- 06 juil. 2024, 16:00
#2808569
Après nous être séparés de Fred, nous sommes allés à notre véhicule.
Nous nous rinçons à l'eau douce, puis nous prenons la route pour environ une heure trente de trajet.
Sylvie me dit,
"J'espère que tu as apprécié notre journée, comme je te l'ai déjà dit, tu parle la nuit, tu fantasme de me voir baiser avec un homme devant toi. Je t'ai écouté parler, je t'avoue que cela ma donné des idées , je me caressais en t'écoutant, je ne voulais pas te faire cocu, alors j'attendais le bon moment. Alors aujourd'hui, lorsque Fred m'a abordé, j'avais envie qu'il me prenne de suite, mais je voulais que tu sois là, que tu participes activement ou passivement, tu rêvais de me voir faire la salope et je l'ai fait, et pour tout te dire, j'ai adoré.
Alors, pour toi mon amour, à partir d'aujourd'hui, je vais être une vraie salope, je suis prête à accomplir tous tes fantasmes, d'ailleurs, regarde, je défais mon paréo, et je vais m'exhiber durant tout le trajet, regarde, rien que d'en parler je suis toute mouillée, je ne veux plus perdre de temps,
Je vais être la salope dont tu rêve, une vraie chienne. "
Bouche bée je l'ai écouté sans pouvoir répondre.
En une journée, Sylvie était passée de l'épouse modèle à la femme délurée, et la connaissant, je savais que ce n'était pas des paroles en l'air.
Elle dénoue son paréo, met ses pieds sur le tableau de bord .
"Regarde la route mon amour, et laisse les autres me mater puisque c'est ça qui t'excite "
Je la regarde s'assoupir.
Nous roulons désormais sur la nationale 113 en Arles et Salon de Provence.
À environ 200 mètres, je vois des uniformes sur le côté de la route.
Je réveille Sylvie en disant "Attention, la maréchaussée "
Les agents me font les gestes pour me dire de me stationner sur le côté, un terre plein, je me gare à droite du fourgon.
C'est la douane, je n'ai rien à me reprocher.
4 agents contrôleurs s'approchent de nous, 3 hommes et une femme.
Sylvie a juste attaché son paréo avec sa pince à cheveux.
"Bonjour monsieur et madame, contrôle des douanes, avez-vous quelque chose à nous déclarer ?"
" bonjour monsieur, rien à déclarer "
Le plus âgé qui me parle, regarde à l'intérieur, Sylvie a les cuisses visibles et le paréo a du mal à cacher ses tétons qui pointent.
"Veuillez descendre du véhicule "
Nous nous exécutons.
Du côté de Sylvie, les agents sont plus jeunes, et ne perdent pas une miette du spectacle.
Le plus âgé commence à fouiller la voiture et demande à la femme de conduire Sylvie dans le fourgon pour une fouille à corps.
La douanière répond alors "ok, mais pas seule, par sécurité "
Le chef demande à un des plus jeunes de les accompagner.
Les deux jeunes se précipitent,
"Oh, les gars ,un seul!"
Le plus rapide au fourgon gagne, il a environ 30 ans, 1,80 m, blond.
Je vois Sylvie rentrer dans le fourgon, suivi de la douanière, le jeune restant devant la porte coulissante, pendant que les autres inspectent ma voiture.
Au bout de cinq minutes la fille descend, va voir l'autre jeune, lui parle à l'oreille, ce dernier monte dans le fourgon. La fille et le plus âgé continuent leur fouille.
Au bout de 10 minutes, j'entends des petits cris provenant du fourgon, la fille dit au plus âgé, " vous devriez aller voir chef, j'ai peur qu'ils ne s'en sortent pas "
En me regardant, ce dernier me dit.
"Je vous laisse en compagnie de ma collègue, ces jeunes, il faut tout leur apprendre "
Puis il monte lui aussi dans le fourgon me laissant seule avec la douanière.
Je reste là, écoutant les gémissements de Sylvie durant une demi demi-heure
La douanière s'approche de moi, me colle à la voiture, m'embrasse sur la bouche en me mettant la main sur le sexe.
"Avec ce que ce prend ta femme en ce moment, je n'aurais pas besoin de leur vider les couilles en rentrant au service, tu la remercieras pour moi !"
Je ne sais quoi répondre.
Enfin Sylvie descends du fourgon, souriante, remets succinctement son paréo ,monte dans la voiture, je reprends ma place conducteur, une fois assis, elle m'embrasse goulûment, je sens un goût âcre dans ma bouche. Elle défait son paréo, je remarque des traînées blanches sur ses seins, elle en récupère avec son index puis suce son doigt en disant 'merci messieurs, à une prochaine fois "
Et nous démarrons.
"La fille te remercie " lui dis je
"Je n'en doute pas, nous avons fait un marché, d'habitude elle doit vider les couilles de ses collègues avant de partir, si j'acceptais de le faire à sa place, elle nous éviterait bien des soucis et pourrait être à l'heure au resto avec son mari. "
Elle repasse son index sur ses seins puis le porte à ma bouche.
Je serre les lèvres
"Ouvre la bouche, je me suis sacrifiée alors on partage!"
Son ton était autoritaire et sans recours, j'ai ouvert la bouche et elle m'a fait sucer son doigt.
"Tu verras, tout ce que j'aime tu aimera."
Nous nous rinçons à l'eau douce, puis nous prenons la route pour environ une heure trente de trajet.
Sylvie me dit,
"J'espère que tu as apprécié notre journée, comme je te l'ai déjà dit, tu parle la nuit, tu fantasme de me voir baiser avec un homme devant toi. Je t'ai écouté parler, je t'avoue que cela ma donné des idées , je me caressais en t'écoutant, je ne voulais pas te faire cocu, alors j'attendais le bon moment. Alors aujourd'hui, lorsque Fred m'a abordé, j'avais envie qu'il me prenne de suite, mais je voulais que tu sois là, que tu participes activement ou passivement, tu rêvais de me voir faire la salope et je l'ai fait, et pour tout te dire, j'ai adoré.
Alors, pour toi mon amour, à partir d'aujourd'hui, je vais être une vraie salope, je suis prête à accomplir tous tes fantasmes, d'ailleurs, regarde, je défais mon paréo, et je vais m'exhiber durant tout le trajet, regarde, rien que d'en parler je suis toute mouillée, je ne veux plus perdre de temps,
Je vais être la salope dont tu rêve, une vraie chienne. "
Bouche bée je l'ai écouté sans pouvoir répondre.
En une journée, Sylvie était passée de l'épouse modèle à la femme délurée, et la connaissant, je savais que ce n'était pas des paroles en l'air.
Elle dénoue son paréo, met ses pieds sur le tableau de bord .
"Regarde la route mon amour, et laisse les autres me mater puisque c'est ça qui t'excite "
Je la regarde s'assoupir.
Nous roulons désormais sur la nationale 113 en Arles et Salon de Provence.
À environ 200 mètres, je vois des uniformes sur le côté de la route.
Je réveille Sylvie en disant "Attention, la maréchaussée "
Les agents me font les gestes pour me dire de me stationner sur le côté, un terre plein, je me gare à droite du fourgon.
C'est la douane, je n'ai rien à me reprocher.
4 agents contrôleurs s'approchent de nous, 3 hommes et une femme.
Sylvie a juste attaché son paréo avec sa pince à cheveux.
"Bonjour monsieur et madame, contrôle des douanes, avez-vous quelque chose à nous déclarer ?"
" bonjour monsieur, rien à déclarer "
Le plus âgé qui me parle, regarde à l'intérieur, Sylvie a les cuisses visibles et le paréo a du mal à cacher ses tétons qui pointent.
"Veuillez descendre du véhicule "
Nous nous exécutons.
Du côté de Sylvie, les agents sont plus jeunes, et ne perdent pas une miette du spectacle.
Le plus âgé commence à fouiller la voiture et demande à la femme de conduire Sylvie dans le fourgon pour une fouille à corps.
La douanière répond alors "ok, mais pas seule, par sécurité "
Le chef demande à un des plus jeunes de les accompagner.
Les deux jeunes se précipitent,
"Oh, les gars ,un seul!"
Le plus rapide au fourgon gagne, il a environ 30 ans, 1,80 m, blond.
Je vois Sylvie rentrer dans le fourgon, suivi de la douanière, le jeune restant devant la porte coulissante, pendant que les autres inspectent ma voiture.
Au bout de cinq minutes la fille descend, va voir l'autre jeune, lui parle à l'oreille, ce dernier monte dans le fourgon. La fille et le plus âgé continuent leur fouille.
Au bout de 10 minutes, j'entends des petits cris provenant du fourgon, la fille dit au plus âgé, " vous devriez aller voir chef, j'ai peur qu'ils ne s'en sortent pas "
En me regardant, ce dernier me dit.
"Je vous laisse en compagnie de ma collègue, ces jeunes, il faut tout leur apprendre "
Puis il monte lui aussi dans le fourgon me laissant seule avec la douanière.
Je reste là, écoutant les gémissements de Sylvie durant une demi demi-heure
La douanière s'approche de moi, me colle à la voiture, m'embrasse sur la bouche en me mettant la main sur le sexe.
"Avec ce que ce prend ta femme en ce moment, je n'aurais pas besoin de leur vider les couilles en rentrant au service, tu la remercieras pour moi !"
Je ne sais quoi répondre.
Enfin Sylvie descends du fourgon, souriante, remets succinctement son paréo ,monte dans la voiture, je reprends ma place conducteur, une fois assis, elle m'embrasse goulûment, je sens un goût âcre dans ma bouche. Elle défait son paréo, je remarque des traînées blanches sur ses seins, elle en récupère avec son index puis suce son doigt en disant 'merci messieurs, à une prochaine fois "
Et nous démarrons.
"La fille te remercie " lui dis je
"Je n'en doute pas, nous avons fait un marché, d'habitude elle doit vider les couilles de ses collègues avant de partir, si j'acceptais de le faire à sa place, elle nous éviterait bien des soucis et pourrait être à l'heure au resto avec son mari. "
Elle repasse son index sur ses seins puis le porte à ma bouche.
Je serre les lèvres
"Ouvre la bouche, je me suis sacrifiée alors on partage!"
Son ton était autoritaire et sans recours, j'ai ouvert la bouche et elle m'a fait sucer son doigt.
"Tu verras, tout ce que j'aime tu aimera."
