans le petit orifice.

Il se glisse sous elle et je le vois placer à nouveau sa tête entre ses jambes, mais par en-dessous, soulevant bien la jambe de ma chérie pour pouvoir lui butiner le petit trou à loisir. Elle ralentit ses mouvements sur moi, sa concentration s’étant déplacée vers les nouvelles sensations. Je décide de me reculer pour la laisser profiter du travail de cette langue agile qui la découvre et s’enfonce en elle. Il a déjà introduit un doigt en elle et modifie la position de la jambe pour faciliter la pénétration d’un deuxième. Du coup, je pose ma main sur la petite chatte de Maëlie et j’y glisse moi aussi un doigt, ce dont je rêve depuis l’après-midi : je l’ai laissé la caresser, la doigter, la lécher, la pénétrer, pendant que moi, je ne pouvais que rêver de ces caresses. Elle a maintenant trois doigts en elle, de deux différents amants.

On joue tous les deux à alterner de profondes pénétrations, du moins, aussi profondes que nous le permettent nos doigts. Nos mouvements sont prudents, pour ne pas la blesser, mais on observe tous les deux ses réactions sur son visage, on lit sur son corps. On peut dire qu’on lit aussi en braille, tant son excitation est perceptible sous nos doigts, on la sent palpiter, trembler.
J’ajoute quelques petits coups de langue sur son clitoris, mais sans exagérer, tant je la sens prête à partir. Vassilis doit le sentir aussi car il arrête ses mouvements et scrute ses réactions sur son visage, entre deux baisers sur son cou, sa bouche, ses seins. Elle lui glisse furtivement la langue entre ses lèvres et il l’aspire un instant. Je le sens se retirer lentement et je fais de même, pour la laisser reprendre un peu le contrôle d’elle-même. Son répit est de courte durée, car je vois Vassilis repousser d’une main une petite fesse et ajuster sa position pour présenter son membre à l’entrée qu’il vient de préparer. Je sens leurs corps se tendre tandis qu’il pousse doucement pour s’introduire. La pénétration semble douce, Maëlie n’a aucune crispation, aucune grimace de douleur. Au contraire, elle semble au bord de l’extase et gémit de plaisir.

Je me saisis moi aussi d’un préservatif que j’enfile rapidement. Vassilis me voit faire et comprend ce que je veux, il roule un peu sur le dos et entraîne Maëlis avec lui. Elle, ne m’a pas vu et cherche à se redresser un peu, pensant que son amant voulait juste changer d’angle de pénétration. D’ailleurs, ce n’était pas son idée initiale, mais il semble apprécier le changement et l’aide à se redresser, en la poussant des deux mains contre ses omoplates. Elle se redresse avec précaution et je vois sa bouche s’ouvrir, sa tête s’incliner en arrière, tandis qu’elle se retrouve assise sur la bite dressée, littéralement empalée. Lui, ouvre un peu ses jambes, pour permettre à Maëlie de descendre encore un peu, si c’était possible. Elle pousse un petit cri en aspirant de l’air à pleins poumons. La pénétration est profonde, je ne suis pas sûr de l’avoir jamais pénétrée aussi loin. Mais elle ne souffre pas, au contraire. Je suis partagé entre la satisfaction de son plaisir et la frustration de ne pas en être la seule source.

J’attends encore un instant, puis je viens me placer devant elle. Elle ouvre les yeux et me regarde, elle se soulève de quelques centimètres avant de se laisser redescendre doucement. Elle recommence une fois ou deux, le regard perdu dans le vague, me regardant sans me voir vraiment, aveuglée par ses sensations. Je m’avance encore un peu, jusqu’à la toucher. Soudain, elle semble revenir à elle et comprendre. Comprendre que je ne veux pas interrompre ce plaisir mais lui en procurer un nouveau. Elle se laisse aussitôt aller en arrière et ouvre elle aussi les jambes. Je regarde un instant le dard fiché profondément dans la chair de ma femme allongée, offerte à ses deux amants. La chair gonflée de sang vient comprimer son périnée, mais sa petite chatte me semble bien accessible malgré tout, les lèvres béant légèrement après les assauts de son jeune amant.

Je me positionne tant bien que mal entre leurs jambes emmêlées et je fais jouer mon gland sous latex entre ces lèvres qui m’appellent. Je réalise alors que je n’ai pas besoin de ce préservatif, que c’est quelque-chose que je peux lui offrir et que lui ne peut pas. Je m’empresse de le retirer et de le jeter à terre, pour reprendre la manœuvre. Sa réaction est immédiate, elle pousse un nouveau petit cri de plaisir et je la vois se redresser pour me regarder avec un sourire qui lui fend le visage, bouche ouverte. J’ai du mal, au début, à ne pas être paralysé par le contact de mes testicules avec une partie du sexe de Vassilis. Mais je me concentre sur Maëlie et le plaisir que j’ai à la voir aussi exaltée. Mon cœur palpite comme un fou et je ne pense plus qu’à la prendre, le reste disparaît de mon esprit. Si je ressens encore le contact avec l’autre phallus, je transpose sur ce que doit ressentir mon épouse, je partage une sensation avec elle et ça renforce mon excitation.

Je me place au-dessus d’elle pour trouver un meilleur angle, pour ne plus seulement glisser entre ses lèvres mais m’enfoncer en elle. Elle replace elle aussi son bassin pour m’y aider, s’empalant à nouveau au mieux sur le pieu de chair érigé pour elle. Soudain, je sens sa vulve entourer mon gland, je reconnais le contact tout autour de l’extrémité de mon sexe qui m’indique que j’ai commencé à m’immiscer et je me laisse petit à petit couler en elle. Elle râle et se cambre, la tête basculée en arrière, contre la joue de son amant qui l’embrasse partout fougueusement. Il ne peut plus agiter son sexe en elle mais il doit me sentir lui aussi la prendre, comme je sens derrière elle une résistance inhabituelle.
L’excitation de toute la journée est là, accumulée dans mon sexe tendu qui coulisse délicieusement dans cet antre humide. Je vois la main de Vassilis couler de la poitrine de mon épouse vers son ventre, puis son sexe. Je me redresse et j’hésite, car je n’ai aucune envie d’être manipulé par un autre homme. Mon excitation, du coup, marque le pas. Mais il ralentit en sentant le pubis épilé et progresse alors prudemment à la recherche des lèvres de la petite chatte. Il trouve les petits plis qui entourent encore le clitoris et il les prend délicatement entre deux doigts, les massant avec douceur tandis que son autre main pétrit un sein. Rassuré, je reprends mon va-et-vient. Je me retire presque entièrement, regarde l’image que nous formons tous les trois, ma femme prise en sandwich par deux hommes, l’un lui pétrissant un sein tout en la masturbant, son sexe bien planté entre ses jolies petites fesses, tandis que l’autre la ramone langoureusement, déployant tous les efforts de concentration pour ne pas perdre le contrôle trop vite.

Puis, je m’enfonce en elle à nouveau, écrasant presque la main qui caresse son sexe. Je sens monter un plaisir inextinguible, je sais que je ne vais plus pouvoir le juguler bien longtemps. On vit un fantasme mille-feuille qui nous plonge dans une folie sexuelle qu’on n’imaginait pas vraiment : ma femme fait l’amour avec un autre homme, ce qui ne lui était arrivé qu’une seule autre fois en dix ans. Ce gars doit faire fantasmer la plupart des filles qu’il croise et il est en train de lui faire l’amour, à elle. Il le fait devant moi, ce qui était un fantasme pour moi, mais qu’elle s’est mise à partager depuis un moment. C’est aussi le seul qui l’ait sodomisée dès le premier rapport sexuel. D’ailleurs, il n’y a que trois mecs qui ont eu ce privilège. Et pour finir, Maëlie s’offre une double pénétration, tout en douceur et sensualité. C’est bien plus qu’on n’aurait pu imaginer. Je me retire à nouveau et replonge très vite en elle, sentant un frisson remonter depuis la base de ma verge. Je me plie légèrement, pour me faire plus léger et pouvoir pivoter plutôt que d’avancer et reculer, de façon à accélérer mon mouvement. Je commence à râler quand je sens tout mon corps bouillonner à partir de mon entrejambe. Maëlie reconnaît le signal et elle n’arrive plus à retenir ses gémissements, mon plaisir semblant se transmettre à elle à travers mon sexe qui la laboure.

Vassilis lâche la douce poitrine pour placer sa main sous les fesses de ma femme et tenter de la soulever, de façon à pouvoir se redonner un peu de liberté de mouvement. Il se met à la pilonner à petits coups rapides par en-dessous, tandis que je lime de toutes mes forces son vagin inondé qui clapote sous les coups de boutoir. Soudain, la semence jaillit de moi et se répand dans le corps de ma femme, déclenchant l’orgasme qu’elle cherchait à retenir. Elle semble s’arrêter de respirer, de bouger, comme pour arrêter le temps, ou pour laisser le plaisir envahir chaque parcelle de son corps.
- Ah ! J’vais jouir ! oh non. Oh non ! nooon ! NOOOONN !! aah ! AAAAAHH !!!
Ses cris sont libératoires, la récompense de tous nos efforts, en plus de notre propre jouissance. Je la regarde se crisper, se détendre brutalement, elle semble se débattre comme un poisson hors de l’eau, empalée sur deux lances charnelles qui la transpercent.
e sens son sexe se contracter sur le mien, les frissons la parcourent, partent du ventre et remontent tout le long de son corps tendu, moite. Elle crie son plaisir, elle qui est d’habitude plutôt réservée. Vassilis serre les dents et grimace, comme si on lui arrachait ce plaisir qui monte en lui. Il continue ses mouvements en elle et semble s’épanouir soudain : sa bouche s’arrondit, ses yeux s’écarquillent, son corps se tend et il enfourne son dard au plus profond de l’intimité de Maëlie, pour se répandre en elle. Je sens leurs contractions à tous les deux, j’ai l’impression de percevoir le trajet de la semence le long du chibre enfoui dans le rectum de ma chérie, jusqu’à jaillir en elle. On est tous trois agités de soubresauts accompagnés d’exclamations bruyantes. L’orgasme est fort, prolongé, violent, pour tous les trois. Il nous assaille et nous libère en même temps, brûlant au passage toutes nos forces. Toute notre énergie passe dans la transformation de ce plaisir en sensations physiques qui agitent nos corps.

Nos corps qui s’affaissent, épuisés, les uns sur les autres. Je roule légèrement sur le côté, encore partiellement sur Maëlie, elle-même couvrant en partie le corps de son amant qui la retient toujours par le bassin, après une ultime poussée au fond d’elle. Les respirations se calment, les membres s’effondrent, les pensées s’évadent et parcourent à nouveau cette zone de fantasme qu’on vient de traverser, avant de nous entraîner vers une douce inconscience.

Je suis le premier à émerger et je me retire doucement pour aller me doucher et me rhabiller. J’aimerais bien dormir vraiment, maintenant, mais je n’ai plus vraiment envie de partager notre lit avec un autre. Je retourne vers la chambre et je vois les deux corps qui n’ont presque pas bougé, comme s’ils partaient pour une nuit complète. Je m’arrange pour faire assez de bruit pour qu’ils comprennent tous les deux que je n’ai pas l’intention de me recoucher comme ça. Je vois un œil s’ouvrir, puis deux, et un premier mouvement d’un bras, qui me prouve que ma manœuvre a fonctionné. Au bout d’une dizaine de minutes, ils sont tous les deux réveillés mais semblent plongés dans une sorte de léthargie.
- vous voulez boire quelque-chose ?
Je donne l’impression de me soucier de leur bien être, mais je veux surtout achever de les réveiller.
- non, merci, je crois que je vais aller prendre une douche surtout, me répond Maëlie
- Je crois que je vais faire comme toi, si ça ne te dérange pas.
Je comprends qu’ils vont la prendre ensemble, mais ça me dérange moins que de le voir passer la nuit là. Quand même, ça m’ennuie un peu de les voir faire ça en étant en dehors du coup. Vassilis se relève le premier et se dirige vers la salle de bains. Maëlie vient vers moi et me pose les mains sur la poitrine, pour me faire un doux baiser sur les lèvres.
- je t’aime.
Elle sent la difficulté de la situation pour moi et tient à me rassurer. Je la prends dans mes bras.
- moi aussi.

L’eau coule déjà dans la douche et Maëlie se lève, nue, pour rejoindre son jeune amant. Je la suis, bien qu’étant déjà douché. On vient de tout donner, mon excitation était retombée, mais de les savoir nus tous les deux en train de se savonner me procure de nouveaux frissons, sans que je puisse vraiment faire la part de la jalousie et de l’excitation sexuelle.

Elle ouvre la porte pour le rejoindre et je l’aperçois avec les mains sur la tête, en train de se savonner. La mousse coule sur son buste légèrement poilu et vient mourir dans la toison de son sexe qui pend doucement. Je sais que cette image de mâle sous la douche doit plaire à ma chérie. Cette eau qui coule sur lui, cette nudité, ce corps qui vient de lui faire l’amour. Elle entre et ferme la porte, il se recule pour la laisser se placer sous le jet. Il la regarde, elle penche la tête en arrière et envoie ses cheveux vers l’arrière des deux mains, offrant sa poitrine tendue à son regard. Il se penche d’ailleurs vers elle, pose ses mains sur la cambrure de ses reins et prend délicatement un sein dans sa bouche. Les yeux fermés, elle n’a pas vu l’amorce du mouvement et est légèrement surprise par le contact de sa bouche, mais elle se laisse faire et repose ses bras sur sa nuque, les yeux toujours fermés, le visage tourné vers l’eau qui tombe en pluie sur eux.

Il s’attarde gentiment sur les deux seins qu’elle lui offre, puis vient chercher sa bouche. Leurs lèvres coulent les unes sur les autres, leurs langues et cherchent, au milieu de l’eau qui ruisselle sur leur visage. Maëlie glisse sur la joue du jeune homme et descend vers son torse. Je sais qu’elle admire ses pectoraux que je lui jalouse. Elle titille elle aussi les mamelons de son amant avant de poursuivre sa route et de s’agenouiller devant lui. Son sexe a retrouvé un peu de vigueur et je comprends à l’instant ce qu’elle veut : elle l’a fait à tous ses amants, elle veut pouvoir continuer à le dire. Elle n’a pas encore goûté ce sexe qui lui a donné tant de plaisir et elle veut réparer ça. Elle le prend doucement dans la paume de sa main et joue lentement avec. Immédiatement, le membre se dresse et se trouve devant ses lèvres. Elle dépose un premier baiser sur la verge, puis un second, pendant que ses doigts se font aériens et parcourent l’objet de son désir.
Il se penche en arrière et s’appuie contre le mur de la douche. L’eau lui éclabousse le bas du ventre, elle tombe en pluie sur la tête et les épaules de Maëlie, qui redresse le membre revigoré pour le parcourir de la pointe de sa langue. Elle trace un sillon depuis les bourses du jeune grec jusqu’au gland pour le moment recouvert par le prépuce. Elle recommence la manœuvre plusieurs fois, le léchant sur toute la surface qu’il lui présente, alternant les longues glissades de bas en haut et les petites succions de ses lèvres tout autour du pénis. Elle joue avec les gouttelettes qui s’écoulent, titille le haut du gland avec le bout de sa langue puis la plaque longuement contre la verge, pour alterner les sensations de son amant. J’imagine ce qu’il ressent, pour m’être déjà trouvé à sa place. L’eau lui fouette la poitrine et le sexe, s’écrase sur les cheveux de sa maîtresse et lui éclabousse la poitrine, li procurant une sensation de fraîcheur surprenante pour de l’eau pourtant assez chaude. Il chancelle sur ses jambes et voudrait pouvoir s’allonger pour mieux profiter de son plaisir, mais il est obligé de rester de bout, le dos contre le carrelage froid. Il sent les doigts fins qui le parcourent, sur son sexe, ses bourses, qui se faufilent sous les testicules pour le caresser doucement, qui remontent entre ses fesses, pendant que les lèvres de la belle repoussent sa bite contre son ventre, la maintenant quelques instants au chaud avant de la livrer à nouveau aux fraîches éclaboussures.

Je la vois changer légèrement de position et je comprends qu’elle va enfin accéder à ce qu’il attend vraiment. Elle tire doucement la peau du sexe de son amant et découvre totalement le gland rougi. Elle le caresse de sa langue, le couvre de sa salive pour y faire glisser ses lèvres arrondies, comme elle sucerait une sucette Chuppa. Il lui pose une main sur la tête, pour lui faire comprendre son plaisir et son impatience qu’elle aille encore plus loin. Elle se hisse sur ses genoux et je vois sa bouche englober tout le gland, je vois les lèvres s’ouvrir un peu plus et glisser autour de la tige bien dure, elle engloutit lentement la moitié de ce sexe qui l’a fait jouir il y a une heure. Commence alors une danse sensuelle, ma femme, nue, penchée sur ce dard bien dressé, faisant coulisser sa bouche sur le membre de son amant, tandis que celui-ci l’accompagne de lascifs mouvements du bassin.

L’eau et la buée sur la vitre me privent d’une vision précise, mais je ne rate rien. Parfois, un peu d’eau accumulée s’écoule d’un coup, nettoyant une partie de la surface vitrée et me laissant voir alors la scène parfaitement. Je vois Maëlie, les yeux fermés, gênée pour respirer par les fines gouttelettes, s’appliquer à former un doux fourreau de sa bouche au pénis de son amant. Je le vois, lui, appuyé sur le mur, cambré pour mieux offrir sa bite à la délicieuse caresse, la bouche ouverte et les yeux fermés, recrachant parfois un peu d’eau qui menace de s’infiltrer dans ses poumons lors d’une profonde inspiration, quand les lèvres tendres l’aspirent un peu plus loin.
Encore une fois, je les laisse profiter seuls de cette relation sexuelle. Mon plaisir est aussi intellectuel, je suppose, tiré de ma torture de voir ma femme s’offrir à un autre, puis lui offrir à son tour un plaisir intime. On peut rapprocher ce sentiment de la douleur lors d’un acte sexuel, qui peut se transformer en plaisir sans que l’on comprenne pourquoi : en s’approchant de l’orgasme, des ongles qui labourent le dos, des doigts qui forcent l’anus, peuvent augmenter le plaisir, alors qu’ils sont à pourtant à l’origine d’une douleur. Je crois que ce que je vis est similaire.

Elle accélère un peu son mouvement, sentant la montée du plaisir dans ce sexe dont elle  pris possession. Quand il commence à gémir, elle sent les contractions monter entre les jambes du jeune homme. Je la vois y glisser une main et chercher un passage. Il ouvre un peu ses jambes, pour lui faciliter l’accès, et je devine qu’elle introduit doucement un doigt dans son rectum, pour bien sentir les contractions qui vont faire jaillir le sperme. Elle retire sa bouche et continue une lente mais ample masturbation, jouant de ses deux mains pour faire monter le plaisir.

Soudain, les abdos se tendent, le corps se crispe et j’entends une exclamation de surprise mêlée de plaisir. Elle lève la tête pour lire son expression et je vois un sourire se dessiner sur son visage : elle l’a mené jusqu’à un nouvel orgasme, elle est heureuse de son pouvoir sur un si beau jeune homme. Il donne des coups de reins dans la main qui forme un fourreau autour de son sexe et je vois quelques gouttes de semence jaillir et retomber sur l’épaule et la poitrine de ma femme. C’est la troisième fois aujourd’hui qu’elle le fait jouir et je sais que c’est une grande satisfaction pour elle. Elle n’a pas eu cette fois-ci de réel plaisir physique, mais elle n’aurait pas pu, de toute façon, ayant eu un rapport intense il y a moins d’une heure. Elle doit encore être sensible. En revanche, c’est l’esprit qui se réjouit, d’avoir pu à nouveau mener ce bel homme à un orgasme. Et puis, il y a cette sorte de « collection » de fellations, ces sexes différents qu’elle a pris dans sa bouche, comme si ça comptait presque plus que la pénétration sexuelle.

Elle se relève et lui tient une dernière fois le sexe entièrement dans sa main, avant de le laisser glisser doucement dans sa paume et de lui rendre sa liberté. Il ouvre les yeux, légèrement ébahi, lui sourit et dépose un nouveau baiser sur sa bouche. Il remarque les traces de son plaisir sur l’épaule et le sein de ma femme et entreprend de l’évacuer à grande eau, qu’il récupère au creux de ses mains. Il se saisit d’un flacon de savon pour compléter  le nettoyage et fait le fait mousser sur le buste parfait de mon épouse. Elle prend elle aussi un peu de savon dans ses mains pour terminer sa toilette, le fait mousser sur son ventre puis saisit doucement le sexe de Vassilis pour lui prodiguer une dernière caresse. Elle fait coulisser ses mains plusieurs fois sur le pénis affaibli, le masturbe quelques instants avant de le relâcher. J’adore cette sensation du savon entre sa main et mon sexe, et je suis sûr qu’il y aura goûté lui aussi, malgré la fatigue. Le sexe glisse sans frottement dans la main, à moins que ce ne soit la main qui glisse sur le sexe.

Un dernier baiser et les deux amants se rincent, avant de quitter la douche. Je m’éclipse juste avant, pour prétendre n’avoir rien vu de la scène. Mais quand Maëlie me dépose un nouveau bisou sur la bouche, j’hésite un peu en sachant ce qui m’a précédé.

- bon, je vais vous laisser, je travaille toute la journée demain, et les 4 jours qui suivent aussi. Je vais aller me reposer.
- Ok, de toute façon, on se revoit au resto.
- Pas de problème. Et merci pour cette journée fantastique.
- Merci à toi, lui répond Maëlie avec un sourire mutin.
On se serre la main, il embrasse Maëlie sur la joue et il quitte notre chambre. Nous voilà seuls à nouveau, avec une nouvelle expérience à notre actif. Maëlie vient se blottir dans mes bras avec un petit gémissement de bien être, qui est peut-être aussi une petite plainte d’excuse, comme si elle avait maintenant honte de son comportement.

- ça va ? Tu ne m’en veux pas ?
- T’en vouloir ? Mais de quoi ? C’est moi qui t’ai poussée là-dedans. C’est toi qui pourrais m’en vouloir. Mais je pense qu’on y a pris goût tous les deux, alors il n’y a pas de problème. On reste un couple, on a toujours du plaisir ensemble, on a envie des mêmes choses, alors pas la peine de culpabiliser.
Elle sourit, satisfaite, et rajoute avec un air coquin :
- En tout cas, c’était bien. J’ai bien aimé !

On retourne se coucher tous les deux, après s’être à nouveau déshabillés complètement. On s’endort dans les bras l’un de l’autre, en se caressant doucement.

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