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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#173633
A propos Milli, moi je publie aussi sur un autre site où il y a également plusieurs rubriques et qui n'est pas dédié spécialement au candaulisme. C'est jalf.com. (jouer avec le fantasme). Tu trouveras peut-être là une meilleure écoute. Bon séjour, amitiés.
#175059
Milli je te souhaite de bonnes fêtes de fin d'année. Si tu vas sur le site que je t'aies indiqué, tu m'y retrouvera sous le pseudo "cpldugard"
Outre l'histoire de Margot j'y ai posté une histoire sous le titre "Progression". Je serais également ravi d'avoir ton avis.
Amicalement. gégé
#180449
la suite en guise de voeux pour l'année nouvelle...




Tu es encore un gros bébé. Je vais te talquer. E, donne-moi la poudre d’ange ! Pas celle-là, la mienne, avec l’anesthésiant.

Pas, ça madame C. Mon pépette est beaucoup trop chatouilleux J’en ai déjà mis rien qu’un tout petit peu et ca fait toujours aussi mal une heure après. Je ne saurai plus jouir si vous faites ça. J’ai pris trois pilules de BT-GT et ma vulve est trop sensible pour supporter plus de douleur encore… Houlala ! Pas sur titi, il va faire une grosse colère et devenir tout rouge

G.O perdit brutalement tout son stoïcisme et ses belles manières. Elle fit mine de sortir son coutelas de sa gaine, me rappelant que la foudre grondait sur ma tête alors que je ne croyais marcher encore que sur des fleurs.

Tu vas filer droit et nous aider à trouver le moyen le plus efficace pour te prodiguer le plus longtemps possible des souffrances optimales en refusant catégoriquement celles qui te feraient par trop plaisir.

Un tout tout petit peu alors, juste pour décorer, comme sur les branches du sapin de Noël mais il faut vite l’enlever après, alors…sauf si vous voulez me faire souffrir très très fort…

C’est mieux. Prend cette opportunité comme la suite logique de ton ascension masochiste débordante et laisse-nous t’embraser ! Regarde ! Je vais tracer un cercle à la craie sur le sol. Dès que tu en sortiras, ou si tes jambes se dérobent avant, nous t’attacherons dans le portique qui se trouve derrière toi.

Dans ce lieu où planait encore l’odeur de la souffrance, consciente de sa nudité livrée et de sa position de plus en plus précaire, je me mis à couler comme une baccante en folie. La fille du miroir était revenue et je jouissais de voir la jolie Lolita embarrassée. Leurs remarques répétées sur son physique m’envoûtaient mais exacerbaient ma jalousie. Les caresses de mes amantes m'affolaient de plus en plus et G.O très observatrice se rendit compte que j’étais en passe de perdre les pédales et cela l’amusa beaucoup.

Lorsqu'on la voit nue, on comprend mieux pourquoi elle fait partie du « beau sexe », n’est-ce pas Milli ?

E en rajouta une couche suivie aussitôt par D.

Moi, je la trouve tellement sensuelle quand elle est excitée.

Moi, je la trouve craquante. Son trouble extrême transparait jusque dans le plus anodin de ses sourires et j’adore cela.

Elles avaient l’air, toutes, de la trouver un peu trop parfaite à mon goût.

Méfiez-vous ! C’est une jouvencelle dans une peau de tigresse, la petite Lolita. Vous êtes beaucoup trop câline avec cette greluche.

Tu entends cela, Lolita ? Milli voudrait te voir subir des supplices plus cuisants…du style de ceux qu’elle affectionne, peut-être ? Cindy nous a dit que tu aimais te polir le sexe quelques minutes avant de te masturber. C’est ne pas jouir trop vite, pour jouir dans la souffrance ou pour te faire souffrir tout court ?

Les trois. C’est beaucoup plus fort après quand chatoune est irritée. A la plage, je parvenais même à m’abraser le sexe pendant des heures avec du sable fin. La frustration que je ressentais après était indescriptible. Parfois, j’y allais si fort qu’il m’était impossible d’encore jouir. Alors, je rentrais à l’appartement avec deux galets bien plats et je punissais Titi d’avoir été méchant et de ne plus me permettre de jouir. Des fois, je finissais quand même par orgasmer, rien qu’en lui faisant mal et c’était plus fort encore que d’habitude parce que je m’étais retenu longtemps.

Tandis que je parlais, elles se succédaient sans relâche au chevet de Titi et peu à peu, s’enhardissaient à dessiner les ourlets de ma chatte. Ces petites douleurs répétitives et rythmées sur l’épicentre de ma sensibilité étaient un régal pour mon sexe affamé. Elles me gardaient sur l’orbite la plus haute sans me permettre de la quitter une seule seconde.

C’est énorme ce que vous faites. Oui, lààààààà ! C’est atroce, atroce, atroooce…

A et B retenaient mes poignets prisonniers derrière ma tête pour m’empêcher de porter mes mains à mon sexe.

G.O, Je te sens agité de vilaines pensées. Ce n'est pas bien.
Tu as de la sauvagerie dans l'œil et des suggestions perverses dans l’oreillette. Je le devine. Je sens que tu ne vas pas tarder à suggérer un truc énorme du style : « Je serais enchantée de te dépuceler ».

Pas encore ! Les enchères doivent encore grimper. Moi, je pensais plutôt à un peeling intégral de cette ravissante biquette. Histoire de faire disparaître toute trace de duvet et de sensibiliser chaque parcelle de sa peau. Ne me regarde pas avec cet air de martyre, Lolita ! Dès que Cindy aura obtenu le prix qu’elle attend de ton l'hymen, la voix vaginale sera accessible et je pourrai te faire ce que personne ne t’a jamais fait.

Pas de la poudre d’ange dans mon vagin !!! Pitié, Madame G.O !

Il vaut mieux se prêter à un petit mal, que d'en occasionner un grand et éviter ainsi tous les dangers qui peuvent résulter du refus, style amputation, n’est-ce pas ? Nous saurons mieux la soigner en l’attachant au portique. Aidez moi, vous deux ! La pauvre petite biche est déjà bien entamée.

G.O venait de recevoir un message dans l’oreillette qui la mit en joie. Elle courut chercher deux chaises et les plaça au pied des poteaux.

Tes fans trouvent que tu serais plus sexy encore si tu étais suspendue par les poignets, jambes grandes écartées. Mets un pied sur chaque chaise pendant que nous t’attachons solidement !

Tandis que A et B utilisaient mes bracelets de cuir pour m’écarteler les jambes aux deux colonnes du portique, G.O effleurait mon clitoris d'un petit mouvement régulier, presque machinal. Elle ne cherchait pas à me faire jouir, plutôt entretenir une sensation agréable. Tous ses gestes étaient apaisants et doux…et je me laissais sagement distendre, prisonnière du charme de la Lolita du miroir, captive de mes désirs sciemment avoués et de six louves surexcitées qui entreprirent le siège intégral de mon corps. Quel pied !
Mes tétons étaient agacés, étirés, triturés et mes mamelons soupesés, malaxés, mais toujours avec douceur, toujours avec la poudre d’ange. Je n’avais jamais au grand jamais envisagé qu’un bête anesthésique puisse masquer à ce point les micro griffures qu’elles infligeaient à mes muqueuses et à mon épiderme.
Furtivement, plusieurs autres mains rejoignirent les premières et explorèrent tout mon corps de manière plus insistante cette fois. Mes cuisses furent longuement caressées jusqu’à leurs racines. Ma croupe fut dessinée par une multitude de doigts frétillants qui écartaient mes fessiers pour ouvrir lentement la corolle luisante. Des mains insistantes disjoignent mes lèvres intiment. Des doigts gantés patinaient sur mon sexe. Lentement, sans appuyer, ils glissaient de bas en haut le long de ma fente et s'invitaient à entrer. Je gloussais. Mes lèvres s'écartèrent sur leur passage et mon bassin partit à leur rencontre. L’orgasme était imminent mais G.O m’invita à me pas céder encore. Je m’accrochai. Je voulais retarder mon plaisir pour prolonger cet instant magique, pour aller jusqu’au bout du voyage initiatique, pour que l’acte défloraison devienne un acte sacré. Je ne pus retenir un grognement lorsque je sentis les lèvres de ma vulve s'écarter à la limite de la rupture. L’hymen céda mais ne saigna pas. Sans détour, mon point G fut d’assaut par les intrus. Mon clitoris s'érigea et je ressentis l'envie pressante que les doigts le profanent. Mon souffle s'alourdit et mon corps fut parcouru de frissons incontrôlables.
Deux doigts l’agrippent et le pétrissent, mais pour le relâcher aussitôt. Je me noie et j’hurle…
Pas encore…s’il vous plaît…pas encore…
Retirez les chaises ! L’affaiblissement physique est une étape essentielle et incontournable pour qu’elle vive pleinement ton calvaire. D, enserre-lui le cou avec un des bracelets de cuir ! Sa conversation m’ennuie.

Pendante comme un pantin au bout de ses cordes, j’ai l’impression que mes épaules vont se séparer de mon corps. Je peine déjà à reprendre ma respiration mais dès que le collier me serre, je suffoque. Elles s’en moquent. Les mains inconséquentes m’inondent d’ondes bienfaisantes. Je sens de nouveau les doigts enrober mes seins tendus et les palper avec gourmandise. Cette stimulation vaginale et clitoridienne constante sape peu à peu toute mon énergie. Toute mon attention se focalise sur les sensations étranges émanant de mon sexe qui saturent mon cerveau d’informations à la fois extrêmement savoureuses mais aussi, il faut l’avouer, de plus en plus irritantes. Je me cambre et écarte désespérément les jambes sous l'étreinte virtuelle d'un plaisir qui ne me comble pas. Ils me manipulent un long moment, comme un petit jouet, toujours en perte d'équilibre sur le fil tendu de l’orgasme naissant, toujours rattrapé au dernier moment par le collier maléfique avec lequel D prend plaisir à m’étrangler. Combien de temps cela va-t-il durer ? Qui mettra un terme à ce crescendo grésillant de sensations voluptueuses ? Pas moi, en tout cas ! Ce véritable supplice s’annonce comme la meilleure expérience de ma vie. G.O me parle et m’encourage.
Tu résistes bien. Tu n’étais que belle et tu deviens cosmique.
Mes sens sont trompés par une cruelle illusion de la délivrance. J’en veux toujours plus. Même mon cou et mes aisselles deviennent zones érogènes à l’instar de mon sexe larmoyant.

Mes Maîtresses se parlent et confrontent leurs points de vue et leurs expériences. Elles montrent les teasers que D est allée chercher dans la salle de bain. A et B brandissent ce qu’elles appellent leurs ponceuses d’angle.

Je suis assez favorable à ce qu’elle soit décapée jusqu’au fond de son utérus. …comme à la plage, Lolita. Tu te souviens ? Quelques minutes devraient suffirent pour la mettre à vif, de la tête aux pieds. Et quelques secondes sur ta chatte pour la mettre en sang…
Lolita ne se contrôlait plus du tout dans son immense frustration. Il fallait que je fasse quelque chose pour elle. Profitant d’un léger relâchement du collier…

Pourquoi quelques secondes seulement et pas un quart d’heure ou plus encore ? Je suis assez grande juger de ce qu’elle peut supporter, non ?
Parce que les vibrations te feront jouir prématurément, Lolita. Tes sponsors sont vraiment très avides de ton foutre mais sont unanimes pour te faire attendre encore quelques heures.
Sauf si nous déchargeons nos teasers avant…Un cabri, c’est fait pour sauter, non ? Comment ça marche, ces engins ?
Cindy avait du faire passer le message par l’oreillette de G.O car elles se mirent à manipuler leurs appareils toutes en même temps.
Non ! Pas ça ! Tout mais pas ça. Je saurai me retenir…

Pour le peeling du corps, servez-vous du triple O. Par contre, pour un travail soigné sur son clitoris, je vous conseillerais d’utiliser le papier de verre de granulosité plus fine pour mettre ses muqueuses intégralement à vif. Cela ne devrait par prendre plus d’une ou deux minutes pour la mettre en sang avant de lui appliquer l’huile « apaisante et réparatrice » de ta Tantine.
Mon clitoris se tendit comme un arc à la seule évocation de cette douce appellation. Toutes les sensations, vécues la veille sur le rack, me revenaient en mémoire. L’interminable attente du plaisir. La découverte d’orgasmes étincelant. Les vingt bouteilles de concentration croissante de tantine aussi. Plutôt les dix neufs car j’avais vidé la première. Elles les avaient alignées devant moi…
Armés de leurs ponceuses d’angle réglées sur la plus petite vitesse, les deux jumelles commençaient à me polir la peau du dos. Quand elles s’attaquèrent à mes seins, une onde issue de mon épicentre croissait le long de mes cuisses et m’emplissait le ventre en me secouant d'irrépressibles frissons. Les vibrations mortifiantes s'accordaient à mon être en épousant le rythme de ma respiration haletante.

Oui ! Plus fort sur mes cuisses…Mettez-les en sang ! Ouiiii !

G.O ! Elle est en plein délire, là ! On y va jusqu’à l’os ou quoi ?

Vous ne l’abîmez pas surtout, pas encore ! Mettez-lui de la poudre d’ange sur la peau avant de poncer. Les microfibres y pénétreront d’autant plus profondément sans qu’elle ne s’en rende compte. Nos clients veulent éveiller toutes tes terminaisons nerveuses pour la garder en chaleur. Ouvrez la grosse boîte ! C’est celle qui contient la plus forte concentration de marcaïne (anesthésique). Servez-vous-en pour ses tétasses !

Pour la première fois de la soirée, il m'était possible de créer mes propres sensations et contribuer ainsi à mon ascension dans l'excitation et la douleur. J'aurais voulu qu'ils fussent des milliers à me cerner pour mieux me supplicier et faire de moi la victime de leurs brutales exigences. La déesse hâlée du miroir, à l'orgueilleuse poitrine de marbre et au regard de jade pétrifié par la conscience soudaine de son inconscience, souffrait manifestement. Elle criait et gigotait, mais ne me leur demandait pas d'arrêter, comme si la douleur ressentie était le carburant indispensable de ses orgasmes à venir.
C’est affreux mais ses yeux semblaient vouloir m’encourager à me lancer dans un jeu suicidaire de provocation. D’abord rassembler tous mes neurones encore fonctionnels et surtout ne pas leur faire remarquer que je cherchais à me débarrasser de ma concurrente qui se reflétait dans tous les miroirs de la salle des supplices. Si je n'avais pas été obsédée par Lolita, j'aurais sans doute remarqué que les bouteilles étaient toutes décapsulées et que A et B y trempaient le doigt pour les goûter une à une. Milli, concentre-toi et parle à la première personne !...Je…je…je…mon, ma, mes…

Je suis en feu. C’est horrible. Il faut m’aider…

Veux-tu que je répande un peu de baume sur les blessures qu’elles viennent de te faire, Lolita ?

A et B s’emparèrent de la bouteille numéro 3.

Pas celle-là !!! Plus jamais je ne saurai jouir si vous m’enduisez le corps de cette infâme mixture. Je ressens si fort déjà tout ce que vous me faites.

C’est ce que tu souhaites, non ? Te faire mousser…comme à la plage…

C’est terrible ces démangeaisons. Prenez la bouteille numéro 20 alors, elle m’apaisera un peu et…

G.O reçut ma déclaration comme une invitation. Elle n’avait pas tout à fait tort.

Tiens, tiens ! Lolita attend le moment précis où son peeling intégral se termine pour suggérer de lui frictionner l’épiderme aux huiles pimentées. C’est curieux, c’est précisément ce que mes clients me soufflent dans l’oreillette. Cela les feraient fantasmer à mort de te voir attachée en si bonne position, luisante de mille feux et prête à recevoir le fouet sur ta peau mise à vif.

A intervint sans prendre de gants pour la mettre en garde.

G.O ! Ce n’est pas compliqué. Avec la 3, je me suis carrément brûlé la langue mais la 20, c’est carrément du vitriol en plus coloré. Les dix dernières me semblent même alcoolisées. Si nous la badigeonnons avec ce liquide, elle va en perdre la boule et se briser les cordes vocales.

LA HONTE…

Lolita ! C’est pathologique le masochisme chez toi.

Mais je ne suis pas malade…je veux simplement retarder mon plaisir pour l’offrir au Dieu Ra…

C’est ça. Et te purifier….Plus la peine de continuer cette mise en scène. Stéphane est parti. Il était inintéressant. Toi, tu l’es beaucoup plus et au moins, toi, tu ne débanderas pas après avoir joui. Tu es chaude comme la braise, Lolita. Si allumée que tu cherches à nous entraîner dans un jeu de surenchère. Tes fans ne sont pas dupes et nous encore moins. Tout ce qui compte pour Cindy et nous, à présent, est de te faire subir ce que désirent nos clients. Et ça tombe bien…Cindy veut te parler…
Voilà donc la prostituée de Sybaris, celle qui se livre sous toutes les formes et prend toutes les figures pour exciter les filles sans rien leur donner en retour que le chagrin et la discorde.

Cépavré !

C’est de ta faute, traînée, si Annette m’a laissée tombée. Pareil pour Stéphane et G.O, Stéphanie et Magda, Mireille et Marine et j’en passe. C’est l’heure pour toi de payer l’addition et elle va être salée.

Cépamafôte, Cindychoute ! Je n’ai pas d’argent, je n’ai que mon corps meurtri à t’offrir ! Fais-moi payer très cher ! Je l’ai bien mérité.

Il n'y a rien de plus dangereux que tendre les verges pour se faire battre car tu n'as aucune idée de qui t'attend surtout quand on est saturée comme BT-GT sans parler du sérum de vérité qui te rend transparente comme le meilleur cristal de baccarat.

J’aimerai tant quand tu sois très vilaine avec moi. Tu sais que cela fait plus de 24 h que vous me mettez la pression et pourtant, ma libido n’a jamais gravité aussi haut. Demeurer à la porte du plaisir pendant des heures sans parvenir à libérer l'orage qui n'en finit pas de gronder dans mon ventre est une véritable ivresse pour mes sens.

Le compteur de présence se remit à zéro sur l’écran de l’ordi et deux visages, masqués et animés, apparurent.

Tu vois, j’ai fais le tri parmi tes courtisans. L’imagination sadique de certains devenait de plus en difficile à canaliser et surtout était incompatible avec les désirs des moins barbares de tes fans. Si tu veux qu’ils t’accompagnent dans ton trip, il faudra te montrer très affriolante et mettre en valeur tes « qualités » pour les charmer. J’ai remboursé les mièvres et les craintifs pour mieux laisser s’exprimer les plus impitoyables et les plus imaginatifs. Ils auront non seulement accès à l’image mais aussi au son. Fais-toi plaisir ! Sale truie ! Il ne tient qu’à toi de leur montrer que tes besoins sexuels et masochistes sont importants.

J’étais vraiment devenue la truie qu’elle décrivait. Je désirais ardemment la souffrance et l'humiliation qui étaient devenues inséparables de mes désirs.

Les six louves m’entourèrent. Elles commencèrent à me masser le corps avec l’huile frelatée de tantine, évitant soigneusement de me toucher le sexe. Impossible de voir le numéro de la bouteille qu’elles avaient choisie.Mon ventre et mes seins ne furent rapidement plus qu’une fournaise.
C’est horriiiible ! J’ai l’impression que vous m’écorchez vive. Touchez-moi ! Touchez-moi encoooore ! Je suis foutuuuue…

Il se passa un phénomène insolite et ensorcelant dans mon corps. Toutes les parcelles de ma peau devinrent zones érogènes d’une excitabilité, d’une sensibilité, d’une émotivité bouleversante.

Continue de gesticuler comme ça dans le portique et je suis certaine que cela suscitera chez tes bourreaux, une envie colossale de te posséder ! Tes forces t’abandonnent et ton corps tremble tout entier. L’anesthésique a fini d’agir. L'instant de la douleur éternelle est arrivé.

Encooore ! Faites-moi très maaal !

Moi, je te déchirerai volontiers les cuisses et le ventre à coup de fouet clouté …mais je ne fais qu’obéir aux ordres, ma belle salope. Si tu te voyais comme je te vois, tu aurais les même envies meurtrières qui n’animent pour l’instant.

Le problème, c’est que je la voyais comme elles me voyaient. Lolita montrait à suffisance à quel point elle prenait sexuellement du plaisir à se faire torturer de la sorte. Je n’avais plus envie de me débattre vainement contre mes pulsions. J’étais résolue à me jeter corps et âme dans les feux de l’enfer. Mieux, j’accepterai cette douleur exquise comme la plus perverse des formes de jouissance. C’est le moment que choisit Cindy pour me proposer en live un dialogue avec mes deux assassins potentiels.

J’ai fait le tri dans tes bourreaux par procuration. Ils ne sont plus que deux qui ont consenti à payer le prix fort pour disposer à leur guise de leur Lolita. Tu vas te donner sans état d’âme si tu veux passer, en notre compagnie, des moments inoubliables. Ils veulent te parler. Tu n’auras que dix secondes pour leur répondre car ils veulent que tes réponses soient spontanées.
#185215
Vous deux, aidez moi à écarter le pilier du portique pour la tendre dans ces liens ! Encore un cran ! Voilà !

La souffrance d’être étirée brutalement à la limite de la rupture se révéla instantanément atroce à supporter. Je ne pouvais plus me relâcher et ma crispation enchaînée en suspension m’offrait totalement aux délires sadiques des deux personnages qui venaient de m’acheter.

D, ôte-lui son collier ! Tu lui donneras à boire régulièrement des boissons énergisantes ! Elle va en avoir besoin.

Bonjour Lolita ! Je m’appelle Ra, le Dieu de la vie qui a tout créé et qui peut tout détruire. La vision de ton corps, flamboyant d’étincelles de plaisir, iradie d’indécence et de lubricité. Tu fais indéniablement partie de ces femelles qui sont faites pour qu'on en jouisse, et non pour qu'on les câline.

Dès les premiers mots échangés avec Ra, je ressentis dans mon cerveau une ivresse abyssale. Tout devenait coloré et vivant. Il était évident que je n’étais plus qu’un morceau de viande, une offrande émouvante, exhibée comme un X parfait dans son portique devenu le terrain de jeux de mes plaisirs coupables.

Qu'ai-je donc fait pour mériter un tel sort?

Ra afficha, sur l’écran de l’ordi, un de ces sourires sadiques empruntés à un film d'horreur.

L’explication est simple. Tu es prête à donner ton sang en échange de quelques moments d’intense félicité. Ta souffrance constituera le prix de ton plaisir. J’ai choisi de sacrifier aujourd’hui une jeune fille en rut. Je la veux exceptionnellement en chaleur pour qu’elle soit attrayante.

Je suis parait-il beaucoup plus craquante quand je suis en manque, Mr. Ra. Je jouis plus fort de ne pas jouir car mon désir ne connaît plus de limites.

C’est pour cela qu’ici personne ne te permettra de te soulager.

Les louves s’affairaient autour de moi. Je ne les voyais plus et les entendais à peine tant mon attention était braquée sur mon interlocuteur. Je ne pensais plus qu’à partir à la rencontre de ce Dieu soleil qui me ferait entrer dans la lumière. Merci les drogues du Dr.Hervé ! Une pilule ça va ! Une douzaine, bonjour les dégâts !

Veux-tu devenir le diamant gemme que mes assistantes vont tailler vivant jusqu’à ce que l’accumulation de ta souffrance produise l'extase ?

J'avais mal, très mal... si mal... et de plus en plus insupportablement. Des milliers de fourmis me mangeaient la peau et mon écartèlement devenait insupportable. Et pourtant, totalement inconsciente, j'allais m’infliger, au moment crucial, une punition immonde aux terribles conséquences.

Oh oui ! Ravivez sans cesse mon désir par des supplices toujours plus cruels !

J’avais envie de leur crier que j’étais leur chienne. Que cela faisait des années que j’attendais de connaître ce vertige. Que mon désir le plus profond était qu’ils me condamnent à agoniser lentement sur une croix en distillant savamment leurs supplices pour que mon calvaire soit sans fin…

Le jeu peut être très amusant si tu le prends ainsi et ton martyre sera interminable avant que je ne te confie à Osiris.

G.O participait à sa façon à mon interview pour aggraver encore mon trouble en décrivant ma situation on ne peut plus précaire. Ses complices caressaient à dix mains toute mon anatomie en évitant mon sexe. Elles inondaient mon corps de sensations magiques qu’elles commentaient sensuellement.

La douceur de ta peau se confond avec la soie de tes muqueuses.

Et Ra poursuivait sans relâche mon lavage de cerveau…Mon excitation grandissait à mesure que ses questions se précisaient…Oui, je serai capable de prendre du plaisir quand je me sentirai proche de mourir….oui, j’avais besoin de me sentir en réel danger pour tomber dans l’orgasme profond…oui, mes orgasmes les plus puissants survenaient dans les souffrances les plus vives….Soudain, une voix d’outre-tombe me prit à la gorge, me ramenant dans la réalité.

Je m’appelle Osiris, le Dieu des morts et de la vie éternelle, Maître d’œuvre des supplices extrêmes. Ta complicité pour participer à ton calvaire me plait. Je t’accueillerai dans mon royaume quand, lasse de lutter pour ne pas jouir, tu me demanderas de te mettre en croix pour t’abandonner au plaisir et éjaculer jusqu’à ce que mort s’ensuive. Tant que tu jouiras profusément, tu seras à même de m'émouvoir.

Mon sexe semblait emprisonné dans un gigantesque étau brûlant et jouissif qui me plongea instantanément dans un orgasme intellectuel monumental.

Je suis pleine de sève, Mr Osiris. Mettez-moi sur la croix et condamnez-moi à jouir à perpétuité !

Tu n’as pas l’air de comprendre. Je te préviens, Lolita. L’apaisement de tes sens te coûtera la vie. Dès que tu ne pourras plus, tu resteras crucifiée mais pour y subir des supplices extrêmes qui conduiront inévitablement à la mort lente. J’attends ta confirmation.

Il me parlait si sèchement que le personnage me devint subitement antipathique. J’aimais encore mieux me remettre entre les mains du soleil.

Jeee vou..ous en priiiie, Mr. Ra…Laissez moi viiivre…Je préfère encore que vous m’en fassiez baver jour et nuit ! J'ai une énorme envie de jouir mais refusez-moi la délivrance…et la croix !

Je ne pouvais pas savoir que Ra et Osiris étaient deux potes.

Blasphème et rébellion ! Ton compte est bon Lolita. Ta punition sera à la hauteur de ta faute. La jouissance ne te sera permise qu’à l’acmé de ton martyre. Enchaînez-la sur la croix et massacrez-la !


Dilemme insoluble : « vivre sans jouir ou mourir en jouissant » ? Je me suis laissée détachée du portique bien docilement avant de subir la méchante ligature des chaînes sur la croix de St André. De toute façon, mes supplications ne serviraient qu’à les encourager davantage à me torturer toujours plus cruellement. Mon agitation devint extrême quand G.O m’inonda la chatte avec l’huile de la bouteille n°20. Mes lèvres intimes remuèrent comme une huître recevant un jet de citron.

Voyez comment ses pis se tendent magnifiquement quand sa chatte la fait souffrir!

Après le coup de soleil carabiné qu’elle venait de m’administrer entre les jambes, elle invita A et B, ses complices, à me fouetter les seins.

Je te trouve un peu trop fière de tes mamelles. Vous allez commencer par la guérir de cette sale manie de montrer ses tétasses.

Elle vantait mes charmes à mes bourreaux qui n’en demandaient pas tant, me pétrissant les cuisses et les seins, flattant son sexe et ma croupe, insinuant un ou deux doigts dans mon anus pour m’entendre gémir encore et encore. Violentée de toute part, en position verticale, je commençai une nouvelle vie, dans un trouble permanent, saturée d’excitations paroxystiques et d’orgasmes avortés, au beau milieu du cercle des louves. La chair de mes cuisses nues paraissait luminescente sous la caresse chaude de la lumière d'ambiance. La splendeur de mes membres mats et fuselés attirait comme un aimant les décharges des stimulateurs que manipulaient C, D et E. Je me tortillais comme une anguille sur le gril dans la faible mesure que permettaient mes chaînes. Mon corps de bronze n'était plus qu'un gigantesque frisson qui faisait tinter la ferraille qui me retenait épinglé. Affolée, ma tête se balançait de droite et de gauche entre mes bras.

Prouve-nous que tu aimes te retenir ?

G.O voulait prendre son temps, ne pas me faire jouir encore, me garder toute vibrante le plus longtemps possible, me faire durer… C’est le diable en personne quand elle s’attaque à ma chatte. Personne ne parviendra jamais mieux qu’elle à me faire venir tout doucement et me maintenir à la porte de l’orgasme sans me permettre de me libérer. Je tremblais de tout mon corps à chaque contact avec mon bourgeon. C'était une sensation semblable à ces soifs brûlantes que l'eau la plus fraîche ne fait qu'accroître. Dans ma folie doloriste, le seul mot qui sortait de mes lèvres, à l’acmé de ce plaisir-souffrance était « oh ! oui ! encore par pitié… ». Je crois que personne ne pourra jamais comprendre cet état démentiel dans lequel G.O m’avait non seulement plongée mais était passée experte pour m’y maintenir des heures durant. Elle avait l’art de passer rapidement, dans ses gestes et ses paroles, de la gentillesse à la plus extrême colère. Et cela me rendait folle. Une exaltation masochiste constante et exponentielle s’était emparée de mon cerveau, sous les yeux et les mains de mes bourreaux toujours plus exigeants. Les douleurs fulgurantes, qui précédemment bloquaient toute recherche de jouissance, étaient devenues maintenant une condition préliminaire au plaisir pour le rendre plus intense.
A et B me frappaient toujours rageusement le buste avec leurs fouets courts. J’esquivais autant que possible, vu la faible latitude que me laissaient mes liens…pour intensifier au maximum la souffrance devenue ma compagne.
A chaque fois que je sentais les contractions annonciatrices du plaisir, G.O cessait tout mouvement et quittait mon sexe pour déformer mes tétines devenues d’une sensibilité tout à fait inhabituelle. A savait se montrer encore plus perverse, me faisant presque sortir les yeux de la tête, en torsadant sans retenue mes mamelons superbement érigés. Dès que mes spasmes pré-orgasmiques se calmaient, G.O revenait titiller le bout de mon clitoris avec sa ponceuse pendant que sa main recouverte d’un gant griffu entrait en moi et enflammait mon point G
Je maudissais alors les articulations de mes hanches qui m'interdisaient d'ouvrir les cuisses aussi largement que j’en avais l’envie. La ponceuse ne me masturbait plus, je me masturbais sur la ponceuse. Je pleurais, je criais de frustration, je gémissais en me tordant dans tous les sens. Mes appétits charnels allaient grandissant au fur et à mesure que je perdais ma vitalité. Vous me donnez la mort, et vous voulez que je vive. Une voix se fit entendre au fond de mon cœur. Vous détruisez l'espoir et vous le ranimez. Non je ne mourrai point....

Ca va. Elle a son compte. Laissez-là ou elle va nous quitter !
J’ai probablement du perdre conscience quelques minutes… Quand je reprends connaissance, je suis toujours sur ma croix et c’est le big bang. La collision du fantasme et de la réalité. Stéphanie me parle !!!

Bois lentement, ma belle ! C’est bien…

Seules G.O, A et B étaient restées au pied de ma croix. Même Ra était remonté dans sa barque mais Osiris était toujours là, au beau milieu de l’écran, sans cagoule, sous les traits du Dr. Hervé !!! Il me laissa deux ou trois minutes pour reprendre mes esprits et répondre à sa question avant que le cycle infernal ne recommence. Il me déclara sans ambages que j'étais la plus belle vicelarde qu'il avait eu à corriger et qu’il commençait à y prendre goût.

De toutes les filles qui se sont occupées de toi depuis hier, laquelle choisirais-tu pour idolâtrer ton sexe et subir l’ultime orgasme de ta vie ?

Le cri du cœur…

Stéphanie !!!

G.O jeta sa cagoule derrière ma croix et secoua sa belle crinière blonde. Mon cœur se mit à battre à tout rompre. Ses yeux étaient brillants comme la plus étincelante des étoiles. Son visage, si doux, affichait un rictus inquiétant.

Je vais t’aider à retrouver la fierté que tu viens de perdre et te purifier. Prouve-moi que tu es assez forte pour soutenir mon regard !

Je serai assez forte. Tu ne m’impressionnes pas au point de m’imposer de baisser les yeux.

Elle porte sa main à la racine de ma cuisse droite et…m’embrasse.

Je pousse un cri terrible. Les muscles, à l'intérieur de ses cuisses, tressautent. Elle a déchargé son teaser dans mon aine !!! Elle reprend possession de mes lèvres, m'embrasse fougueusement et recueille avec soin dans sa bouche mes soupirs et mes larmes tout en caressant la racine de ma jambe gauche. La douleur de cette deuxième décharge est insoutenable et me perfore l’autre aine mais je ne lâcherai ni ses yeux ni sa bouche pour rien au monde. Sa main glisse dans ma fente parfumée au jasmin de poudre d’ange et ses doigts engagent la conversation avec mon bouton d’amour. N’ayant pas été mis au courant de la perversité de la main qui le branle, il se redresse pour présenter ses hommages à l’intruse qui le complimente pour sa rigidité.
Coup de foudre au propre et au figuré ! Le teaser me poignarde. Mon clito ne se remettra jamais de cette traîtrise. Atomisée par la douleur, mes lèvres quittent les siennes mais aucun cri ne parvient à sortir de ma bouche. Je ne croyais pas qu'une souffrance aussi amère puisse persister plus de quelques minutes. Je pensais que l'on finit toujours par s'habituer à la douleur. Il n’y a que les poupées qui peuvent rester impassibles, les lolitas en sont incapables…

Tu reprends tes esprits, Milli ?

Oui, Stef !

C’est bien.

Elle n’attendait que cela pour me planter le tableau de ma fin de carrière.

Alors, nous allons recommencer. Encore plus dur et éprouvant, toujours plus jouissif. Ferme les yeux !

Attirée par le frissonnement de ma vulve, G.O-Stef se concentra sur mon entrecuisse pendant que ses amies cherchaient la solution pour me dévisser les tétons.

Les dents qui mordillent mes tétons deviennent de plus en plus incisives. Elles cherchent à me faire mal. Je n'arrive pas à reconnaître l'objet qui vient à peine de me toucher l’aréole. Mes tétins sont distendus à la rupture. Je sens le froid de l'acier entrer en contact avec ma peau et encercler mes mamelons. La douleur est atroce. Les lèvres rigides de l’anneau pincent, mordent puis pressent fortement la chair tendre, s'y incrustent et l'étreignent. Une fois encore, je me sens captive de mes démons. Un besoin gargantuesque de souffrir s'insinue en moi. J’ouvre les yeux. Entourée de Cindy et d’Annette, mon corps se reflète dans le miroir parabolique placé à cet effet dans mon champ de vision. Osiris a disparu. La caméra aussi mais mon ordi est toujours sur la chaise, webcam allumée. Il était écrit que rien ne me serait épargné.
Stef contemple ma poitrine. Cindy essuie les gouttelettes de sang qui perlent de mes tétons. Les bagues chromées, enchâssées dans chacune de mes aréoles, distillent une douleur singulière et bienfaisante. Elles confortent et pétrifient l’insolente érection de mes tétons. Je ressens l'angoisse suprême et exaltante d'être l’enjeu d'une affaire qui ne me concerne plus. Je choisis, une fois pour toutes, de ne plus choisir. L’indécence de mes tétines hérissées symbolise ce nouveau mode de vie et le nouveau rapport au monde extérieur que je convoite.
Munie d'une petite brosse à dent, Stef se met à frictionner consciencieusement mon petit appendice, tout autour, en partant de la base. La réaction est immédiate. Mon vagin se contracte et mon bassin s'agite. Ma respiration s'accélère au rythme de la mouille parfumée qui sourd de mon orifice vaginal. Je sens monter en moi les premiers signes de la jouissance qui ne manquera pas de me transformer bientôt en mitraillette à orgasmes. Une décharge de teaser me rappelle que tout sera mis en œuvre pour que je sois incapable de soulager mes tensions. En tirant vers le haut la commissure de mes lèvres, Stef propulse Titi sur le devant de la scène et j’exulte. Le regard aliéné, aidé d’une pince plate Stef s’empare d’une sorte d’anneau, ouvert comme un omega, très semblable à ceux qui cerclent mes tétons. Un serre joint, peut-être. C’est avec terreur que je regarde s’approcher les abominables mâchoires de métal chromé de l’épicentre de mes sensations. Les deux mandibules s'ouvrent puis se referment autour de mon clitoris, à la base, là où le bel organe commence à naître pour s'exprimer ensuite dans une érection lourde et ventrue. La pression augmente encore, comprimant ma tigelle et la retenant captive. Tout mon corps se cambre. Je pousse un râle horrible qui restera inoubliable pour toutes celles qui l’ont entendu. La douleur inhumaine aurait dû me fait refermer mes cuisses. J’avais mal, de plus en plus mal. C’est avec un enthousiasme imprévu, que Titi accueille la pose de la boucle et s’égare très vite. En un clin d’œil, mon superbe pistil est devenu d'une rigidité marmoréenne et le siège d'une douleur permanente et insoutenable, qui irradie dans tout mon sexe. Titi frémit de façon quasi permanente de cette blessure qui le harcèle. Sa turgescence l’a porté à un degré de sensibilité inouï. Ruisselante de transpiration, les traits déformés par la souffrance, j’admire dans le miroir la mutation de l’esclave, ma métamorphose. Je suis épuisée et hagarde et mon ventre ruisselle de sueur.
Titi est plus dur qu’un noyau de pêche posé sur un abricot trop mûr. Je sais qu’elles admirent mes cuisses luisantes de mouille. D’ailleurs, Annette le proclame.

Si ta mouille valait le prix du pétrole, on pourrait facilement ouvrir une station service.

Mes regrets sont immenses d'avoir mis tout ce temps avant de découvrir la puissance émotionnelle de l'interdiction orgasmique qui renouvelle sans cesse mes appétits masochistes et me donne l'envie pressante de les vivre à 1000%. La jouissance cérébrale que j'en retire me catapulte vers des sphères supra orgasmiques infinies et me révèle à moi-même en catalysant mes besoins doloristes pour les offrir à mes Maîtresses. Sans doute n'y aura-t-il jamais de fin à ma quête. Sans doute aussi n'existe-il pas de limite qu'il soit impossible de repousser.

Je pourrai maintenant te masser suavement le sexe très longtemps avant que tu ne jouisses, jolie Lolita.

C’est horrible…encore pire que la peine de mort.

Je pensais que tu adorais entretenir ta frustration. Rien ne sera plus facile maintenant de te faire grimper aux rideaux. Pour en redescendre, ce sera autre chose. Désolée pour toi mais je n’ai pas encore de solution.

Le sage a dit que la jouissance purement physique gênait à l'accomplissement de la jouissance cérébrale. C’était exactement cela dont il s’agissait. Je ressentais un étrange cocktail d'émotions fortes fait d'orgasmes naissants et d'une gigantesque frustration qui m’aidait à m’abandonner parfaitement afin d'atteindre le plaisir rapidement. Pas l’orgasme humide, non ! Un orgasme plus subtil et plus terrifiant, né de l’angoisse et entretenu par la douleur.
Un orgasme inépuisable car avorté par une interruption violente du plaisir et la recherche, de l'orgasme suivant qui sera encore plus puissant et destructeur. L'attente est souvent pire que la réalisation. Je la voulais longue et pénible, cette attente. Un détour très coûteux, avant d’atteindre finalement le plaisir total mais je ne me rebifferai pas.

Mon intimité ruisselante ne résista pas longtemps à sa main de velours. Mes contorsions commencèrent dès le premier contact avec mon Titi. Secouée par la violence des spasmes, je ne pouvais m'empêcher de tressaillir et de claquer des dents.

L’épreuve sera à la mesure de ton impatience, ma petite Milli.

Alors, les épreuves qui m’attendent devront être démesurées.
#189534
Je poste ce qui sera probablement la fin de mon histoire sur ce groupe. Je me rends bien compte que je suis hors sujet. La suite est en écriture et rejoint mon vécu actuel. Sans réclamer un plébiscite, je vous demanderai simplement de vous manifester si vous souhaitez que je fasse paraître la suite sur ce topic. Bye!


Lèvres ouvertes, je geignais de plus en plus tandis que Stef s'acharnait de manière toujours plus douloureuse sur mon clitoris. Le pire survint quand elle se mit à me doigter copieusement sans négliger aucuns replis de mon vagin. Immédiatement, je sentis que je m’échauffais drôlement, au sens propre et au figuré. Le bruit mouillé de ses doigts branlant mon sexe me fit chavirer comme un navire dans la tempête. Quand son doigt quittait ma grotte d’amour, j’avais l’impression qu’il avait oublié un piment rouge dans mon vagin et une colonie de sangsues en délire sur mon point G. Trop soulagée, voire euphorique de n’avoir rien perdu de ma sensibilité malgré les traitements de surface que mes muqueuses intimes avaient déjà reçus, je me mordais les lèvres pour ne rien laisser paraître de mon trouble profond. Le but du jeu était lumineux et les objectifs presque atteints. J’étais en transes.

C'est éprouvant de s'arrêter aux portes du paradis, n'est-ce pas ? Il ne te reste qu'une heure à attendre. D'ici là, tu vas éprouver la plus grande insatisfaction sexuelle de ta vie.

Annette me força à boire une soit disant boisson énergisante. Excitée à grimper aux rideaux comme je l'étais, je l’ingurgitai sans me méfier. Elle m’avait droguée !!!

Une heure !!! C’est impossible…Je suis si loin, Stef…Fais-moi jouir ! Par pitié…

J’avais bien le droit à un petit moment de faiblesse dans mon océan d'infortune.

D’accord ! Il parait que tu es une bête de cirque quand tu jouis. Je serais curieuse de voir si tu es capable de dépasser l’inhibition du médicament que tu viens d’avaler.

Ouiiii, je saurai ! Je sens que ça vient…ça vieeennnt !...Oh oui… !

Gare à toi si tu te moque de nous ! J’ai horreur d’être déçue.

L'orgasme s'était annoncé, il était monté, plusieurs fois j'avais armé le chien, mais le coup n'était jamais parti. Ses doigts martyrisaient mes chairs, pinçaient mes lèvres, plongeaient dans mon vagin et revenaient toujours sur ce petit caillou qui n’en finissait pas de grossir.
Quelque chose d’énorme se mettait en branle dans mon ventre. Cette fois, plus de repli possible. Cela enfla, enfla de plus en plus. Une angoisse étrange me saisit. Que m'arrivait-il? Un instant, je me crus être en train de mourir. Une gigantesque vague me submergea le ventre d'abord, le corps tout entier ensuite. Ma gorge se noua. Le désir montait en flèche, les sensations affluaient…et tout se bloqua. Je ne pouvais plus jouir !!!
Je n’avais, évidemment, aucune intention de le mettre dans la confidence, histoire de ne pas lui donner de nouvelles idées pour prolonger la séance.

C’est énoooorme ! Plus fort….

Je tressaute. Je gémis. Elle me bouscule les sens, me martyrise...Mes mouvements se font plus convulsifs. Tout mon corps remue, et je hurle. Mon visage se déforme, se tord, et les larmes se mettent à couler. Je regarde passer le train…la barrière est fermée…Rien, cette nuit, ne me serait épargné. C'était plus frustrant qu'au jeu de l'oie. Chaque fois que je devais faire un trois pour terminer la partie, je faisais un six et je me retrouvais en prison.

Cindy estima que je ne souffrais probablement pas assez encore.

Elle distribua à ses acolytes les pinces cochères qu’elle venait de trouver dans un tiroir.

Comme Stéphanie ne parvient pas à te faire jouir par la douceur, en unissant nos efforts pour te pincer, la voie s’ouvrira peut-être à la jouissance.

S’assurant une prise solide sur mon tétin gauche, elle le serra à l'écraser, le tira exagérément, l'allongea affreusement pour entraîner du même coup l'aréole, puis tourna, et tourna encore...La douleur infligée à ma poitrine devint telle que je ne sentais plus qu'à peine mon clitoris captif des doigts griffus de Stef. Dix fois, vingt fois, les odieuses pinces me prirent, mordant ici mon téton gauche, invitant Annette à faire de même avec le droit. Elles me torturaient sans répit ni relâche, me faisant hurler, sangloter, supplier et maudire tour à tour les implacables tortionnaires.
Stéphanie, au comble de l’excitation, me révéla sa vraie nature.
J’éprouve plus de plaisir que prévu à te voir supplier mais cela te vaudra une punition supplémentaire.
Elle prit tout son temps pour assurer sa prise sur mon clitoris. Un râle de satisfaction bestial m’échappa quand elle se mit à attendrir complaisamment Titi en guettant mes réactions. Je frémissais autant d'appréhension que de désir. Le souvenir de la précédente décharge du teaser sur mon clito était encore vif dans mon esprit et mon corps.
Je me posai la question de savoir ce qui t’est plus douloureux. Le teaser ou la pince ?
Même pas mal avec ta petite pince, vieille vicieuse. Je te hais…
A chaque pincette du malfaisant outil, Titi, électrisé par ce contact rugueux, répondait par une érection redoublée. Annette et Cindy se régalaient de mes complaintes aux tonalités étrangement voluptueuses. Je rassemblai toutes mes forces et serrai mes cuisses écartelées pour tenter d’offrir un sursis à mon clitoris tourmenté. Profitant du relâchement de mes fessiers, Cindy introduisit son index dans la béance pour me forer l’anus. M’obligeant à me cambrer, elle privait ainsi Titi du dérisoire et ultime rempart de mes cuisses.
Stef profitait de chaque pincette pour allonger mon bouton jusqu’à me faire implorer sa pitié.
Vous me dégoûtez toutes autant que vous êtes.

Continue comme ça !

Mon clitoris bagué était laminé de plus en plus énergiquement, étiré toujours un peu plus fort, Jamais je n'avais ressenti une telle sensation. Jamais je n'avais connu une douleur aussi vive, mais également aussi proche du plaisir. Je percevais en Stef sa fierté de me posséder ! J’étais à elle. Son objet, son plaisir de l'instant, son jouet… Totalement désarçonnée, j’accompagnais chaque blessure d'une exclamation suraigüe qui m’approchait lentement mais sûrement d’un orgasme monstrueux. Finis les pleurs, les supplications, les refus !
Elle se mit à tirer la pince vers mon nombril, puis à la tourner, comme si elle eût décidé d'extraire de mon être la totalité de mon intimité. La souffrance devint vite infernale. Sa tenaille ne lâchait sa proie que quelques secondes pour mieux la reprendre et accentuer la prochaine torsade.
Noooon pas çaaaa ! C’est trop fort !!!
Tu n’as pas d’ordre à me donner. Je continuerai toute la nuit ou jusqu’à l’excision si tu n’as pas la chance de perdre connaissance avant.
Non! Oh noooooon!...
Je me mordis les lèvres à sang quand une torsion mal contrôlée m’arracha le mince filet qui empêchait le décalottage complet de mon Titi, lui enlevant sa dernière protection. J'éprouvais une plénitude fulgurante. Mes mains et mes jambes se libèrent et la croix ne me sert plus que de support. Le corps ondule, vague écumante annonciatrice de tempêtes. L'esprit s'embrume. Peur de céder à l'instinct, de casser net le fil trop tendu de mon désir.
Laurent entre avec ses amis et chasse les trois filles. Il découvre mon ventre désireux, béant et onctueux. Ils me cernent de toute part et déchargent dans mes entrailles. Les doigts de Laurent suivent le dessin de mes grandes lèvres, se font plus sauvages et les froissent sans pitié, s'appliquant à attendrir méticuleusement mon entrejambe. Son majeur découvre mon point G hypertrophié, résultat de l'overdose hormonale. Il s'aventure entre les parois carminées, m’arrachant des rugissements de plaisir. Je m’entends hurler, d'un plaisir immense, colossal, bestial...Le bouchon de champagne vient de sauter. La symphonie pétillante débute sur l’ouverture des grandes eaux de Versailles. Je fonds sous les doigts qui cherchent à me voler un nouvel orgasme en violant l'entrée de son sexe, faisant monter la chaleur de mon temple qui s'enthousiasme dans de violentes secousses. Des orgasmes de plus en plus brutaux s’enchaînent tandis que mon dos se déchire sous la volée de coups de fouets qu’il reçoit. Les yeux fermés, je m'enivre encore des offenses que j’ai endurées et savoure celles que, bientôt, je vais subir. Laurent se retire et ses comparses, par dizaines, viennent à leur tour branler Lolita et décharger dans ses entrailles. Au stade d’excitation où je me trouvais, il ne fallait pas une main très adroite pour faire déborder le torrent. Je me pâme maintenant aux plus légers attouchements sur mon minou en feu en déversant un abondant nectar. Ils cherchent à me prodiguer généreusement le plus de plaisir possible pour que la punition qui suivra soit la plus cuisante aussi. Je tremble de joie, vibrant comme une feuille au vent, m'accrochant à la dernière tige qui me pourfend le fondement.

On n’a plus besoin de son cul. Choque-là !

Une décharge dix fois plus forte que toutes celles que j’avais déjà reçues m’éclata l’anus. Sans me laisser le temps de reprendre ma respiration, les autres me cueillirent sur les seins et les fesses une vingtaine de fois de suite. Laurent et ses deux lieutenants s’emparent des martinets à lanières multiples. Mon dos est déjà une fournaise et ils ont à peine commencé. Je me roule en boule mais les décharges de teaser m’en empêchent. Mes fesses sont en feu mais ils n’arrêtent pas…ils n’arrêteront jamais. Ils m’obligent à m’étendre sur le dos d’un petit coup dans le flanc. Je cherche encore à rattraper mon souffle, épuisée, incapable de tenir seule debout, en ayant l'impression d'avoir fait l'amour durant toute une nuit sans le moindre répit. Je me sens sale et leur semence coulant sur mes cuisses me rappelle sans cesse à mon triste sort. Et soudain…

Puisque tu lâches tes eaux avant l'heure, ton sexe béant sera frappé jusqu'à marée basse. Osiris es est tout puissant et a le droit de cuissage sur cet univers de chairs vermeilles et succulentes. Cela sera la dernière jouissance de ta vie.

Essayant vainement de cacher mon clitoris tourmenté et mes lèvres en feu, remplie de honte, je ne me laisse pas démonter pour autant. L’esprit totalement embrumé par l’orgasme à peine finissant, je refuse de leur avouer cette peur viscérale de mourir au prochain supplice tant ce challenge m’enthousiasmait. Ils s’attaquèrent de force à mon intimité, ne récoltant que quelques cris et ma pluie d'amour, chaude et abondante.

Je ne sortis que 3 ou 4 heures plus tard de ce paradis masochiste, anéantie physiquement mais avec la conscience d’avoir approché le nirvana. Je compris, au sortir de ce délire, que ces sensations infiniment jouissives ne pouvaient survenir qu’au plus profond de la détresse corporelle à l’approche de mort. Puis mes forces m’abandonnèrent. Je me suis affalée pesamment, vidée de toute énergie, avec le sexe et les seins comme enduits d'acide. Ils étaient tous partis. Seule, au pied de la croix, la webcam branchée sur mon corps meurtri, je contemplai mon sexe dévasté. Jamais je n’avais été torturée si cruellement. Je venais de vivre plus de 24 heures de vertige perpétuel, aspirée dans un gouffre ou chacun avait entraîné l'autre mais le précipice qui s’ouvrait devant moi semblait ne pas avoir de fond. Des mousquetons pendaient un peu partout et renvoyaient comme une menace les rayons du soleil de midi. Je ne parvenais même plus à me redresser et pourtant, il fallait que tout soit en ordre avant que Mireille et Marine reviennent. Personne ne devait savoir ce qui s’était passé ici. Une heure plus tard, aucune trace ne subsistait du passage des scélérats. Je remontai péniblement à l’étage avec l’intention de prendre une douche mais dès les premières marches, je me sentis mal. Il fallait que mange vite quelque chose…D’abord me reposer…et déposer sur la marche mon portable avant de le laisser tomber dans les escaliers. Mon Dieu ! Mon ordi avait tout enregistré. Il m’avait suivi dans toutes les pièces de la maison !!! Les images de toute ma captivité défilaient sur l’écran…J’ai sommeil…Pourquoi ne voit-on pas les louves sur le film ?...et Stéphanie, blonde comme les blés…

Je ne saurai jamais combien d’heures s’étaient écoulées depuis que j’avais perdu connaissance ? Dieu seul sait par quel sortilège je me réveillai dans un endroit si différent de celui de la veille…avec une perfusion dans le bras et des pansements partout !!! Mon ! Pire que ça ! J’étais une véritable momie. Impossible de faire le bilan des dégâts en position horizontale. On verra cela quand j’aurai un peu récupéré. Mon cerveau était toujours dans un désordre épouvantable et mon énergie insuffisante pour me lever.

Quand Annette poussa la porte avec son infirmière, j’ai cru que tout recommençait.

La prochaine fois que tu te sens le besoin de t’organiser une petite sauterie pour t’envoyer en l’air et vider les glandes, parle m’en d’abord ! Tu as subi quatre heures de salle d’op pour te remettre à neuf et ôter jusqu’au dernier morceau de fibre de verre que tu t’étais incrusté dans l’épiderme…et ailleurs. Nous avons visionné, Cindy et moi, ton « film artistique ». Quel trip !

C’est de la faute à Cindy.

Cindy, tu ne pourras jamais la remercier assez chaleureusement. C’est elle qui a passé toute une soirée pour te remettre à neuf.

Ne me dis pas que j’ai trippé toute seule !!!! C’est à cause des médicaments du Dr Hervé alors…

Les médicaments ? Parlons-en ! Qui t’a donné ces saloperies ! C’est un tel cocktail que le labo y trouve même des molécules non répertoriées, style champignons hallucinogènes.

C’est Laurent ! Il m’a dit qu’avec ça, je serai en forme pour mardi…Quand vous êtes toutes parties, j’ai abusé un peu…Quel jour sommes-nous ?

Mercredi…Et oui ! Tu as passé une demi-journée en salle d’op et deux jours en réa. Et j’ai décidé de te garder ici pour quatre semaines au moins…tant que tu n’auras pas retrouvé toute ta sérénité. Décision du juge, le même qui a signé tes papiers d’émancipation.


*


J’ai loupé six semaines de cours. Le temps que j’ai passé dans cet établissement, entourée l’amour de Tantine, d’Annette et Cindy et même de Stéphaniechoutte qui passait me voir chaque W.E. Cette aventure m’a sans doute été salutaire. Je m’étais faite ma propre thérapie toute seule et j’avais retrouvé la fameuse sérénité que mon entourage se désespérait de me voir acquérir. Mes résultats scolaires en pâtirent au point que je terminai ma dernière année d’humanité avec un petit 55%. Ce qui ne m’empêcha pas de prendre le chemin de l’unif avec un an d’avance. Je me suis jetée à corps perdu dans les études, négligeant tous mes courtisans et courtisanes sans état d’âme. Je me suis même payée un graduat en droit en cours du soir. En principe, cela ouvre pas mal de portes dans le domaine administratif. Clerc de notaire, secrétariat en entreprise, chez des avocats ou en tribunaux, comptabilité, etc…
Et Marine, me direz-vous ? Marine nous a quittées une semaine après mon retour à la maison. Elle avait rencontré quelqu’un d’exceptionnel, paraît-il. Une fille encore mieux que les vingt précédentes mais moins bien que les vingt suivantes. J’ai vécu une petite année chez Mireille. Elle ne m’a jamais plus touchée. La cave avait été condamnée et le rack vendu avant que je ne sorte de clinique.

Je m’étais tellement abîmée que ma self thérapie avait apporté le résultat escompté par le corps médical. Jusqu’à l’aube de mes 24 ans, Annette a continué à me suivre en consultation. Elle est devenue une amie, tout comme Stéphanie. Nous nous voyons tous les trois mois dans le cadre informel d’un restaurant ou d’une salle de spectacle pour discuter et prendre de nos nouvelles. Je suis très attentive à leurs conseils et je les mets en pratique autant que possible.
Le sport a ainsi rapidement pris alors une place très importante dans ma vie. Fini le tennis et autres sports d’équipe. Je suis devenue un accro du footing, par tous les temps, en toutes saisons sauf les W.E. Les samedis étaient consacrés aux études et les dimanches à Florence. Je n’avais rien perdu de mon amour pour les chevaux. Ne vous méprenez pas ! Je n’ai jamais considéré Flo comme une amante même si nous avons dérapé une fois ou deux. Bon ! Soyons honnête ! Cinq fois. La chaleur, le baiser qui manque sa cible, le verre de trop…vous savez ce que c’est. Je me suis assagie, certes, mais je ne suis pas entrée en religion non plus. Flo, c’était et c’est toujours une merveilleuse et précieuse confidente qui ne m’a jamais laissé tombée. C’est grâce à elle que j’ai même trouvé récemment un second emploi dans un club équestre pour compléter mon salaire aux greffes du tribunal de la jeunesse. J’ai même failli devenir sa belle-mère. Comment cela, me direz-vous ? Je vous explique.
#194629
Je viens seulement de prendre connaissance de ce long topic et de ce sublime récit .
J'avais précédemment suivi l'histoire, o combien excitante, d'un certain "clubman" alléché par les photos d'une sublime créature qui y étaient jointes.
J'ai apprécié ce très long et beau moment de lecture.
Bravo.
A quand une publication ?
#199993
Bon! Puisque je suis toujours là, je vais risquer une petite suite à mon histoire...

Quelques jours avant ma rentrée universitaire, Mireille a perdu la vie dans un accident de circulation. Le rapport de police a conclu qu’elle s’était endormie au volant avant de prendre de plein fouet un poteau d’éclairage autoroutier. Il a fallu qu’elle disparaisse pour que je me rende compte de la place qu’elle occupait dans ma vie. Une semaine après ses obsèques, Papa disparaissait, victime d’une pneumonie foudroyante. J’étais foudroyée et seule au monde. Huit jours plus tard, j’apprenais, de la bouche du notaire que j’étais l’unique héritière de papa et de Tantine Mireille. Il me conseillait de prendre un avocat expert car la situation était loin d’être aussi limpide qu’il n’y paraissait. J’ai tout de suite pensé à Florence qui m’a accompagné à l’étude du notaire avec un de ses amis. En ce qui concerne l’héritage de papa, il ne me revenait plus grand chose une fois toutes ses dettes payées. Par contre, l’expertise des biens de Tantine nous révéla bien des surprises. La valeur estimée de son « musée de la torture », des tableaux, et de ses propriétés dépassait largement les deux millions d’euros. Le notaire me posa immédiatement la question qui fait mal.

Pourquoi Tantine avait-elle stoppé la procédure d’adoption qu’elle avait entamée deux ans plus tôt ? Qui avait voulu cette procédure d’émancipation qui supprimait tout lien de parenté entre Tantine et moi ? Bref. Connaissant la gourmandise du fisc et la valeur aléatoire en vente forcée des biens de Tantine, je risquais de me faire plumer en bout de parcours. L’avocat conseil de Florence sauva, pour partie, la mise en proposant de léguer les œuvres d’art et le musée de la torture à un ou des musées pour échapper, dans mon chef, à un maximum de droits d’héritage. Un mois plus tard, deux musées se portaient acquéreurs du mobilier, des tableaux et autres collections. Je me retrouvais propriétaire d’une maison vide et inhabitable, d’un terrain immense, d’un pavillon de chasse transformé en écurie. Une fois encore, Florence vint à mon secours en la personne de son père. Il était intéressé par l’achat de toute ma propriété pour permettre à Florence de garder la prairie, le bois et l’écurie, indispensables au bien-être des ses chevaux. Cela arrangeait bien mes finances, vu que j’avais encore une note assez impressionnante de frais notariés et de droits d’héritage à verser assez rapidement au trésor. Contre un petit pactole, il me laissait la propriété du relais de chasse sans les écuries.
Comme Mireille, avant de mourir, avait joué le jeu et fait transférer sur un compte titre les 28.000 euros de la rente que mon père avait avancée, je me suis retrouvée, à 21 ans, avec un gros paquet de fric. J’aurais pu m’acheter des fringues et du maquillage mais j’ai préféré confier la gestion de mon argent à la cousine d’Annette la psychiatre, notaire de son état et meilleure amie de la maman de Flo. Frank, le père de Florence, était un homme charmant qui avoua avoir ressenti le coup de foudre pour moi, dès notre première rencontre. Il ne s’en est jamais caché d’ailleurs, malgré l’hilarité de sa fille quand il m’a fait sa déclaration. Par la force des choses, nous nous sommes rencontrés très souvent durant la restauration de la maison de tantine. D’autant plus souvent que Frank, dans sa rage de me séduire, avait décidé de faire, à ses frais, un petit paradis de mon relais de chasse.

*

C’était un samedi de juillet. Le pire samedi d’un été caniculaire comme je n’en avais jamais connu. Je m’en souviens comme si c’était hier. La pouliche de Florence avait mis au monde, le matin même, une délicieuse petite fille zain. La veille, j’avais été délibérée avec une grande distinction et j’accédais en dernière année de fac. Je revenais, euphorique, du tennis avec Florence qui m’avait empilé trois sets secs. Elle piqua une crise quand elle reconnut la voiture de sa mère qui barrait l’accès au relais de chasse. Impossible de garer sa voiture à moins de deux cents mètres de mon logis. Pour fêter la fin des travaux et la clôture de son divorce, Frank avait organisé un cocktail dinatoire dans l’ancienne maison de tantine…et avait oublié d’inviter sa propre fille unique.

Je te parie que ma mère est venue accompagnée de Léna (mon ex). C’est la seule raison plausible pour expliquer que mon père ait omis de m’inviter.

Arrête ! Tu te fais des idées. Il a oublié. C’est tout.

Elle s’employa à me démontrer que je me trompais sur toute la ligne. A la fin de son plaidoyer, Maître Florence m’avait convaincue que son père ne souhaitait pas la confronter à
Michelle et Léna dont j’apprenais l’inattendue complicité, voire leur relation intime. Comment une fille de trente était-elle devenue l’amante d’une quinquagénaire en abandonnant ma sublime Florence.

Dis, Flo ! Pourquoi cela n’a-t-il plus été avec Léna ?

Parce que Léna est une lunatique. Elle était tantôt très maso et tantôt très sadique. Moi je n’avais aucune envie de me faire taper. Alors, elle est partie avec ma mère. Je pense que ma mère l’a prise comme associée pour son argent en lui faisant miroiter que dans son club, il y avait quantité de filles à baiser. Le club équestre était au bord de la faillite. Ca l’arrangeait bien.

Ta maman, c’est une dominante ?

Et comment ? C’est pour cela que mes parents ont fini par divorcer.

Elle battait ton papa ?

Mais non, papa voulait toujours qu’elle le cocufie avec d’autres hommes mais elle refusait. Elle a fini par accepter avec des femmes mais elle voulait toujours tenir la cravache par le manche. Et puis, papa a été opéré d’un cancer. Il ne savait plus la satisfaire mais avait encore plus envie de maman. Il a viré vers l’échangisme. Il offrait maman à tout qui en voulait. C’était devenu intenable pour elle. A force de rencontrer d’autres hommes et surtout d’autres femmes, elle a fini par partir avec une fille très jeune.

Aussi jeune que moi.

Non ! Quand même pas ! Elle avait une trentaine d’années mais cela n’a pas duré. Tout son argent était passé dans l’achat du club et elle n’avait plus de quoi l’entretenir. La jeunette est partie sans prévenir. Maman a commencé à déprimer. Elle ne surveillait pratiquement plus le club et ne faisait que sortir en boite tous les soirs. Au début, papa comblait les déficits. Il a fini par lui proposer de se servir de ses talents de dragueuse professionnelle pour renflouer ses caisses en racolant des clients et surtout des clientes. Elle a commencé alors à faire de la publicité dans les clubs échangistes homosexuels féminins. Et ça n’a pas trop mal marché. Son club est devenu un lieu de rencontre très prisé pour les femmes en recherche de « contacts ». Il y avait beaucoup plus de femmes dominantes de plus de 40 ans que de jeunes soumises. Quand elle en dénichait une, elle était tellement sollicitée qu’elle finissait par être dégoûtée et elle partait. Elle s’est ensuite lancée dans le rachat d’une ancienne ferme-château pour que son club prenne un nouvel envol. Rapidement, elle y a ouvert une nouvelle section, le club J.P (jeunes pouliches) réservé aux filles de 18 à 25 ans. Ce qui est rentable dans un club, ce sont les propriétaires qui mettent leurs chevaux en pension. Pas beaucoup de JP au début mais beaucoup de vieux voyeurs et de vieux vicelards qui sont arrivés avec leur argent et leurs chevaux. Le chiffre d’affaire a explosé surtout à cause du bar et des soirées à thème avec démonstration de dressage de chevaux par les jeunes filles du club. Je le sais pour y avoir participé. Je peux même me vanter d’avoir parfois rempli les gradins, à moi seule, quand maman me demandait de monter en short pour faire ma démonstration. Malheureusement, certains et certaines ont fini par me prendre pour une autre. Maman et moi nous sommes disputées et j’ai repris mes deux chevaux pour les mettre chez Mireille qui m’a accueilli les bras ouverts. Il m’a fallu deux ans pour comprendre que ma Léna fréquentait toujours le club malgré ses dénégations. Et moins d’une semaine pour que je comprenne qu’elles s’étaient mise ensemble.

Tu l’aimes toujours, Léna ?

Oui et non. J’ai trop de ressentiment vis-à-vis d’elle pour encore parvenir à l’aimer vraiment un jour. Regarde la fenêtre du deuxième étage ! Ma mère avec Léna !!! Elles nous observent. Milli ! J’ai envie de toi ! Mets-toi à poil !

Nous n’allons quand même pas faire ça ici ?

Mais non, nous allons faire semblant. Je vais leur faire croire que nous sommes un couple et que tu es ma soumise inconditionnelle.

Ca, je veux bien. Je peux garder ma culotte ?

Florence me sauta dessus et m’embrassa comme une démente. Elle m’arracha ma nouvelle robe de tennis et ma culotte blanche. Elle jeta le tout sur le tas de foin pour être bien certaine que tout le monde en profite. Après m’avoir poussée dans ma maison, elle claqua la porte et se déshabilla complètement pour se jeter sur...ma garde-robe.

Qu’est ce que tu fais ?

Je cherche une tenue correcte pour aller assister au cocktail. Nous avons à peu près la même taille. Ce serait le diable si je ne trouvais pas quelque chose de séant à me mettre. Dis donc !
Tu fais une collection d’habits de poupée ?

Ne te gêne surtout pas ! Je thésaurise toutes mes anciennes fringues et alors. Ca te gêne ?

Non ! Dis –moi où tu caches ta robe bleue ! Tu sais, celle que tu portais à ta délibération…

Et refrench kiss un rien intéressé.

C’est malin. Tu m’allumée et tu vas me laisses tomber.

Pas tout à fait. Je vais les rejoindre et puis je m’occupe de toi.

Je sens que tu vas faire des bêtises. Je te prête ma robe de soirée mais à une condition. Je viens avec toi. Tant pis si j’ai l’air d’une pauvresse. Ma robe, elle est sur le cintre du fond, dans la penderie, à l’étage.

C’est d’accord pour moi mais tu me laisseras choisir tes fringues. Je ne veux pas traîner un souillon derrière moi. Chiche !

Chiche !

Tu es super, Milli. Je te revaudrai cela. Bisou ou câlin ?

Rien du tout ! Je suis déjà assez à cran comme ça. Dis-moi plutôt ce que tu as derrière la tête !

Tu es ma soumise, oui ou non ? Bon ! Je vais les rendre jalouses de notre couple, jalouses à en crever. Comme c’est mimi, toutes ses petites fringues ! Il y a tout ce qu’il faut ici pour te déguiser en petite minette. Oh oui ! Celle-là !

Tu penses parfois à ton père, toi ? Il me drague depuis des lustres et il ne sait rien de notre relation. Il ne fait que me reluquer à la moindre occasion. Il va faire un infarctus si je me présente devant lui avec une jupette au ras du minou.

Et bien, comme ça, il saura et il verra. Passe cette robe de tennis, veux-tu ?

Pas celle-là ! Trop de mauvais souvenirs…

Je parie que c’est celle que tu portais pour exciter les garçons de ton ancien club de tennis. Oh ! La cochonne…elle a même refait le bord pour la raccourcir. Dis-moi la vérité ! Tu ne portais pas de sous-vêts quand tu portais ce mouchoir de poche ?

Non, mais c’était une autre époque. Depuis, je me soigne…Non, Flo ! Pas ça !

A mon tour de te soigner. Je vais commencer par ta petite motte.
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la suite...Milli a grandi en âge mais pas en sagesse



A mon tour de te soigner. Je vais commencer par ta petite motte, histoire de te mettre en tension. Tu m’as bien dit que tu te caressais toujours avant d’aller montrer tes fesses dans le vestiaire des garçons.

Je sentais déjà ma vulve s'humidifier en souvenir de ce passé peu glorieux. Je me mis instantanément à claquer des dents et à grelotter.

Oooh ! Flo !!! Par pitié, ne me touche plus là ! Je promets que je serai obéissante…j'accepterai tout ce que tu veux mais ne me touche plus là!

Laisse-moi encore t'astiquer un peu le minou ! Une fille en manque est bien plus sensuelle qu’une fille apaisée.

Au feu! Les pompiers ! Regarde ! Il y a plein de gens qui sortent de la réception…Ils vont nous voir quand ils reprendront leur voiture. Arrête, Flo !

Tu as raison. Il faut se dépêcher si nous ne voulons pas trouver porte close. Qu’est-ce que tu fais ?

Je ne me maquille jamais quand je suis dans mon état normal mais là, je n’étais plus dans mon état normal. Ma vieille robe de tennis avait perdu les trois premiers boutons de son bustier.

Evite quand même de faire des excès de zèle ! Passe vite cette culotte ! On dirait qu’il y le feu chez mon père. Ils sortent tous en même temps. On y va, cocotte.

Tout doucement, sa main remonta le long de ma cuisse puis s'arrêta. Elle m'écarta les jambes et se mit à me caresser langoureusement la vulve. Dès qu'elle sentit mon clitoris se durcir, elle le massa énergiquement.

Je suis si loin, Flo. Tu me touches et je pars aussitôt.

Le walking dinner se terminait. Difficile d’entrer tant les gens se bousculaient pour sortir.
Une gigantesque vasque pleine de glace pilée recelait encore quelques bouteilles de champagne inviolées. Jamais je ne m'étais sentie aussi vulnérable avec ce string particulièrement indécent et cette « robinette » de poupée Barbie. Je tournai la tête sur le côté pour ne plus voir les regards méprisants des derniers convives qui quittaient la réception. Soudain, je tombai nez à nez avec une vieille connaissance : Marine ivre morte.

Elle attendit expressément que j’enjambe la dernière marche pour me coincer contre la porte du living. Il restait encore une dizaine de personnes assemblées autour d’une table basse. Elles n’avaient même pas remarqué le drame qui se déroulait à moins de cinq mètres d’elles. Même Florence ne se souciait pas de mon kidnapping. Mr Frank, tel un coq au milieu de sa basse-cour comptait fleurette à ses dernières admiratrices.

En équilibre instable dans l’escalier, je subissais, vaille que vaille, les avances de la poivrote déchaînée.
Laisse-toi faire ou je balance tout ton passé sulfureux d’obsédée sexuelle à la figure des notables qui nous observent l’air de rien dans la pièce à côté !
Elle troussa ma robe jusque sous mes aisselles, révélant aux convives mon bronzage intégral.
Quelle entrée en matière catastrophique pour ma nouvelle relation avec mon futur voisin !
Les doigts de Marine courraient sur ma fente comme des souris en fuite. A ce rythme, je n'allais plus tarder à crier mon orgasme. Elle baissa mon string d’un étage et se mit à me taper la chatte comme un tambourin.

Je veux voir tes yeux implorants de chatte violée quand tu jouiras.

Il n’en fallut pas plus pour que je me mette à rugir en aspergeant la moquette.

On peut dire que tu es toujours aussi rapide, toi.

Ce qui devait arriver arriva. Mes cris ameutèrent le maître des lieux avant que je n’ai le temps de me rhabiller. Mon cœur s'emballa, j'étais paniquée, perdue. Et cette robe trop serrée qui refusait obstinément de descendre sous ma taille… C'était trop tard, j’étais déjà morte de honte, comme une fillette surprise le doigt dans le pot de chocolat à tartiner. Marine, qui connaissait mes secrets les plus intimes, se retira discrètement et partit dialoguer avec un groupe de femmes qui éclusaient les dernières bouteilles de champ.


Je suis désolée, Monsieur…

Pas grave ! Laissez-moi vous aider à vous reculotter, mademoiselle !

La culotte, ça ira. C’est la robe qui coince…

Dommage ! J'adore donner la fessée aux petites filles turbulentes.

Sous prétexte de m’aider, il posa sa main droite sur mon sein et le pétrit généreusement.
Je ne m'attendais pas du tout à ce que le plaisir revienne aussi vite à la charge. Il ne faut jamais toucher mes seins quand je suis dans cet état-là. Une nouvelle vague de bonheur me lamina une fois de plus et envoya le pantalon paternel chez le teinturier.

Désolée…désolée…désolée… Quand on terrorise les jeunes filles sans défense, il faut s'attendre à de petits inconvénients de ce genre.

C’est de ma faute. Ne t’excuse pas ! D’un autre côté, comment aurais-je pu imaginer qu’une aussi jolie fille manquait d'affection à ce point ?

Papa ! Tu n’as pas le droit de la toucher ! Elle est à moi. Si elle t’intéressait tant que cela, il fallait l’inviter…et moi aussi par la même occasion. C’est un monde, ça !

Ma chérie, je t’en avais parlé mais tu avais prétexté un tournoi de tennis.

L’air de rien, Florence avait habilement manœuvré et repris le contrôle de la situation.

Soit ! Tu nous fais visiter ta baraque ?
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L’air de rien, Florence avait habilement manœuvré et repris le contrôle de la situation.

Soit ! J’ai du oublié. Tu nous fais visiter ta baraque, maintenant ? Je n’aime pas du tout la façon dont maman et sa putain matte Emilie.

Tout de suite, ma chérie. Mais permettez-moi de vous offrir un verre d’abord ? Je me doutais que tu allais passer faire un tour tôt ou tard, Florence. J’ai mis au frais ton Champagne favori…Cuvée Don Ruinart 2009. Prenez chacune une bouteille ! Nous allons prendre un verre au bord de la piscine.

Géniale et inattendue, la piscine !!! Mr Frank avait fait raser une partie du bois pour y construire une piscine de 18m sur 10, entièrement couverte de baies vitrées coulissantes. Le mur d’enceinte la masquait complètement à la vue depuis mon pavillon. Le propriétaire actionna une télécommande et, un à un, les panneaux vitrés s’emboîtèrent pour livrer l’onde turquoise aux rayons du soleil déclinant.

Je l’ai orientée plein sud-ouest pour pouvoir en profiter surtout en fin d’après-midi, quand je rentre du travail. Il va s’en dire que tu seras toujours la bienvenue, Florence. Pareil pour toi, jolie voisine. Quand tu auras envie de te baigner, ne te gêne surtout pas !

Florence ne voulait sous aucun prétexte manquer l’invitation. Il n’y avait qu’un seul obstacle pour ne pas faire plouf immédiatement : sa mère et Léna qui nous zieutaient depuis le grand salon.

Je viendrai certainement quand tu te seras débarrassé des spectatrices collées derrière la vitre derrière toi, papa. Le second problème, c’est que tu n’es jamais chez toi…

Je ne vois pas le problème. Je ferai percer une porte dans le mur en face du pavillon de chasse d’Emilie. Vous seules en aurez la clé. Ca te va comme ça ?

Oh oui, ouiiii !!!! Pardon ! Qu’en dis-tu Florence ?

Ca, ça me va très bien. Arrête de me resservir de Champagne, je suis déjà pompette. Emilie, si tu allais te changer au lieu de picoler. Je suis certaine que tu meurs d’envie de te baigner.

Et de nous faire profiter de ta plastique exceptionnelle…ajouta Mr Frank.

Je ne me le fis pas dire deux fois. En ouvrant le tiroir de ma commode, le destin me jeta à la figure le bikini blanc que Florence adorait me voir porter. Mon paréo le plus coloré noué à la taille et me voilà prête pour leur griller les rétines. Rien ne se passa comme je l’avais prévu. A mon retour, la piscine avait été squattée par une dizaine de bonnes femmes, sans doute attirées par les effluves du Don Ruinart. Florence avait outrageusement abusé du champagne et embrassait fougueusement Léna dans un coin. Sa mère et une autre dame avaient jeté leur dévolu sur une très jolie gamine de mon âge. Elles la caressaient sans répit à travers son bikini rose, tantôt debout, tantôt à cheval sur leurs genoux quand elle ne tenait plus sur ses jambes. La pauvre était complètement partie. Elles lui firent enchaîner une dizaine d'orgasmes de plus en plus violents et tonitruants. Quand la splendide anorexique, splendide mais anorexique quand même, demanda grâce, Michelle (l’ex de Mr Frank) lui balança une gifle au visage en la sermonnant.

Tu as le mental pour devenir une jouisseuse à plein temps mais hélas, ton corps se fatigue plus vite que ta tête. A moins que tu ne capitules que pour te faire rosser…Avoue !

La fille ôta son bikini et se tourna vers le seul couple mixte de l’assemblée.

Va les rejoindre s’ils veulent de toi !

L’homme lui saisit les hanches, la fit pivoter et présenta son sexe à sa compagne. Elle sortit un fouet court de son sac Delvaux et la pria d’écarter les jambes. Elle la masturba frénétiquement jusqu’à ce que la fille éjacule. Sans lui laisser le temps de se reprendre, elle lui fouetta le sexe de toutes ses forces. Une dizaine de coups plus tard, un nouveau raz-de-marée déferla sur la mégère au fouet qui n'en revenait pas.

Va te baigner, souillonne !

C’est ainsi que je fis la rencontre d’une petite Adèle, fort délurée, à fond dans son trip masochiste. Elle me frôla en descendant l’escalier de la piscine et me glissa à l’oreille en pointant du doigt Michelle et Léna :

Ne cède jamais aux avances de ces deux là ! Elles t’ont repérée et t’appellent déjà le « sex-symbol » de Florence. Si tu les laisses te toucher, elles vont t’anéantir.

C’est marrant ce que tu me dis là. C’est précisément les deux personnes auxquelles ma Maîtresse veut me présenter.

Je venais d’atterrir sur une autre planète. Frank vit mon désarroi et vint me réconforter, suivi de près par Marine, toujours pas dessoûlée. Il me tendit une nouvelle flûte qui, s’ajoutant aux précédentes, me fit couler à pic avant que mes pieds n’atteignent le bord de la piscine.

Ne t’offusque pas, Emilie ! J’ai connu la libération sexuelle des années 70. Depuis que j’ai rencontré Michelle, je suis à l’heure de la révolution sexuelle et je ne m’étonne plus de rien. J’ai vécu avec elle un divorce déchirant. Michelle a toujours été renommée pour ses frasques mais depuis qu’elle et Léna ont « adopté » Adèle, elles n’ont plus aucun sens de la mesure.

Marine, la poivrote de service, s’était discrètement glissée derrière moi. Elle s’empara de mon paréo et le jeta dans la piscine. Profitant de l’angle de mes cuisses largement ouvert, elle m’empauma le sexe sans la moindre gêne.

Avoue que tu aimerais être à sa place ! Je n’ai rien oublié de la rage masochiste qui t’habitait quand cette maison appartenait à Mireille. Inutile de jouer à la mijaurée. Tout le monde ici est au courant de tes vices.

Elle était parvenue à me pincer le clitoris à travers le nylon de mon string. Le petit bout de chair me faisait horriblement mal, mais je ne voulais pas qu'elle s'arrête. Devais-je céder au plaisir pervers de ce vertige et assister sans bouger à l’effondrement de ma volonté ? Mes démons ne devaient pas être tout à fait endormis, après toutes ces années, car ils ont ressurgi avec une violence pharamineuse. La fascination de l'interdit avait décuplé mon trouble et ...quintuplé mon désir. Mr Frank ne me quittait plus des yeux. Il remarqua aisément que la souffrance et l'humiliation, non seulement ne m'angoissait plus, mais au contraire éveillait mon plaisir.

Tu semblais moins farouche en entrant chez moi. Laisse-toi faire, ma petite !

Léna, qui venait de se décoller de Florence, se glissa derrière moi comme une tigresse en chasse. Elle m’ôta mon soutif, l’envoya rejoindre mon paréo dans la piscine et déclara à l’assemblée qu’elle me trouvait encore plus appétissante que l'été dernier quand je montais nue la pouliche de Florence. Je me suis sentie rougir jusqu’à la pointe des orteils. Michelle ne tarda pas à nous rejoindre, suivie d’Adèle qui sortit de la piscine avec mon paréo et mon soutif dans la main. Je m’apprêtais à remettre mon soutien-gorge mais Florence m’en empêcha.

Tu as sciemment instauré cette surenchère érotique en revenant vêtue de ce mini-bikini obscène. C’est que cela te plaisait de montrer ton corps.

Pas comme ça, Flo ! Pas comme ça ! Ne les laisse pas… !

Ne joue pas à la vierge effarouchée, ma chérie ! Pas après l’entrée fracassante que tu as faite il y a moins d’une heure !

Florence ! Je t’appartiens…Nous deux, c’était si fort…

Désolée, tu as très mal prouvé ton amour. Je suis comme toi, vois-tu. Je ne me sens pas prête à appartenir à une seule personne. Et tes larmes ne pourront rien y changer. Si tu veux être traitée comme une esclave masochiste, j’ai des relations. Je te recommanderai particulièrement ces deux là.

Deux autres dames se levèrent et emprisonnèrent mes poignets. Michelle et Léna avaient toute latitude pour entreprendre le siège de mon corps enflammé. Il y avait une complicité évidente et envoûtante entre toutes ces femmes.

J’oubliais. Si tu veux devenir le jouet sexuel d’une cohorte de lesbiennes, maman et Léna sont incontournables. Demande à Adèle ! Ce sont. elles qui l’ont mise dans cet état.

L’anorexique Adèle vint se coller à ses Maîtresses qu’elle suivait comme une brave petite chienne. Manifestement, elle ne les intéressait plus et elle prit congé.

Je dois rejoindre Catherine. Elle m’attend pour dîner. Elle va être furieuse si je rentre trop tard.

Marine prit la même direction, histoire de dégriser tranquillement chez elle. Florence, elle, avait décidé de m’humilier encore un peu. Elles n’étaient plus que huit, hormis Mr Frank
Et sa fille chérie.

Papa ! Si tu nous faisais visiter ma maison. Je suis certaine que cela rappellera plein de souvenirs érotiques à ta voisine.

Si Emilie est d’accord, nous pouvons commencer de suite. Je préférerais quand même qu’elle remette son soutien, histoire de ne pas prendre froid dans mes caves obscures et de ne pas donner de mauvaises idées à mes invitées.

Mais Monsieur, je n’en avais pas l’intention. C’est de la faute à…

Ne cherche pas d’excuses, Milli. Papa veut simplement te faire remarquer que tu as cherché à provoquer cette belle effervescence parmi les gouines de luxe dont Papa aime s’entourer.

Répondre cela ou me dire : « Tu n’as qu’à te démerder toute seule maintenant », c’était du pareil au même.

Florence ! N’exagère pas ! Emilie est une très jolie fille et elle est suffisamment intelligente pour comprendre qu’elle éveille certains désirs chez mes amies. Ce n’est pas une raison pour les excuser. C’est par ici, si vous voulez bien me suivre. Nous allons commencer par le grenier.

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