Stop à la traite des blancsPour des raisons d’ordre pratique nous nous rencontrons dans un de ces hôtels impersonnels qui s’intègre parfaitement dans la morosité architecturale des zones commerciales périphériques. Une borne en guise de personnel d’accueil, tout semble étudié pour que les couples illégitimes puissent se rencontrer en toute discrétion.
Nous montons en direction de la chambre, et nous nous escrimons 5 bonnes minutes sur le digicode avant de pouvoir pénétrer dans la chambre. Il est savoureux de constater qu’il faudra moins de temps à l’amant pour pénétrer ma femme qu’il ne nous en a fallu pour pénétrer dans notre baisodrome du jour.
Le confort est sommaire mais il y a un grand lit et il fait chaud. L’amant nous rejoint très rapidement. Il s’est de nouveau laissé pousser une barbe de 5 jours, ce qui lui donne ce charme indéniable de baroudeur qui plaît tant à
@Brigittecandaule .
Visiblement les deux amants sont d’humeur joueuse… Ils m’intiment l’ordre de me positionner à quatre pattes et de mettre la tête dans l’oreiller… Ce n’était pas totalement comme ça que j’imaginais notre rancard mais je m’exécute mi-inquiet mi-curieux. Brigitte se met à quatre pattes derrière moi et m’agrippe le sexe à la demande de l’amant. « tu vas traire le cocu ! » Et voilà c’est parti pour une branlette sans l’image mais avec le son au combien merveilleux de ma femme en train de jouir en levrette. Au bout de 30 minutes je n’en peux plus et je désobéis en me retournant. Je regarde les yeux gris de ma femme embués par les orgasmes… Elle est si belle ! Elle me défie du regard tout en continuant à me branler. Je n’en peux plus, les mains expertes de la laitière font sortir un jus de première qualité qui se perd sur mon ventre et ses mains…
Bien vidé je peux reprendre mon rôle de spectateur et les regarder s’ébattre et s’embrasser passionnément pendant encore de longues minutes…
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