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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#141000
Stéphanie reprit péniblement le fil de ses idées.

Nous avons deux semaines devant nous. Tu vas nous dévoiler sans tabous les irrésistibles besoins de ta chair au jour le jour, heure par heure. J’analyserai tes paroles et jouerai le rôle de modératrice. Tu verras que tu feras très vite des progrès si tu te confies à moi. Dis-moi, par exemple, à quoi tu penses en ce moment !

Je pense que ce soir, avec tantine et Marine, je vais faire beaucoup de progrès. Elles ont promis de m’en faire baver encore pire que hier soir. Je me demande si je n’aurai pas plus de chance de m’en tirer sans séquelles avec les garçons dans la sucrerie. Quand tantine a trop bu, elle est capable de…

Je n’ai encore presque rien bu aujourd’hui. Tu n’as encore aucune idée de ce dont que suis capable de te faire pour arriver à mes fins. Si tu as un instant pu penser que la tournante dans la sucrerie pouvait t’aider à te guérir, sache que ce que Marine et moi comptons faire de carcasse dans les semaines à venir sera sans commune mesure avec ces galipettes d’adolescents. Finies les gentilles sangles doublées de feutre ! Vive les grosses chaines rouillées…et le Porto millésimé !

Milli ! Tu es majeure, maintenant. Mireille a été claire sur ses intentions, je crois. Tu dois bien comprendre que lorsque j’ai proposé cette thérapie, j’étais déjà plus que border line avec mes convictions. Je vois que Cindy et Annette réagissent comme moi. Il nous sera plus difficile de rester à tes côtés que de partir, crois-moi. Dans le tréfonds de ton cœur, est-ce que tu crois qu’il est nécessaire pour toi de passer par la case torture.

J’ai promis que je serai votre prisonnière durant mes deux semaines de vacances. Une promesse est une promesse. La seule chose qui puisse me faire changer d’idée est que vous m’abandonniez maintenant. J’ai confiance en vous pour que vous m’aidiez à chasser mes démons. Sinon, j’irai mardi à la sucrerie et je ferai ma thérapie toute seule. Qu’est ce que vous allez faire pour mardi ?

C’est déjà fait. C’est annulé, même pas reporté, annulé. J’ai simplement écrit sur le blog de Laurent que le juge de la jeunesse et quelques policiers viendraient également participer à la tournante. Alors, nous restons ou nous fichons le camp ?

Sans l’ombre d’une hésitation, Annette et Cindy décidèrent de rester jusqu’au bout, jusqu’à ce que je sois guérie. Stéphanie aussi à condition que je dorme avec elle. Ainsi, nous formerions un troisième couple avec Cindy et Annette et Marine et Tantine.

Stéphanie, qui aime les discours, eut le mot de la fin.

Des millions de femmes masochistes doivent rêver à ce sort mais je n’en connais qu’une qui soit capable de l’exprimer aussi crûment et elle se tient devant moi. La différence essentielle par rapport à elles, c’est que celle-ci veut s’en sortir à tout prix en empruntant une voie particulièrement licencieuse mais pas si idiote après tout. Ce n’est pas pour cela qu’elle est condamnable, pour autant qu’elle ne déborde pas en dehors de sa vie privée ni de la nôtre. Tout ce qu’Emilie subira devra rester strictement du domaine du secret…j’allais dire médical. J’ai bien conscience de laisser derrière moi mon diplôme et mon serment et je ne pensais pas aller aussi loin dans la soumission de Milli. Je me dis que cela lui permettra peut-être d’éviter de rencontrer, un jour, des gens aux exigences réelles, sans aucune commune mesure avec celles d'aujourd'hui. Puisqu’elle veut jouer la prisonnière enchainée, soumise à la cruauté de cinq femmes, j’ai envie de dire, à contrecœur, qu’il faut répondre à sa demande avec zèle et application à sa requête. Les filles ainsi affligées d’un syndrome d’hypersexualité ne peuvent, en effet, trouver l’apaisement que lorsqu’elles sont épuisées sexuellement et physiquement. Je vous demande à toutes de me pardonner. C’est probablement mal de dériver ainsi de la ligne de conduite que je m’étais fixée.

Où est le mal si nous avons toutes les cinq les mêmes dérives, lui dis-je pour étouffer ses derniers scrupules en me caressant ostensiblement le sexe.

Milli, que fais-tu ?

J’ai faim…Je veux que ce soit toi, Stéphanie qui m’électrocute. J’ai juré de dire la vérité, n’est ce pas ? A part une très très légère contracture dans les cuisses, je n’ai pas senti grand-chose tout à l’heure…pas assez que pour contrarier mon plaisir si vous m’emballez toutes les trois ensembles, par exemple.

Annette et Cindy se positionnèrent de chaque côté de mes cuisseaux et commencèrent à les écarter doucement tout en les caressant.

Stéphanie, au centre de ma fourche, se jeta rageusement sur Titi qui grandissait à vue d’oeil.

L'abondance de ton miel trahit la complicité de ta chair, ma petite Milli.

Tu veux bien te tenir tranquille une seconde et arrêter de gigoter.

Cela ne sera pas facile, Maîtresse, car une pelote de terminaisons nerveuses en ébullition a envahi mon clitoris depuis ce matin.

Fais un effort ou il faudra que tu encaisses 250 impulsions avant de manger !

Mireille venait de ranger, avec un peu de nostalgie, sa bouteille de Porto.

Attachez-la sur le rack, vous pourrez la mettre en grand écart et elle se tiendra tranquille ! Il y a assez sangles pour qu’elle se s’échappe pas. Moi je vais pioncer pour être d’attaque pour ce soir. Tu viens, Marine. Nous allons discuter de la façon dont nous allons faire danser la petite truie.

Repose-toi bien, Mireille ! Nous allons voir ce rack dont on nous a déjà tant parlé. Allez, Monte devant nous, miss belles cuisses !

D’accord mais vous ne me tapez pas alors ! Vous pouvez juste admirer, c’est tout.

Tiens ! Celle-là, j’avais trop envie de te la donner.

Et n’oubliez pas Erik !

Erik ?

Ben oui, c’est marqué dessus…sur le stimulateur.

Eriksson Neuromuscular monitoring ! Bon ! On va l’appeler Erik si ça te fait plaisir.

Je n’avais jamais mis autant de temps pour gravir les dix-huit marches de l’escalier. Mes cuisses et mes fesses étaient couvertes de leurs empreintes de doigts. Un prélude idéal pour m’allumer copieusement. J’adorais cela car je savais que le fait de toucher mes courbes fessières les rendrait forcenées pour plusieurs heures si je soignais mon jeu de jambes.
#141957
En arrivant au premier étage, nous sommes passées devant la porte de ma chambre. J’avais pris pour habitude de déposer mes bottes et ma bombe d’équitation d’un côté du paillasson et de l’autre coté, mes deux cravaches dans un porte-parapluies. Une idée saugrenue me passa par la tête. Et si je butais sur le porte-parapluies pour les faire tomber…

Tu l’as fait exprès ?...

Marine et Cindy s’étaient déjà emparées des deux badines que j’avais envoyées valser deux bons mètres plus loin dans ma maladresse simulée.

Non, ne me tapez pas sur les seins ! S’il vous plaît ! Fouettez-moi les cuisses ou les fesses si vous voulez me taper, mais pas sur les seins !

Marine se regardèrent un bref instant, interloquées.

Sur les fesses, ce ne sera pas possible, vu qu’elle sera couchée sur le dos. Par contre, en grand écart, sur les cuisses, cela sera très facile…

Et très émouvant …cinq coups sur chaque cuisse suivie d’une décharge de chaque côté, pour tout remettre en place.

D’accord mais des décharges plus fortes que tout à l’heure…

Ne cherche pas à comprendre, Cindy ! C’est ça les masos !

J’avais déjà bien trinqué en arrivant devant le rack du grenier. Les trois toubibs m’avouèrent plus tard qu’elles n’avaient jamais auparavant joué à faire du mal à une fille. Ce qui confortait la déclaration de Marine quand elle disait que mon anatomie lui inspirait des idées sadiques.

La fièvre avait gagné mes trois tortionnaires quand je me suis assise sur le rack…dans l’autre sens pour ne pas perdre de temps. Ben oui ! Je me suis mise en grand écart sur le T qui servait à attacher les bras en enlevant la têtière pour que mes fesses dépassent juste un peu de l’assise et que fente puisse s’ouvrir plus largement.

Fébrilement, Stéphanie et Annette m’amarrèrent en s’étonnant que, déjà au premier cran, les sangles soient serrées aussi fort. Normal, vu qu’elles étaient prévues pour accueillir des bras et pas des guiboles.

Ce n’est plus un grand écart à 180 degrés que tu nous fais, c’est un 200…Tu vas finir par tomber de la table si tu continues à te laisser glisser.

Je ne vais pas tomber si vous me mettez les sangles à la racine des cuisses. C’est fait pour ça.

Visiblement non, les sangles n’étaient pas faites pour mon tour de cuisse. Elles durent s’y mettre à deux pour atteindre péniblement le dernier cran. Quand ma deuxième cuisse se retrouva cerclée, Stéphanie quitta la pièce et alla fermer, de l’intérieur, la porte du grenier. Quand elle revint, elle avait laissé tomber chemiser et soutif. A mon insu, Annette et Cindy s’étaient déjà dénudées complètement dans mon dos. Je ne vous dis pas le choc quand je les ai vues passer de part et d’autre de mon rack toutes nues, en se tenant pas la main. Elles filèrent droit sur Stéphanie pour finir le travail que la belle avait déjà commencé. Sa culotte n’avait pas encore touché terre, que la Stéphanie fut prise en tenaille entre les deux lionnes en rut.
Malgré les soupirs de la belle blonde, je crus entendre qu’elles lui disaient…nous allons te vider comme au bon vieux temps de l’université…
Stef a joui deux fois debout en moins de deux minutes à la grande satisfaction de ses compagnes. Impossible d’exprimer le plaisir qu’a pu me procurer la vision de la jouissance de cette fille .A daté de ce jour, je me suis promis que je ne toucherai plus jamais un homme et surtout que je ne me laisserai plus jamais toucher par un homme. La blonde aux cheveux de paille avait accroché une des ses jambes à l’épaule de Cindy et se laissait butiner par Annette en poussant des cris de plus en plus perçants.
J’ai essayé de me redresser, en poussant sur mes bras, pour mieux la voir mais n’y suis pas arrivée. Tout ce que je suis parvenue à faire, c’est de glisser encore un peu plus du tablier de bois de sorte que
Au prix d’un effort surhumain, j’étais presque parvenue à me remonter quand Annette et Cindy revinrent vers le rack, à moitié rhabillées.

Ne bouge plus, Milli ! C’est irréel tant c’est beau. Je vais te faire un peu mal, ma chérie mais c’est pour mieux séparer tes fesses et voir ton petit anneau plissé.

Non anus ? Pour quoi faire ? Vous n’avez pas de pénis, vous.

Elles n’ont pas relevé, sans doute étaient-elles trop envoûtées par ma chatoune ovalisée et béante. Ou alors, elles ont fait semblant de ne pas avoir entendu ma question car l’index de Stéphanie commença à me chatouiller curieusement l’orifice interdit. J’ignorais que je puisse éprouver des sensations aussi bouleversantes par là.

Quelle perspective magnifique, non ? Stef, il me sera difficile de ne pas lui prendre son pucelage. Prends ma place sur le tabouret avant que je ne fasse une bêtise !

J’ai très très faim…

Oh, ca va, hein ! Avant que Cindy ne t’attache les bras derrière la tête, Annette doit te mettre quelques noisettes de gel de contact. Veux-tu bien l’aider à choisir les endroits où je dois…

Donne-moi le tube de gel !

Comme pour transgresser une dernière fois les interdits, Je vidai la moitié du tube sur mes cuisses et vidai le reliquat sur mon sexe.

Ben oui ! Ca ne servirait à rien d’en mettre là où je ne sens rien.

Toi, tu cherches vraiment à passer une période très éprouvante, je le sens. Milli. Nous allons nous occuper de toi et de tes démons.

Mais non ! Vous ne comprenez pas. Si Erik ne me fait que du bien, je vais jouir et je résisterai moins bien à la douleur ce soir avec Marine et Mireille.

Mais ce sera donnant-donnant. Tu peux nous demander ce que tu veux, tout ce qui te passe par la tête, même les choses les plus dingues. Tu auras aussi toute liberté pour t’habiller comme tu le désires et circuler ainsi dans la propriété et dans la maison. A part sortir d’ici sans notre autorisation, rien ne te sera refusé. Seulement, je te préviens, nous déciderons de la façon dont nous répondrons à tes désirs et ce ne sera peut-être pas exactement comme tu l’aurais souhaité. Mais si tu veux être dégoûtée du masochisme, je te garantis que tu ne regretteras pas le voyage.

Alors, si je peux demander tout ce que je veux, je désire qu’Erik décharge dans et entre mes cuisses.

Pardon ?

Ben oui ! Quand ça pique très fort dans les cuisses, je sens la décharge jusque dans mon titi. Enfin, tantôt ça a fait ça. C’est comme si titi, il pétillait ou qu’il était secoué. Je peux encore demander…

Ben voyons !

Il faudra tester progressivement et monter le plus haut possible. Je vous dirai quand je commencerai à avoir un tout petit peu mal et quand je ne pourrai plus le supporter. Faut pas que je jouisse trop vite non plus sinon je résisterai moins bien à la douleur.

Rien que ça ! Tu nous prends pour tes boniches ou quoi. Cindy ! Viens m’aider à la sangler au niveau de son ventre pour bien bloquer son bassin. La petite pute veut des sensations fortes. Il vaut mieux prendre ses précautions.

Ne sers pas si fort, voyons ! Il n’y a rien de si mauvais pour sa libido. Tu vas faire affluer le sang dans ses organes génitaux.

Tu as raison. Cette sangle est trop étroite. Nous allons lui mettre la plus large et bien serrer jusqu’à ce que je puisse faire le tour de sa taille avec une seule main. Titi va tellement gonfler, ma puce, que tu pourras rendre les hommes fous rien qu'en te déculottant.

Regardez-moi comme elle est excitée, cette petite fille sans défense ! Elle va venir dès qu’on la touchera.

C’est déloyal, Stéphanie, de s’attaquer à une petite fille sans défense, affaiblie par des désirs croissants qu’elle ne peut assouvir.

Mes poignets !

Oui, quoi, tes poignets ?

C’est mieux quand ils sont plus serrés. Et la manivelle, là, c’est pour que je sois bien tendue. Tantine, elle dit, qu’ainsi, c’est plus facile pour attraper mes tétines avec la tenaille.
#142096
Personnellement, j'imagine aisément la suite. Je félicite déjà mes consoeurs pour leur connaissance de la physiologie neuro-musculaire. Une stimulation électrique sur un muscle tendu à l'extrême est un gage d'efficacité de douleurs sévèrement ressenties dans la musculature et dans les tendons. Excellente idée permettant de provoquer rapidement et répétitivement d'atroces souffrances sans laisser de traces visibles.
La suite est attendue avec "nervosité" et intérêt. Je ne manquerai pas de proposer, éventuellement, quelques conseils démoniaques pour ajouter un peu de piment à vos futurs délices masochistes. Un avant-goût, peut être ?
Pour cela, il me faudrait une photo de vos cuisses. Je ne serai pas exigeant, une seule suffirait. Une cuisse longue et peu adipeuse faciliterait certaines fantaisies peu réalisables sur un mebre court et grassouillet.
Dans l'attente, je vous prie d'agréer, chère Emilie, l'expression de mes sadiques salutations.
#142100
DSC1214.jpg


Ca va! On ne voit pas trop mon visage.
Pour faciliter votre étude...longueur 48 cm du milieu du plis de l'aine à la pointe de la rotule et 48 cm de tour de cuisse maximum. Si c'est insuffisant, je veux bien manger ce soir le kilo de pralines LEONIDAS que je viens d'acheter.

Hélas! Je ne prendrai connaissance de votre rapport que vendredi au plus tôt. Je dois m'absenter pour raisons personnelles.

Recevez mes salutations abasourdies !
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#145220
Message privé, mardi dernier, me demandant de lui faire lire ce que j'avais déjà écrit. La dame est correctrice dans une maison d'édition. Tout en fait était écrit mais en correction constante. Contact hier par téléphone et visuel aujourd'hui. On me demande de ne plus écrire sur ce forum et de réserver les péripéties de ma vie pour une publication éventuelle. Désolée pour les TROIS malheureuses personnes qui me suivaient ! Merci à celle qui m'avait "repérée" et qui m'a introduite gentillement chez cet éditeur. Bon amusement sur votre forum favori!

Emilie H.
#147650
Milli a écrit :Message privé, mardi dernier, me demandant de lui faire lire ce que j'avais déjà écrit. La dame est correctrice dans une maison d'édition. Tout en fait était écrit mais en correction constante. Contact hier par téléphone et visuel aujourd'hui. On me demande de ne plus écrire sur ce forum et de réserver les péripéties de ma vie pour une publication éventuelle. Désolée pour les TROIS malheureuses personnes qui me suivaient ! Merci à celle qui m'avait "repérée" et qui m'a introduite gentillement chez cet éditeur. Bon amusement sur votre forum favori!

Emilie H.


Bonne suite et bravo... préviens nous quand tu publieras!
#147927
Ce n'est peut-être pas fini...J'ai confié un autre scénario totalement imaginaire à mon intermédiaire et cette histoire lui plait encore plus que celle que j'étais occupée à écrire...Le problème c'est que je devrai écrire mes deux histoires simultanément et bosser sous la surveillance de mes deux patronnes...Je me tâte...
#148781
N’exagères pas avec la traction, Annette ! Tu vas la casser en deux.

Elle n’a qu’à arrêter de me chauffer avec ses soupirs de bacchante. Moi, je tourne la manivelle.

Stéphanie avait posé un pied à côté de ma tête pour immobiliser mes épaules avec la dernière sangle. Cette femme représentait réellement mon idéal féminin. Une belle chevelure longue et bouclée, un visage d’ange, une taille fine qui contrastait avec son opulente poitrine, de l'esprit et un tempérament de Messaline.

Pourquoi fais-tu ça ? Je ne peux plus bouger du tout.

Ecoute ! Nous avons pris bonne note de ton souhait répété d’être soumise graduellement aux tortures les plus vives dans ta position préférée. Il faut d’abord commencer par t’attacher solidement. Logique, non ?

Stéphanie se laissait admirer innocemment, tout en présentant sous leurs meilleurs angles les rondeurs de sa poitrine et de son ventre musclé. Sans aucune pudeur, elle me dévoila son temple de Vénus au dernier degré d'écartement possible en promenant un regard gourmand sur ma silhouette. Je dus lui paraître délicieusement offerte.

Qu'elle est bien faite cette petite vicieuse toute à ma merci ! Je ne doute pas un seul instant que tu attires comme un aimant tous les fanatiques de châtiments corporels qui peuplent la Belgique si tu te laisses faire aussi facilement.
Alors, comme ça, petite putain, tu comptes sur nous pour te mettre en condition pour ta petite séance de torture officielle, ce soir.

Vous me prenez vraiment pour une putain ?

Mmmm ! Je suis certaine que tu ne détestes pas être traitée en putain de temps à autre. Il n’y a qu’à te regarder te trémousser sur ton rack. Tu es radieuse d’avoir trois maquerelles pour toi toute seule.

Je savais que j'attirais les hommes comme le miel l'ours, mais trois femmes !!! C’était une première.

Et trois stimulateurs, ajouta Cindy qui venait de poser le sien juste au-dessus de mon genou. La belle contraction du quadriceps que voilà ! Si j’essayais un peu plus haut…

Attend ! Je vais essayer le lien de l’autre côté, ajouta Annette. Une, deux et trois…Un rien plus fort, peut-être ? Tu ne dis rien ?

C’est qu’elle ne sent rien, probablement.

Mon bassin se soulevait à chaque impulsion, menaçant de déchirer les sangles quand Stéf décida de participer au jeu. Elle posa les électrodes au-dessus de mon pubis et envoya le courant en même temps que ses deux comparses. Ce fut comme si elle m’avait aspiré le vagin avec une ventouse. Sensation démente et atroce mais en parfait accord avec ce que mon corps souhaitait à cet instant.

Pourquoi ne me faites-vous pas plus mal ? Mon sexe réagit toujours très fort si la douleur si elle n’est pas assez forte.
Je vais finir par jouir.

Elles montèrent de quelques graduations leurs électrocuteurs. La douleur musculaire déjà si puissante devint supplice.

Tu ne dis plus rien ? Si tu aimes cela, nous pouvons facilement tourner la molette. Nous ne sommes que sur le numéro 3 et échelle peut monter à 15. Note bien que c’est le genre de contracture qui devrait te faire rapidement des cuisses en béton !

Je me mis à simuler un début d’orgasme pour leur faire croire à un effet paradoxal et indésirable de cette stimulation cuisante.

Faites-moi mal ! Je peux supporter deux fois plus fort.

Les décharges à la racine de mes cuisses semblaient leur plaire particulièrement. Peut-être à cause des contractions qu’elles provoquaient au niveau de mon périnée et de mon petit vagin soyeux ? Elles s’en donnaient à cœur joie, laissant le minimum de temps nécessaire pour éviter que les muscles ne tétanisent et changeant de côté ou de cible quand la tétanisation se produisait. Une sorte d'orgasme ininterrompu s'était installé dans mon bassin. Je leur serai toujours reconnaissante de m’avoir appris à trouver le paradis en enfer.

Soudain, les stimulateurs se turent sur l’ordre de Stéphanie.

Il ne faut jamais provoquer une souffrance sans l'assaisonner d'un plaisir. Je suis passionnée de chevaux comme toi, depuis plus de quinze ans. Sais-tu comment réagit une jument en chaleur ? Elle se frotte et elle grimpe sur tout ce qui bouge. Et je suis en chaleur… et c’est de ta faute.

Sans prévenir, elle vint se placer à cheval sur mon ventre. Son autorité naturelle lui permettait des choses très singulières comme celle-là. Son haleine parfumée et ses lèvres exquises sentaient le goût des péchés désirables. De leurs pointes durcies, ses seins safranés caressaient les miens. J'éprouvais des sensations en même temps si confuses et si douces. Il ne fallut qu’un bref instant pour que je perde définitivement les pédales. Mon clitoris se frottait contre la chair chaude de son sexe encore tout humide. Voyant que ses caresses n'impliquaient pas grande révolte de ma part, elle se mit à me lécher le bout des seins devenus subitement si durs qu'ils me faisaient mal.

Elle avait vraiment réussi à m'allumer, la jolie garce, et n’avait pas l’intention de me laisser refroidir. Descendant implacablement vers mes zones interdites, elle butina longuement mes lèvres qui s'ouvraient comme une fleur parfumée et chaude et dénicha mon bouton en s'extasiant :

Quelle jolie perle tu as ! Une perle sans égale que j'ai très envie de cultiver.

Annette et Cindy s’étaient assises sur mes cuisses endolories. Leurs jambes pendaient dans le vide, faisant peser tout leur poids sur mes muscles mortifiés. Elles se faisaient face et s’embrassaient goulûment en se frottant fébrilement le sexe sur le relief de mes cuisses.
Cindy jouit la première mais Annette ne tarda pas à la suivre. Elle empoigna l'un de mes seins et se mit à le serrer très fort.

Pardonne-moi, c’est plus fort que moi ! Je suis incapable de résister à tes petits seins arrogants. Ils sont si beaux ces deux là.

Dans un face à face infernal et divin, elles se frottaient le sexe sur mes cuisses endolories et jouissaient à tour de rôle. De nouveaux doigts se crispèrent sur mes seins tendus. Cindy s’était accaparé mon téton droit et le tordait comme pour le dévisser.

Ca te fait couler, petite débauchée quand deux femmes s’occupent de tes mamelles. Peut-être préférerais-tu que nous nous occupions de ton sexe et de ton titi ?

Elle laissa délibérément retomber violemment sa main sur ma motte imberbe comme pour tester ma résistance à la douleur.

Mes mamelons tuméfiés me brûlaient et la boule qui s’était formée dans mon ventre n’en finissait plus de grossir. Cindy crut lire la reconnaissance dans mes yeux.

Avoue que tu aimes quand je te brutalise ta chatte, petite truie !

Chaque fois que sa main s’abattait sur mon sexe, j’accompagnais la frappe d’un râle sans équivoque.

Oui !!! C’est trop bon…

Fais gaffe, toi avec tes « c’est trop bon » ou je te pince le titi !

Je n’étais plus à une obscénité près. J'aurais tout accepté pour mettre fin à cette insupportable tension qui m’habitait depuis leur entrée dans la maison de Mireille.

Oh oui ! Pincez-le…Ouiiii ! Mais ne lui faites pas trop mal quand même ! Juste assez pour m’empêcher de jouir ! Comme ça, vous pourrez jouer très longtemps avec lui …Promis ?

Mais c’est qu’elle se laisserait masturber des nuits entières, cette petite dépravée. La Stef pourrait te raconter de belles histoires de nuit blanches passées à jouir entre Annette et moi.

Ne me regarde pas avec tes grands yeux ronds ! Tu n’es pas la seule à être hypersexuelle, n’est-ce pas Stef ?

La jeune sexologue nue vint se planter contre mon rack et commença à dandiner de la croupe. Elle était magnifique, svelte et blonde comme les blés. Ses longs cheveux libres tombaient en cascade sur son dos cambré. Les réminiscences de ses excès passés l’avaient sérieusement allumée.

Donne-moi tes poignets ! Montre-lui comment une fille peut en faire jouir une autre si elles s’abandonnent corps et âme toutes les deux !

Stéphanie se montra d’une soumission étonnante. Elles lui attachèrent les poignets dans le dos. Sans gêne aucune, elle leur sourit et colla son corps musclé contre mon sexe écartelé. Ses deux partenaires l'embrassèrent à tour de rôle en lui pinçant le bout des seins. Ses belles mamelles fermes tremblaient sous l’action des deux filles qui s’amusaient à balancer ses longues tétines roses en tous sens. Me voilà furieusement échauffée, moi !

Toutes ces années durant lesquelles Stéphanie s’est confiée à Annette et moi, nous pouvions jouer des heures au 421. Parfois à trois mais parfois aussi à cinq ou six.

Au 421 ???

Stéphanie ! Explique-lui !

Chaque fois que je faisais jouir une fille, l’autre ou les autres m’obligeaient à jouir deux fois de suite.

Et quand Stéphanie n’en pouvait plus de se frotter aux autres, elle n’avait qu’à demander grâce. Mais….si l’une d’entre nous parvenait encore à se faire jouir une fois, Stéf devait se laisser masturber jusqu’à orgasmer à nouveau quatre fois de suite. Tu vois, ce n’est pas compliqué le 421.

Si Stéf jouit en se frottant sur toi, nous te ferons jouir deux fois de suite pour te récompenser. Attention ! Le but est de faire jouir Stéphanie le plus souvent possible. Si tu jouis avant ou en même temps que Stéf, tu auras droit à 4+2+1 orgasmes pour t’aider à te calmer. D’accord ?

Elles avaient l’air de trouver que ce jeu serait un excellent apprentissage pour m’aider à me contenir et à ne plus jouir que sur commande.

D’accord mais il faut que Stéphanie ne pose plus ses mains sur ma chatoune, alors. Ce sera trop dur autrement. Je sens bien que je ne vais plus tenir très longtemps. Ma résistance a atteint sa limite. Noonnn ! Madame…Noon… ! Arrêtez ! Si vous m’aimez…

Rassure-toi, ma beauté ! Je ne te caresse pas encore par amour, uniquement par gourmandise.

Là ! Il aurait fallu se méfier, Cupidon n'était plus loin.
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#153838
Steffi, occupe-toi de Milli ! Nous, nous allons nous occuper de toi comme au bon vieux temps.

Soûlée par les caresses répétées et l’attente cruelle de l’orgasme qui grondait en moi depuis plusieurs heures, je sentis se matérialiser dans mon vagin un orgasme d’anthologie. Et soudain…une contraction intense et le plaisir à l'état sauvage après une longue période d'abstinence ! Un jaillissement de fontaine la remercia lorsqu'elle me griffa le clitoris.
Surprise, Annette pressa sa main sur mon sexe comme pour colmater une digue qui fuirait de tous les côtés.

C’est vrai que c’est une rapide ! Je ne l’ai pas senti venir.

Stéphanie ne perdit pas une seconde pour reprendre possession de « sa biche » comme elle m’appelait. Son mérite était d’autant plus grand qu’Annette lui aspirait la chatte avec des bruits mouillés tandis que Cindy lui étirait les seins. Elle jouit deux fois coup sur coup et semblait suffisamment rassasiée pour se concentrer sur mes sensations.

J’espère pour toi que tu récupères plus vite que moi car tu as un retard certain à combler.

Ma sublime maîtresse ventousa sa bouche gourmande sur mon sexe en feu.
Sa langue si fine et si longue me pénétra comme un serpent perfide et découvrit, en même temps que moi, la petite zone hérissée et hypersensible de mon vagin.

Noonnn ! Pas làààà ! Wahou !

Ce qui devait arriver arriva. Trop content de ce qu’elle lui faisait, mon petit vagin se mit à ballonner avant d’envoyer une douche chaude à la face de Stéphanie, effarée.

Non, non, non, pas avec le doigt ! C’est trop facile…C’est trop fort…Aaaah ! Ca n’arrête plus…

Mes orgasmes se succédaient à un rythme effréné ponctué d’éjaculations exubérantes.

Ce n’est pas un point G que tu as, c’est un hérisson.

J’ai cru atteindre dix fois ma limite de rupture. Même lorsque je me croyais suffisamment affaiblie par les orgasmes successifs, elle me ranimait en m'assaillant de douces décharges dentaires sur le clitoris en me susurrant à l'oreille :

Je n'arrêterai que lorsque tu auras cessé de crier et que j'aurai asséché la petite source. Une promesse est une promesse.

Je n'avais jamais connu pareil abandon dans les bras d'une femme. Et quelle femme ! Stéphanie m’avait propulsée sur la plus haute orbite du plaisir. Celle dont j’aurais voulu ne jamais descendre. Une complicité incroyable s’était installée progressivement entre nous.
Non contente de s'acharner sur mon joli coquillage, à la fois bourreau et victime, Stéphanie se déchirait le sexe sur la traverse de bois. Elle jouissait en éructant des injures à mon intention comme si j’étais la cause de son délire.

La conversation aurait pu se dérouler encore longtemps entre nos deux corps si Stéphanie ne s’était pas blessé la vulve à force de se frotter. Annette et Cindy me trouvèrent probablement délicieuse et insistèrent pour prendre le relais.

Regardez-moi ça comme elle en veut encore, la petite gouine avec son arrogant Titi tout dressé !

Nooon ! Attendez !!! Pas si viiite !

Annette flattait ma tigelle de la pulpe de son index tandis que Cindy s’amusait à titiller mon anus qui s’ouvrait et se refermait à l’envie. L’afflux de sensations était tel qu’elles parvenaient à me faire partir toutes les minutes dans un orgasme qu’elles écourtaient volontairement pour me rendre folle.

Non ! Pas à deux ! Nooon ! C’est trop faciiile…

Je cherchais à grand peine à reprendre le contrôle de ma respiration saccadée. Ca jouissait à plusieurs endroits à la fois. Quand Annette atteignait mon point G tout hérissé, l’orgasme reprenait vie et me secouait de spasmes de plus en plus violents. J’étais en bien fâcheuse posture. Les deux commères n’avaient pas leur pareil pour me besogner. Mon endurance dépassait leurs plus folles espérances. J'avais beau leur signifier qu'elles dépassaient les limites des bornes des frontières, elles rétorquaient qu'une fois les bornes franchies, il n'y avait plus de limites. Elles m’ont fait crier plus d’une heure jusqu’à ce que ma voix devienne murmure, jusqu’à ce que je capitule totalement anéantie.

Sans aucune considération pour l'effort que je venais de fournir, Stéphanie pensait déjà à l'avenir.

Si tu le veux bien, nous nous réserverons encore quelques petits moments coquins.
Tu es incroyable, tu sais !

Oui ! Je sais ! Vous voulez bien me détacher maintenant ?

Après deux heures de débauches indescriptibles, elles m’abandonnèrent dans une mare, révélatrice du plaisir surabondant que j’avais éprouvé.

Stéphanie était déjà rhabillée et m’emmena prendre une bonne douche. Elle voulait savoir comment cela se passait avec mes parents et pourquoi j’avais atterri chez tantine.

Tout le temps que papa et maman ont cohabité, c’était l’horreur. Ils se déchiraient tous les W.E. Papa frappait maman à coup de poings parfois. Elle n’était plus à regarder. C’est pour cela qu’il a fait de la prison. Quand il en est sorti, il a fait surveiller maman par un détective. Elle menait une vie de dingue au boulot. Je rentrais de l’école avec tantine vers 17h et elle, elle arrivait à 23h quand je dormais déjà. Elle ne passait même pas me dire bonne nuit. Je l’entendais rire avec des hommes dans le living et puis ils montaient se coucher. Je retombais endormie mais pas pour longtemps. Ils faisaient trop de bruit. Quand il n’y avait qu’un homme, cela allait encore, mais parfois, d’autres hommes entraient la nuit et tout recommençait.

Ta maman et ton papa ne s’occupaient jamais de toi, jamais, jamais…

Ah si ! Quand elle avait besoin de moi, pour donner l’image d’une famille stable et bien sous tous rapports. Surtout si elle recevait des clients. Elle m’appelait sa petite poupée et elle m’habillait comme une poupée d’ailleurs. A son image. Je ne lui servais que de faire-valoir quand elle voulait se payer le client pour faciliter une signature. Si elle mettait des jupes courtes, je devais faire pareil. Papa voulait récupérer ma garde. Je pense qu’il m’aimait vraiment, lui.

Je venais d’entrer au collège. C’était au mois de septembre. Il faisait très chaud et la prof nous avait libérées plus tôt car, toute l’après-midi, nous avions passé nos brevets de natation à la piscine. J’étais très fière car j’avais obtenu le brevet des 1.000 mètres, alors que trois mois avant, je ne savais pas nager. Comme j’avais été la meilleure, j’avais reçu un maillot de bain avec l’insigne du brevet. Je suis entrée par la cuisine et je me suis mise en maillot pour faire une surprise à maman. Maman m’attendait deux heures plus tard. Elle avait fait devenir deux futurs gros clients saoudiens. Ils avaient trop bu tous les trois. Maman était aux trois quarts déshabillée et les deux hommes abusaient d’elle dans l’escalier. Un homme l’a plaquée au sol et l’autre s’est jeté sur moi. Maman s’est débattue et a hurlé :

C’est ma fille ! Ne la touchez pas !

Je pense que le détective que papa avait engagé n’était pas loin et avait eu le temps de l’appeler à l’aide. Le privé s’est bagarré avec mon agresseur mais a pris une raclée. Quand papa est entré, il était blanc comme un mort. Le saoudien avait déjà déchiré mon maillot. Papa les a mis tous les deux K.O et puis, il a commencé à frapper maman en lui disant qu’il allait la tuer. Deux minutes plus tard, la police est arrivée. Papa était sous le coup d’un sursis de cinq ans. Il a vraiment morflé au tribunal. Les saoudiens étaient couverts par l’immunité diplomatique. Ils ne sont même pas venus au tribunal. Maman a été relaxée, a perdu ma garde mais a gagné le plus gros contrat de sa vie. Papa a pris cinq ans fermes mais en a fait deux finalement avant d’être libéré. Moi, j’ai pris la perpétuité, sans parents. Pour la garde, c’était tantine ou un home pour filles en difficultés.
#153871
les 71 premières pages de mon histoire





Le parcours d’une fille gâtée par la nature et corrompue par la vie.

INTRODUCTION


Je dédie ce texte à toi, Michèle, qui a su comprendre mon besoin d’appartenance. A toi, Léna, dont l’imagination débordante parvient à éveiller mes sens chaque jour que Dieu fait. Mon
intrusion dans votre couple aurait pu le briser mais votre abnégation à me partager n’a fait que le renforcer. A mes sœurs de chair qui m’humilient et me châtient toujours avec tant d’amour.
Des évènements récents et votre insistance me poussent aujourd’hui à vous livrer et vous faire partager mes émotions sur ce topic dans un texte qui prendra la forme d’une fiction que vos amies prendront, je l’espère, plaisir à lire.
Je ne sais pas où je vais, ni où nous allons. Cela me donne l’impression de me mettre un bandeau sur les yeux pour que personne ne voie pas mon regard pendant que je vous livre mes obsessions et mes pulsions les plus sordides.

En écrivant sur ce groupe, je fais la même démarche que lorsque je me suis présentée, vêtue de mon short fétiche, celui qui me fait des jambes si longues, chez les deux femmes qui venaient de m’engager. Je me suis dit qu’ici mes pulsions ne feraient pas peur et que je pourrai m’abandonner. Plus je perds la tête en me livrant, plus mes sens s’affûtent. Comme pour mes patronnes qui n’avaient d’yeux que pour mes tétons qui déchiraient la fine étoffe du petit top étriqué qui présentaient mes seins comme sur un plateau. J’espère que ces quelques lignes parviendront à vous communiquer la même excitation que je prendrai à les écrire. Mon excitation est très forte quand je lâche prise. Pardonnez-moi si je deviens trop brouillonne ! Je reçois des images très érotiques quand je laisse mes pensées tourbillonner dans tous les sens. Et je deviens ingérable tant que je n’ai pas reçu la fessée.

Vous aurez compris que je suis une affreuse masochiste mais une maso joueuse. Mais ma soumission est avant tout, pour moi, un formidable terrain de sport sur lequel je cherche toujours à me dépasser.

ACTION

Je m’appelle Emilie et viens d’avoir 24 ans. J’ai vécu une enfance heureuse et une entrée en adolescence catastrophique. Mes parents étaient des gens respectables mais carriéristes. Tellement obnubilés par leur travail qu’ils me laissèrent orpheline au sortir d’un divorce si déchirant que la belle-sœur de maman finit par obtenir ma tutelle à l’aube de mes quatorze ans.

Tantine Mireille s’est montrée admirablement bienveillante avec moi malgré qu’aucun sang commun ne nous unisse. Vieille fille, plus par tendance homosexuelle que par vocation, elle m’a toujours considérée comme la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa vie. Et la vie de tantine ne fut pas toujours rose. Elle qui allait de déception amoureuse en extorsion de fond par l’une ou l’autre concubine ne pouvait malgré tout s’empêcher d’étaler sa fortune comme un appât miraculeux pour s’attirer les complaisances de filles plus ou moins jeunes en détresse. Jamais elles ne restaient plus d’une semaine et chaque fois, tantine pleurait à chaudes larmes. Si elles revenaient, c’étaient pour leur demander, ou lui voler de l’argent.
Je n’oublierai jamais le jour de l’anniversaire de ses cinquante ans car il coïncidait à un jour près avec le mien. C’était un samedi et je me faisais une joie de revoir maman de retour au pays après plus de trois mois d’absence. Tantine pleurait encore sa Xième déception amoureuse. Moi, je m’étais payé une chute de vélo mémorable en rentrant du collège et j’étais couverte d’hématomes et de pansements. Pour couronner le tout, maman se pointa avec un Saoudien qui ne parlait pas un mot de français et qui se faisait traduire chacune de nos paroles et inversement. C’était un très bel homme mais qui, sans honte, avoua à tantine avoir 22 ans de plus que maman qui frisait pourtant la quarantaine. Toujours ce carriérisme exacerbé. Maman allait se marier avec un promoteur international qui assurerait la prospérité de son entreprise d’air conditionné pour les années à venir. Elle l’avait rencontré en Lybie et ils étaient devenus rapidement inséparables au point qu’il lui avait proposé de devenir sa troisième épouse. Comment refuser une telle proposition ?
Une chose me frappa d’emblée. Le polygame pervers s’intéressait plus à mes cuisses qu’à l’outrageux décolleté de maman. Ce qu’elle ne manqua pas de lui signaler en spécifiant mon âge. Il lui répondit que dans son pays, à cet âge-là, je serai déjà promise voire mariée.
Le primate s’approcha de moi et remonta le pull que je portais à même la peau en m’arrachant par inadvertance le pansement que le docteur avait mis si longtemps à faire tenir en place et qui recouvrait la moitié de mon ventre. Au lieu de s’excuser, il nous fit un exposé sur les us et coutumes de son pays. Il nous fit comprendre ses critères esthétiques de la beauté féminine en me palpant les seins. Pas besoin de traduction pour comprendre ça. Visiblement mes seins tendus et mes cuisses fermes correspondaient plus à ses critères que le physique de ma pauvre maman. Son regard maternel courroucé me fit croire que j’avais une opportunité de briser la future union et peut-être d’empêcher maman de faire la bêtise de sa vie. Et surtout de m’abandonner définitivement. Je me suis débarrassée de mon pull et de ma jupette de tennis sur laquelle le pansement collait à mort, m’arrachant la moitié de mes petits poils pubiens. Il n’en fallut pas plus pour emballer la libido du satyre dont les paroles probablement obscènes ne furent pas traduites par maman. S’ensuivit une querelle verbale à distance tandis que j’enlevai innocemment ma blanche culotte, juste bonne à mettre à la lessive car recouverte d’isobétadine brunâtre. Tantine ne pria de monter me changer avant qu’ils n’en viennent aux mains. Ce n’était pas un spectacle pour une fille de mon âge. C’était trop tard déjà. Maman le gifla avant de s’en prendre à moi de la même façon. Elle entraîna son amant vers la sortie et tantine par la même occasion. Ils discutèrent une dizaine de minutes sur le pas de la porte que maman n’ouvrit que pour me dire adieu, sale petite mal élevée. Je courus vers elle pour la retenir mais elle me repoussa ainsi que tantine qui essayait vainement de s’interposer. Les derniers mots qu’elle prononça résonnent encore à mes oreilles : « J’aurais du savoir que de te faire élever par une gouine ne pourrait faire de toi qu’une putain ». La porte de mon enfance venait de claquer définitivement. Non ! Elle s’entrouvrit et une main jeta une enveloppe épaisse comme un bouquin. Tiens ! C’est de la part de ton père.
Je n’ai même pas versé une larme sur cette déchirure abominable de mon deuxième abandon maternel. Dans un premier temps, Tantine m’expliqua ce qu’était une gouine avec des mots magnifiques, parfumés d’amour véritable. Ensuite elle m’expliqua que je ne devais jamais plus me comporter ainsi devant un homme. Je n’étais plus une petite fille. J’avais atteint l’âge où les femmes deviennent belles et désirables. Ca, je commençais à m’en rendre compte mais pas pour un vieux monsieur quand même tantine. Elle me répondit que si, à plus forte raison. Et pour une gouine aussi alors, je suis aussi désirable ? Elle me gifla comme si elle avait pris ma répartie pour elle, ce qui était à cent lieues de mes intentions. Elle termina en me demandant de ne jamais plus prononcer ce mot.

Nous étions dans le pétrin. Une samedi soir, une dizaine de pansements à refaire et deux invitées à recevoir dans moins d’une heure pour fêter nos anniversaires.

Tantine décommanda promptement ses deux amies et à défaut de mieux, demanda à une de ses ex, qui était infirmière, de passer me soigner.

Marine arriva cinq minutes plus tard. Tantine m’avait déjà arraché tous mes pansements sauf ceux de mes mains et achevait de me laver. Situation équivoque s’il en est.
J’adorais Marine. Elle était très mignonne et c’était une vraie blonde, elle. C’est elle aussi qui était restée le plus longtemps à la maison. C’était aussi la seule que je regrettais.
Quand elle est entrée avec sa valise à la main, j’ai sorti la plus grosse connerie de ma vie, mais c’était le cri du coeur.

Marine, tu reviens dormir chez nous. Tu as déjà fait ta valise. Je suis trop contente. Maintenant que je suis grande, je pourrai jouer avec vous, à des jeux de grandes.

Elle ne regarda avec des yeux mi Chimène mi vamp. Elle fusilla tantine avec des yeux de louve en chasse en lui intimant d’arrêter de m’exciter et de la laisser travailler.
La valise, c’était bien entendu sa valise médicale et dans mon esprit, les jeux de grandes étaient le scrabble qu’elles faisaient tous les soirs toutes les deux pendant que je regardais la télé dans mon fauteuil avant qu’on me prie d’aller me coucher. Marine demanda à ma tante, sur un ton non équivoque si elle se contentait de me masturber ou si j’étais devenue son souffre-douleurs.

Pourquoi Marine dis-tu ça ?
Parce que je pense que tu es trop bien foutue pour qu’elle ne ressente pas l’envie de te faire du mal comme elle a voulu m’en faire aussi.

Tantine la traita de folle et lui expliqua ma chute en vélo, la perte d’usage temporaire de mes mains, etc... Marine la crut à moitié, ce que tantine remarqua. Elles se jetèrent quelques noms d’oiseaux à la tête avant que n’éclate au grand jour le motif de leur séparation. Tantine, excédée, lui balança que ce n’était pas le moment de faire une crise de jalousie. Jalouse de moi ! Marine lui rétorqua que la jalousie n’avait rien à voir là-dedans. Le seul problème selon elle était que deux femmes dominantes ne pouvaient cohabiter très longtemps même si elles s’aimaient très fort. J’avais la tête comme une pastèque et j’avais déjà encaissé assez de contrariété pour ma soirée d’anniversaire. Je ne suis mise à sangloter comme une Madeleine, parvenant enfin à les calmer. Et même à obliger Marine à donner un baiser de réconciliation à tantine. Se rendant compte du grotesque de la situation qu’elle avait crée de toutes pièces, Marine m’emmena dans ma chambre pour renouveler tous mes pansements. Une fois couchée sur le dos, la première chose qu’elle m’a demandée est l’âge que j’avais après m’avoir complimenté sur ma beauté en me caressant les seins qu’elle trouvait si pommelés. C’était la deuxième fois en une soirée qu’un adulte me touchait les seins. Cela me conforta dans l’idée que j’étais devenue une femme.

J’ai 17 ans, Marine, c’est mon anniversaire demain. Qu’est-ce que tes mains sont douces ! Tu me caresses bien mille fois mieux que les garçons de sixième. Regarde ! Avec toi, ça marche. Ils deviennent tout durs et j’ai de grosses pointes. Ils me disent toujours que j’ai des gros seins mais qu’ils ne vont jamais donner du lait parce que les pointes ne ressortent pas assez.

Que cette fille était belle et gentille quand elle ne se disputait pas avec tantine. Je lui demandai son âge également et pourquoi elle ne reviendrait pas vivre avec nous jouer au scrabble. Elle en avoua 26, mais je sus plus tard qu’elle en avait 6 de plus. Pourquoi tu ne reviens pas ? Es-tu mariée ? Elle me prit certainement pour une demeurée et ajouta qu’elle m’aimait que les femmes. Dans ma candeur d’adolescente, je lui démontrai qu’il n’y avait donc plus aucun obstacle vu que nous étions deux femmes sous ce toit et que j’étais certaine que tantine l’aimait toujours et moi encore plus. Elle me rappela que deux dominantes ne peuvent pas se blairer très longtemps. No comprendo. Explication édulcorée mais tout simplement ahurissante pour moi à l’âge que j’avais à l’époque. Suite de notions proprement emballées de sadomasochisme féminin. Avec un peu plus de détails, à ma demande, sur les relations sexuelles au féminin. Et en apothéose, elle me confia à l’oreille sa recherche d’une fille jeune et très jolie, comme moi par exemple qui aimerait la fessée. J’étais troublée. Une grosse boule de plomb venait de tomber quelque part au bas de mon ventre. La seule répartie qui me passa par la tête fut de lui demander de rester car je l’aimais. Et elle m’embrassa avec sa langue ! Et la boule de plomb devint si lourde que ce fut presque insupportable. Pourtant, j’eus un mouvement de recul.
Bien sûr que je l’aimais comme j’aimais mes copines mais on ne s’embrassait pas comme ça pour autant.
Ensuite, elle voulut savoir si j’avais déjà fait l’amour avec un garçon. Diantre non ! Quelle horreur. Et sur sa lancée, si j’avais déjà été caressée par une fille. Je suis très menteuse surtout pour arriver à mes fins. Mais bien sûr que oui. Quelle question idiote ! Toujours plus perfide.

Et est-ce que tu te caresses aussi parfois ?
Tu veux dire les seins ?
Oui, les seins et le sexe aussi.

Tant qu’à mentir.

Parfois. Tu sais, je suis encore très jeune. Je ne me caresse pas plus de dix fois par jour. Après, je suis trop fatiguée.

Qu’elle arrête ses questions, je ne savais même pas ce que c’était que de se caresser.

Marine, mes pansements, ça n’avance pas et Tantine va s’inquiéter. Pas grave, la plupart de mes plaies étaient bien sèches et un peu de rouge suffirait. Sauf celle à l’endroit où mon guidon m’avait tué la crête iliaque.

Si tu ne veux pas que je t’arrache tous tes poils en même temps que le collant, laisse-moi te les raser ! Cela ne prendra que cinq minutes.

Oui, c’est mieux…

Et là, l’horreur, une minute trente pour me débarrasser de ma toison, dix minutes pour enlever la mousse.

Marine, je deviens toute drôle…Tu aimes quand je te fais cela…Rah ! Trop bon…Trop bon rah ! Arrête ! J’ai des frissons partout…Arrête, ça recommence…Rah…C’est tout, c’est tout…c’est mal. Mariiine ! Arrête, ça recommence je vais crier…Non ! Pas les seins en même temps…Si tu veux que je revienne, il faudra me laisser faire ça tous les jours…Rah ! Tu es certaine que je ne vais pas mourir…Rah c’est trop fort ce que tu touches là…pince-le ! Viiite…Houla ! Houla ! Encoooore ! Arrêêêête ! J’ai fait pipi dans le mon lit. Je ne crois pas non. Ta tantine le fait aussi bien que moi ?
Tu es folle, pas tantine. Elle va être furieuse si elle sait ce que je viens de faire.
Sur ce, la porte s’ouvrit.
Emilie, c’est toi qui as crié ? C’est quoi cette marre dans ton lit ?

Tantine, ne me gronde pas ! J’ai fait ça pour nous. Marine va revenir habiter à la maison si je la laisse me caresser tous les jours. Elle m’a dit que deux dominantes ne s’entendraient jamais. Il fallait une soumise et une dominante. Je serai la soumise et vous ne vous disputerez jamais plus. Vous pourrez me caresser toutes les deux pendant que nous jouerons au scrabble.

Et Marine d’ajouter ; « Et si tu perds, tu auras la fessée »

D’accord si tantine n’est pas jalouse.

Marine descend, j’ai à te parler ! Toi, nettoie ton lit et décrasses toi ! Puis tu descendras. Et pas toute nue puisqu’il faut te le préciser depuis que tu es devenue une femme. Ton père t’a laissé un an de pension.

Elles descendirent au grand salon en laissant la porte grande ouverte par inadvertance. Les grandes maisons, ça résonne bien surtout si le son peut circuler via les conduits des cheminées ouvertes. Je pouvais entendre leur conversation comme si j’étais dans la pièce.

Je fis couler le robinet de la baignoire pour faire croire que je prenais un bain et descendis les escaliers en tenue d’Eve pour mieux les espionner dans l’encoignure de la porte.
Marine repoussait les avances de tantine qui essayait maintenant de lui enlever sa blouse. Elle voulait savoir si Marine avait quelqu’un dans sa vie. Ce fut un non catégorique. Le problème n’était pas de les attirer chez elle mais de savoir les garder. Elles échangèrent leurs expériences à propos du nouveau parking autoroutier qui était un endroit génial pour la drague. Cela me fit chaud au cœur quand je les vis rire de bon cœur en se rendant compte qu’elles avaient emballé les mêmes nanas. Tout ça pour finir par confesser que l’une comme l’autre ne comptait plus les jeunes vierges effarouchées qui s’enfuyaient dès qu’elles sortaient une paire de menottes.

Je vivais avec une tueuse en série et comme si cela ne suffisait pas, je tentais encore d’en attirer une deuxième. Ma tête se mit à tourner. Je repensai au relais de chasse, aux caves et surtout au vaste grenier dont les accès m’étaient formellement interdits. C’était certainement là qu’elles devaient cacher les corps.

Tantine avait débouché un vieux Porto et rempli deux verres. Marine lui avoua que cela lui manquait terriblement et qu’elle avait été très heureuse de pouvoir toucher une fille aussi jolie et peu farouche que la petite Emilie. Tantine lui répondit que la Milli était bien plus naïve que farouche et essaya d’embrayer sur d’anciennes connaissances communes mais Marine, c’est de moi qu’elle voulait parler surtout.

Je te connaissais vicelarde mais pas au point de faire l’éducation sexuelle de la gamine qu’on t’a confiée En tous cas, Bravo ! Qu’est-ce qu’elle a changé Emilie ! Elle est craquante ta jeune poupée. De jolies cuisses bien potelées, des petits seins super érectiles et ce visage angélique…Cette fille est belle à crier et en plus c’est une bombe sexuelle en puissance (rien n’a changé ou presque) déjà à son âge…

Justement, c’est là que je voulais en venir. Sais-tu quel âge elle a ?

Elle m’a dit 17 ans mais je ne l’ai pas cru une seule seconde. C’est typiquement le style de fille qui m’excite : un visage de poupon, un corps d’adolescente à peine pubère, un petit clitoris monté sur ressort et surtout une super bonne mouilleuse qui démarre au quart de tour. Je l’ai fait jouir trois fois en quelques minutes. Elle m’a même éjaculé dans la main. C’est incroyable à son âge. Tu as l’air de tomber des nues. Qu’est-ce qui ne vas pas, Mireille ?

Faire un petit pipi d’émotion, cela s’appelle éjaculer ? Je pris le carnet à coté du téléphone et notait tous les termes nouveaux que je venais d’entendre depuis cinq minutes. A la première occasion, j’en parlerai à une grande du collège ou ailleurs.

Je sais bien qu’aucun sang ne nous lie mais je quand même sa tutrice légale jusqu’à ses dix huit ans et elle me considère un peu comme sa mère. Alors, je me contente de la mâter à la moindre occasion. Elle est si naïve que ce n’est pas difficile de la mettre nue et de la laisser ainsi promener devant mes yeux sa croupe callipyge. Le meilleur moment, c’est le samedi après-midi. Je lui mets de l’auto bronzant. Elle adore cela. Elle est hypersensible de partout. Je n’ai jamais vu cela. A la limite, c’est pathologique. Quand j’ai fini de la peinturlurer, je vois bien qu’elle est différente et très troublée. Je lui dis alors qu’il faut qu’elle écarte bien les cuisses et les bras pour ne pas garder de traces. J’utilise exprès un produit bon marché qui met une heure à sécher. Je ne te dis pas les pulsions sadiques qu’elle m’inspire avec son corps de déesse que j’imagine enchaînée en croix. La semaine dernière, elle m’a carrément tuée en se comparant à une sainte martyre.

Quelque chose venait de se briser définitivement dans mon cœur. Tantine ne serait jamais plus ma seconde maman.

Une fille aussi jeune devrait être capable de supporter bien plus de vexations que toutes les soumises que nous avons connues dans nos vies réunies. Mais le plus excitant, c’est qu’elle a tout à apprendre. Nous pourrions l’accompagner et la rendre très heureuse.

Ne rêve pas, Marine ! Elles sont connes les filles de cet âge. Elles sont pleines de tabous.

J’en suis moins sûre que toi. Elle m’a quand même avoué qu’elle se caressait dix fois par jour et se faisait régulièrement peloter par les garçons. Les temps ont changé, tu sais, Mireille. Les ado ont évolué avec les images et les séries qui les matraquent à longueur de journée.

La mienne est différente. Pas de télé, pas d’internet. Ma tête à couper qu’elle est encore vierge. A part la lecture, il n’y a que les chevaux qui l’intéressent. A peine rentrée de l’école, elle file au bout de la prairie et passe des heures à discuter avec Flo et Nadège si elles sont là, et à l’oreille des chevaux si elle est seule.

Et puis, elle ira raconter ce qu’on lui fait à ses copines et les ennuis vont commencer.

Flo et Nadège, tu dis. Pas tristes ces deux là, paraît-il ? Deux snobinardes friquées qui ne se quittent jamais et qui font la fac de droit. Il ne m’étonnerait pas qu’elles fassent partie de la Confrérie. Un jour ou l’autre, c’est elles qui vont te piquer ton diamant brut.

Tu me fais rire. Si tu la voyais partir les rejoindre dans son training trop grand pour elle, elle t’apparait plus comme une bigote qui part à la messe du soir qu’une maso qui attend le fouet. D’ailleurs, elle dévore au moins deux bouquins par semaine toujours autour du même thème : le martyre de Ste Catherine, de Ste Cécile, de Ste Aldegonde et j’en passe. Ah oui ! Elle a presque fini les Misérables aussi. Elle m’a posé plein de questions car elle trouvait qu’elle était à sa façon une Cosette des temps moderne. Attend que je me souvienne ! Je me souviens de sa honte l’été dernier quand je lui ai demandé ce que faisaient sous son lit toute ma collection des bouquins d’Emmanuelle Arsan.

Tu vois, elle se cherche. Elle n’a pas de copines ou de copains, ta Cosette ? Qu’est-ce que tu fais Mireille sur cette escabelle ? Tu vas te casser la figure.

C’est bien ce que je pensais, elle a remis des bouquins devant pour cacher qu’elle m’avait piqué tous mes revues Domina.

Flûte ! Ce n’est même pas pour moi, c’est Florence qui m’a demandé de fouiller dans la bibliothèque de tantine car elle avait sûrement des livres cochons de femmes nues jouant entre elles. Quand les bouquins étaient bien cochons, je pouvais monter sur son cheval. C’est vrai qu’elle ne me les a jamais rendus. Je les lui demanderais demain. Avec tout ça, j’ai loupé la moitié de ce qu’elles disaient et la porte s’était refermée toute seule.


…taine qu’elle est lesbienne…elle a un charme fou…elle dégage vraiment quelque chose…
Mireille, c’est décidé. Si tu te sens capable de me supporter, j’emménage demain matin dans la chambre qui jouxte celle de ta poupée. Je te parie qu’avant demain soir, je la fais crier au moins dix fois. Je ne lui lâcherai plus la motte. En moins d’une semaine, elle deviendra totalement dépendante de ses sens.

Tu as raison. Quel gâchis ! Elles ne se rendent pas compte qu’à cet âge, elles seraient capables d’éprouver des extases énormissimes si elles s’abandonnaient un peu entre des mains expertes comme les nôtres. Le problème, c’est plus une question juridique que morale. Tu sais bien que chez moi, le plaisir a toujours compté avant la morale.

Tu n’as qu’à la faire émanciper si tu as la trouille. Elle a l’âge, non.

Encore un nouveau mot. Déjà 10 mots inconnus dans mon carnet, la révélation d’une trahison innommable et la perspective inéluctable d’un changement de vie radical.

A nous deux, nous allons en faire la Cosette que nous avons toujours rêvé d’avoir sous la main.

Mon livre de chevet, à l’époque, était les Misérables. Cosette et les Thénardier. Gros fantasme. Cosette exploitée jusqu’à l’épuisement. Sous-alimentée et battue. Une vraie esclave domestique qu’on traitait sans respect aucun. Rien que d’y penser, je mouillais encore plus qu’en lisant la vie des saintes martyres.

Ce n’est pas idiot ce que tu dis. Il faut que j’aille chercher Milli. Elle n’a pas encore reçu l’argent de poche que son père lui a envoyé.

L’argent de poche ? Il est si radin que ça avec la pension alimentaire de sa fille ou tu t’appelles Mireille Ténardier. Je croyais que ton style, c’était la générosité.

Non ! Il est même trop généreux. Je lui donne 50 euros par mois et je gère à ma façon les 750 restants.

En plus, la marâtre me pique mon fric. 12 euros par semaine. Pour moi qui suis devenue une femme. Pour me payer mes fringues, mon maquillage, le coiffeur et j’en passe, c’est scandaleux. C’est de l’exploitation.

La porte s’ouvrit sans que j’aie entendu Mireille arriver.

Tu écoutes aux portes, maintenant. Qu’est-ce que tu fais là toute nue ? Tu ne vas pas me dire que tu n’as plus rien à te mettre ?

Pour tenter de dissiper ma gêne d’avoir été surprise, je passai à l’attaque sans lui permettre de réfléchir.

Et bien si, justement ! Comment veux-tu que Cosette s’habille avec 12 euros par semaine ?

Marine vint à la rescousse. Elle me prit par le bras et m’emmena, direction le grenier « interdit ».

Une curiosité maladive me poussait régulièrement devant la porte ouvragée et infranchissable de cet endroit devenu l’objet de toutes mes obsessions. Rien que d’imaginer pouvoir la franchir, j’en avais des frissons et l’entrejambe grave humide.

Qu’est-ce qu’il y a dans le grenier ?

Toutes les fringues que Mireille a achetées pour ses conquêtes. Tu en as pour un mois si tu veux toutes les essayer. Trois garde-robes qui débordent et des tonnes de vieux meubles. Et un superbe banc solaire professionnel.... Plus quelques grosses surprises…

Viens ! Je vais te fringuer. Tiens-moi par la taille. J’ai meurs d’envie de te caresser comme tout à l’heure. Qu’est-ce que tu fais ?

Je mets mes mains derrière ma nuque. Ce sera plus facile pour toi de me câliner.

C’est ainsi que tu fais avec les garçons ou les filles peut-être ?

Oui, mais pas toute nue comme avec toi. Je serai trop gênée. Je hais les garçons. Surtout les grands. Avec les filles, je n’ai jamais osé. Et puis, je n’ai pas beaucoup de copines sauf Annette et Léna avec qui je joue au tennis. Et encore, Annette a mon âge mais elle est avec un mec. On ne peut pas discuter avec elle. Léna, c’est une grande qui traîne tout le temps avec un groupe de filles de 20 et des ans. J’oubliais. Il y a Flo aussi. Avec elle je peux parfois discuter mais dès que j’aborde certains sujets, elle se braque et me dit : « Tu n’es qu’un gros bébé ».

Et Nadège ?

Nadège. Chasse gardée de Flo. Elle ne veut pas que je l’approche. Nadège, elle m’appelle Lololita.

Lolita ?

Non, Lololita parce que j’ai des plus gros seins qu’elle. Elle m’a demandé de les lui montrer l’été dernier. Flo est arrivée comme une furie quand elle a vu que j’avais dégrafé ma jupe et depuis, je ne peux plus aller voir les chevaux quand Nadège est là. Je n’ai jamais compris pourquoi mais je n’ai pas insisté.

Tu es idiote ou tu fais semblant.

Ben non ! Nous n’allions rien faire mal et puis, Nadège se mette aussi très souvent toutes nues pour se chatouiller. Quand je vois qu’elles font ça, je reste un peu pour regarder et puis je rentre vite à la maison. Tiens ! Nadège se met comme ça, avec les mains derrière la nuque. Et Flo lui donne des baisers sur son pépette. Elle est bizarre, Nadège. Elle aime ça et puis elle pleure et elle dit « Non, c’est tout, c’est tout » Moi, je ne dirai jamais ça si j’aimais ça.

Un pépette ? Une chatte, tu veux dire.

Ouais ! Je viens de comprendre pourquoi Flo dit toujours : « Je vais te faire miauler la chatte. » Marine ! Arrête ou je vais allaiter ! Ne ris pas ! Je vois bien que mes bouts sont tout sortis.

Passe devant moi ! J’ai trop envie de claquer tes belles fesses.

J’ai entendu que tu as dit tout à l’heure qu’elles étaient grosses ou potelées, je ne sais plus. C’est de ma faute. Je n’ai pas de volonté. Je ne peux pas résister au chocolat. Si tu veux, tu me laisseras enfermer dans le grenier sans me donner à manger pendant dix jours et …

Et l’école ?

Waouh ! Tu m’as tapé très fort là. Pas d’école avant quinze jours ! Ma classe part en voyage scolaire mais tanti…pardon Mireille ne voulait pas que je les accompagne.

Pourquoi ?

C’est compliqué. Mireille a inventé une belle excuse pour que je n’y aille pas. Elle voulait que nous restions ensemble pour mettre certaines choses au point.

? Je peux savoir.

J’ai honte, Marine. Le directeur l’a convoquée pour lui parler de moi. Il parait que je suis une élève brillante mais trop délurée sur certains points et pas assez sur d’autres.

Détaille STP ! Des parents lui ont dit que je me déshabillais dans les vestiaires des garçons…

Ah oui ! Quand même !

Il a dit à tantine Mireille que ce qui l’ennuyait était que je ne trouve même pas ça mal. Alors, vu que j’aurais été une des deux seules filles avec vingt cinq garçons à partir en classe de sport…

Une douce chaleur commençait à envahir mes reins. Nous étions au pied du dernier escalier, le plus raide, permettant d’accéder au grenier. Marine me demanda d’écarter les jambes et de garder mes mains sur la nuque sans ouvrir les yeux. Elle décrivit des arabesques avec ses ongles en dessinant et en commentant toutes mes courbes avec des qualificatifs plus érotiques les uns que les autres. Un frisson incontrôlable m’envahit et me provoqua la chair de poule, ce qui n’échappa pas à ma guide.

Marine ! Je suis toute drôle…Marine !!! Je coule, je coule... Dis-moi que tu vas rester avec nous !

Uniquement si tu me laisses te faire tout ce qui me passe par la tête sans discuter. Tu veux bien essayer ?

Et comment que je veux ! Je ne demande que ça que tu reviennes habiter à la maison. Ce n’est pas grave si je coule autant ? Dis-moi si cela te dérange ou non si j’écarte un peu plus les jambes ? Je sens que je coule sur mes cuisses.

Elle me fit deux fois le tour de la tête avec son écharpe pour s’assurer que je ne tricherai pas en ouvrant les yeux.

Ooh ! Je suis toute malade. Pourquoi Mireille ne me fait jamais ça quand elle me met de l’auto bronzant ? Tu vas me rendre folle si tu continues à..à..me faire miauler la chatte.

Sans faire de bruit, Mireille nous avait rejoints et devait bien regretter de ne pas y avoir pensé plus tôt. Elle s’empara délicatement de mon sein droit qu’elle porta à ses lèvres ce qui me fit vaciller complètement. Ou était-ce peut-être le fait de son haleine qui trahissait une consommation récente d’un bon vieux Calva. Le Calva, c’était le péché mignon de Mireille. Elle en sifflait une bouteille par jour pour se désinhiber qu’elle disait. Moi, je pensais que c’était surtout pour s’imbiber mais il faut avouer que ce soir-là, Mireille se lâchait vraiment.

Tu as un corps merveilleux, ma chérie, une peau d'une douceur remarquable. Je vais te faire connaître des moments inoubliables.

Ses caresses fugaces restaient sans réelle intention de me faire jouir mais je sentais que je perdais peu à peu le contrôle sous l’action conjuguée de ces deux femmes d’expérience. J'étais terriblement excitée et je faisais des efforts surhumains pour parvenir à rester plus ou moins immobile et même à leur parler en chevrotant.

Mireille ! Marine va rester si je la laisse me faire tout ce qu’elle a envie.

Je sentis une lourde claque s’abattre sur l’intérieur de ma cuisse gauche mais pour rien au monde, je n’aurai bougé.

Tu m’appelles Mireille, maintenant. C’est quoi, cette familiarité déplacée. Appelle-moi Madame, alors.

Je ne suis plus une enfant pour t’appeler tantine. Et puis, tu n’es pas ma tantine. Tu n’es qu’une étrangère…

Trois claques successives et appuyées vinrent me tuer les fessiers mais je ne bronchais toujours pas.

Madame vous…Recommence ! Vous n’êtes qu’une étrangère qui…

L’effet immédiat de cette violence emballa paradoxalement ma libido. Mon désir de sexe s'intensifia au point de devenir carrément obsédant. C’est sorti tout seul

… qui veut me faire miauler la chatte pendant qu’elle jouera au scrabble avec son amie.

Décidément, tu es trop niaise pour comprendre ce que j’attends de toi. Tu es belle à croquer mais trop innocente pour apprécier la situation.

Non ! J’en ai marre qu’on me prenne pour une débile. Je sais que vous êtes deux domina. J’ai lu tes livres Mireille. Une gifle d’une violence inouïe m’arracha presque un sein que je pris aussitôt entre mes mains.

Recommence !

J’ai lu tous vos livres pornographiques, Madame. Même ceux que vous aviez cachés tout en haut de la bibliothèque avec des femmes torturées à mort. J’ai appris beaucoup de choses sur vous et sur moi aussi. J’ai besoin d’appartenir à quelqu’un. C’est tout. Même si à ce quelqu’un j’inspire des pulsions sadiques comme Marine a dit en bas tout à l’heure. Je suis votre esclave pour la vie. Mon corps vous appartient si vous en voulez.

En fait, je n’en avais vu que les couvertures et les titres. Et les titres dont je me souvenais étaient : « J’ai besoin d’appartenir à quelqu’un », « Mon corps vous appartient » et « Lolitas enchaînées ». Ce dernier titre, j’arriverai bien à le placer à un moment ou à un autre.

Un grand moment de silence s’ensuivit. Je lâchai mon sein martyrisé et je remis mes mains sur ma nuque en faisant encore plus bomber mon thorax dans un geste de provocation héroïque.

Tu as entendu Marine ? On aurait entendre parler une vieille habituée des clubs SM.

Oui, mais elle nous a quand même invitées à jouer avec elle au scrabble.
Et elle éclata de rire. C'était cela que j'aimais chez Marine. Surtout qu'elle ne change jamais, qu'elle ne devienne jamais sérieuse, qu'elle continue à rire de tout même des trucs sérieux.

Esclave Emilie, je vous autorise à me tutoyer mais pas à me mentir. Combien de fois as-tu déjà été tapée dans la vie ?

1 fois par Madame.

Et combien de fois as-tu joui avec une femme ?

Trois fois, Marine et il n’y a pas longtemps mais j’ai bien récupéré et je sens que je peux recommencer.

Tu peux recommencer toute la nuit seulement car nous, nous n’avions rien prévu. Il me semble que tu as deux bonnes semaines devant toi à nous consacrer avant de retourner à l’école, esclave pour la vie.

Je peux recommencer pendant 15 jours mais après, ce sera pour quand je rentrerai de l’école seulement et après mes leçons. Ca ne fait rien ?

Marine, qu’est-ce que tu en dis ?

Toi, tu es libre comme l’air et moi en recherche d’emploi. Si tu me proposais de me payer grassement, je veux bien la faire jouir 24H sur 24.

Madame ! Prenez l’argent de ma pension et engagez Marine ! Je ne vous coûterai plus rien. Je suis trop potelée et je dois arrêter de manger.

Tu es très mignonne et personnellement, je trouve tes jambes parfaites mais comme tu les trouve potelées, je vais te faire plaisir. Tu m’as demandé de te laisser 10 ou 15 jours sans manger, je ne sais plus. C’est d’accord pour nous. Qu’est-ce qu’on dit à sa Maîtresse ?

Merci Marine !

Nous allons même t’aider à les muscler. Tu n’as pas peur de te montrer nue, m’a dit ton directeur. Que dirais-tu d’un petit footing à poil tous les soirs avec Marine, sur le chemin de halage. Marine en vélo et toi à pied. La dernière arrivée recevra une surprise.

C’est bientôt l’hiver. Il fait trop froid déjà. Je le ferai mais donnez-moi quelque chose pour m’habiller, s’il vous plaît !

C’est vrai, Mireille. Touche ses cuisses ! Elles sont glacées. Tu ne les as peut-être pas tapées assez.
De plus en plus troublante, leurs mains quittèrent mes genoux et remontèrent doucement vers mon sexe qui se réveilla en sursaut. Je tremblais comme une feuille quand des doigts fébriles commencèrent à déplisser mes lèvres qui ondulaient de plaisir.

Ou alors c’est une impression. Ici, c’est bouillant. Humide mais bouillant. Milli t’as froid ou pas ?

Non ! Je suis bouillante.

Tu vois, on va la mettre à refroidir sur le balcon. C’est l’endroit idéal pour calmer les petites excitées de la chatte.

La météo avait annoncé -5 degrés et neige à partir de minuit. Elles me guidèrent à la porte du bacon et je sentis l’air glacé me pénétrer jusque dans le vagin. Quand je posai mon pied sur la pierre bleue, j’eus l’impression de m’enfoncer dans 20 cm de neige et ce n’étais pas qu’une impression. Je décidai de ne pas broncher une nouvelle fois et d’écarter les jambes jusque sur les rebords du balcon pour être bien certaine de ne pas me vautrer. Mon attitude semblait avoir satisfait mes maîtresses. Je me suis sentie soulagée d’un poids énorme quand je retrouvai le contact de leurs mains sur mon corps. Elles n’allaient pas me laisser là pour la nuit et nous allions continuer à jouer à la chatte qui miaule. Marine jouait à me mettre de la neige sur les seins pour me faire durcir les bouts avant de les pincer et de recommencer le jeu cruel. J’aurai du leurs demander d’arrêter mais Mireille était en passe de me faire chavirer.

Emilie, il est passé minuit. Bon anniversaire ! Il te suffira de remplir quelques formalités et tu seras légalement majeure et libre de faire ce que tu voudras de ton corps.

Elle se mit à me chatouiller le cou, la nuque et les oreilles. J’étais complètement partie.
Après m’avoir griffé la peau du ventre et du dos, deux doigts inconnus s'attardèrent longuement à l’orée de ma vulve, flirtant à dessein avec l'entrée de son canal strictement inviolé, titillant mon petit bouton d’amour en passe d’exploser.

Tu as tant de trésors à offrir, ma chérie, que nous ne serons pas trop de deux pour les amasser. Bon anniversaire, jolie Emilie ! Dis-nous ce qui te ferait plaisir ! Je suis prête à t’offrir tout ce que tu désires.

Devenir votre lolita enchaînée ! (ça y était, je l’avais placée)

Rien que ça !

Mes petites nymphes ondulaient, joyeuses sous la masturbation appuyée de Marine.

Non ! Que Marine reste avec nous et me fasse faire pipi avec ses mains comme dans la salle de bain tous les jours !

Ah ! Bon. Tu es très exigeante mais j’ai promis de ne rien de refuser. C’est tout, je suppose.

Non ! Je veux miauler, miauler et encore miauler…

Marine débusqua mon clitoris et en flatta l’érection avec un seul objectif : faire darder mon offrande d'amour à la recherche du point le plus aigu et irréversible du plaisir féminin.
Elle n'en lâchait plus la pointe délicate dans le but non avoué mais évident de m’amener rapidement vers le seuil de rupture. J’avais totalement perdu l’esprit. La lame de fond allait bientôt me renverser. Je me cabrais, la tête rejetée en arrière.

Attend ! Attend ! Doucement ! Doucement ! C’est si fooort !

J’ai commencé à émettre des grognements bestiaux pré orgasmiques. A vrai dire, j’étais tellement gavée de sensations fortes que j’avais peur de ce qui allait m’arriver…peur de mourir en jouissant. C’est idiot mais c’est comme ça la première fois. Et ça, elles le comprirent toutes les deux.

Je la finis ou quoi, Mireille ! Elle est toute grelottante.

Non ! Surtout pas ! Garde-la ainsi le plus longtemps possible ! Je vais ouvrir la porte du grenier. On va la mettre sur le rack qui est à l’entrée.

C’est vraiment sadique de la laisser dans cet état, Mireille. Elle est complètement partie. Milli ! Tu m’entends ?

Ouiiii ! Tout doucement ! Tout doucement sur mon clito ! Ou je vais mourir…C’est terrriiiible ce que tu me fais.

La porte de mes fantasmes grinça mais je n’étais pas en état de savourer le décor.

Mireille m’aida à me coucher sur le bois rugueux et odorant d’un rack pluri centenaire. J’ai su plus tard que son père l’avait acheté au château de V…(mes amies sauront de quel château je parle). Elle me prit délicatement les poignets pour les attacher aux deux extrémités du T du rack. Je fus prise d’un vertige fulgurant quand je me suis sentie rivée, les bras en croix sur cette table qui me rappelait des images de l’Inquisition. Pas un vertige de panique, un vertige d’excitation comme je n’en connaîtrai jamais de plus fort dans ma vie. Je ressassais à la suite les récits des Saintes Martyres et de leur lente agonie. Je me disais que maintenant, c’était mon tour et que j’allais beaucoup souffrir. Marine sentit la fièvre qui gagnait chacun des muscles de mon pauvre petit corps.

Mireille, elle va finir par partir si elle continue à se cabrer. Et toi, arrête de gigoter comme une truite sortie du vivier ! Tu mouilles partout.

Partir = mourir dans mon esprit. J’avais envie de vivre, moi. Sur le mur qui me faisait face, je découvris un présentoir surchargé de tenailles, fouets, martinets et autres joyeusetés. Mireille m’avait sanglé les poignets et les coudes et s’attaqua avec plus de difficulté à la sangle frontale qui devait me bloquer parfaitement la tête.

Mariiine ! Au secours ! Fais quelque chose ! Il faut chasser le démon qui est entré en moi. Je sais que je vais beaucoup souffrir mais ne me laissez pas mourir comme Sainte Ursule et Sainte Eulalie.

Le démon, je le tiens entre mes doigts. Il n’en finit pas de grossir et ne veut pas se laisser masser. Toi, tu vas finir par te casser les reins si tu continues à t’arcbouter ainsi. Mireille ! Met-lui la sangle abdominale d’abord que je puisse m’occuper de son pistil plus efficacement. Tu t’occuperas de ses guiboles ensuite.

Ces yeux pétillaient de malice. Quand la sangle fut serrée au dernier cran, j’eus l’impression que mon clitoris ressortait encore plus fort. Encore plus bandé, ajouta Marine. Elle trouva vite la cadence idéale pour l’agacer et provoquer dans tous mes membres des spasmes qu’elle trouvait très érotiques.

Mireille venait d’attacher mes jambes, sous les genoux et aux chevilles, sur les deux tablettes qu’elle s’apprêtait à manœuvrer pour mieux m’écarteler. Je m’envolais toujours plus haut mais dans la sérénité maintenant.

Milli ! Ecoute-moi bien ! Il ne faut surtout pas que tu jouisses comme tout à l’heure. Tu dois te retenir au maximum et nous dire stop avant qu’il ne soit trop tard. Mais pas trop vite non plus. Juste avant. Tu as compris ? Si tu sens que ça redescend, tu n’auras qu’à me dire encore et stop quand tu sentiras que tu ne saurais plus te retenir une seconde de plus.

Encore un tout tout petit peu ! Raah ! Stop, stop…Doucement, doucement…

Nous n’allons pas t’abandonner. Est-ce que tu nous fais confiance ? Il faudra t’écarter les cuisses le plus fort possible pour que ta petite fleur s’ouvre très très grand et tu seras soulagée. Tu me diras quand tu ne pourras plus le supporter aussi.

Je sentis Marine se glisser entre mes cuisses qui s’écartaient millimètre par millimètre par la magie de la manivelle du treuil que Mireille actionnait. Elle se retient à fond là. Elle n’est même plus avec nous. Continue de l’écarteler !
Je sentais un air bienfaisant s’engouffrer dans mon vagin que je devinais odieusement béant. Pourtant Mireille continuait toujours à manœuvrer un appareil dont chaque cliquetis rapprochait mes jambes du grand écart parfait pour mieux se régaler de ma plastique.

Encore sur mon titi ! Encore une petit peu …Stop, stop ! Oui, comme ça ! Oh ouiiiii !

180° ! Tu aimes quand je te griffe les cuisseaux.

Ouiii ! C’est encore plus fooort !

Mireille, regarde ! Elle est encore vierge…Mais nous avons de la chance. Elle a un hymen en corolle qui laissera passer facilement mon doigt sans la faire saigner.

Je n’étais plus qu’un sexe palpitant qui mendiait les caresses de mes deux sadiques attitrées. Une gorge sèche qui braillait du plaisir prodigieux d’avoir atteint le sommet de la vague, prête pour y surfer éternellement.

Ouiiii ! Comme ça !

Marine n’utilisait plus que la pulpe d’un doigt pour dialoguer avec mon bouton tandis que Mireille se mit en tête d’abandonner mes cuisses, sur lesquelles elle avait flashé, pour me sucer les tétines comme un gros bébé qui a hélas déjà toutes ses dents.

Puisque tu as lu mes livres cachés et que tu as eu des cours d’histoire, je vais t’expliquer sur quoi tu es couchée ou peut-être sais-tu déjà à quoi ça sert.

Mireille avait hérité de son père l’unique exemplaire existant encore d’un rack en forme de T réservé aux femmes sur lequel la sacrifiée était garrottée solidement par des sangles serrées à la taille et autour des membres. Elle était ainsi exposée à l’horizontale, les bras et jambes en croix, distendue à souhait et offerte aux attouchements et autres brimades.

C’est fait pour m’attacher et supplicier avec les instruments sur l’étagère jusqu’à ce que le démon qui est dans mon titi s’en aille.

Sais-tu combien de temps il faut parfois attendre avant que le démon s’en aille ?

Plusieurs heures ?

Bien plus !

Raaah ! Oh non ! Plusieurs jours ? Ouiii ! Stop, stop ! C’est terriiiible comme ça…

Au moins. Plusieurs semaines parfois. Quand la petite fille possédée est une bonne mouilleuse et qu’elle a un gros titi, c’est même parfois plus long encore.

Ne dis pas ça ! Marine me l’a déjà fait remarquer.

Oui, mais je ne pensais pas que c’était si grave. Tu es trempée comme une soupe et je ne te parle pas du titi géant qui me provoque. Il est tellement méchant qu’il bouge sitôt que je le touche comme un petit phallus.
Mireille voulait voir le phénomène de près. Commença alors un dialogue absurde composé de questions dont elles connaissaient par avance toutes les réponses et de questions dont je ne comprenais même pas la teneur mais auxquelles je répondais par instinct.

Marine me tenait sur le gril par l’épicentre de mes sens et s’en donnait à cœur joie. Elle avait pris la mesure parfaite de mon plaisir, bien aidée par Mireille qui me faisait des pincettes partout avec ses doigts en me tournant autour comme un vautour.

Il est très chatouilleux ton gros bouton…

Très, très, très, très, très, très…troooop.

Tu sais que tu mouilles partout comme une sale gamine que tu es.

Ouiiii ! Pardon…

Tu sais que tu mériterais une punition très très très sévère pour ça.

Ouiii !

Oui qui ?

Oui, vous…j’ai peur….je vais partir…stop ! Stop !

A la faveur d’un spasme vaginal, une dentelle liquide sinua dans ma fente et le delta embauma de senteurs nouvelles. Mon clitoris devint dur comme un caillou et Marine le lâcha. Mireille me pinça un téton au sang et l’orgasme reflua. J’étais à bout de souffle. Il était temps. Je venais d’échapper au pire, à la mort certaine.

Tu aimes les pincettes, il me semble. Tu as vu que le démon t’a quittée

Oui Madame. Mais ça recommence encore plus fooort !

Marine fit un signe à Mireille que le potiquet de vaseline était presque vide et mes muqueuses passablement irritées.

Les fioles de Brigitte sont à ta droite dans le tiroir du haut. Commence par le flacon n°1 et mets tes gants latex!

Marine lui fit remarquer que Brigitte s’était enfuit de chez elle car elle n’avait pas supporté.
Mireille lui rétorqua que ses démons étaient moins méchants que les miens. Mais le problème était que Brigitte s’était taillée avec le flacon en menaçant Mireille de déposer plainte et flacon chez le juge.

Il y en a vingt dans le tiroir. Utilise le deuxième flacon, alors ! C’est à peine plus pimenté et un rien plus vinaigré si je me souviens bien. Milli ! Ne joue jamais avec ces bouteilles ! Promis ?

Tantine était la reine de la vinaigrette au piment d’Espelette mais il n’y avait qu’elle pour apprécier. Ca vous arrachait la bouche et les dents tombaient. Même les huîtres se mettaient en boule rien qu’à voir le flacon. Elle y mettait un tas de truc dedans et ce n’est pas parce que je connaissais sa cachette que j’allais me faire une salade avec. Ah non ! Jamais de la vie. Elle en revint à mes cuisses qu’elle appelait maintenant petit gigots dorés.

Ca tombe bien que tu aimes les pincettes. J’ai envie de te pincer tes belles cuisses. Tu vas t’efforcer de ne pas crier pour ne pas réveiller le démon mais tu peux grimacer autant que tu le désires.

Je pense que j’ai toujours bien aimé les pincettes quand elles sont juste assez douloureuses mais pas trop. Durant un voyage scolaire, deux garçons m’en avaient fait pleins les cuisses dans le bus. Je ne pouvais pas me faire une opinion pour les pincettes à la pince plate car je n’avais jamais essayé. Soudain, elle changea d’avis et déposa sa pince plate pour prendre la tenaille du présentoir.

Marine avait enfilé ses gants et versa une rasade d’huile dans mon nombril. Mireille testait mollement sa tenaille sur une de mes aisselles. J’ai compris que l’instant était crucial et que ma vie était en jeu. Ca passait ou ça cassait.

Emilie chérie ! Es-tu prête à supporter les souffrances nécessaires pour te débarrasser du démon ?

Oui ! Ca va faire très très mal ?

On ne le sait pas encore mais ça risque, ajouta Marine qui venait de tremper son doigt dans mon nombril.

En tous cas, je n’ai pas mal au nombril.

C’est que le démon n’est pas là. Tu nous diras ce que ressent Titi. S’il a trop mal, le démon ne sortira pas aujourd’hui.

Titi avait déjà été pas mal surmené et il se trouve que cela l’avait passablement irrité. Je serrai les dents quand Marine s’empara de ma tigelle avec son gant plein de vinaigrette maison. Si mes nymphes se rétractèrent comme les huîtres, Titi se redressa, fier comme Artaban. La douleur fut fulgurante, irradiant dans tout mon ventre. Cela ne dura que quelques secondes heureusement car je n’aurai pas pu m’empêcher d’hurler une seconde de plus. Ensuite, ce fut l’horreur. Même pire que ça. J’ai commencé à prendre un pied formidable. Plus fort que le plus géant des orgasmes de ma vie. Tout simplement car il était inconcevable que je puisse atteindre l’orgasme dans une pareille souffrance et j’ai vraiment pu me lâcher. Le démon allait passer un mauvais quart d’heure.

Ce n’est plus un titi, c’est un caillou ton clito. Il aime ça, le titi.

Encore…encore..encore..plus fort s’il te plait Marine…Vas-y…vas-y…Pince-le…pince le !!! Ouiiiii ! Encore.

Mireille, excitée à mort, avait prit un bout de mes seins en tenaille et le tirait à fond vers le haut en secouant ma glande.

C’est bon ! Tantine…C’est bon….L’autre aussi…S’il te plait….Fais-le pour moi ! Plus fort…Les deux en même temps….Oui…Avec l’autre tenaille…C’est trop bon….

Marine m’avait inondé la chatte de son huile frelatée et me fit découvrir que j‘avais un vagin, petit certes mais prometteur.

Elle est en transe, Mireille. Si je lui mets le doigt, elle me coupe une phalange. Jamais vu ça.

Là, j’étais vraiment possédée. Possédée d’un délire masochiste qui m’aurait fait demandé à Tantine de m’arracher un sein mais je n’avais plus de voix tant j’avais râlé. Tout ce que je suis parvenu à articuler, c’était : « Titi…Titi…la pince…vite…je vais partir ». Car je ne voulais pas partir, plus par peur de mourir mais parce que c’était plus que géant.

Mireille eut la présence d’esprit de troquer ses deux tenailles contre la pince plate précédemment rejetée. Elle s’empara de la hampe de mon clitoris, la pinça et…et…

…et prit Marine à partie avant de commettre l’irréparable.

Tu te souviens ton amie Cécilia ? Tu me disais souvent qu’elle avait aussi un clitoris intéressant et très chatouilleux.

Le simple contact de la pince sur mon clitoris, déjà mis à mal par l’infâme vinaigrette, avait fait refluer l’orgasme. Le cri suraigu que j’avais poussé avait eu le don d’agacer sérieusement Marine.

Ce n’est pas pareil. Cécilia avait le double de son âge et pas la même condition physique. Elle ne criait jamais non plus quand je jouais avec son titi. C’est bien pour ça que je suis restée si longtemps avec elle.

Donne-moi ta pince, Mireille et détache-la ! Je n’ai plus envie de jouer avec elle. Elle ne sait pas souffrir. Je m’en vais.

La sangle abdominale et celle qui bloquait ma tête me furent ôtées en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Déjà, Mireille s’apprêtait à me détacher les jambes.

Tantine ! Ne fais pas ça ! Le démon ne pourra pas sortir. Mariiine ! Je ne crierai plus. Je promets. Fais-moi mal autant que tu veux ç mon titi…comme avec Cécilia ! Je serai gentille. Je ne dirai rien.

Tu ne diras rien à personne ? Cécilia n’a jamais parlé de ce nous faisions ensemble à personne. C’était notre secret.

A personne ! Je te promets. Je serais trop gênée d’ailleurs. Je sais que c’est mal ce que je fais.

Si tu caftes une seule fois, jamais que je reviens. C’est pour ça que je ne suis plus avec Cécilia.

Tu pourras me faire tout ce que tu voudras, je ne dirais rien, même pas à tantine.

Mireille se pencha sur moi et riva ses yeux dans les miens. Elle m’empauma les seins et commença à les caresser pour en faire bien ressortir les pointes. Mes tétons me faisaient encore un peu mal mais c’était bien agréable quand même. Elle les fit rouler entre ses doigts avec science jusqu’à provoquer mes premiers grognements de plaisir. Ma chatte s’était remise à couler abondamment et un feu plus troublant que de la brûlure de mon sexe se répandait dans mon ventre. Marine avait repris possession de ma fente et flattait mon clitoris dont l’excitabilité n’avait jamais atteint de tels sommets.

Tu vois que nous ne sommes pas des méchantes. Nous savons aussi te faire du bien. Tu n’aimes pas ? Ce n’est pas gai ?

Raaah ! Siiii ! C’est encore plus fort qu’avant…

Qu’avant quoi !

Avec la vaseline, c’était bizarre mais c’était déjà beaucoup mieux avec mes cuisses ouvertes….mes seins….c’est gai quand tu les pinces doucement…je suis encore plus malade qu’avant..wououou !

Et le titi, il est malade aussi, Mireille. On dirait une petite fraise qui a la rougeole.

Elle s’amusait à le comprimer comme pour en tester l’élasticité puis relâchait la pression jusqu’à ce que je puisse reprendre ma respiration et me posait une nouvelle question sournoise avant de recommencer.

Et le titi, qu’est ce qu’il aime le mieux. La vaseline ou la vinaigrette de tantine ?

Le deuxième…wouhouhou ! L’huile..c’est terriiiiible, l’huile.

Pourquoi c’est plus gai l’huile ?

Ca bruuule…c’est pour ça que c’est plus gai…ca fait maaal…et ça va durer plus longtemps….Encoooore….

Mes nerfs tressaillirent à nouveau et une crise de spasmes s'empara de tout mon corps.

Tu es très malade, toi en ce moment. C’est ton anniversaire. Tu veux continuer le jeu du stop ou encore. Moi, j’ai très envie de savoir qui sera la plus vite fatiguée et toi Mireille…

Continuuuues ! Marine ! Continnnue !

Mireille me massait maintenant les cuisses et le ventre, pour faire circuler le sang qu’elle disait.

Pourquoi penses-tu que c’est mal ce que nous faisons avec toi. C’est mal si tu m’aimes pas ce que nous te faisons, mais ça, tu aimes, non ?

Oh oui ! Oh oui ! Je voudrais….wououou…je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Avec l’huile, ça ne s’arrête jamais…

Le désir montait en flèche, les sensations affluaient de toutes parts. Les doigts de Marine martyrisaient mes chairs, pinçaient mes lèvres, plongeaient dans mon vagin et revenaient toujours sur ce petit caillou qui n’en finissait pas de grossir. Mes yeux coulaient à chaude larmes mais c’étaient des larmes de bonheur.

Il est méchant le titi de faire pleurer notre fifille. Moi, je pense qu’il mérite une punition.

Oui…Marine fais-lui maaall !!!Ouiiiii…comme ça….encooore.

Lèvres ouvertes, je geignais grave et la Marine s'acharnait de manière de plus en plus douloureuse sur mon clitoris. Elle le griffait sans vergogne, le pinçait et faisait mine de l’arracher. Mon organe affolé accueillait les outrages avec un plaisir manifeste qui se répandait jusqu’à la racine de mes cheveux. Je coulais, je coulais, je coulais de partout.


Tu vois que ça peut être très gai quand je te fais mal. Encore ?

Ouiiii encore….tire dessus…ouiiii ! C’est trop bon….

Le plaisir était tout proche. Quelque chose d’énorme se mettait en branle dans mon ventre.

Elles se mirent à deux. Elles me griffaient et me labouraient sans obtenir autre chose que des gémissements de volupté. La lutte devint vite inégale. Un cri interminable jaillit dans la nuit.
Je secouais mon corps vissé au carcan. Ma tête heurtait en tous sens le plancher de bois.
Mes poings se serraient sur le vide. Mes jambes se tendaient mais ne parvenaient plus à soulever mes pieds. Mon corps dessinait un arc parfait, le dos brisé au creux des reins. Je forçais l'écart de ses cuisses et soulevais mes fesses en une houle convulsive pour exprimer cet orgasme que la douleur irradiante de mon sexe empêchait de sortir. Cette fois, plus de repli possible. Cela enfla, enfla de plus en plus. Une angoisse étrange me saisit. Que m'arrivait-il ? Un instant, je crus être en train de mourir. Une gigantesque vague me submergea le ventre d'abord, le corps tout entier ensuite. Ma gorge se noua et l’instant d’après, les écluses s'ouvrirent. Mon sexe meurtri se gonfla comme une anémone de mer, agité de sursauts, et se répandit en perles claires, éclaboussant d'ivoire mes cuisses écartelées et le chemisier de Marine qui ne désarmait pas. Mes cris montèrent en spirale. Dans un face à face infernal et divin, elles s'acharnèrent toutes les deux sur mon joli coquillage comme pour en exprimer l’ultime goutte. Une derrière fois, tout mon corps se raidit et se brisa !
Quelques instants qui me parurent une éternité. Une éternité de quelques secondes. Quelques minutes pour reprendre mes esprits et laisser le temps à Mireille de me détacher.
Le démon est parti maintenant. Je vais chercher un pot de vaseline. Titi est tout irrité. Un petit baiser d’abord.

C’est mille fois mieux quand il est irrité.

Je pensais que ma chatte ne s’en remettrait jamais. Eh bien si ! Et très vite même. Marine et moi sommes descendues dans la salle de bain nous décrasser à deux sous la douche. Ce fut un soulagement innommable de pouvoir me passer le minou chauve au jet glacé. Les brûlures, c’est bien quand on est excitée mais, à un moment donné, il vaut mieux que ça s’arrête. De l’huile, j’en avais partout jusqu’aux tréfonds de mon vagin et même mes cheveux sentaient l’huile d’olive. Mireille n’avait heureusement pas forcé avec ses pinces et tenailles et je n’étais presque pas marquée. Juste quelques hématomes sur les cuisses et un sous le sein droit. Rien de sexuel avec Marine sous la douche. C’était heureux car j’avais déjà bien donné. Dire qu’il y a quelques heures à peine, j’ignorais que je pouvais autant m’éclater. Par contre, ce fut la découverte d’une grande tendresse et l’ébauche d’une complicité qui ne demandait qu’à éclore.

Tu sais que tu portes mal ton prénom. Tu devrais t’appeler belles cuisses.

Elles sont si belles que ça mes cuisses ?

Tu le sais bien sinon tu ne les montrerais pas tout le temps. Je suis très contente que tu as réagi comme cela après…et surtout pendant. T’as vraiment aimé ?

Tu le sais bien sinon je n’aurais pas autant crié. Cécilia, tu l’aimes encore ? Elle t’inspirait aussi des pulsions sadiques ?

Elle n’aurait pas supporté le tiers du quart de ce que tu as supporté ce soir. Elle n’éjaculait pas non plus et ça, ça me met en appétit. Rassurée ?

Non ! C’est quoi « éjaculer ».

C’est faire pipi comme tu dis mais ce n’est pas faire pipi. C’est projeter son plaisir quand c’est très fort. Toutes les femmes ne font pas cela. Seules les femmes fontaines peuvent éjaculer et en mettre partout comme toi tout à l’heure dans mes cheveux. D’ailleurs, je ne vais pas t’appeler belles cuisses mais petite fontaine, je crois.

Ce n’est pas de faute si je t’en ai mis pleins les cheveux. Enfin, si tu aimes me voir faire cela, tu pourras me faire éjaculer autant que tu veux. Cela ne me dérange pas. Au contraire, c’était vraiment très gai. Maintenant que je sais que ça ne fait pas mourir, je serai plus détendue et je pourrai éjaculer toute la journée.

C’est tout ce que tu trouves à me dire alors que nous nous sommes occupées de toi pendant une heure et demie. Tu n’as même pas l’air crevée. Tu devrais me dire : Oh Marine ! Tu m’as tuée, tu sais avec tes caresses. Je suis repue. Tu sais que tu me tues, toi. C’était si fort que je suis HS pour huit jours »

Je dois dire cela même si ce n’est pas vrai. Tu m’avais promis de me faire des choses pendant dix jours. Ce n’est pas vrai alors, c’est comme le grenier. Je n’en verrai que la première pièce.

T’es vraiment trop conne ! Heureusement que tu as un physique. Tu mérites des claques.

Je suis prête. Tapes-moi si tu trouves que je mérite des claques ! J’aime bien aussi quand tu me fais mal. Ca me fait mouiller encore plus.

Arrête de faire la moue ! Qu’est-ce qu’il y a ?

Vous m’avez menti. Je ne vous « inspire pas des pulsions sadiques », alors. Cette phrase là, je m’en souviendrais toute ma vie. L’autre aussi. « Je ne suis pas une bonne mouilleuse ». Quand je pense que je voulais te donner tout l’argent de papa pour que tu restes avec moi.

Pour se doucher au plus vite, nous avions opté pour la salle de bain du deuxième étage. Mireille nous cherchait depuis un quart d’heure, un pot de vaseline à la main. Elle avait entendu au moins la fin de notre conversation.

Milli. Je ne te laisserai pas faire la même bêtise que moi. L’amour, cela ne s’achète pas. Cela se mérite. Sèche-toi et écarte tes guiboles que je répare les dégâts !

Le bruit mouillé de ses doigts branlant mon sexe me fit chavirer à nouveau. Mon petit clitoris qui avait regagné son nid était venu chercher de nouvelles caresses. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce ne fut pas du goût de Mireille.

J’arrête si tu recommences à faire tes grimaces. Tu ne peux pas savoir à quel point je regrette ce qui s’est passé.

Mais Madame, vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Je sens que ça revient…

Ne m’appelle plus Madame, s’il te plaît ! Je suis ta tantine et ta tantine te dit que si tu as le pépette qui chatouille, tu n’as qu’à apprendre à te frotter toute seule. Habille-toi ! Pourquoi pleures-tu ?

Ca..va…être beaucoup… moins gai.

Il faudra que tu te calmes, Milli. Je n’ai pas envie d’héberger sous mon toit une poupée de stupre.

C’est quoi une poupée de stuc, dis-je en sanglotant.

Une salope !

Marine tenta de nous ramener à la raison. Elle m’invita à m’asseoir sur le bord de la baignoire pour poursuivre son discours en me posant ces mains brûlantes sur le haut de mes cuisses. Sans aucune pudeur, je lui présentai mon temple de Vénus au dernier degré d'écartement possible. Innocemment, j’avais remonté les bras jusqu’à me mettre les mains sur la nuque. Je voyais que cela ne laissait pas Marine indifférente. Elle promenait un regard gourmand sur ma silhouette. Elle se ressaisit et m’expliqua l’embarras que je leur causais à cause de mon jeûne âge. Les ennuis judiciaires que risquait d’avoir tantine si cela s’ébruitait, etc…Je ne comprenais rien à rien. Pour moi, c’était hyper simple. Elles avaient envie de moi, j’avais envie qu’elles s’occupent de moi et…soudain, la solution miracle : l’émancipation. Non pas qu’elles aient poussé à me faire émanciper mais le mot avait été prononcé. Ses mains mouvantes me causaient pourtant un tel état d'énervement que je me sentais sur le point d'exploser d'une seconde à l'autre. Je redevenais hypersensible de partout et mes yeux révulsèrent quand tantine m’aida à enfiler le seul polo de tennis qu’elle avait déniché dans la salle de bain du deuxième étage. Taille 12/14 ans. Je voyais mes tétons pointer rageusement dans le miroir sous l’étoffe qui m’arrivait à peine sous le nombril. Et mes longues jambes…ma petite chatte toute lisse, mille fois plus mignonne sans ses vilaines boucles noires…Je ne pus m’empêcher d’y toucher.

Mireille, ta protégée a un sérieux problème.

Oui, elle a grandi trop vite et pas en sagesse. Si tu veux te masturber devant nous, attend que je te trouve une culotte.

Là, tantine ! Dans le tiroir de la commode. Il y a tous les bikinis que je ne sais plus mettre. Oui, celui-là !

Pourquoi celui-là ?

Parce que Florence me dit qu’il est trop sexy mais trop petit quand on n’est pas rasée. Et comme je suis rasée…

Mireille ! Je te le répète. TU AS un sérieux problème. Elle est tarée ta protégée. Il faut la faire examiner par une personne compétente.

Moi, je veux bien. Compétente et capable de comprendre ce qui vient de nous tomber dessus. Je ne connais personne dans mes amies qui puisse…

Annette ! La psy. C’est une très bonne copine et elle est homo aussi. Je lui envoie un SMS qui commencera par help please et je lui explique l’urgence. Elle comprendra. Si on l’invitait à déjeuner demain.

A 2h du matin ???

Je suis certaine qu’elle viendra si j’insiste. Tu verras. Elle gagne à être connue. Elle est tout sauf bornée.

On fait comme ça. Milli, va te coucher.

Et le grenier…Je pensais qu’on allait me montrer le grenier. Tantine !!! Le banc solaire !!!

Je vais laisser la porte ouverte et tu pourras aller te bronzer demain, après le déjeuner, si tu sais te tenir.

Chouette ! Ca va être dur mais je vais me retenir et bien garder ma culotte de bikini pour dormir. Ainsi, je ne vais pas mouiller mes nouveaux draps.

J’avais une envie folle de monter inspecter le grenier mais soudain, j(entendis tantine parler avec Marine. C’est fou comme on entend bien les conversations dans ces grandes maisons, rien qu’en écoutant dans l’ouverture du feu ouvert. La chambre de tantine est située juste sous la mienne et nous avons le même conduit de cheminée. C’est comme ça que je sais tout ce que tantine fait avec ses maîtresses dans la nuit noire. Je corrige. Tout ce que tantine aimerait faire à ses maîtresses parce que, presque toujours, elles disent non pas ça ou je rentre chez moi. Et presque toujours, elles rentrent chez elles. J’ai appris tellement de choses en écoutant dans la cheminée. Tantine, elle aime bien attacher les filles à la boiserie de son lit à baldaquin et les regarder pendant des heures en les caressant tout doucement pour qu’elle ne jouisse pas trop vite. Marine ne supportait pas ça. Elle disait pourtant qu’elle adorait faire ça aux autres jusqu’à les faire grimper aux rideaux. Quelle idée bizarre ! Il parait que les filles jouissent beaucoup plus fort après. Je ne le croyais pas mais tantôt, quand je me suis retenue, c’est vrai que c’était méga colossal. Pourtant, il n’y avait qu’une heure que je me retenais. EUREKA ! Je viens de comprendre pourquoi tantine m’a demandé de me retenir jusqu’à demain après-midi. C’est pour que je jouisse très très fort quand la psychiatre sera là.
Chut ! Marine va dormir toute nue et tantine aussi. Dans le même lit comme autrefois………………………………………………………………………………………….
C’est vite fini cette fois-ci. Marine devait être vraiment fatiguée.
Chut ! Elles parlent de moi.


Sous ses dehors de petite fille innocente qui a grandi trop vite, elle a d'éblouissantes dispositions orgasmiques. Tu te rends compte qu’elle a joui cinq fois à son âge en éjaculant deux fois comme une grande. Elle est tellement craquante quand elle jouit.
En plus, elle cicatrise vite. Après la douche, je croyais que j’aurais encore la corvée des collants à me taper mais c’était inutile, elle n’avait presque plus rien.
Mireille ! Tu sais que tu peux me faire confiance. Je ne peux pas croire que c’était la première pour elle.
Je te le jure sur la tête de mon père, je ne lui ai jamais fait de mal, jamais au grand jamais.
Tu lui as fait du bien, des câlins, quoi.
Je mentirai en disant qu’elle n’est pas câline. Elle est trop câline. Elle veut des guidounes tout le temps.
Des guidounes ? Des chatouilles, mais pas jusqu’à la faire jouir ou alors, elle le cache bien sous son essuie de bain.
Hum ! Tu lui fais des guidounes après la douche.
C’est systématique et ça dure des heures parfois. Le JT de 20H, les pubs, le feuilleton et ça se termine au JT de France 3.
Et elle doit mouiller comme une folle.
Je ne sais pas. Je regarde la télé, moi, le soir. Je ne pense pas tout le temps au sexe comme toi.
Je te parie qu’elle se couchait sur sa sortie de bain pour s’essuyer quand le besoin s’en faisait sentir.
Tu as raison mais c’est normal, elle sortait toute mouillée de la douche.

Aie ! Elle est fut fut, Marine. Pour les câlins devant la télé, c’est foutu. Il faudra que je sois finaude avec elle. Tant pis. 10 orgasmes de perdus, 100 de retrouvés.

Tu as vu sa réaction sur le carcan, surtout quand je l’ai huilée. N’importe quelle nana se serait bloquée. Elle est s’est envolée. Il n’y a qu’une maso pour aimer l’huile et les tenailles. En plus, elle est drôlement obéissante. Avec un peu de gentillesse, je pourrai tout lui demander une fois qu’elle sera émancipée.
Là, tu rêves. L’émancipation, c’est très bien mais ce n’est pas à moi à la demander, c’est à elle.
Nous y arriverons avec le temps. J'adore m'occuper de jeunes nanas, j’ai l’impression que cela m'empêche de vieillir. Je vais la soûler de caresses pendant que tu la martyrises pour la faire monter toujours plus haut dans l’extase. Elle ne saura plus où donner de la tête. On va faire de son sexe un lance d’incendie tellement elle va éjaculer.

Oups ! Ca c’est un programme qui me botte. Ensuite, Marine a fait des compliments sur mon physique. Que je portais très bien le bikini quand j’étais bronzée. Alors, tu me verras souvent en bikini. Que j’avais de très, très, très (3x) belles jambes. Que les filles callipyges étaient souvent des bombes sexuelles. C’est quoi calimachin ? Mon dictionnaire…Une cambrure marquée des reins et de belles fesses. Encore. Toutes mes copines me sortent aussi la même rengaine. C’est décidé, je bouffe plus (ne pas prononcez le S). J’ai réussi à me débarrasser du plus gros de ma virginité, je me débarrasserai aussi du plus gros de mes fesses.

Tu sais bien ce qu’en pense, Marine. Je ne demande que cela de la faire fondre. Allez, on se couche.
Attend ! Annette ! Elle m’a répondu. Elle pourra passer chez nous vers 11h mais elle ne pourra pas rester plus d’une heure. Je t’avais bien dit qu’elle rappellerait. Il faut que je te prévienne. J’ai vécu deux mois avec elle. C’est une fétichiste des jambes. Si je veux la mettre dans ma poche, je vais devoir m’habiller très court. Allez ! On se couche. Bon anniversaire Mireille.
Moi, c’était hier. Il est 3h du mat. Aujourd’hui, c’est celui de Milli.

Moi, je me couche aussi.

7h du matin. Petit pipi et retour au plumard. Je suis affamée ce matin. Tant pis, je suis punie. Je vais m’interdire de manger. Je me suis recouchée mais j’ai quand même enlevé ma culotte de bikini qui me rentrait dans les fesses. J’ai du me rendormir une heure en lisant. Sommeil très agité, Milli. Tu t’es déshabillée en dormant. Mes jambes s’étaient emmêlées dans le drap. Mes cuisses seules étaient visibles. Comme sur le rack quand j’avais les jambes et les mollets liés jusqu’aux genoux. Il fait déjà clair et l’aube s’attarde sur mon corps prisonnier. Je me caresse le pubis et les seins car ma foufoune sans foufoune, pleine de rosée, n’est pas accessible. J’ai les jambes jointes. Normal. Les draps, non, les cordes me maintiennent prisonnière. Mes belles jambes hâlées, les cordes, le long martinet que vous dressez au-dessus de moi, tout cela ne fait plus qu'une seule tresse qui se fond et palpite. Pourquoi tout ce monde ? Personne ne m’écoute mais tous me regardent. Il n’y a pas à dire. Mon corps se transforme de la plus belle des façons. Pitié ! Ne me frappez pas ! Ce n’est pas de ma faute si j’inspire des pulsions sadiques. Les cordes marquent les chairs qu'elles protègent de la violence que je lis dans leurs yeux. Seul mon livre abrite encore mon ventre mais plus pour longtemps. Ils veulent que je me caresse encore ou ils vont me battre. C’est vraiment du vice d’obliger une jeune fille à se caresser en public. Allez ! Pour vous faire plaisir. C’est méga excitant mais c’est épuisant de se caresser sans pouvoir jouir. Comme elle a raison. Je peux juste glisser un doigt entre mes cuisses pour titiller mon clitoris. Oh ! La vilaine fille qui est déjà toute trempée. Stop ! C’est plus possible. J’étais presque partie. Mes fantasmes ont cela de bien, c’est qu’ils me mettent en lambeaux sans abîmer le corps de rêve que je vois dans le miroir. Il y a des miroirs partout chez tantine. Marine était dans le lustre de ma chambre et elle a tout vu. Elle tient dans ses mains une paire de raquettes de pingpong et me tape sur les cuisses pour m'obliger à retirer le doigt de mon sexe. Je résiste mais tantine sort du bahut en acajou avec toutes ses anciennes maîtresses. Elles ont toutes un fouet qu’elles font claquer sur mon ventre et mes seins. Mes cris se perdent dans les sifflements des lanières déchaînées. Plus ils me fouettent, plus le hamac de mes draps de cordes semble se refermer sur moi. Plus je m'enfonce dans un monde parallèle. Je souffre mille diables tandis que mille démons m'excitent. Madame, tout m’excite ici. Le grenier plein d’instrument de torture. Vous le faites en exprès. Dans l'attente de la délivrance, vous me brûlez la chatte avec votre huile pimentée. Il y a d’autres façons de me réchauffer. Le souffle de la bouche de Marine par exemple. Oui j’ai dit tu. Pour mieux entendre le sifflet du fouet sur mes fesses que vous trouvez trop grosses. Mes fesses sont-elles vraiment si grosses ?
Je viens d’entendre le hennissement des chevaux. Vite ! Florence vient d’arriver nourrir ses deux pouliches. Un coup d’œil à la fenêtre. Elle est seule. Chouette ! Je vais lui demander si elle me trouve potelée ou non.
Florence profitait des vastes prairies et du grand chalet de Tantine Mireille pour y parquer ses deux chevaux. C’était mon endroit préféré. Le sien aussi. C’est là qu’elle donnait rendez-vous à Léna pour faire l’amour discrètement.

Tiens ! Mademoiselle Belles Cuisses qui a troqué son vieux training trop grand pour un short trop petit et un polo déchiré sur le devant. Tu veux me séduire ou ta tantine n’a plus de sous pour t’habiller.

Figure-toi que j’ai reçu hier soir ma pension alimentaire de l’année ! Normalement, maman nous donne 250 euros par mois et papa 750. Sais-tu combien tantine me donne comme argent de poche ? 12 euro par semaine. Le reste, c’est pour sa poche. Je n’ai plus rien à me mettre et je n’ai rien eu mangé depuis hier midi. Tout ça parce que Marine est revenue vivre à la maison. C’est dégueulasse. Je pense que je vais me faire émanciper. Ne me regarde pas comme ça ! J’ai l’âge depuis aujourd’hui. Tu es en dernière année de droit, non ?

Oui, je suis en stage au tribunal de la jeunesse justement. Monte sur Bijou ! On va faire un tour et on va causer toutes les deux. Dis donc, tu t’es rasée le pépette, toi !

Mon pépette, c’est une chatte.C’est Marine qui me l’a dit. Elle m’a fait ça à cause du collant. Tu sais ma chute à vélo, l’autre jour. Elle dit que c’est mieux pour que ma chatte ne soit pas toute collante après…à cause des poils…ben oui ! Il parait que je suis une bonne mouilleuse.

Tu es en danger, ma petite Milli. Tu m’avais déjà raconté des trucs mais je croyais que c’étaient des cracks.

Si je te dis que je veux me faire émanciper, c’est que c’est grave. En plus, elles ne veulent plus me donner à bouffer parce que je suis callipyge.

????

Enfin, parce que j’ai les jambes trop potelées. Et toi, qu’est-ce que tu trouves ?

Je trouve que tu es INCROYABLEMENT bien foutue. Parfaite, quoi. Méfie-toi de Marine !

Je sais. Elle m’a dit hier que je lui inspirais des pulsions sadiques.

Je pense qu’il sera très facile de t’émanciper. Ca, c’est un motif. Un simple interrogatoire chez le juge de la jeunesse et…

Et les 12 euros que je reçois par semaine, ce n’est pas un motif ?

Ecoute-moi ! C’est une procédure longue et compliquée, tu sais. Il faut que tu puisses justifier de revenus. Si tu as un acte notarié qui parle des 1.000 euros de pension alimentaire, c’est déjà beaucoup.

Je l’aurai. Ils ont accepté de m’entretenir jusqu’à mes 25 ans

Bien. Dans ton cas, il suffirait que ta tantine Mireille soit d’accord car elle est ta tutrice.

Pas de problème avec ça.

Une signature et un avis psychiatrique.

Annette !!!

Je l’aurai avant midi.

Si tu es enceinte, cela peut aller encore plus vite.

Comment je fais pour être enceinte avant midi ? Je me débrouillerai.

Pourquoi, tu veux absolument être émancipée avant midi ?

Oui, il y a urgence mais pas question de déposer plainte sur Marine ou tantine.

Marine, elle est domiciliée chez Mireille.

Non ! Mais elle va le faire.

C’est dommage car tu avais un motif tout trouvé ; Impossibilité morale de vivre avec deux femmes.

Tu vas m’aider. Il me faut toute la paperasserie pour 11H du matin. Tu les mettras dans la boîte aux lettres sans sonner et je les remettrais signés dans celle du chalet.

Et pourquoi STP ?

Sinon je dis à tout le monde que tu viens ce que tu fais au relais de chasse avec ta copine.

Tu n’a rien vu.

Si ! Tu la ligotes et tu la tapes. Et elle dit encule-moi encore, je vais jouir. C’est quoi enculer…

Je m’en fous. Dis ce que tu veux !

Je vais dire aussi à tantine que tu m’as obligée à me déshabiller.

Tu lui diras aussi que c’est parce que tu voulais monter sur mon cheval tout boueux avec la tenue réglementaire de collégienne que je t’ai demandé d’enlever ta jupe.

Non, je lui dirai que tu m’as lavée après, en insistant tellement sur mon pépette que j’étais plus mouillée après qu’avant avant. Et ton diplôme tu peux l’oublier.

Tu es un poison, toi. Pourquoi tu fais ça ?
Parce que tu ne t’occupes pas de moi. Jamais.

Tu m’as déjà dit que le juge t’avait à la bonne. Si tu lui donnes tous les papiers et que tu lui expliques bien ma situation, cela devrait aller très vite.

Et non, parce que tu n’as pas de domicile légal.

J’aurai. Le chalet sera mon domicile. Il a une boîte aux lettres et un numéro dessus.

C’est exact. Et tu vas habiter là toute seule. Non, avec tes chevaux. Comme ça, tu pourras venir me voir plus souvent. Ils seront propre et je leur donnerai à manger. Nous aurons plus de temps pour les monter et pour nous embrasser. Je peux te donner un vrai baiser.

MILLI !
Eh oui ! Je suis une gouine comme toi. C’est Léna qui va être contente.

Léna. Elle m’a quittée.

C’est moche, ça. (YES !!!)

Elle est partie avec …ma mère.

Celle qui était divorcée avec celui que j’appelle Clubman parce qu’il fabrique des clubs de golf !!!!!!!!

Ben oui, idiote ! Je n’ai qu’un père et qu’une mère.

Tu as de la chance. Moi, je n’avais plus de père et depuis hier, plus de mère.

Elle est morte ?

Non, je t’expliquerai.

Tantine était ménopausée et pas franchement belle. Plutôt moche, même. Marine, c’était style top modèle. Toujours bien froquée, bien coiffée, bien maquillée, élégante, racée, BLONDE. J’arrête car vous allez me croire amoureuse d’elle. Et c’est totalement faux. J’en étais raide dingue et elle le savait. Florence, c’était une grande brune très classe. 1.72m comme moi pour 62 kilos. Moi, c’était 65. Nous nous pesions souvent toutes les deux toutes nues sur la balance du chalet. Elle était aussi épilée de partout et avait de jolies jambes mais pas aussi belles que les miennes. C’est elle qui le disait. Chaque fois que je la voyais mon cœur se mettait à battre très fort. Florence ne savait pas que je l’aimais…jusqu’à aujourd’hui après m’avoir embrassée.

Je suis rentrée à la maison, direction banc solaire. Une heure et demie plus tard, j’étais cramée. Mes maîtresses dormaient toujours quand je suis descendue prendre les papiers dans la boite aux lettres. Florence avait agrafé un petit mot.

J’ai contacté le juge. Dans ton cas, tu peux déjà te considérer comme émancipée dès ce soir. Il va lancer une procédure accélérée dès que tous les documents seront remplis. Ta tantine devra accepter et signer les papiers, ainsi que la psychiatre. Je lui ai dit que tu habiterais chez moi en attendant que ton changement de domicile soit effectif. J’aime bien ton petit short troué mais j’aimais encore mieux le bikini blanc que tu portais il y a deux ans. Un chef d’œuvre de perfidie. Je suis certaine que maintenant que tu as pris 10 cm en taille et en tour de poitrine, il devrait t’aller comme un gant.

Mon Dieu ! Mon bikini en coton qui a tant rétréci au lavage. C’est un outrage aux bonnes mœurs que tu me proposes.

Je ne propose rien du tout. Je te donne un ordre. Ma pouliche ne supporte plus d’être montée par une fille qui s’habille comme un mec avec un vieux training. Si tu veux encore la monter cet hiver, tu le feras avec ce bikini ou tu ne la monteras plus. Ne me dis pas que cela te déranges ou que tu es frileuse. Je t’ai vue hier soir sur le balcon, à poil, avec de la neige jusqu’aux genoux.

Annette est arrivée vers 10h30. Elle avait pris un peu d’avance car les routes étaient toujours couvertes de dix centimètres de neige et la température était tombée à moins dix degrés. Je ne l’avais pas entendue entrer. Elle en a profité pour s’entretenir d’abord avec Mireille et Marine. Je venais de me farcir un petit quart d’heure de banc solaire en plus. Je n’avais pas accès malheureusement à la dernière partie du grenier, la plus intéressante, celle des fringues. Je me suis donc rabattue sur les vêtements entassés dans le tiroir de mes douze treize ans. Quand Mireille m’appela, je venais enfin de retrouver le fameux bikini blanc. Je l’enfilai à la hâte pour voir quelle allure j’aurais ainsi attifée dans mon miroir. Super, super, super ! Le contraste entre l’acajou de ma peau et la mini étoffe blanche était du plus effet. Le mini bikini ne cachait rien du tout en fait, sauf que j’avais le feu où je pense. Une mine de vêtement sexy ce tiroir oublié depuis deux ans avec, en point d’orgue, un châle en crochet que Tantine avait confectionné pour moi. Le crochet, c’est génial parce c’est plus que transparent vu que c’est plein de trous. Une fois noué autour du cou et passé sous les seins, il mettait superbement ma poitrine ma poitrine en valeur. Ne descendant que quelques cm sous la culotte string du bikini, il me semblait suffisamment coquin pour me présenter devant une fétichiste des jambes. Vite un peu de crème hydratante pour accentuer l’éclat de mon bronzage et …

Milli, descend !

Je te parie qu’elle a trouvé le banc solaire.

Milli ! Grouille-toi ! La psychiatre veut te parler. Habille-toi décemment s’il te plaît !

J’arrive ! J’étais sur le banc solaire.

Je dévalai quatre à quatre les deux étages. Toute essoufflée, je remontai les pans de nom châle en prétendant :

Je m’excuse pour ma tenue. Je me suis habillée avec ce qui m’est tombé sous la main pour ne pas vous faire attendre trop longtemps.

J’étais entrée dans le grand salon avec la ferme intention de draguer la psychiatre même si elle avait septante ans. J’avouerai que je n’ai pas du faire beaucoup d’effort, elle n’en avait que trente deux (comme Marine qui m’avait menti). Elle dégageait un charisme incroyable. Son maintien racé et l'éclat de ses yeux m'interpellèrent dès que mon regard croisa le sien. Annette avait des yeux en amande d’un gris clair à tomber. Elle n’était pas très grande et son type asiatique prononcé lui donnait un charme fou. Elle portait allègrement ses trente deux ans et son sourire…ah ! Son sourire me donnait envie de lui manger les lèvres. Dès que je me suis assise en face d’elle, j’ai su que je l’avais troublée et que la partie était gagnée.

Bonjour Emilie ! Je ne m’attendais pas à voire entrer une fille aussi bien formée. Tu parais nettement plus que ton âge.

Mireille et Marine proposèrent de nous laisser en tête à tête. Excellente idée !

Je veux que vous restiez ici. Je ne vais jamais m’y retrouver si j’entends trois sons de cloche différents. Je n’irai pas par quatre chemins. Je ne suis ici pour juger qui que ce soit mais je ne veux pas de mensonges. J’irai donc droit au but. Emilie, après analyse de ton problème, ta tutrice souhaiterait abandonner sa tutelle légale et demander ton émancipation. C'est-à-dire…

Je sais. Florence m’a apporté tous les documents utiles. Elle est stagiaire chez le juge de la jeunesse. Ils sont dans cette farde. Il n’y a plus qu’à signer.

Marine. Je crois que tu surestimes la naïveté de Milli.

Sa naïveté, non, je ne la surestime pas. Sa détermination, par contre, je l’ai largement sous-estimée.

Annette était sciée. Elle se demandait même ce qu’elle était venue faire ici.

Milli. Il ne faut pas agir dans la précipitation. Je te demande de m’écouter d’abord. Assieds-toi CONVENABLEMENT en face de moi ! Je ne vois pas l’utilité de mettre ton string mouillé sous mon nez. Tu es à l’âge de l’éveil sexuel et au début de ton adolescence. Tu te cherches et si tu crois mordicus être attirée par les filles, rien ne dit que tu ne changeras pas de voie un jour ou l’autre. Tu es très séduisante et les propositions ne manqueront pas d’affluer. Je sais que ta tutrice a déjà été convoquée à la direction de ton école pour des problèmes avec ton comportement avec tes camarades de classe.

Non, c’était avec les plus grands.

Cela n’a aucune importance. Ces problèmes comportementaux, tu les reproduis ici également. Mireille et même avec moi. Tu veux ajouter quelque chose, Mireille ?

Milli ! Tu comprends bien que si je t’ai demandé cela, ce n’est pas pour me débarrasser de toi. Après chacune de mes ruptures, tu as cherché à m’émoustiller. Enfin, depuis une bonne année. Ce genre de conduite peut me conduire à n’importe quel moment devant le juge.

Annette avait posé ses mains sur mes cuisses et me les caressait comme pour m’aider à supporter la pseudo révélation de mon ignominie.

Je suis vraiment très heureuse que tu as compris cela toute seule en apportant les documents ad hoc. Je vois que tu as eu la même idée que Mireille, d’ailleurs. Te faire domicilier dans le relais de chasse.

Tu pourras continuer à vivre ici, ou là-bas selon ton désir. Ta tantine ne demanderait pas mieux que tu continues à vivre à ses côtés. C’est purement administratif, que de la paperasserie. Tu ne devras rien changer à ta façon de vivre. Simplement, tu seras protégée comme ta tantine d’une décision judiciaire par exemple qui retirerait la tutelle à Mireille et te conduirait dans un centre pour adolescente en difficulté.
Mireille, comme je viens de te le dire, plusieurs choses me mettent mal dans le comportement de Milli tel que tu me l’as rapporté mais aussi dans le tien. Tu as cruellement manqué de sévérité avec Emilie.

Compte sur moi, Annette ! Ca va changer.

Jamais tu n’aurais du accepter qu’elle se ballade devant toi dans des tenues aussi affriolantes et toi, Emilie, tu es aussi coupable car tu utilises à mauvais escient ton besoin de séduire à tout prix. Tu confonds, inconsciemment peut-être, le besoin d’être aimée et de t’envoyer en l’air. J’ai l’impression qu’à chaque nouvelle arrivante dans ton entourage, tu cherches à tester ta puissance érotique comme si tu devais en passer par là pour te faire apprécier.

C’est plus fort que moi.

Ton émancipation devrait, en principe, être pour toi synonyme de liberté. Ce qui me gêne, c’est de t’offrir cette liberté en sachant pertinemment que ta seule ambition est de l’offrir à ceux ou celles que tu as déjà choisis. Je vais même aller plus loin. Ton ambition est de devenir prisonnière. Pas obligatoirement dans un cachot mais sous la dépendance totale d’une ou d’un maître absolu car c’est de cette façon que tu désires être aimée. Une sorte d’abandon total de ton corps au profit de la personne que tu auras su séduire. Est-ce que je me trompe ?

Pas du tout ! Je veux avoir le droit de diriger ma vie comme je l’entends.

Belle preuve de maturité ! Que comptes-tu faire plus tard ?

Je veux faire le droit, comme Florence ou alors vétérinaire pour m’occuper des chevaux.

Insensiblement, ses mains avaient glissé sous le bord de ma minirobe improvisée. Je crois qu’Annette ne cherchait qu’une certaine forme d’empathie mais le résultat fut tout autre. Ses mains étaient posées sur mes hanches et dégageaient complètement mes cuisses qui frémissaient. Ses yeux de chatte guettaient mes réactions tandis qu’elle faisait lentement glisser ses pieds pour écarter mes cuisses.
J’ai besoin pour écrire mon rapport d’en apprendre beaucoup plus sur toi. Sur ta personnalité, tes tendances sexuelles, si tu es attirée par les filles et les garçons ou uniquement l’un des deux, sur la façon dont tu fonctionnes, sur les relations que tu cherches à avoir avec ton entourage.

Tiens, par exemple, si j’avais été un homme, est-ce que tu aurais aussi essayé de le séduire comme tu le fais avec moi.

Le cri du cœur…

Ah non ! Je serais vite remontée me changer. Avec vous, ce n’est pas pareil.

Parce que je suis une femme ou un médecin ?

Parce que vous êtes une très belle femme…

Et si le monsieur t’avait demandé de rester comme tu étais car il te trouvait très appétissante.

J’aurais refusé, c’est sûr et certain.

Et si Marine et Mireille avaient insisté pour que tu t’installes dans ce fauteuil, face à lui, les cuisses ouvertes comme tu le fais maintenant.

Marine était très mal à l’aise. Pas la peine de chercher la réponse dans ses yeux. Elle me faisait des yeux ronds qui clamaient clairement sa jalousie. Tantine, elle se contentait de lire et signer au plus vite les papiers.

Cela m’étonnerait qu’elles me demandent de faire cela mais je l’aurais peut-être fait.

Pourquoi puisque cela ne te plaît pas apparemment ? Pour les rendre jalouses, pour avoir une punition ou parce que tu aimes te faire caresser ?

???

Je reformule ma question d’une autre façon. Mets tes cuisses sur les accoudoirs du fauteuil !

Comme ça ?

Encore plus écartées ! Comme hier soir sur le rack…Ne t’effrayes pas ! Elles m’ont tout raconté…

Rien que la réminiscence des inoubliables moments de plaisir de la veille me fit à nouveau mouiller profusément. Mes fantasmes se sont emballés à la vitesse de l’éclair. Marine et Mireille avaient fait venir la psy pour me torturer toutes les trois sur le rack.

Tu as beaucoup aimé, paraît-il ?

C’était énorme. Incroyable. Inoubliable.

Mon petit bouton était à nouveau tout dur et surtout très à l’étroit sous le microscopique string qui remplissait de moins en moins son office de cache-sexe.

Je te repose ma question. Est-ce pour les rendre jalouses ou pour retourner sur rack recevoir une punition plus forte encore que tu me présentes ton sexe pour que je le caresse ? Ne me dis pas que tu n’en as pas envie ! Tu viens de resserrer le mini triangle pour qu’il rentre complètement dans ta fente.

Pas du tout ! C’est parce qu’il est trop petit…que vous m’avez fait écarter les cuisses trop fort…

Que préfères-tu ? Te caresser toute seule ou que je te caresse.

Toute seule, c’est beaucoup moins gai…

Et en public, comme tu le fais à l’école devant les garçons, c’est mieux.

Les garçons ne me caressent pas. Moi je me caresse pendant qu’ils me touchent les seins.

Marine avait mis sa main dans sa culotte et elle me faisait signe de dire oui. Oui à quoi ? Oui à tout ?

Comment crois-tu que Mireille et Marine vont réagir si tu me demandes de te caresser devant elles ?

Vous me caressez déjà mais si je vous demande de continuer, elles seront jalouses et c’est sûr qu’elles vont me punir très fort.

Mireille venait de lever pour la première fois les yeux de ses documents.

Fais ça et tu ne pourras plus montrer tes belles cuisses à Florence avant trois semaines !

Et toi, Marine ! Si elle me demande de la caresser, comme je connais un peu tes goûts, je parie que sa punition sera terrible, n’est-ce pas, Marine chérie ?

Ca dépend d’elle et de toi Annette. Je connais ton imagination et ta patience pour jouer avec les filles jusqu’à ce qu’elles soient épuisées. Celle-ci est bien plus jeune que moi. Il faudra sortir le grand jeu si tu veux la briser.

Mon excitation augmenta encore d’un cran. A quelle sauce étaient-elles occupées de me cuisiner, cette fois ? Mon sexe coulait comme un robinet mal fermé et ma boule au ventre grossissait comme un ballon branché sur une bonbonne de gaz.

Si tu veux avoir encore une plus grosse punition, ne me demandes pas de te caresser ! Enlève simplement ton châle et ton soutif ! Hier, il paraît que tu t’es donnée en spectacle pendant plus d’une heure. Ce soir, ta punition sera multipliée par deux et tu ne jouiras pas avant la fin.

J’étais tellement allumée que je n’ai même pas pris le temps de la réflexion. Le châle et le soutif volèrent derrière le fauteuil dans les dix secondes qui suivirent sa proposition malsaine.

C’est long, deux heures. Je connais très bien Marine pour avoir habiter avec elle plusieurs mois. Tu dois être très excitée, ma petite puce pour accepter cela. N’est ce pas ?

Oui, Madame. Je suis toute drôle encore une fois. Mon titi est tout sorti. Qu’allez-vous me faire maintenant ? Vous ne pouvez pas me laisser comme ça.

Ca dépend de ce que tu veux, comme le dit si bien Marine. Hier soir, Marine t’a caressée avec de l’huile pimentée. Ta chatte a du avoir très mal, non ?

Oui, surtout au tout début. Après, ça faisait toujours mal mais c’était plus supportable. Cela m’empêche de jouir trop vite et je monte beaucoup plus haut. J’aime bien avoir mal quand je suis excitée. Je jouis moins vite et ça dure plus longtemps. Et après je crie très fort en mouillant partout, m’a dit Marine.
Comment cela ?

Elles me demandaient de me retenir le plus possible pour ne pas jouir trop vite. Sans la douleur, je n’aurais jamais plus me retenir si longtemps et jouir aussi fort.

C’est à Marine que je m’adresse.

Ne fais pas l’idiote, Annette ! Tu as très bien compris ce qu’elle te dit. Elle éjacule. C’est une femme fontaine, quoi. Elle m’a fait le coup deux fois, hier soir.

Et tu as su résister une heure à ces deux malades, à ton âge ?

Oui, plus d’une heure…Tantine m’a beaucoup aidée parce qu’elle me faisait très mal au titi quand elle sentait que j’allais partir. Heureusement que j’étais liée sur le rack.

Intéressant. Dites, vous deux ! C’est horrible de masturber une petite fille qui est attachée et de ne pas laisser jouir. J’espère que vous n’allez pas remettre ça.

Non, ce n’est pas horrible. Pas du tout. C’est même trop trop bon quand je suis attachée sans pouvoir me débattre. Je me dis que je suis une prisonnière et qu’elles vont me torturer jusqu’à ce que j’avoue.

C’est pour revivre cela que tu as balancé ton châle et ton soutif avec tant de précipitation. Tu ne pourras pas recommencer aussi vite et résister deux heures. Je ne te crois pas.

Si, Madame Annette, Mireille va me faire très mal dès que je commencerai à jouir. C’est alors que ça devient terrible ce qui se passe dans mon ventre. J’en ai tellement envie et je ne sais pas. C’est le plus grand des vertiges. Après ce qu’elles m’ont fait hier soir, je crois que j’aurais pu jouir dix fois en suivant mais Tantine était fatiguée et Marine aussi.

C’est pour qu’elles jouent avec ce joli titi tout sorti que tu veux te faire émanciper.


Madame ! Madaaame ! Plus sur mon titi, s’il vous plaît ! Il est trop chatouilleux. Attentiooon !

Réponds ! Veux-tu vraiment devenir leur jouet sexuel à plein temps ?

Ouiii ! Pendant deux semaines au moins…Raahhh ! Après, il y a l’école…Arrêettez ! Ce ne sera plus que le soir les WE et toutes les vacances…Comme ça, c’est encore plus terriiiiible !

Alors, nous allons essayer de te faire plaisir. Si tu enlèves ton string, je te fais jouir plusieurs en suivant très fort et tu auras quand même tes deux heures de punition sur le rack ce soir. Si tu préfères garder ton string, c’est que tu préféras te réserver pour ce soir.

Marine venait de jouir pour la deuxième fois au moins et reprit part au jeu. Tantine, elle venait de replier la farde, contente d’avoir fini les formalités.

Je peux jouer avec vous ? Si tu n’enlèves pas ton string, Annette te caresse quand même à travers le tissu et…

Laisses-moi finir ta phrase ! Et si tu te retiens de jouir pendant les dix minutes qui suivent, je t’emmène chez moi car le document que tu m’as donné à signer n’est pas le bon. Si tu jouis, je refuse ton émancipation.

Et Mireille d’ajouter en finissant la bouteille de Porto :

Moi, je te promets trois heures de souffrances sans jouir ce soir, même à la fin si tu te laisses tripoter par Annette.

Marine, juste avant d’orgasmer pour la troisième fois :

Et même quatre heures si Annette reste déjeuner avec nous et que tu fais le service de table habillée de ton seul string, sans renverser un seul verre, sinon ta punition sera encore plus dure.

Je vais garder mon string si c’est pour qu’Annette reste pour manger. Elle me caresse presque encore mieux que toi…Anneeeettte ! Si je dis stop, tu ne me laisseras pas partiiiiir ! Stop ! Stop ! Stop ! Pitiééééé….

D’accord ! Si tu mets tes bras derrière la tête ! Mireille va te tenir les poignets pour bien tendre ta poitrine et ton ventre et Marine va jouer avec tes jolis petits seins tout bronzés.

Jusqu’à ce que tes petits tétons deviennent de grosses tétines…

Oh ouiiiii !

Dans mon esprit, j’étais liée comme sur le rack, entourée d’une armée d’amazones qui avaient pour mission de me faire jouir contre ma volonté. Si je parvenais à résister, je serais leur captive, leur jouet sexuel, comme disait Annette… pour ma vie entière.

Dès que toutes les gardiennes furent en place et la belle prisonnière attachée, Annette jeta un coup d’œil sur l’horloge du salon. Top chrono !

Frottant divinement sur la petite bosse sensible du string, elle me fit monter en quelques secondes au bord de l’orgasme. Je n’étais plus tu, je n’étais plus là non plus, j’étais elle…

C’est ce que j’appelle une rapide. Tout de suite en pression et elle ne décroche pas. C’est vraiment une très bonne mouilleuse comme tu dis. Regarde comme elle coule quand tu lui étires les tétons !

Je lui ai demandé cent fois de me faire mal aussi mais, Annette, ce n’était ni son truc, ni son intention. Elle me faisait venir tout doucement et s’arrêtait juste avant la délivrance. Puis elle me caressait les jambes de façon maladive et terriblement perverse en répétant toujours la même phrase.

Elle a de beaux petits jambonneaux bien fermes. Elle le sait qu’Annette raffole de ses belles gambettes musclées et elle en abuse parce qu’elle adore recevoir des claques sur ses cuisses de gazelle toute dorées. Elle est déjà bien mal en point, la gouinette mais elle en veut encore.

Ce n’est pas la peine d’essayer de communiquer avec elle, elle est décérébrée

Même avec les comateux, il est parfois possible de dialoguer. Tu vas voir. Je ne vais plus bouger mes doigts tout griffus. Elle devra les mendier ses caresses. Si elle aime se faire mousser, elle poussera son bassin en avant pour se frotter le clito sur la méchante main.

Marine, qui avait obtenu à force de patience de transformer mes mignonnes petites pointes en grosses tétines, se mit en tête de me traire comme…

Elle va bientôt nous donner son lait la petite chèvre toute ruisselante si elle continue à se frotter sur les vilaines griffes de la méchante Annette.

Lorsqu’après un effort musculaire considérable, je parvenais à toucher du pubis la main de la psy, elle me masturbait énergiquement pour me faire décoller. Il me fallait une force de caractère surhumaine pour me laisser choir dans le fauteuil et postposer ma délivrance dans un bougonnement d’insatisfaction.

Ce petit jeu pervers était divin. Je suis parvenue à maintenir un gros quart d’heure cet équilibre fragile qui donne l’envie d'arrêter et d'y revenir l'instant d'après.

Si cela ne vous dérange pas Mireille, je suis disposée à écouter des heures encore ses râles d’agonie. Je n'ai jamais joué avec une fille aussi bien foutue, même dans mes rêves les plus fous. Je me régale de voir frémir des jambes aussi parfaites. Tu sais, Marine, comment Cindy appelle des cuisses longues et parfaitement taillées. Les piliers du paradis.

Allez, petite traînée ! Encore un effort ! Cette fois-ci, je ferai jaillir ton lait.

J’endurais tout cela en héroïne et en invoquant le nom de Florence, ce qui irritait sérieusement Marine et Tantine qui promettaient à tour de rôle de m’en faire baver tant et plus ce soir. J’étais au-delà de l’au-delà. Dans une sorte d’état orgasmique contenu, dans l’attente maintenant inéluctable de l’orgasme de ma vie.

J'ai toujours eu un faible pour les lionnes qui ont l'apparence de gazelles. Je me demande pourquoi elle fait tant d’effort pour amener sa vulve sur ma main. Vu la façon qu’elle a de regarder ses jolies jumelles qui se tendent, je me demande si c’est pour se faire mousser ou pour faire admirer ses siamoises cuivrées.

Pour moi, c’était un tout. Cela me faisait toujours mouiller quand je montrais mes cuisses surtout depuis la séance prolongée au banc solaire.

Moi, je pense qu’elle aime surtout les montrer et se regarder dans les miroirs comme elle le fait maintenant. Marine, tu m’as dit que c’est à cause d’elle que tu comptes rester ici. Comme ça l’excite de les montrer que de se mirer, moi, je l’obligerais à ne plus porter que des mini strings ou rien du tout. Ou alors, tu sais, des mini mini strings en latex extensible dans lesquels tu pourrais mettre de l’huile épicée pour garder son minou bien au chaud sans qu’elle ne mette de l’huile partout. Une grosse seringue dans son vagin le matin et tu refais le plein à midi. Si elle ne sait plus se tenir, tu la mets dans ta cave et tu l’attaches par les poignets à la voûte comme tu l’as fait une fois avec…c’est comment encore son prénom ?

Suzelle !

Je sais, c’est un mauvais souvenir pour toi. Pardonne-moi !

Elle recommença à me masturber avec une lenteur calculée et à me taper de plus en fort sur les jambes. Elle avait un gros problème, cette fille là.

J’adore ligoter les petites garces en chaleur et jouer avec leur clitoris jusqu’à ce qu’elles n’en puissent plus de me demander de les vider.

J’ai du perdre un litre de sécrétions, 90% de mes forces et presque toute ma voix. Une épave, j’étais une épave, terriblement frustrée et complètement patraque.

Mireille avait lâché mes bras depuis cinq bonnes minutes et revenait aux nouvelles.

Annette ! Si tu veux rester pour déjeuner avec nous, il faudrait se décider. J’ai fait des cuisses de grenouilles au piment d’Espelette en entrée et un gigot de biche en plat principal. Tu ne le regretteras pas, la viande est bien tendre. Le dessert, c’est au choix…Emilie si tu veux. Elle, comme elle n’a pas faim, elle fera le service.

Tu me gâte, Mireille. Comme dessert, je prendrai une croupe d’Emilie attendrie au martinet.

Obsédée que tu es.

Après plus d’une demi-heure de stimulations sexuelle pareilles sans soulagement, j’étais lessivée et sans force dans les jambes. C’est à peine si je suis parvenue à me relever. C’est alors que tomba la surprise du jour qui me fit retomber sur le cul dans le fauteuil en cuir submergé par mes égarements liquides. La double porte en miroir du buffet dans le quel je m’admirais depuis plus d’une heure s’ouvrit lentement.

!!!


Stéphanie ! Tu peux entrer. C’est terminé.


Il était temps. Cela faisait une heure que je vous observais derrière le miroir sans tain. J’ai mal partout.

On allait justement se mettre à table. Alors ! Ton avis. Que dit la Faculté de ce phénomène sur pattes ?

Laissez-moi cinq minutes avec elle et je vous donnerai mes impressions !

Bouffée d’adrénaline. Stéphanie en personne ! Le docteur que tantine m’avait obligée à consulter après mes problèmes exhib à l’école !!! Enfin, c’est notre médecin traitant qui nous l’avait recommandé parce qu’elle avait la réputation de prendre mieux les femmes en charge que les hommes. Sans son tablier blanc, elle était canon avec son look de mannequin suédois, ses yeux verts émeraude et la sublime chaînette argentée qui cerclait sa cheville gauche. J’en voulais une pareille.

Mireille m’avait confisqué mon châle et mon soutif. Toute penaude, après avoir repositionné le triangle de mon string, je pris mes seins dans mes mains en serrant très fort les cuisses.

La description que vous m'avez faite de la gamine n'était pas surfaite. Je ne l’avais, jusqu’à présent, que rencontrée habillée dans mon cabinet. Très bel objet, ma foi. Elle est faite comme un sablier avec une taille très fine, une poitrine joliment pommelée, de splendides jambes bien galbée, d’une longueur étonnante et une frimousse angélique qui va faire des ravages. La cambrure est harmonieuse et la croupe incendiaire. Les plus belles choses sont faites pour être vues mais aussi touchées.

Elle me dénoua le string avec mille précautions pour ne pas se salir ni abîmer ses ongles manucurés. Je sentis mes seins pointer comme jamais et ma chatte qui recommençait à couler un max.

Ne fais pas ta timide ! Tu es comme les autres, toutes les femmes adorent qu'on les mate.

Montre-moi ton sexe !

Je peux m’assoir sur l’accoudoir du fauteuil ? Vous verrez mieux.

J'avais tellement le feu au derrière que je choisis pour m'asseoir un fauteuil en tissu de peur de brûler le cuir du sofa. Je posai les fesses bien sur le bord de façon à exposer davantage mon pubis, faisant aussi bailler un peu plus mon sexe rosé. Stéphanie était visiblement sous le charme de cette fente d'adolescente aux lèvres peu volumineuses.

Je vais te donner un petit baiser dessus. D’accord ?

D’accord ! Vous trouvez aussi que j’ai un arrière train de gazelle.

Tu es super mignonne si tu veux la vérité. Je te trouve quand même un peu défraîchie et poisseuse. Tu iras te laver et t’habiller avant de faire le service. Dis-moi, Emilie ! Trouve-tu normal de te montrer nue devant des personnes que tu ne connais que depuis un quart d’heure ?

Cela vous met peut-être mal à l’aise mais cela moi, ne me dérange pas. Au contraire, cela me rend toute chose et mon ventre se met à brûler. Je suis toute brûlante quand quelqu’un me demande de me mettre toute nue.

Permets-moi de m’étonner quand même que cela ne te dérange pas de me montrer ton sexe grand ouvert. Il suffit de demander et tu obéis…

Non ! Je ne le montre à personne, jamais ! Je serais trop honteuse de montrer mes poils. C’est moche. J’ai toujours refusé cela.

Tu le trouves plus beau maintenant qu’il est rasé.

Oh oui ! Je n’ai pas encore eu le temps de bien le regarder mais il est magnifique. Je pourrai le montrer sans gêne maintenant au tennis.

Au tennis ?

Oui, le mercredi, je joue deux heures au tennis.

Et que se passe-t-il ? Là-bas…

Rien du tout pendant que je joue. C’est quand j’ai fini de jouer et que je veux prendre ma douche. Comme les filles sont chiantes, les hommes me demandent de la prendre avec eux. Ils sont comme vous. Ils disent qu’ils aiment bien me regarder et me toucher. Mais je fais toujours attention de bien me cacher le pépette…enfin la chatte car je suis certaine qu’ils se moqueraient de moi.

Ca veut dire quoi, ça te toucher ?

Vous savez bien. Peloter mes seins et me caresser tout le corps. Comme je ne veux pas retirer mes mains de mon sexe, il y en a qui me donnent la fessée. C’est ça le plus gai. Et toi, tu ne les touches pas.

Si, certains mais pas avant que j’ai les fesses toutes rouges sinon, ils s’en vont trop vite et me laissent toute seule dès que leur zizi a craché.

??? Jamais personne ne t’a demandé de le rejoindre chez lui ou dans un autre endroit ?

Si, souvent ! Je leur dis que je vais demander à tantine si c’est possible mais que je pense qu’elle ne voudra pas parce qu’il sera trop tard pour venir me chercher et qu’elle ne veut pas rater le journal télévisé.

Comme tu seras émancipée et que tu habiteras au chalet, tu pourras rentrer à l’heure que tu veux. Qu’est-ce que tu feras si quelqu’un te demande de le suivre pour te regarder toute nue ?

Je n’irai pas avec les grands garçons. Ils sont trop cons et ils crachent trop vite. Avec les femmes non plus, elles ne snobent tout le temps et elles disent que je ne suis qu’une allumeuse. Je pense que j’irai avec Luc, Benjamin et Laurent. Ils m’ont déjà dit qu’ils avaient déjà plusieurs fois emmené des filles dans l’ancienne sucrerie. Une à la fois, bien sûr. Il parait que les filles n’avaient parfois plus envie de jouer et qu’ils devaient les ligoter. J’en ai parlé à Maryline et elle m’a dit que c’était vrai de vrai.

Et ils l’ont violée ?

Avec leur zizi ?

Si tu veux.

Non, quand elle a dit qu’elle était vierge, ils se sont amusés à la fesser et ils ont éjaculé sur elle. Puis ils l’ont déliée et ils l’ont reconduite à l’arrêt du bus tout près de chez elle. Elle a dit à ses parents qu’elle avait raté de bus et que c’est pour ça qu’elle était en retard.

Et toi, tu les suivrais sans savoir ce qu’ils vont te faire ? Tu es folle.

Non, je ne suis pas folle. Je leur ai déjà dit que j’étais vierge et ils ont répondu qu’ils ne me violeraient pas. Je leur ai répondu que j’aimais mieux comme ça. Moi je n’aimais pas jouer beaucoup jouer avec les zizi. J’aimais bien d’être liée toute nue et qu’ils me donnent des claques partout comme dans les douches. Ils m’ont dit que j’étais une maso. Et ils m’ont expliqué ce que c’était une maso et ce qu’ils faisaient aux maso. J’ai dit que c’était chouette et que j’étais d’accord mais qu’ils ne pourraient pas regarder ma chatte. Ils ont promis. Maintenant qu’elle est toute lisse, je pourrai la leur montrer. Ils vont être encore plus contents. Je serai très fière de leurs montrer et je pourrai bien me laisser faire. Je leurs ai même promis que je jouerai avec leur zizi pour les faire cracher mais maximum cinq fois chacun si ils m’attachaient sur la croix avec une bosse au milieu pour que je sois bien cambrée et que ma chatoune soit bien ouverte comme sur le tableau du papa de tantine Mireille.

Explique-moi ça !

Vous avez du passer par le bureau pour entrer dans l’armoire. J’ai vu que la porte était ouverte au fond de l’armoire. Eh bien ! Il y a une autre porte qui donne sur une petite pièce avec un grand tableau et un miroir sans tain aussi.

Je lui expliquai, avec mes mots de l’époque, la peinture érotique, révélatrice de l'état d'esprit du propriétaire. Elle s'intitulait : « La mésalliance de la brutalité et de la grâce »
Etendue sur une croix diagonale, une superbe créature au corps de bronze était torturée par un régiment de soldats romains. Son beau visage illuminé trahissait assez peu la souffrance qu'elle devait endurer. N’y allons pas par quatre chemins ! Elle arborait un sourire béat, la veinarde. La croix, relevée en bosse en son milieu, présentait son bas-ventre dans une extrême cambrure. Ses membres étaient écartelés et percés de redoutables crochets arrimés à de lourdes chaînes. Elle était couverte de lignes rouges, séquelles de la flagellation qu’elle avait reçue. Un romain avait introduit sa lance dans son rectum tandis que deux autres lui étiraient les grandes lèvres avec leurs énormes tenailles.

Si je te demande de mettre ton petit doigt dans le derrière…

Quelle idée bizarre ! Je ne le fais pas. C’est dégoûtant. Je sais pourquoi vous dites cela.

J’ai trouvé une photo de ce tableau dans un livre et je l’ai montré à Laurent. Je lui ai dit pour la lance dans le derrière que je n’aimerais sûrement pas qu’ils me fassent ça. Il a répondu qu’il connaissait mille façons de me mettre des trucs dedans pour que ce soit gai.
J’ai du insister pour lui faire comprendre que je voulais bien essayer mais que je voulais surtout être ligotée sur la croix sans les crochets dans les bras. Il a dit qu’il essaierait de trouver des chaînes pour m’attacher et qu’il me préviendrait quand il aurait tout ce qu’il fallait pour me « travailler » qu’il a dit. Il a été super. Comme il y avait sept romains sur le tableau, il va essayer de trouver d’autres copains pour venir me faire plaisir mais comme ils habitent assez loin, ils voudront sûrement que je reste toute une nuit avec eux. Il en a trouvé beaucoup plus. Tous les soirs, je parle avec eux sur le net en webcam. C’est très excitant car j’ai déjà 45 amis.

Tu n’es pas prudente et c’est un euphémisme. Tu vas rameuter tous les sadiques de la planète.

Non, cela ne s’appelle pas euphé...Cela s’appelle une tournante sadique. Et je suis prudente car je ne me montre qu’aux amis de Laurent.

Et si un Romain te plante sa lance dans le cœur…

Ils disent qu’ils ne vont pas me tuer mais que ce serait très dur pour moi parce que j’étais très belle et qu’ils voudraient tous s’amuser avec moi. J’ai dit tant mieux, vous êtes trop gentils. Si quelqu’un veut me tuer, je vais faire mes yeux de biche et cela se passera bien. Comme je vais continuer à me faire bronzer et à me raser, je serai bientôt aussi belle que la fille sur la croix du bureau.

Tu vas me donner ton portable. Je te le rendrai à la fin de la semaine. Cela ne te dérange pas.

Un petit peu.

Pourquoi ?

Parce que j’ai envoyé hier un mail à mes amis pour leur montrer ce soir mon bronzage et ma petite chatte toute lisse et j’ai dit aussi que j’aurais une surprise qui leur ferait plaisir.

Quelle surprise ?

Vous savez bien. Comme je serai émancipée ce soir, nous pourrons très vite aller à la sucrerie.

Je te donnerai le mien. Il a aussi une webcam. Ca va ?

Comme ça, ca va.

Toi, tu vas te laver et te faire belle. Prends ton temps ! J’ai besoin d’une demi-heure pour discuter de ton cas avec Mireille, Annette et Marine. Elles doivent sûrement s’impatienter dans la salle à manger.

J’y pense. Ce soir, je croyais que tu devais être punie, non ?

Oui ! Mais je ne leur donnerai pas rendez-vous ce soir. Le dimanche soir, c’est le seul jour qui n’arrange personne. Tous les autres soirs, ça va. Je m’arrangerai avec tantine et Marine pour être libre un jour sur deux pour mes amis. Tu pourrais peut-être leur demander, toi ?

Je vais voir ce que je peux faire. File vite te doucher et ramène-moi ton ordi !

Je me suis vite faufilée dans la pièce que tantine appelait le bureau du patriarche (son père) Elle était toujours fermée à clé sauf une fois quand j’avais vu ce fameux tableau et comme par hasard aujourd’hui pour laisser entrer Stéphanie. Deux portes, sensées ouvrir sur des placards, ouvraient en fait sur des armoires habillées de miroirs sans tain. Celle qui permettait d’observer sans être vue tout le salon et la salle à manger en enfilade et une autre qui ouvrait grand le panorama sur une pièce trop sombre pour y voir ce qu’elle contenait. Pas question de faire du bruit. Insonorisation nulle. J’avais l’impression d’être assise au milieu de la table de salle à manger. J’adore quand on parle de moi sans savoir que j’entends tout ce qui se dit.

Alors, Stéphanie, ces impressions sur notre belle championne ?

Championne du vice, oui, mais miss de beauté aussi, il faut l’avouer. Stéphanie, elle dit que c’est un privilège rare de posséder une jolie chienne qui soit toujours en chaleur. Je pense m’être faite une idée précise de sa perversité…et de la votre. Vous êtes toutes des malades et toutes des incurables. Quand à toi, ma consoeur préférée qui avait disparue depuis un an, tu n’as pas changée. Toujours aussi belle et aussi vicieuse. Dès que tu vois un bout de cuisse, tes hormones s’emballent.
Sérieusement, maintenant, je viens d’avoir la confirmation que cette jeune adolescente est une vraie hypersexuelle à tendances masochistes sévères. Je suis désolée pour elle mais il était très important, quoique peu déontologique, de l’observer à son insu. Il vaut toujours mieux se rendre compte de visu que de se faire une opinion par personne interposée. Emilie est décidément un curieux mélange de pute et de pucelle.
Ce petit bout de femme a un physique à damner un saint et elle le sait mieux que personne. C’est aussi une narcissique pathologique et elle parviendra toujours à séduire filles et garçons quand elle le voudra. Ce qui est attachant chez elle, c’est cette naïveté incroyable (à comparer avec une fillette de moins de sept ans) associée à une maturité sexuelle qu’elle a peaufiné toute seule pendant trois ou quatre ans au gré de lectures et d’expériences aventureuses avec des personnes plus âgées qu’elle voire adultes. Elle s’est construit une sexualité marginale très élaborée qui l’amène, déjà à son âge, à un plaisir incommensurable par le biais de pratiques extrêmes. Ce qu’elle vient de me raconter, pendant que vous vous mettiez à table, est très inquiétant. Elle veut jouer la martyre crucifiée avec une légion de romains dans une sucrerie désaffectée. Et c’est prévu pour les prochains jours. Un jour pour vous sur le rack, un jour pour eux sur la croix. Elle est en plein délire sur le net et communique avec une petite cinquantaine de satyres devant sa webcam tous les soirs qui s’apprêtent à en abuser exactement comme sur le tableau exposé dans bureau de ton père, Mireille.

!!!. Elle ne connait même pas l’existence de ce bureau. Il est toujours fermé à double tour. Mince, je l’avais ouvert pour te laisser entrer. Je vais vite le refermer. Si jamais, elle trouve le passage…

De mon poste d’observation, je vis Mireille piquer un sprint et entendis distinctement la clé tourner dans la serrure. Re-mince ! Je suis coincée !!!

Nous avons eu l’occasion, Annette et moi, de discuter avec la psychologue du PMS (centre psycho-médico- social), le directeur de l’école et le gestionnaire du club de tennis au début de la semaine passée. Tout le monde est d’accord. Tout n’est que provocation dans son attitude.

Elle arrive toujours la première au collège et toujours en tenue réglementaire : chemisier et jupe plissée. Elle part se cacher dans les toilettes et en ressort quelques minutes plus tard. Jupe plissée 40 cm au-dessus du genou et chemisier bien trop petit pour ce qu’il est sensé cacher et son soutien-gorge a systématiquement disparu. Le soir, même manège dans le sens inverse.

J’avais bien remarqué que ses jupettes d’école primaire étaient introuvables mais elle me disait les avoir mises à la poubelle. Mais c’est une histoire qui date de trois ans…

Parfaitement ! Cela fait trois ans qu’elle s’exhibe ainsi à l’école. Vous connaissez toutes ses séances de « pince-moi les fesses et les seins » avec les garçons dans les toilettes. Ce qu’il y de plus sérieux, c’est ce qui est ressortit des entretiens que le directeur de son école a eu avec les six garçons concernés par ses faits. En fait, c’était une sorte de troc qu’Emilie avait elle-même élaboré. Je vous caresse et vous amusez avec moi. Plus pervers encore. Je ne vous masturbe que quand je serai rassasiée. Elle n’est pas idiote et a bien compris que les gamins ne s’occupaient plus d’elle une fois rassasiés. La première chose à faire sera de lui trouver une nouvelle école car le directeur ne veut plus entendre parler d’elle. Le PMS a proposé une école privée qui ne comporte que des sections filles et qui serait prête à l’accepter, probablement en internat.

Zut ! Je suis grillée à cause de ces petits merdeux.

Nous avions aussi convoqué le propriétaire responsable du club de tennis qui t’avait parlé, Mireille, de l’attitude provocante de ta protégée. A l’en croire, elle reproduisait le même schéma qu’à l’école avec deux ou trois adolescents. Annette et moi nous sommes contentées de ses déclarations et de son désir de résilier son abonnement. L’interview que je viens de réaliser avec Emilie confirme ses dires sauf que…elle se laissait embarquée dans les douches par au minimum cinq adultes dont Laurent le fils du proprio et commandant en chef des légionnaires qui veulent abuser de Milli dans la sucrerie. Je crois que son portable va nous éclairer sinon nous terroriser.

Comment elle a deviné ??? En plus, je suis coincée ici et je ne peux même pas effacer mon portable. Evidemment, Marine est partie le chercher dans ma chambre. Et Stéphanie sort le sien ainsi que son disque dur externe. Je suis mal…je suis mal...Mireille aussi était mal.

Quelle destinée ! Ses parents ne l’ont jamais regardée. Elle a été élevée dès l’âge de 9 ans par une lointaine cousine de sa mère. Ses deux fils de 5 et 6 ans de plus ont joué trois ans à la poupée avec elle. D’où son éveil sexuel précoce. Ses seuls repères d’autorité provenaient de ses deux garnements qui l’ont persécutée. A onze ans déjà, elle savait ce que c’était qu’un orgasme. Quand j’ai accepté sa tutelle, elle était en secondaire. Au début, j’ai eu de la peine à la croire quand elle me disait qu’elle se masturbait plus de cent fois par jour et même la nuit. Je l’ai observée et l’ai surprise quelques fois avec la main entre les cuisses. Jusqu’au jour où, la sentant particulièrement excitée et déshabillée, je lui ai demandé de faire ses devoirs dans le salon en prétextant que c’était la pièce la mieux chauffée de la maison. J’ai mis le thermostat sur 28 degrés et j’ai coupé tous les autres radiateurs de la maison. Il devait être à peu près midi et demi. Je lui ai dit de bien étudier car je devrais m’absenter jusque vingt heures environ. J’ai fait semblant de sortir et suis allée me cacher dans le bureau de papa, derrière la vite sans tain.

Oh non ! Pas cette histoire là. Je ne vais jamais plus oser sortir de cette pièce. Je préfère mourir ici.

Milli avait disparue, pour revenir cinq minutes plus tard avec un rouleau de cordes, des ciseaux et un rouleau d’adhésif large dont je me servais pour emballer les colis. Elle était toute nue a commencé à huiler, avec mon huile de friture, la rampe sculptée de l’escalier que tu vois derrière toi. Elle fait très exactement six mètres cinquante de long en ligne droite. Papa l’avait fait ciseler par un ébéniste car il la trouvait trop lisse et trop glissante. Venez et passez un peu votre main dessus et vous verrez à quel point elle est rugueuse malgré le vernis !

Qu’elle arrête ! Mais qu’elle arrête !

Milli est montée en haut de l’escalier. Elle a attaché la corde tout en haut. Elle s’est liée ensuite liée les chevilles puis les poignets avec le ruban adhésif en prenant soin de faire passer la corde entre ses paumes avant, tant bien que mal, d’enrouler le ruban. Je me demandais bien où elle voulait en venir. J’ai vite compris quand je l’ai vue enfourcher la rampe bien huilée et commencer à se laisser glisser tout doucement puis à se remonter à la force des bras. Elle a joui presque tout de suite et ensuite elle a commencé sa descente en criant de plaisir tous les cinquante centimètres. Je me disais qu’une fois arrivée en bas, elle allait se dépêcher de tout nettoyer et de tout remettre en place. Je vous jure qu’elle avait joui une quinzaine de fois en arrivant en bas. Elle s’est laissée tomber sur le côté et a effectivement tout remis en place. La rampe était nickel et plus rien ne pouvait me laisser croire qu’il s’y était passé quelques chose. Elle a sans doute tout remis en place puis est redescendue avec ses cahiers qu’elle a déposés sur la table. Dans ma main, elle tenait une raquette de pingpong et elle a commencé à se taper sur les cuisses, de plus en plus fort. Puis une fois sur les cuisses et une fois sur les seins pendant plus d’une demi-heure. Elle a fini par fermer ses cahiers et est allée s’assoir dans le fauteuil, comme tantôt, cuisses ouvertes et a commencé à taper avec sa main d’abord, sa raquette ensuite sur l’entrecuisse, si fort que cela résonnait dans toute la pièce en disant : Vilain minou, je vais te faire martyriser jusqu’à ce que tu demandes grâce. J’allais intervenir avant qu’elle ne se mette à sang mais elle s’est levée d’un bloc et a monté les escaliers en courant et en criant : Vite, vite je vais jouir. Ses yeux étaient vitreux. Elle a enfourché à nouveau la rambarde et s’est laissé riper tout doucement, à sec sur le bois raboteux. Je voyais ses mains qui comprimaient à se fendre la rampe. Je me suis dit que si jamais elle lâchait, elle serait déchiquetée. Elle s’est procuré dix orgasmes avant d’arriver en bas. Il était presque quatre heures. Sa rampe d’escalier, elle ne l’a plus quittée avant sept heures du soir. A la force des bras, agrippant les barreaux de la rampe, elle a remonté six fois la pente jusqu’en haut, en se frottant comme une catin, jouissant encore plus à la remontée qu’à la descente.


Je suis sortie de la pièce par le passage qui se trouve dans l’autre armoire et qui débouche sur la salle où papa entreposait les plus belles pièces de sa collection d’instruments de torture anciens, hormis le rack qui était trop large pour entrer par la porte. Dans cette pièce, se trouve un escalier qui descend à une cave avec accès direct dans le garage. J’ai fait assez de bruit pour qu’elle croie que je venais de rentrer. Elle était déjà montée dans sa chambre. Quand je l’ai appelée pour venir souper, elle avait mis un jeans et un pull à col roulé. J’ai fait comme si rien ne s’était passé.

LA SOLUTION !!!! Mais il faudra faire vite si je ne veux pas me faire coincer stupidement.


Durant deux mois, chaque mercredi, la même scène se renouvelait avec quelques brimades supplémentaires pour son « vilain minou ». La raquette ne lui suffisait plus. Quand elle a compris que le miroir du bahut lui permettait de s’émoustiller davantage à la vue de son corps, elle a commencé à s’assoir entre deux chaises pour faire son grand écart. Je l’ai vue se cingler la chatte avec une corde d’abord, une cravache pour finir par se griffer avec des clous avant de se masturber et jouir des dizaines et des dizaines de fois sur la rampe. Un jour, elle s’est installée comme à son habitude et a sorti avec précaution de son cartable une brosse métallique courbe à poils durs en acier, spécial tuyauterie qu’elle avait volée au chauffagiste le matin même. J’ai craint le pire et le pire est arrivé. Elle a commencé à se griffer superficiellement les cuisses et les seins en criant : C’est trop fort, vous me faites mal. Quand elle jugea que ces cuisses étaient à point, elle l’a posée sur sa fente et a commencé à se la poncer à la brosse de fer en vociférant des insultes à…Léna, Annie, Rachida, Régine et j’en passe : Non pas sur ma chatte, je ferai tout ce que vous voudrez…Puis elle prenait une grosse voix et se répondait…nous allons te la mettre en sang ta chatte. Ca t’apprendra à exciter les garçons. Le pire, que je croyais quand je l’ai vue jouir en éjaculant sur la brosse car elle a recommencé à se parler avec sa grosse voix…puisque ça te fait jouir, nous allons continuer toute l’après-midi. Il te reste quatre heures pour jouir cinquante fois. Et elle a remis cela…une petite dizaine de fois en éjaculant presque à chaque fois. J’ai vraiment eu pitié d’elle quand je l’ai vu se mettre à califourchon tout en haut de la balustrade. Elle a repris sa grosse voix…Si tu n’as pas joui dix fois avant de poser tes fesses sur le pilier du bas, ta chatte va s’en souvenir. Elle devait avoir horriblement mal. Ses cuisses serraient de toutes leurs forces le bois de la rambarde. A peine sa vulve s’est-elle posée sur le bois, qu’elle s’est mise à éjaculer tellement que je vis une pluie de grosses gouttes gicler sur le portait de mon père qui se trouvait sur le mur tout proche. Elle a joui trois fois coup sur coup sur à peine un mètre de descente. Elle a posé un pied sur une marche pour se soulager quelque peu et a repris sa voie grave...Tu n’avais pas la permission de poser le pied. Pour ta punition, tu devras te passer de tes mains et ne te tenir qu’avec tes cuisses pour freiner ta descente. Une main dans le dos et une main pour te griffer les cuisses avec la brosse…mais je vais jouir encore plus, Rachida…puisque tu le dis, tu devras encore jouir dix fois à partir de maintenant avant d’arriver en bas…Elle a mis une main dans le dos, serrer les cuisses et s’est mise à les griffer frénétiquement avec sa brosse encore couverte de ses poils pubiens arrachés. J’étais effarée de l’imaginaire ce Milli et de ses capacités orgasmiques. Elle s’était vidée une douzaine de fois avant d’atteindre le terminus. Elle est restée couchée sans bouger près d’un quart d’heure comme si elle dormait. Elle s’est relevée comme si de rien n’était, a fait un bilan des dégâts et est partie dans la cuisine. Elle tenait un potiquet dans les mains et un bassin à moitié rempli d’eau dans lequel baignait un gant de crin.
J’ai frémi quand j’ai entendu qu’elle faisait à nouveau sa grosse voix…maintenant, tu vas vraiment souffrir et nous verrons si cela te fait jouir. Elle trempa le gant de crin tout neuf dans le récipient et commença à se frotter vigoureusement les cuisses tout en se les saupoudrant de gros sel !!!...vous êtes toutes jalouses parce que j’ai de plus belles jambes que vous…ça fait trop mal…ca bruuule…mes petits jambons salés sont en feu…J’ai failli tomber de ma chaise quand elle a approché le gant de crin de son minou tout irrité mais elle s’est ravisée très vite. Elle a pris un essuie qui traînait et s’est frotté le minou jusqu’à ce qu’il soit bien sec. J’ai bien pensé que c’était fini pour aujourd’hui car il était déjà près de six heures du soir. Mais que nenni ! Elle a trempé ses deux mains dans le pot de gros sel et a commencé à se caresser très superficiellement le sexe en veillant à bien mettre du sel partout. Et puis, la grosse voix est réapparue…maintenant tu vas te masturber et bien mouiller jusqu’à ce que tu jouisses…Et elle a joui, très vite, très fort très longtemps. Quand je dis très longtemps c’est quatre ou cinq minutes, de plus en plus fort dans un orgasme que tu as nommé « exponentiel », Annette. Au sortir de là, elle était ravagée. Je l’ai entendue monter les escaliers jusqu’à la salle de bain péniblement un à un. La douche a coulé plus d’une demi-heure avant que je ne l’entende en ressortir.

J’aurai vraiment voulu l’aider mais j’étais trop lâche sans doute.

Toute la semaine suivante, je l’ai conduite à l’école en collant de laine et pull à col roulé. J’ai demandé à Gérard, notre médecin généraliste de lui faire un certificat pur la gym et la natation. Je lui ai exposé son problème dans les grandes lignes. La seule solution pas trop bancale que nous avons trouvée fut de lui dénicher une activité ce jour-là pour que s’arrête le massacre. Le mercredi suivant, elle était inscrite au club de tennis.

Une semaine plus tard, Gérard est repassé par la maison. C’est lui qui a finalement pu la convaincre de consulter un sexologue de renom de Bruxelles. Pour lui, il n’y avait aucun doute. Il a diagnostiqué formellement un syndrome d’hyperexcitabilité génitale dont souffrirait une femme sur cent mille. Cela se traduirait par une congestion anormale des régions génitales (et du clitoris en particulier) qui occasionnerait chez ces femmes atteintes des orgasmes spontanés rien qu’en s’asseyant. J’ai cru d’abord à une blague mais cela n’en est pas une. Les femmes affligées de ce syndrome vivent un véritable cauchemar car la vie en société leur devient impossible tant elles sont sujettes à longueur de journée à des sensations libidineuses affolantes. Un morphotype de ce genre de personne est parfaitement défini et correspond trait pour trait à Emilie. Ces femmes sont des jouisseuses répétitives et éjaculatrices profuses et présentent une vulve et un clitoris hyper congestifs à la moindre sollicitation. L’anomalie serait une vascularisation anarchique et surabondante du périnée qui dérèglerait la libido de la personne concernée. Aucun traitement ne s’est actuellement montré efficace et seule la ménopause peut améliorer la situation. C’est lui qui m’a conseillé de la câliner, de la flatter, de lui apporter de l’amour maternel, de l’aider à devenir une femme séduisante pour qu’elle arrête de s’auto détruire. Mais avec Milli, tout devenait très vite sexuel. Par exemple, comme elle aimait être bronzée, je la déshabillais et lui appliquais, chaque semaine, de l’autobronzant des pieds à la tête. Je l’obligeais à rester une heure debout pour bien laisser sécher le produit et ne pas avoir de traces. Au moins, cela me permettais de vérifier si elle ne s’abimait plus. C’est à partir d’alors, qu’elle a commencé à mettre ses mains sur la nuque, comme un signe de soumission et de provocation. Elle gigotait prétextant que son pépette lui grattait et tantine, lui frottait le sexe sans chercher à la stimuler aucunement. Cela devenait de plus en plus répétitif. J’ai compris qu’en fait, elle se servait de moi pour se faire mousser. Des exemples pareils, j’en aurais mille à raconter. De mon côté, j’avais de plus en plus mauvaise conscience d’abuser de sa pseudo innocence et pourtant, j’avais obtenu un certain résultat. Emilie apprenait à contrôler ses orgasmes, ne se détruisait plus et les récriminations du directeur avaient cessé d’affluer.

Nous nous sommes ensuite tournées vers toi, Stéphanie. Tu as confirmé ce que le sexologue qui avait eu Milli en charge avait diagnostiqué.

Oui, je m’en souviens comme si c’était hier. J’ai simplement ajouté que, vu son âge, la situation risquait de s’aggraver. Je lui a conseillé d’éviter tout ce qui augmenterait l’apport de sang artériel au périnée comme les ceintures et vêtements trop serrant. Autant que possible, j’ai insisté sur l’évitement de tout ce qui serait susceptible de la stimuler sexuellement. En a parte, je lui ai confié ses penchants masochistes marqués risquaient de lui jouer de vilains tours. Je l’ai mise en garde en lui expliquant que je connaissais une patiente qui, atteinte de ce syndrome, ne parvenait à l’apaisement qu’en se faisant martyriser le sexe jusqu’à ce qu’elle finisse en réanimation. Tout cela, sans lui dire ouvertement que je connaissais l’usage qu’elle faisait de la rampe d’escalier pour ne trahir personne. Je lui ai également démontré le rôle néfaste de produits congestionnant qu’ils soient pris par la bouche ou appliqués localement. J’ai refusé évidemment de lui donner la liste de ces produits qu’elle souhaitait consulter, sachant pertinemment l’usage qu’elle en ferait.

Je quittai quelques secondes ma cachette pour préparer ma fuite. L’autre armoire débouchait bien sur une vaste salle, bourrée d’engin de torture d’un autre âge. Seul un pilori de bois me rappela certaines illustrations. Ne pouvant cacher la fascination qu’exerçait sur moi les engins dont je ne comprenais pas l’utilité, je sentais la moiteur de chatte et mon désir qui grimpaient dans les tours. Au fond de la pièce se trouvait bien l’escalier qui menait au garage. C’est bon. En cinq minutes, je devrais parvenir à regagner ma chambre et me changer.
Quand je suis retournée à mon poste d’observation, j'eus beaucoup de mal à me concentrer sur la discussion tant ma vulve jubilait.

Elle a toujours été un peu chaude du croupion mais depuis que je l’ai inscrite dans ce club de tennis, les choses se sont considérablement aggravées et son comportement sexuel s’en est trouvé de plus en plus débridé. Quand le responsable m’a appris qu’elle recommençait ses exhibitions, j’avoue que j’étais complètement découragée. Je comprends mieux, après ce que tu viens de me raconter, pourquoi elle se comportait ainsi. Jamais pourtant, je n’aurais cru qu’elle se serait délibérément mise en danger à ce point.
C’est malheureux à dire mais aujourd’hui, j’en suis venue à ne plus la supporter. Cette incitation permanente à s’offrir m’oblige à des efforts constants pour ne pas la violenter. Je sais très bien qu’elle en joue, avec moi comme avec toutes ses rencontres. Chaque matin, en me levant, je me demande quelle tuile va encore me tomber sur la tête. Je n’ai finalement pas de lien de parenté avec Milli. Elle est suffisamment subtile pour savoir ce que j’aime faire aux filles et ce que Marine aime leur faire aussi. J’ai parfois envie de lui dire que si elle a envie de souffrir pour se faire du bien, elle n’a qu’à me le demander clairement.

Je crois qu’elle l’a fait hier soir sur le rack, Mireille. Elle t’a même remerciée, n’est-ce pas ? A la limite, ne serait-il pas préférable qu’elle s’éclate ici, plutôt qu’à la sucrerie ? C’est immoral certes, mais c’est peut-être aussi un pire pour un mieux.

C’est un peu pour ça aussi que j’avais demandé à Marine pour passer hier soir. Je me doutais qu’elle finirait par me montrer sa vraie nature. Au moins, l’hypocrisie a disparu maintenant si pas la pathologie.

Moi, j’en retire une chose très positive, c’est sa faculté à se contenir et Annette sera certainement d’accord avec moi. Cette faculté de se contenir est une qualité qu’il faudra peut-être cultiver. C’est même une condition sine qua non que de ne pas se laisser au plaisir. Si elle parvenait à contrôler son hypersensibilité, cela l’autoriserait plus aisément, c’est un conditionnel, à mener une vie socialement acceptable, si elle le veut du moins.
A propos, j’ai eu la directrice de sa nouvelle école au téléphone ce matin. Je l’ai contactée pour bien la mettre au courant de sa pathologie et ne pas la stigmatiser ou l’humilier inutilement. Je pense qu’elle m’a très bien compris. Le juge de la jeunesse a également été prévenu de ce changement radical de cursus scolaire et de l’intérêt pour Milli et sa tutrice de la faire émanciper rapidement. Ce qui explique la vélocité avec laquelle il a fourni tous les documents idoines quand sa stagiaire les a demandés.

Ce qui est indéniable et péjoratif pour son évolution, c’est qu’elle est masochiste en diable. Le réflexe punition-récompense sera ici complètement faussé.
Son narcissisme exhibitionniste n’est pas non plus un point positif. Hormis sa faculté hors norme à obéir sans rechigner. Son homosexualité, par contre, peut ouvrir des possibilités de traitement et lui éviter bien des désagréments. Car le point le plus négatif, et ce n’est pas de sa faute, c’est quelle est splendide et sera obligatoirement sollicitée toute sa vie. Il est très important pour elle qu’elle soit bien entourée car absorbée par certains milieux, elle risquerait d’être abusée à l’envie si quelqu’un cherchait à l’exploiter sexuellement. Sous la coupe d’une maquerelle, elle ferait une performeuse hors pair et c’est ce que nous devons éviter à tout prix dans un premier temps. Je dirais même plus. Aucun homme ne devrait être trop régulièrement à son contact car elle tombera à nouveau dans un jeu de séduction pervers. Vous me rétorquerez que ce sera pareil avec les filles. Je n’ai aucun doute là-dessus. Sauf que les hommes, en grande majorité, plongeront tête baissée et pénis relevé dans son jeu. Statistiquement, moins de cinq pour cent des filles sont lesbiennes et seront attirées par elle. Elle se fera plus souvent jeter que baiser. Quant à la chance de tomber sur une fille susceptible d’assouvir ses pulsions masochistes, elle est infinitésimale. A part, bien sûr, les deux phénomènes que j’ai en face de moi.

Stéphanie, tu veux nous faire comprendre que, finalement, elle serait mieux prisonnière et martyre ici que si elle était lâchée dans la nature sans surveillance.

Prisonnière et martyre ! Voilà les deux mots les plus imagés et les plus explicites que je connaisse ! J’aime beaucoup aussi sévices corporels. Non, tortures physiques, c’est mieux. La ronde de mes fantasmes s’était remise à tourner. Il ne me restait plus qu’à les convaincre que cette idée de devenir leur prisonnière me permettrait de réguler mes tensions sexuelles. Si je m’y prenais bien, qui sait ?…mais je rêve…leur faire admettre que seuls les « supplices sexuels » seraient salutaires à mon équilibre psycho affectif.

C’est un peu ça, effectivement. Au moins, si elle reste enfermée, elle ne risquera pas sa vie dans deux jours sur une croix dans une sucrerie désaffectée. Sa vertu et sa morale sont de toute façon plus qu’égratignées et elle a toujours affiché son attirance pour les femmes. Je suis convaincue que si elle se tourne vers les hommes, c’est pour y trouver ce que la plupart des femmes lui refuseraient. A situation exceptionnelle, moyens exceptionnels.

A vous de trouver un modus vivendi. Annette et moi sommes toutes les deux disposées à vous aider. Le juge a apprécié notre proposition d’assurer un suivi hebdomadaire de la jeune émancipée. Notre notoriété sera l’assurance de votre tranquillité judiciaire d’ailleurs. Nous pourrions, par exemple, passer en discuter samedi ou dimanche prochain. Comme elle a deux semaines de vacances, j’ai envie de dire, quartier libre et carte blanche. Vous la testez autant que vous voulez et si elle demande une gifle, vous lui en donnez dix. N’hésitez pas à répondre à ses provocations par des réactions démesurées, relativement violentes si nécessaire ! Je suis convaincue qu’à deux, vous parviendrez à la dégoûter si vous répondez à ses demandes par une réponse inappropriée. Qu’en dis la tantine ? Te sens-tu capable d’oublier les sentiments que tu as pour elle ?

Marine se frottait les mains. Mireille faisait la gueule.

Stéphanie ! La tantine, elle n’a plus aucun sentiment pour cette vicieuse. Vous ne pourrez pas jamais comprendre ce qu’elle m’a fait vivre. C’est abominable le jeu qu’elle a joué avec moi des mois durant. C’est répugnant de jouer avec les sentiments de quelqu’un qui est supposé vous aimer. Plus horrible encore de se servir de ses charmes et rondeurs pour lui faire du mal. Regarde comme je suis bien foutue, mieux que ton amante, mais moi, tu n’as pas le droit de me toucher et pourtant, je me laisse tripoter à longueur de journées par n’importe qui ! Je suis soulagée d’un grand poids, la sachant quasi émancipée. Ce n’est pas et cela n’a jamais été ma fille. Elle ne représente plus pour moi qu’une belle salope à la recherche de sensations fortes. Ma maison est assez grande pour que nous ne nous croisions plus. Vous en ferez ce que vous en voulez mais ne comptez pas sur moi pour la conforter dans sa dépravation avec des punitions à deux sous qu’elle se fera un plaisir de recevoir. Je vous prêterai sans arrière–pensées ma maison et son infrastructure pour votre thérapie si vous participez activement.

Annette a tout de suite saisi la balle au bond, proposant même de faire collaborer sa compagne Cindy.

Stéphanie et moi n’avons pas le même sens sadique que vous deux. Mais je pense que d’être confrontée à deux femmes qui s’aiment, et pas que pour s’envoyer en l’air, la fera réfléchir et lui montrera à quel point l’amour peut être plus fort que le vice.

Stéphanie approuva sa vision du traitement mais était embarrassée.

Annette ! Il me semblait que tu m’avais offert l’hospitalité pour dix jours chez toi. N’oublie pas que je suis à la porte ! Mon appartement est en pleine réfection et avec ces intempéries, mes ouvriers vont me laisser en plan avec des feuilles de plastique en guise de châssis.

C’est magnifique la campagne sous la neige. Nous allons rajeunir de dix ans et faire les folles comme quand nous étions à l’université toutes les trois. Je suis certaine que tu n’as plus revue Cindy depuis. Tu verras, elle n’a pas changé. Toujours aussi pointilleuse sur son look. Toujours à fond dans son job. Sauf qu’elle est trois semaines en congés la veinarde.

Elle a continué la chirurgie de la main finalement ?

Non, elle a bifurqué vers la chirurgie plastique. J’ai été son premier cobaye.

Quoi, les seins ? …Je me disais bien aussi.

Alors, on rentre tes valises tout de suite ou on passe d’abord chercher les nôtres ? Qu’est-ce que tu as ?

Moi, je m’attache trop facilement. Je ne dis pas ça pour Cindy, bien sûr.

Oh ! Elle est amoureuse…elle est amoureuse…

Ca va ! Ca va ! Je reste mais à une condition. Je supervise et j’interviens si cela va trop loin. Pas question non plus de lui dire : Emilie, nous allons te donner une bonne leçon et t’ouvrir les yeux. On la laisse venir et on improvise comme ce matin. Je pense qu’il vaut mieux la laisser se comporter naturellement, comme si de rien n’était. J’adore les jeux de rôle quand ils confinent au jeu de la vérité.
Je ne l’avais pas remarqué, mais Marine venait de redescendre avec mon ordi sous le bras. Annette se jeta dessus et l’alluma.

Marine, tu as tout raté. Mireille nous invite à rester ici une dizaine de jours et même Cindy va bientôt nous tenir compagnie. Mireille n’est pas trop chaude pour participer et toi, es-tu d’accord pour jouer la méchante et nous les gentilles ?

O.K. Chacun son job. Moi ce sera supplices épicés et vous délices sucrés.

C’est parfait. A nous de trouver un juste équilibre entre l’assouvissement de ses attentes et de ses pulsions et son intégration future dans une vie sociale et professionnelle normale. Si nous pouvions lui faire comprendre qu’il n’y a pas que le sexe dans la vie, un grand bout de chemin serait parcouru. Si elle ressent des pulsions masochistes, il faut qu’elle ressente suffisamment de douleurs pour ne plus avoir envie d’y toucher. Comme le gamin que son père surprend à fumer. Il faut l’oblige à fumer un paquet entier à la suite jusqu’à ce qu’elle vomisse ses tripes pour qu’elle se rende compte que fumer n’a rien d’agréable. Action – réaction. C’est le principe du réflexe de Pavlov. Si elle ne tire aucun plaisir d’être torturée, elle s’en dégoûtera au lieu d’en redemander.

C’est pareil pour la jouissance.

Annette venait de raccrocher son GSM. C’est ce que je viens de proposer à Cindy. Elle se met en route mais passera d’abord par la clinique prendre quelques stimulateurs.

Des stimulateurs ?
La surveillance de la curarisation grâce à une stimulation neuromusculaire
Un stimulateur est un petit appareil pas plus grand que mon GSM qui comporte deux électrodes. Placées sur la peau, quand les patients sont endormis et curarisés, on applique une salve de quatre stimulations (train of four = train de quatre) et on observe ou non contraction musculaire, généralement sur le muscle adducteur du pouce. Cela permet l’observation du « train of four » à l’anesthésiste de vérifier le degré de curarisation et l’état de conscience du futur opéré.
Et ça va servir à quoi sur Milli ?
C’est très douloureux, come une vive décharge. Pas aussi puissante qu’un teaser mais quand même et inoffensif. Une décharge sur les fesses ou le ventre administrée juste avant qu’elle n’orgasme devrait créer un réflexe conditionné à force d’être répété. L’orgasme sera refoulé instantanément par la perception de cette douleur vive et elle finira par se dégoûter de chercher à jouir des dizaines de fois par jour. Cindy devrait pouvoir en trouver trois ou quatre assez facilement. Je propose que Marine, Stef et Cindy en reçoivent un. Moi, je ne me sentirai pas capable d’appuyer dessus.
Stéphanie non plus apparemment.
Je suis à mille pour cent pour tenter l’expérience et comme Annette, je ne suis trop fleur bleue pou faire du mal à cette enfant. Et si on donnait à Milli la possibilité d’en avoir un. Ce serait un gage de sa bonne volonté à changer de comportement, non ?

Mireille avait sorti une nouvelle bouteille de Porto et pour être certaine qu’il ne soit pas bouchonné, elle venait de déposer son troisième verre.

J’ai bien réfléchi. Si vous voulez que je lui fasse mal si elle le demande, je n’aurai aucun scrupule à lui faire vivre quinze jours de calvaire. Je vais même lui en faire tellement baver qu’elle va me supplier de déménager avant la fin de la première semaine. La méchante, ce sera moi. Pas pour la titiller mais pour la châtier de toutes les façons imaginables, le plus durement et le plus longuement possible en insistant sur tout ce qui lui sera insupportable. Tant pis si je vous choque mais Marine et moi avons deux conceptions opposées de la façon de jouer avec une fille. Marine a l’art de la pousser à la limite de sa tolérance en réveillant sans cesse sa libido pour la faire participer à ses tourments. Elle s'est toujours montré imbattable pour retirer la quintessence de ces soumises. Moi, elle m’intéresse surtout à partir du moment où elle demandera grâce. Si elle veut être battue, elle le sera. Cela la calmera peut-être. Sait-on jamais ? Je suis consciente que c’est pour cela que je ne suis jamais parvenue à garder une amante. Stéphanie me tempérera si mon désir de vengeance malsain va trop loin quand je me retrouverai en face de cette petite gouine à poil et en chaleur.

LA recette magique pour me rendre folle comme hier soir. La masturbation savamment entretenue par l'une pendant que l'autre me prodigue de subtils tourments. J’étais partante et tant pis pour les garçons qui devenaient carrément inintéressants.

Marine, en tant qu’infirmière, semblait connaître cet appareil auquel je ne comprenais rien. Elle demanda quelques éclaircissements à Annette.

Il s’agit bien de ces petits engins qui fonctionnent sur accus rechargeables. J’espère que Cindy va penser à emporter quelques chargeurs.

Je crois qu’ils sont conçus pour déclencher une centaine de salves de quatre coups avant d’être à plat. Ils sont réglables, si mes souvenirs sont bons, sur des salves de une à dix décharges. Probablement aussi sont-ils paramétrables en intensité.

J’espère parce que si elle enfourche la rampe d’escalier à poils et commence à se masturber dessus une centaine de fois…

Ne dramatisons pas ! Si ça tombe, elle redescendra habillée en petite fille bien sage qu’elle est peut-être quelque part, ajouta Stéphanie.

Elle le cache bien, alors, surenchérit Marine.

Annette pianotait depuis tout ce temps sur mon ordi quand Marine attira l’attention de l’assemblée sur un message que j’avais envoyé aux « amis de Laurent ».

Ah ! J’oubliais. Milli n’était pas dans sa chambre quand je suis allée chercher son PC. Il faudrait peut-être lui demander de venir faire le service de table. Cindy ne devrait plus tarder et je meurs de faim.

Il était grand temps de déguerpir de mon poste d’observation.


Dès que j’eus poussé la porte de la salle où le père adoptif de Mireille stockait son assortiment d’objets de terreur, elle s’illumina de dizaines de spots judicieusement disposés pour mettre en valeur un impressionnant carcan. Un fatras de poutrelles entrava ma progression que je voulais rapide, m’obligeant à faire le grand écart par-dessus les madriers épars. Je ne me doutais pas encore que je venais d’entrer dans la quatrième dimension. Vite ! L’escalier de la cage…En posant le pied sur la première marche, la galerie illuminée par des halogènes, m’envoya, au bout d’une cinquantaine de marches, une dizaine de mètres sous le niveau du sol face à un portail vermoulu sur lequel figurait une inscription jaunie par le temps: « La vérité par… ». Pas le temps de m’attarder à déchiffrer. Je mets toutes mes forces sur la battante. Pourvu qu’elle ne soit pas condamnée ! Elle s’ouvrit sur une vaste crypte qui me laissa interdite. Plein centre trônait une croix de Saint-André, absolument identique à celle tu tableau, avec un bourrelet au beau milieu. Tous les dix centimètres, sur chacune des quatre branches, pendait une chaîne à gros maillon. Les murs irréguliers accueillaient une collection de tenailles, poinçons, fouets, garrots et autres colliers de serrage.
Et toujours pas de garage mais un ascenseur ou plutôt un grand monte-charge sans porte !!! -3, -2, -1, 0, +3. Va pour le plus 3.
Quand le vieux monte-charge a stoppé, je me suis retrouvée dans le grenier. Vite, sortir d’ici. Une première porte avec un déverrouillage me permettant de l’ouvrir de l’intérieur …une deuxième, idem. Tiens ! Le banc solaire. La troisième. Le rack ! Et Marine qui hurlait dans l’escalier.

Où étais-tu cachée ? Tu as deux minutes pour être en bas.

J’étais sur le banc. Je ne t’avais pas entendue. Je m’habille et je descends.

Quand on sait qu’il me faut toujours une heure pour choisir mes fringues…Le tiroir de ma jeunesse avec tous mes habits trop petits, même ceux de mes 2 ans, bavoirs y compris. Quel fouillis ! J’ai attrapé au vol la plus grande des bavettes de quand j’étais bébé, en me disant qu’elle me ferait un mignon de tablier de soubrette, une fois bien serrée à la taille. Histoire de ne rien cacher de mes fesses et même de les faire bien ressortir. Un coup de gant de toilette, un coup de spray qui sent bon et…tant pis...elle n’a qu’à pas les laisser traîner, les escarpins de Marine deux taille trop grandes pour moi. J’adore les talons hauts. Cela me fait des jambes longues et cela affine les cuisses.
J’ai failli me casser la figure dix fois avant d’arriver dans la salle à manger qui empestait le gibier trop cuit. Vêtue de mon pagne symbolique, j’entrouvris la porte quand quelqu’un sonna à la porte.

Milli ! Va ouvrir s’il te plait !

Mais…

Il n’y a pas de mais.

Cindy n’avait pas encore atteint le paillasson qu’elle avait déjà posé une main sur mes hanches et donné un baiser mouillé sur mes lèvres.

Oh ! La gracieuse petite soubrette toute bronzée. Sais-tu que tu as la peau très douce et les lèvres sucrées. Laisses-moi te toucher les seins ! Tu veux peut-être que je dépose mon sac et que je mette mon autre main plus bas ?

Non, Madame ! Nooonnn ! Je suis à cran…Doucement !!! Nooonnn ! Pas maintenant ! Non, non, pas çaààààà !

Tu dis non et tu mets tes bras derrière la nuque. Laisse-moi t’enflammer, tu ne demandes que ça ! C’est que tu es une véritable petite truie, toi. Voilà ! Comme ça. Tend bien ta petite motte !

Cindy, c’est toi ? Qu’est-ce que tu glandes ?

J’arrive tout de suite. Emilie va me montrer où sont les toilettes. J’ai encore le droit de faire pipi, non ?

Les toilettes, elle n’en avait rien à faire. Elle poussa la première porte à droite dans le couloir et me coinça dans le vestiaire. Elle ouvrit son sac et en ressortit un gros tube de body lotion parfumé au jasmin. Elle m’en enduisit tout le corps quand je dis tout, c’est tout. Même entre les fesses et en insistant bien sur mon minou. C’était super agréable et au moins, je sentirai bon. Elle jeta ma bavette dans la poubelle à papier et me fit un paréo avec le foulard Hermès d’Annette qu’elle me noua autour de la taille en prenant soin de mettre l’ouverture sur le côté. Après m’avoir encore une fois flatté et pommadé les seins pour que mes tétons ressortent bien, elle me poussa devant elle jusqu’à la porte du living.
Je n’avais pas encore repris complètement mes esprits en entrant dans la salle à manger.

Regardez le beau brin de fille que j’ai trouvé dans le couloir !

Ce n’est pas vrai. Mes escarpins !!!

Et mon foulard Hermes !!! Il est foutu. Elle est toute luisante. Qu’as-tu mis sur ta peau, toi ?

Cindy intervint juste avant qu’Annette ne fasse sa crise.

C’est du gel de contact. C’est toi qui m’as demandé de ramener les stimulateurs. J’ai discuté avec l’anesthésiste et il m’a donné ce gel qui ne tâche pas. Ca marche sans mais ça marche encore mieux avec. Elle n’est pas mignonne toute luisante comme ça. Prête à l’emploi ! Tu m’avais caché, Annette que tu connaissais Miss Univers.

Cindy était ce qu’on appelle une femme d’action, une véritable boule d’énergie. Petite blonde aux yeux gris vert qui me confiera des années plus tard qu’elle était en plein burn-out quand elle m’a connue et en passe de péter les plombs.

Regarde sur l’écran ce qu’elle s’apprêtait à faire, Miss Univers !

« Belle gazelle ardente et très chatouilleuse à consommer mardi prochain à la sucrerie. Venez nombreux pour la tournante sadique du siècle ! »

Et ce n’est qu’un très bref aperçu…Milli, nous n’allons pas le laisser faire cette connerie.

C’est trop tard. Ils ne vont plus me lâcher. Je ne mérite rien de mieux, de toute façon. Je ne fais que des conneries.

Et j’éclatai en pleurs.

Stéphanie fut la première à venir me consoler, suivie de près de Marine qui me prit par les épaules et me caressa immédiatement le dos.

Nous, nous allons nous occuper de toi, toutes les cinq. Nous ne voulons que ton bonheur. Tu peux être assurée de cela. Nous ne te laisserons jamais tomber mais il faudra que tu arrêtes de nous mentir et surtout de te mentir si tu veux que nous t’aidions efficacement. Tu ne dois pas craindre de nous dire tout ce que tu as à l’intérieur.

Je me sens sale à l’intérieur. Tout le monde me dit que je ne suis qu’une sale petite vicieuse.

Les adolescentes les plus vicieuses font souvent les femmes les plus heureuses mais il faut qu’elles se corrigent et retrouvent le droit chemin. Tu es une fille magnifique. Tu ne pourras jamais trouver l’amour et la stabilité si tu continues dans ce chemin tortueux.

Je le sais très bien, mais c’est plus fort que moi. Depuis quelques mois, mon désir de sexe s'intensifie au point de devenir carrément obsédant. Je ne suis pas normale. Je veux qu’on m'aime, qu’on me câline et aussi qu'on me fasse souffrir.

Et tu crois que c’est dans la sucrerie que tu vas trouver l’amour ?

Non ! Je voulais y aller pour qu’ils me battent assez fort pour que je n’aie plus jamais envie d’y retourner. C’est pour ça que j’ai voulu être torturée sur la croix…pour être dégoûtée une fois pour toutes.

N’est-ce pas ce que Mireille et Marine ont fait hier soir sur le rack ? Elles ont été très dures avec toi et dès le saut du lit, tu es déjà demandeuse.

C'est mal de dire cela mais elles m’ont abandonnée trop rapidement. Elles auraient du continuer et elles m'avaient...

Qu’as-tu ressenti pour dire une chose pareille ?

Je peux vraiment dire ce que j’ai ressenti ?

Tu dois nous dire non seulement tout ce que tu ressens mais tout ce dont ton corps a envie. Sinon, nous n’arriverons à rien et il serait à inutile que nous restions ici.

Il fallait continuer à me faire encore plus mal quand j’ai commencé à jouir comme une fontaine. De plus en plus mal, pour que je n’aie jamais plus envie de recommencer. Et de m’obliger à jouir et à éjaculer jusqu’à ce que je sois complètement asséchée… et même encore après.

Tu vois, personne ne cherche à te juger même si tes désirs peuvent paraître déraisonnables. C’est même le genre d’exigence que j’aime entendre car il témoigne de ta volonté de te guérir et de changer de façon de vivre.

Je veux bien changer, moi mais qui va accepter de me martyriser au-delà de mes limites pour m’aider à guérir, comme vous dites. Ce ne sera pas très excitant pour vous.

Tantine venait de déboucher une nouvelle bouteille de Porto pour faire passer son gigot de biche trop cuit, sans doute.

Marine ! Explique-lui ce que nous allons faire avec elle si elle nous fait confiance et qu’elle y met un peu du sien pour se montrer appétisssante !

Pauvre petite ! Tu ignores combien une femme peut-être excitante quand elle se tord et s'agite follement à chaque morsure brûlante des lanières qui la cinglent... et plus encore lorsque ses formes sont, comme les tiennes, opulentes en leurs parties les plus féminines.

Tu vas me faire ce que tu faisais avec Cécilia, c’est ça ?

Cécilia était nettement moins jeune que toi. Moins jolie aussi. Ce qui m’excite en toi, c’est que tu vas être obligée de t’abandonner corps et âme si tu veux que je reste ici. Comme tu es plus jeune et plus endurante, tu vas devoir supporter mes supplices et ceux de Mireille très longtemps. Quand je serai tout à fait certaine que tu sois bien épuisée, je passerai la main à ta tantine qui va te finir sur le rack ou dans un endroit conçu pour te faire crier à foison sans que tu ne déranges personne. Je vais faire de ta vie, durant quinze jours, un cauchemar érotique.

Mireille avait commencé à débarrasser la table.

L’érotisme n’est pas mon thème de prédilection, Marine. Tu es trop avenante avec cette guenon. Moi, je préfère de loin des supplications aux remerciements.

Mireille dénoua mon paréo Hermes et le rendit à Annette qui s’empressa de le replier. Elle sortit un mouchoir propre de sa poche, s’essuya les mains avec avant de s’en servit pour affermir sa prise sur mon clitoris qu’elle me pinça à sang.

Je te fais mal, là.

Oui ! Très, très…ouille !

Et comme ça ?

Aaaaaie ! Tu le tords…ça fait très très maaal !

Eh bien, ton petit bouton de plaisir, il ne me servira plus qu’à ça désormais. A te faire mal…

J’étais vexée comme un pou par la brutalité imprévisible de ma poivrote de tantine.

Tant mieux. Je ne veux plus prendre du plaisir avec cette chose-là.

Alors, je vais te cravacher quand tu seras sanglée pour te battre à mort mais ne compte plus sur moi pour te masser et encore moins pour te faire jouir. Dis-toi bien que notre relation évoluera selon un mode tout différent ! Maîtresse-esclave. Tu connais ?

Tu veux dire que tu vas me traiter comme tu traitais tes maîtresses ? Pas une n’est restée plus de dix jours avec toi.

Mes maîtresses, je les traitais avec une certaine pitié pour tenter de les garder près de moi. Toi, je ne te supporte plus. Tu m’en as déjà trop fait voir.

Elle s’adressa aux trois toubibs qui paraissaient sérieusement embarrassées par la réaction brutale de la maîtresse de maison.

Je n’ai aucune honte à vous déclarer que je prendrai un pied géant à m’occuper de cette petite gueuse. Tout simplement parce qu’elle a un corps de déesse et que je vais me régaler en la faisant souffrir tant et plus. La seule chose qui me gêne, c’est que je ne suis pas convaincue que vous approuverez ma façon de procéder. Pour Marine, je sais que cela ne posera aucun problème de conscience. Elle a encore plus envie que moi de faire durer ses souffrances. Mais vous, comment envisagez-vous de participer à son « traitement ».

Ne comptez pas sur moi pour tempérer la fougue de Marine ou celle de Mireille ! Si la petite nana pense que deux semaines de tourments et de privation peuvent l’aider à se défaire de ses déviances, pour moi, c’est d’accord. Cela m’exciterait plutôt même, à condition que cela ne tourne pas en orgie avec elle. Si c’est pour la faire jouir du matin au soir, je ne vois pas l’intérêt curatif. C’est dans cette optique d’ailleurs que j’ai amené mes cinq stimulateurs.

Annette semblait du même avis.

Je n’ai aucune honte, non plus, à vous dire que cette jeune fille est un fantasme ambulant et que je la désire énormément. Si quelqu’un est d’un autre avis, qu’il le dise maintenant ou se taise à jamais.

Silence de mort…Puis Annette reprit :

Un traitement de choc est indispensable si nous voulons lui donner une chance de réussir dans la vie. Je vais vous dire carrément ce qui me gêne. Admettons qu’une bonne correction soit salutaire pour, si pas guérir, du moins atténuer ses pulsions doloristes ! Admettons que nous nous arrangions pour qu’elle ne tire aucun, mais alors aucun plaisir de ces tourments ! Je pense que nous ferions toujours fi de son problème d’hypersexualité et de son tempérament volcanique. Milli, viens ici ! Et toi, Cindy, caresse-lui les cuisses ! Je sais à ta façon de les regarder que tu en as envie.

Annette me plaça debout, à côté d’elle. Elle repoussa un peu la table pour que chacune puisse me voir des pieds à la tête. Spontanément, je mis mes mains derrière la nuque. Méprisable réflexe que je devrai corriger tôt ou tard. Cindy commença à dessiner des arabesques sur les cuisses et les fesses en me posant des questions perfides. Je vibrais de partout.

Je te sens très excitée de savoir que Mireille et Marine vont te martyriser à deux pendant des heures et des heures. Tu as besoin d’avoir mal pour bien jouir, non ?

C’est plus fort que moi. J’ai besoin d’avoir très mal et quand je commence à jouir, c’est à fond. Tant qu’il me reste des forces…Attention !…Vous allez ne faire basculer si vous me touchez l’anus !

Annette pris la main de son amie et l’embrassa amoureusement. Cindy ! Pas par là, pas encore… Quand on la touche, elle démarre au quart de tour. Ce n’était pas une plaisanterie quand je vous disais que c’était une rapide.

Milli, quand tu te masturbais sur la rampe, savais-tu que Mireille t’observait ?

Pas la première fois…mais les trois dernières fois, oui.

Pourquoi faisais-tu ça alors ?

Pour lui montrer que je savais souffrir et pour qu’elle m’aide à le faire mais elle n’est jamais venue.

Explique à Cindy ce que tu faisais et surtout combien de fois, tu te faisais exploser !

Je lui racontai dans les grandes lignes mon misérable onanisme du mercredi.

Je me punissais en m’obligeant à jouir cent fois avant de pouvoir me reposer mais j’arrêtais toujours un peu avant pour mieux me punir après. Je me sentais si nulle. Dans ma chambre, je me faisais encore plus mal au sexe parce que je n’avais pas obéi et que je n’avais joui que 90 ou 95 fois. Pour me châtier, je me masturbais 10 fois pour chaque orgasme que je n’étais pas parvenue à faire sur la rampe. Ça ne peut plus continuer. Il faut m’aider. Les garçons trouvent cela marrant une fille qui jouit tout le temps. Pour moi, c’est devenu ingérable. Je suis prête à tout pour me débarrasser de ce vice.

C’est un très bon état d’esprit ? Il faudra que tu acceptes de nous donner ton corps comme tu le fais en ce moment, en mettant tes mains derrière la nuque. Si tu joues le jeu, nous le jouerons également. Mais il faut que les choses soient claires. Toutes les filles qui vont s’occuper de toi, chacune à sa façon, désireront exploiter ce joli corps de pucelle. Tu vas vivre sur des charbons ardents jour et nuit mais nous exigerons que tu gardes un contrôle sans faille de ton plaisir. Je pense que cela te seras bénéfique pour plus tard et que plus tu parviendras à résister, plus facile sera ta vie à l’extérieur. Tu ne crois pas ?

Si, j’ai bien compris cela. J’essaie de me contrôler et je commence à y arriver. Vous l’avez bien vu tout à l’heure. Je pense que c’est une question de temps et d’entraînement. Mais il faudra m’aider…

Marine, pour la première fois, manifesta un soupçon de jalousie.

Pas d’accord ! Vous allez la faire monter de plus en plus haut. Je vais vous montrer comment il faut la faire redescendre et lui ôter l’envie de recommencer. C’est le bouton rouge pour allumer le stimulateur. O.K !

Elle s’approcha de moi, repoussa Cindy sans ménagements et me masturba frénétiquement jusqu’à ce que je la supplie d’arrêter. Brutalement, une quadruple décharge, partie de je ne sais où, me cueillit au creux des reins et me fit mettre un genou à terre.

C’est horrible cet appareil !

Mais c’est radical pour évacuer la pression…Remets-toi sur tes guiboles et pose tes mains sur ta nuque ! Cindy, je t’en prie, continues…

Cindy, animée par une soudaine pulsion sadique, ajouta.

Si c’est aussi radical, Milli, tu ne devras plus craindre de te pâmer et nous laisser profiter de ta petite chatte si juteuse autant de fois que nous le voudrons.

Ordonnez et j’obéirai ! Si c’est pour mon bien et pour que je me corrige, il ne faut pas avoir peur de m’éprouver. Vous savez bien que j’aime bien souffrir.

Très mauvaise réponse qui montre que tu n’as rien compris. Nous ne sommes pas ici pour faire ce que tu as envie qu’on te fasse mais ce qui nous excite nous, et qui te permettra de te corriger.

Justement, le courant qui est passé dans mon dos, je n’aime pas, mais alors pas du tout et je n’ai pas envie que ça recommence. Je serai sage maintenant.

Ah, enfin quelque chose qu’elle n’aime pas ! Tu devrais nous remercier et admettre que je t’ai bien aidée sur ce coup là. Moi, je pense que pour te déshabituer de jouir à tout bout de champs, il faudrait te conduire au moins autant de fois à la porte de l’orgasme que tu ne te masturbais chaque mercredi. C'est-à-dire…

Pas plus de cent fois quand même…

Disons cent cinquante fois ! Quand nous en aurons marre de voir tes fesses, tu te masturberas devant nous pour atteindre le chiffre fatidique.

C’est beaucoup moins gai que quand vous le faites…

Encore une mauvaise réponse. Disons deux cent fois une petite décharge et on n’en parle plus. Ce sera facile à vérifier, les stimulateurs possèdent un compteur d impulsions. Allez ! Je suis trop bonne. Je veux bien me dévouer pour t’aider à y arriver. J’ai un gros vibro dans mon sac avec une petite tête ventouse qui devrait plaire à ton gros clito. En échange je serais d’avis que tu ne reçoives à manger que si tu te montres capable de t’envoyer en l’air un minimum de deux cents fois par jour. Ne me regardez pas comme ça avec cet air sceptique ! Je vous promets qu’Annette et moi ne la laisseront pas décoller, même une toute petite fois.

La suite de la discussion fut plus ardue à suivre. J’ignorai bien entendu l’usage d’un vibromasseur et pour tout dire, je ne savais même pas que cela existait. Par contre, j’ai appris pourquoi j’avais un titi plus gros que les autres filles. Quand Cindy ventousa le titi, elle fit remarquer à Annette que j’avais probablement dû me déchirer le frein en me frottant sur la rampe.

Elle s’est circoncise toute seule. Pas étonnant qu’elle soit aussi chatouilleuse du bouton. C’est un gros point faible, ça, ma petite mouilleuse. Va te mettre dans le fauteuil et écarte bien tes cuisses !

Le vibro, c’est un truc bizarre. Chez moi, cela fait un effet bœuf. En moins d’une minute, j’étais sur le quai d’embarquement avec déjà un pied sur la passerelle. Annette a trouvé plus coquin de m’envoyer sa décharge juste au-dessus du genou pour voir ma cuisse se contracter. J’ai vu le bateau partir sans moi trois fois de suite. Le problème, c’est que Cindy n’a pas prétendu arrêter son vibro et le bateau revenait de plus en plus vite au quai pour m’emporter. Ma cuisse n’était pas encore tout à fait relâchée du cou précédent qu’elle repartait dans une deuxième contracture et ainsi une dizaine de fois de suite de suite.

Annette, pas trop vite le stimulateur ! Laisse-la monter plus haut et change de cuisse, STP ! Fais gaffe quand même, je vais passer la deuxième vitesse !

Encore plus dingue comme sensation. J’étais dans le bateau et je ne savais plus en descendre. Une sorte d’orgasme permanent avait pris possession de mon ventre. Je coulais comme corniche qui fuit. Je sentais mon utérus se contracter comme si j’allais accoucher. Elles ne me laissèrent aucun répit. Je ne pouvais même plus parler pour leur demander d’arrêter de faire vibrer titi. Quand Stéphanie, finalement, se décida de s’interposer.

Faites attention, vous deux ! Laissez-lui au moins reprendre son souffle ! Elle va syncoper.

J’avais un de ces maux de ventre comme on en connait une fois dans une vie mais le pire était cette douleur tenace qui me donnait l’impression que mes cuisses étaient serrées dans un étau.

Vingt deux salves ! Quand ton ventre criera famine, si tu veux le remplir, tu n’auras qu’à nous faire signe et on recommencera jusqu’à deux cents.

Stéphanie était la douceur même. Elle me prit dans ses bras en me disant à l’oreille :

Mon pauvre petit ourson. Tu es toute en transpiration. Ce n’est pas le genre de douleurs qui te fait fantasmer, n’est-ce pas ?

Pas du tout, j’ai si mal aux jambes. Plus que lorsque je cours un dix kilomètres. C’est trop facile de m’envoyer en l’air avec ce vibromasseur. J’en ai encore mal au ventre. Stéphanie, j’ai honte d’avoir autant mouillé et de prendre tout votre temps.

Nous sommes toutes convaincues ici que ta sexualité est exigeante et extrême et nous nous en accommoderons. Tu ne dois pas culpabiliser non plus. Je t’ai dit que tu ne dois rien nous cacher. C’est valable pour ton corps comme pour tes fantasmes. Si tu aimes te montrer nue devant nous, dans l’enceinte de cette maison, et que cela ne choque personne, il n’y a aucun mal à ça. Si tu demandes à Annette de te caresser devant nous et que personne n’y trouve rien à redire, c’est parfait. Si tu fais la même chose à l’école ou dans les douches, tu vas choquer des gens à tous les coups. Soit, ça dérape et tu te retrouves sur la croix dans la sucrerie, soit tu es virée de l’école et du tennis comme c’est le cas aujourd’hui. Et tu te retrouves sans rien…

Pas sans rien ! J’ai une école de filles qui m’accepte dans deux semaines…C’est encore mieux. Je me sentirai mieux avec des filles…

Je te vois venir. Et tu vas recommencer tes provocations et te faire virer comme une malpropre.

Mireille, sans se faire remarquer, s’était glissée subrepticement derrière mon fauteuil. L’odeur alcoolisée de son haleine aurait du m’alerter. J’étais persuadée que c’était Cindy qui me flattait le téton droit avec la double électrode de son stimulateur. Et le téton devait bien aimé cela car il se redressa instantanément. Quand je reconnus sa voix, un frisson me parcourut l’échine.

C’est fini tout ça. Je t’assure que nous allons t’obliger à renoncer à tes frasques scolaires et tennistiques.

Elle poussa sur le bouton et…cela me donna l’impression que je recevais un coup de bottine cloutée dans le sein. Cindy vint à mon secours.

Si tu avais envoyé une décharge dans le sein gauche, tu pouvais lui occasionner un arrêt cardiaque. Heureusement que ton stimulateur était sur la plus faible puissance et que tu as déclenché ton appareil sur une zone pratiquement sans gel de contact. Les décharges, c’est en-dessous de la ceinture ou pas du tout. Là, il n’y a aucun risque. Ca va Milli ?

Ben oui ! Je n’ai rien senti du tout. Pourquoi vous vous énervez comme ça ?

Pinocchio n’aurait pas mieux parlé.


Stéphanie reprit péniblement le fil de ses idées.

Nous avons deux semaines devant nous. Tu vas nous dévoiler sans tabous les irrésistibles besoins de ta chair au jour le jour, heure par heure. J’analyserai tes paroles et jouerai le rôle de modératrice. Tu verras que tu feras très vite des progrès si tu te confies à moi. Dis-moi, par exemple, à quoi tu penses en ce moment !

Je pense que ce soir, avec tantine et Marine, je vais faire beaucoup de progrès. Elles ont promis de m’en faire baver encore pire que hier soir. Je me demande si je n’aurai pas plus de chance de m’en tirer sans séquelles avec les garçons dans la sucrerie. Quand tantine a trop bu, elle est capable de…

Je n’ai encore presque rien bu aujourd’hui. Tu n’as encore aucune idée de ce dont que suis capable de te faire pour arriver à mes fins. Si tu as un instant pu penser que la tournante dans la sucrerie pouvait t’aider à te guérir, sache que ce que Marine et moi comptons faire de carcasse dans les semaines à venir sera sans commune mesure avec ces galipettes d’adolescents. Finies les gentilles sangles doublées de feutre ! Vive les grosses chaines rouillées…et le Porto millésimé !

Milli ! Tu es majeure, maintenant. Mireille a été claire sur ses intentions, je crois. Tu dois bien comprendre que lorsque j’ai proposé cette thérapie, j’étais déjà plus que border line avec mes convictions. Je vois que Cindy et Annette réagissent comme moi. Il nous sera plus difficile de rester à tes côtés que de partir, crois-moi. Dans le tréfonds de ton cœur, est-ce que tu crois qu’il est nécessaire pour toi de passer par la case torture.

J’ai promis que je serai votre prisonnière durant mes deux semaines de vacances. Une promesse est une promesse. La seule chose qui puisse me faire changer d’idée est que vous m’abandonniez maintenant. J’ai confiance en vous pour que vous m’aidiez à chasser mes démons. Sinon, j’irai mardi à la sucrerie et je ferai ma thérapie toute seule. Qu’est ce que vous allez faire pour mardi ?

C’est déjà fait. C’est annulé, même pas reporté, annulé. J’ai simplement écrit sur le blog de Laurent que le juge de la jeunesse et quelques policiers viendraient également participer à la tournante. Alors, nous restons ou nous fichons le camp ?

Sans l’ombre d’une hésitation, Annette et Cindy décidèrent de rester jusqu’au bout, jusqu’à ce que je sois guérie. Stéphanie aussi à condition que je dorme avec elle. Ainsi, nous formerions un troisième couple avec Cindy et Annette et Marine et Tantine.

Stéphanie, qui aime les discours, eut le mot de la fin.

Des millions de femmes masochistes doivent rêver à ce sort mais je n’en connais qu’une qui soit capable de l’exprimer aussi crûment et elle se tient devant moi. La différence essentielle par rapport à elles, c’est que celle-ci veut s’en sortir à tout prix en empruntant une voie particulièrement licencieuse mais pas si idiote après tout. Ce n’est pas pour cela qu’elle est condamnable, pour autant qu’elle ne déborde pas en dehors de sa vie privée ni de la nôtre. Tout ce qu’Emilie subira devra rester strictement du domaine du secret…j’allais dire médical. J’ai bien conscience de laisser derrière moi mon diplôme et mon serment et je ne pensais pas aller aussi loin dans la soumission de Milli. Je me dis que cela lui permettra peut-être d’éviter de rencontrer, un jour, des gens aux exigences réelles, sans aucune commune mesure avec celles d'aujourd'hui. Puisqu’elle veut jouer la prisonnière enchainée, soumise à la cruauté de cinq femmes, j’ai envie de dire, à contrecœur, qu’il faut répondre à sa demande avec zèle et application à sa requête. Les filles ainsi affligées d’un syndrome d’hypersexualité ne peuvent, en effet, trouver l’apaisement que lorsqu’elles sont épuisées sexuellement et physiquement. Je vous demande à toutes de me pardonner. C’est probablement mal de dériver ainsi de la ligne de conduite que je m’étais fixée.

Où est le mal si nous avons toutes les cinq les mêmes dérives, lui dis-je pour étouffer ses derniers scrupules en me caressant ostensiblement le sexe.

Milli, que fais-tu ?

J’ai faim…Je veux que ce soit toi, Stéphanie qui m’électrocute. J’ai juré de dire la vérité, n’est ce pas ? A part une très très légère contracture dans les cuisses, je n’ai pas senti grand-chose tout à l’heure…pas assez que pour contrarier mon plaisir si vous m’emballez toutes les trois ensembles, par exemple.

Annette et Cindy se positionnèrent de chaque côté de mes cuisseaux et commencèrent à les écarter doucement tout en les caressant.

Stéphanie, au centre de ma fourche, se jeta rageusement sur Titi qui grandissait à vue d’oeil.

L'abondance de ton miel trahit la complicité de ta chair, ma petite Milli.

Tu veux bien te tenir tranquille une seconde et arrêter de gigoter.

Cela ne sera pas facile, Maîtresse, car une pelote de terminaisons nerveuses en ébullition a envahi mon clitoris depuis ce matin.

Fais un effort ou il faudra que tu encaisses 250 impulsions avant de manger !

Mireille venait de ranger, avec un peu de nostalgie, sa bouteille de Porto.

Attachez-la sur le rack, vous pourrez la mettre en grand écart et elle se tiendra tranquille ! Il y a assez sangles pour qu’elle se s’échappe pas. Moi je vais pioncer pour être d’attaque pour ce soir. Tu viens, Marine. Nous allons discuter de la façon dont nous allons faire danser la petite truie.

Repose-toi bien, Mireille ! Nous allons voir ce rack dont on nous a déjà tant parlé. Allez, Monte devant nous, miss belles cuisses !

D’accord mais vous ne me tapez pas alors ! Vous pouvez juste admirer, c’est tout.

Tiens ! Celle-là, j’avais trop envie de te la donner.

Et n’oubliez pas Erik !

Erik ?

Ben oui, c’est marqué dessus…sur le stimulateur.

Eriksson Neuromuscular monitoring ! Bon ! On va l’appeler Erik si ça te fait plaisir.

Je n’avais jamais mis autant de temps pour gravir les dix-huit marches de l’escalier. Mes cuisses et mes fesses étaient couvertes de leurs empreintes de doigts. Un prélude idéal pour m’allumer copieusement. J’adorais cela car je savais que le fait de toucher mes courbes fessières les rendrait forcenées pour plusieurs heures si je soignais mon jeu de jambes.

En arrivant au premier étage, nous sommes passées devant la porte de ma chambre. J’avais pris pour habitude de déposer mes bottes et ma bombe d’équitation d’un côté du paillasson et de l’autre coté, mes deux cravaches dans un porte-parapluies. Une idée saugrenue me passa par la tête. Et si je butais sur le porte-parapluies pour les faire tomber…

Tu l’as fait exprès ?...

Marine et Cindy s’étaient déjà emparées des deux badines que j’avais envoyées valser deux bons mètres plus loin dans ma maladresse simulée.

Non, ne me tapez pas sur les seins ! S’il vous plaît ! Fouettez-moi les cuisses ou les fesses si vous voulez me taper, mais pas sur les seins !

Marine se regardèrent un bref instant, interloquées.

Sur les fesses, ce ne sera pas possible, vu qu’elle sera couchée sur le dos. Par contre, en grand écart, sur les cuisses, cela sera très facile…

Et très émouvant …cinq coups sur chaque cuisse suivie d’une décharge de chaque côté, pour tout remettre en place.

D’accord mais des décharges plus fortes que tout à l’heure…

Ne cherche pas à comprendre, Cindy ! C’est ça les masos !

J’avais déjà bien trinqué en arrivant devant le rack du grenier. Les trois toubibs m’avouèrent plus tard qu’elles n’avaient jamais auparavant joué à faire du mal à une fille. Ce qui confortait la déclaration de Marine quand elle disait que mon anatomie lui inspirait des idées sadiques.

La fièvre avait gagné mes trois tortionnaires quand je me suis assise sur le rack…dans l’autre sens pour ne pas perdre de temps. Ben oui ! Je me suis mise en grand écart sur le T qui servait à attacher les bras en enlevant la têtière pour que mes fesses dépassent juste un peu de l’assise et que fente puisse s’ouvrir plus largement.

Fébrilement, Stéphanie et Annette m’amarrèrent en s’étonnant que, déjà au premier cran, les sangles soient serrées aussi fort. Normal, vu qu’elles étaient prévues pour accueillir des bras et pas des guiboles.

Ce n’est plus un grand écart à 180 degrés que tu nous fais, c’est un 200…Tu vas finir par tomber de la table si tu continues à te laisser glisser.

Je ne vais pas tomber si vous me mettez les sangles à la racine des cuisses. C’est fait pour ça.

Visiblement non, les sangles n’étaient pas faites pour mon tour de cuisse. Elles durent s’y mettre à deux pour atteindre péniblement le dernier cran. Quand ma deuxième cuisse se retrouva cerclée, Stéphanie quitta la pièce et alla fermer, de l’intérieur, la porte du grenier. Quand elle revint, elle avait laissé tomber chemiser et soutif. A mon insu, Annette et Cindy s’étaient déjà dénudées complètement dans mon dos. Je ne vous dis pas le choc quand je les ai vues passer de part et d’autre de mon rack toutes nues, en se tenant pas la main. Elles filèrent droit sur Stéphanie pour finir le travail que la belle avait déjà commencé. Sa culotte n’avait pas encore touché terre, que la Stéphanie fut prise en tenaille entre les deux lionnes en rut.
Malgré les soupirs de la belle blonde, je crus entendre qu’elles lui disaient…nous allons te vider comme au bon vieux temps de l’université…
Stef a joui deux fois debout en moins de deux minutes à la grande satisfaction de ses compagnes. Impossible d’exprimer le plaisir qu’a pu me procurer la vision de la jouissance de cette fille .A daté de ce jour, je me suis promis que je ne toucherai plus jamais un homme et surtout que je ne me laisserai plus jamais toucher par un homme. La blonde aux cheveux de paille avait accroché une des ses jambes à l’épaule de Cindy et se laissait butiner par Annette en poussant des cris de plus en plus perçants.
J’ai essayé de me redresser, en poussant sur mes bras, pour mieux la voir mais n’y suis pas arrivée. Tout ce que je suis parvenue à faire, c’est de glisser encore un peu plus du tablier de bois de sorte que
Au prix d’un effort surhumain, j’étais presque parvenue à me remonter quand Annette et Cindy revinrent vers le rack, à moitié rhabillées.

Ne bouge plus, Milli ! C’est irréel tant c’est beau. Je vais te faire un peu mal, ma chérie mais c’est pour mieux séparer tes fesses et voir ton petit anneau plissé.

Non anus ? Pour quoi faire ? Vous n’avez pas de pénis, vous.

Elles n’ont pas relevé, sans doute étaient-elles trop envoûtées par ma chatoune ovalisée et béante. Ou alors, elles ont fait semblant de ne pas avoir entendu ma question car l’index de Stéphanie commença à me chatouiller curieusement l’orifice interdit. J’ignorais que je puisse éprouver des sensations aussi bouleversantes par là.

Quelle perspective magnifique, non ? Stef, il me sera difficile de ne pas lui prendre son pucelage. Prends ma place sur le tabouret avant que je ne fasse une bêtise !

J’ai très très faim…

Oh, ca va, hein ! Avant que Cindy ne t’attache les bras derrière la tête, Annette doit te mettre quelques noisettes de gel de contact. Veux-tu bien l’aider à choisir les endroits où je dois…

Donne-moi le tube de gel !

Comme pour transgresser une dernière fois les interdits, Je vidai la moitié du tube sur mes cuisses et vidai le reliquat sur mon sexe.

Ben oui ! Ca ne servirait à rien d’en mettre là où je ne sens rien.

Toi, tu cherches vraiment à passer une période très éprouvante, je le sens. Milli. Nous allons nous occuper de toi et de tes démons.

Mais non ! Vous ne comprenez pas. Si Erik ne me fait que du bien, je vais jouir et je résisterai moins bien à la douleur ce soir avec Marine et Mireille.

Mais ce sera donnant-donnant. Tu peux nous demander ce que tu veux, tout ce qui te passe par la tête, même les choses les plus dingues. Tu auras aussi toute liberté pour t’habiller comme tu le désires et circuler ainsi dans la propriété et dans la maison. A part sortir d’ici sans notre autorisation, rien ne te sera refusé. Seulement, je te préviens, nous déciderons de la façon dont nous répondrons à tes désirs et ce ne sera peut-être pas exactement comme tu l’aurais souhaité. Mais si tu veux être dégoûtée du masochisme, je te garantis que tu ne regretteras pas le voyage.

Alors, si je peux demander tout ce que je veux, je désire qu’Erik décharge dans et entre mes cuisses.

Pardon ?

Ben oui ! Quand ça pique très fort dans les cuisses, je sens la décharge jusque dans mon titi. Enfin, tantôt ça a fait ça. C’est comme si titi, il pétillait ou qu’il était secoué. Je peux encore demander…

Ben voyons !

Il faudra tester progressivement et monter le plus haut possible. Je vous dirai quand je commencerai à avoir un tout petit peu mal et quand je ne pourrai plus le supporter. Faut pas que je jouisse trop vite non plus sinon je résisterai moins bien à la douleur.

Rien que ça ! Tu nous prends pour tes boniches ou quoi. Cindy ! Viens m’aider à la sangler au niveau de son ventre pour bien bloquer son bassin. La petite pute veut des sensations fortes. Il vaut mieux prendre ses précautions.

Ne sers pas si fort, voyons ! Il n’y a rien de si mauvais pour sa libido. Tu vas faire affluer le sang dans ses organes génitaux.

Tu as raison. Cette sangle est trop étroite. Nous allons lui mettre la plus large et bien serrer jusqu’à ce que je puisse faire le tour de sa taille avec une seule main. Titi va tellement gonfler, ma puce, que tu pourras rendre les hommes fous rien qu'en te déculottant.

Regardez-moi comme elle est excitée, cette petite fille sans défense ! Elle va venir dès qu’on la touchera.

C’est déloyal, Stéphanie, de s’attaquer à une petite fille sans défense, affaiblie par des désirs croissants qu’elle ne peut assouvir.

Mes poignets !

Oui, quoi, tes poignets ?

C’est mieux quand ils sont plus serrés. Et la manivelle, là, c’est pour que je sois bien tendue. Tantine, elle dit, qu’ainsi, c’est plus facile pour attraper mes tétines avec la tenaille.

N’exagères pas avec la traction, Annette ! Tu vas la casser en deux.

Elle n’a qu’à arrêter de me chauffer avec ses soupirs de bacchante. Moi, je tourne la manivelle.

Stéphanie avait posé un pied à côté de ma tête pour immobiliser mes épaules avec la dernière sangle. Cette femme représentait réellement mon idéal féminin. Une belle chevelure longue et bouclée, un visage d’ange, une taille fine qui contrastait avec son opulente poitrine, de l'esprit et un tempérament de Messaline.

Pourquoi fais-tu ça ? Je ne peux plus bouger du tout.

Ecoute ! Nous avons pris bonne note de ton souhait répété d’être soumise graduellement aux tortures les plus vives dans ta position préférée. Il faut d’abord commencer par t’attacher solidement. Logique, non ?

Stéphanie se laissait admirer innocemment, tout en présentant sous leurs meilleurs angles les rondeurs de sa poitrine et de son ventre musclé. Sans aucune pudeur, elle me dévoila son temple de Vénus au dernier degré d'écartement possible en promenant un regard gourmand sur ma silhouette. Je dus lui paraître délicieusement offerte.

Qu'elle est bien faite cette petite vicieuse toute à ma merci ! Je ne doute pas un seul instant que tu attires comme un aimant tous les fanatiques de châtiments corporels qui peuplent la Belgique si tu te laisses faire aussi facilement.
Alors, comme ça, petite putain, tu comptes sur nous pour te mettre en condition pour ta petite séance de torture officielle, ce soir.

Vous me prenez vraiment pour une putain ?

Mmmm ! Je suis certaine que tu ne détestes pas être traitée en putain de temps à autre. Il n’y a qu’à te regarder te trémousser sur ton rack. Tu es radieuse d’avoir trois maquerelles pour toi toute seule.

Je savais que j'attirais les hommes comme le miel l'ours, mais trois femmes !!! C’était une première.

Et trois stimulateurs, ajouta Cindy qui venait de poser le sien juste au-dessus de mon genou. La belle contraction du quadriceps que voilà ! Si j’essayais un peu plus haut…

Attend ! Je vais essayer le lien de l’autre côté, ajouta Annette. Une, deux et trois…Un rien plus fort, peut-être ? Tu ne dis rien ?

C’est qu’elle ne sent rien, probablement.

Mon bassin se soulevait à chaque impulsion, menaçant de déchirer les sangles quand Stéf décida de participer au jeu. Elle posa les électrodes au-dessus de mon pubis et envoya le courant en même temps que ses deux comparses. Ce fut comme si elle m’avait aspiré le vagin avec une ventouse. Sensation démente et atroce mais en parfait accord avec ce que mon corps souhaitait à cet instant.

Pourquoi ne me faites-vous pas plus mal ? Mon sexe réagit toujours très fort si la douleur si elle n’est pas assez forte.
Je vais finir par jouir.

Elles montèrent de quelques graduations leurs électrocuteurs. La douleur musculaire déjà si puissante devint supplice.

Tu ne dis plus rien ? Si tu aimes cela, nous pouvons facilement tourner la molette. Nous ne sommes que sur le numéro 3 et échelle peut monter à 15. Note bien que c’est le genre de contracture qui devrait te faire rapidement des cuisses en béton !

Je me mis à simuler un début d’orgasme pour leur faire croire à un effet paradoxal et indésirable de cette stimulation cuisante.

Faites-moi mal ! Je peux supporter deux fois plus fort.

Les décharges à la racine de mes cuisses semblaient leur plaire particulièrement. Peut-être à cause des contractions qu’elles provoquaient au niveau de mon périnée et de mon petit vagin soyeux ? Elles s’en donnaient à cœur joie, laissant le minimum de temps nécessaire pour éviter que les muscles ne tétanisent et changeant de côté ou de cible quand la tétanisation se produisait. Une sorte d'orgasme ininterrompu s'était installé dans mon bassin. Je leur serai toujours reconnaissante de m’avoir appris à trouver le paradis en enfer.

Soudain, les stimulateurs se turent sur l’ordre de Stéphanie.

Il ne faut jamais provoquer une souffrance sans l'assaisonner d'un plaisir. Je suis passionnée de chevaux comme toi, depuis plus de quinze ans. Sais-tu comment réagit une jument en chaleur ? Elle se frotte et elle grimpe sur tout ce qui bouge. Et je suis en chaleur… et c’est de ta faute.

Sans prévenir, elle vint se placer à cheval sur mon ventre. Son autorité naturelle lui permettait des choses très singulières comme celle-là. Son haleine parfumée et ses lèvres exquises sentaient le goût des péchés désirables. De leurs pointes durcies, ses seins safranés caressaient les miens. J'éprouvais des sensations en même temps si confuses et si douces. Il ne fallut qu’un bref instant pour que je perde définitivement les pédales. Mon clitoris se frottait contre la chair chaude de son sexe encore tout humide. Voyant que ses caresses n'impliquaient pas grande révolte de ma part, elle se mit à me lécher le bout des seins devenus subitement si durs qu'ils me faisaient mal.

Elle avait vraiment réussi à m'allumer, la jolie garce, et n’avait pas l’intention de me laisser refroidir. Descendant implacablement vers mes zones interdites, elle butina longuement mes lèvres qui s'ouvraient comme une fleur parfumée et chaude et dénicha mon bouton en s'extasiant :

Quelle jolie perle tu as ! Une perle sans égale que j'ai très envie de cultiver.

Annette et Cindy s’étaient assises sur mes cuisses endolories. Leurs jambes pendaient dans le vide, faisant peser tout leur poids sur mes muscles mortifiés. Elles se faisaient face et s’embrassaient goulûment en se frottant fébrilement le sexe sur le relief de mes cuisses.
Cindy jouit la première mais Annette ne tarda pas à la suivre. Elle empoigna l'un de mes seins et se mit à le serrer très fort.

Pardonne-moi, c’est plus fort que moi ! Je suis incapable de résister à tes petits seins arrogants. Ils sont si beaux ces deux là.

Dans un face à face infernal et divin, elles se frottaient le sexe sur mes cuisses endolories et jouissaient à tour de rôle. De nouveaux doigts se crispèrent sur mes seins tendus. Cindy s’était accaparé mon téton droit et le tordait comme pour le dévisser.

Ca te fait couler, petite débauchée quand deux femmes s’occupent de tes mamelles. Peut-être préférerais-tu que nous nous occupions de ton sexe et de ton titi ?

Elle laissa délibérément retomber violemment sa main sur ma motte imberbe comme pour tester ma résistance à la douleur.

Mes mamelons tuméfiés me brûlaient et la boule qui s’était formée dans mon ventre n’en finissait plus de grossir. Cindy crut lire la reconnaissance dans mes yeux.

Avoue que tu aimes quand je te brutalise ta chatte, petite truie !

Chaque fois que sa main s’abattait sur mon sexe, j’accompagnais la frappe d’un râle sans équivoque.

Oui !!! C’est trop bon…

Fais gaffe, toi avec tes « c’est trop bon » ou je te pince le titi !

Je n’étais plus à une obscénité près. J'aurais tout accepté pour mettre fin à cette insupportable tension qui m’habitait depuis leur entrée dans la maison de Mireille.

Oh oui ! Pincez-le…Ouiiii ! Mais ne lui faites pas trop mal quand même ! Juste assez pour m’empêcher de jouir ! Comme ça, vous pourrez jouer très longtemps avec lui …Promis ?

Mais c’est qu’elle se laisserait masturber des nuits entières, cette petite dépravée. La Stef pourrait te raconter de belles histoires de nuit blanches passées à jouir entre Annette et moi.

Ne me regarde pas avec tes grands yeux ronds ! Tu n’es pas la seule à être hypersexuelle, n’est-ce pas Stef ?

La jeune sexologue nue vint se planter contre mon rack et commença à dandiner de la croupe. Elle était magnifique, svelte et blonde comme les blés. Ses longs cheveux libres tombaient en cascade sur son dos cambré. Les réminiscences de ses excès passés l’avaient sérieusement allumée.

Donne-moi tes poignets ! Montre-lui comment une fille peut en faire jouir une autre si elles s’abandonnent corps et âme toutes les deux !

Stéphanie se montra d’une soumission étonnante. Elles lui attachèrent les poignets dans le dos. Sans gêne aucune, elle leur sourit et colla son corps musclé contre mon sexe écartelé. Ses deux partenaires l'embrassèrent à tour de rôle en lui pinçant le bout des seins. Ses belles mamelles fermes tremblaient sous l’action des deux filles qui s’amusaient à balancer ses longues tétines roses en tous sens. Me voilà furieusement échauffée, moi !

Toutes ces années durant lesquelles Stéphanie s’est confiée à Annette et moi, nous pouvions jouer des heures au 421. Parfois à trois mais parfois aussi à cinq ou six.

Au 421 ???

Stéphanie ! Explique-lui !

Chaque fois que je faisais jouir une fille, l’autre ou les autres m’obligeaient à jouir deux fois de suite.

Et quand Stéphanie n’en pouvait plus de se frotter aux autres, elle n’avait qu’à demander grâce. Mais….si l’une d’entre nous parvenait encore à se faire jouir une fois, Stéf devait se laisser masturber jusqu’à orgasmer à nouveau quatre fois de suite. Tu vois, ce n’est pas compliqué le 421.

Si Stéf jouit en se frottant sur toi, nous te ferons jouir deux fois de suite pour te récompenser. Attention ! Le but est de faire jouir Stéphanie le plus souvent possible. Si tu jouis avant ou en même temps que Stéf, tu auras droit à 4+2+1 orgasmes pour t’aider à te calmer. D’accord ?

Elles avaient l’air de trouver que ce jeu serait un excellent apprentissage pour m’aider à me contenir et à ne plus jouir que sur commande.

D’accord mais il faut que Stéphanie ne pose plus ses mains sur ma chatoune, alors. Ce sera trop dur autrement. Je sens bien que je ne vais plus tenir très longtemps. Ma résistance a atteint sa limite. Noonnn ! Madame…Noon… ! Arrêtez ! Si vous m’aimez…

Rassure-toi, ma beauté ! Je ne te caresse pas encore par amour, uniquement par gourmandise.

Là ! Il aurait fallu se méfier, Cupidon n'était plus loin.


Steffi, occupe-toi de Milli ! Nous, nous allons nous occuper de toi comme au bon vieux temps.

Soûlée par les caresses répétées et l’attente cruelle de l’orgasme qui grondait en moi depuis plusieurs heures, je sentis se matérialiser dans mon vagin un orgasme d’anthologie. Et soudain…une contraction intense et le plaisir à l'état sauvage après une longue période d'abstinence ! Un jaillissement de fontaine la remercia lorsqu'elle me griffa le clitoris.
Surprise, Annette pressa sa main sur mon sexe comme pour colmater une digue qui fuirait de tous les côtés.

C’est vrai que c’est une rapide ! Je ne l’ai pas senti venir.

Stéphanie ne perdit pas une seconde pour reprendre possession de « sa biche » comme elle m’appelait. Son mérite était d’autant plus grand qu’Annette lui aspirait la chatte avec des bruits mouillés tandis que Cindy lui étirait les seins. Elle jouit deux fois coup sur coup et semblait suffisamment rassasiée pour se concentrer sur mes sensations.

J’espère pour toi que tu récupères plus vite que moi car tu as un retard certain à combler.

Ma sublime maîtresse ventousa sa bouche gourmande sur mon sexe en feu.
Sa langue si fine et si longue me pénétra comme un serpent perfide et découvrit, en même temps que moi, la petite zone hérissée et hypersensible de mon vagin.

Noonnn ! Pas làààà ! Wahou !

Ce qui devait arriver arriva. Trop content de ce qu’elle lui faisait, mon petit vagin se mit à ballonner avant d’envoyer une douche chaude à la face de Stéphanie, effarée.

Non, non, non, pas avec le doigt ! C’est trop facile…C’est trop fort…Aaaah ! Ca n’arrête plus…

Mes orgasmes se succédaient à un rythme effréné ponctué d’éjaculations exubérantes.

Ce n’est pas un point G que tu as, c’est un hérisson.

J’ai cru atteindre dix fois ma limite de rupture. Même lorsque je me croyais suffisamment affaiblie par les orgasmes successifs, elle me ranimait en m'assaillant de douces décharges dentaires sur le clitoris en me susurrant à l'oreille :

Je n'arrêterai que lorsque tu auras cessé de crier et que j'aurai asséché la petite source. Une promesse est une promesse.

Je n'avais jamais connu pareil abandon dans les bras d'une femme. Et quelle femme ! Stéphanie m’avait propulsée sur la plus haute orbite du plaisir. Celle dont j’aurais voulu ne jamais descendre. Une complicité incroyable s’était installée progressivement entre nous.
Non contente de s'acharner sur mon joli coquillage, à la fois bourreau et victime, Stéphanie se déchirait le sexe sur la traverse de bois. Elle jouissait en éructant des injures à mon intention comme si j’étais la cause de son délire.

La conversation aurait pu se dérouler encore longtemps entre nos deux corps si Stéphanie ne s’était pas blessé la vulve à force de se frotter. Annette et Cindy me trouvèrent probablement délicieuse et insistèrent pour prendre le relais.

Regardez-moi ça comme elle en veut encore, la petite gouine avec son arrogant Titi tout dressé !

Nooon ! Attendez !!! Pas si viiite !

Annette flattait ma tigelle de la pulpe de son index tandis que Cindy s’amusait à titiller mon anus qui s’ouvrait et se refermait à l’envie. L’afflux de sensations était tel qu’elles parvenaient à me faire partir toutes les minutes dans un orgasme qu’elles écourtaient volontairement pour me rendre folle.

Non ! Pas à deux ! Nooon ! C’est trop faciiile…

Je cherchais à grand peine à reprendre le contrôle de ma respiration saccadée. Ca jouissait à plusieurs endroits à la fois. Quand Annette atteignait mon point G tout hérissé, l’orgasme reprenait vie et me secouait de spasmes de plus en plus violents. J’étais en bien fâcheuse posture. Les deux commères n’avaient pas leur pareil pour me besogner. Mon endurance dépassait leurs plus folles espérances. J'avais beau leur signifier qu'elles dépassaient les limites des bornes des frontières, elles rétorquaient qu'une fois les bornes franchies, il n'y avait plus de limites. Elles m’ont fait crier plus d’une heure jusqu’à ce que ma voix devienne murmure, jusqu’à ce que je capitule totalement anéantie.

Sans aucune considération pour l'effort que je venais de fournir, Stéphanie pensait déjà à l'avenir.

Si tu le veux bien, nous nous réserverons encore quelques petits moments coquins.
Tu es incroyable, tu sais !

Oui ! Je sais ! Vous voulez bien me détacher maintenant ?

Après deux heures de débauches indescriptibles, elles m’abandonnèrent dans une mare, révélatrice du plaisir surabondant que j’avais éprouvé.

Stéphanie était déjà rhabillée et m’emmena prendre une bonne douche. Elle voulait savoir comment cela se passait avec mes parents et pourquoi j’avais atterri chez tantine.

Tout le temps que papa et maman ont cohabité, c’était l’horreur. Ils se déchiraient tous les W.E. Papa frappait maman à coup de poings parfois. Elle n’était plus à regarder. C’est pour cela qu’il a fait de la prison. Quand il en est sorti, il a fait surveiller maman par un détective. Elle menait une vie de dingue au boulot. Je rentrais de l’école avec tantine vers 17h et elle, elle arrivait à 23h quand je dormais déjà. Elle ne passait même pas me dire bonne nuit. Je l’entendais rire avec des hommes dans le living et puis ils montaient se coucher. Je retombais endormie mais pas pour longtemps. Ils faisaient trop de bruit. Quand il n’y avait qu’un homme, cela allait encore, mais parfois, d’autres hommes entraient la nuit et tout recommençait.

Ta maman et ton papa ne s’occupaient jamais de toi, jamais, jamais…

Ah si ! Quand elle avait besoin de moi, pour donner l’image d’une famille stable et bien sous tous rapports. Surtout si elle recevait des clients. Elle m’appelait sa petite poupée et elle m’habillait comme une poupée d’ailleurs. A son image. Je ne lui servais que de faire-valoir quand elle voulait se payer le client pour faciliter une signature. Si elle mettait des jupes courtes, je devais faire pareil. Papa voulait récupérer ma garde. Je pense qu’il m’aimait vraiment, lui.

Je venais d’entrer au collège. C’était au mois de septembre. Il faisait très chaud et la prof nous avait libérées plus tôt car, toute l’après-midi, nous avions passé nos brevets de natation à la piscine. J’étais très fière car j’avais obtenu le brevet des 1.000 mètres, alors que trois mois avant, je ne savais pas nager. Comme j’avais été la meilleure, j’avais reçu un maillot de bain avec l’insigne du brevet. Je suis entrée par la cuisine et je me suis mise en maillot pour faire une surprise à maman. Maman m’attendait deux heures plus tard. Elle avait fait devenir deux futurs gros clients saoudiens. Ils avaient trop bu tous les trois. Maman était aux trois quarts déshabillée et les deux hommes abusaient d’elle dans l’escalier. Un homme l’a plaquée au sol et l’autre s’est jeté sur moi. Maman s’est débattue et a hurlé :

C’est ma fille ! Ne la touchez pas !

Je pense que le détective que papa avait engagé n’était pas loin et avait eu le temps de l’appeler à l’aide. Le privé s’est bagarré avec mon agresseur mais a pris une raclée. Quand papa est entré, il était blanc comme un mort. Le saoudien avait déjà déchiré mon maillot. Papa les a mis tous les deux K.O et puis, il a commencé à frapper maman en lui disant qu’il allait la tuer. Deux minutes plus tard, la police est arrivée. Papa était sous le coup d’un sursis de cinq ans. Il a vraiment morflé au tribunal. Les saoudiens étaient couverts par l’immunité diplomatique. Ils ne sont même pas venus au tribunal. Maman a été relaxée, a perdu ma garde mais a gagné le plus gros contrat de sa vie. Papa a pris cinq ans fermes mais en a fait deux finalement avant d’être libéré. Moi, j’ai pris la perpétuité, sans parents. Pour la garde, c’était tantine ou un home pour filles en difficultés.
#154652
J'ai tout relu Milli. Tu es vraiment extraordinaire. Je ne suis vraiment pas surpris que tu aies été sollicitée pour être éditée. Tu écris à merveille. De plus ce récit est terrible!!! Dans tous les sens du terme. Je suis ton fan à vie!
#154743
Simplement magnifique, troublant, émoustillant, palpitant, et malgré la longueur de ce message (car c'est un message, bien que derrière ce cache probablement les prémisses d'un roman), c'est trop court. On en redemande...

Bravo et merci
#155255
J’ai beaucoup aimé et analysé la relation parentale que tu décris en fin de chapitre. Une simple lecture tendrait à te faire passer pour une victime. Pour ma part, j’y vois plutôt une preuve de ta culpabilité en regard des 70 pages précédentes. Je vais tenter de le démontrer en partant d’un postulat évident : Emilie est une orgasmodépendante, c'est-à-dire une sorte de droguée, donc une personne hyper vulnérable aux paradis artificiels.

La plus importante des choses qu’il faut retenir de mon analyse, la voici ! Elle est basée sur ce qui transparait entre les lignes de tes messages : « Je suis très belle, très désirable donc et aussi très maso. » Là, je sens que je vais être difficile à suivre.

Je pars de la simple constatation que, depuis le début de ton histoire, il n’existe pas une dyade bourreau/victime à observer, mais systématiquement, une triangulaire (Marine-Mireille et toi), voire une polygonale avec les mêmes + Annette, Cindy et Stéphanie que tu parviens à séduire et qui marchent dans ton jeu. Ton machiavélisme atteint des sommets car tu es parvenue à leur faire vivre ton expérience avec les yeux du bourreau pour les conforter et te conforter dans ton rôle et ton vécu de victime. Je vais essayer de développer et de comprendre les motivations de chacun et chacune, en fonction de la place que vous prenez dans la mise en scène et ce qui est voulu, voire imposé par les protagonistes.

J’en viens au second message d’Emilie. Après le « je suis (belle désirable et maso) », le « je veux » et je réponds à sa place en mettant entre parenthèses la preuve de ce que j’avance.

«Je veux être votre prisonnière pour assouvir mon masochisme et être ainsi en permanence à votre disposition pour subir la torture » « Je choisis pour l’image du rack et je déclare, dans mon serment d’allégeance que mon fantasme absolu est d’être suppliciée sur une longue période ». Là, j’anticipe. Tu as parlé brièvement d’un sous-sol, d’une cave et d’instruments de torture. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que tu mentionnes déjà avoir trouvé l’endroit idéal pour te livrer à tes pulsions. Une prisonnière a besoin d’une prison pour pouvoir m’évader dans la souffrance et les privations. « Je veux assouvir mon hyper sexualité par d’innombrables orgasmes vécus péniblement car je peux le faire et je l’ai montré à maintes reprises sur la rampe en jouissant plusieurs fois comme une folle en me frottant le sexe sur le bois rugueux ». A ce stade de mon explication, je ne peux qu’entrevoir, Emilie, un certain parallélisme avec le jeu de rôle que tu ne mentionnes plus mais qui me semble néanmoins se mettre plus en place que jamais. Je continue. Pour arriver à mes fins, j’ai besoin de partenaires multiples que je trouverai le moyen de séduire comme j’en ai déjà séduites par le passé. Le message de ton texte s’adresse, de toute évidence, à de nouvelles relations susceptibles de servir tes desseins. La suite. Je suis une esclave parfaite car 1/ je jouis des dizaines de fois 2/ je suis hyper obéissante et vous pouvez m’attacher 3/ je suis non seulement jeune et belle mais la souffrance me rend éjaculatrice (C’est ton affirmation) 4/ je suis hyper excitable (ce n’est pas récent mais affirmé). Etc…Et j’en passe pour affirmer qu’Emilie n’est pas masochiste et qu’elle ne recherche pas un ou des sadiques. Emilie veut être une VICTIME et elle pose la question à ses partenaires : Voulez-vous être mes bourreaux ? Tu crois poser la bonne question mais, personnellement, je ne le pense pas.

Souvent, par simplicité, dans les tribunaux et dans la bouche des avocats, on compare le couple bourreau/victime au couple sado/maso. Il existe effectivement de fausses similitudes entre ces deux types de couple mais il est une constante : la rencontre a toujours été désirée ou en tout cas déterminée par les deux parties dans la relation SM. Dans les affaires de bourreaux victimes que j’ai à traiter régulièrement, la torture morale ou physique est quasi toujours désirée par le bourreau avec l’intention de prendre le pouvoir absolu sur l’autre. Dans le sadisme et le masochisme, il y a toujours une notion d’érotisme qui ne se retrouve que rarement dans le couple crée par le bourreau ou par la victime. Cette notion se retrouve répétitivement dans tes descriptions. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas encore utilisé le terme de bourreau pour les partenaires de la victime que tu veux être. Accroche-toi ! Je t’avais prévenu que je te ferai mal un jour.

Dans la construction de sa personnalité sexuelle archaïque (entendez pré pubère), Emilie s‘est rapidement donnée le rôle de victime (il faut dire que la vie ne l’a pas gâtée) dans la représentation d’une jolie petite fille martyrisée. A la puberté, son fantasme s’est renforcé en s’identifiant à elle et en choisissant SES bourreaux. En psychiatrie, cela s’appelle « une tentative de réparation des traumatismes infantiles » qui bien qu’ils échouent quasiment toujours, deviendront dans son esprit restauratrices.
Là, je m’adresse à ceux ou celles qui participent au jeu de rôle. Vous ne pouvez pas savoir à quel point ce genre de victime est déterminé dans ses choix. Mue par l’espoir illusoire de réparation de ses traumatismes infantiles, elle se placera en permanence en position de faiblesse et exigera toujours plus de sensations de te violences physiques pour compenser ses tentatives régulièrement défaillantes de reconstruction intérieure. Son machiavélisme n’aura plus de limites pour vous inciter à la supplicier, allant jusqu’à trouver les arguments justifiant la violence que la victime attend en réponse à ses provocations. C’est une façon pour elle de s’affirmer, de montrer qu’elle existe et qu’elle peut trouver sa place en se rendant utile. Si vous mettez le doigt dans l’engrenage, tous les excès deviendront possibles.

Ceci est dit et tes textes sont toujours aussi formidables.
#155268
Très belle analyse. Vraiment. Connaissant un peu Emilie, je pourrai ajouter qu'elle est capable effectivement de machiavélisme pour arriver à ses fins. Un simple exemple suffira pour démontrer comment cette fille peut se servir de ses charmes pour stimuler la violence qu'elle espère susciter chez ses partenaires de jeu. Ceci rejoindra l'esprit de ce forum dans lequel le candaulisme est vécu comme vecteur d'excitation. Emilie adore séduire la personne dominante d'un couple en mettant en valeur ses "qualités" pour rabaisser la soumise. C'est une façon inélégante mais redoutable de multiplier ses sensations masochistes en s'attirant les vexations de la dominante et de la soumise. Victime ? Permettez-moi d'en douter!
#159043
Je pense être la seule à avoir remarqué que Marine et Mireille étaient entrées dans la salle de bain et s’étaient cachées dans le dressing pour écouter notre conversation. Quand Stef coupa la douche et qu’elle ouvrit la porte, j’ai cru apercevoir une troisième personne se faufiler dans la grande penderie. Stef ne me laissa pas le temps de la réflexion. Ma jolie partenaire s’était mise en tête de m’essuyer consciencieusement avant de m’enduire d’une lotion corporelle aux fragrances aphrodisiaques. Mon vagin était en feu et j’avais à nouveau le diable entre les cuisses.

Tu as des seins magnifiques. C’est très rare une si jolie poitrine avec des tétons érectiles qui pointent vers le haut. Si tu m’appartenais, je t’obligerais à présenter tes seins nus toute la journée, rien que pour avoir le plaisir de les étirer. Et pourquoi pas toute nue, d’ailleurs, pour que tu sois totalement disponible à tous mes désirs. Je suis certaine que cela t’exciterait.

Je commençais à frétiller sérieusement de la croupe et cette proposition perverse ne faisait qu’ajouter de l’huile sur le feu de mon trouble.

Venant de toi, je me sens prête à accepter n'importe quoi. Même de me faire lacérer les seins…

Ce serait dommage de les abimer. Oh ! Pardon ! Excuse-moi si je t’ai pincée !

La douleur éprouvée était bien faible au regard du plaisir que Stéphanie me procurait. Je lui répondis ironiquement pour la déculpabiliser.

Ne t'excuse pas, la perfection de ma poitrine produit toujours cet effet !
Et puis, j'aime beaucoup ces petites horreurs-là quand je suis excitée. Pince-les encore !

Avec un petit clin d’oeil qui en disait long sur l’intérêt qu’elle portait à mon buste, Stéphanie me fit une nouvelle proposition surprenante mais irréaliste.

Si tu viens habiter chez moi, tu seras toute entière dédiée aux plaisirs des sens. Je serai très douce avec toi, tu verras. Je te caresserai jour et nuit, s’il le faut, pour apaiser les tourments de ton plaisir insatisfait.

Je pense qu’à cet instant déjà, j’ai compris que j’aimais Stéphanie d’amour. Une peur immense ne noua le ventre, la peur d’échapper à la punition que mon subconscient me dictait et que je méritais sans doute. Je répondis d’instinct, sachant que notre conversation était épiée par les deux M :

Je ne pourrai jamais appartenir à une seule femme. Tu ne comprends pas que je ne suis pas faite pour la douceur. Mon trip, c’est d’être la prisonnière de Mireille et Marine. Elles sauront comment me faire souffrir, elles.

Comme tu voudras. Donc, tu vas accepter, docile comme un agneau, toutes leurs fantaisies.

Oui, toutes !
Tu ne crois pas être un rien trop présomptueuse ? Je me demande bien comment elles réagiront quand je leur annoncerai que tu veux jouer avec elles à la martyre nue. Surtout si j’insiste sur le fait qu’il faut éviter à tout prix de te soulager car seule la souffrance pourrait t’être bénéfique.

Je commençais à comprendre que le fait de me maintenir dans un état permanent d'excitation, serait la meilleure façon pour moi d’accomplir mon destin. Un destin que je n’imaginais plus que dans la violence et la démesure d’une séquestration mortifiante. Ma voie chevrotante trahissait mon trouble morbide.

Cela ne me fait pas peur, tu sais. Si tu m’aimes, tu exigeras que je me promène à poil, jour et nuit, avec le minou en feu sans pouvoir me soulager. Ca me stimulerait, tu ne peux pas savoir. Tu peux même les convaincre que je peux supporter dix fois plus qu’hier soir sur le rack.

La façon dont tu cherches à me séduire ne me laisse aucun doute sur ton intelligence et ta détermination. As-tu déjà imaginé ton futur dans cette maison entre ces deux sadiques qui vont exercer sans partage leur autorité sur toi ? Cela risque d’être le bagne pour une fille de ton âge. Entre Mireille qui boit trop et Marine qui ne pensera qu’à te faire souffrir… A ta place, je me contenterai de me satisfaire en me masturbant gentiment quand j’en aurai trop envie.

Je ne saurai jamais le faire si bien toute seule.

Ma vulnérabilité me sauta à la figure. Le miroir sur pied de la salle de bain me renvoyait l’image de ma nudité radieuse. Mon bronzage intégral rehaussait ma silhouette élancée et sportive. Merci, gentil miroir, de me faire les hanches si belles, les fesses aussi callipyges, les plus belles jambes du monde, la taille la plus leste et la plus intéressante, la poitrine aussi ferme et arrogante…

Stéphanie !!!! C’est horrible ! Mes tétons se tendent comme deux pitons ! Je vais devenir folle…Arrête de les masser ou je vais partir !

J’aime bien quand tu te lâches…Ce sera peut-être la dernière fois avant très longtemps.
Un simple croisement de jambes et une pincette plus accentuée sur mes tétons suffit à libérer mes tensions.
Nooon ! Ce n’est pas possible…Pas qu’avec les seins….Hiiiiiiiiii !!!!!! Nooooon ! Nooooon ! Nooooon ! Nooooon ! Ouiiiiii ! Ouiiiiii ! Ouiiiiii !
Stéphanie accompagna ma jouissance jusqu’à l’extrémité de l’ultime limite.
Tu arrives plus vite à l’orgasme qu’un lapin de garenne de six semaines. Nous sommes trempées toutes les deux, maintenant. Desserre tes cuisses et laisse-moi te sécher !

Stéphanie !!!!! C’était trop bon. Pourquoi est-ce que je réagis si fort à la douleur ?

C’est parce que je t’ai émoustillée. Tu ne veux pas m’écouter pourtant, tu serais au paradis chez moi. Ce qui m’inquiète, vois-tu, c'est surtout ce que tes amies vont exiger de toi si tu les excites à longueur de journée en montrant tes fesses et le reste.

Sa main glissa sur ma fente et elle découvrit un Titi tout dur.

Arrête de miauler, s’il te plait ! Mais… tu bandes, toi… C’est tout juste si tu peux encore marcher et tu es déjà prête à recommencer.

J'avais de nouveau atteint mon point d'ébullition en une fraction de seconde.

Je suis hyper sensible maintenant et c’est de ta faute. Je ne sais pas comment tu fais mais c’est trop gai quand c’est toi qui joue avec mon titi.

Eh bien, tu vois, c’est très simple. Il faut frotter légèrement avec un doigt cette petite élévation que tu sens là et qui s'appelle le clitoris.

Ouch ! Stéphaniiiie ! C’est si foooort….Je vais faire un malaise. Stéphaniiiie ! Pourquoi ne puis-je plus me contenter de deux ou trois gentils orgasmes comme les autres filles ?

Oh ! Mon bébé…je vais réaliser avec toi un score de match de rugby aujourd’hui… Il faut parfois savoir accepter certaines déviances quand elles seront inévitables.

Stéphanie me fit jouir une dizaine de fois consécutivement en congratulant pour mes prédispositions évidentes à devenir un jouet sexuel. Quand elle me reprochait mon pernicieux penchant masochiste, c’était pour m’allumer plus encore en me confiant son intention d’inciter les deux M à m’en faire baver.

Stéphanie, Stéphanie…ça n’arrête plus…Encooore…

Il lui suffisait de plonger un doigt dans mon vagin luisant de mucus et je repartais pour un nouvel orgasme plus long, plus sonore, plus humide encore. Le pic de l’excitation fut quand elle définit mon emploi du temps pour les semaines à venir. Quand les deux M en auraient fini avec moi, elle m’expliqua longuement comment elle comptait se régaler des soirées entières de mes talents de femme fontaine, inventant mille sauvageries pour me faire rendre grâce, vaincue par les orgasmes répétés. Mes fantasmes galopaient à la vitesse de la lumière. Vous allez croire que c’est du vice…et bien pas du tout.
C’était pour moi une possibilité unique d'avancer vers la connaissance de mon corps et des ses limites et pour rien au monde, je n’aurais voulu que cette chance unique m’échappe.
Je suppose que cela devrait suffire pour vous convaincre de mon innocence.
Non ! Tant pis ! J’étais anéantie quand Stéphanie m’abandonna face au miroir, plantée sur mes longues jambes aux galbes incomparables…

Alors, belle esclave nue ! Il fait moins dix degrés à l’extérieur et il doit avoir au moins vingt centimètres de neige au sol. La saison est propice à l’exhibition en extérieur de tes charmes, non ? Si nous commencions tout de suite la première partie du programme sadique avant de te confier aux deux maquerelles. Cela te fera peut-être l’effet d’un électrochoc salvateur.

Il ne tient qu'à toi de définir les règles et de me punir si je ne les respecte pas !

A moi et à elles. Tu peux compter sur moi pour les stimuler. Mets tes bottes d’équitation ! Tu seras super sexy dans la neige à poil dans la neige.

Ce n’était pas faux. Mes bottes s’arrêtaient jusque sous le genou et la fille dans le miroir paraissait encore plus provocante ainsi attifée.

Stéphanie m’agrippa les deux tétons d’une poigne de fer pour que je me mette debout. Elle se saisit d’une badine et me tapa sur les fesses pour me faire avancer

Allez, viens, esclave ! On descend. Tu vas faire dix tours de la prairie les mains dans la nuque. Moi, je vais chercher les autres pour discuter du programme sadique en te regardant te trémousser.

Merci, Stéphanie ! J’ai les fesses trop potelées. Tu ne trouves pas ? Je veux bien faire vingt tours si tu penses que cela pourra m’affiner les jambes.

Prête à relever les défis les plus fous, je passai devant elle en me frottant ostensiblement sur sa cuisse.

Si tu continues à te comporter de la sorte, je vais faire de ta vie un cauchemar érotique, dit-elle en me pinçant les seins de toutes ses forces.

Mireille sortit la première du dressing, suivie de près par Marine qui me regardait avec des yeux de serpent.

Pauvre idiote, c'est ça que tu appelles lui pincer les bouts de seins. Marine, attache-lui les coudes dans le dos pour l’empêcher de se replier !

Et de se masturber surtout, ajouta Stéphanie, nullement surprise de leur intrusion. Confortez ses prédispositions pour l’abstinence et elle apprendra à s’autogérer d’autant plus facilement dans sa vie future ! La priver d’orgasme, c’est aussi permettre à ses pulsions masochistes de se déchaîner à l’extrême. Moins elle jouira, mieux elle supportera la douleur et vous pourrez la supplicier d’autant plus longtemps et plus cruellement. C’est horrible à dire mais je pense qu’il est temps de vous donner les moyens de la briser. La souffrance, cela commence, selon moi, par la privation de liberté et de nourriture. Le fait d’être constamment nue face à des personnes habillées, est une humiliation fréquemment utilisée dans certains interrogatoires. La vision de sa déchéance à travers les miroirs serait également propice à sa guérison. J’avais pensé aussi que la privation de sommeil pourrait l’amener plus rapidement à un état de zombie, propice à lui faire ressentir davantage la douleur. Vous ne sauriez être assez féroces avec elle. J’en suis convaincue à 100%. C’est dans l’avilissement qu’elle trouvera la guérison.

Tout ce que j’espère, Emilie, c’est que dans quinze jours, tu seras dégoûtée de souffrir nuit et jour et que tu choisiras une autre voie pour t’épanouir.

La voie de ta chambre, peut-être ?

Stéphanie me gifla assez fort pour me briser les cervicales.

Marine ! Corrige un peu à cette petite trainée qui exhibe ses mamelles de façon aussi arrogante !
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