- 14 déc. 2010, 11:08
#161041
Mes seins, projetés en avant par la ligature de mes coudes dans le dos, faisaient une cible facile pour la cravache de Marine et elle ne se priva pas de les brutaliser. Je me sentais monter vers des sommets d’ivresse masochiste et mon corps tout entier s’embrasait. Mes cris de douleurs se transformèrent vite en râles de plaisir. Mireille sortit d’un tiroir un bâillon boule qu’elle m’enfonça sans ménagement dans la bouche.
Je serai curieuse de voir qui, de ta chatte ou de ta bouche, bavera bientôt le plus.
Elle fit rouler le deuxième miroir et le plaça à côté de l’autre, face à celui encastré dans le mur. Mon trouble explosa quand je remarquai que je pouvais, de la sorte, me voir recto-verso.
Recule-toi encore un peu ! C’est ça, avec le cul contre ma batte de base-ball, comme la salope que tu es.
Elle prit un pot de vaseline, y trempa ses doigts et en enduisit copieusement mon anus avant de s’attaquer au magistral gourdin. Je me suis mise à couler comme une démente quand j’ai compris qu’elle s’était mise en tête de le faire pénétrer dans mon rectum. Vu la difficulté de l’intromission, elle bloqua la batte dans un tiroir qu’elle referma aux trois quarts en exigeant que je continue à essayer de m’empaler.
Je te donne deux minutes pour que ton petit trou engloutisse sa friandise ou je demande à un de tes amis de te déflorer avec le bâton.
Mireille n’avait rien à faire ni de mes larmes, ni de mes yeux implorants.
Il te reste trente secondes avant que Marine ne te présente son petit cousin qui est fan de ton corps et qui a plein de projets pour toi. Je crois que tu le connais déjà…
Quand Laurent sortit du dressing, Stéphanie tomba des nues.
L’olisbos géant finit par pénétrer mon fondement dans cri inhumain.
Nous avons beaucoup parlé de toi et de ce que lui et ses amis projetaient de te faire. Je lui ai fait visiter la maison, du grenier à la cave. Il est bien d’accord avec nous. Il y a tout ce qu’il faut ici pour satisfaire une gourmande comme toi. Comme ils ont également quinze jours de vacances, comme toi, je les ai invités à venir s’occuper de toi chaque jour. Je n’ai pas oublié que c’est ton anniversaire, aujourd’hui. J’ai pensé qu’il te serait agréable de commencer dès ce soir l’orgie à laquelle tu comptais te livrer mardi. Cela leur permettra de contenter les 40 ou 50 personnes qui ont émis le désir de venir t’admirer voire te torturer si affinités. A raison de quatre ou cinq par nuit, tu vas jouer les prolongations une dizaine de jours. Qu’en penses-tu, Laurent ?
On va la crever, cette salope, cela l’apprendra à trahir nos secrets.
A quel jeu jouaient-ils ? Tout ce qui m’arrivait semblait tellement irréel. Si le but était de me terroriser, c’était gagné.
Annette et Cindy entrèrent à leur tour, accompagnées de deux jeunes hommes qui paraissaient bien excités de me voir nue, à moitié entravée et empalée sur ma batte de base-ball. A ce moment, je n’avais pas encore remarqué le quinquagénaire qui s’était glissé dans mon dos.
Tout se passe comme prévu et même un peu mieux que prévu, Mireille. J’ai tellement flanqué la trouille à ces jeunots qu’ils sont prêts à tout pour échapper aux poursuites judiciaires. Les deux premiers sont déjà à pied d’œuvre mais c’est une armée qui se mettra au service d’Hervé dès qu’il le souhaitera.
Hervé ???
Docteur ! Mes amis aimeraient la toucher si vous n’y voyez pas d’inconvénients.
Pardon ? Bien sûr que vous pouvez déjà la toucher. Elle devra vous obéir au doigt et à l’œil comme à ses Maîtresses. Elle n’a pas le choix. Traitez-la comme bon vous semble ! Moi, je n’ai besoin pour l’instant que de l’observer.
Laurent avait 22 ans. Les deux autres un peu plus, je crois. Ils demandèrent s’ils pouvaient communiquer par le net avec leurs potes pour rassembler leurs idées et s’atteler à préparer un programme étoffé à la mesure de ma beauté et de mon impertinence.
La voix grave du Dr.H résonna dans mon dos. Il était écrit que chacune de ses interventions m’inonderai de frissons d’angoisse.
J’y compte bien. C’est même une condition préliminaire, assortie à l’assurance de notre discrétion par la suite. Laurent a promis de la crever. J’espère que tous, vous vous montrerez digne de lui. Vous avez carte blanche pour autant que vous ne la fassiez jamais jouir. Emilie a émis le désir de se débarrasser définitivement de cette tare.
Et si nous l’abimons un peu, par exemple en la fouettant si elle fait mine de jouir ?
C’est un risque à courir…pour elle, surtout. Si son cuir n’est pas assez résistant, je ne vois pas comment je pourrais vous le reprocher….A vous de décider si vous la trouvez plus appétissante avec ou sans marques.
Stéphanie, la petite coquine, dont tu m’avais parlé au congrès de Paris, est effectivement bien faite, suffisamment impudique et dans une disposition d'esprit intéressante, il ne faudra pas hésiter à lui imposer des choses fortes. Je t’avoue que je ne m’attendais pas à découvrir une fille aussi jeune et déjà si bien formée.
Et Stéphanie de répondre…
C’est pour cela que j’ai tout de suite pensé à toi. Je connais ton intérêt scientifique pour les syndromes rares surtout si la patiente est mignonne et vulnérable. Cette chienne est certainement le plus bel exemple d’hypersexualité que j’ai rencontré dans ma jeune carrière sans parler des pulsions masochistes effrayantes qui la dévorent.
Mets-toi à genoux, greluche et branle-toi sur le tabouret pendant que mes petits soldats te ramonent la tuyauterie avec la batte ! Obéis !
L’horreur !!! J’ai cru stupidement que Mireille viendrait à mon secours.
Je vous demanderai simplement de la faire brailler autant que possible au deuxième sous-sol…les voisins, vous comprenez…
La sonnette d’entrée venait à nouveau de résonner. Marine quitta promptement la salle de bains. Aussitôt, je me retrouvai entourée de mes trois satyres qui prirent possession de mon corps et commencèrent d’emblée à me malaxer les seins et à m’écarter les fesses pour m’enfoncer encore plus profondément la batte.
Je t’ai demandé d’écarter les cuisses…
Laurent ponctuait chacun de ses ordres d’un solide coup sur l’arrière de mes cuisses, qu’il administrait avec une sorte de schlague faite de cuir tressé. Comme je ne pouvais plus parler à cause de mon bâillon boule, les deux plus âgés imaginèrent de me faire répondre avec le langage du corps.
J’étais littéralement dévorée par la peur et j’aurais donné n’importe quoi pour que ce gourdin maléfique quitte mes entrailles.
Quand tu en auras marre d’être défoncée, tu n’auras qu’à tendre ta patte arrière !
Laurent tira un coup sec et la batte quitta brutalement mon rectum.
Je ne t’ai pas dit de replier ta jambe…Tends encore ta patte arrière ! Mieux que ça !
Un coup de schlague d’une puissance inouïe me cueillit derrière la cuisse, m’arrachant un litre de larmes. Je n’avais jamais ressenti une douleur aussi pénétrante de ma vie. Impossible de ne pas me recroqueviller sur moi-même. Je vis avec effroi le Dr.H distribuer des schlagues identiques à mes deux autres tortionnaires. Il s’approcha de mon visage et m’écrasa la mâchoire dans sa main de fer. Il m’ôta le bâillon en insistant sur le fait que je n’avais pas le droit de crier. J’opinai d’un hochement de tête.
Je vais te poser quelques questions basiques avant de t’expliquer ce que j’attends de toi. Réfléchis bien avant de répondre ! Es-tu prête à faire de gros sacrifices pour guérir de tes vices ?
Oui, bien sûr, Docteur ! Mmmm…
Un des trois ostrogoths venait de passer mon sein gauche à l’attendrisseur avec sa trique.
C’est très bien. Tu n’as pas crié. Il t’a fait mal, n’est-ce pas ? Je te demanderai de classer cette douleur sur une échelle de un à dix. Il est très important que tu ne triches pas pour la suite de ton traitement. Dix étant la douleur absolument insupportable, un étant une douleur brève à peine ressentie.
??? Je ne sais pas…cinq peut-être ?
Je vis s’approcher Laurent et un de ses potes qui prirent la position du livreur au tennis, l’œil rivé sur mes seins frémissants.
Je serai curieuse de voir qui, de ta chatte ou de ta bouche, bavera bientôt le plus.
Elle fit rouler le deuxième miroir et le plaça à côté de l’autre, face à celui encastré dans le mur. Mon trouble explosa quand je remarquai que je pouvais, de la sorte, me voir recto-verso.
Recule-toi encore un peu ! C’est ça, avec le cul contre ma batte de base-ball, comme la salope que tu es.
Elle prit un pot de vaseline, y trempa ses doigts et en enduisit copieusement mon anus avant de s’attaquer au magistral gourdin. Je me suis mise à couler comme une démente quand j’ai compris qu’elle s’était mise en tête de le faire pénétrer dans mon rectum. Vu la difficulté de l’intromission, elle bloqua la batte dans un tiroir qu’elle referma aux trois quarts en exigeant que je continue à essayer de m’empaler.
Je te donne deux minutes pour que ton petit trou engloutisse sa friandise ou je demande à un de tes amis de te déflorer avec le bâton.
Mireille n’avait rien à faire ni de mes larmes, ni de mes yeux implorants.
Il te reste trente secondes avant que Marine ne te présente son petit cousin qui est fan de ton corps et qui a plein de projets pour toi. Je crois que tu le connais déjà…
Quand Laurent sortit du dressing, Stéphanie tomba des nues.
L’olisbos géant finit par pénétrer mon fondement dans cri inhumain.
Nous avons beaucoup parlé de toi et de ce que lui et ses amis projetaient de te faire. Je lui ai fait visiter la maison, du grenier à la cave. Il est bien d’accord avec nous. Il y a tout ce qu’il faut ici pour satisfaire une gourmande comme toi. Comme ils ont également quinze jours de vacances, comme toi, je les ai invités à venir s’occuper de toi chaque jour. Je n’ai pas oublié que c’est ton anniversaire, aujourd’hui. J’ai pensé qu’il te serait agréable de commencer dès ce soir l’orgie à laquelle tu comptais te livrer mardi. Cela leur permettra de contenter les 40 ou 50 personnes qui ont émis le désir de venir t’admirer voire te torturer si affinités. A raison de quatre ou cinq par nuit, tu vas jouer les prolongations une dizaine de jours. Qu’en penses-tu, Laurent ?
On va la crever, cette salope, cela l’apprendra à trahir nos secrets.
A quel jeu jouaient-ils ? Tout ce qui m’arrivait semblait tellement irréel. Si le but était de me terroriser, c’était gagné.
Annette et Cindy entrèrent à leur tour, accompagnées de deux jeunes hommes qui paraissaient bien excités de me voir nue, à moitié entravée et empalée sur ma batte de base-ball. A ce moment, je n’avais pas encore remarqué le quinquagénaire qui s’était glissé dans mon dos.
Tout se passe comme prévu et même un peu mieux que prévu, Mireille. J’ai tellement flanqué la trouille à ces jeunots qu’ils sont prêts à tout pour échapper aux poursuites judiciaires. Les deux premiers sont déjà à pied d’œuvre mais c’est une armée qui se mettra au service d’Hervé dès qu’il le souhaitera.
Hervé ???
Docteur ! Mes amis aimeraient la toucher si vous n’y voyez pas d’inconvénients.
Pardon ? Bien sûr que vous pouvez déjà la toucher. Elle devra vous obéir au doigt et à l’œil comme à ses Maîtresses. Elle n’a pas le choix. Traitez-la comme bon vous semble ! Moi, je n’ai besoin pour l’instant que de l’observer.
Laurent avait 22 ans. Les deux autres un peu plus, je crois. Ils demandèrent s’ils pouvaient communiquer par le net avec leurs potes pour rassembler leurs idées et s’atteler à préparer un programme étoffé à la mesure de ma beauté et de mon impertinence.
La voix grave du Dr.H résonna dans mon dos. Il était écrit que chacune de ses interventions m’inonderai de frissons d’angoisse.
J’y compte bien. C’est même une condition préliminaire, assortie à l’assurance de notre discrétion par la suite. Laurent a promis de la crever. J’espère que tous, vous vous montrerez digne de lui. Vous avez carte blanche pour autant que vous ne la fassiez jamais jouir. Emilie a émis le désir de se débarrasser définitivement de cette tare.
Et si nous l’abimons un peu, par exemple en la fouettant si elle fait mine de jouir ?
C’est un risque à courir…pour elle, surtout. Si son cuir n’est pas assez résistant, je ne vois pas comment je pourrais vous le reprocher….A vous de décider si vous la trouvez plus appétissante avec ou sans marques.
Stéphanie, la petite coquine, dont tu m’avais parlé au congrès de Paris, est effectivement bien faite, suffisamment impudique et dans une disposition d'esprit intéressante, il ne faudra pas hésiter à lui imposer des choses fortes. Je t’avoue que je ne m’attendais pas à découvrir une fille aussi jeune et déjà si bien formée.
Et Stéphanie de répondre…
C’est pour cela que j’ai tout de suite pensé à toi. Je connais ton intérêt scientifique pour les syndromes rares surtout si la patiente est mignonne et vulnérable. Cette chienne est certainement le plus bel exemple d’hypersexualité que j’ai rencontré dans ma jeune carrière sans parler des pulsions masochistes effrayantes qui la dévorent.
Mets-toi à genoux, greluche et branle-toi sur le tabouret pendant que mes petits soldats te ramonent la tuyauterie avec la batte ! Obéis !
L’horreur !!! J’ai cru stupidement que Mireille viendrait à mon secours.
Je vous demanderai simplement de la faire brailler autant que possible au deuxième sous-sol…les voisins, vous comprenez…
La sonnette d’entrée venait à nouveau de résonner. Marine quitta promptement la salle de bains. Aussitôt, je me retrouvai entourée de mes trois satyres qui prirent possession de mon corps et commencèrent d’emblée à me malaxer les seins et à m’écarter les fesses pour m’enfoncer encore plus profondément la batte.
Je t’ai demandé d’écarter les cuisses…
Laurent ponctuait chacun de ses ordres d’un solide coup sur l’arrière de mes cuisses, qu’il administrait avec une sorte de schlague faite de cuir tressé. Comme je ne pouvais plus parler à cause de mon bâillon boule, les deux plus âgés imaginèrent de me faire répondre avec le langage du corps.
J’étais littéralement dévorée par la peur et j’aurais donné n’importe quoi pour que ce gourdin maléfique quitte mes entrailles.
Quand tu en auras marre d’être défoncée, tu n’auras qu’à tendre ta patte arrière !
Laurent tira un coup sec et la batte quitta brutalement mon rectum.
Je ne t’ai pas dit de replier ta jambe…Tends encore ta patte arrière ! Mieux que ça !
Un coup de schlague d’une puissance inouïe me cueillit derrière la cuisse, m’arrachant un litre de larmes. Je n’avais jamais ressenti une douleur aussi pénétrante de ma vie. Impossible de ne pas me recroqueviller sur moi-même. Je vis avec effroi le Dr.H distribuer des schlagues identiques à mes deux autres tortionnaires. Il s’approcha de mon visage et m’écrasa la mâchoire dans sa main de fer. Il m’ôta le bâillon en insistant sur le fait que je n’avais pas le droit de crier. J’opinai d’un hochement de tête.
Je vais te poser quelques questions basiques avant de t’expliquer ce que j’attends de toi. Réfléchis bien avant de répondre ! Es-tu prête à faire de gros sacrifices pour guérir de tes vices ?
Oui, bien sûr, Docteur ! Mmmm…
Un des trois ostrogoths venait de passer mon sein gauche à l’attendrisseur avec sa trique.
C’est très bien. Tu n’as pas crié. Il t’a fait mal, n’est-ce pas ? Je te demanderai de classer cette douleur sur une échelle de un à dix. Il est très important que tu ne triches pas pour la suite de ton traitement. Dix étant la douleur absolument insupportable, un étant une douleur brève à peine ressentie.
??? Je ne sais pas…cinq peut-être ?
Je vis s’approcher Laurent et un de ses potes qui prirent la position du livreur au tennis, l’œil rivé sur mes seins frémissants.