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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Bardoine
#2808242
Bonsoir,

Je viens de commencer à écrire nos débuts dans le candaulisme.
Je ne dis pas que ça colle à 100 % à la façon dont les choses se sont déroulées, mais il me semble que je suis fidèle à l'histoire à défaut de l'être à monsieur.

Si ça vous intéresse dites le moi et je poursuivrai l'écriture de cette histoire.
Je prends vos remarques et commentaires si besoin.

Bonne nuit et merci 8-)

Madame Bardoine
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par Bardoine
#2808243
Antoine et moi avons grandi dans des familles traditionalistes, où la sexualité était un sujet tabou. Antoine n'était pas très porté sur ces questions, et pour moi, ce n'est qu'à l'approche du mariage que j'ai commencé à me préparer à notre première nuit. J'avais une amie qui n'avait pas attendu le mariage, et c'est vers elle que je me suis tournée pour mon éducation sexuelle. J'avais quelques complexes sur mon physique, mais elle m'a aidée à les surmonter.

Le soir de notre mariage, Antoine et moi étions tous deux un peu embarrassés, seuls dans notre lit pour la première fois. Visiblement, Antoine n'avait demandé conseil à personne, et il aurait peut-être dû… Je vous rassure, Antoine s'est beaucoup amélioré. Nous avions une arme secrète pour progresser : la discussion. En apprenant à connaître les attentes de l'autre, nous avons fini par avoir une vie sexuelle épanouie après deux ou trois ans.

Après trois ans, Antoine a découvert la stimulation clitoridienne et je lui avais clairement fait comprendre que s’il voulait me pénétrer il devait au préalable me donner un orgasme clitoridien. Je voyais bien que ça le dérangeait mais bon ses “stimulations vaginales” n’étaient pas encore à la hauteur. Elles ne le sont jamais devenues d’ailleurs …

Un 21 juin, pour notre anniversaire de mariage, Antoine décidait de m’offrir un womanizer. J’étais sceptique. Et pourtant! Premier jour d’essai et je l’adoptais. Antoine était content que ça me plaise, mais il lâcha un petit “voilà t’as plus besoin de moi”. Sur le coup on a continué notre petit rapport. Mais cette phrase a fait l’effet d’une bombe dans ma tête. Effectivement, je pouvais m’envoyer en l’air sans Antoine. Du moins théoriquement.

Les mois qui suivirent j’étais traversée par un problème moral, devais-je, pouvais-je utiliser ce womanizer sans mon mari? Etais-je infidèle si je le faisais? Et où commence l’infidélité, ou plutôt où se termine l’exclusivité sexuelle du couple? Et que dirais-je si Antoine utilisait une vaginette? Je réfléchissais et je ne voyais pas de solution. Dans ce cas, la meilleure chose à faire c’est d’en parler à son conjoint. Un soir je pris mon courage à deux mains, et je décidais de lui poser ces mêmes questions que je te pose lecteur.
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par Erik74910
#2808287
Bonjour, il n'y a pas tromperie, il y a non-dit... c'est peut-être pire... vous avez raison, il faut parler, peut-être lui raconter les moments d'utilisation, peut-être lui faire un "démo" ... des peut-être il y en a tant à tenter...
Profitez et ne soyez pas sage... :x :x :x
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par Routard
#2808289
Se faire du bien avec un womanizer qui plus est offert avec amour par le mari n'a rien d'une tromperie/infidélité, bien au contraire. C'est même une façon de l'honorer. Perso j'adore que ma femme se fasse du bien (et je lui ai acheté plusieurs toys), cela m'excite beaucoup... mais je sais aussi qu'elle ne peut vraiment se laisser aller que seule.
Chaque femme a droit à son jardin secret, chaque homme aussi. Si ton homme se paye une petite branlette, c'est pareil.
C'est bon, c'est sain et cela ne fait de mal à personne.
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par Bardoine
#2809526
Merci pour vos réponses et like.

@Michel3132 : Effectivement, a posteriori je pense que c'est pour ça que j'ai épousée Antoine, pour qu'il m'amène l'apéro quand je suis en charmante compagnie

@Routard : pas de tromperie certes mais en tout cas une petit infidélité :cuck:

@Erik74910 : 0=)
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par Bardoine
#2809527
voici la suite :

J’avais la chance d’avoir des horaires de travail différentes de celles d’Antoine. Antoine partait tôt le matin, moi je travaillais à mi-temps uniquement l’après-midi. Et il m’arrivait de me recoucher une fois Antoine parti. Petit à petit un rituel s’est installé, je me recouchais avec mon womanizer et si l’envie me prenait je l’utilisais. Parfois je pensais à Antoine, parfois je me concentrais intensément sur mon plaisir et parfois je pensais à quelques beaux acteurs ou sportifs que j’appréciais.

Après quelques utilisations celui-ci se déchargeait et donc je le rechargeais, et un jour ce qui devait arriver, arriva. Antoine rentra à la maison et trouva le womaniser en train de charger et compris de lui-même mes “petites” infidélités.

Alors on a parlé. Antoine me confia être un peu vexé, j’avais honte, et en même temps, comment revenir en arrière? Je ne pourrais plus me passer de ces petits moments de douceurs matinales. J’ai fait front, sorti mes arguments féministes, mon corps est à moi et j’en fais ce que je veux, et si je veux plus alors j’essaierai plus. Antoine avait l’air ému mais il accepta quand même. Après tout on est au 21ème siècle, “mon corps m’appartient”.

Quelques semaines après, Antoine m’offrit mon nouveau copain: Brad. Un magnifique dildo de 20 cm. Je ne m’étais jamais amusée à mesurer le sexe d’Antoine, mais il y avait une vraie différence. Deux choses me choquaient chez Brad: sa taille et sa couleur. Brad n’était pas seulement large il était épais, il repoussait les bords de ma chatte bien plus que ce qu’Antoine le faisait. Honnêtement ce n’était pas forcément mieux, simplement différent. Mais ce qui me choquait le plus c’était la couleur. Noire! Antoine remarqua cela et devança ma question: “comme ça tu pourras penser qu’un autre que moi te pénètre, si tu le fais sans moi, autant être honnête ma chéri”. Et il ajouta un clin d’oeil. Je mourrais d’envie de vite l’utiliser mais par courtoisie je décidais d’attendre mon cher et tendre.

On utilisa Brad dans nos ébats et je l’utilisais parfois seule avec ou sans mon womanizer. Et à partir de ce moment, j'ai commencé à regarder des films pour adultes. Rien de bien méchant, j’essayais de trouver du porno doux, et de jouer en même temps avec mes amis artificiels les scènes du film. Il y eut même quelquefois où je suçais Brad, parce qu’à cet instant du film l’actrice faisait de même et ça m’excitait. J’avais de plus en plus envie d’essayer pour de vrai avec un autre homme, mais je n’osais pas en parler à Antoine. Certes mon corps est à moi, mais le couple c’est aussi un engagement réciproque.
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par sergio
#2809546
J'aime beaucoup connaitre les débuts des jeux candaulistes dans les couples.
Merci Mme Bardoine de nous relater les vôtres.
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par Bardoine
#2821158
Mon chéri, je l’appelle encore mon chéri :P , aimait jouer avec le womanizer et Brad, il arriva même qu’il me masturba sans même demander son reste. Pour rigoler on appelait ça des demi rapports… Pour moi ce petit jeu avait un petit air de cocufiage. Antoine acceptait que je n’avais pas besoin de lui pour m’éclater et ce constat m’excitait grave…

Mon fantasme, cocufier Antoine, grandissait. Et le carburant pour l’alimenter allait arriver. Depuis quelques années j’étais trésorière dans une association de randonneurs bourguignonne. Cette association était prétexte à quelques balades, quelques sorties gastronomiques, mais le public n’était pas le plus sexy. Lors d’une randonnée j’eus la chance de faire la connaissance d’un bel homme: 37 ans, grand, épaules de nageurs et sourire colgate. Bref tout ce qui fait craquer la future quarantenaire que je suis.

Alors les complexes que j’avais ressurgirent. Je suis ce qu’on appelle une femme ronde. 1m60 pour 85 kg. Heureusement la nature m’a gratifié d’une jolie poitrine. Si je mets un décolleté, presque tous les hommes regardent… Faut dire qu'un 105 E ça ne se rate pas.

Alsacienne de naissance, ma peau blanche brillait sous le soleil de cette fin de journée de randonnée. Je sentais les regards furtifs de cet homme se poser sur moi; mes fesses et ma poitrine, ce qui raviva une ardeur que j’avais presque oubliée. Son nom était Julien, un prénom classique mais qui, dans sa bouche, prenait une connotation presque exotique. Il s’intéressa rapidement à moi, me posant des questions sur l’association, nos activités, mais je sentais que ses yeux étaient attirés par autre chose que mes paroles.

Nous avons marché côte à côte pendant une bonne partie de la randonnée, discutant de tout et de rien, mais l’attraction était palpable. À chaque fois que je me penchais pour ramasser quelque chose ou que je passais devant lui sur un sentier plus étroit, je pouvais presque sentir ses yeux sur moi. Cela me donnait un frisson délicieux, un mélange de honte et d’excitation.

À la fin de la journée, alors que nous revenions tous au point de départ, Julien me proposa de prendre un verre avec lui. J’hésitai un instant, pensant à Antoine, mais cette hésitation fut rapidement balayée par l'envie de tester les limites de ce nouveau jeu qui s'offrait à moi. Après tout, il ne s’agissait que d’un verre, n’est-ce pas ?

Nous nous installâmes à une terrasse, profitant de la douce chaleur de l’été. La conversation continua, mais cette fois, l’air était chargé de sous-entendus. À chaque échange de regards, je sentais une tension monter en moi. Julien n’avait rien de pressant ou de lourd, au contraire, il était doux, charmant, et son sourire me faisait fondre.

Au fil des verres, je me laissai aller à quelques confidences. Je lui parlai de ma vie, de mes doutes, de mes désirs. Lui, de son côté, me raconta qu’il était célibataire, aimant profiter de la vie sans se poser trop de questions. Ses paroles résonnaient en moi, faisant écho à ce que je ressentais depuis quelque temps déjà.

Puis, sans vraiment savoir comment, la conversation dériva vers des sujets plus intimes. Julien, avec une assurance tranquille, me complimenta sur ma féminité, sur ma beauté, m’avouant que depuis le début de la journée, il ne pouvait détacher ses yeux de moi. Mes joues s’empourprèrent, mais je ne détournai pas le regard. Au contraire, je plongeai dans ses yeux, et ce fut à ce moment que je sus que j’allais franchir un pas de plus dans ce jeu dangereux.

Nous décidâmes de quitter la terrasse. La soirée était douce, la lune pleine éclairait notre chemin. Nous marchions côte à côte, et l’électricité entre nous était palpable. À un moment donné, Julien s’arrêta, me regarda droit dans les yeux et, sans un mot, se pencha pour m’embrasser. Un baiser tendre, d’abord, puis plus pressant, plus exigeant.

Je me laissai faire, mon corps réagissant avant même que mon esprit ait pris une décision. Ce baiser, je l’avais désiré depuis le moment où je l’avais vu. Mes mains glissèrent dans son dos, le rapprochant encore de moi. La passion qui nous animait était dévorante, et je sentais que ce moment marquait un tournant. Je savais que si je continuais, il n’y aurait plus de retour en arrière possible.

Mais, au fond, était-ce vraiment ce que je voulais ? Peut-être que ce fantasme n’était pas simplement un jeu, mais une réalité que j’étais prête à embrasser.
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par Dionysos06
#2821181
@Bardoine je découvre ce fil et je le trouve très intéressant et bien écrit qui plus est. Toujours très instructif de connaître les débuts d'une aventure et d'une histoire, de savoir comment les éléments du puzzle se mettent en place. Et la perspective féminine apporte un indéniable plus, notamment par sa rareté. À suivre bien évidemment.
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par Monsieur
#2821210
Vivement la suite !
Et ne culpabilise pas @Bardoine , ton mari malgré son éducation tradi a su laisser éclore ses envies candaulistes, tout comme toi tes envies de cocufiage.
Vous vous êtes bien trouvés et tu es au bon endroit pour évoquer tout ça devant un public friand et conquis!
Bardoine, michpat a liké
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par Bardoine
#2821365
Mise au point avec Antoine

Ce soir-là, après avoir quitté Julien avec des adieux qui n'avaient rien de définitif, je rentrai chez moi, le cœur battant encore sous l'effet de cette rencontre. Les pensées tourbillonnaient dans ma tête, mélangeant l'excitation du nouveau et la culpabilité naissante. Antoine m'attendait dans le salon, assis sur le canapé, un livre à la main. Quand il leva les yeux vers moi, il sourit, ce sourire que j'aime tant, celui qui traduit une confiance et une sérénité que j’allais bientôt éprouver.

Je pris une profonde inspiration et m'assis à côté de lui. Il remarqua immédiatement mon trouble.

« Ça va ? Tu as l'air préoccupée, » dit-il en posant sa main sur la mienne.
Je le regardai dans les yeux, cherchant le courage de dire ce qui brûlait en moi. « Antoine… il faut que je te parle de quelque chose. C’est important. »

Il referma son livre et se tourna complètement vers moi, son visage exprimant maintenant une légère inquiétude. « Je t’écoute, qu’est-ce qui te tracasse ? »

Je baissai les yeux un instant, rassemblant mes pensées. « Tu sais, ces derniers temps, avec le womanizer, Brad… toutes ces choses qu’on a partagées… j’ai réalisé quelque chose sur moi-même. » Je marquais une pause, cherchant les mots justes. « Ça m’a fait comprendre que j’ai des désirs… des envies qui vont peut-être au-delà de ce qu’on a exploré jusqu’à présent. »

Antoine fronça légèrement les sourcils, mais ne dit rien, me laissant continuer.
« Lors de la dernière randonnée avec l’association, j’ai rencontré quelqu’un… un homme qui m’a beaucoup troublée. On a discuté, on s’est rapprochés… et je me suis rendue compte que j’avais envie de quelque chose de plus. Quelque chose que je ne peux pas avoir seulement avec toi. »

Il resta silencieux, ses yeux cherchant à comprendre où je voulais en venir. Je sentais mon cœur battre à tout rompre.

« Cet homme, Julien, m’attire énormément. Et ce n’est pas juste une attirance physique… j’ai envie d’explorer ça, d’aller plus loin avec lui. Pas parce que je t’aime moins, mais parce que c’est un besoin que je ressens. » Je marquai une nouvelle pause, scrutant son visage pour y déceler une réaction.

Antoine resta un moment silencieux, digérant mes paroles. Puis, doucement, il prit une grande inspiration et parla d'une voix calme.
« Tu es en train de me dire que tu voudrais coucher avec lui ? Que tu voudrais… vivre cette expérience, avec mon accord ? »

Je hochai la tête, incapable de parler. Les mots semblaient trop lourds pour franchir mes lèvres, mais l'essentiel était dit.

« Et qu’est-ce que ça signifie pour nous ? » demanda-t-il, toujours avec cette même douceur dans la voix, mais je pouvais percevoir la tension sous-jacente.
« Pour nous… je ne sais pas exactement. Ce que je sais, c’est que je t’aime, Antoine. Rien ne pourra changer ça. Mais j’ai aussi ces envies, et je ne veux pas te mentir ou te cacher des choses. Je veux être honnête avec toi, comme on l’a toujours été. Je veux que tu saches ce qui se passe dans ma tête, et je veux qu’on décide ensemble de ce qu’on fait. »

Antoine resta silencieux un moment, son regard se perdant dans le vide. Je savais que je venais de lâcher une bombe et qu’il lui fallait du temps pour assimiler tout cela. Puis, il tourna à nouveau ses yeux vers moi, un mélange de douleur et de compréhension dans son regard.

« C’est beaucoup à encaisser, » dit-il finalement. « Mais… je te connais, et je sais que si tu m’en parles, c’est que c’est important pour toi. » Il prit une autre profonde inspiration. « Je vais avoir besoin de temps pour réfléchir à tout ça. Pour comprendre ce que ça signifie pour nous. Mais… je t’aime, et je veux qu’on reste unis, quoi qu’il arrive. »

Je sentis mes yeux s'embuer. C’était exactement la réaction que j’avais espérée et redoutée à la fois. Je me penchai pour l’embrasser, un baiser doux, plein de gratitude.
« Merci, Antoine. Merci de m’écouter, de ne pas me rejeter. Je ne veux rien te cacher, et je veux qu’on trouve ensemble une manière de vivre avec ces désirs, que ce soit avec ou sans Julien. »

Il me serra contre lui, et je me laissai aller dans ses bras, un mélange de soulagement et de peur dans le cœur. Le chemin que nous étions sur le point d’emprunter était incertain, mais je savais que tant que nous le parcourions ensemble, tout serait possible.

Ce soir-là nous avons joué avec Brad, mon womanizer mais l'avons renommé Julien ...
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par Bardoine
#2821367
Le jour de la rencontre avec Julien approchait, et l'excitation montait en moi à mesure que les heures passaient. Antoine et moi avions longuement discuté de la manière dont les choses pourraient se dérouler, et bien que l'incertitude planait encore sur ce que nous étions sur le point de vivre, nous étions tous les deux prêts à explorer ce nouveau terrain.

Ce soir-là, je choisis ma tenue avec soin. Une mini-jupe en jean qui mettait en valeur mes courbes, et un débardeur blanc ajusté avec un décolleté plongeant qui soulignait ma poitrine. J’aimais l’effet que cela produisait, la manière dont le tissu épousait mon corps, le contraste entre la simplicité de la tenue et la sensualité qu’elle dégageait. Un coup d'œil dans le miroir me confirma que j’étais prête, non seulement pour Julien, mais aussi pour Antoine, qui serait témoin de tout ce qui allait se passer.

Lorsque Julien arriva, Antoine l’accueillit avec un sourire chaleureux, masquant habilement toute trace de nervosité. Julien, lui, semblait détendu, comme s’il ne soupçonnait pas encore la nature exacte de cette soirée. Nous nous installâmes tous les trois dans le salon, un verre de vin à la main, la conversation fluide, comme si de rien n’était. Mais l’atmosphère était chargée d’une tension électrique que tous les mots ne pouvaient dissiper.
Je me rapprochai de Julien, laissant ma main effleurer la sienne de temps en temps, le regardant droit dans les yeux, un sourire complice aux lèvres. Antoine, assis en face de nous, observait sans un mot, son regard passant de moi à Julien avec une curiosité contenue. Il n’y avait pas d’animosité, juste une attente silencieuse.

À un moment donné, je me levai pour me rapprocher encore davantage de Julien, m’installant à ses côtés sur le canapé. Nous échangions des banalités, mais mes gestes parlaient d’eux-mêmes. Ma main effleurait doucement son bras, puis son genou, tandis que je sentais son regard glisser de mon visage à mon décolleté, incapable de se détacher de moi.

Antoine, comme convenu, se leva et vint se placer derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes épaules, les massant doucement. Le contact de ses doigts sur ma peau déclencha un frisson qui parcourut tout mon corps, amplifiant encore l’intensité du moment. Julien observait la scène, son regard intrigué par cette dynamique inhabituelle. Je sentais sa respiration s’accélérer légèrement, son corps se tendre sous la pression de ce qui se jouait entre nous.

« Tu es tendue, ma chérie, » murmura Antoine à mon oreille, assez fort pour que Julien l’entende. Ses mains continuaient leur massage, glissant le long de mes bras, puis remontant vers mon cou, ajoutant à la sensualité de la situation.

Je me tournai légèrement vers Julien, mes genoux frôlant les siens. Nos visages n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, et je pouvais presque sentir l’air vibrer entre nous. Julien, pris entre l’excitation et la surprise, ne bougeait pas, attendant de voir ce que je ferais.
Je laissai mes doigts effleurer son visage, traçant une ligne invisible de sa joue jusqu’à son menton, avant de murmurer, « Tu as envie de moi, Julien ? »
Il ne répondit pas tout de suite, mais son regard, intense et brûlant, me donnait la réponse sans besoin de mots. Antoine, toujours derrière moi, intensifia son massage, ses mains glissant de plus en plus bas, frôlant mes épaules nues, me poussant doucement à aller plus loin.

Je me penchai alors légèrement en avant, pressant ma poitrine contre le torse de Julien, mon souffle se mêlant au sien. « Qu’est-ce que tu attends ? » chuchotai-je, un sourire coquin aux lèvres.

Julien, comme s'il avait attendu ce moment depuis le début, glissa une main sur ma hanche, l'attirant vers lui avec une délicatesse mêlée d'une envie palpable. Antoine restait derrière, une figure silencieuse et rassurante, son regard observant chacun de nos mouvements, comme un metteur en scène contemplant sa création. Je me laissai aller, m’abandonnant à ce triangle de désirs qui nous liait tous les trois.

La soirée ne faisait que commencer, et déjà, je pouvais sentir que nous étions sur le point de franchir ensemble une frontière, une limite que nous avions décidé d'explorer, main dans la main, regard dans le regard.
Alors qu'Antoine continuait de masser mes épaules, Julien se rapprocha davantage, son regard brûlant ancré dans le mien. Il semblait hésiter un instant, mais l’envie était trop forte. D'un geste presque instinctif, il prit mon visage entre ses mains et m'embrassa passionnément. Ce baiser avait une intensité que je n'avais pas ressentie depuis longtemps, une urgence mêlée de désir pur. Je répondis avec la même ferveur, mes mains se glissant dans ses cheveux, puis descendant le long de son dos, savourant chaque contact.

Julien se redressa légèrement pour retirer son tee-shirt, révélant un torse sculpté, ses muscles se tendant sous sa peau hâlée. Mon regard parcourut son corps, admirant chaque détail avant de laisser mes mains suivre le même chemin. Je sentais la chaleur monter en moi, alimentée par la proximité de nos corps et la sensation des mains d’Antoine, toujours sur mes épaules, offrant un contraste délicieux entre la douceur de ses caresses et l’intensité du moment.

Je ne pouvais plus attendre. D’un geste fluide, j’attrapai le bas de mon débardeur et le retirai, révélant ma poitrine à Julien, qui laissa échapper un souffle de désir en voyant mon corps se dévoiler. Sans rompre le contact visuel, je glissai mes mains sur le bouton de son jean, le dégrafant lentement avant de faire glisser le tissu le long de ses hanches, découvrant un boxer qui peinait à dissimuler son excitation.
Julien, en retour, posa ses mains sur mes hanches, tirant doucement sur ma mini-jupe, qui rejoignit bientôt son jean sur le sol. Nous étions là, tous les deux, presque nus, nos corps brûlants l’un contre l’autre, tandis qu'Antoine, toujours derrière moi, poursuivait son massage, ses mains glissant maintenant sur mon dos, apportant une sensation de confort dans ce tourbillon de sensations nouvelles.

Je laissai mes mains redescendre sur le bas-ventre de Julien, caressant la ligne ferme de ses abdominaux avant de déposer un baiser sur son torse. Sa peau était chaude sous mes lèvres, et je pouvais sentir son souffle s'accélérer à chaque contact. Mes doigts continuaient de tracer des lignes invisibles sur son corps, explorant chaque centimètre, tandis que mes lèvres suivaient, embrassant son torse avec une lenteur calculée, savourant chaque instant.
Julien poussa un léger gémissement lorsque je pressai mes lèvres sur sa poitrine, mes mains jouant avec l’élastique de son boxer. Antoine, toujours derrière moi, n’avait pas cessé ses caresses, mais il me laissait clairement prendre les rênes de ce moment, me soutenant par sa simple présence, m’encourageant à aller plus loin, à explorer ce que je désirais tant.
Le monde autour de nous semblait disparaître, réduisant notre univers à ce triangle de désir partagé. Je pouvais sentir chaque battement de cœur, chaque souffle, chaque frisson qui traversait nos corps, et je savais que cette expérience, cette connexion, allait nous marquer tous les trois d'une manière profonde et inoubliable.

Alors que je continuais d’embrasser le torse de Julien, mes mains descendirent encore, caressant doucement la peau au-dessus de son boxer, jouant avec l’idée de franchir cette dernière barrière de tissu. Antoine, toujours attentif, accompagna mes gestes en massant délicatement mon dos, créant une harmonie parfaite entre nous, une danse silencieuse de désirs partagés.
Julien se rapprocha de moi, et alors que je me laissais aller dans ses bras, je sentis la chaleur de son corps contre le mien. Ses mains caressèrent mes hanches, et il s’ajusta pour se positionner entre mes jambes. En un instant, je pouvais sentir sa virilité, large et allongée, se presser contre moi. Le contraste entre la taille de son sexe et la délicatesse de ses gestes m’envoya un frisson de désir. Julien prit son temps, entrant en moi lentement, chaque centimètre de son sexe étirant mes sensations, remplissant chaque recoin de mon corps d’un plaisir presque écrasant.

Le moment était intense, chaque mouvement de Julien semblait calculé pour me donner le maximum de plaisir. Je pouvais sentir la puissance et la largeur de son sexe en moi, chaque poussée réveillant en moi des sensations que je n’avais pas ressenties depuis longtemps, peut-être même jamais avec cette intensité. Julien maîtrisait son rythme, alternant entre des coups profonds et des mouvements lents, me faisant languir à chaque seconde.
Antoine, toujours derrière moi, n’avait pas cessé de me masser, mais ses mains s’étaient faites plus douces, presque contemplatives. Il observait la scène avec une fascination mêlée de sentiment de réalité qui le percutait de plein fouet. Voir sa femme prise par un autre homme, voir Julien me donner ce plaisir intense qu'il savait qu'il ne pouvait pas égaler, le plongeait dans un mélange complexe d’émotions. Il était satisfait pour moi, heureux de me voir atteindre cet état de jouissance, mais en même temps, il ne pouvait ignorer la réalité qui se dressait devant lui : Julien, avec son sexe large et puissant, était capable de me procurer un plaisir physique qu'Antoine, malgré tout son amour et son dévouement, ne pouvait offrir de la même manière.

Ce sentiment de rivalité se transformait en une forme d’acceptation, un étrange mélange de résignation et de compréhension. Il voyait dans les mouvements de mon corps, dans les gémissements que j’émettais à chaque poussée de Julien, que je m’abandonnais complètement au plaisir. Et même si cela lui rappelait ses propres limites, il se sentait fier, d’une certaine manière, d’avoir permis ce moment, d’avoir ouvert cette porte à une exploration si profonde de mon désir.

Alors que Julien accélérait le rythme, son souffle devenait plus court, plus urgent. Je pouvais sentir ses mains se resserrer sur mes hanches, son corps se tendre alors qu'il approchait de son propre point de non-retour. Chaque coup de reins était plus intense que le précédent, et je pouvais sentir une tension croissante en lui, un besoin irrépressible de se libérer.

J'aimais qu'il me pilonne.

Antoine, conscient de ce qui se passait, accentua son massage sur mon clitoris, apportant une dernière vague de plaisir qui me submergea. Julien, sentant mon corps se contracter autour de lui, ne put plus se retenir. Avec un grognement profond, il se laissa aller, poussant une dernière fois en moi avec force, son sexe large et allongé pulsant alors qu’il éjaculait, déversant toute sa douce chaleur en moi.

Je sentis chaque pulsation, chaque vague de chaleur qui m'envahissait, et je me laissai aller, m'abandonnant totalement à cette sensation de plénitude, tandis que Julien s'effondrait doucement contre moi, son souffle lourd dans mon cou. Antoine, toujours derrière nous, posa doucement ses mains sur mes épaules, m'offrant un dernier réconfort alors que la tension de ce moment commençait à retomber, laissant place à une sérénité douce et envahissante.

A suivre ...
systros, Danimendu, Monsieur et 18 autres a liké
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par Dionysos06
#2821373
@Bardoine très beaux récits, chargés de toutes vos émotions, de toutes vos interrogations, de tous vis doutes, de tous vos désirs. Jusqu'à cette folle jouissance que t'a procurée Julien...sous les yeux d'Antoine.
J'ai beaucoup apprécié la façon dont tu dépeins ses émotions, ses réactions, son cheminement. Tout en finesse et avec infiniment d'amour pour lui. Tu ne tires pas la couverture à toi, tu l'associes à tes plaisirs. Un travail de couple particulièrement beau et tendre aussi.
J'imagine sans peine toutes les émotions contradictoires qui ont parcourues et même tourmentées ton homme. Son acceptation qu'il ne pourra jamais te procurer cette jouissance sexuelle totale à dû constituer un moment très cruel pour lui (comme pour tout homme). Qu'il l'accepte par amour pour toi en dit long sur la force de son amour.
Un petit bémol pour finir. Je trouve que tu n'as pas suffisamment parlé du moment où Antoine dit oui et où vous décidez d'accueillir Julien chez vous en sachant, évidemment, ce qui va se passer.
Hâte de connaître la suite.
michpat, Bardoine, Himeros79 et 1 autres a liké
par Himeros79
#2821682
@Bardoine merci pour ce texte d'une rare qualité. Tu décris tellement bien vos émotions. On dirait que tout le monde a trouver sa place et dès la première rencontre. Tout les 3, vous allez pouvoir explorer ce monde qui nous excite tous ici.
Vivement les prochaines rencontres pour que tu puisses nous les faire vivre avec autant de passion.
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par Bardoine
#2823801
Et voilà la suite:

Julien était grand, athlétique, ses épaules de nageur et son torse sculpté faisaient de lui un homme à la présence imposante. Ses cheveux châtains légèrement ébouriffés et son sourire éclatant lui donnaient une allure presque irréelle, comme sorti d’un rêve ou d’un fantasme. Moi, à côté de lui, je pouvais sentir le contraste. Avec mes courbes généreuses, 1m60 pour 85 kg, une poitrine pleine et fièrement mise en valeur par un décolleté plongeant, j’incarnais une féminité pulpeuse, celle qui attire les regards et attise les désirs. Mon corps, bien qu'enveloppé, dégageait une sensualité naturelle, et je pouvais voir l'excitation dans les yeux de Julien chaque fois qu'il posait le regard sur moi. Quant à Antoine, avec sa bedaine qui trahissait une vie plus sédentaire, il représentait une figure plus ordinaire, moins impressionnante physiquement, mais d'une présence rassurante et d'une affection constante.

Alors que la soirée touchait à sa fin, Julien se rhabilla lentement, nos corps encore brûlants du plaisir partagé. Il s'approcha de moi pour un dernier baiser, tendre mais empreint de cette passion que nous venions de vivre. Nos lèvres se rencontrèrent avec l'urgence des jeunes amoureux, ce baiser avait le goût d'une promesse, celle de quelque chose qui pourrait revenir, qui pourrait se prolonger au-delà de cette nuit. Antoine, observant la scène, resta en retrait, respectant ce moment, même s'il ne pouvait s'empêcher de ressentir un pincement au cœur.

Quand Julien quitta l'appartement, un au revoir chaleureux s’échangea entre nous trois, mais c'était à moi qu'il réserva un dernier regard intense, comme pour graver ce moment dans sa mémoire. Dès que la porte se ferma derrière lui, une nouvelle vague de désir s'empara de moi. Je me tournai vers Antoine, mon mari, et l'embrassai goulument, avec une passion ravivée par ce que nous venions de vivre. Mes mains s'accrochèrent à lui, pressant mon corps contre le sien, et sans attendre une réponse, je lui murmurai à l'oreille, « Nettoie-moi, Antoine. Nettoie-moi du sperme de Julien. »

Antoine, un peu surpris mais docile, obéit sans un mot, son regard trahissant un mélange de soumission et de désir de me plaire. Il descendit lentement, ses lèvres et sa langue parcourant ma peau, effaçant les traces du passage de Julien, accomplissant ce rituel presque symbolique. Je le regardai avec une nouvelle lueur dans les yeux, une forme de domination tranquille s'était installée en moi. Je ressentais un pouvoir nouveau, un sentiment d’émancipation que je n’avais jamais connu auparavant.

Une fois ce moment intime passé, nous nous retrouvâmes allongés sur le lit, nos corps encore entremêlés. Je pris la parole la première, consciente de la dynamique qui avait changé entre nous. « Antoine, ce soir, j’ai compris quelque chose. Je me sens libre, plus que jamais. Libre de mes désirs, libre de ma sexualité. J’ai aimé ce que Julien m’a fait, et je sais que tu l’as vu. Je ne me sens plus en dessous de toi, ni de qui que ce soit d’ailleurs. Je suis au-dessus, non pas par arrogance, mais parce que j’ai enfin pris le contrôle de ma vie, de mon corps. »

Antoine m'écoutait, ses yeux fixés sur moi, absorbant chaque mot. Il hocha lentement la tête, acceptant ce que je disais, conscient qu'il avait, ce soir, ouvert une boîte de Pandore qu'il ne pourrait jamais refermer. « Je comprends, » murmura-t-il. « J’ai vu à quel point cela t’a fait du bien, et je ne veux pas t’en priver. Mais je dois admettre que c’est difficile pour moi, de te voir comme ça, de te voir te détacher de moi, du moins dans ce domaine. »
Je posai ma main sur la sienne, la pressant doucement. « Antoine, tu dois m’aimer comme je suis maintenant, une femme libre, sans contraintes. Mais sache une chose : je ne tolérerai pas l’infidélité de ta part. Je suis libre de mes choix, mais cela ne veut pas dire que tu l’es de tromper ma confiance. Ce que nous avons fait, nous l’avons partagé ensemble. C’est ainsi que je veux que notre amour évolue. »

Antoine hocha à nouveau la tête, un sourire faible mais sincère apparaissant sur son visage. « Je te comprends, et je l’accepte. J’ai vu ce que cela t’apporte, et même si c’est difficile, je veux que tu sois heureuse. Nous trouverons notre équilibre, mais je resterai fidèle à toi, à nous. »

Un sentiment de satisfaction profonde m’envahit. Je savais que rien ne serait plus jamais comme avant, mais je me sentais prête à affronter cette nouvelle réalité, avec Antoine à mes côtés, même si désormais, la dynamique de notre relation avait changé à jamais.
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par Dionysos06
#2823816
@Bardoine un récit particulièrement dense et intense ; et très instructif. Clairement, cette première expérience candauliste a fait éclater au grand jour un trait enfoui de ta personnalité : ton matriarcat dominateur. Il est évident que tu ne peux pas vivre avec un homme doté d'une personnalité aussi forte que la tienne ; il te faut un sujet dominé, obéissant, docile. Et Antoine est parfait dans ce rôle. Tu seras aux commandes, il sera aux ordres. Pour ma part, je n'accepterai jamais d'être soumis ou dominé.
Tu chéris ta liberté, et tu as raison ; c'est le bien le plus précieux pour un être humain. Par contre, et cela me dérange beaucoup, tu n'offres pas la même liberté à ton mari. Notamment, il ne pourra pas avoir cette même liberté sexuelle que toi, car tu es jalouse et possessive. Il accepte cette situation, c'est sa vie ; rien à redire, il est majeur. Je ne l'aurais jamais acceptée et je serais parti, ne supportant pas ta domination castratrice.
Un autre élément me dérange encore plus. Tu t'affirmes supérieure à tout le monde car tu es libre de ton corps et de ta sexualité. Et bien non ! Tu es libre, absolument. Mais les autres sont libres aussi. Être libre de ses choix ne signifie nullement être supérieur aux autres, ni inférieur ; mais égal. Cette vision hiérarchique et égotique que tu exprimes m'aurait fait fuir.
J'espère que tu n'as mal pas pris mes réflexions. Je ne critique pas ton fonctionnement, ni celui de ton couple. Je commente avec ma sensibilité tes propos.
Claudomir, michpat, Toto44 et 2 autres a liké

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