- 26 janv. 2011, 10:07
#205634
Nous sommes un couple candauliste du 44, âgé de 53 pour monsieur et de 55 ans pour madame. Nous avions une vie sexuelle débridée depuis très longtemps, c'est à dire plus de 25 ans, et j'avais déjà été cocu à plusieurs reprises sans le savoir. J'ai donc décidé d'officialiser ce statut et de trouver un partenaire régulier pour ma femme qui se chargerait de bien faire pousser mes cornes. Nous avons renco,tré un jeune homme de 32 ans en avril 2008 et la relation s'est progressivement mise en place avec ma femme, à tel point que ce jeune prétendant la montait deux à trois fois par mois, sur son lieu de travail où elle peut recevoir, et sans préservatif s'il vous plaît (après test évidemment).
Je suis donc cocu depuis bientôt 3 ans, et ma femme en profite allègrement.
Nous allons régulièrement dans des soirées privées ou nos amis organisateurs sont tous au courant que je suis cocu et s'amusent bien avec ma femme de ce fait.
Ma femme adore la bite désormais surtout celle des jeunes car son amant lui a bien fait découvrir son corps de femme. Malheureusement, il a du quitter la Loire-Atlantique pour des raisons professionnelles et madame n'avait plus d'amant régulier pendant 6 mois. Il n'empêche que lors des ses rares passages dans notre ville, il ne manque pas de venir baiser ma femme, sans me demander mon avis de cocu.
En ce début d'année 2011, nous venons de trouver un nouvel amant pour madame, qui la tire une fois par semaine. Jeudi dernier 20 janvier, en début d'après-midi, oh surprise, elle reçoit la visite de son ancien amant à son travail de passage pour quelques jours. Malgré le peu de temps dont elle disposait, elle s'empresse de retirer sa culotte tendre son cul généreux au jeune homme pour qu'il la prenne à cru en levrette. Selon le SMS reçu ensuite, elle a bien pris son pied pendant une bonne demi-heure et s'est remise ensuite au travail.
Il faut croire que cela ne lui suffisait vraiment pas car le soir, étant moi-même retenu par mon travail, madame prit la direction du domicile de son nouvel amant régulier résidant à une quinzaine de kilomètres du site où elle exerce. Elle passa la soirée avec lui et après le dîner elle ne fit aucune difficulté pour écarter les cuisses, étant venu spécialement pour cela.
J'étais donc cocu une deuxième fois dans la même journée ce qui n'était encore jamais arrivé.
Malgré ces bons moments de sexe, ma femme me demanda dimanche dernier l'autorisation de se rendre une nouvelle fois chez son amant, n'ayant pas envie de me mentir.
Je le lui accordai en bonne petite lopette que je suis, étant manifestement incapable de la satisfaire.
Par contre, il était convenu que je l'accompagne et que je la dépose au pied de l'immeuble, leur ménageant un bon quart d'heure d'intimité à partager, ce qui fut fait.
Pendant le temps où ils faisaient connaissance, je marchai dans le quartier, attendant avec impatience et fébrilité le signal pour les rejoindre.
Je reçus un appel de ma femme qui m'indiquait que je pouvais venir et qu'ils avaient commencé les hostilités, étant tous les deux déshabillés.
Je montai l'escalier pour atteindre le premier étage et rentrai discrètement dans l'appartement pour ne pas les déranger, ayant à coeur de rester à ma place de bon petit cocu.
L'amant me salua et me dit "fais comme chez toi" et il retourna s'occuper assidument de ma femme.
La porte de la chambre était ouverte et j'aperçus les fesses de ma femme qui se frottait nue sur son partenaire.
Je pris un fauteuil, réduis le son de la musique pour bien entendre les gémissements et m'installai dans l'alignement de l'ouverture pour apercevoir le couple en action.
Je baissai mon slip sur les chevilles et m'astiquai copieusement la nouille en contemplant le couple en action.
L'amant entreprit de lécher généreusement la chatte de ma femme avant de la prendre vigoureusement en position du missionnaire, et de jouir une première fois.
Puis, après une pause, ils reprirent leurs attouchements et ma femme après avoir remis son partenaire en condition s'empala en dominante inversée sur son pieu tendu. N'y tenant plus je me déplaçai pour me mettre au pied du lit et mater la queue qui allait et venait dans la chatte de ma bourgeoise, en disant "vas y baise bien la femme du cocu, défonces la".
Ils prirent leur pied une seconde fois avant de s'étreindre et de se blottir sous les draps pour se faire des confidences.
Je suis donc bel et bien cocu et n'ai pas fini de l'être.
Je suis donc cocu depuis bientôt 3 ans, et ma femme en profite allègrement.
Nous allons régulièrement dans des soirées privées ou nos amis organisateurs sont tous au courant que je suis cocu et s'amusent bien avec ma femme de ce fait.
Ma femme adore la bite désormais surtout celle des jeunes car son amant lui a bien fait découvrir son corps de femme. Malheureusement, il a du quitter la Loire-Atlantique pour des raisons professionnelles et madame n'avait plus d'amant régulier pendant 6 mois. Il n'empêche que lors des ses rares passages dans notre ville, il ne manque pas de venir baiser ma femme, sans me demander mon avis de cocu.
En ce début d'année 2011, nous venons de trouver un nouvel amant pour madame, qui la tire une fois par semaine. Jeudi dernier 20 janvier, en début d'après-midi, oh surprise, elle reçoit la visite de son ancien amant à son travail de passage pour quelques jours. Malgré le peu de temps dont elle disposait, elle s'empresse de retirer sa culotte tendre son cul généreux au jeune homme pour qu'il la prenne à cru en levrette. Selon le SMS reçu ensuite, elle a bien pris son pied pendant une bonne demi-heure et s'est remise ensuite au travail.
Il faut croire que cela ne lui suffisait vraiment pas car le soir, étant moi-même retenu par mon travail, madame prit la direction du domicile de son nouvel amant régulier résidant à une quinzaine de kilomètres du site où elle exerce. Elle passa la soirée avec lui et après le dîner elle ne fit aucune difficulté pour écarter les cuisses, étant venu spécialement pour cela.
J'étais donc cocu une deuxième fois dans la même journée ce qui n'était encore jamais arrivé.
Malgré ces bons moments de sexe, ma femme me demanda dimanche dernier l'autorisation de se rendre une nouvelle fois chez son amant, n'ayant pas envie de me mentir.
Je le lui accordai en bonne petite lopette que je suis, étant manifestement incapable de la satisfaire.
Par contre, il était convenu que je l'accompagne et que je la dépose au pied de l'immeuble, leur ménageant un bon quart d'heure d'intimité à partager, ce qui fut fait.
Pendant le temps où ils faisaient connaissance, je marchai dans le quartier, attendant avec impatience et fébrilité le signal pour les rejoindre.
Je reçus un appel de ma femme qui m'indiquait que je pouvais venir et qu'ils avaient commencé les hostilités, étant tous les deux déshabillés.
Je montai l'escalier pour atteindre le premier étage et rentrai discrètement dans l'appartement pour ne pas les déranger, ayant à coeur de rester à ma place de bon petit cocu.
L'amant me salua et me dit "fais comme chez toi" et il retourna s'occuper assidument de ma femme.
La porte de la chambre était ouverte et j'aperçus les fesses de ma femme qui se frottait nue sur son partenaire.
Je pris un fauteuil, réduis le son de la musique pour bien entendre les gémissements et m'installai dans l'alignement de l'ouverture pour apercevoir le couple en action.
Je baissai mon slip sur les chevilles et m'astiquai copieusement la nouille en contemplant le couple en action.
L'amant entreprit de lécher généreusement la chatte de ma femme avant de la prendre vigoureusement en position du missionnaire, et de jouir une première fois.
Puis, après une pause, ils reprirent leurs attouchements et ma femme après avoir remis son partenaire en condition s'empala en dominante inversée sur son pieu tendu. N'y tenant plus je me déplaçai pour me mettre au pied du lit et mater la queue qui allait et venait dans la chatte de ma bourgeoise, en disant "vas y baise bien la femme du cocu, défonces la".
Ils prirent leur pied une seconde fois avant de s'étreindre et de se blottir sous les draps pour se faire des confidences.
Je suis donc bel et bien cocu et n'ai pas fini de l'être.
FranclovX78 a liké
