- 03 avr. 2012, 19:50
#1052333
Vendredi dernier j'ai posté une annonce explicite sur le forum ...
pour-lundi-2-midi-neuilly-la-defense-t41536.html
le texte :
"Nous recherchons un complice pour ce lundi midi prochain 2 avril (entre 12h & 14h) - annonce sérieuse !
Madame sera offerte à ce complice dans une chambre d’hôtel en tenue sexy dans laquelle elle se sera préalablement préparée, après avoir été prévenue de ce qui l'attendrais, mais elle ne pourra le voir dans un premier temps (nous verrons ensuite). Monsieur sera bien sur présent.
..."
Quelques retours intéressants et je sélectionne un membre du site ...
Arrive lundi ... mais c'est l’intéressé qui a signé qui le raconte le mieux ...
"Imaginez : j'entre dans la chambre de l'hôtel de luxe et sur le lit, à quatre pattes, bien orienté vers l'entrée, un cul tout blanc, parfaitement mis en valeur par un string à fente ! Avec une merveilleuse petite chatte qui piaillait : 'Viens ! Viens !'
Le choc. Par contre, le silence de ceux qui ont peur de rompre un équilibre précaire règne dans la pièce. Je me déshabille tandis que son homme l'embrasse et la caresse. Et, sans annonce, tout de suite, je lui lèche son abricot magique.
Le thème est donné, l'invitation est bien reçue et acceptée.
La belle est toute silencieuse en dehors de ses respirations saccadées et des succions de sa bouche sur la queue de son homme.
On change de position. Et c'est sa bouche qui me récompense pour l'introduction. Elle suce à merveille.
Puis, on reprend de nouvelles positions et je me retrouve sous elle (la photo en haut). La belle silencieuse commence à perdre sa timidité. Sa respiration augmente, augmente, devient chaotique. Je lui donne une petite claque sur les fesses, puis une autre. Et là, de sa voix rauque de femme désorientée par le désir, j'entends un ordre : 'Plus fort ! Plus fort !' Alors, je me déchaine et lui donne une vraie fessée. Le résultat ne se fait pas attendre longtemps. Elle m'écrase la bouche dans un long très très long gémissement. Et elle jouit.
Un peu de douceur pour calmer les spasmes du désir, mais la belle silencieuse s'est définitivement métamorphosée. Elle parle désormais, et crûment ! Baise-moi ! Je suis une chienne ! Et elle apprécie infiniment que je lui parle mal.
Un véritable ouragan. Une tornade quand elle suce avec avidité, comme si sa vie en dépendait. Elle avale entièrement et devient esclave du désir. Elle subit mes assauts et en redemande. Elle veut, elle veut, elle veut... Puis elle s'écroule d'un coup, exténuée ! C'en est trop, elle a atteint ses limites.
Je me fais poussière et quitte la chambre comme un fantôme. Ma démarche est mal assurée et je suis tout échevelé. Je suis sûr que le personnel d'étage et celui d'accueil ont bien vu que je n'étais pas venu déjeuner !
L'histoire pourrait s'arrêter là, si deux heures plus tard, je n'avais pas reçu quelques sms chauds et finalement je ne lui avais pas parlé au téléphone pour l'exciter en lui parlant comme à une chienne pendant que son homme la baisait avec ardeur. Et elle a encore une fois joui ! Tûut tûut tûut. Le téléphone était déjà raccroché.
Divin, non?"
la suite a suivre car nous le reverront très bientôt ...
pour-lundi-2-midi-neuilly-la-defense-t41536.html
le texte :
"Nous recherchons un complice pour ce lundi midi prochain 2 avril (entre 12h & 14h) - annonce sérieuse !
Madame sera offerte à ce complice dans une chambre d’hôtel en tenue sexy dans laquelle elle se sera préalablement préparée, après avoir été prévenue de ce qui l'attendrais, mais elle ne pourra le voir dans un premier temps (nous verrons ensuite). Monsieur sera bien sur présent.
..."
Quelques retours intéressants et je sélectionne un membre du site ...
Arrive lundi ... mais c'est l’intéressé qui a signé qui le raconte le mieux ...
"Imaginez : j'entre dans la chambre de l'hôtel de luxe et sur le lit, à quatre pattes, bien orienté vers l'entrée, un cul tout blanc, parfaitement mis en valeur par un string à fente ! Avec une merveilleuse petite chatte qui piaillait : 'Viens ! Viens !'
Le choc. Par contre, le silence de ceux qui ont peur de rompre un équilibre précaire règne dans la pièce. Je me déshabille tandis que son homme l'embrasse et la caresse. Et, sans annonce, tout de suite, je lui lèche son abricot magique.
Le thème est donné, l'invitation est bien reçue et acceptée.
La belle est toute silencieuse en dehors de ses respirations saccadées et des succions de sa bouche sur la queue de son homme.
On change de position. Et c'est sa bouche qui me récompense pour l'introduction. Elle suce à merveille.
Puis, on reprend de nouvelles positions et je me retrouve sous elle (la photo en haut). La belle silencieuse commence à perdre sa timidité. Sa respiration augmente, augmente, devient chaotique. Je lui donne une petite claque sur les fesses, puis une autre. Et là, de sa voix rauque de femme désorientée par le désir, j'entends un ordre : 'Plus fort ! Plus fort !' Alors, je me déchaine et lui donne une vraie fessée. Le résultat ne se fait pas attendre longtemps. Elle m'écrase la bouche dans un long très très long gémissement. Et elle jouit.
Un peu de douceur pour calmer les spasmes du désir, mais la belle silencieuse s'est définitivement métamorphosée. Elle parle désormais, et crûment ! Baise-moi ! Je suis une chienne ! Et elle apprécie infiniment que je lui parle mal.
Un véritable ouragan. Une tornade quand elle suce avec avidité, comme si sa vie en dépendait. Elle avale entièrement et devient esclave du désir. Elle subit mes assauts et en redemande. Elle veut, elle veut, elle veut... Puis elle s'écroule d'un coup, exténuée ! C'en est trop, elle a atteint ses limites.
Je me fais poussière et quitte la chambre comme un fantôme. Ma démarche est mal assurée et je suis tout échevelé. Je suis sûr que le personnel d'étage et celui d'accueil ont bien vu que je n'étais pas venu déjeuner !
L'histoire pourrait s'arrêter là, si deux heures plus tard, je n'avais pas reçu quelques sms chauds et finalement je ne lui avais pas parlé au téléphone pour l'exciter en lui parlant comme à une chienne pendant que son homme la baisait avec ardeur. Et elle a encore une fois joui ! Tûut tûut tûut. Le téléphone était déjà raccroché.
Divin, non?"
la suite a suivre car nous le reverront très bientôt ...
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.