- 17 juil. 2024, 13:36
#2810698
Le lendemain matin, on avait décidé de ne pas se donner rendez-vous au petit-déjeûner, pour se garder des plages de liberté. Mais on se retrouve à 13h au restaurant de l’hôtel pour manger tous les quatre avant de repartir pour l’après-midi. On ne l’a pas évoqué, mais on a tous envie d’une soirée similaire à celle de la veille, certainement propice à de nouvelles explorations inter-couple. Laure est rayonnante et je la trouve très sexy. Elle a attaché ses cheveux en arrière et a mis une petite jupe très courte ainsi qu’un débardeur dos nu qui lui va à ravir. On s’installe tous les quatre pour manger au buffet de l’hôtel quelques salades et des fruits pour nous aider à supporter la chaleur de la journée.
- Kalimera ! Alors, on a de nouveaux amis ?
Vassilis ! Je ne pensais pas le voir là aujourd’hui, en venant au buffet. Mais je me demande s’il ne nous a pas plus ou moins cherché depuis un jour ou deux, afin de renouveler notre trio. D’ailleurs, sa remarque sent la pointe de jalousie.
- Kalimera, lui répond Laure avec un grand sourire charmé, et charmeur.
- Bonjour, je suis Vassilis.
- Oui, je sais déjà, dit-elle en regardant Maëlie avec un air coquin. Et voilà Eric, je pense que tu connais déjà les deux autres.
- Oui, bien sûr. Alors, quel programme aujourd’hui ?
Je suis un peu gêné pour répondre et Maëlie aussi, mais Laure a déjà pris les opérations en mains.
- et bien on a trouvé une petite crique très sympa et je pense qu’on va y retourner, non ? Demande-t’elle en nous regardant.
- Ah oui, je pense que je la connais, cette crique, dit-il en nous regardant avec un petit sourire. D’ailleurs, je ne travaille pas ce soir et je comptais y passer en fin d’après-midi. Je pourrais vous y retrouver.
- Euh, oui, si tu veux… répond Laure, légèrement embarrassée. Elle se demande subitement si elle ne vient pas de mettre à l’eau nos projets.
- Bon, là, il faut que je file travailler, justement, je suis au bar, en fait. J’avais juste pris une petite pause, alors je vous laisse. A ce soir !
Il file sans se retourner, satisfait sans doute de son résultat. Laure, elle, ne sait pas trop quoi dire.
- J’espère que j’ai pas fait une gaffe. S’il vient, c’est foutu pour… notre petite soirée tranquille, non ?
- Ben si, lance Eric, irrité. Ou bien, on peut trouver un autre endroit, non ? ça ne doit pas manquer, les criques désertes.
- Je peux vous demander un truc ?
- Oui, vas-y, lui répond Maëlie, qui se doute probablement de la question.
- Euh… C’est Vassilis qui vous a montré la crique et il a a l’air de… euh, de bien vous connaître. Il s’est passé un truc avec lui ?
- …
- En fait, oui, répond finalement Maëlie, après avoir croisé mon regard pour y lire ce que j’en pensais.
- Ah d’accord ! Vous n’en étiez pas à votre coup d’essai, alors ! Pas comme nous.
- Attends, Laure. C’était la première fois et on n’avait rien prémédité. On ne l’a refait qu’une seule fois ensuite, avec lui. J’avais toujours eu envie de voir Maëlie avec un autre, c’était un fantasme, et l’occasion s’est présentée, voilà. Et avec vous, c’était la toute première fois avec un couple. Je ne sais pas si ce serait possible à nouveau avec un autre, parce qu’avec vous, il y a eu vraiment quelque-chose entre nous qui l’a rendu possible, c’est tout.
- Ah mais ne t’inquiète pas, c’est pas une critique. Mais c’est vrai que, du coup, je pensais que vous étiez des habitués de ce genre de choses.
- Alors là, pas du tout, rétorque Maëlie.
Bon, on a juste oublié de relater l’épisode de Benjamin, mais ça ne fait de toute façon pas de nous des habitués.
- C’est marrant, pour nous aussi c’était une lubie d’Eric.
- Oh ça va, se défend-il. Tu n’avais rien contre.
- Non, mais je n’en aurais jamais eu l’idée de moi-même. Mais je suis plutôt contente, ajoute-t’elle en me regardant avec un sourire.
- Bon, alors on fait quoi ? demande Eric.
Un silence envahit notre table, personne ne sait trop quoi faire.
- Moi, je veux bien courir le risque qu’il nous surprenne, s’il a l’esprit aussi ouvert, indique Laure.
On est tous un peu surpris, mais on n’ose rien dire. Je ne me vois pas donner des leçons, ni dire quoi que ce soit après avoir avoué ce qu’on a déjà fait avec lui.
- Ben, moi, je veux bien te le prêter, si tu veux, lui répond Maëlie.
Sa réponse nous surprend tous et on rit. Les plaisanteries continuent sur ce sujet, mais on sait qu’on vient d’accepter un nouveau scénario qui pourrait se présenter. Si c’est le cas, on aura vraiment eu des vacances de découvertes !
L’après-midi se passe comme d’habitude, avec peut-être un peu plus de réserve que la veille. On ne sait pas vraiment ce qui nous attend le soir et il y a un peu d’appréhension chez tout le monde. On se retrouve tout de même vers 17h à la crique, pas de trace de Vassilis. On étend nos serviettes et on va se baigner, reprenant nos petits jeux habituels dans l’eau. Les filles ont gardé leur maillot cette fois encore, mais on ne pense plus qu’à leur enlever, Eric et moi. Les mains se faufilent furtivement sous les tissus, des baisers s’échangent, Eric passe un doigt sous le bretelle du maillot de Maëlie pour le descendre un peu et lui pincer le téton entre les lèvres. Je glisse ma main derrière une jambe de Laure et je la remonte sur sa fesse, passant sous le maillot, puis je me penche pour l’embrasser entre ses petits seins et chercher à repousser le tissu moi aussi, mais de ma bouche. Elle se débat faussement en riant, mais pas trop, pour que je puisse tout de même sentir un mamelon tout dur entrer en contact avec mes lèvres avant de s’échapper et de disparaître à nouveau sous le tissu mouillé.
Soudain, je réalise que Vassilis est là, au niveau de nos serviettes et qu’il se dirige vers nous. On était sûr de le voir arriver, mais non. Finalement, une fos dans l’eau, on ne distingue pas si facilement une silhouette qui s’approche et qui se fond avec les rochers du bout de la plage.
- salut les amis ! Alors, on s’amuse bien ?
Il nous a forcément vus, Eric avec Maëlie et Laure avec moi. Il s’avance dans l’eau jusqu’à la taille puis s’immerge totalement, avant de surgir à nouveau de l’eau et de rejeter sa longue chevelure d’un coup de tête vers l’arrière. L’eau s’écoule sur son torse et les filles voudraient visiblement toutes les deux laper les gouttes qui s’y accrochent. Maëlie comprend vite que la seule façon de ne pas renoncer à notre soirée coquine, c’est de l’intégrer, ce qu’on a tous admis tacitement en venant ici. Elle se dirige alors vers lui et l’embrasse sur la bouche, d’un vrai baiser avec la bouche ouverte et leurs langues qui se posent l’une contre l’autre. Laure semble interloquée, et Eric jaloux. Mais ils ne font pas de commentaires, ils m’observent juste un peu en coin, on dirait. Je souris et je me dirige vers lui, pour leur faire comprendre à tous que j’accepte ce qui se passe, ainsi que ce qui pourrait se passer. Il me serre la main et je prends Maëlie par la taille pour l’embrasser dans le cou.
- tu ne connais pas Laure et Eric, viens, je vais te présenter, lui dit-elle. Elle le prend par la main et l’entraîne vers le petit couple. Je les suis et je m’approche de Laure, je l’embrasse sur la joue, très près des lèvres. Maëlie lâche la main de Vassilis et se laisse glisser sur l’eau jusque dans les bras d’Eric. On ne peut être plus clair et Vassilis comprend très bien la situation.
La conversation s’anime avec humour entre Vassilis et Eric, grâce à Maëlie qui fait le lien entre les deux. Je prends doucement Laure dans les bras, en me plaçant derrière elle, et on les écoute en souriant, et en commençant à se caresser. Je sais qu’elle regarde Vassilis.
- il est mignon, hein ?
- hmmmm, oui, il est pas mal.
- t’inquiète pas, si tu le veux, je pense que tu l’auras.
- tu crois ? Maëlie ne sera pas jalouse ?
- eh oh ! C’est moi qui devrais être jaloux de la voir avec ces deux beaux mecs, là ! Et puis, je pourrais l’être aussi de te voir avec lui. D’ailleurs, je vais l’être, c’est sûr.
- c’est vrai ? me demande-t-elle en se retournant. C’est mignon, ça me fait plaisir. Elle se retourne pour me faire face et place ses bras autour de mon cou pour m’embrasser. Je sens son corps chaud dans l’eau froide et son baiser sensuel est électrique. C’est dangereux de se baigner quand il y a de l’électricité dans l’air, alors je lui propose de sortir, ce qu’elle accepte. On remonte vers nos serviettes et on s’allonge pour se sécher et flirter doucement.
Du coin de l’œil, j’ai aperçu Maëlie embrasser tour à tour Eric et Vassilis. J’ai l’impression que ce soir, les combinaisons sont déjà choisies. Elle va à nouveau avoir deux hommes pour elle, mais je ne serai aucun des deux. Ça me fait tout drôle de me dire ça, mais c’est en même temps terriblement excitant. Ils viennent tous les trois se placer à côté de nous, Maëlie entre ses deux hommes et Vassilis à côté de Laure. Ils sont encore tout mouillés et Laure frissonne quand Vassilis s’allonge près d’elle. Il s’en aperçoit et en rajoute, secouant ses cheveux au-dessus d’elle. Des gouttes d’eau froides tombent sur son ventre et elle crie. Il y passe aussitôt la main pour les étaler et se faire pardonner, ce qu’elle lui laisse faire avec un sourire. Maëlie craignant de perdre l’attention du beau grec défait son soutien-gorge et s’allonge sur le ventre, réclamant un massage. Les deux jeunes hommes s’y prêtent tous les deux, ensemble. Ils commencent par la sécher avec leur serviette, puis la massent tous les deux. Les quatre mains parcourent le corps abandonné de ma femme. Elle ferme les yeux et se laisse faire. Les mains s’insinuent rapidement sous le tissu mouillé du maillot de bain et palpent les fesses, les cuisses, le dos, la nuque. Après quelques instants, deux mains tirent le maillot vers le bas et Maëlie se retrouve nue. Les doigts s’insinuent entre ses fesses et caressent son entrejambe, tandis que d’autres remontent sur son dos et cherchent à toucher les mamelons sur lesquels elle est couchée. Elle voudrait se retourner pour offrir sa poitrine aux attouchements, mais elle se priverait alors de ces doigts qui cherchent déjà en elle. Elle se tord doucement de plaisir, puis décide finalement de se retourner. Immédiatement, plusieurs mains parcourent son ventre, ses seins, son cou, ses jambes, qu’elle ouvre pour encore plus de caresses.
Vassilis est le premier à introduire un doigt dans la chatte humide de Maëlie. Il se penche pour l’embrasser et leurs langues se rencontrent, leurs lèvres se frôlent et s’aspirent. Eric plonge également une main entre les cuisses de la belle et parcoure l’intérieur de la jambe, glisse sur les lèvres fouillées par une autre main, atteint le petit œillet et s’y attarde. Il y passe et repasse un doigt humide de cyprine et provoque ainsi des mouvements impatients de sa maîtresse. Ses lèvres aspirent un mamelon, ses dents le mordillent, sa langue glisse sur le galbe de ce sein.
Laure semble fascinée par la scène. Elle est allongée sur le dos, appuyée sur ses coudes et ne perd pas une miette de tout ce qui se passe. Je passe un doigt sous la bretelle de son soutien-gorge et je descends doucement, jusqu’à m’approcher de son téton déjà durci. Elle soupire sans me regarder, ne quittant pas des yeux le trio. Je parcoure tout le bord du soutien-gorge, effleurant sa douce poitrine sans jamais toucher son téton. Puis, je fais descendre la bretelle et découvre son sein magnifique, que je prends alors délicatement dans ma bouche. Elle respire de plus en plus fort, toujours sans me regarder. Je défais le nœud qui retient encore le haut du maillot et je me place à califourchon sur elle, en prenant garde de ne pas lui masquer la vue. Je dépose de petits baisers sur tout son buste, du cou jusqu’au nombril.
Eric et Vassilis retirent tous les deux leur maillot de bain, sans cesser leurs caresses. Je me replace à côté de Laure et caresse son ventre bien plat, avant de glisser le bout de mes doigts sous l’élastique de sa culotte. La peau est douce et je ne rencontre que quelques poils taillés en petit buisson, avant de sentir la peau soyeuse de ses lèvres intimes. Sa fente est déjà très humide et mes doigts récoltent sa moiteur. J’ai envie de la pénétrer, mais je me contente de jouer avec ses lèvres humides, de m’insinuer légèrement entre elles, puis de continuer mon chemin un peu plus bas, là où elles se rejoignent et s’évanouissent, faisant place à une zone bien lisse et douce, sur laquelle la pulpe de mon doigt glisse avec bonheur, avant de m’éloigner vers le petit œillet tout proche. Puis je le délaisse et prends ses lèvres entre mon index et mon majeur, en ciseaux, pour la masser de mouvements circulaires. Je pince ses lèvres et fais mine d’enfoncer mes doigts en elle. Quand les lèvres finissent par s’ouvrir sous la pression, je les relâche et le reprends en ciseaux, pour recommencer. Je suis bientôt obligé d’arrêter, les lèvres étant devenues trop glissantes pour que je puisse les serrer entre mes doigts.
Vassilis retire sa main pour attraper des préservatifs dans son sac, au-dessus d’eux. Eric profite de la place laissée libre pour se ruer sur cette petite chatte dont il raffole. Il glisse ses deux mains à plats sous les fesses de Maëlie pour mieux l’attirer à lui et pose la pointe de sa langue sur le petit œillet délicat, avant de remonter toute la fente humide de désir en y enfonçant sa langue autant que possible. Je regarde Maëlie tressaillir de plaisir. Son corps est agité de soubresauts à chaque inspiration, comme si elle avait du mal à se contrôler, ce qui doit bien être le cas. Elle profite de la position de Vassilis qui cherche dans son sexe pour laper son pénis d’un petit coup de langue, puis d’un deuxième. Vassilis, surpris, s’affale légèrement et semble oublier un instant sa recherche dans son sac. Maëlie poursuit alors ses petits coups de langue, avant de saisir le gland entre ses lèvres et de le faire lentement disparaître dans sa bouche.
Je repousse le maillot de Laure sans changer de position, puis je me débarrasse du mien. On est nus tous les deux, à regarder chacun notre partenaire avoir du plaisir avec deux autres. Mes doigts glissent lentement entre les lèvres humides, descendant jusqu’à son périnée et son petit trou. Je ne m’introduis pas et je réserve mes caresses, pour ne pas déclencher l’orgasme trop tôt. On profite tous les deux de la situation en voyeurs, tout en se donnant du plaisir physique, c’est fantastique.
- tu as déjà fait l’amour avec deux hommes ?
- aaah, non, me répond-elle dans un râle brutal
- tu en aurais envie ?
- ouiiiii…
Je glisse alors mon index entre ses fesses et j’appuie doucement à l’entrée de son anus, jusqu’à ce que mon doigt glisse doucement à l’intérieur. Je m’enfonce assez loin, mais stoppe ma progression lorsque je sens ses contractions, prémices de l’orgasme. J’attends un moment qu’elle se calme, ce qu’elle fait à l’aide de longues inspirations profondes. Patiemment, je m’insinue en elle, puis glisse un deuxième doigt pour élargir doucement son petit trou. Je les fais tourner tous les deux en elle, lentement, pour bien la détendre et faciliter ce qui va suivre.
Pendant ce temps, Eric s’est saisi d’un préservatif et l’a enfilé, tandis que Vassilis se satisfait de la bouche de mon épouse, qui le suce goulument. Eric délaisse un instant la vulve de Maëlie pour se placer derrière elle, recherchant sa position favorite. Il s’allonge derrière elle et lui relève une jambe, place son sexe courbé sur les lèvres qu’il vient de lécher avidement et s’introduit doucement, avec une visible satisfaction, partagée par ma belle.
- regarde ton mari comme il se fait plaisir.
- aaahhh… me répond-elle, comme absente, ivre du plaisir qui lui procurent mes doigts ainsi que la scène qu’elle vient de voir.
Je me retire doucement et enfile rapidement un préservatif. Je me frotte à sa vulve trempée pour récolter le nécessaire lubrifiant, puis je lui écarte doucement se jolies petites fesses pour y présenter mon sexe. Elle m’aide à me positionner et je m’introduis lentement en elle, sans difficulté. Je pose une main sur son sexe et l’autre sur son petit sein. Qu’il est troublant de me sentir en elle alors que ma main confirme que ce n’est pas son sa vulve que je suis en train de posséder.
Maëlie s’est cambrée sous les assauts d’Eric, sa bouche délaissant alors le pénis de Vassilis, pourtant chauffé à blanc. Toute à son plaisir, elle n’est plus en mesure d’en procurer à Vassilis pour le moment. Celui-ci regarde dans notre direction et comprend que j’ai pris Laure, il se sent un peu délaissé. Je lui fais alors signe de venir et je retire ma main. Il comprend que la place est libre et semble apprécier l’idée de pouvoir également goûter à Laure.
- regarde ton mari comme il se fait plaisir.
- aaahhh… me répond-elle, comme absente, ivre du plaisir qui lui procurent mes doigts ainsi que la scène qu’elle vient de voir.
Je me retire doucement et enfile rapidement un préservatif. Je me frotte à sa vulve trempée pour récolter le nécessaire lubrifiant, puis je lui écarte doucement ses jolies petites fesses pour y présenter mon sexe. Elle m’aide à me positionner et je m’introduis lentement en elle, sans difficulté. Je pose une main sur son sexe et l’autre sur son petit sein. Qu’il est troublant de me sentir en elle alors que ma main confirme que ce n’est pas sa vulve que je suis en train de posséder.
Maëlie s’est cambrée sous les assauts d’Eric, sa bouche délaissant alors le pénis de Vassilis, pourtant chauffé à blanc. Toute à son plaisir, elle n’est plus en mesure d’en procurer à Vassilis pour le moment. Celui-ci regarde dans notre direction et comprend que j’ai pris Laure, il se sent un peu délaissé. Je lui fais alors signe de venir et je retire ma main. Il comprend que la place est libre et semble apprécier l’idée de pouvoir également goûter à Laure.
- Je pense que ça va être ta première double-pénétration, et qu’en plus, tu vas pouvoir faire l’amour avec Vassilis. Ça te dit ?
- ah oui, OUIII !
Vassilis s’approche à genoux et j’attire Laure sur moi, me plaçant complètement sur le dos. Je vois disparaître la tête de Vassilis entre les jambes de Laure et je la sens se tendre, tressaillir et se contracter plusieurs fois. Je comprends qu’il est en train de goûter sa petite chatte avant de la prendre, poussant Laure dangereusement prêt de la zone de non-retour. Le sentant également, il se redresse et se place au-dessus d’elle. Il doit chercher un peu la meilleure position, à cause de mes jambes, mais la trouve rapidement. Je sens une pression contre mon pénis, il appuie sur les lèvres humides pour les faire s’ouvrir. Il se redresse à nouveau, Laure ne fait plus de bruit, elle est tendue en arrière, attendant de se faire embrocher par le beau grec. Soudain, je l’entends gémir et je sens un mouvement contre mon sexe : il vient de la pénétrer et s’enfonce profondément en elle. Je sens ses testicules contre les miens quand il bute en elle. Il donne alors un coup de bassin, comme pour finir de l’empaler, puis se retire et commence un doux mouvement de va-et-vient. Il n’a pas l’occasion de prolonger trop longtemps, car je sens à nouveau les contractions monter en Laure, en même temps qu’elle pousse de petits gémissements qui se transforment en râles puis en cris de jouissance. Je ne peux me retenir plus longtemps et je jouis à mon tour, dans le petit cul de Laure. Vassilis, lui, a besoin d’un peu plus de temps, à moins qu’il n’ait décidé de profiter plus longtemps de la jolie petite Laure. Il la laboure de façon virile, provoquant de petits cris de notre partenaire jusqu’à sa libération finale. Je sens Laure tressaillir à nouveau pendant que le sperme du grec jaillit en elle, retenu par la fine paroi de latex.
Maëlie s’est offerte une nouvelle fois à Eric, tout en regardant Laure se faire prendre par son mari et son amant. Elle atteint l’orgasme brutalement, alors que Vassilis finit de donner de violents coups de boutoir. Ses cris couvrent les gémissements d’Eric, qui éjacule dans le ventre de ma chérie en lui agrippant fermement le bassin pour la prendre profondément.
La plage retrouve soudain son calme, pendant que nos corps nus et luisants de sueur récupèrent leurs forces. Je ne savais pas encore que nous vivions là nos derniers instants coquins avec nos nouveaux amis. Une petite intoxication alimentaire le lendemain me clouait au lit et me privait de forces pour le reste du séjour. Mais c’est peut-être mieux ainsi, de façon à rester sur un merveilleux souvenir de nos premières expériences. Il est probable qu'on ne reverra pas Vassilis de sitôt, mais les adresses mail sont échangées avec Laure et Eric pour se revoir en France, étant tous frustrés de cette fin de vacances en queue de poisson.
- Kalimera ! Alors, on a de nouveaux amis ?
Vassilis ! Je ne pensais pas le voir là aujourd’hui, en venant au buffet. Mais je me demande s’il ne nous a pas plus ou moins cherché depuis un jour ou deux, afin de renouveler notre trio. D’ailleurs, sa remarque sent la pointe de jalousie.
- Kalimera, lui répond Laure avec un grand sourire charmé, et charmeur.
- Bonjour, je suis Vassilis.
- Oui, je sais déjà, dit-elle en regardant Maëlie avec un air coquin. Et voilà Eric, je pense que tu connais déjà les deux autres.
- Oui, bien sûr. Alors, quel programme aujourd’hui ?
Je suis un peu gêné pour répondre et Maëlie aussi, mais Laure a déjà pris les opérations en mains.
- et bien on a trouvé une petite crique très sympa et je pense qu’on va y retourner, non ? Demande-t’elle en nous regardant.
- Ah oui, je pense que je la connais, cette crique, dit-il en nous regardant avec un petit sourire. D’ailleurs, je ne travaille pas ce soir et je comptais y passer en fin d’après-midi. Je pourrais vous y retrouver.
- Euh, oui, si tu veux… répond Laure, légèrement embarrassée. Elle se demande subitement si elle ne vient pas de mettre à l’eau nos projets.
- Bon, là, il faut que je file travailler, justement, je suis au bar, en fait. J’avais juste pris une petite pause, alors je vous laisse. A ce soir !
Il file sans se retourner, satisfait sans doute de son résultat. Laure, elle, ne sait pas trop quoi dire.
- J’espère que j’ai pas fait une gaffe. S’il vient, c’est foutu pour… notre petite soirée tranquille, non ?
- Ben si, lance Eric, irrité. Ou bien, on peut trouver un autre endroit, non ? ça ne doit pas manquer, les criques désertes.
- Je peux vous demander un truc ?
- Oui, vas-y, lui répond Maëlie, qui se doute probablement de la question.
- Euh… C’est Vassilis qui vous a montré la crique et il a a l’air de… euh, de bien vous connaître. Il s’est passé un truc avec lui ?
- …
- En fait, oui, répond finalement Maëlie, après avoir croisé mon regard pour y lire ce que j’en pensais.
- Ah d’accord ! Vous n’en étiez pas à votre coup d’essai, alors ! Pas comme nous.
- Attends, Laure. C’était la première fois et on n’avait rien prémédité. On ne l’a refait qu’une seule fois ensuite, avec lui. J’avais toujours eu envie de voir Maëlie avec un autre, c’était un fantasme, et l’occasion s’est présentée, voilà. Et avec vous, c’était la toute première fois avec un couple. Je ne sais pas si ce serait possible à nouveau avec un autre, parce qu’avec vous, il y a eu vraiment quelque-chose entre nous qui l’a rendu possible, c’est tout.
- Ah mais ne t’inquiète pas, c’est pas une critique. Mais c’est vrai que, du coup, je pensais que vous étiez des habitués de ce genre de choses.
- Alors là, pas du tout, rétorque Maëlie.
Bon, on a juste oublié de relater l’épisode de Benjamin, mais ça ne fait de toute façon pas de nous des habitués.
- C’est marrant, pour nous aussi c’était une lubie d’Eric.
- Oh ça va, se défend-il. Tu n’avais rien contre.
- Non, mais je n’en aurais jamais eu l’idée de moi-même. Mais je suis plutôt contente, ajoute-t’elle en me regardant avec un sourire.
- Bon, alors on fait quoi ? demande Eric.
Un silence envahit notre table, personne ne sait trop quoi faire.
- Moi, je veux bien courir le risque qu’il nous surprenne, s’il a l’esprit aussi ouvert, indique Laure.
On est tous un peu surpris, mais on n’ose rien dire. Je ne me vois pas donner des leçons, ni dire quoi que ce soit après avoir avoué ce qu’on a déjà fait avec lui.
- Ben, moi, je veux bien te le prêter, si tu veux, lui répond Maëlie.
Sa réponse nous surprend tous et on rit. Les plaisanteries continuent sur ce sujet, mais on sait qu’on vient d’accepter un nouveau scénario qui pourrait se présenter. Si c’est le cas, on aura vraiment eu des vacances de découvertes !
L’après-midi se passe comme d’habitude, avec peut-être un peu plus de réserve que la veille. On ne sait pas vraiment ce qui nous attend le soir et il y a un peu d’appréhension chez tout le monde. On se retrouve tout de même vers 17h à la crique, pas de trace de Vassilis. On étend nos serviettes et on va se baigner, reprenant nos petits jeux habituels dans l’eau. Les filles ont gardé leur maillot cette fois encore, mais on ne pense plus qu’à leur enlever, Eric et moi. Les mains se faufilent furtivement sous les tissus, des baisers s’échangent, Eric passe un doigt sous le bretelle du maillot de Maëlie pour le descendre un peu et lui pincer le téton entre les lèvres. Je glisse ma main derrière une jambe de Laure et je la remonte sur sa fesse, passant sous le maillot, puis je me penche pour l’embrasser entre ses petits seins et chercher à repousser le tissu moi aussi, mais de ma bouche. Elle se débat faussement en riant, mais pas trop, pour que je puisse tout de même sentir un mamelon tout dur entrer en contact avec mes lèvres avant de s’échapper et de disparaître à nouveau sous le tissu mouillé.
Soudain, je réalise que Vassilis est là, au niveau de nos serviettes et qu’il se dirige vers nous. On était sûr de le voir arriver, mais non. Finalement, une fos dans l’eau, on ne distingue pas si facilement une silhouette qui s’approche et qui se fond avec les rochers du bout de la plage.
- salut les amis ! Alors, on s’amuse bien ?
Il nous a forcément vus, Eric avec Maëlie et Laure avec moi. Il s’avance dans l’eau jusqu’à la taille puis s’immerge totalement, avant de surgir à nouveau de l’eau et de rejeter sa longue chevelure d’un coup de tête vers l’arrière. L’eau s’écoule sur son torse et les filles voudraient visiblement toutes les deux laper les gouttes qui s’y accrochent. Maëlie comprend vite que la seule façon de ne pas renoncer à notre soirée coquine, c’est de l’intégrer, ce qu’on a tous admis tacitement en venant ici. Elle se dirige alors vers lui et l’embrasse sur la bouche, d’un vrai baiser avec la bouche ouverte et leurs langues qui se posent l’une contre l’autre. Laure semble interloquée, et Eric jaloux. Mais ils ne font pas de commentaires, ils m’observent juste un peu en coin, on dirait. Je souris et je me dirige vers lui, pour leur faire comprendre à tous que j’accepte ce qui se passe, ainsi que ce qui pourrait se passer. Il me serre la main et je prends Maëlie par la taille pour l’embrasser dans le cou.
- tu ne connais pas Laure et Eric, viens, je vais te présenter, lui dit-elle. Elle le prend par la main et l’entraîne vers le petit couple. Je les suis et je m’approche de Laure, je l’embrasse sur la joue, très près des lèvres. Maëlie lâche la main de Vassilis et se laisse glisser sur l’eau jusque dans les bras d’Eric. On ne peut être plus clair et Vassilis comprend très bien la situation.
La conversation s’anime avec humour entre Vassilis et Eric, grâce à Maëlie qui fait le lien entre les deux. Je prends doucement Laure dans les bras, en me plaçant derrière elle, et on les écoute en souriant, et en commençant à se caresser. Je sais qu’elle regarde Vassilis.
- il est mignon, hein ?
- hmmmm, oui, il est pas mal.
- t’inquiète pas, si tu le veux, je pense que tu l’auras.
- tu crois ? Maëlie ne sera pas jalouse ?
- eh oh ! C’est moi qui devrais être jaloux de la voir avec ces deux beaux mecs, là ! Et puis, je pourrais l’être aussi de te voir avec lui. D’ailleurs, je vais l’être, c’est sûr.
- c’est vrai ? me demande-t-elle en se retournant. C’est mignon, ça me fait plaisir. Elle se retourne pour me faire face et place ses bras autour de mon cou pour m’embrasser. Je sens son corps chaud dans l’eau froide et son baiser sensuel est électrique. C’est dangereux de se baigner quand il y a de l’électricité dans l’air, alors je lui propose de sortir, ce qu’elle accepte. On remonte vers nos serviettes et on s’allonge pour se sécher et flirter doucement.
Du coin de l’œil, j’ai aperçu Maëlie embrasser tour à tour Eric et Vassilis. J’ai l’impression que ce soir, les combinaisons sont déjà choisies. Elle va à nouveau avoir deux hommes pour elle, mais je ne serai aucun des deux. Ça me fait tout drôle de me dire ça, mais c’est en même temps terriblement excitant. Ils viennent tous les trois se placer à côté de nous, Maëlie entre ses deux hommes et Vassilis à côté de Laure. Ils sont encore tout mouillés et Laure frissonne quand Vassilis s’allonge près d’elle. Il s’en aperçoit et en rajoute, secouant ses cheveux au-dessus d’elle. Des gouttes d’eau froides tombent sur son ventre et elle crie. Il y passe aussitôt la main pour les étaler et se faire pardonner, ce qu’elle lui laisse faire avec un sourire. Maëlie craignant de perdre l’attention du beau grec défait son soutien-gorge et s’allonge sur le ventre, réclamant un massage. Les deux jeunes hommes s’y prêtent tous les deux, ensemble. Ils commencent par la sécher avec leur serviette, puis la massent tous les deux. Les quatre mains parcourent le corps abandonné de ma femme. Elle ferme les yeux et se laisse faire. Les mains s’insinuent rapidement sous le tissu mouillé du maillot de bain et palpent les fesses, les cuisses, le dos, la nuque. Après quelques instants, deux mains tirent le maillot vers le bas et Maëlie se retrouve nue. Les doigts s’insinuent entre ses fesses et caressent son entrejambe, tandis que d’autres remontent sur son dos et cherchent à toucher les mamelons sur lesquels elle est couchée. Elle voudrait se retourner pour offrir sa poitrine aux attouchements, mais elle se priverait alors de ces doigts qui cherchent déjà en elle. Elle se tord doucement de plaisir, puis décide finalement de se retourner. Immédiatement, plusieurs mains parcourent son ventre, ses seins, son cou, ses jambes, qu’elle ouvre pour encore plus de caresses.
Vassilis est le premier à introduire un doigt dans la chatte humide de Maëlie. Il se penche pour l’embrasser et leurs langues se rencontrent, leurs lèvres se frôlent et s’aspirent. Eric plonge également une main entre les cuisses de la belle et parcoure l’intérieur de la jambe, glisse sur les lèvres fouillées par une autre main, atteint le petit œillet et s’y attarde. Il y passe et repasse un doigt humide de cyprine et provoque ainsi des mouvements impatients de sa maîtresse. Ses lèvres aspirent un mamelon, ses dents le mordillent, sa langue glisse sur le galbe de ce sein.
Laure semble fascinée par la scène. Elle est allongée sur le dos, appuyée sur ses coudes et ne perd pas une miette de tout ce qui se passe. Je passe un doigt sous la bretelle de son soutien-gorge et je descends doucement, jusqu’à m’approcher de son téton déjà durci. Elle soupire sans me regarder, ne quittant pas des yeux le trio. Je parcoure tout le bord du soutien-gorge, effleurant sa douce poitrine sans jamais toucher son téton. Puis, je fais descendre la bretelle et découvre son sein magnifique, que je prends alors délicatement dans ma bouche. Elle respire de plus en plus fort, toujours sans me regarder. Je défais le nœud qui retient encore le haut du maillot et je me place à califourchon sur elle, en prenant garde de ne pas lui masquer la vue. Je dépose de petits baisers sur tout son buste, du cou jusqu’au nombril.
Eric et Vassilis retirent tous les deux leur maillot de bain, sans cesser leurs caresses. Je me replace à côté de Laure et caresse son ventre bien plat, avant de glisser le bout de mes doigts sous l’élastique de sa culotte. La peau est douce et je ne rencontre que quelques poils taillés en petit buisson, avant de sentir la peau soyeuse de ses lèvres intimes. Sa fente est déjà très humide et mes doigts récoltent sa moiteur. J’ai envie de la pénétrer, mais je me contente de jouer avec ses lèvres humides, de m’insinuer légèrement entre elles, puis de continuer mon chemin un peu plus bas, là où elles se rejoignent et s’évanouissent, faisant place à une zone bien lisse et douce, sur laquelle la pulpe de mon doigt glisse avec bonheur, avant de m’éloigner vers le petit œillet tout proche. Puis je le délaisse et prends ses lèvres entre mon index et mon majeur, en ciseaux, pour la masser de mouvements circulaires. Je pince ses lèvres et fais mine d’enfoncer mes doigts en elle. Quand les lèvres finissent par s’ouvrir sous la pression, je les relâche et le reprends en ciseaux, pour recommencer. Je suis bientôt obligé d’arrêter, les lèvres étant devenues trop glissantes pour que je puisse les serrer entre mes doigts.
Vassilis retire sa main pour attraper des préservatifs dans son sac, au-dessus d’eux. Eric profite de la place laissée libre pour se ruer sur cette petite chatte dont il raffole. Il glisse ses deux mains à plats sous les fesses de Maëlie pour mieux l’attirer à lui et pose la pointe de sa langue sur le petit œillet délicat, avant de remonter toute la fente humide de désir en y enfonçant sa langue autant que possible. Je regarde Maëlie tressaillir de plaisir. Son corps est agité de soubresauts à chaque inspiration, comme si elle avait du mal à se contrôler, ce qui doit bien être le cas. Elle profite de la position de Vassilis qui cherche dans son sexe pour laper son pénis d’un petit coup de langue, puis d’un deuxième. Vassilis, surpris, s’affale légèrement et semble oublier un instant sa recherche dans son sac. Maëlie poursuit alors ses petits coups de langue, avant de saisir le gland entre ses lèvres et de le faire lentement disparaître dans sa bouche.
Je repousse le maillot de Laure sans changer de position, puis je me débarrasse du mien. On est nus tous les deux, à regarder chacun notre partenaire avoir du plaisir avec deux autres. Mes doigts glissent lentement entre les lèvres humides, descendant jusqu’à son périnée et son petit trou. Je ne m’introduis pas et je réserve mes caresses, pour ne pas déclencher l’orgasme trop tôt. On profite tous les deux de la situation en voyeurs, tout en se donnant du plaisir physique, c’est fantastique.
- tu as déjà fait l’amour avec deux hommes ?
- aaah, non, me répond-elle dans un râle brutal
- tu en aurais envie ?
- ouiiiii…
Je glisse alors mon index entre ses fesses et j’appuie doucement à l’entrée de son anus, jusqu’à ce que mon doigt glisse doucement à l’intérieur. Je m’enfonce assez loin, mais stoppe ma progression lorsque je sens ses contractions, prémices de l’orgasme. J’attends un moment qu’elle se calme, ce qu’elle fait à l’aide de longues inspirations profondes. Patiemment, je m’insinue en elle, puis glisse un deuxième doigt pour élargir doucement son petit trou. Je les fais tourner tous les deux en elle, lentement, pour bien la détendre et faciliter ce qui va suivre.
Pendant ce temps, Eric s’est saisi d’un préservatif et l’a enfilé, tandis que Vassilis se satisfait de la bouche de mon épouse, qui le suce goulument. Eric délaisse un instant la vulve de Maëlie pour se placer derrière elle, recherchant sa position favorite. Il s’allonge derrière elle et lui relève une jambe, place son sexe courbé sur les lèvres qu’il vient de lécher avidement et s’introduit doucement, avec une visible satisfaction, partagée par ma belle.
- regarde ton mari comme il se fait plaisir.
- aaahhh… me répond-elle, comme absente, ivre du plaisir qui lui procurent mes doigts ainsi que la scène qu’elle vient de voir.
Je me retire doucement et enfile rapidement un préservatif. Je me frotte à sa vulve trempée pour récolter le nécessaire lubrifiant, puis je lui écarte doucement se jolies petites fesses pour y présenter mon sexe. Elle m’aide à me positionner et je m’introduis lentement en elle, sans difficulté. Je pose une main sur son sexe et l’autre sur son petit sein. Qu’il est troublant de me sentir en elle alors que ma main confirme que ce n’est pas son sa vulve que je suis en train de posséder.
Maëlie s’est cambrée sous les assauts d’Eric, sa bouche délaissant alors le pénis de Vassilis, pourtant chauffé à blanc. Toute à son plaisir, elle n’est plus en mesure d’en procurer à Vassilis pour le moment. Celui-ci regarde dans notre direction et comprend que j’ai pris Laure, il se sent un peu délaissé. Je lui fais alors signe de venir et je retire ma main. Il comprend que la place est libre et semble apprécier l’idée de pouvoir également goûter à Laure.
- regarde ton mari comme il se fait plaisir.
- aaahhh… me répond-elle, comme absente, ivre du plaisir qui lui procurent mes doigts ainsi que la scène qu’elle vient de voir.
Je me retire doucement et enfile rapidement un préservatif. Je me frotte à sa vulve trempée pour récolter le nécessaire lubrifiant, puis je lui écarte doucement ses jolies petites fesses pour y présenter mon sexe. Elle m’aide à me positionner et je m’introduis lentement en elle, sans difficulté. Je pose une main sur son sexe et l’autre sur son petit sein. Qu’il est troublant de me sentir en elle alors que ma main confirme que ce n’est pas sa vulve que je suis en train de posséder.
Maëlie s’est cambrée sous les assauts d’Eric, sa bouche délaissant alors le pénis de Vassilis, pourtant chauffé à blanc. Toute à son plaisir, elle n’est plus en mesure d’en procurer à Vassilis pour le moment. Celui-ci regarde dans notre direction et comprend que j’ai pris Laure, il se sent un peu délaissé. Je lui fais alors signe de venir et je retire ma main. Il comprend que la place est libre et semble apprécier l’idée de pouvoir également goûter à Laure.
- Je pense que ça va être ta première double-pénétration, et qu’en plus, tu vas pouvoir faire l’amour avec Vassilis. Ça te dit ?
- ah oui, OUIII !
Vassilis s’approche à genoux et j’attire Laure sur moi, me plaçant complètement sur le dos. Je vois disparaître la tête de Vassilis entre les jambes de Laure et je la sens se tendre, tressaillir et se contracter plusieurs fois. Je comprends qu’il est en train de goûter sa petite chatte avant de la prendre, poussant Laure dangereusement prêt de la zone de non-retour. Le sentant également, il se redresse et se place au-dessus d’elle. Il doit chercher un peu la meilleure position, à cause de mes jambes, mais la trouve rapidement. Je sens une pression contre mon pénis, il appuie sur les lèvres humides pour les faire s’ouvrir. Il se redresse à nouveau, Laure ne fait plus de bruit, elle est tendue en arrière, attendant de se faire embrocher par le beau grec. Soudain, je l’entends gémir et je sens un mouvement contre mon sexe : il vient de la pénétrer et s’enfonce profondément en elle. Je sens ses testicules contre les miens quand il bute en elle. Il donne alors un coup de bassin, comme pour finir de l’empaler, puis se retire et commence un doux mouvement de va-et-vient. Il n’a pas l’occasion de prolonger trop longtemps, car je sens à nouveau les contractions monter en Laure, en même temps qu’elle pousse de petits gémissements qui se transforment en râles puis en cris de jouissance. Je ne peux me retenir plus longtemps et je jouis à mon tour, dans le petit cul de Laure. Vassilis, lui, a besoin d’un peu plus de temps, à moins qu’il n’ait décidé de profiter plus longtemps de la jolie petite Laure. Il la laboure de façon virile, provoquant de petits cris de notre partenaire jusqu’à sa libération finale. Je sens Laure tressaillir à nouveau pendant que le sperme du grec jaillit en elle, retenu par la fine paroi de latex.
Maëlie s’est offerte une nouvelle fois à Eric, tout en regardant Laure se faire prendre par son mari et son amant. Elle atteint l’orgasme brutalement, alors que Vassilis finit de donner de violents coups de boutoir. Ses cris couvrent les gémissements d’Eric, qui éjacule dans le ventre de ma chérie en lui agrippant fermement le bassin pour la prendre profondément.
La plage retrouve soudain son calme, pendant que nos corps nus et luisants de sueur récupèrent leurs forces. Je ne savais pas encore que nous vivions là nos derniers instants coquins avec nos nouveaux amis. Une petite intoxication alimentaire le lendemain me clouait au lit et me privait de forces pour le reste du séjour. Mais c’est peut-être mieux ainsi, de façon à rester sur un merveilleux souvenir de nos premières expériences. Il est probable qu'on ne reverra pas Vassilis de sitôt, mais les adresses mail sont échangées avec Laure et Eric pour se revoir en France, étant tous frustrés de cette fin de vacances en queue de poisson.
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