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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par coupluni
#2809141
Cette histoire est totalement inventée mais correspond parfaitement à la manière dont j'aimerais découvrir réellement le candaulisme avec ma femme. Pour éviter que cette histoire ne soit trop longue à lire, je l'ai découpée en plusieurs parties.
En espérant que cela vous plaise...

Partie 1

Voilà, je me lance. C’est avec un brin d’anxiété mais aussi d’excitation que je me décide à écrire notre histoire. Elo et moi sommes mariés depuis une quinzaine d’années. Nous avons tous les deux la quarantaine… Plus proches de quarante que de cinquante. C’est un joli bout de femme, plutôt élancée et sportive, la peau légèrement dorée, des cheveux châtains qui lui tombent sur les épaules. Elle trouve ses seins trop petits mais aime ses belles fesses rebondies. Elle a des formes, de belles formes, c’est une femme, quoi. Les hommes se tournent parfois sur son chemin. Elle ne laisse pas vraiment indifférent la gente masculine, certainement son côté chic et sexy à la fois.

On se connait depuis plus de vingt ans. Nous sommes plutôt épanouis aussi bien amoureusement que socialement. On se dit tout, on partage tout, enfin je le croyais. Il y a un peu plus de sept ans, je m’en souviens comme si c’était hier, Elo rentre du boulot comme tous les soirs mais a le regard sombre. Je la questionne, elle ne dit rien, je m’inquiète. Je vois bien que quelque chose cloche. Je décide donc de ne pas la lâcher en croyant vraiment qu’une chose grave devait m’être annoncée. Ce n’est que le soir, dans le lit, qu’elle craque et éclate en sanglots. Elle me raconte qu’un de ses collègues qu’on connait plutôt bien et avec qui elle passe beaucoup de temps s’est approché d’elle dans l’ascenseur. Ils sont très proches et aiment être ensemble. Je le trouvais d’ailleurs hyper sympa…. Jusqu’à maintenant. Fin trentaine, brun, pas vraiment musclé mais pas vraiment maigrichon. Mec banal quoi. Avec du charme, il faut le reconnaître.

- Et alors ? il voulait quoi ?

- Je ne sais pas, on discutait boulot, on rigolait et lorsque les portes de l’ascenseur se sont refermées, il s’est approché de moi en souriant. Il a posé ses mains sur mes hanches. J’ai eu une bouffée de chaleur…

- Mais tu l’as repoussé ? Tu lui as dit de dégager quand même ? Il me connaît, en plus, ce con !

- Non…..

Ces trois lettres ont résonné dans ma tête. Ma femme n’a pas réagi…

- Il s’est encore approché de moi et avec sa main, il a dégagé les cheveux de mon cou. Sa main a glissé sur ma nuque et il m’a embrassé le cou en remontant vers l’oreille.

Elle éclate de plus belle en sanglots. Ma seule réaction sur le moment, c’est de savoir si elle a été plus loin. Sans même me dire qu’elle était peut-être pétrifiée.

- Mais tu as fait quoi ? Tu l’as repoussé ? T’as crié ou tu as essayé de sortir ?

- Non. Des frissons ont parcouru mon corps quand il m’a embrassé dans le cou. J’ai senti sa main se poser sur mon ventre et remonter doucement sur ma poitrine. Je sais que je ne devais pas, que je devais le repousser. Mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais bouger. Je t’assure qu’à aucun moment, je n’ai voulu ce genre de choses avec lui. Je t’aime trop !

Je reste sans voix. Ma femme m’a trompé avec son collègue de travail dans un ascenseur. L’impression que tout mon monde s’écroule. Je n’ose même plus lui demander la suite. Savoir ce qu’elle avait fait. Je ne veux rien savoir, elle me dégoûte….

- Il s’est reculé de suite et s’est excusé en me disant qu’il ne savait pas ce qui lui était passé par la tête. Il s’est collé contre l’ascenseur et on est restés là, tous les deux pendant quelques instants sans se parler. Jusqu’à ce que la porte de l’ascenseur ne s’ouvre. Il est parti de son côté et a fini par m’envoyer un sms en me demandant de lui pardonner. Qu’il te connaissait et qu’il était vraiment désolé. Je n’ai pas répondu.

La seule réponse que j’ai pu faire à ma femme a été de lui dire bonne nuit. Rien de plus. Je me suis tourné de mon côté ruminant toute cette histoire. Elle, se tournant du sien, continuant à pleurer.

Des semaines se sont écoulées. Des semaines durant lesquelles, nous avons fait comme si de rien. Nous n’avons plus parlé de ça. D’abord distants, on a fini par doucement se rapprocher mais sans jamais en reparler. De mon côté, j’y pensais souvent. Surtout le soir. Cette scène, l’ascenseur, cet homme, ma femme, ses mains posés sur son corps, sa bouche posée sur son cou. Et surtout…. Les frissons. Je finis par conclure qu’elle a aimé ce moment. Et étrangement, plus je me disais qu’elle avait aimé ce moment, plus cette idée m’excitait. Voir sa femme avec un autre aurait dû me rendre fou de rage, de jalousie. Comment je pouvais me sentir excité ? Cette question me trottait dans la tête. Et les différentes recherches que j’allais faire par la suite sur le sujet allaient m’exploser au visage.

Le candaulisme… Mot inconnu jusque-là. Le plaisir de voir sa femme prendre du plaisir. Tout le contraire de la jalousie. C’est du partage, de la confiance mais ce n’est valable que lorsque le couple est solide, inébranlable. Sinon, t’exploses en vol. Je sais qu’on s’aime. Je sais que c’est solide. Sinon, elle me l’aurait caché. D’autant plus que, avec le recul, il ne s’est quasiment rien passé. Bien plus facile à dire, avec le recul… Mais sur le moment, j’étais loin de me dire ça.

A vrai dire, ce fantasme m’a bouleversé, voire même ébranlé. Cela remettait en cause mes principes, cela remettait en cause le semblant de macho que je pouvais parfois être. Je devrais peut-être remercier Thomas, ce con de collègue. Il m’a ouvert les yeux… Je devrais remercier ma femme de s’être laissée caresser et embrasser. J’aurais préféré qu’on découvre ce fantasme d’une manière plus conventionnelle, webcam, film porno ou autre.

A suivre...
#2809811
Merci pour ce message d'encouragement !
Je comptais poster une partie toutes les semaines mais le rythme peut être plus rapproché si besoin ;)
Je me suis inspiré des fantasmes de ma femme mais aussi de nos discussions sur le sujet... tout n'est pas vraiment qu'invention.

Partie 2 :

Près d’un an s’est écoulé depuis cette histoire. Thomas travaille toujours avec Elo. Leur relation s’est franchement refroidie. Enfin, c’est ce qu’elle me dit. Je dois lui faire confiance ? J’hésite. Mais en tout cas, le fait de me dire que chaque jour, ils peuvent se croiser à nouveau dans l’ascenseur ou dans un bureau m’excite à un point…. Enfin, ça m’excite que si elle ne me quitte pas pour lui…

Un soir, après un dîner bien arrosé, en allant nous coucher, je décide de lui reparler de cette histoire. L’alcool aidant, ça passera sûrement mieux. Je lui explique tout. Mes sentiments, ce que j’ai ressenti, cette jalousie qui m’a rongé au début et surtout cette sensation d’excitation, par la suite. De son côté, elle encaisse.

- En fait, tu ne m’aimes plus. Je sais que je suis mal placée pour te dire ça mais c’est ça en fait ? Tu veux me faire payer mon erreur ?

- Pas du tout, j’ai vraiment eu du mal à encaisser ce qui s’est passé. Mais plus j’y réfléchissais et plus ça devenait clair dans ma tête. Cette situation m’a excité. Savoir que tu as eu des frissons m’a excité. Savoir que tu as pu y prendre du plaisir m’a excité.

- Mais ça n’a même pas duré une minute. Je n’ai pas pris de plaisir. Je ne sais plus, je n’ai pas eu le temps de me dire si c’était bien, mal ou si ça m’avait excité qu’il avait déjà reculé.

- Oui, mais aujourd’hui ? Avec le recul ? Tu as trouvé ça bon ?

Silence… un silence long et pesant.

- Pas bon. Agréable peut-être.

- Doux et délicat peut-être ?

- Peut-être.

- C’est tout ce que je voulais entendre. Je t’aime tellement. Ne crois pas que je veuille me venger ou te faire du mal, voire même te quitter. Avec le recul, j’ai aimé cette situation. Et j’aimerais la retenter. Tu sais que j’aime te voir prendre ton pied. Te voir jouir.

- Mais ça va pas ? Hors de question. J’ai été faible, c’est tout. Tout ça ne se reproduira plus.

- Mais si on avançait à notre rythme, si on fixait les règles ? Si on se disait tout sans jamais rien craindre du regard de l’autre ?

Nouveau long silence.

- Je ne sais pas. J’y réfléchirai. Laisse moi le temps de digérer ce que tu viens de me dire. Je sais que je suis mal placée pour te dire ça mais ce n’est pas une proposition anodine et je ne sais pas où tout ça pourrait nous mener. Je n’ai pas besoin de ça pour prendre du plaisir ou profiter de toi.

Après cette nuit-là, elle n’en a plus reparlé. Mais lors de nos ébats, je voyais bien qu’elle aimait de plus en plus caresser ses petits seins en pointe, chose qu’elle ne faisait jamais avant, je voyais bien qu’elle aimait porter ma main à sa bouche et me lécher les doigts, les avaler doucement puis en profondeur jusqu’à même baver dessus tout en continuant ses mouvements de la tête pour ne pas en perdre une goutte. J’adorais cette sensation, ce moment où je le sentais coquine. Chienne même parfois. L’impression que rien ne lui faisait peur et qu’elle nous sentait assez forts pour braver l’interdit.

Doucement, petit à petit, j’ai commencé à lui parler lorsqu’on faisait l’amour. Elle était plutôt réceptive. Elle a toujours aimé ça et elle pouvait même parfois se montrer très crue quand elle était vraiment excitée. Employer des mots comme « pute », « grosse queue » ou « baise-moi ». Mais là, j’ai commencé à parler d’une troisième main, d’un regard posé sur ses fesses, de l’excitation qu’elle pourrait susciter chez un inconnu s’il la voyait dans cette position… Et à mon grand étonnement, moi qui m’attendais à me prendre un revers de main, je l’ai vue plus entreprenante, au fil de mes différentes tentatives, plus excitée lorsque je faisais ce genre d’allusion. Mais elle ne rebondissait jamais sur ce que je disais. Elle se contentait de dire qu’elle jouissait, que c’était bon, qu’elle aimait ça. Mais elle n’osait jamais prendre l’initiative, prendre les devants. Elle se laissait porter, simplement.

Tout cela a véritablement eu un impact sur notre relation. Nos ébats devenaient de plus en plus rapprochés, de plus en plus coquins, nos jeux de plus en plus torrides. On le faisait bien plus souvent qu’auparavant mais surtout c’était vraiment, vraiment plus chaud. Un pur régal. Je voyais bien que ça lui plaisait et je voyais bien qu’elle pouvait aussi s’habiller de plus en plus sexy. Pour mon plus grand plaisir. Même si j’avais toujours cette petite angoisse lorsque je la voyais partir avec une petite jupe courte ou un haut légèrement transparent au boulot. Peur que ce Thomas prenne ça pour une avance, qu’il la drague une nouvelle fois et qu’elle succombe. Mais en réalité, plus j’y pensais, plus je stressais et plus ça m’excitait.

On avait décidé de tout se dire. Et elle l’avait fait d’elle-même sans qu’on se le jure avant. Pourquoi ne pas se faire confiance ? C’est bien la base du couple la confiance, non ? Chemin faisant, notre libido a grandi, grandi, nos jeux ont grandi, grandi, notre envie l’un pour l’autre aussi, mais surtout, de mon côté, l’envie de la voir jouir, de la voir gémir, qu’elle se laisse aller. Elle, cette femme que j’aime tant, toujours à l’écoute du qu’en dira-t-on !

A suivre...
CedSand76, Askelletbelle, sergio et 11 autres a liké
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par coupluni
#2810931
michpat a écrit :
sergio a écrit :Interessante votre histoire.

Oui, j'y retrouve les fantasmes, les doutes et l'excitation de nos tous débuts 8-)


Je vous rejoins... C'est exactement la même chose ressentie avec ma femme et que j'ai essayé de retranscrire dans les dialogues et dans la progressivité de l'acceptation de ces envies...
C'est bien pour ça que cette histoire est un mélange de fantasmes mais aussi de vécu.

Merci à tous pour vos messages.
sergio, Olivierito a liké
#2810935
Je vous propose la suite de cette histoire qui flirte avec du vécu (seul le lieu diffère).
Bonne lecture

Partie 3 :

Tout a basculé un soir d’été, les enfants étaient chez leur cousin. On avait la maison pour nous tous seuls. Il faisait chaud et à vrai dire, on avait bien picolé. C’est vrai, ça nous arrive de boire tous les deux quand on se fait un bon repas. Pas trop souvent non plus mais quand même. Cette soirée a vraiment fait basculer notre vie sexuelle. On était sur la terrasse du jardin, à contempler le coucher de soleil, à dire des conneries et à boire un verre de vin. De discussions en discussions, on en est venus à s’exciter mutuellement. On s’est rapidement retrouvés presque nus, tous les deux. Moi en boxer et elle avec son petit shorty mais les seins à l’air. Nous n’avons pas de vis-à-vis, on ne craint rien de ce côté-là. Uniquement nos voisins de derrière qui louent parfois leur maison mais c’est rare. Nous avons commencé à nous caresser, à rigoler, à nous toucher, à nous casser la gueule…. Puis lorsqu’Elo a décidé de prendre les choses en main et s’est dirigée vers mon boxer pour commencer à lécher l’énorme bosse qui venait de se former, j’ai remarqué par-dessus sa tête, entre les arbustes qui séparent notre terrain de celui de nos voisins, une ombre. Hésitant au départ, j’ai tout de même vite compris qu’une personne nous regardait… Cette baraque qui n’est jamais occupée, ou très rarement, ce soir-là, elle n’était pas vide. Que dire, que faire, tout arrêter ? Je décide de jouer le jeu.

- Chérie, j’aime quand tu bouges tes fesses comme ça. C’est tellement bon.

- Chuuut, laisse-moi faire. J’aime sentir cette bosse.

- Ho oui, j’adore ça aussi.

Elle a vraiment décidé de me rendre dingue. Et elle savait y faire. Descendant délicatement mon boxer, elle a fait sortir mon sexe dur de sa prison. En le gobant d’une traite, elle m’a fait tressaillir de plaisir. L’ombre ne bougeait pas. Je distinguais clairement que c’était un homme, planté là qui nous regardait. J’ai rapidement essayé de ne pas me focaliser sur lui évitant ainsi qu’il ne remarque que je l’avais vu. Je me suis concentré sur mon plaisir. Cette situation m’excitait tellement que j’ai décidé de me lâcher.

- Chérie, c’est tellement bon. Imagine qu’on nous surprenne. Qu’on nous regarde…

- Chuut me dit-elle, la bouche pleine.

- Ce serait tellement excitant. Qu’un homme puisse voir à quel point tu suces bien. Tout ça m’excite. Qu’un homme puisse être excité par ton cul, par ta bouche de fée.

Et j’ai rapidement remarqué qu’elle n’était pas insensible à ce que je disais malgré ses « chuut ». Elle s’est mise à gémir de plus en plus, chose qu’elle fait rarement lorsqu’elle me suce. Elle a entièrement mis mon sexe dans sa bouche, bavant allègrement tout en prenant soin de me branler utilisant sa bave comme d’un lubrifiant.

- Je vois un homme qui nous regarde derrière, j’aime te voir chienne quand tu me suces. Je crois qu’il prend son pied à te regarder.

Ces derniers mots l’ont rendue dingue et pour la première fois, elle s’est mise aussi à parler de ça.

- Huumm tu aimes mon chéri qu’il me regarde te sucer ? ça t’excite ? Moi, ça me rend folle. J’aime ta queue, elle est bonne, elle est dure. Il ne sait pas ce qu’il rate et il ne le saura jamais. J’aime sucer… si ça peut l’exciter tant mieux…. Hummm, ta queue est chaude.

Je la sens surexcitée. Ses paroles résonnent dans ma tête, je n’y crois pas et pourtant elle le fait. Sur le moment, la voir comme ça m’excite à un point …. J’en profite pour oser la titiller, voir ses limites. Concrètement, savoir ce qu’elle a dans le ventre. Je décide d’être bien plus directif, ne pas lui laisser le choix. Et à ma grande surprise….

- S’il approche, je veux que tu le suces.

- Hummmm, ho oui ça m’excite. Voir sa grosse queue bien dure, rien que pour moi. Regarde moi, tu as vu comment je le prends en bouche ? Elle est bonne sa queue, chéri.

Incroyable ! Elle mime une fellation à un inconnu en utilisant mon sexe comme un jouet. Je la vois s’appliquer, monter et descendre à un rythme endiablé. Je ne la reconnais plus, j’en oublie le véritable voyeur. Je la vois bouger ses fesses mais je l’entends surtout gémir. Elle aime ça, vraiment. Elle met une telle application que je sens bien que dans sa tête, elle s’imagine sucer un autre.

Pur moment de bonheur. Cette scène irréaliste me transporte dans un tourbillon de plaisir. Je préviens Elo que je vais jouir. Elle ne supporte pas la texture, l’odeur, le goût du sperme. Je la préviens mais elle accélère, je tente de lui reculer la tête en lui disant que je vais jouir mais rien n’y fait, elle force et finit par me dire tout en me suçant.

- Tu aimes ça, ça t’excite ? Je suis tellement excitée, ce voyeur va regretter de ne pas être mon mari. Jouis-moi dans la bouche. Hummmm elle est dure, elle est grosse, elle est bo…..

Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que des jets puissants parcourent tout mon sexe pour exploser dans la bouche d’Elo qui continue frénétiquement de me sucer malgré une salve continue de jets puissants dans sa bouche. Oui, je jouis dans sa bouche. C’est tellement bon. C’est la première fois, c’est fou. Mais de l’entendre gémir lorsqu’elle sent les jets toucher sa gorge alors qu’elle déteste ça en temps normal qui m’a rendu dingue…

- Hoooo c’est bon mon chéri… Tellement bon…

Elle continue de me sucer quelques instants puis finit par ouvrir la bouche tout en continuant ses va­et-viens. Le sperme coulant le long de mon sexe, elle continue à le lécher, à me sucer, tout en me masturbant à l’aide du sperme qui ne finit pas de couler sur moi. Quelle sensation incroyable, sa langue, mon sperme, ses mains qui glissent sur mon sexe…. Elle s’écroule sur moi et ses seins viennent aplatir mon sexe et se confondre avec le sperme tombé sur mon ventre… On reste posés là quelques instants sans réagir. J’en ai même oublié cette ombre…. En relevant doucement la tête et en ouvrant doucement les yeux. Je remarque qu’elle n’est plus là. Je n’aurais quand même pas rêvé ?

A suivre
Mia, Noste, justindom1417 et 11 autres a liké
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par sergio
#2812514
Très interessant ce récit avec un voyeur rêvé ou pas. Le principal étant l'excitation mutuelle entre vous.
coupluni a liké
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par coupluni
#2815368
Merci à tous pour vos messages d'encouragement. De retour après une petite pause estivale, voici la suite de cette histoire toujours inspirée de notre histoire...

Partie 4

Cette soirée aura été le début d’une révélation pour notre couple, pour notre libido, pour notre plus grand plaisir. Elo, au début, me disait qu’elle n’avait pas été plus excitée que ça par cette fameuse ombre dont j’avais parlé, mais avec le temps elle a fini par me dire que d’imaginer le regard d’un homme posé sur elle alors qu’elle me suçait l’avait rendue dingue… Mais, disait-elle, « je sais qu’il n’y avait personne, n’est-ce pas ? » Je n’ai jamais véritablement répondu à cette question. J’ai toujours aimé entretenir le doute. A travers cette expérience, elle s’est rendu compte qu’on pouvait passer à côté de terribles sensations d’excitation à cause de nos préjugés. Elle a donc décidé de se lancer pleinement aussi dans ces jeux. Même si elle n’était vraiment pas prête à passer à l’acte. Jouer, fantasmer c’est une chose. Franchir le cap, c’est différent. Il faut du temps, de la confiance, trouver la ou les bonnes personnes…. Pas facile.

Les mois ont défilé et il ne se passait pas un moment où on n’y faisait pas allusion. Je ne dirais pas que tous nos ébats étaient une vaste terre de jeu et de découverte mais quasiment. On se lançait des défis, des paris, elle avait vu dans l’un de ses Cosmopolitan que la plupart des couples avaient ce genre de pratiques. C’est elle qui a même lancé l’idée d’en faire. Il nous arrivait de faire l’amour de manière très banale mais toujours aussi passionné. Et parfois, on sortait le grand jeu. Elle me bandait les yeux, je sortais ses sextoys, je l’attachais au lit, on se faisait des scénarios, elle me mettait de la confiture sur tout le corps. C’est vrai que très souvent un deuxième homme occupait mon esprit et occupait nos ébats. Elle en parlait bien plus volontiers et sa phrase préférée devenait maintenant « oui, pourquoi pas, c’est vrai que ça m’excite ». Pour mon plus grand plaisir, c’est vrai. Mais surtout aussi pour le sien.

Elle n’a jamais voulu oser la sodomie, ça ne l’intéresse pas. Lorsqu’elle est très excitée, elle aime que je lui caresse son petit trou, que je tente très légèrement de m’y introduire avec un doigt mais STOP. Pas plus. Lorsque notre complice de fantasme est avec nous sous la couette, elle aime le sucer, enfin sucer son sextoy ou même mon doigt et elle adore que je la lèche en même temps. J’en profite pour
délicatement changer de trou avec ma langue. Elle en raffole. Mais ça s’arrête là. Si je vous parle de ça, c’est parce que forcément, cela va avoir son importance pour la suite.

Bientôt deux ans et demi que cette histoire d’ascenseur a eu lieu. Que de changements depuis… Qu’aurait-il pu se passer si elle ne m’avait rien dit ? Si elle s’était rendu compte qu’elle avait aimé les mains d’un inconnu sur son corps sans m’en parler ? Je n’ose pas vraiment y penser. J’aime juste ce que cet événement nous a fait devenir.

Habituellement en été, nous partons toujours une semaine sans les enfants et deux semaines avec. Nous avons la chance de pouvoir nous le permettre. A vrai dire, on ne s’en prive pas. L’été suivant, nous avons décidé de louer un petit appartement pour notre semaine en amoureux du côté de Biarritz. On adore ce coin. Nous y allons assez souvent. C’est toujours Elo qui s’occupe des locations. Elle gère cette partie des vacances. Recherche sur internet, contact, téléphone etc… Mais là, rien. Pas de place, on s’y est pris trop tard, certainement. Une collègue de travail m’avait parlé d’un précédent séjour qu’elle avait fait à Biarritz dans une superbe villa, elle me propose de me transmettre son contact. Personne très agréable qu’elle n’avait eue qu’au téléphone. Une villa, c’est pas vraiment un petit appartement. Et connaissant ma collègue, elle a plutôt des goûts de luxe. Peu importe, vivons dangereusement, tentons.

Comme un grand garçon, je décide de prendre les devants, d’appeler et de faire la surprise à ma chère et tendre épouse. Contact passé, le propriétaire hyper sympa me dit qu’il ne loue plus du tout sa villa suite à des problèmes de locataires qui avaient brûlé une partie de la terrasse. Bref, ce plan était foutu. Voyant que je suis très embêté, il finit par me dire qu’il avait une dépendance dans le jardin avec accès direct à la piscine (ahh, il y a une piscine) et si sa présence ne nous dérange pas, il pourrait nous la louer pour la semaine. Sa famille et lui dans leur villa, nous dans la dépendance…. Cohabitation délicate mais vu que nous n’avions rien… Chiche… Le deal était passé.

Valises faites, tenues sexys et sextoys pris, crème solaire aussi. On est fous mais pas suicidaires. Sur le chemin, on discute de tout et de rien, de notre future semaine en amoureux, pas trop coquine vu qu’une famille sera près de nous mais pas grave… On se dit qu’on va quand même en profiter. On parle d’ailleurs de nos envies, de nos fantasmes. Elle en parle de plus en plus, c’est vrai. Surtout l’été… merci le soleil ! Elle me dit qu’elle se laisserait peut-être tenter par des petites caresses mais sûrement par un cuni. Elle adore ça. Je crois que si je trouve un homme à son goût, la première chose qu’elle fera, ce sera d’ouvrir les cuisses et fermer les yeux. De mon côté, je lui dis que j’aimerais me mettre derrière la porte de la chambre et l’espionner quand elle se fera lécher avec douceur. C’est mon fantasme ça. Rentrer à la maison et la trouver sur un lit, porte entrouverte, en train de jouir sous les assauts d’un beau complice. J’en rêve, enfin j’en fantasme. Si déjà, je pouvais la voir exciter un homme, ça me suffirait, c’est vrai. Lorsqu’elle est excitée, elle est prête à toutes les folies mais lorsqu’on en parle à froid, elle ne reste tentée que par le cuni. Même pas sûr qu’elle ait envie de le sucer ou le masturber. Une seule fois, elle m’a dit qu’elle aimerait embrasser à pleine bouche un complice. Mais ce soir-là, c’était un volcan.

A suivre...
frenchy, ariel69, Noste et 4 autres a liké
#2817236
Je crois que nous vivons, très souvent, tous un peu le même fantasme, qui parfois devient réalité.... On se reconnaît régulièrement dans les histoires des membres du forum. Serait-on fait tous du même bois ? ;)
On aime l'imprévu, on déteste les soirées où l'on sait déjà à l'avance ce qui va (ou doit) se passer....
Merci pour vos messages !

La suite...

Partie 5 :

La route est avalée très rapidement. Non, non, aucune allusion…. On a juste bien roulé, c’est tout.

Nous arrivons à la villa, la journée est belle, chaude même. Avec un peu de vent. Je me souviens de cette semaine-là comme si c’était hier. Des moindres détails. Et celui qui me vient en tête, c’est lorsque le portillon de la villa s’est ouvert….

Un homme, proche de la cinquantaine, cheveux grisonnants, plutôt pas mal, nous ouvre la porte. Grand sourire, amabilité d’usage. Il nous fait entrer, nous fait visiter les lieux. C’est vraiment une superbe villa qu’il possède. Et que dire de son jardin… piscine, nature luxuriante, un petit paradis…. Il nous fait visiter la dépendance. J’appelle plutôt ça une deuxième villa. La découverte est plus qu’agréable. Elo montre son enthousiasme et se voit déjà patauger dans la piscine coincée entre la dépendance et la villa. Elle lui demande :

- Des heures vous sont réservées pour la piscine ou nous pouvons y aller quand on veut ?

- Ah non, aucun souci, elle est à vous.

- Mais si vos enfants veulent se baigner, qu’ils ne se privent pas.

Il sourit et met les choses au clair. Il vit seul dans cette villa. Il est divorcé, il travaille beaucoup et ses enfants sont avec leur mère de l’autre côté de la France. Il n’aura vraiment pas le temps de se baigner.

Cette information n’a pas le temps d’arriver à mes oreilles que mon cerveau est déjà en ébullition. Un mec, plutôt pas mal, courtois, semble-t-il sympa est seul dans le même lieu que nous. Scénario en mode "on". En réalité, j’ai vite déchanté. Il travaille vraiment beaucoup. On ne l’a quasiment jamais vu de la semaine. Il est vrai qu’on a beaucoup bougé de notre côté aussi.

En milieu de semaine, un soir, après l'avoir croisé par hasard en rentrant de notre balade, il nous a proposé de boire un verre au bord de la piscine. Ce que nous avons forcément accepté.
Nous avons longuement discuté de tout et de rien. Apéro très sympa. Elo avait une robe très courte et transparente mais portait un maillot de bain donc rien de sexy ou vulgaire. J’ai tout de même remarqué qu’il la regardait souvent avec insistance mais difficile de savoir s’il la dévorait du regard ou s’il était simplement absorbé par ce qu’elle disait. Lors de cet apéro, j'ai dû m'absenter pour aller me changer. Les laisser seuls, surtout avec Elo dans cette tenue, a fait travailler mon imagination. Tout candauliste qui se respecte connaît parfaitement ce moment où l'imagination et les fantasmes se mêlent et font travailler notre cerveau. Je m'imaginais déjà revenir vers la piscine après m'être changé et découvrir ma femme, nue, suçant notre hôte ou les jambes écartées jouissant à chaque coup de langue de ce quinquagénaire.
A mon retour, après toutes ces images dans ma tête, vous imaginez bien ma déception lorsque je les ai aperçus exactement dans la même position qu'à mon départ, discutant tranquillement.... logique... je m'attendais à quoi ?
Le soir venu, j'ai tout de même fait remarquer à Elo que notre hôte avait eu quelques petits regards insistants sur ses formes. Et à mon grand étonnement, Elo m’a confirmé la chose.

- Oui, j’ai vu. Il me regardait très souvent. Mais rien de malsain, au contraire. Il m’a même fait un compliment lorsque tu es allé te changer.

- Un compliment ?

- Oui, il me trouve jolie, enfin il m’a dit qu’il me trouvait très « en beauté » dans cette tenue…

- Ah ouai, le coquin ! Il n’a pas honte !

- Je reconnais que c’est plutôt agréable venant d’un homme aussi charmant et gentil.

Je réagis au quart de tour et rebondis de suite sur la situation.

- Tu crois qu’on pourrait le titiller et s’amuser ?

- Tout de suite les grands mots… Je te dis juste que son compliment est agréable, pas que j’ai envie de le sucer !

- Dommage, je lui réponds en me marrant. Mais on pourrait tenter un truc… Juste pour voir.

- Oui c’est vrai. Mais il ne reste plus que deux jours. Pas facile. Et brusquer les choses, j’aime pas ça.

Cette nuit-là, nous avons fait l’amour tendrement mais la présence de Paul, notre hôte, ne quittait pas mon esprit. Et lorsque j’ai dit son nom à ma chérie alors que je la léchais en douceur, j’ai senti ses jambes s’ouvrir et elle a pris ma tête pour me l’appuyer encore plus sur sa vulve gonflée de plaisir. Elle ne le disait pas mais la situation la faisait fantasmer.

A suivre...
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par frenchy
#2817238
Pas facile pas facile tout les jours d'autant plus Qu'Elo était sur ce que j'ai lu plutôt en mode frein à main. Ce récit est bien prenant et je me demande comment vont se dérouler ces deux jours car il semblerai qu'elle lâche prise en entendant son doux prénom :D :x
coupluni a liké
#2819263
La suite...

Partie 6 :

Nous n’avons élaboré aucun plan. Pas notre tasse de thé. On a laissé faire. Paul nous a invités au restaurant le vendredi soir. Veille de notre départ. Bien entendu, nous avons accepté. La soirée a été délicieuse. Repas succulent. Ambiance festive et très joyeuse. Nous avons mangé, bien mangé. Nous avons bu, bien trop bu. Aucun geste déplacé de sa part, aucune allusion de la nôtre, juste le plaisir de passer un moment agréable. On rigolait de tout et de rien.
Après le repas, le restaurant s'est transformé comme à son habitude en une sorte de pub où la musique pousse les clients à danser sur cette mini piste improvisée en poussant chaises et tables...
Nous avons dansé, j’adore danser ! Il faut croire que Paul aussi…. Nous nous sommes retrouvés tous les trois sur la piste à danser, à faire les fous. Paul disant que décompresser lui faisait le plus grand bien, Elo et moi disant qu’il fallait profiter de notre dernière soirée. Les corps se mouvant au travers de la piste, Elo s’est retrouvée face à moi.

Je n’avais qu’une envie : lui faire tomber sa petite robe légère. Je savais qu’elle avait osé le « no bra » alors qu’elle avait un sacré décolleté. Je savais aussi qu’elle avait osé le tanga noir en dentelle alors que la robe était blanche et légèrement transparente. Face à moi, cette beauté qui bouge son corps comme jamais. Elle me sourit, je lui réponds. Elle s’approche, on s’embrasse. Elle se colle à moi. Je la sens excitée. Ou c’est peut-être uniquement moi qui fantasme.
Toujours est-il qu’elle avance vers moi et recule puis ravance en me collant de plus en plus à chaque retour. Paul est derrière elle, face à moi. Mais il ne semble pas vraiment faire attention à ce manège. Il danse, bouge la tête, s’éclate quoi. Il est à des années lumière de voir le stratagème qui se met en place dans ma tête...

Doucement, je m’avance. Doucement mais sûrement, je m’avance vers ma chérie. Je sais qu’elle va reculer sans s’en rendre compte. J’avance… A chaque fois qu’elle recule pour mieux revenir vers moi, je m’avance. Et plus je m’avance, plus elle s’approche de Paul sans le savoir. Je m’avance encore un peu. Je la prends par les hanches et lui fait légèrement basculer le fessier en arrière. Mon plan est machiavélique mais la situation était trop tentante. Son fessier légèrement bombé par mes mains finit sur Paul qui tourne la tête vers nous et pose ses mains sur ses hanches, juste au-dessus des miennes… Le contact est effectué. Elle sursaute, fait rapidement demi-tour et s’excuse, honteuse :

- Désolé, je ne vous avais pas vu… Hooo Paul, pardon, c’est toi… J’ai cru que c’était un client. Heureusement que c’est toi, la honte sinon.

Elle l’embrasse sur la joue et face à lui, continue de danser en se retournant vers moi. Paul lui sourit, me regarde, se questionne sûrement mais se remet à danser frénétiquement.
Je m’approche d’Elo, à nouveau, et me frotte à ses fesses. Je la sens bouger comme jamais et se retourne face à moi. Je m’avance, continue de m’avancer, la poussant vers Paul. Seuls quelques centimètres les séparent. Elle finit définitivement par se coller à Paul qui tourne à nouveau la tête vers nous et sourit allégrement lorsqu'il comprend que ma position empêche Elo de reculer et l'oblige donc à coller son joli petit cul sur Paul.
Ma femme est au milieu d’une piste de danse, entre deux hommes, collés à elle, non je ne rêve pas et décide même d'en profiter. Je tente de poser mes mains sur ses hanches mais je tombe sur les mains de Paul qui m’a devancé. Nous sommes collés, tous les trois, en continuant à danser. Elo se tourne lentement face à Paul en prenant soin de coller sa poitrine sur le torse de notre hôte. Dans un éclair d'excitation, Elo tourne la tête en arrière pour m’embrasser à pleine bouche. Lui n’en rate pas une miette et plonge son regard dans le décolleté sans fin d’Elo. Nous n’avons pas échangé le moindre mot, pas le moindre regard. Tout s’est fait naturellement ou presque. Nous continuons à danser et je vois leur corps collé l’un à l’autre. Ils bougent, se frottent, me regardent. Je recule un peu. Je suis excité comme jamais. Ce moment dure une éternité. Mais quel bonheur…

La soirée se terminant, nous décidons de rentrer. Nous récupérons nos vestes laissées au vestiaire, Elo sa petite étole et nous filons. Durant tout le chemin du retour, pas un mot. Chacun se demandant ce qui venait de se passer. Ce qui allait se passer. Les phares, le bruit du moteur, la route qui défile… Rien d’autre.

En arrivant à la villa, je décide de briser la glace. Marchant devant Elo et Paul, je leur lance :

- Eh ben quelle soirée mémorable !

- En effet, répond Paul. Vous m’avez fait beaucoup de bien. Quel plaisir de rire. Cela faisait un bail !

Et à cette phrase, Elo répond tout en s’approchant de lui :

- Beaucoup de bien ? Tu n’as encore rien vu.

Elle s’avance vers lui et l’embrasse à pleine bouche. Je reste scotché. Je la regarde, littéralement sur le cul… Ils s’embrassent langoureusement. Un long moment. Il se colle à elle et je le vois poser ses mains sur la chute de ses reins… Je suis comme un fou. Quelle soirée. Et je crois qu’elle n’est pas prête de s’arrêter. Elle vient d’embrasser un autre homme que moi. Elle qui se refusait de le faire. Mais qu’est-ce qui peut bien se passer dans la tête des femmes lorsqu’elles sont dans cet état ?


A suivre...
Erik74910, amiloo, Noste et 9 autres a liké
par guitou59
#2820583
Quelle jolie suite. Vivement le prochain épisode !

Je ne sais plus si tu l'as indiqué au début. C'est un fantasme ou toute cette histoire s'est déroulée ainsi ?

Bonne journée et à très vite :D
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par coupluni
#2822014
Oui, une partie de ce qui est raconté a eu lieu mais j'ai précisé dès le début que ce cheminement et la manière dont la soirée se passe serait selon ma femme le déroulement parfait.

Partie 7 : suite et fin.

Pas le moindre regard dans ma direction. Elle sait que je n’attends que son plaisir. Et pourtant, je dois avouer une vraie pointe de jalousie lorsqu’elle l’a embrassé. Une pointe de jalousie qui laisse très vite place à une excitation sans borne.

Nous décidons de nous rendre dans la dépendance. Elo est debout entre nous deux. Nous n’avons aucun code pour se dire d’arrêter. Aucun plan, rien. Comment savoir si on est tous les deux en accord ? Que va vouloir Paul ? Il ne connait pas nos limites ? Mais, en fait, c’est quoi nos limites ?

On s’approche d’Elo, on la dévisage, on la dévore du regard avant de la dévorer de la bouche. Coincée entre nous deux, elle décide de se laisser porter par l’ambiance. Je m’approche, je l’embrasse à pleine bouche. Je la sens excitée comme jamais. Paul s’approche d’elle et commence à lui caresser les hanches. Je le trouve délicat mais aussi entreprenant. Il caresse le haut de ses fesses et remonte jusqu’aux bras. C’est la deuxième fois qu’un autre que moi touche ma femme. Mais cette fois, je suis présent. Cette fois, c’est voulu. Cette fois, c’est partagé. Je bande.

Les mains de Paul font glisser les bretelles de sa robe. Il l’embrasse délicatement dans le cou. Je sens Elo sursauter mais aussi se mordre la lèvre. C’est vraiment bon signe. Elle continue de m’embrasser, il continue de lui embrasser le cou, remontant lentement vers ses oreilles. Je descends vers sa poitrine, je sens les deux bretelles de sa robe tomber. Je ne vois plus ce qu’ils font, j’ai perdu le contact. Tout en enfonçant ma tête entre les deux seins de ma chérie, je sens le haut de sa robe lentement glisser. Je laisse filer la robe qui dévoile sa poitrine. Je lève les yeux et m’aperçois que Paul et Elo s’embrassent doucement, presque tendrement. Les mains de notre hôte d’abord sur les épaules d’Elo remontent vers son cou puis glissent doucement en direction de sa poitrine. Un autre homme que moi va toucher les seins de ma chérie. Je crois que cette phrase, je vais la dire souvent ce soir.

- Tu es belle ma chérie.

- Elle n’est pas belle, elle est magnifique. Un rayon de soleil.

Je vois qu’Elo est aux anges. Elle pose une main sur ma tête tandis que l’autre tente de toucher Paul qui est toujours derrière elle. Je me relève et délicatement lui fait faire un demi-tour. Ils sont face à face. Je suis dos à elle. Je redescends pour finir de faire glisser sa robe jusqu’à ses chevilles. J’en profite pour dévoiler son fessier gainé de son magnifique tanga noir. Je l’embrasse, je le lèche, j’aime ce cul. Paul caresse les seins d’Elo, je suis fou de plaisir en voyant ça. Il se baisse légèrement pour embrasser l’épaule gauche d’Elo, puis de la langue descend jusqu’à la naissance de son sein. Je décide de ne pas en rater une miette. Je me décale lentement sur le côté et je vois la bouche de Paul s’approcher du téton gauche d’Elo, le sein droit étant rejoint par la main de Paul. Lorsqu’il arrive enfin, du bout de la langue, sur la pointe du sein d’Elo qui se dresse gonflé d’excitation, ma chérie pousse un profond gémissement de plaisir. Elle penche la tête en arrière et semble en demander plus. Il lui lèche les seins, les malaxe. Elle gémit et découvre le corps de Paul en le parcourant de ses mains. L’ambiance devient vraiment électrique et la tendresse laisse place peu à peu à la fougue. Les gestes se font plus brusques, le désir plus présent. L’envie de prendre simplement son pied. Bestialement. Du plaisir pour le plaisir. Je reprends mes esprits et m’aperçois qu’Elo a déjà retiré la chemise de Paul, laissant découvrir un homme plutôt bien bâti. Il se recule, me regarde et sourit. Il se dirige vers le canapé, saisit l’étole d’Elo, la replie et sans rien nous dire, l’entoure autour du visage d’Elo en prenant bien soin de lui dire, juste avant qu’elle plonge dans le noir total :

- Tes sens en seront décuplés, ton plaisir aussi. Chaque main que tu sentiras, chaque partie de corps que tu toucheras, tu ne sauras plus à qui cela appartient. Ce soir, fais-nous confiance et laisse toi porter par tes désirs et ton plaisir.

Et sur ce dernier mot, il lui bande les yeux tout en la guidant vers le lit de la chambre. Elle se laisse faire et semble même apprécier la situation. De mon côté, tout penaud, je décide de les suivre. Paul prend les choses en main. Elo est face à cet inconnu, quasiment nue, seul son tanga résiste à cette tornade de plaisir. Il l’embrasse, elle sursaute puis lui rend ce doux baiser. Il la dirige vers le lit. Elle s’allonge sans vraiment savoir qui est qui. Nous sommes l’un et l’autre de chaque côté de la femme de ma vie. On se déshabille à tour de rôle sans même se concerter tout en prenant soin de ne jamais laisser Elo sans caresses. Nus, l’un et l’autre, nous nous jetons littéralement chacun sur un sein d’Elo. Elle sourit, rigole même. Certainement le stress de sentir deux langues jouer avec ses tétons. Cette fois, les sensations sont claires. Elle est véritablement entreprise par deux hommes en même temps. Le rire laisse vite place aux gémissements. Elle aime ça, ça l’excite et ça se voit. Ne pas savoir à qui appartient chacune des langues posées sur son corps doit décupler son désir. On la caresse, elle cherche à nous toucher de ses mains. Elle tâtonne et finit par nous sentir, sentir notre peau. Maintenant, elle sait que nous sommes nus, elle touche notre poitrine, on se rapproche, elle découvre ces corps, les explore de bas en haut, puis finit lentement par vouloir descendre. On se rapproche à nouveau. Elle finit par poser ses doigts sur nos sexes. Quelle vue, quel plaisir immense. Elle le fait. Elle touche du bout des doigts nos sexes, elle les explore. Elle gémit

- Hummm. A qui tout ça appartient ? Vous m’excitez. Elles sont douces. Elles semblent grosses.

Sur ces dernières paroles, elle prend nos sexes en main et commence à nous masturber pendant que nous continuons de la caresser. Paul ferme les yeux. Moi, je n’en rate pas une miette. La queue de Paul est vraiment grosse. Elo doit forcément faire la différence, c’est sûr. Elle se redresse. Je n’ose imaginer la suite mais au fond de moi, c’est un mélange d’excitation et de jalousie qui se mêlent. Nous n’avions pas fixé de limites mais quand même. C’est le grand moment. Elo tente de se mettre à genou tout en gardant le contact avec ses deux bâtons de plaisir. On se redresse. Elle doit forcément choisir le premier sexe à embrasser et à sucer. Sur qui va-t-elle jeter son dévolu ? Est-ce qu’elle va vouloir celle de son mari ou vite découvrir un nouveau membre ? Elle s’approche de mon sexe. Elle le caresse. Je ne sais pas si elle hésite ou si elle me fait languir. Elle s’avance de plus en plus, serre mon sexe de plus en plus fort, approche sa bouche. Et…

- Je la connais trop bien celle-là.

Elle dépose un baiser du bout des lèvres sur mon gland et fait demi-tour en se rapprochant de Paul. Elle prend en main sa queue imposante et la caresse délicatement.

- Chéri, j’aime ta queue, je l’adore. Mais cet énorme membre m’interpelle. J’ai envie de goûter Paul. Tu n’es pas contre, Paul, n’est-ce pas ?

Ce petit ton moqueur finit par m’achever. Elle ne subit rien. Elle mène la danse. Elle me mène par le bout du nez et elle va me faire regretter tous mes fantasmes. Elle approche ses lèvres. Mon cœur accélère. Elle penche la tête et…. Cette femme est vraiment surprenante. Plutôt que d’embrasser délicatement le sexe de Paul, elle sort sa langue et lèche le membre de Paul de bas en haut. Paul en arrive presqu’à sursauter. Il lance un profond soupire. Elo semble fière d’elle et moi je crois que je suis déjà au bord de l’explosion. Elle le lèche tout en gémissant. Elle devient chienne. Je la connais trop pour ne pas m’en rendre compte.

- Hummm, c’est doux, c’est agréable. J’aime cette sensation. Paul, ton sexe me plait… Il a l’air énorme, dit-elle tout en continuant à le lécher.

Paul est aux anges. Je m’approche d’Elo et lui caresse les seins tout en la regardant. Je ne veux sutout rien rater. Elle le lèche, l’embrasse et finit par poser ses lèvres sur son gland. Gland qui, doucement, finit par disparaitre dans la bouche de ma femme. Quelle sensation. On y est, elle gobe à pleine bouche le sexe de Paul et je sais qu’elle ne va plus le lâcher. Tout en gémissant, elle le suce et le branle en même temps. Elle met encore plus d’application que lorsque nous étions dans le jardin. Je le vois bien, elle aime ça. Paul pose ses mains sur la tête d’Elo qui semble accélérer le rythme, il lui caresse les cheveux mais je vois bien que ses mains se crispent de plus en plus, au point d’imposer lui-même le rythme des va-et-viens. C’est ça. C’est exactement ça. Paul semble imposer son rythme, il reprend la main. Il pousse de plus en plus la tête d’Elo vers cet énorme pieu. Elle gémit, il penche la tête en arrière. Elle semble presque gober ce sexe jusqu’au fond de la gorge. Quelle vision excitante. Ma femme est une véritable chienne ce soir et j’aime ça. Elle prend son pied et ne pense qu’à ça, sans la moindre arrière-pensée.

Le rythme ralentit. Elle finit par reculer, se décale, me cherche de la main. Je m’approche. Elle me prend la tête et la tire vers elle. Elle m’embrasse à pleine bouche, elle fait tourner sa langue dans ma bouche comme si elle avait décidé de m’avaler. Cette bouche que je connais par cœur mais cette odeur… Cette odeur inconnue finit par me transpercer le cerveau. C’est la queue d’un autre que je sens dans la bouche de ma femme. Je tente de reculer mais elle maintient fermement ma tête contre la sienne puis finit par me lâcher.

- Depuis le temps qu’on fantasmait dessus, mon chéri. Cette odeur de queue qui n’est pas la tienne dans ma bouche… C’est bon. Hummmm, ça t’excite hein ?

Comment dire non alors que ça me rend dingue de plaisir ? Elle s’affale sur le lit. Paul la dévore littéralement. Chaque partie de son corps est explorée par les lèvres de cet homme. Elle se cambre à chacun de ses baisers. Je m’approche du visage d’Elo, j’ai tellement envie qu’elle me suce. Elle aussi je crois. Elle s’applique à me sucer… C’est divinement bon. Je ferme les yeux. Je suis ailleurs. Tellement ailleurs que je ne comprends pas pour quelle raison Elo, alors qu’elle s’applique à me faire du bien, pousse un long et profond gémissement. J’ouvre les yeux, je me tourne vers Paul et vois qu’il a retiré le tanga d’Elo et a plongé la tête entre ses cuisses. Il la lèche tout en lui écartant délicatement les jambes. Sa fleur est toute ouverte face à cet inconnu qui semble savoir s’y prendre. Elo se cambre, gémit, souffle. Elle est en extase. Si bien qu’elle finit par oublier de me sucer et prend la tête de Paul pour la plaquer encore plus sur sa petite chatte rasée. Elle lève son bassin comme pour permettre à Paul d’introduire encore plus en profondeur sa langue. Je crois que dans mes fantasmes les plus dingues, je n’aurais espéré une telle chose. Elo gémit de plus en plus, son corps danse sur le lit au rythme des coups de langue de Paul. Elle bouge, bouge, encore et encore. Je la sens se crisper. Pas maintenant, pas aussi vite ? Il ne va quand même pas la faire jouir en si peu de temps ?

- Hooo oui, c’est bon Paul, j’aime ça. Chéri, il me fait jouir, je ne tiens pas. C’est bon, accélère. Hoo ouuiiiiii…

Cette dernière syllabe laisse place à un torrent de plaisir. Tout son corps convulse au rythme des derniers coups de langue. Je suis éberlué. Jamais, je ne l’ai fait jouir aussi vite. Aussi puissamment, sûrement, mais aussi vite, clairement non. Elle a joui. Je ne sais quoi dire. La seule chose que je sais, c’est que son excitation retombe toujours très vite après son orgasme. Comment va-t-elle réagir ? Est-ce qu’elle va être honteuse ? Comblée ? Clairement, on va vite le savoir.

Paul se relève délicatement tout en continuant de parcourir le corps de ma chérie avec ses mains. Il n’a pas cessé de garder le contact. Il la caresse tendrement, affectueusement même. Je trouve ça beau. Elo, toujours les yeux bandés, reprend ses esprits.

- Que c’était bon…. Merci à vous, les garçons. Des sensations incroyables…

- Tu es magnifique ma chérie. Quelle excitation de te voir comme ça.

- Oui, un vrai plaisir pour les yeux. Mais tu ne sais pas vraiment si c’est ton homme ou moi qui était entre tes cuisses….

Il faut croire que Paul a décidé de la taquiner jusqu’au bout.

- C’est vrai, j’ai eu des moments de doute…. Tout ça m’a transporté. Mais, par contre, quand vous allez me prendre tous les deux, je sentirais forcément la différence…

Quoi ? Moi qui croyais que nous avions atteint le nirvana… Elle en veut encore plus ? On n’avait souvent fantasmé une pénétration mais c’était vraiment la dernière barrière qui devait tomber. Et là, l’entendre dire ça, se dire que la dernière barrière va tomber dès notre première fois… Sans qu’on en parle tous les deux…

Je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir à tout ça qu’Elo s’approche à nouveau de Paul. Je la vois le caresser d’une main mais me cherchant de l’autre. Je m’approche, me collant quasiment à notre hôte. On se dresse face à elle, fièrement. Ses mains parcourent nos cuisses, notre torse puis s’approchent irrémédiablement de nos sexes.

- J’ai envie de vous sucer, tous les deux en même temps.

Elle a vraiment décidé de tout commenter ce soir ? Elle a décidé de me rendre dingue ? Ou est-ce simplement un besoin d’extérioriser la situation, une sorte d’échappatoire ? Quoi qu’il en soit, elle approche ses lèvres de nos queues et les embrasse à tour de rôle. Elle les embrasse puis les lèche doucement pour enfin, les avaler une après une. A chaque changement de sexe, nos têtes se crispent de plaisir. Elle sait y faire, c’est indéniable, ça je le savais. Mais le comportement de Paul me le confirme. Il se raidit à chaque fois que je vois sa queue disparaitre dans la bouche d’Elo. Elle sait clairement qui est qui. Sa queue est incomparable. La différence est notable mais j’ai encore en tête la demande d’Elo. Elle veut être prise….

Ce moment dure, pas plus de deux minutes et pourtant ça me paraît une éternité. Jusqu’au moment où les choses dérapent…. Mais vraiment. Je sens bien qu’Elo accélère ses caresses buccales, je vois bien qu’elle gémit à nouveau. Et lorsqu’elle me prend en bouche, elle me fait basculer en arrière. Je tombe sur le lit. Elle s’avance et prenant ma queue en main, elle décide de m’enfourcher. Sans le moindre mot, sans le moindre signe. Ma queue s’enfonçant en elle lui fait pousser un cri de plaisir. Elle sait que c’est moi. Je le sens. Elle monte, descend et s’empale sur ma queue dure. Elle oublie Paul. Enfin, je le crois. Je pose mes mains sur ses fesses, je la caresse. Paul se met derrière elle, il la colle. Je vois ses mains caresse les seins de ma chérie, sa tête s’enfouir dans son cou pour l’embrasser. Mais cette position est claire. Son sexe bien dur doit se balader dans le dos de ma femme, peut-être même sur la chute de ses reins. Je ferme les yeux, je me laisse porter par les mouvements d’Elo, elle gémit, elle prend son pied. Toujours les yeux clos, je sens Elo se pencher vers moi. Elle s’approche et m’embrasse langoureusement. Que c’est bon. Je continue mes va-et-viens. J’adore cette sensation. Sentir ses seins frôler mon torse, sentir sa langue se mêler à la mienne. J’ai l’impression que tout cela dure une éternité. Je ne prends même plus la peine de savoir où est Paul. Je suis aux anges.

Mes coups de rein sont lents, j’aime cette sensualité. On s’embrasse. Le cou, la joue, le front, la bouche. On se dévore. Puis, je sens Elo se raidir légèrement. Je la sens hésiter à bouger. Elle qui respirait si fort, deux secondes avant, elle est comme en apnée. Plus un bruit. Rien. Je ne bouge plus. Et toujours bouche contre bouche, je sens qu’elle pousse un profond gémissement tout en se cambrant. Cette sensation restera gravée à jamais dans mon esprit. Je sens, doucement, quelque chose toucher mon sexe. Au départ, je ne comprends pas… Puis, très vite, reprenant mes esprits, je réalise. Paul entre son énorme queue dans les fesses de ma chérie. Je ne l’ai même pas entendu mettre un préservatif, tellement mon plaisir est énorme. Une fine paroi nous séparant, je sens tout de même son énorme engin la pénétrer. Comment est-ce possible ? Elle qui n’a jamais voulu en entendre parler ?

- Hummmmmm, doucement, doucement, s’il vous plait…. Holala, c’est bon. Doucement… Avance toi. Je veux que tu me prennes comme ça mais doucement….

Entendant les paroles de ma chérie à moitié étouffées par ses gémissements mais aussi parce qu’elle essaie de continuer à m’embrasser, sentant le sexe énorme de Paul se frottant à ma queue malgré la fine paroi qui nous sépare, subissant cette excitation depuis bien trop longtemps, je tente quelques timides vas-et-viens mais finis par exploser en elle. Ne pouvant contenir l’ecxitation de cette scène, je jouis… De puissants jets jaillissent et inondent la chatte de ma femme. Je pousse un râle puissant, elle crie de plaisir et Paul…. Paul. Je le sens poser ses mains sur les hanches d’Elo et commencer des va-et-viens qui n’ont plus rien de doux en langoureux.

Elo crie, fort. Très fort. Je suis toujours en elle. Je sens cette fois les puissants mouvements de la queue de Paul. Je sens surtout les seins de ma chérie se balancer d’avant en arrière à chacun des coups de rein de Paul. Enfin, je ressens les gémissements de plaisir de ma chérie alors qu’elle cherche désespérément à m’embrasser. Je n’ai pas d’autres mots mais à ce moment précis, je réalise que ma chérie à une queue molle dans sa chatte et l’énorme queue d’un inconnu dans son cul. Et elle aime ça. A ce moment précis donc, je me dis que ma femme est une salope. Qu’elle aime ça, qu’elle assume pour notre plus grand plaisir.

Ses seins balancent, j’ouvre les yeux et le spectacle est hallucinant. Son doux visage est non seulement rouge comme une tomate mais surtout il est déformé de plaisir. Je vois Elo, sur moi, se crisper, fermer les poings en agrippant tout ce qu’elle peut agripper. Je vois ses seins bouger, son cul bouger et entrepris par Paul qui coule de sueur. Il la baise. Véritablement. Je le vois. Mais surtout, je le sens. Sentir ses mouvements de queue dans ma chérie me redonne rapidement de la vigueur. Je bande, à nouveau. Elo le sent.

- Ton cul est magnifique. J’aime le prendre comme ça. C’est bon.

- Ho oui Paul, baise moi, enfonce-toi. Ta queue est énorme. C’est tellement gros… Mais c’est tellement bon.. Hooo oui, chéri, je te sens. Vas-y. Allez-y, baisez-moi. Faites-moi jouir.

Elle est, cette fois-ci, définitivement entreprise par deux hommes. Elle se sent pleine. Elle se sent désirée. Elle aime nous exciter. Elle aime nous entendre gémir. Elle aime ce qu’elle est. Une femme qui assume aimer baiser, juste pour le plaisir. Et peut-être juste pour cette fois.

Nous accélérons nos va-et-viens, en rythme. Et à chaque mouvement. Elo se rapproche de l’orgasme. Si elle jouit, je jouis…. Paul accélère, de plus en plus fort, vraiment. Sa main droite prenant une fesse de ma chérie et l’autre lui mettant de toutes petites tapes…. C’est bon. Je prends les seins d’Elo en bouche bien qu’ils bougent dans tous les sens. Je les mords, elle se tord de plaisir mais aussi de douleur. Paul se lâche…

- Putain, je vais jouir dans le cul de ta femme, c’est trop bon, vous êtes magiques tous les deux. Hoo oui, je tiens plus, je jouis….

Et sur ces paroles, je sens le sexe de Paul se contracter. Je le sens se raidir mais je sens Elo partir dans un tourbillon de plaisir

- Paul, hooo Paul, c’est bon, tu me fais jouir…… Haaaa, encore, enfonce-toi…. Oui, je jouis, ta queue. Elle est énorme….

Elo contracte son vagin de plaisir, serre tellement fort ma queue, que moi aussi, dans ce tourbillon d’extase, je jouis pour la 2ème fois en moins de vingt minutes.

De longs spasmes parcourent nos corps, à tous les trois…. De longs râles de plaisir les accompagnent. De longs soupirs aussi.

On s’effondre, en même temps, sur le lit. Elo, nue, entre deux hommes, épuisés. Un sentiment de plénitude inonde la pièce. Nous sommes las… repus comme après on bon repas. Elo se tourne vers Paul et l’embrasse tendrement sur la joue. Elle se tourne vers moi et m’embrasse tendrement sur la bouche. Elle retire son étole, attend que ses yeux s’habituent à la petite lueur émise par la lampe de la chambre. Elle lève les yeux au plafond et finit par dire « on recommence quand ? » tout en éclatant de rire.

Le lendemain, nous avons quitté notre hôte comme prévu. Nous nous sommes promis de garder le contact. Mais en fait, personne n’a jamais osé rappeler l’autre. Comme si cette nuit-là devait rester unique. Nous n’avons jamais eu de ses nouvelles. Peut-être aurions-nous dû le recontacter ? Le seul message aura été un sms nous demandant si nous avions fait bonne route et aussi pour nous remercier pour cette nuit inoubliable et la chance qu’il avait eu de pouvoir partager tout cela avec nous.

Cette première fois aura été magique ? Du début à la fin. Nous en parlons souvent. On ne regrette absolument rien, bien au contraire. Chaque moment que l’on se remémore finit toujours par nous exciter. Nous n’avons jamais recommencé depuis. Cette soirée-là nous transporte à chaque fois qu’on y pense et peut-être vaut-il mieux que cette nuit reste unique…. Qui sait ? Quoi s’il en soit. Nous sommes encore plus amoureux qu’auparavant, fiers d’avoir réalisé notre fantasme. Notre couple en est sorti grandi.
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par coupluni
#2822017
coupluni a écrit :Oui, une partie de ce qui est raconté a eu lieu mais j'ai précisé dès le début que ce cheminement et la manière dont la soirée se passe serait selon ma femme le déroulement parfait.

Partie 7 : suite et fin.

Pas le moindre regard dans ma direction. Elle sait que je n’attends que son plaisir. Et pourtant, je dois avouer une vraie pointe de jalousie lorsqu’elle l’a embrassé. Une pointe de jalousie qui laisse très vite place à une excitation sans borne.

Nous décidons de nous rendre dans la dépendance. Elo est debout entre nous deux. Nous n’avons aucun code pour se dire d’arrêter. Aucun plan, rien. Comment savoir si on est tous les deux en accord ? Que va vouloir Paul ? Il ne connait pas nos limites ? Mais, en fait, c’est quoi nos limites ?

On s’approche d’Elo, on la dévisage, on la dévore du regard avant de la dévorer de la bouche. Coincée entre nous deux, elle décide de se laisser porter par l’ambiance. Je m’approche, je l’embrasse à pleine bouche. Je la sens excitée comme jamais. Paul s’approche d’elle et commence à lui caresser les hanches. Je le trouve délicat mais aussi entreprenant. Il caresse le haut de ses fesses et remonte jusqu’aux bras. C’est la deuxième fois qu’un autre que moi touche ma femme. Mais cette fois, je suis présent. Cette fois, c’est voulu. Cette fois, c’est partagé. Je bande.

Les mains de Paul font glisser les bretelles de sa robe. Il l’embrasse délicatement dans le cou. Je sens Elo sursauter mais aussi se mordre la lèvre. C’est vraiment bon signe. Elle continue de m’embrasser, il continue de lui embrasser le cou, remontant lentement vers ses oreilles. Je descends vers sa poitrine, je sens les deux bretelles de sa robe tomber. Je ne vois plus ce qu’ils font, j’ai perdu le contact. Tout en enfonçant ma tête entre les deux seins de ma chérie, je sens le haut de sa robe lentement glisser. Je laisse filer la robe qui dévoile sa poitrine. Je lève les yeux et m’aperçois que Paul et Elo s’embrassent doucement, presque tendrement. Les mains de notre hôte d’abord sur les épaules d’Elo remontent vers son cou puis glissent doucement en direction de sa poitrine. Un autre homme que moi va toucher les seins de ma chérie. Je crois que cette phrase, je vais la dire souvent ce soir.

- Tu es belle ma chérie.

- Elle n’est pas belle, elle est magnifique. Un rayon de soleil.

Je vois qu’Elo est aux anges. Elle pose une main sur ma tête tandis que l’autre tente de toucher Paul qui est toujours derrière elle. Je me relève et délicatement lui fait faire un demi-tour. Ils sont face à face. Je suis dos à elle. Je redescends pour finir de faire glisser sa robe jusqu’à ses chevilles. J’en profite pour dévoiler son fessier gainé de son magnifique tanga noir. Je l’embrasse, je le lèche, j’aime ce cul. Paul caresse les seins d’Elo, je suis fou de plaisir en voyant ça. Il se baisse légèrement pour embrasser l’épaule gauche d’Elo, puis de la langue descend jusqu’à la naissance de son sein. Je décide de ne pas en rater une miette. Je me décale lentement sur le côté et je vois la bouche de Paul s’approcher du téton gauche d’Elo, le sein droit étant rejoint par la main de Paul. Lorsqu’il arrive enfin, du bout de la langue, sur la pointe du sein d’Elo qui se dresse gonflé d’excitation, ma chérie pousse un profond gémissement de plaisir. Elle penche la tête en arrière et semble en demander plus. Il lui lèche les seins, les malaxe. Elle gémit et découvre le corps de Paul en le parcourant de ses mains. L’ambiance devient vraiment électrique et la tendresse laisse place peu à peu à la fougue. Les gestes se font plus brusques, le désir plus présent. L’envie de prendre simplement son pied. Bestialement. Du plaisir pour le plaisir. Je reprends mes esprits et m’aperçois qu’Elo a déjà retiré la chemise de Paul, laissant découvrir un homme plutôt bien bâti. Il se recule, me regarde et sourit. Il se dirige vers le canapé, saisit l’étole d’Elo, la replie et sans rien nous dire, l’entoure autour du visage d’Elo en prenant bien soin de lui dire, juste avant qu’elle plonge dans le noir total :

- Tes sens en seront décuplés, ton plaisir aussi. Chaque main que tu sentiras, chaque partie de corps que tu toucheras, tu ne sauras plus à qui cela appartient. Ce soir, fais-nous confiance et laisse toi porter par tes désirs et ton plaisir.

Et sur ce dernier mot, il lui bande les yeux tout en la guidant vers le lit de la chambre. Elle se laisse faire et semble même apprécier la situation. De mon côté, tout penaud, je décide de les suivre. Paul prend les choses en main. Elo est face à cet inconnu, quasiment nue, seul son tanga résiste à cette tornade de plaisir. Il l’embrasse, elle sursaute puis lui rend ce doux baiser. Il la dirige vers le lit. Elle s’allonge sans vraiment savoir qui est qui. Nous sommes l’un et l’autre de chaque côté de la femme de ma vie. On se déshabille à tour de rôle sans même se concerter tout en prenant soin de ne jamais laisser Elo sans caresses. Nus, l’un et l’autre, nous nous jetons littéralement chacun sur un sein d’Elo. Elle sourit, rigole même. Certainement le stress de sentir deux langues jouer avec ses tétons. Cette fois, les sensations sont claires. Elle est véritablement entreprise par deux hommes en même temps. Le rire laisse vite place aux gémissements. Elle aime ça, ça l’excite et ça se voit. Ne pas savoir à qui appartient chacune des langues posées sur son corps doit décupler son désir. On la caresse, elle cherche à nous toucher de ses mains. Elle tâtonne et finit par nous sentir, sentir notre peau. Maintenant, elle sait que nous sommes nus, elle touche notre poitrine, on se rapproche, elle découvre ces corps, les explore de bas en haut, puis finit lentement par vouloir descendre. On se rapproche à nouveau. Elle finit par poser ses doigts sur nos sexes. Quelle vue, quel plaisir immense. Elle le fait. Elle touche du bout des doigts nos sexes, elle les explore. Elle gémit

- Hummm. A qui tout ça appartient ? Vous m’excitez. Elles sont douces. Elles semblent grosses.

Sur ces dernières paroles, elle prend nos sexes en main et commence à nous masturber pendant que nous continuons de la caresser. Paul ferme les yeux. Moi, je n’en rate pas une miette. La queue de Paul est vraiment grosse. Elo doit forcément faire la différence, c’est sûr. Elle se redresse. Je n’ose imaginer la suite mais au fond de moi, c’est un mélange d’excitation et de jalousie qui se mêlent. Nous n’avions pas fixé de limites mais quand même. C’est le grand moment. Elo tente de se mettre à genou tout en gardant le contact avec ses deux bâtons de plaisir. On se redresse. Elle doit forcément choisir le premier sexe à embrasser et à sucer. Sur qui va-t-elle jeter son dévolu ? Est-ce qu’elle va vouloir celle de son mari ou vite découvrir un nouveau membre ? Elle s’approche de mon sexe. Elle le caresse. Je ne sais pas si elle hésite ou si elle me fait languir. Elle s’avance de plus en plus, serre mon sexe de plus en plus fort, approche sa bouche. Et…

- Je la connais trop bien celle-là.

Elle dépose un baiser du bout des lèvres sur mon gland et fait demi-tour en se rapprochant de Paul. Elle prend en main sa queue imposante et la caresse délicatement.

- Chéri, j’aime ta queue, je l’adore. Mais cet énorme membre m’interpelle. J’ai envie de goûter Paul. Tu n’es pas contre, Paul, n’est-ce pas ?

Ce petit ton moqueur finit par m’achever. Elle ne subit rien. Elle mène la danse. Elle me mène par le bout du nez et elle va me faire regretter tous mes fantasmes. Elle approche ses lèvres. Mon cœur accélère. Elle penche la tête et…. Cette femme est vraiment surprenante. Plutôt que d’embrasser délicatement le sexe de Paul, elle sort sa langue et lèche le membre de Paul de bas en haut. Paul en arrive presqu’à sursauter. Il lance un profond soupire. Elo semble fière d’elle et moi je crois que je suis déjà au bord de l’explosion. Elle le lèche tout en gémissant. Elle devient chienne. Je la connais trop pour ne pas m’en rendre compte.

- Hummm, c’est doux, c’est agréable. J’aime cette sensation. Paul, ton sexe me plait… Il a l’air énorme, dit-elle tout en continuant à le lécher.

Paul est aux anges. Je m’approche d’Elo et lui caresse les seins tout en la regardant. Je ne veux sutout rien rater. Elle le lèche, l’embrasse et finit par poser ses lèvres sur son gland. Gland qui, doucement, finit par disparaitre dans la bouche de ma femme. Quelle sensation. On y est, elle gobe à pleine bouche le sexe de Paul et je sais qu’elle ne va plus le lâcher. Tout en gémissant, elle le suce et le branle en même temps. Elle met encore plus d’application que lorsque nous étions dans le jardin. Je le vois bien, elle aime ça. Paul pose ses mains sur la tête d’Elo qui semble accélérer le rythme, il lui caresse les cheveux mais je vois bien que ses mains se crispent de plus en plus, au point d’imposer lui-même le rythme des va-et-viens. C’est ça. C’est exactement ça. Paul semble imposer son rythme, il reprend la main. Il pousse de plus en plus la tête d’Elo vers cet énorme pieu. Elle gémit, il penche la tête en arrière. Elle semble presque gober ce sexe jusqu’au fond de la gorge. Quelle vision excitante. Ma femme est une véritable chienne ce soir et j’aime ça. Elle prend son pied et ne pense qu’à ça, sans la moindre arrière-pensée.

Le rythme ralentit. Elle finit par reculer, se décale, me cherche de la main. Je m’approche. Elle me prend la tête et la tire vers elle. Elle m’embrasse à pleine bouche, elle fait tourner sa langue dans ma bouche comme si elle avait décidé de m’avaler. Cette bouche que je connais par cœur mais cette odeur… Cette odeur inconnue finit par me transpercer le cerveau. C’est la queue d’un autre que je sens dans la bouche de ma femme. Je tente de reculer mais elle maintient fermement ma tête contre la sienne puis finit par me lâcher.

- Depuis le temps qu’on fantasmait dessus, mon chéri. Cette odeur de queue qui n’est pas la tienne dans ma bouche… C’est bon. Hummmm, ça t’excite hein ?

Comment dire non alors que ça me rend dingue de plaisir ? Elle s’affale sur le lit. Paul la dévore littéralement. Chaque partie de son corps est explorée par les lèvres de cet homme. Elle se cambre à chacun de ses baisers. Je m’approche du visage d’Elo, j’ai tellement envie qu’elle me suce. Elle aussi je crois. Elle s’applique à me sucer… C’est divinement bon. Je ferme les yeux. Je suis ailleurs. Tellement ailleurs que je ne comprends pas pour quelle raison Elo, alors qu’elle s’applique à me faire du bien, pousse un long et profond gémissement. J’ouvre les yeux, je me tourne vers Paul et vois qu’il a retiré le tanga d’Elo et a plongé la tête entre ses cuisses. Il la lèche tout en lui écartant délicatement les jambes. Sa fleur est toute ouverte face à cet inconnu qui semble savoir s’y prendre. Elo se cambre, gémit, souffle. Elle est en extase. Si bien qu’elle finit par oublier de me sucer et prend la tête de Paul pour la plaquer encore plus sur sa petite chatte rasée. Elle lève son bassin comme pour permettre à Paul d’introduire encore plus en profondeur sa langue. Je crois que dans mes fantasmes les plus dingues, je n’aurais espéré une telle chose. Elo gémit de plus en plus, son corps danse sur le lit au rythme des coups de langue de Paul. Elle bouge, bouge, encore et encore. Je la sens se crisper. Pas maintenant, pas aussi vite ? Il ne va quand même pas la faire jouir en si peu de temps ?

- Hooo oui, c’est bon Paul, j’aime ça. Chéri, il me fait jouir, je ne tiens pas. C’est bon, accélère. Hoo ouuiiiiii…

Cette dernière syllabe laisse place à un torrent de plaisir. Tout son corps convulse au rythme des derniers coups de langue. Je suis éberlué. Jamais, je ne l’ai fait jouir aussi vite. Aussi puissamment, sûrement, mais aussi vite, clairement non. Elle a joui. Je ne sais quoi dire. La seule chose que je sais, c’est que son excitation retombe toujours très vite après son orgasme. Comment va-t-elle réagir ? Est-ce qu’elle va être honteuse ? Comblée ? Clairement, on va vite le savoir.

Paul se relève délicatement tout en continuant de parcourir le corps de ma chérie avec ses mains. Il n’a pas cessé de garder le contact. Il la caresse tendrement, affectueusement même. Je trouve ça beau. Elo, toujours les yeux bandés, reprend ses esprits.

- Que c’était bon…. Merci à vous, les garçons. Des sensations incroyables…

- Tu es magnifique ma chérie. Quelle excitation de te voir comme ça.

- Oui, un vrai plaisir pour les yeux. Mais tu ne sais pas vraiment si c’est ton homme ou moi qui était entre tes cuisses….

Il faut croire que Paul a décidé de la taquiner jusqu’au bout.

- C’est vrai, j’ai eu des moments de doute…. Tout ça m’a transporté. Mais, par contre, quand vous allez me prendre tous les deux, je sentirais forcément la différence…

Quoi ? Moi qui croyais que nous avions atteint le nirvana… Elle en veut encore plus ? On avait souvent fantasmé une pénétration mais c’était vraiment la dernière barrière qui devait tomber. Et là, l’entendre dire ça, se dire que la dernière barrière va tomber dès notre première fois… Sans qu’on en parle tous les deux…

Je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir à tout ça qu’Elo s’approche à nouveau de Paul. Je la vois le caresser d’une main mais me cherchant de l’autre. Je m’approche, me collant quasiment à notre hôte. On se dresse face à elle, fièrement. Ses mains parcourent nos cuisses, notre torse puis s’approchent irrémédiablement de nos sexes.

- J’ai envie de vous sucer, tous les deux en même temps.

Elle a vraiment décidé de tout commenter ce soir ? Elle a décidé de me rendre dingue ? Ou est-ce simplement un besoin d’extérioriser la situation, une sorte d’échappatoire ? Quoi qu’il en soit, elle approche ses lèvres de nos queues et les embrasse à tour de rôle. Elle les embrasse puis les lèche doucement pour enfin, les avaler l'une après l'autre. A chaque changement de sexe, nos têtes se crispent de plaisir. Elle sait y faire, c’est indéniable, ça je le savais. Mais le comportement de Paul me le confirme. Il se raidit à chaque fois que je vois sa queue disparaitre dans la bouche d’Elo. Elle sait clairement qui est qui. Sa queue est incomparable. La différence est notable mais j’ai encore en tête la demande d’Elo. Elle veut être prise….

Ce moment dure, pas plus de deux minutes et pourtant ça me paraît une éternité. Jusqu’au moment où les choses dérapent…. Mais vraiment. Je sens bien qu’Elo accélère ses caresses buccales, je vois bien qu’elle gémit à nouveau. Et lorsqu’elle me prend en bouche, elle me fait basculer en arrière. Je tombe sur le lit. Elle s’avance et prenant ma queue en main, elle décide de m’enfourcher. Sans le moindre mot, sans le moindre signe. Ma queue s’enfonçant en elle lui fait pousser un cri de plaisir. Elle sait que c’est moi. Je le sens. Elle monte, descend et s’empale sur ma queue dure. Elle oublie Paul. Enfin, je le crois. Je pose mes mains sur ses fesses, je la caresse. Paul se met derrière elle, il la colle. Je vois ses mains caresse les seins de ma chérie, sa tête s’enfouir dans son cou pour l’embrasser. Mais cette position est claire. Son sexe bien dur doit se balader dans le dos de ma femme, peut-être même sur la chute de ses reins. Je ferme les yeux, je me laisse porter par les mouvements d’Elo, elle gémit, elle prend son pied. Toujours les yeux clos, je sens Elo se pencher vers moi. Elle s’approche et m’embrasse langoureusement. Que c’est bon. Je continue mes va-et-viens. J’adore cette sensation. Sentir ses seins frôler mon torse, sentir sa langue se mêler à la mienne. J’ai l’impression que tout cela dure une éternité. Je ne prends même plus la peine de savoir où est Paul. Je suis aux anges.

Mes coups de rein sont lents, j’aime cette sensualité. On s’embrasse. Le cou, la joue, le front, la bouche. On se dévore. Puis, je sens Elo se raidir légèrement. Je la sens hésiter à bouger. Elle qui respirait si fort, deux secondes avant, elle est comme en apnée. Plus un bruit. Rien. Je ne bouge plus. Et toujours bouche contre bouche, je sens qu’elle pousse un profond gémissement tout en se cambrant. Cette sensation restera gravée à jamais dans mon esprit. Je sens, doucement, quelque chose toucher mon sexe. Au départ, je ne comprends pas… Puis, très vite, reprenant mes esprits, je réalise. Paul entre son énorme queue dans les fesses de ma chérie. Je ne l’ai même pas entendu mettre un préservatif, tellement mon plaisir est énorme. Une fine paroi nous séparant, je sens tout de même son énorme engin la pénétrer. Comment est-ce possible ? Elle qui n’a jamais voulu en entendre parler ?

- Hummmmmm, doucement, doucement, s’il vous plait…. Holala, c’est bon. Doucement… Avance toi. Je veux que tu me prennes comme ça mais doucement….

Entendant les paroles de ma chérie à moitié étouffées par ses gémissements mais aussi parce qu’elle essaie de continuer à m’embrasser, sentant le sexe énorme de Paul se frottant à ma queue malgré la fine paroi qui nous sépare, subissant cette excitation depuis bien trop longtemps, je tente quelques timides vas-et-viens mais finis par exploser en elle. Ne pouvant contenir l’ecxitation de cette scène, je jouis… De puissants jets jaillissent et inondent la chatte de ma femme. Je pousse un râle puissant, elle crie de plaisir et Paul…. Paul. Je le sens poser ses mains sur les hanches d’Elo et commencer des va-et-viens qui n’ont plus rien de doux en langoureux.

Elo crie, fort. Très fort. Je suis toujours en elle. Je sens cette fois les puissants mouvements de la queue de Paul. Je sens surtout les seins de ma chérie se balancer d’avant en arrière à chacun des coups de rein de Paul. Enfin, je ressens les gémissements de plaisir de ma chérie alors qu’elle cherche désespérément à m’embrasser. Je n’ai pas d’autres mots mais à ce moment précis, je réalise que ma chérie à une queue molle dans sa chatte et l’énorme queue d’un inconnu dans son cul. Et elle aime ça. A ce moment précis donc, je me dis que ma femme est une salope. Qu’elle aime ça, qu’elle assume pour notre plus grand plaisir.

Ses seins balancent, j’ouvre les yeux et le spectacle est hallucinant. Son doux visage est non seulement rouge comme une tomate mais surtout il est déformé de plaisir. Je vois Elo, sur moi, se crisper, fermer les poings en agrippant tout ce qu’elle peut agripper. Je vois ses seins bouger, son cul bouger et entrepris par Paul qui coule de sueur. Il la baise. Véritablement. Je le vois. Mais surtout, je le sens. Sentir ses mouvements de queue dans ma chérie me redonne rapidement de la vigueur. Je bande, à nouveau. Elo le sent.

- Ton cul est magnifique. J’aime le prendre comme ça. C’est bon.

- Ho oui Paul, baise moi, enfonce-toi. Ta queue est énorme. C’est tellement gros… Mais c’est tellement bon.. Hooo oui, chéri, je te sens. Vas-y. Allez-y, baisez-moi. Faites-moi jouir.

Elle est, cette fois-ci, définitivement entreprise par deux hommes. Elle se sent pleine. Elle se sent désirée. Elle aime nous exciter. Elle aime nous entendre gémir. Elle aime ce qu’elle est. Une femme qui assume aimer baiser, juste pour le plaisir. Et peut-être juste pour cette fois.

Nous accélérons nos va-et-viens, en rythme. Et à chaque mouvement. Elo se rapproche de l’orgasme. Si elle jouit, je jouis…. Paul accélère, de plus en plus fort, vraiment. Sa main droite prenant une fesse de ma chérie et l’autre lui mettant de toutes petites tapes…. C’est bon. Je prends les seins d’Elo en bouche bien qu’ils bougent dans tous les sens. Je les mords, elle se tord de plaisir mais aussi de douleur. Paul se lâche…

- Putain, je vais jouir dans le cul de ta femme, c’est trop bon, vous êtes magiques tous les deux. Hoo oui, je tiens plus, je jouis….

Et sur ces paroles, je sens le sexe de Paul se contracter. Je le sens se raidir mais je sens Elo partir dans un tourbillon de plaisir

- Paul, hooo Paul, c’est bon, tu me fais jouir…… Haaaa, encore, enfonce-toi…. Oui, je jouis, ta queue. Elle est énorme….

Elo contracte son vagin de plaisir, serre tellement fort ma queue, que moi aussi, dans ce tourbillon d’extase, je jouis pour la 2ème fois en moins de vingt minutes.

De longs spasmes parcourent nos corps, à tous les trois…. De longs râles de plaisir les accompagnent. De longs soupirs aussi.

On s’effondre, en même temps, sur le lit. Elo, nue, entre deux hommes, épuisés. Un sentiment de plénitude inonde la pièce. Nous sommes las… repus comme après on bon repas. Elo se tourne vers Paul et l’embrasse tendrement sur la joue. Elle se tourne vers moi et m’embrasse tendrement sur la bouche. Elle retire son étole, attend que ses yeux s’habituent à la petite lueur émise par la lampe de la chambre. Elle lève les yeux au plafond et finit par dire « on recommence quand ? » tout en éclatant de rire.

Le lendemain, nous avons quitté notre hôte comme prévu. Nous nous sommes promis de garder le contact. Mais en fait, personne n’a jamais osé rappeler l’autre. Comme si cette nuit-là devait rester unique. Nous n’avons jamais eu de ses nouvelles. Peut-être aurions-nous dû le recontacter ? Le seul message aura été un sms nous demandant si nous avions fait bonne route et aussi pour nous remercier pour cette nuit inoubliable et la chance qu’il avait eu de pouvoir partager tout cela avec nous.

Cette première fois aura été magique ? Du début à la fin. Nous en parlons souvent. On ne regrette absolument rien, bien au contraire. Chaque moment que l’on se remémore finit toujours par nous exciter. Nous n’avons jamais recommencé depuis. Cette soirée-là nous transporte à chaque fois qu’on y pense et peut-être vaut-il mieux que cette nuit reste unique…. Qui sait ? Quoi s’il en soit. Nous sommes encore plus amoureux qu’auparavant, fiers d’avoir réalisé notre fantasme. Notre couple en est sorti grandi.
#2822109
]Oui, une partie de ce qui est raconté a eu lieu mais j'ai précisé dès le début que ce cheminement et la manière dont la soirée se passe serait selon ma femme le déroulement parfait.

Partie 7 : suite et fin.

Pas le moindre regard dans ma direction. Elle sait que je n’attends que son plaisir. Et pourtant, je dois avouer une vraie pointe de jalousie lorsqu’elle l’a embrassé. Une pointe de jalousie qui laisse très vite place à une excitation sans borne.

Nous décidons de nous rendre dans la dépendance. Elo est debout entre nous deux. Nous n’avons aucun code pour se dire d’arrêter. Aucun plan, rien. Comment savoir si on est tous les deux en accord ? Que va vouloir Paul ? Il ne connait pas nos limites ? Mais, en fait, c’est quoi nos limites ?

On s’approche d’Elo, on la dévisage, on la dévore du regard avant de la dévorer de la bouche. Coincée entre nous deux, elle décide de se laisser porter par l’ambiance. Je m’approche, je l’embrasse à pleine bouche. Je la sens excitée comme jamais. Paul s’approche d’elle et commence à lui caresser les hanches. Je le trouve délicat mais aussi entreprenant. Il caresse le haut de ses fesses et remonte jusqu’aux bras. C’est la deuxième fois qu’un autre que moi touche ma femme. Mais cette fois, je suis présent. Cette fois, c’est voulu. Cette fois, c’est partagé. Je bande.

Les mains de Paul font glisser les bretelles de sa robe. Il l’embrasse délicatement dans le cou. Je sens Elo sursauter mais aussi se mordre la lèvre. C’est vraiment bon signe. Elle continue de m’embrasser, il continue de lui embrasser le cou, remontant lentement vers ses oreilles. Je descends vers sa poitrine, je sens les deux bretelles de sa robe tomber. Je ne vois plus ce qu’ils font, j’ai perdu le contact. Tout en enfonçant ma tête entre les deux seins de ma chérie, je sens le haut de sa robe lentement glisser. Je laisse filer la robe qui dévoile sa poitrine. Je lève les yeux et m’aperçois que Paul et Elo s’embrassent doucement, presque tendrement. Les mains de notre hôte d’abord sur les épaules d’Elo remontent vers son cou puis glissent doucement en direction de sa poitrine. Un autre homme que moi va toucher les seins de ma chérie. Je crois que cette phrase, je vais la dire souvent ce soir.

- Tu es belle ma chérie.

- Elle n’est pas belle, elle est magnifique. Un rayon de soleil.

Je vois qu’Elo est aux anges. Elle pose une main sur ma tête tandis que l’autre tente de toucher Paul qui est toujours derrière elle. Je me relève et délicatement lui fait faire un demi-tour. Ils sont face à face. Je suis dos à elle. Je redescends pour finir de faire glisser sa robe jusqu’à ses chevilles. J’en profite pour dévoiler son fessier gainé de son magnifique tanga noir. Je l’embrasse, je le lèche, j’aime ce cul. Paul caresse les seins d’Elo, je suis fou de plaisir en voyant ça. Il se baisse légèrement pour embrasser l’épaule gauche d’Elo, puis de la langue descend jusqu’à la naissance de son sein. Je décide de ne pas en rater une miette. Je me décale lentement sur le côté et je vois la bouche de Paul s’approcher du téton gauche d’Elo, le sein droit étant rejoint par la main de Paul. Lorsqu’il arrive enfin, du bout de la langue, sur la pointe du sein d’Elo qui se dresse gonflé d’excitation, ma chérie pousse un profond gémissement de plaisir. Elle penche la tête en arrière et semble en demander plus. Il lui lèche les seins, les malaxe. Elle gémit et découvre le corps de Paul en le parcourant de ses mains. L’ambiance devient vraiment électrique et la tendresse laisse place peu à peu à la fougue. Les gestes se font plus brusques, le désir plus présent. L’envie de prendre simplement son pied. Bestialement. Du plaisir pour le plaisir. Je reprends mes esprits et m’aperçois qu’Elo a déjà retiré la chemise de Paul, laissant découvrir un homme plutôt bien bâti. Il se recule, me regarde et sourit. Il se dirige vers le canapé, saisit l’étole d’Elo, la replie et sans rien nous dire, l’entoure autour du visage d’Elo en prenant bien soin de lui dire, juste avant qu’elle plonge dans le noir total :

- Tes sens en seront décuplés, ton plaisir aussi. Chaque main que tu sentiras, chaque partie de corps que tu toucheras, tu ne sauras plus à qui cela appartient. Ce soir, fais-nous confiance et laisse toi porter par tes désirs et ton plaisir.

Et sur ce dernier mot, il lui bande les yeux tout en la guidant vers le lit de la chambre. Elle se laisse faire et semble même apprécier la situation. De mon côté, tout penaud, je décide de les suivre. Paul prend les choses en main. Elo est face à cet inconnu, quasiment nue, seul son tanga résiste à cette tornade de plaisir. Il l’embrasse, elle sursaute puis lui rend ce doux baiser. Il la dirige vers le lit. Elle s’allonge sans vraiment savoir qui est qui. Nous sommes l’un et l’autre de chaque côté de la femme de ma vie. On se déshabille à tour de rôle sans même se concerter tout en prenant soin de ne jamais laisser Elo sans caresses. Nus, l’un et l’autre, nous nous jetons littéralement chacun sur un sein d’Elo. Elle sourit, rigole même. Certainement le stress de sentir deux langues jouer avec ses tétons. Cette fois, les sensations sont claires. Elle est véritablement entreprise par deux hommes en même temps. Le rire laisse vite place aux gémissements. Elle aime ça, ça l’excite et ça se voit. Ne pas savoir à qui appartient chacune des langues posées sur son corps doit décupler son désir. On la caresse, elle cherche à nous toucher de ses mains. Elle tâtonne et finit par nous sentir, sentir notre peau. Maintenant, elle sait que nous sommes nus, elle touche notre poitrine, on se rapproche, elle découvre ces corps, les explore de bas en haut, puis finit lentement par vouloir descendre. On se rapproche à nouveau. Elle finit par poser ses doigts sur nos sexes. Quelle vue, quel plaisir immense. Elle le fait. Elle touche du bout des doigts nos sexes, elle les explore. Elle gémit

- Hummm. A qui tout ça appartient ? Vous m’excitez. Elles sont douces. Elles semblent grosses.

Sur ces dernières paroles, elle prend nos sexes en main et commence à nous masturber pendant que nous continuons de la caresser. Paul ferme les yeux. Moi, je n’en rate pas une miette. La queue de Paul est vraiment grosse. Elo doit forcément faire la différence, c’est sûr. Elle se redresse. Je n’ose imaginer la suite mais au fond de moi, c’est un mélange d’excitation et de jalousie qui se mêlent. Nous n’avions pas fixé de limites mais quand même. C’est le grand moment. Elo tente de se mettre à genou tout en gardant le contact avec ses deux bâtons de plaisir. On se redresse. Elle doit forcément choisir le premier sexe à embrasser et à sucer. Sur qui va-t-elle jeter son dévolu ? Est-ce qu’elle va vouloir celle de son mari ou vite découvrir un nouveau membre ? Elle s’approche de mon sexe. Elle le caresse. Je ne sais pas si elle hésite ou si elle me fait languir. Elle s’avance de plus en plus, serre mon sexe de plus en plus fort, approche sa bouche. Et…

- Je la connais trop bien celle-là.

Elle dépose un baiser du bout des lèvres sur mon gland et fait demi-tour en se rapprochant de Paul. Elle prend en main sa queue imposante et la caresse délicatement.

- Chéri, j’aime ta queue, je l’adore. Mais cet énorme membre m’interpelle. J’ai envie de goûter Paul. Tu n’es pas contre, Paul, n’est-ce pas ?

Ce petit ton moqueur finit par m’achever. Elle ne subit rien. Elle mène la danse. Elle me mène par le bout du nez et elle va me faire regretter tous mes fantasmes. Elle approche ses lèvres. Mon cœur accélère. Elle penche la tête et…. Cette femme est vraiment surprenante. Plutôt que d’embrasser délicatement le sexe de Paul, elle sort sa langue et lèche le membre de Paul de bas en haut. Paul en arrive presqu’à sursauter. Il lance un profond soupire. Elo semble fière d’elle et moi je crois que je suis déjà au bord de l’explosion. Elle le lèche tout en gémissant. Elle devient chienne. Je la connais trop pour ne pas m’en rendre compte.

- Hummm, c’est doux, c’est agréable. J’aime cette sensation. Paul, ton sexe me plait… Il a l’air énorme, dit-elle tout en continuant à le lécher.

Paul est aux anges. Je m’approche d’Elo et lui caresse les seins tout en la regardant. Je ne veux sutout rien rater. Elle le lèche, l’embrasse et finit par poser ses lèvres sur son gland. Gland qui, doucement, finit par disparaitre dans la bouche de ma femme. Quelle sensation. On y est, elle gobe à pleine bouche le sexe de Paul et je sais qu’elle ne va plus le lâcher. Tout en gémissant, elle le suce et le branle en même temps. Elle met encore plus d’application que lorsque nous étions dans le jardin. Je le vois bien, elle aime ça. Paul pose ses mains sur la tête d’Elo qui semble accélérer le rythme, il lui caresse les cheveux mais je vois bien que ses mains se crispent de plus en plus, au point d’imposer lui-même le rythme des va-et-viens. C’est ça. C’est exactement ça. Paul semble imposer son rythme, il reprend la main. Il pousse de plus en plus la tête d’Elo vers cet énorme pieu. Elle gémit, il penche la tête en arrière. Elle semble presque gober ce sexe jusqu’au fond de la gorge. Quelle vision excitante. Ma femme est une véritable chienne ce soir et j’aime ça. Elle prend son pied et ne pense qu’à ça, sans la moindre arrière-pensée.

Le rythme ralentit. Elle finit par reculer, se décale, me cherche de la main. Je m’approche. Elle me prend la tête et la tire vers elle. Elle m’embrasse à pleine bouche, elle fait tourner sa langue dans ma bouche comme si elle avait décidé de m’avaler. Cette bouche que je connais par cœur mais cette odeur… Cette odeur inconnue finit par me transpercer le cerveau. C’est la queue d’un autre que je sens dans la bouche de ma femme. Je tente de reculer mais elle maintient fermement ma tête contre la sienne puis finit par me lâcher.

- Depuis le temps qu’on fantasmait dessus, mon chéri. Cette odeur de queue qui n’est pas la tienne dans ma bouche… C’est bon. Hummmm, ça t’excite hein ?

Comment dire non alors que ça me rend dingue de plaisir ? Elle s’affale sur le lit. Paul la dévore littéralement. Chaque partie de son corps est explorée par les lèvres de cet homme. Elle se cambre à chacun de ses baisers. Je m’approche du visage d’Elo, j’ai tellement envie qu’elle me suce. Elle aussi je crois. Elle s’applique à me sucer… C’est divinement bon. Je ferme les yeux. Je suis ailleurs. Tellement ailleurs que je ne comprends pas pour quelle raison Elo, alors qu’elle s’applique à me faire du bien, pousse un long et profond gémissement. J’ouvre les yeux, je me tourne vers Paul et vois qu’il a retiré le tanga d’Elo et a plongé la tête entre ses cuisses. Il la lèche tout en lui écartant délicatement les jambes. Sa fleur est toute ouverte face à cet inconnu qui semble savoir s’y prendre. Elo se cambre, gémit, souffle. Elle est en extase. Si bien qu’elle finit par oublier de me sucer et prend la tête de Paul pour la plaquer encore plus sur sa petite chatte rasée. Elle lève son bassin comme pour permettre à Paul d’introduire encore plus en profondeur sa langue. Je crois que dans mes fantasmes les plus dingues, je n’aurais espéré une telle chose. Elo gémit de plus en plus, son corps danse sur le lit au rythme des coups de langue de Paul. Elle bouge, bouge, encore et encore. Je la sens se crisper. Pas maintenant, pas aussi vite ? Il ne va quand même pas la faire jouir en si peu de temps ?

- Hooo oui, c’est bon Paul, j’aime ça. Chéri, il me fait jouir, je ne tiens pas. C’est bon, accélère. Hoo ouuiiiiii…

Cette dernière syllabe laisse place à un torrent de plaisir. Tout son corps convulse au rythme des derniers coups de langue. Je suis éberlué. Jamais, je ne l’ai fait jouir aussi vite. Aussi puissamment, sûrement, mais aussi vite, clairement non. Elle a joui. Je ne sais quoi dire. La seule chose que je sais, c’est que son excitation retombe toujours très vite après son orgasme. Comment va-t-elle réagir ? Est-ce qu’elle va être honteuse ? Comblée ? Clairement, on va vite le savoir.

Paul se relève délicatement tout en continuant de parcourir le corps de ma chérie avec ses mains. Il n’a pas cessé de garder le contact. Il la caresse tendrement, affectueusement même. Je trouve ça beau. Elo, toujours les yeux bandés, reprend ses esprits.

- Que c’était bon…. Merci à vous, les garçons. Des sensations incroyables…

- Tu es magnifique ma chérie. Quelle excitation de te voir comme ça.

- Oui, un vrai plaisir pour les yeux. Mais tu ne sais pas vraiment si c’est ton homme ou moi qui était entre tes cuisses….

Il faut croire que Paul a décidé de la taquiner jusqu’au bout.

- C’est vrai, j’ai eu des moments de doute…. Tout ça m’a transporté. Mais, par contre, quand vous allez me prendre tous les deux, je sentirais forcément la différence…

Quoi ? Moi qui croyais que nous avions atteint le nirvana… Elle en veut encore plus ? On avait souvent fantasmé une pénétration mais c’était vraiment la dernière barrière qui devait tomber. Et là, l’entendre dire ça, se dire que la dernière barrière va tomber dès notre première fois… Sans qu’on en parle tous les deux…

Je n’ai pas vraiment le temps de réfléchir à tout ça qu’Elo s’approche à nouveau de Paul. Je la vois le caresser d’une main mais me cherchant de l’autre. Je m’approche, me collant quasiment à notre hôte. On se dresse face à elle, fièrement. Ses mains parcourent nos cuisses, notre torse puis s’approchent irrémédiablement de nos sexes.

- J’ai envie de vous sucer, tous les deux en même temps.

Elle a vraiment décidé de tout commenter ce soir ? Elle a décidé de me rendre dingue ? Ou est-ce simplement un besoin d’extérioriser la situation, une sorte d’échappatoire ? Quoi qu’il en soit, elle approche ses lèvres de nos queues et les embrasse à tour de rôle. Elle les embrasse puis les lèche doucement pour enfin, les avaler l'une après l'autre. A chaque changement de sexe, nos têtes se crispent de plaisir. Elle sait y faire, c’est indéniable, ça je le savais. Mais le comportement de Paul me le confirme. Il se raidit à chaque fois que je vois sa queue disparaitre dans la bouche d’Elo. Elle sait clairement qui est qui. Sa queue est incomparable. La différence est notable mais j’ai encore en tête la demande d’Elo. Elle veut être prise….

Ce moment dure, pas plus de deux minutes et pourtant ça me paraît une éternité. Jusqu’au moment où les choses dérapent…. Mais vraiment. Je sens bien qu’Elo accélère ses caresses buccales, je vois bien qu’elle gémit à nouveau. Et lorsqu’elle me prend en bouche, elle me fait basculer en arrière. Je tombe sur le lit. Elle s’avance et prenant ma queue en main, elle décide de m’enfourcher. Sans le moindre mot, sans le moindre signe. Ma queue s’enfonçant en elle lui fait pousser un cri de plaisir. Elle sait que c’est moi. Je le sens. Elle monte, descend et s’empale sur ma queue dure. Elle oublie Paul. Enfin, je le crois. Je pose mes mains sur ses fesses, je la caresse. Paul se met derrière elle, il la colle. Je vois ses mains caresse les seins de ma chérie, sa tête s’enfouir dans son cou pour l’embrasser. Mais cette position est claire. Son sexe bien dur doit se balader dans le dos de ma femme, peut-être même sur la chute de ses reins. Je ferme les yeux, je me laisse porter par les mouvements d’Elo, elle gémit, elle prend son pied. Toujours les yeux clos, je sens Elo se pencher vers moi. Elle s’approche et m’embrasse langoureusement. Que c’est bon. Je continue mes va-et-viens. J’adore cette sensation. Sentir ses seins frôler mon torse, sentir sa langue se mêler à la mienne. J’ai l’impression que tout cela dure une éternité. Je ne prends même plus la peine de savoir où est Paul. Je suis aux anges.

Mes coups de rein sont lents, j’aime cette sensualité. On s’embrasse. Le cou, la joue, le front, la bouche. On se dévore. Puis, je sens Elo se raidir légèrement. Je la sens hésiter à bouger. Elle qui respirait si fort, deux secondes avant, elle est comme en apnée. Plus un bruit. Rien. Je ne bouge plus. Et toujours bouche contre bouche, je sens qu’elle pousse un profond gémissement tout en se cambrant. Cette sensation restera gravée à jamais dans mon esprit. Je sens, doucement, quelque chose toucher mon sexe. Au départ, je ne comprends pas… Puis, très vite, reprenant mes esprits, je réalise. Paul entre son énorme queue dans les fesses de ma chérie. Je ne l’ai même pas entendu mettre un préservatif, tellement mon plaisir est énorme. Une fine paroi nous séparant, je sens tout de même son énorme engin la pénétrer. Comment est-ce possible ? Elle qui n’a jamais voulu en entendre parler ?

- Hummmmmm, doucement, doucement, s’il vous plait…. Holala, c’est bon. Doucement… Avance toi. Je veux que tu me prennes comme ça mais doucement….

Entendant les paroles de ma chérie à moitié étouffées par ses gémissements mais aussi parce qu’elle essaie de continuer à m’embrasser, sentant le sexe énorme de Paul se frottant à ma queue malgré la fine paroi qui nous sépare, subissant cette excitation depuis bien trop longtemps, je tente quelques timides vas-et-viens mais finis par exploser en elle. Ne pouvant contenir l’ecxitation de cette scène, je jouis… De puissants jets jaillissent et inondent la chatte de ma femme. Je pousse un râle puissant, elle crie de plaisir et Paul…. Paul. Je le sens poser ses mains sur les hanches d’Elo et commencer des va-et-viens qui n’ont plus rien de doux en langoureux.

Elo crie, fort. Très fort. Je suis toujours en elle. Je sens cette fois les puissants mouvements de la queue de Paul. Je sens surtout les seins de ma chérie se balancer d’avant en arrière à chacun des coups de rein de Paul. Enfin, je ressens les gémissements de plaisir de ma chérie alors qu’elle cherche désespérément à m’embrasser. Je n’ai pas d’autres mots mais à ce moment précis, je réalise que ma chérie à une queue molle dans sa chatte et l’énorme queue d’un inconnu dans son cul. Et elle aime ça. A ce moment précis donc, je me dis que ma femme est une salope. Qu’elle aime ça, qu’elle assume pour notre plus grand plaisir.

Ses seins balancent, j’ouvre les yeux et le spectacle est hallucinant. Son doux visage est non seulement rouge comme une tomate mais surtout il est déformé de plaisir. Je vois Elo, sur moi, se crisper, fermer les poings en agrippant tout ce qu’elle peut agripper. Je vois ses seins bouger, son cul bouger et entrepris par Paul qui coule de sueur. Il la baise. Véritablement. Je le vois. Mais surtout, je le sens. Sentir ses mouvements de queue dans ma chérie me redonne rapidement de la vigueur. Je bande, à nouveau. Elo le sent.

- Ton cul est magnifique. J’aime le prendre comme ça. C’est bon.

- Ho oui Paul, baise moi, enfonce-toi. Ta queue est énorme. C’est tellement gros… Mais c’est tellement bon.. Hooo oui, chéri, je te sens. Vas-y. Allez-y, baisez-moi. Faites-moi jouir.

Elle est, cette fois-ci, définitivement entreprise par deux hommes. Elle se sent pleine. Elle se sent désirée. Elle aime nous exciter. Elle aime nous entendre gémir. Elle aime ce qu’elle est. Une femme qui assume aimer baiser, juste pour le plaisir. Et peut-être juste pour cette fois.

Nous accélérons nos va-et-viens, en rythme. Et à chaque mouvement. Elo se rapproche de l’orgasme. Si elle jouit, je jouis…. Paul accélère, de plus en plus fort, vraiment. Sa main droite prenant une fesse de ma chérie et l’autre lui mettant de toutes petites tapes…. C’est bon. Je prends les seins d’Elo en bouche bien qu’ils bougent dans tous les sens. Je les mords, elle se tord de plaisir mais aussi de douleur. Paul se lâche…

- Putain, je vais jouir dans le cul de ta femme, c’est trop bon, vous êtes magiques tous les deux. Hoo oui, je tiens plus, je jouis….

Et sur ces paroles, je sens le sexe de Paul se contracter. Je le sens se raidir mais je sens Elo partir dans un tourbillon de plaisir

- Paul, hooo Paul, c’est bon, tu me fais jouir…… Haaaa, encore, enfonce-toi…. Oui, je jouis, ta queue. Elle est énorme….

Elo contracte son vagin de plaisir, serre tellement fort ma queue, que moi aussi, dans ce tourbillon d’extase, je jouis pour la 2ème fois en moins de vingt minutes.

De longs spasmes parcourent nos corps, à tous les trois…. De longs râles de plaisir les accompagnent. De longs soupirs aussi.

On s’effondre, en même temps, sur le lit. Elo, nue, entre deux hommes, épuisés. Un sentiment de plénitude inonde la pièce. Nous sommes las… repus comme après on bon repas. Elo se tourne vers Paul et l’embrasse tendrement sur la joue. Elle se tourne vers moi et m’embrasse tendrement sur la bouche. Elle retire son étole, attend que ses yeux s’habituent à la petite lueur émise par la lampe de la chambre. Elle lève les yeux au plafond et finit par dire « on recommence quand ? » tout en éclatant de rire.

Le lendemain, nous avons quitté notre hôte comme prévu. Nous nous sommes promis de garder le contact. Mais en fait, personne n’a jamais osé rappeler l’autre. Comme si cette nuit-là devait rester unique. Nous n’avons jamais eu de ses nouvelles. Peut-être aurions-nous dû le recontacter ? Le seul message aura été un sms nous demandant si nous avions fait bonne route et aussi pour nous remercier pour cette nuit inoubliable et la chance qu’il avait eu de pouvoir partager tout cela avec nous.

Cette première fois aura été magique ? Du début à la fin. Nous en parlons souvent. On ne regrette absolument rien, bien au contraire. Chaque moment que l’on se remémore finit toujours par nous exciter. Nous n’avons jamais recommencé depuis. Cette soirée-là nous transporte à chaque fois qu’on y pense et peut-être vaut-il mieux que cette nuit reste unique…. Qui sait ? Quoi s’il en soit. Nous sommes encore plus amoureux qu’auparavant, fiers d’avoir réalisé notre fantasme. Notre couple en est sorti grandi.

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