- 09 nov. 2010, 22:08
#128141
Le parcours d’une fille gâtée par la nature et corrompue par la vie.
INTRODUCTION
Je dédie ce texte à toi, Michèle, qui a su comprendre mon besoin d’appartenance. A toi, Léna, dont l’imagination débordante parvient à éveiller mes sens chaque jour que Dieu fait. Mon intrusion dans votre couple aurait pu le briser mais votre abnégation à me partager n’a fait que le renforcer. A mes sœurs de chair qui m’humilient et me châtie toujours avec tant d’amour.
Des évènements récents et votre insistance me poussent aujourd’hui à vous livrer et vous faire partager mes émotions sur ce topic dans un texte qui prendra la forme d’une fiction que vos amies prendront, je l’espère, plaisir à lire.
Je ne sais pas où je vais, ni où nous allons. Cela me donne l’impression de me mettre un bandeau sur les yeux pour que personne ne voie mon regard pendant que je vous livre mes obsessions et mon ressenti le plus intime.
En m’inscrivant sur ce groupe, je fais la même démarche que lorsque je me suis présentée, vêtue de mon short fétiche, celui qui me fait des jambes si longues, chez les deux femmes qui venaient de m’engager. Je me suis dit qu’ici mes pulsions ne feraient pas peur et que je pourrai m’abandonner. Plus je perds la tête en me livrant, plus mes sens s’affûtent. Comme pour mes patronnes qui n’avaient d’yeux que pour mes tétons qui déchiraient la fine étoffe du petit top étriqué qui présentaient mes seins comme sur un plateau. J’espère que ces quelques lignes parviendront à vous communiquer la même excitation que je prendrai à les écrire. Mon excitation est très forte quand je lâche prise. Pardonnez-moi si je deviens trop brouillonne ! Je reçois des images très érotiques quand je laisse mes pensées tourbillonner dans tous les sens. Et je deviens ingérable tant que je n’ai pas reçue la fessée.
Vous aurez compris que je suis une affreuse masochiste mais une maso festive. Mais ma soumission est avant tout, pour moi, un formidable terrain de jeux
ACTION
Je m’appelle Emilie et viens d’avoir 24 ans. J’ai vécu une enfance heureuse et une entrée en adolescence catastrophique. Mes parents étaient des gens respectables mais carriéristes. Tellement obnubilés par leur travail qu’ils me laissèrent orpheline au sortir d’un divorce si déchirant que la belle-sœur de maman finit par obtenir ma tutelle à l’aube de mes quatorze ans.
Tantine Mireille s’est montrée admirablement bienveillante avec moi malgré qu’aucun sang commun ne nous unisse. Vieille fille, plus par tendance homosexuelle que par vocation, elle m’a toujours considérée comme la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa vie. Et la vie de tantine ne fut pas toujours rose. Elle qui allait de déception amoureuse en extorsion de fond par l’une ou l’autre concubine ne pouvait malgré tout s’empêcher d’étaler sa fortune comme un appât miraculeux pour s’attirer les complaisances de filles plus ou moins jeunes en détresse. Jamais elles ne restaient plus d’une semaine et chaque fois, tantine pleurait à chaudes larmes. Si elles revenaient, c’étaient pour leur demander, ou lui voler de l’argent.
Je n’oublierai jamais le jour de l’anniversaire de ses cinquante ans car il coïncidait à un jour près avec le mien. C’était un samedi et je me faisais une joie de revoir maman de retour au pays après plus de trois mois d’absence. Tantine pleurait encore sa Xième déception amoureuse. Moi, je m’étais payé une chute de vélo mémorable en rentrant du collège et j’étais couverte d’hématomes et de pansements. Pour couronner le tout, maman se pointa avec un Saoudien qui ne parlait pas un mot de français et qui se faisait traduire chacune de nos paroles et inversement. C’était un très bel homme mais qui, sans honte, avoua à tantine avoir 22 ans de plus que maman qui frisait pourtant la quarantaine. Toujours ce carriérisme exacerbé. Maman allait se marier avec un promoteur international qui assurerait la prospérité de son entreprise d’air conditionné pour les années à venir. Elle l’avait rencontré en Lybie et ils étaient devenus rapidement inséparables au point qu’il lui avait proposé de devenir sa troisième épouse. Comment refuser une telle proposition ?
Une chose me frappa d’emblée. Le polygame pervers s’intéressait plus à mes cuisses qu’à l’outrageux décolleté de maman. Ce qu’elle ne manqua pas de lui signaler en spécifiant mon âge. Il lui répondit que dans son pays, à cet âge-là, je serai déjà promise voire mariée.
Le primate s’approcha de moi et remonta le pull que je portais à même la peau en m’arrachant par inadvertance le pansement que le docteur avait mis si longtemps à faire tenir en place et qui recouvrait la moitié de mon ventre. Au lieu de s’excuser, il nous fit un exposé sur les us et coutumes de son pays. Il nous fit comprendre ses critères esthétiques de la beauté féminine en me palpant les seins. Pas besoin de traduction pour comprendre ça. Visiblement mes seins tendus et mes cuisses fermes correspondaient plus à ses critères que le physique de ma pauvre maman. Son regard maternel courroucé me fit croire que j’avais une opportunité de briser la future union et peut-être d’empêcher maman de faire la bêtise de sa vie. Et surtout de m’abandonner définitivement. Je me suis débarrassée de mon pull et de ma jupette de tennis sur laquelle le pansement collait à mort, m’arrachant la moitié de mes petits poils pubiens. Il n’en fallut pas plus pour emballer la libido du satyre dont les paroles probablement obscènes ne furent pas traduites par maman. S’ensuivit une querelle verbale à distance tandis que j’enlevai innocemment ma blanche culotte, juste bonne à mettre à la lessive car recouverte d’isobétadine brunâtre. Tantine ne pria de monter me changer avant qu’ils n’en viennent aux mains. Ce n’était pas un spectacle pour une fille de mon âge. C’était trop tard déjà. Maman le gifla avant de s’en prendre à moi de la même façon. Elle entraîna son amant vers la sortie et tantine par la même occasion. Ils discutèrent une dizaine de minutes sur le pas de la porte que maman n’ouvrit que pour me dire adieu, sale petite mal élevée. Je courus vers elle pour la retenir mais elle me repoussa ainsi que tantine qui essayait vainement de s’interposer. Les derniers mots qu’elle prononça résonnent encore à mes oreilles : « J’aurais du savoir que de te faire élever par une gouine ne pourrait faire de toi qu’une putain ». La porte de mon enfance venait de claquer définitivement. Non ! Elle s’entrouvrit et une main jeta une enveloppe épaisse comme un bouquin. Tiens ! C’est de la part de ton père.
Je n’ai même pas versé une larme sur cette déchirure abominable de mon deuxième abandon maternel. Dans un premier temps, Tantine m’expliqua ce qu’était une gouine avec des mots magnifiques, parfumés d’amour véritable. Ensuite elle m’expliqua que je ne devais jamais plus me comporter ainsi devant un homme. Je n’étais plus une petite fille. J’avais atteint l’âge où les femmes deviennent belles et désirables. Ca, je commençais à m’en rendre compte mais pas pour un vieux monsieur quand même tantine. Elle me répondit que si, à plus forte raison. Et pour une gouine aussi alors, je suis aussi désirable ? Elle me gifla comme si elle avait pris ma répartie pour elle, ce qui était à cent lieues de mes intentions. Elle termina en me demandant de ne jamais plus prononcer ce mot.
Nous étions dans le pétrin. Une samedi soir, une dizaine de pansements à refaire et deux invitées à recevoir dans moins d’une heure pour fêter nos anniversaires.
INTRODUCTION
Je dédie ce texte à toi, Michèle, qui a su comprendre mon besoin d’appartenance. A toi, Léna, dont l’imagination débordante parvient à éveiller mes sens chaque jour que Dieu fait. Mon intrusion dans votre couple aurait pu le briser mais votre abnégation à me partager n’a fait que le renforcer. A mes sœurs de chair qui m’humilient et me châtie toujours avec tant d’amour.
Des évènements récents et votre insistance me poussent aujourd’hui à vous livrer et vous faire partager mes émotions sur ce topic dans un texte qui prendra la forme d’une fiction que vos amies prendront, je l’espère, plaisir à lire.
Je ne sais pas où je vais, ni où nous allons. Cela me donne l’impression de me mettre un bandeau sur les yeux pour que personne ne voie mon regard pendant que je vous livre mes obsessions et mon ressenti le plus intime.
En m’inscrivant sur ce groupe, je fais la même démarche que lorsque je me suis présentée, vêtue de mon short fétiche, celui qui me fait des jambes si longues, chez les deux femmes qui venaient de m’engager. Je me suis dit qu’ici mes pulsions ne feraient pas peur et que je pourrai m’abandonner. Plus je perds la tête en me livrant, plus mes sens s’affûtent. Comme pour mes patronnes qui n’avaient d’yeux que pour mes tétons qui déchiraient la fine étoffe du petit top étriqué qui présentaient mes seins comme sur un plateau. J’espère que ces quelques lignes parviendront à vous communiquer la même excitation que je prendrai à les écrire. Mon excitation est très forte quand je lâche prise. Pardonnez-moi si je deviens trop brouillonne ! Je reçois des images très érotiques quand je laisse mes pensées tourbillonner dans tous les sens. Et je deviens ingérable tant que je n’ai pas reçue la fessée.
Vous aurez compris que je suis une affreuse masochiste mais une maso festive. Mais ma soumission est avant tout, pour moi, un formidable terrain de jeux
ACTION
Je m’appelle Emilie et viens d’avoir 24 ans. J’ai vécu une enfance heureuse et une entrée en adolescence catastrophique. Mes parents étaient des gens respectables mais carriéristes. Tellement obnubilés par leur travail qu’ils me laissèrent orpheline au sortir d’un divorce si déchirant que la belle-sœur de maman finit par obtenir ma tutelle à l’aube de mes quatorze ans.
Tantine Mireille s’est montrée admirablement bienveillante avec moi malgré qu’aucun sang commun ne nous unisse. Vieille fille, plus par tendance homosexuelle que par vocation, elle m’a toujours considérée comme la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa vie. Et la vie de tantine ne fut pas toujours rose. Elle qui allait de déception amoureuse en extorsion de fond par l’une ou l’autre concubine ne pouvait malgré tout s’empêcher d’étaler sa fortune comme un appât miraculeux pour s’attirer les complaisances de filles plus ou moins jeunes en détresse. Jamais elles ne restaient plus d’une semaine et chaque fois, tantine pleurait à chaudes larmes. Si elles revenaient, c’étaient pour leur demander, ou lui voler de l’argent.
Je n’oublierai jamais le jour de l’anniversaire de ses cinquante ans car il coïncidait à un jour près avec le mien. C’était un samedi et je me faisais une joie de revoir maman de retour au pays après plus de trois mois d’absence. Tantine pleurait encore sa Xième déception amoureuse. Moi, je m’étais payé une chute de vélo mémorable en rentrant du collège et j’étais couverte d’hématomes et de pansements. Pour couronner le tout, maman se pointa avec un Saoudien qui ne parlait pas un mot de français et qui se faisait traduire chacune de nos paroles et inversement. C’était un très bel homme mais qui, sans honte, avoua à tantine avoir 22 ans de plus que maman qui frisait pourtant la quarantaine. Toujours ce carriérisme exacerbé. Maman allait se marier avec un promoteur international qui assurerait la prospérité de son entreprise d’air conditionné pour les années à venir. Elle l’avait rencontré en Lybie et ils étaient devenus rapidement inséparables au point qu’il lui avait proposé de devenir sa troisième épouse. Comment refuser une telle proposition ?
Une chose me frappa d’emblée. Le polygame pervers s’intéressait plus à mes cuisses qu’à l’outrageux décolleté de maman. Ce qu’elle ne manqua pas de lui signaler en spécifiant mon âge. Il lui répondit que dans son pays, à cet âge-là, je serai déjà promise voire mariée.
Le primate s’approcha de moi et remonta le pull que je portais à même la peau en m’arrachant par inadvertance le pansement que le docteur avait mis si longtemps à faire tenir en place et qui recouvrait la moitié de mon ventre. Au lieu de s’excuser, il nous fit un exposé sur les us et coutumes de son pays. Il nous fit comprendre ses critères esthétiques de la beauté féminine en me palpant les seins. Pas besoin de traduction pour comprendre ça. Visiblement mes seins tendus et mes cuisses fermes correspondaient plus à ses critères que le physique de ma pauvre maman. Son regard maternel courroucé me fit croire que j’avais une opportunité de briser la future union et peut-être d’empêcher maman de faire la bêtise de sa vie. Et surtout de m’abandonner définitivement. Je me suis débarrassée de mon pull et de ma jupette de tennis sur laquelle le pansement collait à mort, m’arrachant la moitié de mes petits poils pubiens. Il n’en fallut pas plus pour emballer la libido du satyre dont les paroles probablement obscènes ne furent pas traduites par maman. S’ensuivit une querelle verbale à distance tandis que j’enlevai innocemment ma blanche culotte, juste bonne à mettre à la lessive car recouverte d’isobétadine brunâtre. Tantine ne pria de monter me changer avant qu’ils n’en viennent aux mains. Ce n’était pas un spectacle pour une fille de mon âge. C’était trop tard déjà. Maman le gifla avant de s’en prendre à moi de la même façon. Elle entraîna son amant vers la sortie et tantine par la même occasion. Ils discutèrent une dizaine de minutes sur le pas de la porte que maman n’ouvrit que pour me dire adieu, sale petite mal élevée. Je courus vers elle pour la retenir mais elle me repoussa ainsi que tantine qui essayait vainement de s’interposer. Les derniers mots qu’elle prononça résonnent encore à mes oreilles : « J’aurais du savoir que de te faire élever par une gouine ne pourrait faire de toi qu’une putain ». La porte de mon enfance venait de claquer définitivement. Non ! Elle s’entrouvrit et une main jeta une enveloppe épaisse comme un bouquin. Tiens ! C’est de la part de ton père.
Je n’ai même pas versé une larme sur cette déchirure abominable de mon deuxième abandon maternel. Dans un premier temps, Tantine m’expliqua ce qu’était une gouine avec des mots magnifiques, parfumés d’amour véritable. Ensuite elle m’expliqua que je ne devais jamais plus me comporter ainsi devant un homme. Je n’étais plus une petite fille. J’avais atteint l’âge où les femmes deviennent belles et désirables. Ca, je commençais à m’en rendre compte mais pas pour un vieux monsieur quand même tantine. Elle me répondit que si, à plus forte raison. Et pour une gouine aussi alors, je suis aussi désirable ? Elle me gifla comme si elle avait pris ma répartie pour elle, ce qui était à cent lieues de mes intentions. Elle termina en me demandant de ne jamais plus prononcer ce mot.
Nous étions dans le pétrin. Une samedi soir, une dizaine de pansements à refaire et deux invitées à recevoir dans moins d’une heure pour fêter nos anniversaires.