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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2477749
Comme chaque semaine, nous nous languissions de notre jour de repos en commun, et plus nous arrivions à la fin de l’été, plus nous pensions que nos escapades du mercredi au New Bora allaient se terminer. La journée du mardi était un peu plus longue que ce que nous espérions, et arrivés enfin dans notre cocon d’amour, nous étions totalement épuisés et incapables d’envisager une sortie quelconque.
Confortablement installés sur le canapé, nous flânions a quelques occupations ludiques sur nos téléphones en regardant les images de la télé qui ne nous intéressaient pas vraiment. Il était temps de se retrouver un peu sous la couette, en position horizontale et évoquer notre journée tant attendue du mercredi. Vu la météo avec le vent qui enfin se calmerait, une virée dans notre club balnéo serait des plus agréables. Anna me reprochait un peu mon addiction au libertinage et à la recherche permanente du complice idoine, mais je prenais ça aussi pour un passe-temps et non comme une quête assidue. La fatigue aidant, les mots de notre discussions s’éteignaient peu à peu en même temps que notre lucidité et nous nous sommes endormis sereinement.
Le réveil fut doux et déjà régénérateur, nous étions en forme pour profiter de cette journée. Je ne savais pas dans quel état d’esprit coquin Anna était mais il était certain que ce serait une belle journée. On plaisantait des mots de la veille, et commencions a trouver le fil conducteur de notre journée. Après quelques achats nécessaires, nous irions pique-niquer avant d’aller se prélasser dans un bon jacuzzi ou seules les bulles habilleraient nos corps…

Nous prenions la direction du club et lorsque le paysage nous parut sympa, nous avons bifurqué sur une petite route en cul de sac menant dans un petit champ de vignes. C’est ici que nous installons notre petite table pour siroter une bouteille de cahors des plus agréables. Un petit jeu de séduction pouvait démarrer entre nous, tout en faisant participer par messages et photos un ami candauliste qui ne pouvait que très bien me comprendre.
De fil en aiguille, les boutons de mon short sautaient un a un, libérant mon sexe qui alla se réfugier dans la bouche d’Anna, mes mains libres pouvaient à leurs tours désemprisonner les seins de ma femme et les exhiber à la brise qui souflait sur nous. Notre désir commun nous amenait a changer de position et Anna a moitié dans la malle de notre voiture s’en retrouvait immédiatement pénétrée. Le plaisir se joignait à nous sans toutefois nous faire atteindre le point de non-retour et finalement La position un peu inconfortable eu raison de notre envie. Nous savions que ce ne serait que partie remise et que nous pourrions continuer nos ébats un peu plus tard dans l’après-midi.
L’heure avançait et il était temps pour nous de reprendre notre route en direction du club. Tout en conduisant, mon téléphone s’affairait a vibrer pour me signaler de nouveau messages de notre ami candauliste, et c’est Anna qui prenait un coquin plaisir à lui envoyer des photos sans équivoques d’elle en train de s’exhiber sur le fauteuil passager. J’en étais tout autant content que troublé, tout autant étonné qu’excité. Arrivée sur le parking, elle lui envoyait une dernière photo avant que nous posions les téléphones dans nos casiers.

Il n’y avait pas grand monde au club, ce qui nous permettait de regarder un peu chaque nouvel arrivant, jauger un peu le potentiel de chaque personne quand un homme passa devant le jacuzzi et que je fis signe à Anna de le regarder. Il avait un sexe tout aussi beau qu’imposant mais ma femme retenait plus de cette personne son côté un peu nonchalant. Personne donc ne nous avait permis d’envisager un trio, mais qu’a cela ne tienne, nous avions envie de terminer ce que nous avions commencé une bonne heure plus tôt dans la malle de la voiture….
Nous montâmes donc les escaliers menant aux coins câlins, se doutant que nous allions être suivis et nous nous sommes installés dans la première chambre sans fermer la porte. Peut-être que l’excitation du moment allait faire oublier quelques critères de sélection et une fois dans le noir on se laisserait tenter par des mains ou un sexe nous rejoignant. Je plongeais ma tête entre les cuisses de ma femme, et jouait de ma langue pour lui faire lâcher-prise quant au bout de quelques minutes elle me tapotait sur la tête me faisant comprendre qu’elle n’était pas à l’aise. En relevant la tête, je voyais une petite dizaine d’homme autour d’elle alors que je n’en soupçonnais qu’un ou deux. Je préférais faire sortir tout le monde et verrouiller cette fois la porte. Elle ne changea pas de position, ce qui me permis de la prendre en missionnaire au milieu du lit. Je la sentais libérée, surfant toujours sur une vague coquine et je lui suggérait d’ouvrir à nouveau la porte et faire rentrer une ou deux personnes uniquement, chose a laquelle elle me répondit « vas-y »
J’ouvrais donc la porte et le premier homme face à moi semblait être celui que j’avais repéré un peu plus tôt au bord du jacuzzi, je l’invitai à nous rejoindre et referma derrière lui. Ma place bien au chaud m’attendait et je ne me faisait pas prier pour pénétrer de nouveau ma femme. Il s’installa à genou aux cotés de ma femme, a une distance permettant le contact sans pour autant être envahissant et Anna n’eut qu’à tendre légèrement le bras pour commencer à le caresser. Très rapidement sa main se déporta vers son sexe alors que lui partait à la découverte de sa poitrine. Il ne fut que quelques secondes avant que ce ne soit sa langue qui aille découvrir son sexe avant d’essayer de l’engloutir, alors que je continuait mes va-et-vients avec de plus en plus de vigueur. La scène était très belle, j’étais aux premières loges pour contempler cette fellation magnifique, et cette beauté eu raison de mon endurance, je ne pouvais me retenir de jouir en elle. elle ne lâchât pas pour autant cette bite de son emprise buccale et alors que je m’affairais a l’essuyer, je tendis à notre complice improvisé un préservatif. Il comprit le signal et pris ma place entre les cuisses de ma bien aimée, la pénétrant tout en douceur et prévenance. Il alternait pénétrations douce et lentes avec des moments plus fous et vigoureux, régulant ses allers-retours aux sensations que laissait paraitre Anna, Il jouait avec ses jambes afin de stimuler toutes les zones sensibles de l’écrin de ma femme. Elle jouissait profondément et peinait parfois à reprendre sa respiration entre chaque orgasme. Ayant surement épuisé toutes les variantes du missionnaires, c’est elle maintenant qui lui réclamait le graal pour elle : La levrette. Il semblait tout autant ravi qu’elle, alors que mon sexe ayant repris un semblant de vigueur se retrouvé happé par la bouche de ma femme. Quand il lui accordait un moment de répit, c’est elle qui imprimait le rythme, comme si elle ne voulait plus que ça s’arrête, Je les regardais, je l’entendais, elle suait et il prenais soin de souffler sur ses reins pour la rafraichir un peu ou lui procurer de nouvelles sensations. Elle n’en pouvait plus, ses jambes avaient du mal à la porter et elle pris le temps de faire une courte pause avant de le reprendre en bouche, pendant qu’il la caressait de nouveau. Il n’y avait plus la sensualité à laquelle elle m’avait habitué, c’était une pipe bestiale, telle une prédatrice qui voulait arriver a ses fins, submergée surement par le plaisir qu’elle avait emmagasiné pendant au moins une heure. Elle le fit craquer et aux portes du plaisir il se retira pour jouir sur ses seins.
On essayait tout trois de reprendre nos esprits, s’essuyer avant de partager une douche, lorsqu’il nous proposa de partager un verre ensemble.
Nous aimons habituellement nous ressourcer à deux après ces moment-là, mais lui n’était pas un fardeau, tout autant discret qu’attentionné, il se mettait au diapason de notre couple. On pris un verre bien mérité autour d’une table, histoire de faire les présentations et sa présence restait très agréable. Si agréable que je lui proposait de se joindre à nous dans le jacuzzi, histoire de se relaxer encore un peu.
Je pensais que ce moment de détente clôturerait une journée riche en émotion et en plaisir mais notre complice évoquait le massage des pieds à Anna, chose qu’elle ne pouvait refuser. Il était attentionné, elle était comblée. De par ses expériences il avait connu bien des massages et essayait de reproduire ce qu’il aimait. Visiblement il aimait ce que ma femme aime car elle se détendait, ivre de bien-être. Le massage peu à peu déviait en caresses, nous sentions son excitation reprendre son envol, et en sentant nos sexes dressés elle se rendit compte que c’était plus que réciproque. Elle se mit dos à lui, m’offrant son sexe que je stimulais de mes doigts, elle nous caressais, nous masturbais, et quand nous avons inversé les rôles, et qu’elle se mit face à lui, elle le tira à lui pour le reprendre en bouche. Sucer un autre homme dans le jacuzzi, à la vue de tous, c’est une vision que je ne pensais pas voir un jour. Voyant que la situation nous échappais à tous, on reprit un peu nos esprits et sommes sortis rejoindre notre bed.
Ne voulant pas nous envahir, il eut la discrétion de nous laisser le temps d’une bonne cigarette pour se recentrer sur nous, et est venu nous rejoindre un peu après pour continuer le massage qu’il avait attaqué dans le bain à remous. Je les laissais seuls, enfin, pas loin d’eux pour ne rien rater du spectacle et me régalais de les voir ensemble. Ses attentions étaient pour elle bien sur, mais il prenait soin de me regarder de temps en temps pour être certain que j’allais bien et que ce que je voyais me comblait. Il n’était pas la pour lui, ni que pour elle, il agissait pour nous et avait cerné nos envies. Je les rejoignis afin qu’elle n’est pas qu’un sexe a caresser mais qu’elle puisse jouer de ses deux mains. D’un regard vers moi elle me demandait si je voulais qu’elle me prenne en bouche et elle a compris que je voulais la voir à nouveau jouer de ses lèvres avec sa grosse bite. Cette fois, en plein jour, la vision serait encore plus excitante pour moi. La regardait faire ne me permettait plus de résister au plaisir de la pénétrer, encore une fois trop rapidement encore mais je ne peux lutter à ce flux d’excitation qui m’envahit dans de telles circonstances. Il pris de nouveau le relai, cette fois elle allongée sur le ventre pour de nouveaux et intenses orgasmes.
Tout trois épuisés par cette après midi, après une brève douche, nous sommes retournés dans le jacuzzi, complices. Tellement complices que nous ne pouvions nous empêcher à trois de repartir dans un jeu de caresses, de papouilles.
Il était déjà l’heure de partir, notre après-midi folle se terminait alors qu’on aurait voulu qu’elle ne s’arrête jamais . Mais nous savons maintenant ou le trouver, pour de nouvelles aventure….
#2477750
Depuis une quinzaine de jour nous évoquions cette soirée du 20 octobre comme le moment où nous allions découvrir une autre facette du libertinage, et peut être en découvrir encore un peu plus sur nos envies et nos limites. Il ne se passait pas une journée sans qu’une allusion, un décompte, une envie ne soit décrite par rapport à ce moment que nous allions partager avec David.

Je fixais plein d’objectifs à madame, peut être trop mais au moins elle savait qu’elle aurait carte totalement blanche avec lui. Par contre on avait convenu qu’à H-24 on arrêterait d’en parler entre nous pour ne pas se rajouter de pression (bon, nous n’y sommes pas arrivés pour autant). L’heure d’aller le rejoindre approche, alors que ma femme se prépare, elle m’interdit presque de venir la voir, voulant me réserver la même surprise que pour son amant. Je ne saurais entre autre du coup que dans la voiture qu’elle a enfilé un string et qu’elle a déjà̀ choisi le moment où elle le retirerai.

H-1, nous voilà dans la voiture prêts à partir vers l’inconnu pourtant si familier car nous l’avons imaginé tellement de fois. Notre pacte de ne plus en parler dura une bonne minute et j’assaillais ma femme de questions pour connaître son ressenti et si elle ne regrettait rien. Elle me rassurait, se languissait mais à chaque minute nous rapprochant de lui, elle sentait une boule grossir dans son ventre. Mélange de pression et d’appréhension surement.
Plus qu’un petit kilomètre, et le temps de partager une dernière cigarette, et on ne sait même plus lequel est le plus impatient !
Nous voilà devant chez lui, il nous ouvre le portail et vient à notre rencontre, la bise est de rigueur car vis à vis des voisins nous devons paraitre un couple d’ami. Je ne deviendrai que plus tard l’ami du couple qu’ils formeront.
Il nous fait visiter rapidement son appartement, nous laisse le choix de la chambre où nous dormirons finalement peut être, et nous nous posons tranquillement, eux sur le canapé́ et moi en face. Il passa brièvement sa main sur les hanches de ma femme de manière pas anodine, il découvrit ainsi qu’elle portait un string sous sa robe légère. Il évoquât à nouveau le fait qu’elle l’enlève mais elle ignora la question. Notre programme était chargé , il était temps de renfiler nos manteaux pour rejoindre le restaurant qui avait été́ réservé́, un petit quart d’heure à pied permettrait de continuer les discussions. Les trottoirs étroits m’aidaient dans mes envies, je les laissais deux mètres devant moi et je les regardais discuter quand ma belle pris le bras de son amant du soir. Comme je l’avais souhaité ils se tenaient la main jusqu’à une pause où ils se mirent face à face sans que je puisse voir s’ils se sont embrassés furtivement ou pas. Et quand un peu plus tard je leur ai demandé, ils m’ont répondu presque en cœur « c’est notre secret ».

Mais je crois que c’est vraiment à partir de ce presque baiser que j’ai commencé́ à bander, une érection qui ne me quittera pratiquement pas de la soirée.
Arrivés au restaurant, la configuration des lieux cassait un peu les plans que chacun de nous deux avions élaborés, et nous nous retrouvions sur une table haute moins propice aux premiers préliminaires que nous avions imaginés. La commande passé, Anna filât aux toilettes et revint quelques instants après, son string roulé dans sa main qu’elle glissât dans la poche de la chemise de son homme du soir. Le ton était lancé mais mis à part quelques jeux de jambes et de mains sur les cuisses tout restait sensiblement sobre. Je les laissais de temps en temps seuls, le temps d’une cigarette mais ils ne pouvaient se lâcher plus. Au moment de partir, je glissais au serveur que je dormais chez mon couple d’ami, ce qui a fait rire notre petit trouple... Aussitôt dehors, ma femme reprenait la main de son amant et les quelques minutes de marche passèrent assez vite. Seule une halte pour que j’embrasse ma femme dénotait de leur complicité́. Je n’entendais pas tout ce qu’ils se disaient mais je les voyais et cela comblait déjà̀ mon excitation. Arrivés chez lui, madame filait aux toilettes mais ce n’était pas pour soulager une envie pressante, c’était pour nous surprendre avec une robe noire....

Cette robe, très décolleté et bien évidement très courte lui allait à merveille, elle qui n’avait plus de culotte depuis le restaurant. Elle repris sa place sur le canapé, et moi je repris la mienne sur le fauteuil en face. David lui se mit à genou au sol et commença à embrasser les genoux de ma femme au travers de ses bas puis remonter doucement jusqu’à découvrir son sexe. Il remonta doucement vers sa poitrine et savoura de longs instants ses seins. Peu à peu il se rapprochait de sa bouche jusqu’à la fusion de leurs lèvres. Je me décalais pour vérifier que je ne rêvais pas. Le mélange de leurs langues, la fougue de leurs baisers m’électrisaient le cœur. Le cap du baiser que nous n’avions jamais franchis venait d’être dépassé dans un élan de plaisir. Ils étaient comme aimantés alors que leurs mains se baladaient à la découverte de leur peau. Doucement David basculait ma femme sur le dos pour plonger entre ses cuisses et lui offrir un long cunnilingus passionné. Il prenait le temps de faire monter le plaisir de sa partenaire, délicatement mais sûrement et par paliers successifs les gémissements s’intensifiaient. Les seins de ma femme totalement découverts étaient massés et pincés par notre complice et quand ce n’est pas lui qui s’en occupait, elle le remplaçait. Il remonta sentir de sa bouche l’excitation de ses tétons et elle en profita pour commencer à déboutonner sa chemise. Il l’a retira complément et défît sa ceinture, laissant le soin à ma femme de s’occuper de son pantalon quand elle le voudrait. Elle le voulu immédiatement et un à un les boutons sautaient. Enfin trois ou quatre, le temps de se rendre compte qu’il n’avait pas de caleçon. Elle pouvait maintenant libérer son sexe qu’elle embrassa d’abord et pris en bouche ensuite. Il lui tenait la tête mais c’était elle qui rythmait son tempo. Je tournais autour d’eux pour chercher le meilleur angle de vue malgré l’éclairage tamisé et je prenais plaisir à la voir si gourmande. Il lui enlevait la robe qui ne masquait plus grand chose et elle se retrouvait en soutiens-gorge et bas, avec toujours ce sexe si imposant dans sa bouche. C’est lui qui la basculait à nouveau en arrière, lui laissant toujours le plaisir de profiter de son sexe dressé mais s’ouvrant ainsi le chemin pour la fouiller de ses doigts. Les deux amants ne cessaient de vérifier mon bien être, car pour eux il n’y avait aucun doute possible ils se régalaient. Ma femme le fit s’allonger sur le dos et le repris en bouche. C’est fou le pouvoir des femmes dans ces moment là !
Cette fois c’est elle qui relâchait de son emprise sa tige de chair pour remonter l’embrasser et ainsi le chevaucher pour le branler avec sa chatte dégoulinante d’excitation. Je savais qu’il n’était pas protégé, je ne savais pas s’ils en avait conscience dans l’euphorie du plaisir mais je ne pouvais les arrêter étant moi même hypnotisé par cette scène ensorcelante pour moi. Je crois que j’étais au sommet du plaisir et devait garder le peu de sang froid qui me restait pour ne pas jouir tout seul !
Sûrement à la limite de céder à la pénétration non protégée, elle est redescendu le prendre en bouche. Cette manœuvre lui a permis de se libérer un peu et s’armer d’un préservatif pour la prendre ensuite dans un missionnaire sensuel. Il ne faisait pas l’amour bestial auquel ils m’avaient « habitué », ils faisait l’amour tout simplement, leur jeux de langues complétant à merveille les à coups qu’elle subissait. Elle le pivotait pour se retrouver sur lui et imprimer à son tour le rythme et l’intensité qui la mènerait a un orgasme puisant et profond. Ils n’étaient pas pour autant rassasiés et après l’avoir fait assoir, elle s’empalait sur lui. Il jouait de sa bouche sur ses seins et ses lèvres, elle criait de plaisir et de satisfaction car elle savait qu’elle me rendait heureux dans ces positions que j’avais imaginé mille fois. Le temps de reprendre sa respiration, c’est à nouveau en missionnaire puis en levrette qu’il l’amenait aux plaisirs ultime. C’est comme s’il avait le « mode d’emploi » de ma femme et chaque positions faisait mouche. Quand à moi, cela devait faire 3 heures que je bandais, une énorme envie de pisser que je n’arrivait pas à soulager mais j’étais le plus heureux des cocus !

Ils firent une pause, le temps pour nous trois de boire un peu d’eau et de fumer une cigarette sur son balcon, alors que lui préparait une table de massage improvisée sur son lit. À notre retour il nous invita à rejoindre son lit, ni ma femme, ni lui n’avait oublié ce massage promis. Ma femme pris place sur le ventre et moi sur une chaise posée pour moi à côté du lit. Il y alla délicatement, si doucement que j’ai eu peur que ma femme s’endorme, commençant par le dos, puis les fesses, puis les jambes et les pieds. De temps en temps une de ses mains s’égarait entre ses cuisses mais cela ressemblait à un massage traditionnel à une différence près, c’est qu’ils étaient nus et que la situation pouvait basculer très vite. Impatiente, c’est elle qui se retourna, lui offrir ses seins à parcourir et à choyer et de sa main elle partait à la rencontre de son sexe toujours ben érection. Attentionné à son massage il la repoussa deux ou trois fois pour ne pas se disperser, mais ça en était aussi trop pour lui et après quelques caresses ils se retrouvèrent en 69. J’en profitait pour aller lui chercher les préservatifs qui était dans le salon et restait un peu caché dans le couloir sombre à écouter leur bruits de succions. Je prenais autant de plaisir à les écouter qu’à les voir, et je sentais que ma présence n’était plus une condition non négociable au plaisir de la femme. Je lui fit voir un préservatif mais en enfilait à mon tour un aussi, j’avais envie d’elle, besoin d’elle, décharger toute l’excitation qui m’avait envahit depuis bientôt 5 heures. Je me doutais que je ne tiendrais pas longtemps en elle mais je voulais la satisfaire à mon tour. Allongée sur le dos, ma queue entre ses cuisses et celle de notre complice dans la bouche nous partagions ce moment à 3. J’avais envie de l’aider à sucer ce membre qui avait l’air si bon quand il était dans sa bouche et nous nous sommes amusés de nos langues sur sa longue queue. De près, elle a l’air encore plus énorme, c’est quand même impressionnant !!! Comme je l’avais pensé, je n’étais pas très endurant et il pris le relai pour faire jaillir de ma femme quelques nouveaux orgasmes. Nous étions tous crevés et nous mirent peu de temps à nous endormir après avoir un peu hésité à savoir qui dormait avec qui. Finalement nous redevenions un couple conventionnel et ma femme s’écroulait dans le creux de mon épaule. Endormir, enfin pour qu’ils s’endorment car après toute ces émotions je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Les images défilaient dans ma tête au même rythme que les secondes qui passaient. Vers 6h sans avoir trouvé le sommeil, je me levais pour commencer à écrire le récit de cette soirée. Peu après 7h j’entendais une porte qui s’ouvrait puis plus rien. Était-ce elle qui allait le rejoindre ? Ou lui qui qui faisait le chemin inverse ? J’avais ma réponse quelques seconde après quand il vint me rejoindre dans le salon. Il nous fit couler 2 cafés et nous avons parlé de notre soirée, de cet amour si fort qu’il ressent entre nous, de ce regard amoureux que j’ai pour elle dans ces moments intenses

Il me dit ensuite qu’il allait filer à la douche et je lui proposa d’aller réveiller la miss. Un peu étonné il accepta mais après une brève douche. (Ce qui suit, c’est ce qu’on m’a dit par contre !) Il se dirigeât vers la chambre et j’attendais pour les suivre. Et quand je me décida à les rejoindre, la porte était fermée. Comme dans les films je cherchait à regarder par le trou de la serrure mais ne voyait rien, je collait mon oreille à la porte mais je n’entendais que moins ce qu’il se passait de l’autre côté. Totalement désemparé, je me masturbais derrière cette barrière opaque pour faire descendre ma frustration intense. Il me semblait entendre chuchoter par moment puis dés moments sans bruits. Mon cerveau s’évade mais je ne suis pas bien. Plus aucun sens ne m’aide à distinguer ce qu’il se passe. Si j’entendais le lit grincer je serai rassuré, si je l’entendais gémir je le serai également. Mais la j’étais paumé. J’ouvrais donc la porte au risque de les déranger mais j’avais atteint mes limites. Ils étaient allongés en parallèle et il l’a caressait tendrement. Plus tard dans la voiture j’ai su qu’elle avait vu que c’était lui et qu’après un baiser il a un peu embrasse ses seins et son corps mais l’envie matinale d’aller soulager sa vessie n’aurait pas permis d’aller plus loin. Mon arrivée était donc le bon moment choisi pour se lever et aller partager un café à 3. Deux cafés-clopes plus tard je les laissais pour aller aux toilettes, je prenais mon temps. Quand je revint dans le salon, elle était adossée à lui, les seins découverts et caressés, une mains qui plongeait de temps en temps entre ses cuisses. Quand à elle, elle lui caressait les genoux. Il se releva pour retourner déguster son entrejambe et je voyais le corps de ma femme se tendre, il lui faisait un effet certain, encore. Alors que j’embrassais ma femme je lui chuchotais de se branler avec son gland nus. Les pousser dans un jeu de frustration un peu. Qu’elle prenne son plaisir avec son sexe et qu’elle le veuille en elle alors que ce n’est pas possible et que lui non plus ne veuille arrêter mais ne puisse aller plus loin sachant que les préservatifs étaient dans la chambre. Mais il prit les devants et nous amena dans la chambre. Après l’avoir un peu sucé il replongea entre ses cuisses alors que j’occupais la place bien au chaud dans sa bouche de mon sexe. Quand il arrêta c’est moi qui prit sa place en la pénétrant fortement lui arrachant les derniers orgasmes de la matinée. Elle le suçait goulûment et une fois de plus je ne put résister à l’aider de ma langue. Elle enchaînait les orgasmes alors que deux heures avant elle ne souhaitait pas vraiment remettre le couvert ce matin. Il était temps pour nous de nous éclipser après une bonne douche, profiter de nous et de toutes ses émotions accumulées. Dans la voiture, le debrieth fut tout aussi excitant qu’enrichissant, la soirée fut imparfaitement parfaite, je suis encore plus amoureux de ma femme, plus passionné que jamais. Et j’en sais désormais un peu plus sur les limites, il me faut au moins un sens en éveil pour profiter de mon candaulisme sereinement, voir où écouter sont les conditions nécessaires à mon plaisir...
zztop, Stephen de Lille, sam17 et 3 autres a liké
#2477751
Notre dernière rencontre avec David nous avait apporté énormément d’émotions, de sensations nouvelles, physiques et psychologiques. Le débriefing qui s’en est suivi dura bien quelques jours, chaque image qui nous revenait était un nouveau sujet que l’on prenait plaisir à développer, était aussi pour nous une source d’excitation qui rendit pas mal de moments encore plus intenses. Nous étions sur notre petit nuage, à divers degrés. Il fallait qu’on le revoit et rapidement nos textos échangés allaient en ce sens.

Lors de notre précédente soirée qui était délicieusement parfaite, je n’avais pas pu savourer à sa juste valeur les visions qui m’étaient offertes : à trop imaginer les scènes avant de les vivre, j’avais fait disparaître de mon esprit un peu de la folie pourtant bien présente. Les journées qui ont suivi ont paradoxalement été presque plus excitantes que la soirée elle-même pour moi. Je n’avais qu’à penser quelques secondes au spectacle que ma femme et son amant m’avait offert pour me mettre à bander. Je me rends compte aussi qu’à trop vouloir prévoir les choses, j’avais mis une pression bien trop lourde à porter pour ma femme. Elle aurait pu y perdre sa spontanéité et aussi son plaisir. Je ne voulais donc pas renouveler les mêmes erreurs, mais là encore entre vouloir et pouvoir il y a un fossé bien trop large pour moi.

Après avoir trouvé un créneau de disponibilités commune, David était donc convié à passer la nuit chez nous, un match retour en somme. Au fur et à mesure que les jours nous rapprochaient de cette soirée, mon esprit s’échappait encore dans des fantasmes fous. Cela me mettait dans une excitation folle que ma femme peinait à combler. Je lui faisais part de quelques bribes de mes pensées, j’en partageais aussi avec David. En diluant un peu les informations à chacun d’eux, j’espérais ne pas les submerger.
Les cinq derniers jours, la passion de notre amour n’a jamais été aussi puissante. J’avais ce besoin de profiter de chaque secondes d’elle pour mieux pouvoir la « confier » ensuite. La journée du mardi arriva, ça y est nous y étions. Et finalement nous étions beaucoup moins accablés par la pression que ce que nous ne l’imaginions. Anna bossait normalement quant à moi, je terminais tranquillement de préparer notre petit repas léger du soir. Je savais que ma femme avait sa tenue en tête pour la soirée, mais elle voulait que ce soit aussi une surprise pour moi, et je me languissais de la découvrir sûrement très sexy. C’est vers 17h, quand nous sommes montés prendre la douche que ma femme a commencé à prendre conscience de ce qui l’attendait. Je voyais son comportement doucement changer, elle rentrait peu à peu dans son rôle et me faisait rentrer encore plus dans le mien. Ce soir je ne serai plus son homme, mais j’aurai la plus belle place pour les regarder. Une fois la douche prise, je devais la laisser se préparer pour ne la revoir que quand elle l’aurait décidé. L’impatience prenait place, les premières émotions aussi. C’est la frustration de la sentir se faire belle pour un autre sans que je ne puisse ni l’influencer ni la guider.

Une demi-heure avant l’arrivée de son amant, elle me rejoignit enfin, elle était sublime, une tenue sans équivoque qui la rendait irrésistiblement bandante. Je voulais vivre des émotions fortes ce soir, je sentais que j’allais être servi. Je voulais pousser chaque sensation de mon corps à leur paroxysme. La frustration, la jalousie, l’admiration, l’envie, le désir, l’excitation tout y passerait mais je ne pouvais imaginer à quelle intensité encore. Il arriva à l’heure annoncée par son GPS, et j’ouvris la porte pour l’accueillir.


Il n’eut que deux pas à faire avant d’aller à la rencontre des lèvres d’Anna, dire qu’avant lui c’était un de nos rares interdits et que maintenant c’est le plus naturellement possible qu’ils s’embrassent devant moi. C’est les règles du jeu et pour rien au monde je ne voudrai en changer. Il me semble qu’ils se sont embrassés deux fois, avant que nous ne le débarrassions. Il avait apporté un bouquet pour sa « femme du soir » et une bouteille de vin qu’on allait pas tarder à ouvrir. Le temps que ma femme mette les fleurs dans un vase, il s’était glissé derrière elle à la recherche de coutures de sous-vêtements éventuels. Il était rassuré, sa robe était portée à fleur de peau. Ils s’installèrent sur le canapé et je prenais place sur le fauteuil en face.
Entre deux discutions nous plaisantions de mon statut d’invité. Anna se leva pour nous apporter le repas et David la suivait du regard. À chaque pas, la robe remontait pour notre plus grand plaisir pour s’arrêter au pli des fesses. Il plaisantait de la situation, ma femme en jouait et j’étais fier et amoureux. On grignotait plus que ce que l’on mangeait mais entre chaque bouchées, David posait ses lèvres dans le dos dénudé de ma femme. Quant à sa main, elle ne cessait de la caresser. Peu à peu la main d’Anna se calât sur la cuisse de son amant parcourant délicatement sa jambe. Après avoir débarrassé brièvement, je leur proposais un café. Nous étions tous les 3 debout et le temps de faire couler le premier café, David entraina ma femme dans une danse sensuelle et langoureuse. Elle se laissât guider en arrière pour se faire basculer sur le canapé. Il avait dans sa manœuvre déjà dégrafé la robe d’Anna qui se retrouvait sexe et seins à l’air, bientôt recouverts par les lèvres et les mains de son amant. J’avais compris que c’était inutile de faire couler les autres cafés et pouvais me caler confortablement pour les regarder. Il la dévorait que ce soit la bouche, les seins ou la chatte, il jouait parfaitement de sa langue, de ses lèvres et de ses mains pour guider sa proie vers le chemin du plaisir. Elle chercha à défaire sa ceinture, et il l’aida pour délivrer sa queue qui l’appelait. Elle le pris en main et se rendit compte que David était dans le même état d’excitation qu’elle. Elle se cambra vers lui pour le prendre en bouche, son goût lui avait peut-être manqué tant elle le suçait avec passion. En quelques minutes nous étions passés de l’ambiance joueuse à une saveur torride. Ils prirent plaisir à temporiser un peu et me réclamer les cafés que je m’empressais de faire couler. Café et clope ingurgité, David nous proposa de continuer leur moment dans notre chambre. La encore avant lui aucun complice n’avait franchi la porte de notre nid conjugal, mais c’était l’homme des premières et c’était évident que nous ne lui refuserons pas. On avait même anticipé cela car je m’étais installé une chaise à côté du lit. Anna était la plus rapide à se dévêtir, quoi de plus logique car il ne lui restait pratiquement plus rien sur elle et s’installa sur le lit.

David la rejoignit et se lova sur elle, leurs lèvres soudées entre elles dansaient au rythme de leur langue. Ma femme le pivota et se mit à califourchon sur lui. Leur sexe frottaient l’un contre l’autre à la cadence de leurs baisers. Leurs mouilles se confondaient, ils se désiraient comme peut être jamais et je pris mon téléphone en guise de lumière pour être certain qu’il n’était pas déjà en elle. Sûrement pour éviter tout dérapage non protégé, elle se décala pour le reprendre en bouche. Elle le léchait, l’embrassait, le suçait, l’aspirait, le pompait, n’épargnant aucune zone de son sexe, il était sous son emprise et David dû se résoudre à l’interrompre sous peine de jouir trop rapidement. Il prit le temps de reprendre la maîtrise de son excitation et lorsqu’il se penchât pour attraper un préservatif, elle le reprit en bouche. Elle avait sûrement trop envie de le sentir en elle et lui laissât recouvrir « la bête » surnom qu’elle a donné à son sexe. Il se dressa face à elle, elle lui agrippa le sexe pour le glisser en elle. Toutes les variantes du missionnaire étaient épuisées et chacune apportaient son lot de plaisirs et de jouissance. La jalousie m’envahissait car il se faisait de plus en plus complices, les baisers de plus en plus fougueux, leurs jeux non-sexuels plus intimes. Je flirtais déjà avec mes limites mais ce soir je savais que je les dépasserais.

Mon ventre se nouait parfois, ça devait faire la 3eme fois que je devais aller évacuer ce stress aux toilettes mais paradoxalement j’étais bien. Elle se mit dans sa position préféré et c’est en levrette qu’il lui offrit de nouveaux orgasmes. Il se connaissait parfaitement et retardait au maximum sa jouissance pour le plus grand plaisir de sa maîtresse domptée (il nous avoua bien plus tard qu’il se récitait la table de 9 pour se calmer un peu !!!). Il se retira pour retourner lécher l’entrejambe de ma femme, essayer de la préparer à une sodomie auquel son corps se refusa. Il se déporta sur le côté pour reprendre une capote et intuitivement elle le gobât à nouveau, affamée de sa longue queue. J’avais besoin d’une pause et m’inséra en elle. Je la regardais le sucer avec envie pendant que mes va-et-vient me faisait monter très vite vers la jouissance. Il prit le relai et la chevaucha pour lui soutirer encore de nombreux cris de plaisir avant que ce ne soit la soif qui mît fin au round 1

Je descendais fumer une cigarette quand Anna me rejoignit. Elle m’annonça que le round 2 débuterait par un massage. Je remontais derrière elle, la regardant prendre place sur le lit et David entamait son étreinte sur son dos tendrement mais efficacement. De mon côté, Je savais qu’il ne faudrait pas grand-chose à ce massage pour à nouveau déraper, et alors que ma montée d’adrénaline commençait à ralentir, je décida de couper le son de la musique douce pour aller m’installer dans la chambre d’à côté. Seulement guidé par le bruit de leurs corps j’allais de nouveau m’imaginer tant de choses qui me feraient autant de souffrances mentales que d’excitation. Mon esprit s’évadait plus loin à chaque bruit, à chaque chuchotement que je ne pouvais comprendre. Mon sexe bandait à m’en faire mal et je ne pouvais me résoudre à me branler. En seulement quelques mouvement, je jouissait à nouveau mais malgré cela mon sexe ne perdait pas de sa rigueur. Je ne pouvais attendre plus et m’avançait discrètement dans l’encadrement de la porte pour les observer sans qu’ils ne le sachent. Je n’entendais pas la plupart des mots qu’ils échangeaient, masqués par les bruits de leur cavalcade. Je n’étais pas rassuré, volontairement blessé de la voir jouir sans savoir qu’elle était aidée par mon regard alors je m’avançais reprendre position sur ma chaise, lui faire voir que j’étais la avec elle, pour elle.
Encore quelques positions qui eurent le don de lui donner encore beaucoup de plaisir mais aussi de me refamiliariser avec la situation et ils s’arrêtèrent, repus.

David fila à la douche alors que nous sommes descendus ma femme et moi fumer une cigarette mais surtout se serrer fort dans les bras. J’avais besoin de me ressourcer, de faire une nouvelle pause dans ma « montagne russe émotionnelle ». il nous rejoignit échanger quelques mots et boire un verre avant que l’on aille se coucher. Nous l’avions énormément évoqué entre nous et le fait qu’ils dorment ensemble était quelque chose qui me tenait à cœur. Nous en avions textoté avec David aussi et les quelques allusions lancées pendant le repas me confirmaient qu’Anna accèderait à ma demande. Naturellement, ils allèrent se coucher, elle prenant mon côté du lit pour que je sois dans ses pensées auprès d’elle et lui a ses côtés. Je vins l’embrasser et leur souhaiter bonne nuit. À chaque fois que j’y avais pensé je m’imaginais être réveillé au milieu de la nuit par ses gémissements, j’idéalisais ce moment. Ils bavardèrent un peu, je compris aussi qu’elle se démaquilla à ses côtés, et ensuite je me mis à analyser chaque bruits émanant de leur chambre. Ils laissèrent une petite lumière une dizaine de minute et j’entendais beaucoup de bruit de literie et de draps. Je me relevais discrètement pour aller voir si ce que j’entendais correspondait à ce que j’imaginais. À peine debout, la lumière s’éteignait ce qui les plongeait dans le noir le plus total. Je perdais une nouvelle fois mes repères et m’approcha au plus près de la porte. Les bruits se faisaient plus rares et je n’osai plus bouger pour ne pas être démasqué. Un craquement de genou et Anna compris que je n’étais pas loin. Elle m’appela, et je sorti comme excuse que oui j’étais debout pour brancher mon téléphone. Je saurai quand elle lira mon texte si elle m’a cru (oui elle m’a confirmé que j’étais crédible !!!) . Je retourna me coucher, j’essayais de détecter chaque bruit de tissu, de bouche, je m’en suis sûrement beaucoup inventés aussi.

Chaque heure de la nuit je me suis levé pour aller aux toilettes, le stress déjà accumulé ainsi que le stress qui continue à s’accumuler mettent à mal ma vessie et mon estomac. Vers 5 heures, il s’est levé pour aller lui aussi aux WC, j’en ai profité pour aller embrasser ma femme qui dormait paisiblement. Plusieurs fois j’ai cru entendre des bisous brefs puis des mouvement de draps mais ce n’est jamais allé plus loin. Un petit peu plus tard, vers 6h15, elle s’est réveillée peut être aidée par ses caresses, ils se sont embrassés, mais elle s’est rendormie juste après avoir regardé l’heure. Toute l’émotion emmagasinée au cours de la soirée et sûrement la peur de rater un potentiel ébat nocturne m’ont tenu éveillé toute la nuit. Chaque bruit a fait se tendre mon sexe. C’est une expérience tout autant excitante que piquante mais c’est exactement ce que je recherchait

Vers 7H15, encore une fois, j'ai pu percevoir quelques bruits mais vite estompés. La fatigue ainsi que les bruits du quotidien rendaient encore plus difficile mon rôle d'espion auditif. C'est quand même bizarre de guetter le moindre son que peuvent produire sa femme et son amant dans son propre lit alors que je n'y suis volontairement pas invité. Il ne m'a fallu que quelques minutes supplémentaires pour distinguer une vraie activité, la lumière du jour qui passait au travers des volets m'incitait à me lever et me rapprocher d'eux. Je ne pouvais par contre plus me mettre dans l'encadrement de la porte au risque d'être découvert. Je gardais cette opportunité au cas où les bruits deviendraient plus significatifs, ils chuchotaient et je ne comprenais pas grand-chose à leur discussion. Je les imaginais entrelacés en train de se caresser quand je compris que ma femme allait se lever pour ses besoins matinaux. Pas le temps de me cacher alors elle m'embrassa en passant devant moi. Quand elle revint, je me suis mis à l'écart pour lui faire comprendre qu'ils pouvaient continuer leur "réveil corporel" sans moi, mais contre toute attente ou plutôt contre tous mes espoirs, elle décida d'ouvrir fenêtres et volets tout en nous invitant à aller boire un café. Je reconnaissais le coté non-matinal de ma femme. Nous avons enfilé le minimum pour ne pas être nu et chacun repris sa place de la veille. Madame et son courtisan sur le canapé et moi en face. Nous avons parlé de tout et de rien, un peu des émotions qui m'avaient submergés, et ma femme me fit comprendre qu'elle n'avait pas envie de coquineries supplémentaires.

Ils savaient tout deux une envie que je leur avais soumise : prendre la douche ensemble. Le rapprochement des corps dans une douche sensuelle rendait ce moment d'un érotisme sans pareille, je les regardais derrière cette paroi de verre la bite tendue. Ma femme m'invita à les rejoindre, collés l'un et l'autre à elle. Elle prit dans chacune de ses mains nos sexes et comprenait à notre excitation que le dérapage était imminent. Elle freinât immédiatement nos ardeurs, elle sentait que j'aurai besoin de me réapproprier son corps tout le reste de la journée et qu'une séance torride supplémentaire malmènerait trop son sexe pour me l'offrir à nouveau quand nous serons seuls. Chacun s'est donc rincé à tour de rôle puis rhabillé pour partager un dernier verre ensemble avant qu'il ne nous laisse profiter de notre journée.

Encore une fois, David a été exemplaire dans son respect de notre couple, de nos désirs, et il nous a donné envie de faire exploser toutes les dernières limites que nous réservions à notre couple.

De mon côté, je me rends compte que j'ai poussé volontairement le jeu à son comble. Ce jeu capable de faire encore plus de mal que ce qu'il peut exciter. Tout ce que nous avons vécu, je l'avais imaginé 1000 fois, je l'avais au moins autant espéré et je pensais le surmonter aisément. Je me rends compte que ce n'est pas si facile, j'ai serré Anna dans mes bras sans discontinuer pendant plus de 3 heures. On dit aussi que l’estomac est notre deuxième cerveau, et ce n’est pas anodin si j’ai eu besoin d’aller au total plus d’une dizaine de fois aux toilettes. Nous avons longuement discuté de tout l'enchainement qui s'est fait si naturellement, des détails que je n'avais pu voir ou entendre, et son seul regret est de me sentir comme angoissé. Moi je ne regrette rien, je sais que nous n'irons plus jamais aussi loin dans le candaulisme mais nous avons déjà évoqué quelques variantes pour les prochaines soirées....

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