- 16 nov. 2020, 18:50
#2477551
Bonjour à tous,
Nous sommes lundi. Je postais, samedi dernier, le récit de ma première fois. Cela faisait un an, jour pour jour, que nous avions franchie le pas, et C devait m'organiser, le soir même, une soirée candaulisme particulière et d'après lui, comme jamais !
Je vous conte cette dernière...
Dix-neuf heures, C me demande de faire un lavement, prendre ma douche puis de m'habiller avec les vêtements qu'il a déposé sur le lit.
Je m'exécute !
Après m'être fait une "beauté", je découvre sur le lit une jupe très courte, un chemisier léger, un string ouvert et des bas résilles auto-fixant.
J'avoue ne pas me reconnaître tant la tenue est provoquante...
Cinq minutes plus tard, nous voilà partis avec nos deux attestations prétextant un déplacement afin d'aller chercher des aliments de première nécessité. Un comble
.
Nous arrivons dans une zone industrielle. C stop le véhicule et comme à chaque fois, me met le bandeau sur les yeux. (je n'aime pas trop être privée de mes sens en roulant, C le sait donc je sais donc que le lieu est proche.
Comme à chaque fois, mes jambes tremblent et ma tête me crie de faire demi-tour, bref, comme toujours j'ai aussi peur que je suis excitée !
La voiture s'arrête. Mes sens me donnent tout de suite l'information que nous sommes entrés dans une sorte de hangar. En effet, le bruit du pot d'échappement fait de l'écho.
C descend de la voiture et m'aide à me diriger vers ce qui semble être un petit souterrain ou une cave ou...
Après avoir descendu des marches, j'arrive dans une pièce qui me semble, les yeux bandés, relativement petite.
Je sens des présences humaines autre que mon mari.
C s'adresse à moi : " Ce soir, ma chérie, les hommes ici présents ont, comme toi, passés un test hiv. Ils sont négatifs. Comme nous en avions convenu au préalable, l'éventualité de sexe "naturel" était possible mais seulement sous conditions. Les conditions étant réunis, tous ces messieurs vont te baiser devant moi et sans capote. Libre à eux, de jouir ou ils veulent. Si tu as un souhait particulier, tu dois le dire maintenant ".
Après 5 secondes de réflexion, je précise ne pas souhaiter de sperme ni dans les cheveux, ni dans les yeux et que l'on ne m'écrase pas les reins en appuyant trop fort sur mon dos...
Mon mari m'assoie et m'enlève le bandeau.
Je découvre les lieux, une sorte d'entrepôt d'une vingtaine de mètres carrés ou sont entreposés dans un coin de pièce, sur une étagère, des dizaines de gros dossiers. La pièce semble être au sous sol d'une entreprise.
Je suis assise sur un gros matelas épais et le local est éclairé par deux lampes très certainement transportées là afin de donner une ambiance plus tamisée.
C'est ensuite que je découvre le nombre et l'allure des prétendants. Mon mari, lui, a trouvé place sur une chaise dans un coin de pièce.
J'ai devant moi, quatre hommes dont deux personnes de couleurs ( une première pour moi et un grand fantasme pour mon mari ) ayant pour le premier 26/27 ans de tête et l'autre début trentaine d'années ( je les surnommerai ici Patrice et Paul pour le second. Et, deux hommes bien plus âgés, l'un doit approcher la soixantaine, et le second autour des 65 ans environ ( je les surnommerai ici, Michel et Claude.
Ils ne tardèrent pas à s'approcher de moi, fouillant de leur huit mains sous mon chemisier et sous ma jupe. Je pense que mon sexe était déjà trempé de plaisir puisque je sentais ma lubrification naturelle me tapisser le corp lorsqu'il passait de ma vulve à mes seins ou mon cou, mes hanches...
Toute cette "danse" préliminaire finie par accompagner mon corp entier sur le matelas, sur le dos. Mon chemisier fut ouvert par Patrice afin d'avoir un accès complet à mes seins. Ma jupe fut ôté par Claude et surtout, mon string fut coupé par Paul à l'aide d'un ciseau de couturière.
Mon excitation est mes habitudes me poussent alors à poser mes mains sur le devant de leur pantalon (vous imaginez ou...). Je sens déjà l'excitation de certain et l'énorme potentiel d'autre(s). Un potentiel qui est aussi excitant qu'il me fait peur.
Ils décident tous les quatre d'enlever leur pantalon. Je découvre quatre sexes rasés de près, j'apprécie beaucoup !
Je confirme ici que l'origine ethnique n'est pas toujours gage de gros pénis !
En effet, autant Patrice est doté d'un long sexe presque effrayant
, autant Paul est plutôt faiblement membré.
Par contre, je suis terrifiée par l'épaisseur et la longueur de sexe de Michel. Son sexe semble tout droit sortie d'un moule de cire avec mention "xxl". Il est veiné comme je n'avais jamais vu et surtout sa dimension en érection m'effraie un peu.
Quand à Claude, le plus vieux des quatre, il est tout à fait normal.
Après m'avoir tous caressée, léchée et m'avoir fait goûter leur sexe. L'un deux, que je n'ai pas repéré demande à mon mari si je peux me positionner en levrette.
Mon mari leur répond "qu'il est inutile de lui demander, que je leur appartiens le temps de cette baise ".
J'obéis donc !
Me voici à sucer deux sexes devant moi et pénétrée par l'un des hommes, lequel ? J'ai perdu là toute notion de qui fait quoi...
Je sais seulement que le tour de Michel est arrivé lorsque je sens mon anus s'écarteler sous la pression de ce sexe hors norme. Une sensation envahissante, soûlante me fait perdre alors toute notion de présent, de réalité. Un terrible relâchement musculaire me donne cette impression d'avoir envie d'aller à la selle mais aussi que mon corps entier est sous anesthésie.
Je n'ai à cette instant précis, aucune envie de jouir de mon clitoris ( puisque s'est ainsi que je fonctionne), mais je sens une chose monter...
J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur les sexes que je suce en même temps.
Après plusieurs minutes à sentir cette "chose" monter en moi, quelque chose s'échappe de moi, je le sens, mais d'où ?
Puis ma tête lâche, pour la première fois de ma vie, je me sens chienne, animale. Mon vagin déverse par jets, qui accompagnent les spasmes, des dizaines de millilitres de liquide s'apparentant à de l'urine mais qui n'en ai pas. Je suis fontaine ! Après un prémisse la première fois, c'est un véritable torrent cette fois.
Une certitude, les gros sexes me déclenchent cela !
Suite à cela, chaque homme me pénètre le vagin ou l'anus ( jamais l'un puis l'autre mais l'un ou l'autre, pour éviter les cystites car c'est vraiment pas drôle
).
Le sexe sans préservatif est, à mon goût incomparable dans les sensations. Mais, je le sais, c'est un gros risque, nous avons minimisé ce dernier au maximum.
Il est l'heure pour chacun de me donner sa semence. L'un après l'autre vient derrière moi. Trois choisissent mon anus, qui de ce fait déborde de sperme. Seul Paul, choisit mon vagin.
Ensuite, mon mari a prévu que je jouisse de mon clitoris avec lui et entourée des hommes. Il prend donc un vibro que nous avons depuis quelques temps. Je sens le sperme qui me déborde des orifices lubrifier le vibro. Je viens très rapidement tant mon excitation est grande. Ma jouissance n'est pas longue mais très électrique. Conséquence certainement d'avoir vidé ma fontaine.
Je suis rassasiée, éteinte, souillée. Mon mari, lui, qui n'a pas encore joui, se positionne au dessus de mon corps en se masturbant. La quantité de sperme qui me frappe la poitrine confirme l'excitation qu'il a accumulé. Dans le même temps, des filés de sperme qui me sortent du vagin et de l'anus continuent leur long chemin sur le matelas, qui sera certainement imprégné malgré un plaid disposé comme seul protection...
Il est 21h30, nous repartons avant l'hypothétique fermeture des grandes surfaces et afin de ne pas risquer une amende pour non respect du confinement.
En remontant de la pièce, je constate que ce lieu est un grossiste en matériaux...
Je monte en voiture, qui est garée à l'intérieur, avec pour seul vêtement ma robe, ma chemisette et mes chaussures.
Tout au long des 15 kilomètres qui nous séparent de la voiture, je sens le sperme me coller aux vêtements. Une odeur acre se dégage de tout mon corps. Odeur du mélange des corps, des divers hormones dégagées. Et surtout, mon anus ne cesse de perdre, par paquets, le sperme des hôtes du jour.
Nous sommes bien rentrés à la maison, sans être contrôlés.
FIN
PS: Si vous avez aimez, merci de commenter.
Et si vous avez des questions, n'hésitez pas
Nous sommes lundi. Je postais, samedi dernier, le récit de ma première fois. Cela faisait un an, jour pour jour, que nous avions franchie le pas, et C devait m'organiser, le soir même, une soirée candaulisme particulière et d'après lui, comme jamais !
Je vous conte cette dernière...
Dix-neuf heures, C me demande de faire un lavement, prendre ma douche puis de m'habiller avec les vêtements qu'il a déposé sur le lit.
Je m'exécute !
Après m'être fait une "beauté", je découvre sur le lit une jupe très courte, un chemisier léger, un string ouvert et des bas résilles auto-fixant.
J'avoue ne pas me reconnaître tant la tenue est provoquante...
Cinq minutes plus tard, nous voilà partis avec nos deux attestations prétextant un déplacement afin d'aller chercher des aliments de première nécessité. Un comble
.Nous arrivons dans une zone industrielle. C stop le véhicule et comme à chaque fois, me met le bandeau sur les yeux. (je n'aime pas trop être privée de mes sens en roulant, C le sait donc je sais donc que le lieu est proche.
Comme à chaque fois, mes jambes tremblent et ma tête me crie de faire demi-tour, bref, comme toujours j'ai aussi peur que je suis excitée !
La voiture s'arrête. Mes sens me donnent tout de suite l'information que nous sommes entrés dans une sorte de hangar. En effet, le bruit du pot d'échappement fait de l'écho.
C descend de la voiture et m'aide à me diriger vers ce qui semble être un petit souterrain ou une cave ou...
Après avoir descendu des marches, j'arrive dans une pièce qui me semble, les yeux bandés, relativement petite.
Je sens des présences humaines autre que mon mari.
C s'adresse à moi : " Ce soir, ma chérie, les hommes ici présents ont, comme toi, passés un test hiv. Ils sont négatifs. Comme nous en avions convenu au préalable, l'éventualité de sexe "naturel" était possible mais seulement sous conditions. Les conditions étant réunis, tous ces messieurs vont te baiser devant moi et sans capote. Libre à eux, de jouir ou ils veulent. Si tu as un souhait particulier, tu dois le dire maintenant ".
Après 5 secondes de réflexion, je précise ne pas souhaiter de sperme ni dans les cheveux, ni dans les yeux et que l'on ne m'écrase pas les reins en appuyant trop fort sur mon dos...
Mon mari m'assoie et m'enlève le bandeau.
Je découvre les lieux, une sorte d'entrepôt d'une vingtaine de mètres carrés ou sont entreposés dans un coin de pièce, sur une étagère, des dizaines de gros dossiers. La pièce semble être au sous sol d'une entreprise.
Je suis assise sur un gros matelas épais et le local est éclairé par deux lampes très certainement transportées là afin de donner une ambiance plus tamisée.
C'est ensuite que je découvre le nombre et l'allure des prétendants. Mon mari, lui, a trouvé place sur une chaise dans un coin de pièce.
J'ai devant moi, quatre hommes dont deux personnes de couleurs ( une première pour moi et un grand fantasme pour mon mari ) ayant pour le premier 26/27 ans de tête et l'autre début trentaine d'années ( je les surnommerai ici Patrice et Paul pour le second. Et, deux hommes bien plus âgés, l'un doit approcher la soixantaine, et le second autour des 65 ans environ ( je les surnommerai ici, Michel et Claude.
Ils ne tardèrent pas à s'approcher de moi, fouillant de leur huit mains sous mon chemisier et sous ma jupe. Je pense que mon sexe était déjà trempé de plaisir puisque je sentais ma lubrification naturelle me tapisser le corp lorsqu'il passait de ma vulve à mes seins ou mon cou, mes hanches...
Toute cette "danse" préliminaire finie par accompagner mon corp entier sur le matelas, sur le dos. Mon chemisier fut ouvert par Patrice afin d'avoir un accès complet à mes seins. Ma jupe fut ôté par Claude et surtout, mon string fut coupé par Paul à l'aide d'un ciseau de couturière.
Mon excitation est mes habitudes me poussent alors à poser mes mains sur le devant de leur pantalon (vous imaginez ou...). Je sens déjà l'excitation de certain et l'énorme potentiel d'autre(s). Un potentiel qui est aussi excitant qu'il me fait peur.
Ils décident tous les quatre d'enlever leur pantalon. Je découvre quatre sexes rasés de près, j'apprécie beaucoup !
Je confirme ici que l'origine ethnique n'est pas toujours gage de gros pénis !
En effet, autant Patrice est doté d'un long sexe presque effrayant
, autant Paul est plutôt faiblement membré.Par contre, je suis terrifiée par l'épaisseur et la longueur de sexe de Michel. Son sexe semble tout droit sortie d'un moule de cire avec mention "xxl". Il est veiné comme je n'avais jamais vu et surtout sa dimension en érection m'effraie un peu.
Quand à Claude, le plus vieux des quatre, il est tout à fait normal.
Après m'avoir tous caressée, léchée et m'avoir fait goûter leur sexe. L'un deux, que je n'ai pas repéré demande à mon mari si je peux me positionner en levrette.
Mon mari leur répond "qu'il est inutile de lui demander, que je leur appartiens le temps de cette baise ".
J'obéis donc !
Me voici à sucer deux sexes devant moi et pénétrée par l'un des hommes, lequel ? J'ai perdu là toute notion de qui fait quoi...
Je sais seulement que le tour de Michel est arrivé lorsque je sens mon anus s'écarteler sous la pression de ce sexe hors norme. Une sensation envahissante, soûlante me fait perdre alors toute notion de présent, de réalité. Un terrible relâchement musculaire me donne cette impression d'avoir envie d'aller à la selle mais aussi que mon corps entier est sous anesthésie.
Je n'ai à cette instant précis, aucune envie de jouir de mon clitoris ( puisque s'est ainsi que je fonctionne), mais je sens une chose monter...
J'ai beaucoup de mal à me concentrer sur les sexes que je suce en même temps.
Après plusieurs minutes à sentir cette "chose" monter en moi, quelque chose s'échappe de moi, je le sens, mais d'où ?
Puis ma tête lâche, pour la première fois de ma vie, je me sens chienne, animale. Mon vagin déverse par jets, qui accompagnent les spasmes, des dizaines de millilitres de liquide s'apparentant à de l'urine mais qui n'en ai pas. Je suis fontaine ! Après un prémisse la première fois, c'est un véritable torrent cette fois.
Une certitude, les gros sexes me déclenchent cela !
Suite à cela, chaque homme me pénètre le vagin ou l'anus ( jamais l'un puis l'autre mais l'un ou l'autre, pour éviter les cystites car c'est vraiment pas drôle
).Le sexe sans préservatif est, à mon goût incomparable dans les sensations. Mais, je le sais, c'est un gros risque, nous avons minimisé ce dernier au maximum.
Il est l'heure pour chacun de me donner sa semence. L'un après l'autre vient derrière moi. Trois choisissent mon anus, qui de ce fait déborde de sperme. Seul Paul, choisit mon vagin.
Ensuite, mon mari a prévu que je jouisse de mon clitoris avec lui et entourée des hommes. Il prend donc un vibro que nous avons depuis quelques temps. Je sens le sperme qui me déborde des orifices lubrifier le vibro. Je viens très rapidement tant mon excitation est grande. Ma jouissance n'est pas longue mais très électrique. Conséquence certainement d'avoir vidé ma fontaine.
Je suis rassasiée, éteinte, souillée. Mon mari, lui, qui n'a pas encore joui, se positionne au dessus de mon corps en se masturbant. La quantité de sperme qui me frappe la poitrine confirme l'excitation qu'il a accumulé. Dans le même temps, des filés de sperme qui me sortent du vagin et de l'anus continuent leur long chemin sur le matelas, qui sera certainement imprégné malgré un plaid disposé comme seul protection...
Il est 21h30, nous repartons avant l'hypothétique fermeture des grandes surfaces et afin de ne pas risquer une amende pour non respect du confinement.
En remontant de la pièce, je constate que ce lieu est un grossiste en matériaux...
Je monte en voiture, qui est garée à l'intérieur, avec pour seul vêtement ma robe, ma chemisette et mes chaussures.
Tout au long des 15 kilomètres qui nous séparent de la voiture, je sens le sperme me coller aux vêtements. Une odeur acre se dégage de tout mon corps. Odeur du mélange des corps, des divers hormones dégagées. Et surtout, mon anus ne cesse de perdre, par paquets, le sperme des hôtes du jour.
Nous sommes bien rentrés à la maison, sans être contrôlés.
FIN
PS: Si vous avez aimez, merci de commenter.
Et si vous avez des questions, n'hésitez pas
