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#2532396
épisode 1

en sortant du métro je n’étais pas très à l’aise, j’avais l’impression qu’on pouvait lire sur mon visage où j’allais, et bien que j’étais décidé, que je savais que je passerais le sas, je n’avais aucune idée de ce que j’allais trouver de l’autre côté. J’avais passé la soirée dans cet état particulier d’envie de sexe, une envie apriori, une envie informelle. Juste cette sensation d’étrange nécessité, du corps qui se concentre à l’intérieur du ventre entre les testicules et l’anus. Mon sexe attirait ma main, j’avais envie d’enlever mon pantalon et de me déplacer comme ça, une demi molle obsédante. Avec une fausse désinvolture, voulais-je qu’on me voie? J’avais envie de promener mon sexe, que toute ma vie on m’a dit de cacher, et mon corps ne voulais plus supporter de vêtement.

En marchant sur ce trottoir dégagé à cette heure-là, je sentais mon corps, ma peau sous mes vêtements. J’avais pris un losange bleu de viagra…à tout hasard, et je sentais monter l’effet, mon cerveau s’engourdir un peu et mon visage chauffer. La ville me semblait prendre des reflets bleus.

Le club se trouve dans une rue qui descend vers une place, à côté d’une ancienne boîte de nuit abandonnée. L’entrée se fait par une sorte de hall aveugle, par une porte presque dérobée à la vue. Une porte aveugle elle aussi, à peine éclairée par un luminaire à LED changeant de couleur. Dans la rue les passants me semblaient moqueurs et après avoir sonné, je me demandais si j’avais encore envie d’être là. Mais la porte vibra d’une secousse électrique et je l’ai poussée. Il y a un sas qui permet à l’hôtesse de voir qui est entré avant d’actionner à nouveau l’ouverture. Derrière son comptoir elle est naturelle, accueillante, précise et blasée. Derrière elle monte un escalier peu éclairé et on entend déjà une musique rythmée de boîte de nuit. On ne peut pas dire qu’elle soit très sexy, elle porte un short et un t-shirt pratiques pour la température ambiante, elle me tend une serviette et un bracelet de piscine en silicone où est attachée la clef du box 33. Elle m’indique le vestiaire où des affiches reprennent les consignes, pas de téléphone, pas de drogue etc…

J’ai l’impression d’être à la piscine, j’hésite à prendre mes lunettes qui sont embuées depuis un an. En boxer je monte les escaliers vers la petite salle remplie de musique et seulement éclairée par quelques spots. Il y fait chaud et je doute de ma curiosité. Il y a là quelques couples attablés mais surtout des hommes, comme moi en caleçon. Le bar est accessible et les boissons sont à discrétion, je commande une vodka tonique pour me donner une contenance. Le bar est placé sous un escalier qui mêne à deux grandes alcôves ouvertes et deux plus petites alcôves plus fermées, l’une entièrement sombre et l’autre plus éclairée et fermée d’un côté par des barreaux. Les deux grandes alcôves sont peu éclairées mais on y distingue un groupe de corps. Au centre je vois le dos d’un homme qui s’active à pénétrer doucement une femme dont je ne voit que les jambes et les bras, autour d’eux cinq ou six hommes assez proches qui se partagent les mains de la femme sur leur sexes ou qui se masturbent doucement.

Un des hommes est chauve et blanc, assis en tailleur il ne manque rien de la scène mais semble plongé dans une méditation. Il triture sont sexe. D’autres hommes sont là debouts en silence et observent la scène.

Après avoir fait un tour dans cette ambiance je redescends vers le bar, les couples n’ont pas bougés et je remarque un fumoir derrière une porte coulissante. Je vais fumer une cigarette et j’entreprends la conversation avec deux fumeurs, les deux sont maghrébins, l’un semble plus habitué que l’autre et les deux se désolent qu’il y ait si peu de monde par rapport à hier.

Je retourne au bar et commence alors vraiment la soirée. Je demande un verre quand une femme entièrement nue vient se placer à côté de moi. Elle a dans la trentaine, je la regarde tranquillement et c’est alors que je commence à apprécier l’ambiance, alors que tout le monde est plus ou moins nu, il y a un grand naturel. Tout le monde est là pour ça et il n’y a pas de concupiscence à regarder une personne nue à côté de soi. Au contraire, elle s’assied sur un haut tabouret et elle engage la conversation, en me faisant remarquer qu’elle m’offrirait volontiers une verre mais que c’est open bar, je lui sourit, elle me sourit et me demande si je suis monté?

Je lui dit que oui mais que c’est un peu encombré. Elle me dit qu’elle m’a vu et que ma présence un peu curieuse, un peu absente l’a intrigué. Je regarde son corps et je me rend compte que c’était elle qui était couverte de corps. Cette idée me fait bander et je vois qu’elle le remarque d’un sourire. Elle passe sa main sur ma cuisse et sur mon sexe. Notre conversation ne dure pas parce que des hommes qu’elle semble connaître viennent s’y immiscer. Ils la touchent avec douceur, et lui propose de monter avec eux, mais gentiment elle leur dit qu’elle descend à peine et qu’elle fait une pause.

Elle s’en va vers les douches suivie par deux ou trois gars qui s’étaient approchés, ce sont ceux qui étaient sur ou autour d’elle et qui commentent vaguement l’action. Je prends mon verre et j’aborde un couple dont j’ai croisé quelque fois le regard, je leur demande si je peux m’installer près d’eux et très gentiment ils m’invitent à leur table, l’ambiance commence à me plaire, la vie me semble si simple. L’homme est chauve et buriné, il porte une chemise de jeans ouverte et des baskets et c’est tout, son corps est tatoué de noir en grands motifs et son sexe épilé pend librement, sa femme , cheveux court apprêtés, mèches, est joliment boudinée dans un robe noir au reflets plastique très courte et qui montre des bas rouge assortis à un soutient gorge dont on voit passer les bretelles sur son dos dénudé.

Très vite j’apprends que le monsieur a roulé sa bosse un peu partout, qu’il est depuis longtemps dans le milieu libertin, en tous cas depuis plus longtemps que la dame, ils élèvent et recueillent des chiens. Le monsieur me dit de me mettre à l’aise parce que sa femme lui a fait remarquer ma présence au bar et s’étonnait que la conversation avec Unetelle ne m’ait pas fait monter avec elle dans les alcôves. La dame me demande si je cherche plus mûr. Sur ça elle me regarde gentiment en souriant et passe sa main dans mon boxer. Le mari sourit et continue la conversation avec moi. Depuis tout à l’heure elle se demande comment est ta bite me dit-il.
La dame pour être plus à l’aise baisse mon caleçon et exhibe mon sexe. Je me sens à l’aise et je sens le sang gonfler mon sexe. La dame se penche et prend mon sexe en bouche le plus naturellement du monde. Son mari jovial me dit qu’elle ne peut pas s’en empêcher , comme s’il excusait sa femme. Je porte mon verre à la bouche et je sens la bouche chaude de cette parfaite inconnue aspirer mon gland et tout mon sexe dans sa bouche. Je bande immédiatement. Le mari me dit qu’elle aime les poilus et me fait un grand sourire.

Pendant que la femme s’affaire, le mari lui glisse une main dans le soutient gorge et fait saillir deux beaux gros globes blancs, en lui triturant sans trop de ménagement les tétons. cette scène attire autour de nous quelques hommes présents, mais cette présence bien que très tranquille est un peu avide et la dame s’interrompt. Je m’attends à ce qu’elle nous propose de passer dans l’une ou l’autre des alcôves, mais non, elle se réinstalle et bois une gorgée. Je reste le sexe à l’air, très tendu.

Elle me dit qu’elle aime beaucoup ma queue. Je la remercie. Je lui demande si elle ne veut pas continuer dans une alcôve et elle me répond qu’elle préfère laisser partir la horde. Elle se penche vers son mari et lui dit quelque chose que je ne comprends pas mais qui le fait sourire et acquiescer. Elle se penche vers moi et me dit très près qu’elle vient de lui dire que j’avais une bonne queue et qu’il aimerait sûrement aussi. Elle m’interroge du regard tandis que son mari me fait un geste de familiarité en levant son pouce. Elle prend ma main et m’entraîne vers une alcôve qu’on peut fermer et qui se trouve au rez de chaussée de l’établissement, dans l’escalier elle se retourne pour me dire qu’on sera plus tranquilles et elle pose un bisou sur mon sexe. Le mari nous a suivi mais non sans avoir vidé son verre. On laisse le bar là haut et on entre dans une petite pièce peu éclairée mais où on distingue une croix de saint-André. Le mari ferme un rideau pendant que sa femme enlève ses vêtements. Elle est ronde, douce et grasse, ses seins pendent lourdement et elle porte un minuscule triangle de poils pubien. Je bande toujours et j’ai envie qu’on s’occupe de mon sexe. Á genoux la femme reprend mon sexe dans sa bouche mais d’une façon plus vorace, le bruit de ses succions m’excite, son homme se secoue le sexe en souriant, elle me demande si son mari peut goûter et sans attendre vraiment ma réponse tend mon sexe à son mari, qui me suce très agréablement, presque mieux qu’elle.
Bernard68, dodoseba, mli1 et 21 autres a liké
#2532456
Je ne sais que penser mais c’est très bon, elle s’affaire sur son homme et il bande immédiatement très dur. Elle lui masse les couilles et lui me fait pareil, avec…une vraie tendresse.

c’est elle qui dirige la manœuvre et l’homme se couche pendant qu’elle l’enfourche, elle place son sexe sur son visage et suce sa bite en me faisant signe de m’approcher. Elle prend nos deux sexes l’un après l’autre dans sa bouche et puis elle tente de les sucer en même temps. Ce contact avec le sexe de cet homme est troublant. Elle nous branle en même temps en nous faisant frotter les deux sexes l’un contre l’autre. Elle souffle un peu et je comprend que la langue de son mari la fouille comme elle aime.

Après un moment elle se retourne et sans plus de précaution elle s’empale sur le sexe de son mari. Elle me fait signe de venir à hauteur de son visage et elle me place au-dessus de lui. Elle remue son ventre et me suce en même temps, mais pour placer mon sexe dans sa bouche je suis obligé de surmonter le visage de l’homme, ce qui semble les satisfaire. Je sens alors la langue du mari chercher mon cul et la bouche de sa femme gober ma queue avec l’intention d’en aspirer tout le sperme. Je ne sais pas quoi penser mais je bande comme un âne. Je ne sais pas combien de temps cette double léchage a pu durer mais j’ étais au bord d’éjaculer. Je jouissais déjà. Elle aussi. Elle remuait comme une possédée. Puis sentant ma queue turgescente elle me dit de passer derrière elle.

Á regret et le cul trempé, je me place derrière elle, mais elle n’a aucune intention de cesser les aller et retours du sexe de son mari dans son vagin. Un peu désorienté je reste là, frustré. C’est le mari qui me dit qu’elle veut que je l’encule. En fait, il me l’expliquera ensuite, il est fan d’anulingus, et il préparait le cul de sa femme parce que dans l’excitation elle aime beaucoup se faire "remplir" comme il m’a dit.

Je pose mon gland sur l’anus de la femme et sans effort je la sens enrouler son cul sur mon gland, d’un demi gland d’abord et puis en trois mouvements le gland entier. J’avais eu à peine le temps d’enfiler une capote, qu’elle brillait déjà dans le cul de cette inconnue. Pousse! me dit elle et sans attendre elle combine les mouvements de son mari dans sa chatte et les miens dans son cul.

J’étais déjà bien excité mais là, j’étais sur le point de me vider les couilles d’un coup. Mais après de grands coups au fond de son cul qui l’ont fait gémir, elle me demande de rester à l’entrée, c’est là qu’elle sent le mieux.
J’ai alors sorti mon gland, puis refourré dedans et ainsi de suite, jusqu’à ce que sous la symétrie des coups de queues elle s’est figée en râlant et serrant son cul sur mon gland. Le mari, je l’ai bien entendu, reconnaissant le signal de la jouissance de sa femme est parti d’un coup et moi qui était au bord depuis un moment je me suis senti envahir par une nécessité impérieuse et sans que j’y puisse plus rien j’ai giclé dans ma capotte, le gland compressé par les spasmes de cette femme.

Ils trouvaient ça bon tous les deux et s’embrassaient à pleine bouche, comme si je n’avais pas été là. Ils se disaient comme ils s’aimaient et moi me sentant un peu intrus j’essayais d’enlever mon sexe du cul de la dame.
Non reste encore un peu, enfonce toi bien au fond tant que tu bandes, m’a-t’elle demandé. J’ai enfoncé ma queue au fond, elle a soufflé puis s’est affalée sur son mari qui en a rit.


Après quelques instant on s’est relevé, et bien que ma queue s’amollissait je me sentais bien et fier. On est allé à la douche ensemble et la femme me dit qu’elle l’avait bien senti passer. Elle me dit je vais te sentir dans mon cul, dans un grand sourire. Ensuite je n’ai plus remis de caleçon de façon à ce qu’on voit bien mon sexe et les émotions qui passaient par là.

On est retournés au bar, où ils sont restés avec moi. Tout de suite quelques hommes se sont approchés et on vaguement caressé cette femme qui n’avait gardé que son soutient-gorge. Elle se comportait comme si les mains de ces hommes n’exploraient pas son anatomie. Elle buvait un verre au bar avec son mari, en l’embrassant de temps en temps et c’était comme si on étaient de vielles connaissances. J’étais frappé de la simplicité avec quoi elle déplaçait les mains baladeuses trop envahissantes et comme son mari appréciait qu’un inconnu doigte sa femme à côté de lui.

La jeune femme nue qui s’était placée à côté de moi au bar tout à l’heure est venue voir si on s’était bien amusé, les présentations furent faite et la dame a recommandé ma queue à cette autre femme. Comme si elle lui donnait une astuce pratique. J’étais un peu gêné mais l’alcool me désinhibant, j’étais au final plutôt satisfait. La dame expliquait qu’en tout cas dans le cul on le sent bien, et tout le monde de rire franchement.

La jeune femme s’est retournée vers moi en disant qu’elle prenait un ticket.

Là à l’instant je n’étais pas capable de grand chose et j’ai achevé mon verre tranquillement puis je suis allé fumer une cigarette. Quand je suis revenu au bar la jeune femme avait disparu, je suppose qu’elle était montée. Le mari m’a fait un petit signe pour m’indiquer qu’elle était en haut. Je suis allé voir et je pouvais deviner dans l’alcôve sombre une forme qui semblait être plusieurs corps qui baisent.

Je suis resté à l’entrée de l’alcôve puis j’ai entendu: "viens" le groupe de corps s’est ouvert et je me suis installé près d’eux. J’ai senti des mains sur ma queue mais je ne voyais pas à qui elles étaient, très vite, étonnement vite je me suis retendu, j’ai senti qu’on déroulait un préservatif sur mon sexe et je me suis plongé sur un corps que je ne voyais pas mais qui était ouvert et chaud. Ma queue a trouvé le chemin en une fois et je ne sentais que cette chaleur ouverte sous moi. Je ne voyais rien mais je sentais la sueur et je percevais les mouvements, ces petits bruits, ces petits mots, cette odeur et la sensation de chaleur m’ont pris la tête et je me suis mis à labourer ce doux sexe, je me suis transformé d’un coup en une machine à sexe et j’ai pilonné comme un âne. Je n’avais plus que l’idée de jouir à nouveau mais un temps de recharge était nécessaire. Je me sentais fort mais sans violence et je n’avais comme idée que de faire coulisser mon sexe jusqu’à jouir. Les longs mouvements qui occupaient tout le sexe sous moi, j’étais borné à les reproduire et les reproduire encore jusqu’au bout.
J’ai commencé à entendre des gémissements, puis sentir de la sueur monter et sur mon dos ou mes fesses des mains dont je ne savais pas à qui elles pouvaient être. La fille montait, je le sentais mais je n’y étais pas encore. J’ai senti gicler à côté de moi un branleur, ça m’a encore plus excité et malgré que je sentais que la femme jouissais je ne pouvais plus m’arrêter. Les soupirs faisaient gicler des gars dans le noir en direction de nos corps, elle repartait parce que je ne pouvais m’arrêter et puis sans prévenir, comme si ma prostate délivrait le sperme dès que possible, je suis venu d’un coup au fond de ce sexe et de ce corps que je ne voyais pas.

Je crois que j’ai du grogner un juron, c’était brûlant, presque douloureux. Un soulagement, une pression qui tombe. Je me suis écroulé sur ce corps et j’ai senti qu’on me serrait dans des bras fins. Je me suis affalé sur des seins couverts de sperme de je ne sais qui. C’était collant de sueur et de sperme mais tellement doux.
Après un moment je me suis retiré et j’ai été immédiatement remplacé, les soupirs ont repris dans le noir mais je suis sorti me doucher et en détachant ma capote de mon sexe flétrissant j’ai vu que j’avais très abondamment éjaculé.


Après la douche et une cigarette, retour au bar, ou le mari de tout a l’heure était carrément en train de sucer un homme qui pelotait sa femme. Je me suis un peu rasséréné et laissé sécher tranquillement.
La jeune femme s’est approchée de moi comme si de rien n’était et m’a proposé de monter avec elle, j’en étais bien sur incapable et je lui ai souri en lui disant qu’on en venait. Elle a paru ne pas comprendre et me dit que non…hélas.
C’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’elle n’avait pas pu me suivre d’aussi près puisque je l’avais laissée aux bras d’un autre dans l’alcôve sombre. Elle me dit que ce n’était pas elle que je venais de baiser, en rigolant. J’étais stupéfait, mais alors qui avais-je baisé? On est allé voir , dans l’alcôve sombre il y avait toujours les mêmes soupirs et cette odeur de sexe, il m’a semblé qu’il y avait encore plus d’hommes. La jeune femme me flattait un peu les couilles mais en pure perte. J’avais envie de bander mais c’était fini. Un peu dépitée elle me dévisageait. Un homme, son mari est apparu d’une autre alcôve en route pour les douches, il m’a fait un sourire et embrassé sa femme en lui disant qu’ils allaient y aller. Elle l’a suivi en lui caressant les fesses et en lui disant je ne sais quoi. Je suis redescendu encore éberlué.

Au bar la femme de tout a l’heure avait trois doigts dans la chatte et son mari lui caressait les seins. Derrière le bar la serveuse les grondait du regard. Je les ai salué et comme je commencait à être un peu vague, je suis parti. Douche , vestiaire, la demoiselle à l’entrée qui me demande si tout c’est bien passé et puis qui me salue et me voilà dans la rue. Je marche sur un nuage. Je sens mon sexe dans mon pantalon. J’ai un peu honte de n’être qu’un sexe, je reprends le métro, je redeviens moi-même.
mli1, homohabilis, michpat et 22 autres a liké
#2532474
Je suis content que ça t’ait plu. C’est comme ça que je l’ai vécu. Je ne suis pas très habitué des clubs mais hier ma compagne était partie et moi je dois rester parce que je bosse et j’avais une grosse envie.
Quand j’ai vu que ce club ouvrait l’après-midi, j’ai décidé d’aller y faire un tour.
malesaint, zztop, Wysiwyg et 1 autres a liké
#2536198
Vu le "succès" des récit de cette visite, voici le récit (et il pourrait y en avoir d'autres si ça plaît) d'une visite dans un autre endroit.

l'histoire est composée à partir de plusieurs moments différents et les noms sont, bien sûr, un peu arrangés mais si on veut on peut retrouver l'endroit. Ce pourrait-être un jeu de piste si quelqu'un reconnaît.

Il y'a deux morceaux, le premier met en contexte et le second est plus sexe. Les impatients sauteront au deuxième morceaux pour se branler tout de suite.

L'histoire ne s'est pas arrêtée là, vous vous en doutez. Si ça vous dit: il n'y a qu'a demander.



Il m’est arrivé des histoires bizarres au fur et à mesure de mes déplacements, j’ai raconté l’autre jour une visite dans une boîte qui, depuis des années, m’intriguait.

Je fais un métier qui me conduit à devoir me déplacer dans des villes qui ne sont pas la mienne et où la solitude à des effets d’exil. J’aime les gens mais je ne sais pas pourquoi je rencontre souvent des êtres étranges, mais peut-être que c’est la normalité qui est étonnante. Dès qu’il s’agit de sexe, on est tous exotiques pour les uns aux autres.

Cette ville-là je la connais pour y avoir été souvent envoyé et au final avoir vécu là des mois entiers. Cette solitude là, disons du voyageur de commerce, je la connais aussi. Le soir et jusqu’au-lendemain, une fois les dîners convenus terminés, il ne reste qu’un grand vide. Quand , l’hiver ou l’automne par exemple, on voit se précipiter les habitants chez eux pour les enfants, le repas, le journal télévisé ou je ne sais quoi j’essaye tant bien que mal de faire des courses et de me résoudre à manger seul en écoutant vaguement la radio, puis, avec le soir je me transforme, je deviens une sorte d’anthropologue et j’ai besoin de sortir voir la chair de mes contemporains, en tous cas ceux qui sont comme moi, désoudés, décollés et qui ont ce même temps à eux et aux autres.

C’est ainsi que je me trouve souvent à l’entrée d’établissements où il faut sonner et où invariablement on me demande si je sais dans quel type d’établissement je me présente.

J’aime ce moment, où après avoir sonné, j’attends qu’on réponde. Le frisson qui passe avec les badauds, vais-je être reconnu? Vu par quelqu’un qui ne devrait pas me voir là?
Mais aussi cette tranquillité de n’être pas dans sa ville et de me fouttre de ce que les bons bourgeois du coin pensent en passant, des gars qui sonnent là.

Là où je me projette, c’est une rue passante près du centre , enfin, près de la place historique bordée de restaurants. C’est une maison étroite et l’enseigne, disons "le carré d’as" ne fais pas scandale, sauf l’écriteau qui signale que la direction se réserve le droit d’entrée et qu’il y a une caméra.

Une fille (splendide et l’air blasé) vient entrouvrir puis m’accueille. Il fait très chaud et à peu près tout le monde est à son aise. On dirait une boîte de nuit. Petite. Mais un petit air , un je ne sais quoi de familial corrige le décor. On dirait: "c’est bien tenu". Au bar il y’a quelques hommes et un ou deux couples plus chuchotants aux quelques tables. La musique est cohérente mais pas trop forte, de quoi couvrir les conversations sans plus. Les lumières tombent en points sur les tables et la piste, puis s’enfuit et revient , mécaniquement.

Derrière le bar des femmes jeunes en tenue légères font jouer de leurs tatouages dans les couleurs de l’éclairage. On dirait un décor. L’idée ici est plutôt de faire consommer.
La patronne va descendre, elle se repose, se prépare en haut. Elle y a un appartement mais ne vit plus en ville depuis des années, elle a acquit une belle maison sur les hauteurs, un peu plus loin sur les boucles du fleuve. Cette femme qui a vécu de nuit tant d’année aime en vérité la nature.

Pour faire la conversation il y a quatre filles ce soir, une forte femme toute en seins et en fesses et dont les cuisses se rejoignent en haut des jambes en une sorte de corne d’abondance. Elle a des percings un peu partout et je suis sur l’un ou l’autre qu’il faut chercher. Elle est joviale et affecte un peu d’accent des pays calcaires. Elle rit fort et cette bonhommie un peu vulgaire est très appétissante. Elle a d’ailleurs pas mal de succès auprès d’un des clients avec qui elle boit. Il chuchote et elle s’esclaffe.

Une autre porte un tatouage plein d’épines et de roses coloriées qui lui descend dans le dos et se perd sous une culotte de dentelle rouge en synthétique, elle porte le nom d’une pierre précieuse et parle avec franchise et un accent roumain très prononcé, elle est blonde platine et d’un pragmatisme vertigineux. c’est elle qui m’a ouvert et donc je suis "son" client.

Une autre jeune femme, roule des yeux dont le contraste entre le blanc de l’oeil et le noir de la pupille est fascinant, elle est africaine et son ensemble blanc phosphore ana slalom lumière bleue. elle ne dit rien, les yeux d’amande regarde et attire. Elle est étudiante, à l’hopital, elle arrondi ses semaines en faisant boire les amateurs, sa sœur vient aussi, certains soirs, elle est sotte et joyeuse, elle aime danser et qu’on la regarde faire.

Et puis il y A, la plus expérimentée, douloureuse et amicale en même temps. Maigre, douce et maigre. De petit seins qui remplissent à peine son bustier imitation cuir. Elle porte des talons avec le naturel des femmes qui se trouvent petites. Elle est un peu la responsable.

Je me suis installé au bout du bar parce que je n’ai pas d’autre intention que d’observer les gens, un peu comme on s’installerait sur un banc pour voir passer du monde.

Chacune à son tour ces jeunes femmes viendront me faire un brin de causette par ce que personne ne me connait, c’est sûrement à ce titre que je parrais sympathique. La ville est fatiguée d’elle-même, et paradoxalement accueillante.

La patronne descend enfin et vient me saluer, le naturel de cette conversation éclaire un peu ce soir devant l’automne, je sens qu’elle m’a à la bonne pour une raison confuse. Ah si: elle aime les "artistes" alors dans une sorte de nostalgie d’un temps oú elle devait rêver du siècle dernier elle me met au défi de dessiner, ici, sur le comptoir . Ensuite elle m’appellera Toulouse.

Je ne m’attendais pas à ça mais pourquoi pas, j’ai toujours sur moi, enfin dans mon sac, un bloc format carte postale et deux crayons aquarellables. Je peins deux fleurs, transparentes et abstraites que j’estompe avec mon doigt trempé de mousseux et que je tends à la patronne. Je crois qu’elles figurent toujours entre des souvenirs algériens et les bonnes bouteilles d’alcools forts. J’ai touché juste et je crois que je peux rester là, le temps que je voudrai.

Les filles exagèrent, mais sont touchées aussi, ce n’est pas tous les jours. Même un client m’aborde, il livre aux forains des babioles à bon marché que les tireurs d’élite remporteront chez eux fiers de leur talent, chaque année il passe deux fois par la ville et vient se poser ici. Il ne fait rien, il dépense son argent entre les seins laiteux.

Aux tables les couples semblent illégitimes et se réfugient ici pour se lutiner sans jugement. Ici on peut défaire la braguette de son amant et le sucer sans que personne ne trouve à y redire. Il faut que le couple se manifeste pour qu’on s’intéresse à eux et que la patronne leur présente quelqu’un, sinon on leur fiche la paix. Un monsieur fort gras triture d’ailleurs sans ménagement la poitrine de sa maîtresse qui vérifie que tout le monde les regarde. Elle fixe les quelques clients du bar pendant que le visage du monsieur disparait entre ses seins.
#2536199
partie 2


Alors la dame me fixe et fais un signe que je ne comprends pas, ce n’est pas à moi qu’elle s’adresse mais à la grosse serveuse. Elle va avec nonchalance à leur table et je ne peux pas entendre la conversation de la dame avec la serveuse. L’homme se redresse mais reçoit une petite claque aimable pour qu’il continue a sucer les tétons de la dame. La serveuse souri et reviens vers le bar. Tout le monde semble avoir compris. Elle se penche vers un frigo et en sort une bouteille précise dont elle sert trois verres et se retourne vers moi; "une dame demande ce que vous buvez, vous voulez la même chose?" je dis oui et alors que je crois qu’on remplira mon verre mais on me sert à moi aussi un verre de la bouteille.
Puis la grosse fille va servir la table et s’installe près d’eux. L’homme tète encore la dame et il ne trinque pas avec les serveuse te sa maîtresse. Du bar je lève mon verre et j’avale une gorgée en les regardant.

C’est un rhum arrangé. C’est bon. La roumaine me demande si je ne vais pas les rejoindre et je prends mon verre pour rejoindre leur table. Le monsieur tète toujours et remarque à peine ma présence. La grosse fille s’est installée, la dame m’accueille: "vous n’êtes pas d’ici vous?" . Non, je ne suis pas d’ici mais j’y vient souvent. J’apprends qu’elle est la femme d’un marchand de porc et que le monsieur qui la tète est un employé de son mari. Une vraie lopette d’après elle.

Je ne parviens pas à saisir si c’est de son mari qu’elle parle ou du tèteur. Nous buvons comme si de rien n’était. La serveuse m’explique que ce n’est pas un bordel ici mais que la patronne laisse monter les filles si les clients y mettent la volonté, elle me fait signe de l’argent en se frottant les doigts. "ça vous dirait de voir une lopette se faire travailler par une pro" me demande la dame, "c’est mon mari qui régale".

L’homme s’interromp enfin et boit le verre de rhum lui aussi. La grosse fille me regarde et puis lance un regard vers la patronne, qui lui répond sur l’air de "qu’est-ce qu’on peut y faire?" on dirait qu’on ne saurait refuser quoique ce soit à cette femme là.

Á côté des toilettes, une porte ouvre sur un escalier étroit qui mêne à un palier qui donne sur deux appartements, la grosse serveuse ouvre celui de gauche et nous fait passer devant elle. Quand je passe devant elle, elle semple s’excuser "moi je suis ici seulement pour faire de l’équitation" souffle-t’elle. Une fois dans une sorte de petit salon, un boudoir plutôt, la dame s’affale et demande qu’on nous serve à boire. Elle m’invite, joyeuse en tapant trois fois sur le coussin à côté d’elle dans le sofa, "viens ici toi". Je m’installe et je peux voir que la serveuse est en train de déshabiller machinalement le monsieur qui semble à la fois résigné et honteux.

"comme d’hab ?" demande la serveuse, la dame ne réponds même pas et le monsieur tout gras, tout nu, se fait équiper de harnais. La grosse serveuse se déshabille aussi, elle est ronde et plutôt gracieuse. Elle cherche et trouve de petites bottes ridicules et pendant que le monsieur se porte à quatre pattes devant nous elle s’assied sur son dos.

"c’est bien ça" dit la dame. Elle est un peu ivre et complètement déshinibée. "Regarde ce gros con" Je ne sais pas si c’est à elle qu’elle parle ou à moi, mais elle semble satisfaite.
"Attends" elle me tend son verre et se contorsionne sur le divan pour faire glisser sa culotte sous sa robe. Elle relève sa robe sur son ventre et elle découvre une vulve soignée avec un petit triangle de poils bien taillés juste sur son mont de Vénus. Elle reprend son verre et sirotte un peu de rhum. "Viens toi, gros con" et le monsieur chargé de la serveuse avance à quatre pattes vers le divan. Il s’approche jusqu’à ce que son visage soit à quelques centimètres de la vulve de la dame.

"Non, pas trop près" elle lui parle comme à un chien un peu trop enthousiaste, avec une forme de tendresse dans l’autorité. Elle me dit "regarde cette minuscule bite", je me penche et je vois la queue du gars qui, certes n’est pas énorme mais pas non plus ridicule, il bande un peu. "Mon mari est comme ça, il ne prend que des petites bites" "ça le rassure peut-être mais moi…qui pense à moi là dedans?" la serveuse approuve par habitude, "s’il n’y a que le fric hein…" elle me regarde comme si j’étais une pâtisserie.

"Et bien qu’il paye alors, s’il ne peut plus me baiser, qu’il paye…" elle se penche vers moi et me raconte "du jour où j’ai su qu’il était allé voir des putes, ça a tout changé, moi j’étais bien sage, je prenais mon mal en patience comme on dit, mais là…je lui ai dit ha bien puisque c’st comme ça moi aussi je vais me faire des putes alors…" elle se tourne vers moi "et il n’a rien trouvé à me répondre" "hein gros con?"

A ce moment je ne comprenais plus si ce gars était le mari ou vraiment l’employé du mari, mais cette femme, encore belle et surtout très frustrée commençait à m’émouvoir.
"allez toi chevauche le" et la grosse serveuse de remuer son cul sur le dos de l’homme comme si elle trottait au manège. "regarde-le" "ça il aime bien, hein?" le gars ne disait rien mais tendait bien son cul.

La dame se touchait le con d’une façon obscène et se secouait le clitoris comme une vraie débauchée. "moi j’en veux aussi du cul, j’en veux de la queue, et partout encore mon gros con".

La scène était obscène et trop près de moi, j’étais un peu mal à l’aise mais l’effet du rhum se faisait sentir et j’étais transporté dans leur monde. La grosse qui se secouait le cul et les gros seins qui se balançaient, cette furieuse qui se branlait à quelques millimètres du visage de cet homme à quatre pattes le cul cambré commençait à me déplier la queue.

Se branlant d’une main et portant son verre à la bouche de l’autre la dame me souffle comme une évidente nécessité "sors ta queue toi", mais avant que je puisse faire quoi que ce soit elle avait déjà déposé son verre sur un guéridon et s’affairait sur ma braguette. Quand ma queue s’est redressée hors de mon pantalon je me suis rendu compte que je bandais plus que je j’aurais cru. Les doigts directs et attentionnés de la dame autour de ma bite m’avait dressé plus fort.

"regarde ça; ça c’est une queue" le mari levait les yeux mais ne pouvait rien voir, elle serrait ses cuisses sur son visage. "ne t’arrête pas toi" et la serveuse de se redandiner, à cru, se frottant le chatte sur le dos gras du monsieur. "encourage -le un peu" et la serveuse de donner des grandes claques sur le derrière rebondi et flasque du gars. Visiblement ça le faisait bander, mais un peu mou et j’ai compris qu’il ne pourrait rien de plus.

Moi par contre je bandais pour deux. Surtout quand la dame s’est mise en tête de me gober le gland. En se penchant elle serrait ses cuisses autour de la tête du monsieur, qui devait être dans une situation bien inconfortable, tordu par les efforts de la dame pour bouffer ma queue et le poids de la serveuse qui lui claquait , assez fort, le cul.

Mais je me suis concentré sur la sensation de cette bouche sur ma queue. Les dents qui détaillaient le rebord de mon gland. La succions bruyante et vulgaire. Les grognements grotesques de cette femme en chaleur.

"T’a vu ça comme je le bouffe?" "non t’a rien vu, gros con?, tu ne vois jamais rien, tu ne sais jamais rien, tu n’as jamais rien fait, tu n’es jamais là" "ben c’est sur là où est ta tête de con tu ne peux rien voir c’est sur" là elle relâche sa pression et l’homme peut se dégager. Les yeux rivés au sol. "tiens bouffe la lui, ça t’apprendra à bouffer des culs de putes"
Et là elle lui désigne mon sexe qu’elle vient de lâcher pour l’insulter.

L’homme se rapproche difficilement, manquant de faire tomber la grosse serveuse et vient engloutir ma queue qui n’a pas eu le temps de débander. Et là sous le regard, étonnamment fier de la dame, il me suce de manière divine, plein d’attention et de…grâce pour mon pénis. Je crois que c’est la meilleure pipe de ma vie. Il me suce comme si je devais absolument lui gicler dans la bouche. Avec obstination et scrupule.

" Ah voilà, tu vois que tu as quand même un talent, je le vois bien que le monsieur est content, continue salaud, prépare le moi bien, il a bon goût hein"
les encouragements de la dame adoucissent encore la sucée et c’est vrai que c’est bon. Comme si elle parlait à une amie elle demande à la serveuse de descendre pour le laisser bien faire, elle lui dit "tiens, va chercher de quoi le préparer, tu veux bien?" c’est la première fois qu’elle s’exprime avec douceur, la serveuse semble habituée et trouve tout de suite un gel et surtout un harnais et pendant qu’elle s’affaire sur le cul du gars, en l’enduisant bien autour et puis bien dedans son cul, je vois ses fesses qui laissent apparaitre une vulve bien large et un cul bien caché. Mais elle est à son affaire et on voit bien qu’elle a du plaisir à faire glisser ses doigts autour et dans cet anus averti.

Pendant ce temps là, la dame s’est levée et s’est rétablie dans un juron après s’être redressée en oubliant les rhums arrangés qu’elle venait de siffler l’un sur l’autre. Elle s’en tire plutôt pas mal et attache les sangles d’un strapp on autour de ses hanches et entre ses cuisses. Pendant que le mec est en train de me faire quasi monter, je la vois qui fixe une bite en silicone noir sur sa ceinture.


Quand elle est prête elle reprend les choses en main et stoppe net la sucée, "arrête, arrête tout de suite, tu vas me le faire venir, gros cochon, tourne toi" et le gars de se coucher sur le dos comme un petit chien qui veut qu’on lui caresse le ventre. La dame ne semble pas se rendre compte qu’elle m’a coupé net dans ma montée et que ça me met de mauvaise humeur. Elle dit à la serveuse de venir se faire reluire le cul et la donzelle s’installe au-dessus du visage de l’infortuné, la raie du cul bien positionnée sur le visage.
Elle ondule comme si c’était un nettoyage de santé. Et lui, lèche avec application pendant qu’il obéit aux recommandations de la femme "lève tes hanches, là… voilà, bouge pas, ne-bouge-pas!" et elle l’enfile d’un long coup sans étape, jusqu’au fond. J’entends le mec presqu’étouffé par le gros cul de la serveuse faire "humph" sans que je sache si c’est de sentir la bite en silicone rentrer d’un coup dans son cul ou son nez dans la large vulve de la serveuse, qui s’est placée dans une position de sumo, assise sur le visage du gars.


Plus personne n’a l’air de s’occuper de moi et je me sens un peu con, un peu bourré et sur le point de quitter l’ambiance obscène.
La femme m’invective alors "hé là toi, viens par ici, c’est pas parce qu’il suce bien que je vais te laisser comme ça, viens me la mettre dans ma bouche, allez viens par ici."
J’enjambe le pauvre gars et je viens sans trop me poser de question me mettre à hauteur de la jolie bouche de cette femme surprenante. "Allez baise moi la gueule maintenant, il aime bien ça aussi". Tandis que je dois me cabrer un peu pour lui permettre de me sucer tout en enculant le monsieur, je l’entends dire à la serveuse "remets lui la même chose" et au moment ou je me cambre pour me faire emboucher et que je prends en mains la tête de cette garce , je sens les mains de la serveuses sur mes hanches qui s’assure de bien atteindre mon trou de cul, et je sens sa langue qui me fouille.

Waaa, la double mouillée, devant et derrière, la scène qu’on forme à trois et l’obscénité de la situation efface immédiatement mes scrupules et j’ai envie de queuter la terre entière. En tous cas puisqu’on me le demande je vais baisser cette face, je sens que je peux y aller sans trop de ménagement et je commence à m’agiter. Bien sur ça rend difficile le léchage de mon cul et c’est regrettable mais je monte en ligne droite. La serveuse s’est dégagée pour détendre ses jambes. Mais alors que je ne m‘y attendais pas, pour la première fois j’entends la voix du bonhomme, la serveuse est debout au-dessus de lui, soulagée de sa position accroupie et pendant que la femme l’encule énergiquement, au point qu’elle peine à garder ma queue en bouche, j’entends le gars qui dit "pisse maintenant" et la serveuse en râlant un peu s’exécute en maugréant que ce n’est pas si facile.

"Quel gros porc" dit la femme mais moi je n’en peux plus et même si je les trouve limite je ne peux pas ne pas gicler au visage de cette femme, enfin un peu partout parce que je lui en met sur le front, les cheveux et le cou. J’entends la serveuse soulagée, encouragée peut-être par mon éjaculât, laisser suinter un filet doré sur le visage du monsieur. Tout le monde grogne à peu près en même temps et la femme envoie un dernier coup de reins dévastateur dans le cul de l’homme.

En reprenant nos esprits j’apprends que le monsieur est bel et bien le mari de la dame, pendant que la serveuse passe un torchon et se torche d’une serviette en papier. Le couple est très sympathique et jovial. Ils ont leurs habitudes ici. Le jeu s’est suspendu. La serveuse demande si elle peut redescendre, très souriante, on dirait qu’elle vient de faire traverser la rue à une petite vielle. Elle a un sourire aimable de quelqu’un qui vient de rendre service. Moi je reste encore un peu "au salon" comme je l’ai entendu dire avec circonspection ensuite, avec le couple détendu. Le monsieur m’explique que lui ce qu’il aime c’est sucer, je me suis rendu compte et je l’en félicite, il me remercie avec pudeur.
Sa femme m’explique qu’il a de grosses responsabilités et que ça le détend vraiment.

Que ça n’allait plus très fort entre eux et qu’il y a eu des errances, aujourd’hui ils ont cette solution. elle parait vraiment détendue. Leur amour est palpable et je me sens tout chose d’avoir été spectateur d’une perversité qui n’était qu’un jeu. Nous partageons un verre , littéralement de l’amitié ,quand le monsieur me dit " il faudrait quand même que ma femme reçoive aussi sa part", j’ai l’impression d’un hôte affable qui me demande si je reprendrait bien un peu de dessert.

Je croise le regard de la dame et son grand sourire.
Bernard68, mich95, Wysiwyg et 5 autres a liké
#2536233
@bonsoirbonsoir , je ne pense pas que tu recevras de nombreux commentaires, car tu écrits sans photos...
La nourriture première sont les photos, moins les mots.

Par contre, quand on aime lire, quand on aime la jolie prose, bien écrite, structurée, on ne peut qu'être séduit !

Je suis séduit par la narration de tes récits, tes souvenirs, surtout les détails que tu donnes !
J'aime également le fait que tu conduis le lecteur dans les même méandres que tu as connu !
En effet... on apprend que c'est le mari à la fin, quand toi aussi tu l'as appris. Génial cette manière de guider le lecteur ! Même si on s'en doute assez rapidement.

Tu as décidément de drôles aventures, mais surtout, de l'expérience qui doit ravir tes partenaires de jeux aujourd'hui !


Merci !!!
#2588891
Beaucoup de travail aujourd’hui, un peu de retard déjà. Pourtant je ne pourrais pas m’y mettre sans faire le point tant les événements de ces derniers jours me l’imposent.
J’ai toujours eu un appétit de vie important, et pour des raisons qui s’éclaircissent petit à petit une libido importante. De sorte que malgré les déboires et les tracas que ça m’a coûté quelquefois j’ai toujours entretenu deux ou trois vies amoureuses, mais bizarrement amoureuses spécifiquement.

J’ai à intervalles presque réguliers entretenus des rapports avec des couples, dont j’étais soit l’amant objet, soit le prescripteur. Avec le covid, ces aventures se sont raréfiées et les rapports un peu dissous.

Or une femme qui me veut, complètement, m’a maintenu dans une forme de relation presqu’hypnotique à l’aide d’une boite mail cryptée et secrète où elle dépose des textes, des images ou des sons explicites. Nous vivons à plusieurs centaines de km et nos rencontres sont toujours des retrouvailles explosives. Cet été elle a pu pour les premières fois explorer mon corps avec une effervescence nouvelle. Dans nos échanges elle avait découvert avec curiosité, mon goût pour l’anus. Celui des autres et le mien.

J’ai ce sentiment que c’est à cet endroit , précis et extrêmement sensible que nous sommes les plus égaux. Femme, homme, trans, noir, blanc, vert, gaucho, facho: c’est fort semblable. Bien sûr ce n’est pas parce que j’aime le cul de tout le monde que j’ai envie de lécher et fouiller celui de n’importe qui; comme on sait ce n’est pas parce que tout est possible que tout est obligatoire…

Mais j’aime aussi qu’on s’occupe du mien. J’aime autant pénétrer qu’être pénétré.

Cet été cette femme magnifique a connu quelques émotions à ce désir d’égalité. En fait le jeu qui devient universel entre tous les orifices, bouche, con, cul, gland, efface un peu des dominations, parce que à tour de rôle le.a pénétrant.e prend les "choses" en main et le.a pénétré.e lâche prise et accorde toute sa confiance.

De sorte que , à ses propres dires, une transformation s’est opérée dans sa sexualité. Y pensant de plus en plus souvent, elle fantasmait de plus en plus à ce qu’elle pourrait faire de mon corps et de là ce que je pourrais faire du sien. Dans ses fantasmes, se sont mélangés des images, des sensations et elle qui n’était pas très "sodomie" s’est prise à rêver d’enculades délicieuses, une forme d’équilibre. Parce que l’idée de prendre mon cul la faisait tellement mouiller que des portes se sont ouvertes et lui ont fait accéder plus facilement à des envies peu familières pour elle.

Dans ces messages de l’automne de plus en plus souvent elle m’offrait son cul comme en échange des frissons que lui procurait la perspective du mien, de ses doigts, de sa langue et de tout ce qui lui passait en tête, dans mon corps.
Je dois dire que cette femme est exclusivement hétéro, je veux dire qu’elle me dit souvent qu’elle nécessite un homme sur elle. Bien qu’intriguée par ma bisexualité potentielle, et troublée par ce qu’elle appelle une hyper virilité, elle nécessite un "rapport de force" à quoi on ne peut déroger que temporairement. Elle veut que je sois poilu par exemple. Et dans ce jeu, bien qu’elle jouisse de me pénétrer ou de venir sur moi et diriger mon sexe dans son ventre, elle ressent comme une domination salutaire de se faire prendre.
L’exploration de mon cul était pour elle exotique. Prenant plaisir à aller , à mon grand plaisir à l’encontre de sa "nature". Mais me lécher le cul était pour elle une forme de "soumission" à la hauteur de ses fantasmes. De même m’ouvrir ses fesses, exposer sa vulve et son anus lui paraissait délicieusement obscène et sentir ma langue la fouiller la fait littéralement fondre.

Dimanche dernier, je reçois un message de la sncf m’indiquant comment associer mon pass sanitaire avec mon billet. N’ayant pas commandé de voyage je crois d’abord à une erreur. Mais ensuite je reçois un billet pour Marseille et dans la boîte secrète apparaît un message implorant de venir la prendre. Lundi matin à l’aube je suis sur le quai de la gare à chercher la voiture 6. Vers midi je vois de loin cette femme magnifique, qui vient fébrile à ma rencontre. Une fois chez elle je réalise que je n’ai comme but du voyage que de lui faire l’amour, lui faire l’amour et lui faire l’amour. Et de fait pendant trente six heures, nous n’avons quasiment fait que ça.

Nous avons irrité tous nos orifices et j’en ferai si vous voulez un épisode séparé. Mais avant ça sachez que je me retrouvais dans le train encore épuisé et ouvert de toutes parts pour le retour dans ma ville. J’avais été comme subjugué par le désir, trop longtemps confiné, de cette magnifique femme, folle de manque, folle de frustration.
Malgré tout je me suis "réveillé" à l’appel de ma maîtresse régulière, qui me demandait où j’avais disparu. Nous n’habitons pas ensemble, parce que nous avons nos enfants en garde alternée, et nous avons fait coïncider les semaines, de sorte que nous partageons du temps ensemble les semaines impaires. Ce n’est pas toujours facile parce qu’avec le travail il arrive que même quand nous sommes "libres" on ne se voit que peu sur la semaine. En fait un accord tacite s’est installé entre nous. En fonction de nos appétences nous sommes conscients des "risques" de diversité sexuelle, et c’est ma femme principalement qui préfère ne "rien savoir". Et quand pour mon boulot je dois aller ici où là c’est plus tranquillisant pour tout le monde d’être libre . Et de préserver un temps intime pour notre amour.
#2588892
Deuxième partie ( je sais que tout le monde n'aime pas lire et qu'il vaut mieux couper en morceaux)

Beaucoup de travail aujourd’hui, un peu de retard déjà. Pourtant je ne pourrais pas m’y mettre sans faire le point tant les événements de ces derniers jours me l’imposent.
J’ai toujours eu un appétit de vie important, et pour des raisons qui s’éclaircissent petit à petit une libido importante. De sorte que malgré les déboires et les tracas que ça m’a coûté quelquefois j’ai toujours entretenu deux ou trois vies amoureuses, mais bizarrement amoureuses spécifiquement.

J’ai à intervalles presque réguliers entretenus des rapports avec des couples, dont j’étais soit l’amant objet, soit le prescripteur. Avec le covid, ces aventures se sont raréfiées et les rapports un peu dissous.

Or une femme qui me veut, complètement, m’a maintenu dans une forme de relation presqu’hypnotique à l’aide d’une boite mail cryptée et secrète où elle dépose des textes, des images ou des sons explicites. Nous vivons à plusieurs centaines de km et nos rencontres sont toujours des retrouvailles explosives. Cet été elle a pu pour les premières fois explorer mon corps avec une effervescence nouvelle. Dans nos échanges elle avait découvert avec curiosité, mon goût pour l’anus. Celui des autres et le mien.

J’ai ce sentiment que c’est à cet endroit , précis et extrêmement sensible que nous sommes les plus égaux. Femme, homme, trans, noir, blanc, vert, gaucho, facho: c’est fort semblable. Bien sûr ce n’est pas parce que j’aime le cul de tout le monde que j’ai envie de lécher et fouiller celui de n’importe qui; comme on sait ce n’est pas parce que tout est possible que tout est obligatoire…

Mais j’aime aussi qu’on s’occupe du mien. J’aime autant pénétrer qu’être pénétré.

Cet été cette femme magnifique a connu quelques émotions à ce désir d’égalité. En fait le jeu qui devient universel entre tous les orifices, bouche, con, cul, gland, efface un peu des dominations, parce que à tour de rôle le.a pénétrant.e prend les "choses" en main et le.a pénétré.e lâche prise et accorde toute sa confiance.

De sorte que , à ses propres dires, une transformation s’est opérée dans sa sexualité. Y pensant de plus en plus souvent, elle fantasmait de plus en plus à ce qu’elle pourrait faire de mon corps et de là ce que je pourrais faire du sien. Dans ses fantasmes, se sont mélangés des images, des sensations et elle qui n’était pas très "sodomie" s’est prise à rêver d’enculades délicieuses, une forme d’équilibre. Parce que l’idée de prendre mon cul la faisait tellement mouiller que des portes se sont ouvertes et lui ont fait accéder plus facilement à des envies peu familières pour elle.

Dans ces messages de l’automne de plus en plus souvent elle m’offrait son cul comme en échange des frissons que lui procurait la perspective du mien, de ses doigts, de sa langue et de tout ce qui lui passait en tête, dans mon corps.
Je dois dire que cette femme est exclusivement hétéro, je veux dire qu’elle me dit souvent qu’elle nécessite un homme sur elle. Bien qu’intriguée par ma bisexualité potentielle, et troublée par ce qu’elle appelle une hyper virilité, elle nécessite un "rapport de force" à quoi on ne peut déroger que temporairement. Elle veut que je sois poilu par exemple. Et dans ce jeu, bien qu’elle jouisse de me pénétrer ou de venir sur moi et diriger mon sexe dans son ventre, elle ressent comme une domination salutaire de se faire prendre.
L’exploration de mon cul était pour elle exotique. Prenant plaisir à aller , à mon grand plaisir à l’encontre de sa "nature". Mais me lécher le cul était pour elle une forme de "soumission" à la hauteur de ses fantasmes. De même m’ouvrir ses fesses, exposer sa vulve et son anus lui paraissait délicieusement obscène et sentir ma langue la fouiller la fait littéralement fondre.

Dimanche dernier, je reçois un message de la snif m’indiquant comment associer mon pass sanitaire avec mon billet. N’ayant pas commandé de voyage je crois d’abord à une erreur. Mais ensuite je reçois un billet pour Marseille et dans la boîte secrète apparaît un message implorant de venir la prendre. Lundi matin à l’aube je suis sur le quai de la gare à chercher la voiture 6. Vers midi je vois de loin cette femme magnifique, qui vient fébrile à ma rencontre. Une fois chez elle je réalise que je n’ai comme but du voyage que de lui faire l’amour, lui faire l’amour et lui faire l’amour. Et de fait pendant trente six heures, nous n’avons quasiment fait que ça.

Nous avons irrité tous nos orifices et j’en ferai si vous voulez un épisode séparé. Mais avant ça sachez que je me retrouvais dans le train encore épuisé et ouvert de toutes parts pour le retour dans ma ville. J’avais été comme subjugué par le désir, trop longtemps confiné, de cette magnifique femme, folle de manque, folle de frustration.
Malgré tout je me suis "réveillé" à l’appel de ma maîtresse régulière, qui me demandait où j’avais disparu. Nous n’habitons pas ensemble, parce que nous avons nos enfants en garde alternée, et nous avons fait coïncider les semaines, de sorte que nous partageons du temps ensemble les semaines impaires. Ce n’est pas toujours facile parce qu’avec le travail il arrive que même quand nous sommes "libres" on ne se voit que peu sur la semaine. En fait un accord tacite s’est installé entre nous. En fonction de nos appétences nous sommes conscients des "risques" de diversité sexuelle, et c’est ma femme principalement qui préfère ne "rien savoir". Et quand pour mon boulot je dois aller ici où là c’est plus tranquillisant pour tout le monde d’être libre . Et de préserver un temps intime pour notre amour.

Elle est venue me retrouver et nous avons dîné ensemble avec la joie tranquille de se retrouver au lit, l’un contre l’autre. Pour moi le "choc" d’avoir abondamment jouis récemment et avoir été comblé sexuellement m’a paradoxalement ouvert l’appétit . Et nos ébats furent particulièrement vigoureux. Elle m’a trouvé le cul très souple et très ouvert et j’avais une érection extraordinaire. Mon gland a fini par glisser doucement vers son cul juste à la sortie de son sexe. Elle m’a d’abord demandé d’être délicat, puis comme quand elle prend mon sexe entre ses fesses elle s’est mise à en vouloir plus, encore plus et jusqu’à demander que je la "défonce", que je lui fasse mal.

Elle émet ses souhaits seulement dans des moments d’abandon à l’excitation et je sais que d’avoir mon sexe dans le cul lui procure cette sensation d’"obscénité" qui fait qu’elle se lâche. La grossièreté est alors, et seulement à ce moment, quelque chose qui l’excite au plus haut point. Je crois qu’on a explosé ensemble. Mais l’effet était plus long pour elle. Elle me dit dans une sorte d’ivresse que je l’ai presque abîmée et qu’elle adore cette sensation.
Moi j’étais plus conscient et cette tendance à réclamer de la douleur m’avait déjà frappé. Parce que je ne suis pas un violent, je serais plutôt un jouisseur gourmet et je me retiens le plus souvent de "lâcher les chevaux". Quelque fois je lui attrape les cheveux mais c’est plus cosmétique qu’autre chose.
Quand elle est "revenue à elle" elle était magnifique, épanouie. Elle avait adoré. Je lui ai demandé ce qu’elle avait adoré et elle m’a répondu que j’aurais pu lui faire tout ce que je voulais. Comme je venais de la prendre bien fort je me doutais qu’elle imaginait autre chose que ce que je voulais vraiment. Je lui ai alors demandé si elle aimait la douleur.

Elle m’a répondu que oui, pas vraiment, d’une certaine façon mais ce qui l’avait envoyé si haut est d’avoir été presqu’une chose, l’objet de mon désir.
Dans la vie c’est une femme très indépendante, très efficace et sur d’elle. Pas du tout une femme soumise et en tous cas beaucoup plus un sujet qu’un objet. Mais dans le jeu de miroir de notre partie de jambe en l’air elle avait adoré, laisser loin derrière elle ce qu’elle est dans la vie.


Je lui ai proposé un jeu. Un jeu d’hypnose. Quand je prononcerai un mot précis elle sera abandonnée à ma volonté, du moins son corps. Elle s’est montrée intriguée. Je lui ai proposé de choisir deux mots de sécurité, un pour tout arrêter si elle le souhaite et un autre pour me signaler un danger qui nécessite mon aide. Et aussi sur un geste pour doubler ces mots , si jamais elle n’était pas en mesure de parler. J’ai lu dans ses yeux un mélange d’effroi et de jubilation, une terrible et instantanée fébrilité. Elle semblait délicieusement inquiète de se trouver en danger, quel danger?, incapable de parler? Bien sûr cette situation n’existe pas mais sa mention lui faisait imaginer des choses terribles qui la troublait.


J’ai touché juste et elle a voulu jouer immédiatement en prononçant elle même le mot "hypnotique". Pour moi ce n’était qu’un jeu psychologique et je n’avais aucune intention d’aller plus loin. Mais elle a plongé. Elle m’a dit qu’elle était prête à la confiance absolue et à se soumettre au moindre de mes désirs. J’étais muet devant tant d’enthousiasme.
Et sur le point de réaliser un fantasme que je croyais être le sien, ou le mien? je ne le savais plus très bien.


Un peu pris de court je me suis rendu compte de la charge qui incombait au "maître", c’est dire prendre tout en charge. L’abandon de la "soumise" nécessite un soin total et je me suis trouvé pris dans la nécessité à partir de ce moment de la "satisfaire". Que serait une soumise à qui on ne trouve pas d’ordre excitant à donner, sans le frisson d’une surprise ourdie par le "maître"?

Pour me donner une contenance je lui ai demandé d’aller s’asseoir dans le canapé, d’ouvrir son chemisier et de sortir ses petits seins de son soutient, pendant que je fumais une cigarette. En fait j’avais besoin de temps pour trouver une idée mais aussi parce que je me rendais compte que j’étais un peu choqué par son enthousiasme et sa docilité.
Quand je suis revenu dans la pièce elle était assise très droite, le chemisier ouvert mais qui couvrait ses seins. Elle était fébrile et souriait un peu incertaine. Elle ne savait pas trop quoi dire et moi non plus. Je l’ai regardée longuement. Elle m’a dit:"voilà", un peu gênée. Elle me regardait et j’ai senti en moi une transformation inédite. Je lui ai fait remarqué que si son chemisier était ouvert je ne voyais pas ses seins et je me suis approché pour écarter les pans de sa chemise. Elle n’a pas bougé ne sachant pas quoi faire et pour "libérer" la tension je lui ai dit de ne pas bouger, de ne plus rien faire ou dire. Je voyais qu’elle avait la chair de poule et parce que son regard était trop interrogateur je lui ai dit de fermer les yeux. Elle était là, assise, les seins sortis de son soutient gorge, je voyais bien que c’était inconfortable mais aussi que ses tétons étaient dressés. Je me suis approché et je les ai embrassé.

Elle respirait fort.

Un peu pour vérifier mon nouveau "pouvoir " je lui ai demandé d’ouvrir la bouche. J’étais dans un état second. Je ne savais pas quoi faire de cette bouche où j’aurais pu glisser on sexe, ou n’importe quoi d’autre. Je lui ai léché la bouche, les lèvres, la langue. Elle affectait de ne pas réagir. J’ai pris ses seins à pleine main et je ne sais pourquoi, moi qui ne suis pas sadique je les ai trituré grossièrement, j’ai vu que sa respiration marquait son consentement comme quand je la caresse au lit. J’ai recommencé à l’embrasser à pleine bouche, tout en lui triturant les mamelons. Je les ai pressés, roulé, tiré, puis tèté très fort, en les mordillant, puis je ne sais pourquoi en les mordant carrément.
Je veux dire que ce n’est pas mon genre, je n’ai pas envie de faire mal à qui que ce soit, mais cette position a fait remonter en moi je ne sais quoi. En fait je faisais exactement ce qu’elle voulait, paradoxalement.
Quand j’ai vu des larmes qui roulaient sur ses joues je me suis effrayé de ce que j’étais en train de faire. Elle a murmuré:"encore" en soupirant et ça m’a choqué. Je lui ai dit de garder le silence et j’ai recommencé à lui travailler les seins, j’avais une érection comme jamais et je crois que j’ai failli venir dans mon froc quand je l’ai vu tressaillir et jouir littéralement, assise droite, en pleurs, les yeux fermés et en silence au bord du canapé.

Je lui ai dit qu’elle pouvait arrêter tout en prononçant un seul mot et que c’était le seul que je lui autorisais à prononcer, j’ai vu passer sur son visage un voile de déception et je me suis senti con. J’étais bien trop tendre. J’ai ressenti une sorte de "rage" bizarrement non violente et j’ai serré ses seins plus fort en lui mordant les lèvres. Elle soufflait et je reconnaissait ce souffle dans quoi elle glisse des "encore" et des "vas-y plus fort" quand on fait l’amour. Mon sexe perlait de cet espèce de sperme transparent qui précède la jouissance et j’étais au bout de mon désir. Je ne voulais pas aller au-delà. Enfin pas cette fois. Et après une autre cigarette je suis revenu dans la pièce où je l’ai retrouvée exactement dans la même position. Je lui ai dit d’ouvrir les yeux et j’ai vu sur son visage un sourire rare. Les larmes encore sur les joues elle me regardait comme si j’étais le père Noël. Elle ne tremblait plus, elle n’avait plus l’air soucieux. Elle était simplement resplendissante. Je ne l’ai jamais trouvé aussi belle. J’étais envahit de tendresse mais je n’ai pas bougé. Je suis lentement venu vers elle et le plus doucement du monde , comme si je pouvais réparer la douleur que j’ai commise sur ce corps que j’aime tant j’ai posé un baiser sur chaque tétons, je l’ai embrassée et je lui ai dit de se rhabiller. Je la voyais joyeuse et détendue. Quand je lui ai dit le mot de sécurité qui met fin au jeu, elle m’a regardé incrédule, puis elle a juste dit merci avant de redevenir instantanément la femme que je connais.

Nous nous sommes comporté comme si de rien n’était et elle devait filer. Il n’y a eu aucun commentaire. Plus tard j’ai reçu un message d’elle qui disait: Merci.
Depuis j’ai reçu plein de messages amoureux. La semaine à repris, nos enfants sont arrivés et nous sommes passé à autre chose, mais ce jeu m’a fait un effet tel qu’hier soir, j’étais heureux d’être dans ma chambre pour soulager l’érection qui me vient spontanément quand l’image de mon amour assise droite , dépoitraillée au bord du canapé.
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par bonsoirbonsoir
#2613581
En soupirant de bien-être je sens mes narines frémir, ça sens le sexe, l’humain et ça me fait plaisir. Je n’ouvre pas tout de suite les yeux pour pouvoir encore un peu sentir le poids et le contact d’un corps quasi étranger contre moi. Je sens mon sexe à moitié flasque qui se rempli à nouveau de sang. Je le sens et ça me procure une indicible sensation de confiance. Contre mon bras je sens la peau et la chair élastique d’un corps, comment dirais-je? ami. Nous sommes rarement vraiment libres dans la vie, rarement nous mêmes sans scrupules, sans doute parce que les scrupules participent au plaisir aussi. Á la vie en tous cas.

J’ai jouis il y’a peu de temps mais le temps s’étire, j’en profite. Je sais qu’un filet de sperme suinte encore de mon gland et je sais comme le ventre de la femme à côté de moi colle encore un peu. Je sais que son mari est là aussi, plus loin. Je le vois lui aussi les yeux fermés. Je l’ai vu et entendu jouir lui aussi, poilu, un peu enrobé mais rendu agile par l’excitation, l’émotion de voir sa femme, la femme qu’il aime depuis longtemps se donner et jouir. Jouir bruyamment avec moi, pour lui, avec lui, pour elle même. Elle le connaît bien, à chaque fois ça se rejoue entre eux, quand elle donne libre cours à son côté "salope" comme il aime dire. Elle le voit sur son visage, dans son corps , dans cette attitude ni vraiment ludique ni vraiment sérieuse quand il s’excite à prononcer ces mots qui équilibrent ce qu’il ressent vraiment pour elle, du respect, de la reconnaissance, de l’admiration. Une sorte de gratitude amoureuse qui le fait vibrer à chaque fois qu’elle aussi se dit une "salope".
En fait elle n’est pas une salope, ce serait même tout le contraire, mais elle joue et elle aime jouer à être ce qu’il est convenu de désigner comme ça. Parce qu’elle se lâche, elle se donne, elle se montre; elle se sent. Et elle est magnifique. Elle le sait, elle le sent. Mais dans un sens qu’on vient de déjouer sans en avoir l’air, quand une femme comme elle, se donne et prend du plaisir, on l’a dit salope, presque pour conjurer la vie de tous les jours qui nous ferait craindre un monde de salauds et de salopes.

Quand je les sais connu ça faisait quelques années qu’ils avaient changé de voie. Et c’était salutaire parce qu’avant ça ils ne s’étaient pas parlé, ils ne s’étaient pas vu vieillir ni s’ennuyer petit à petit dans leur amour de convention.
Bien qu’il aime sa femme absolument et tranquillement Monsieur avait par inadvertance et par habitude perdu le soin de se tenir auprès de sa femme. Je veux dire, non pas qu’il se tenait mal mais qu’il était satisfait de la sécurité qu’il trouvait auprès d’elle. Il faisait toujours attention de ne pas laisser voir à sa femme qu’il jettait un oeil plus curieux que concupiscent sur le passage d’une femme un peu soignée. Sauf que malgré ces efforts d’homme ( c’est à dire peu de chose en ces matières) sa femme, bien entendu l’avait vu même avant lui. Chaque fois c’était un petit pincement sans importance. Un micro affront, de ceux qu’on passe, qu’on oublie et qui s’accumulent. En fait elle ne se sentait pas vieillir, elle se voyait simplement mûrir dans le miroir. Ce moment que Monsieur ne comprenait pas et dont il n’avait aucune idée. Les seins de madame étaient très à son goût depuis des années. Mais les années pour Madame n’avaient pas le même poids. Les seins s’alourdissaient et les hanches s’élargissaient. Á chaque petit pincement des "torticolis" que risquait son mari elle se demandait si , comme autrefois, on se retournerait sur elle. Si Monsieur par exemple, dont elle voyait bien qu’il faisait effort pour se persuader que sa femme ne verrait pas ce petit coup d’oeil sans autre curiosité que l’instant, se retournerait aussi sur elle s’ils ne se connaissaient pas.

Parfois la fatigue, les empilements de choses à prévoir , à considérer, à penser la rendait sensible et dans ces moments elle s’agaçait. Il pourrait faire un effort. Mais il n’en faisait pas.

Monsieur faisait d’autres efforts mais de ceux qui comptent vraiment ces jour-là. Monsieur n’est pas un monstre, c’est même quelqu’un d’aimable, souvent même si c’est parfois intentionné il peut être très attentif et charmant. Plutôt quand la sève du samedi monte doucement d’ailleurs. Quelquefois on dirait même que des écailles tombent de ses yeux quand il voit sa femme et ses compliments alors ne portent qu’à moitié parce que pour l’autre moitié Madame charmée se dit tout de même: mais les autres jours? mais autrement? mais sinon? Et puis là-dessus aussi elle passe.

Toutefois un collègue, même un collègue plus jeune, lui fait régulièrement sentir qu’elle lui plaît. En partie parce que c’est agréable que ça dure un peu, en partie parce qu’elle n’est pas (et de loin) une femme facile et en partie parce que ce n’est pas convenable, ni sérieux, ni même très clair: elle ne répond pas à ces allusions coquettes, lourdes aussi par moments. Pourquoi les hommes ne comprennent-ils pas que c’est eux qui ne captent rien? Mystère.
Est-ce pour faire durer? Est-ce pour que ça s’arrête? Est-ce par ce qu’elle s’ennuie et qu’elle sait que ça va la réveiller; un jour elle répond aux avances. Bien que consciente du verglas, elle se connaît assez pour ne pas se laisser aller. Elle n’a encore rien fait de mal et d’ailleurs quel mal y a t’il? C’est sincèrement que son humeur fait un bon. C’est sincèrement que Monsieur se réjouit de ses achats et de la silhouette de sa femme. Par moment même il lui semble la remarquer.

Bien sûr le jeune collègue est impatient, il a de l’appétit et bien sûr qu’elle ne s’en croyait pas ou plus capable; elle craque. Rien que de très banal. Il n’y que du bien à se faire. D’ailleurs il n’y a pas d’amour.

Je sens contre mon bras le corps de Madame qui frissonne et j’entends monsieur qui s’est levé et s’affaire à je ne sais quoi. Je décide de garder les yeux fermés malgré tout. Je l’entends qui s’habille et qui ouvre la porte fenêtre , il va fumer dehors.
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#2613583
Le jeune collègue est de ces garçons pressés, biberonnés au porno. Á notre époque (aïe) le porno n’était pas aussi facile d’accès et tant pis ou tant mieux nos modèles étaient différents. Mais Madame pense que ça a du bon. Au fond elle ne veut pas dépasser ses limites mais ne veut pas passer à côté, ni avoir l’air de … puis perd assez vite pied. On ne lui a jamais fait ça, enfin pas comme ça. Elle est troublée et se pose des questions. As-t’elle vraiment aimé? En tous cas elle a beaucoup mouillé. C’était sans malice, oui mais aussi sans amour. Elle se tourne vers son mari qui dort. Elle soupire. Elle est comme en descente. Elle était si bien. A y repenser elle mouille à nouveau et s’endort aussi vers des rêves qu’elles ne se soupçonnait plus. Mais de rendez-vous en rendez-vous la vigueur de ce jeune amant se transforme en performance et de claques sur les fesses en baisers crachats dans sa bouche elle parvient non seulement à se dire salope, mais à se sentir pute. Á la fois elle est mal à l’aise et à la fois ça déclenche en elle un torrent de scrupules qui s’évaporent en orgasmes. Allez comprendre. Or d’orgasme avec Monsieur il n’est plus question depuis longtemps. Et l’enthousiasme du début pour l’aventure s’est mué en dépit. Ce n’est pas qu’elle regrette qu’il ne voie rien, qu’il ne sente rien, non ça elle est habituée, c’est qu’elle s’en fout tout d’un coup. Que ça l’agace plus vite, ni plus ni moins qu’avant mais maintenant, parfois, elle le dit.

Ce changement précis s’est mis à peser sur le bonheur domestique de monsieur. Dabbord il s’est félicité des récents changements de sa femme, il en a d’ailleurs profité mais depuis un moment, il ne comprend pas, ça dérape. Pour des choses qu’on a toujours fait comme ça Madame part en vrille et lui tire la tête pendant deux jours. Quand il lui demande pourquoi elle l’envoie balader. Quand il lui demande si elle est (encore) fâchée elle lui répond fermée : "non…même pas.
C’est à n’y rien comprendre, mais ça pèse. Ils étaient si tranquilles. Elle était si présente. Monsieur ne parle pas de ça, ça le gêne et puis sa vie est moins douce qu’avant et il essaye de mieux profiter des autres petits plaisirs de la vie, alors il n’en parle pas à ses vieux potes que Madame n’aime pas spécialement mais qu’elle ne peut plus voir maintenant "tellement ils sont débiles". Monsieur pense que ses amis ne sont pas si débiles, enfin c’est vrai qu’ils sont un peu cons, qu’ils font les cons surtout, mais pas plus qu’avant.

Un soir que Madame ne rentrait pas, elle a eu de l’avancement et doit maintenant pour ses nouvelles fonctions (assez floues) quelquefois partir en mission pour son travail (de plus en plus souvent d’ailleurs). Des week-end en plus de formations, de rencontres interprofessionnelles toujours sur le congés, évidement. Un soir donc Monsieur s’est retrouvé, allez savoir comment, sous une pute. Oui un professionnelle. Elle était étrangement consolante et Monsieur qui ne se savait pas triste s’est même mis à pleurer en rentrant chez lui, après. Il est vrai que Monsieur avait un peu picolé aussi. Et ça non plus il ne l’a pas dit à ses potes. D’autant que ça coûte ces conneries.

J’ouvre un oeil en espérant que personne ne me voie. mais il n’y a personne pour me regarder. Je ne vois que Madame couchée tout près. Je vois son visage tranquille, les paupières fermées, ses petites ridules au coin de l’oeil, aux commissures de ses lèvres dont le maquillage est confus. Je vois ses cheveux défaits et une sorte de moue de jeune fille. On dirait qu’elle dort, sans doute pas. Je vois ses seins, lourds, étalés, ses mamelons plissés de ridules aussi et ce je ne sais quoi en trop qui fait la grâce que les femmes ignorent parce que ça ne représente pas la même choses pour elles. Je la regarde à la dérobée, c’est absurde mais j’apprécie. Au moment où elle va ouvrir les yeux parce qu’elle sent que je la regarde je ferme mes paupières. Les yeux fermés je la regarde encore, je la trouve d’une beauté incroyable et je me remets à bander en pensant que si on veut une preuve que dieu existe c’est que les fleurs flétrissent.

Madame n’aime pas ce poids sur sa vie, au point que fidèle à elle même elle va percer cet abcès. Ce n’est pas d’avoir tendu des perches à son mari qu’elle est lasse, non. C’est d’être à côté d’elle-même.
Ce collègue même l’ennuie. Elle ne lui dit pas mais elle ressent une gêne de couiner quand il lui fait subir ce qui maintenant lui manque quand elle n’est pas prise comme une… comme une…non. Ce n’est pas ça.
Un soir , on dirait au hasard mais ça fait plusieurs jours qu’elle y pense, elle parle à Monsieur. Elle lui dit tout. C’est comme ça. Elle le savait qu’il le prendrait mal, comment l’aurait il pris?
Et cet idiot s’étouffe, râle, grogne, tempête.

Et pis que tout cet imbécile lui pose des questions. Madame y répond. Sans ambages. La vérité toute nue. C’est ça dont elle a besoin, ça ne lui fait pas plaisir à elle non plus. Un moment elle pense que son mari va faire une attaque.
Dans sa colère il la traite de tous les noms. Et un peu par hasard et faute de mieux le mot salope lui vient à la bouche. Et là…
Quelquefois la magie est une chose triviale. Elle lui dit que oui elle est une salope, dans un sens. Elle lui dit que oui elle a aimé même être une salope, d’agir comme une salope, elle ne sait pas pourquoi, peut-être parce que ce gars savait comment s’y prendre comment agir avec une salope comme elle.
Monsieur est surpris mais n’en laisse rien voir parce qu’il se croit offensé, il croit sa colère juste, son dépit légitime. Il en oublierait presque de sentir ce qu’il sent. Il devient fou, cette femme, sa femme serait une salope et ce serait quelqu’un d’autre qui en profiterait. Cette idée n’est pas si neuve, il le sait, mais c’était caché loin au fond de lui. Pourtant il en a déjà rêvé que sa femme soit une salope, pour une heure, un jour, une vraie salope. Mais il a balayé ça de son esprit parce que sa femme est une femme bien. Mais là, à l’instant les deux se superposent. Au fond de lui il comprend sa femme, il la connaît bien, mais il serait incapable de l’admettre et puis il faudrait la pardonner et si possible rentabiliser ce pardon. Mais elle ne demande pas pardon.

Elle dit qu’elle a aimé, Monsieur devient fou pour un instant, une heure, un jour, le temps exact qu’il avait rêvé que Madame soit une salope. Et c’est lui qui devient un salaud. Un vrai, comme il a toujours soigneusement évité de l’être. Et il se décide à l’être avec sa salope de femme.
Madame n’avait pas prévu la réaction de Monsieur, enfin pas celle-là. Et c’est vrai que dans cet état il est différent. Au fond il la désire, comme avant. Va t’elle céder? lui passer ça aussi? Au fond ils font l’amour depuis longtemps et il lui passe par la tête qu’elle lui "doit " bien ça après ce qu’elle vient de lui balancer.

Monsieur la prend n’importe comment, sans égard, sans ménagement. Monsieur se serait cru incapable d’un tel détachement, même avec la pute il n’avait jamais été dans un tel "lâcher prise". Il s’en fout. Et puis cette érection violente qui l’a pris quand il s’est imaginé sa femme sous un autre. Gênant mais imparable. Un autre qui baise sa femme et lui il a une trique comme jamais. Et il fait couiner sa salope de femme. Elle prend bien et lui se donne comme jamais. C’est absurde. C’est sale. C’est bon. Ils crient ensemble, comme avant.

Madame avant de se sentir partir pense: si j’avais su, je n’aurais jamais attendu autant, puis elle laisse le plaisir de salope se diffuser partout et elle jouit, elle jouit pour elle même.

Héberlués tous les deux d’avoir si bien baisé et "réconciliés" un peu n’importe comment Monsieur et Madame ont mis quelques jours à se parler de ça. Un bouchon avait dû sauter parce qu’ils ont parlé comme il avaient baisé l’autre jour. Franchement. Un peu gênés de ce qu’ils se sont dit il a encore fallu quelques jours pour tirer les conclusions et c’est ainsi qu’ils sont devenu candau. Ils ont appris le mot en cherchant.

J’entends Monsieur qui s’impatiente. Il a fumé sa cigarette et se demande ce qui se passe maintenant. Je sens sa femme qui remue, elle s’ébroue un peu. Je dois ouvrir les yeux. Chacun sait que je ne dors pas. Je les regarde alors et je souris. Je sens que je bande à nouveau. Par réflexe ils me renvoient l’un puis l’autre mon sourire. On a bien baisé la salope de Monsieur à l’instant. Il corrige: elle nous a bien baisé plutôt. Nous rions parce que c’est vrai et faux et inutilement grossier. Madame me fait une remarque sur le ton que prennent sérieusement les enfants avant de commencer à jouer. Elle dit: mais tu rebande ? comme si elle disait: on disait qu’on avait des superpouvoirs. Monsieur répond que c’est elle qui me fait bander. Il a raison. Elle glousse. Monsieur aussi. Elle embouche mon gland et Monsieur s’approche. Ils doivent bien sentir que je les aime bien, que j’aime quand ils font leurs salopes.
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#2641751
épisode 1

Je sais ce que vous allez dire. Ce n’est pas de l’amour. C’est sans doute une sorte de chose qu’on ne comprend pas ou qui s’explique difficilement. Et d’ailleurs je ne demande pas qu’on comprenne. Il m’a fallu des années pour comprendre moi-même.

Oui je le reconnais, il y a des moments où je suis par delà le bien et le mal. Il y a des moments où même si ça va, en général, je ne suis pas comme d’habitude, comme il faudrait être. Et alors? Ai-je fait du mal à quelqu’un?

C’est vrai que certains soirs, et parfois dans l’après-midi me vient cette envie, puis ce besoin de papillonner, de surfer, de voir et de regarder et puis de rêver.
C’est vrai que longtemps j’ai rêvé à la vie des autres, qui me semblait plus simple. Pas plus naturelle mais plus simple.

C’est vrai que je préfère les vraies personnes aux mannequins en plastiques, qui soufflent trop fort, des soupirs à l’américaine en baisant comme des dieux bronzés. C’est vrai que parfois mon imagination profite des images de vraies femmes, des femmes de tous les jours, allongées, invitantes, offertes de bon gré. Qui prennent du plaisir aux fantaisies de leurs maris. Alors, oui c’est vrai qu’un jour, j’ai pris contact avec un de ces messieurs qui proposent de regarder leurs femmes et même qu’on leur dise l’effet qu’elles nous font. Parmi les commentaires assez grossiers, qui dans le jeu de dupes épicent le diaporama, mes commentaires ont touchés le monsieur. Je ne saurais dire pourquoi, lui non plus et aujourd’hui sa femme non plus. Je ne le savais pas mais quand j’ai répondu à son invitation de venir chez lui regarder plus d’images de sa femme, depuis un moment elle avait accepté cette fantaisie et y prenait un peu plus de plaisir à chaque fois. Je ne le savais pas mais, après que le bouchon ait sauté, dans leur couple, la sexualité avait fleuri.

Leur maison était en dehors de la ville, un peu au-delà des beaux quartiers, dans une rue ou les maisons se ressemblent, les haies taillées et les allées entretenues.
J’ai vérifié l’adresse parce que je ne voulais pas faire d’impair. Je crois que les voisins se connaissent ici.
Il est venu m’ouvrir avec une certaine émotion, je crois que ça fait un moment qu’il attendait, que tout était prêt.

Plus tard j’ai su qu’il en avaient parlé entre eux et que lentement l’idée avait fait son chemin, et puis les doutes légitimes avaient laissé la place à une sorte de pacte ludique entre eux. Le plaisir du mari à montrer sa femme tenait en ceci qu’elle l’impressionnait depuis toujours malgré les années de vie commune qui en avaient fait presque des amis.
Un mystère qui ne s’était pas érodé comme le reste. Pour elle, à travers les sottises de son mari elle avait lu des compliments qu’elle ne pensait plus recevoir. Elle n’y croyait pas vraiment mais, tout de même ça la faisait sourire. Au fond, sans les lubricités passagères de son mari, qu’elle ne parvenait pas à bien saisir elle n’aurait jamais osé . Elle avait découvert au même moment qu’elle plaisait et que son mari en était si fier.

Un peu fébrile mais très joyeux il m’emmena à l’étage où il s’était aménagé un bureau dans cette maison trop grande depuis que le dernier était parti il y a des années.
Là dans son univers, aussi bien rangé que le reste du pavillon, il m’installa devant l’ordinateur où les deux sièges côte à côte rendaient la manipulation de la souris embarrassante. Mais il ne semblait pas voir ce défaut. Il avait fait de nouvelles photos pour cette occasion. Il était fier mais tout prêt d’être gêné.

Sur l’écran une femme, comment dire ? Normale, entre deux âges, c’est à dire plus de 50 et moins que 65 ans, posait complaisamment dans toutes sortes d’attitudes. Parfois elle semblait hilare, parfois plus timide, mais de dossiers en dossiers qu’il ouvrait pour moi, les cuisses de cette femme s’ouvraient de plus en plus, la lingerie se faisait plus coquine, plus chienne aussi.

Lentement je voyais cette femme par les yeux de son mari et elle se mit à rayonner pour moi aussi. Il émanait d’elle un je ne sais quoi de tellement respectable que le jeu en valait la chandelle de la voir jouer à la pute. Au fond elle menait le jeu et en décidait les contours. C’était là la joie de son mari plus que les commentaires dont il semblait si friand.

Je voyais les seins lourds, les cuisses arrondies, une vulve épaisse et vaste surmontée d’un mont de Vénus qui porte si bien son nom. Ce que j’aurais aimé le gravir! Pour arriver aux pâturages la-haut , savamment entretenu dans un triangle menu qu’elle laisse par hommage à la nature. Les images défilent et j’arrête le flot parce que lentement ce n’est plus un corps qui m’aguiche, plus un objet qui développe en moi mon sexe: c’est une personne dont le corps porte tout le charme.

Dans mon pantalon mon sexe est à l’étroit, je passe ma main sous ma ceinture pour le déplier et le mettre plus à l’aise pour bander, parce que je sens que le plaisir de grossir face à ces photos vient doucement.

Alors que c’est lui qui écoute mes commentaires sur les hanches, les épaules, les cheveux savamment défaits, c’est moi qui commence à la voir comme lui la regarde.
Je sens l’excitation qui le rongeait quand il prenait un gros plan de ce cul si vaste et si appétissant. Je bandais à mes propres mots, pour lui dire comme j’aurais voulu enfouir mon visage entre ces cuisses, y poser des baisers sur ces grasses lèvres gonflées immenses, décollées, entrouvertes d’où semblait suinter un filet de plaisir à venir.
J’aurais aimé lui ronger ce capuchon de chair qui recouvre le clitoris, si minuscule sur certaines images, où les doigts impeccablement manucurés de la bourgeoise, écartait la peau et la chair si rose et si belle.

Sur certaines images en gros plan, je voyais , sans censure, sans flouttage, les bagues discrètes côtoyer la peau brunâtre des grandes lèvres et le rose si frais et si brillant de la fleur d’entrecuisse de cette femme magnifique.

C’est peu être puéril mais le fait de voir dans sa maison cette femme offerte en photo, et les encouragements de ce mari enthousiaste avait sur moi un effet particulièrement érotique. Mon sexe était dur comme rarement même devant un porno hard. Mes sensations étaient directement liées par une autoroute de mon cerveau à ma queue.
Quand le mari m’a dit que je pourrais sortir ma bite, c’était un soulagement physique. J’ai sans aucune retenue défait ma braguette et baissé mon pantalon, je me suis un peu plus affalé sur la chaise de bureau et mon érection s’est révélée dans toute sa splendeur dans ce bureau rangé, à l’étage de cette maison bourgeoise paisible.

Le monsieur sembla troublé par la vue de mon membre, naïvement il me fit un compliment. Je ne sais pas si mon sexe est si beau mais je crois qu’il était fier à ma place et si heureux de l’effet que produisait sa femme sur moi. Il prit dans un tiroir une pièce de lingerie préparée à l’avance. Il ouvrit une nouvelle collection d’images où sa femme portait puis enlevait, jouait avec cette même minuscule culotte de dentelle violette. Il me la mit sous le nez, et à vrai dire elle ne sentait pas grand chose. La lessive vaguement. J’humais le tissus où j’aurais voulu trouver un peu de cette femme qui me faisait bander si fort par le mélange de respect qu’elle inspirait et la liberté que ces poses plus que lascives attestaient.

Á cause de cette malheureuse culotte, il ne manquait que la femme. Ces photos-ci avaient été prises il y’a peu de temps dans ce même bureau, avec ce même ensemble dont je reniflais le bas.

-Tu veux que je suce ta belle bite? Il était à la fois fébrile d’excitation et pas très sur de lui, je voyais qu’il n’aurait voulu pour rien au monde briser ce moment étrange et suspendu dans ce petit bureau où il avait dû transpirer pas mal en classant ses photos et en recueillant des commentaires plus ou moins graveleux sur son ordinateur.

J’avais très envie, oui, qu’on me suce, mais encore plus envie de cette femme que cet homme m’offrait pour son délice. C’est mon sexe, atrocement dur qui a répondu à ma place. Ma queue voulait gicler maintenant, et tant pis si ce n’était pas la femme dont je voyais toutes les lèvres brillantes qui posait sa bouche sur mon gland.

- Oui vas-y

Le monsieur fit un effort pour se glisser sous le petit bureau et venir plus ou moins confortablement placer son visage à hauteur de mon ventre. Frénétiquement je recherchais une photo particulière dans la série où la femme regarde droit vers l’objectif et dont les yeux semblent dire, regarde moi, veux-moi, tu en as envie?
Les images défilaient et montaient d’un cran mon désir à chacune. Elles remplissaient l’écran, la bouche de l’homme s’était maladroitement posée sur mon gland, et je ne parvenais plus à fermer les images pour passer de l’une à l’autre.

Je sentais mon sexe se faire gober, englober par cette bouche humide quand l’image de cette femme s’est ouverte comme ses cuisses. La langue s’enroulait autour de mon gland et les mouvements de tête faisaient coulisser la hampe dans une sorte d’aspirateur trempé de bave. Bien que la photo soit obscène, les cuisses largement écartées sur une vulve brillante et gonflée, que les lèvres soient écartée d’un côté par des doigts aux ongles vernis, que l’avant bras repose sur un ventre rond et que les deux seins magnifique s’étalent mollement sur le torse de cette femme, ce ne sont pas les sublimes ridules de l’anneau grumeleux des tétons dressés qui attiraient mon regard, ni les rides d’effort dans le cou pour relever la tête vers l’objectif qui me fascinaient. En sentant la bouche aller et venir sur mon chibre, je ne voyais que ce visage et ce regard sur l’écran.
Dans les yeux de cette femme il y avait à la fois la bravade et une sorte d’ironie indéfinissable qui semblait dire: je sais que tu en as envie, je sais que tu me trouve belle, je sais que tu me veux. Et en même temps cette main en suspend qui tire à l’excès sur cette culotte encore attachée par une seule cuisse à son corps , la-même que je presse sur mon visage, cette main énergique et détachée qui semble achever de déshabiller le modèle pour le photographe semble déjà connaître l’effet qu’elle fera sur ceux qui verront l’image.

L’abandon et la maîtrise du jeu. Je n’en étais plus là. Malgré l’étrangeté de la situation mon excitation exigeait que mon ventre se détende, ma prostate avait pris le dessus sur les autres organe et c’est une mécanique des triples, presque en apnée, le cœur presqu’à l’arrêt que mon corps s’est résumé à une éjaculation. Une sorte de tonnerre qui roulerait de l’arrière pays de mon cul jusqu’au bout de mon gland. Un soupir ou un râle, un grognement peut-être à prévenu le gentil mari que j’avais oublié que ma queue allait cracher la semence visqueuse. Il recula pour mieux voir et en trois traits enthousiastes mon sperme lui barra le visage, atterri sur le clavier puis sur le tapis sous la chaise de bureau. J’avais les fesses serrées et un immense sentiment de libération.

Le monsieur avait tout prévu et un peu trop vite à mon goût s’était relevé très satisfait, m’avait tendu des serviettes en papier et s’affairait déjà à récupérer la semence comme s’il récoltait un fruit précieux. Moi j’étais encore sous le choc de l’impact sexuel et j’avais besoin de revenir à moi. Je voyais encore sur l’écran l’image de cette femme victorieuse qui n’avait pas bougé. Elle était encore exactement aussi obscène et sublime. Ses yeux portaient toujours cet abandon et cette ironie. Et moi je reprenais un peu conscience de la bizarrerie de la situation. La maison proprette, le quartier bourgeois, le silence particulier de ce bureau et subitement ma faiblesse face à toute cette obscénité bienveillante.

Subitement mon pantalon sur les chevilles me paraissait incongru, bien que je me sentais si bien et si à l’aise que j’aurais pu sortir la queue à l’air n’importe où. Tranquillement sous les yeux satisfait du monsieur j’ai remonté mon pantalon. Il me dit que j’avais une queue magnifique et qu’il avait adoré. J’étais moi aussi satisfait et rempli de bienveillance.

Ensuite nous nous sommes retrouvés dans la cuisine vaste et tranquille qui donnait sur un jardin impeccable. Il m’a proposé un café et nous avons parlé de la pluie et du beau temps quelques minutes parce qu’on ne se connaît pas plus que ça et qu’il était impossible de s’en aller directement après avoir essuyé les traces de sperme.
Je lui dit l’admiration que j’avais ressenti pour sa femme et il en était très fier. Ensuite sans me presser j’ai compris que je devais m’en aller et bien que j’aurais adoré attendre là le retour de cette femme il n’y avait aucune raison de s’attarder.

Dans la voiture il n’est bientôt plus resté que quelques images improbables et une sensation de bien être générale.
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#2641753
episode 2


Au bureau j’ai reçu un appel sur mon portable perso, je n’ai pas reconnu le numéro et comme cet appel arrivait au beau milieu du tableau excell qui ne consentait pas à se mettre en forme comme je voulais j’ai laissé l’appel et continué à essayer de faire entendre à cette machine comment je voulais présenter les données.

Au final j’ai du renoncer et j’ai écouté plus par dépit que curiosité le message que ce numéro inconnu m’avait laissé. C’était le monsieur de l’autre jour qui me proposait un rendez-vous dans un café en ville pour me remercier des émotions de l’autre jour. En fait je n’étais pas en phase. Cette idée me parvenait de l’autre côté de la galaxie et machinalement j’ai voulu répondre à l’appel parce que je n’avais pas envie de me coller un mari lubrique et de me faire sucer toutes les deux semaines sous un bureau.

- Ce n’est pas ce que vous croyez me répondit-il. Voilà, je ne vous cache pas que j’ai été troublé par l’expérience mais je ne crois pas qu’on pourrait la reproduire à l’identique. je voulais juste vous remercier convenablement pour les émotions que je vous dois.

- mais vous ne me devez rien, j’ai pris beaucoup de plaisir et votre femme est magnifique…

- justement, justement

Il insistait pour qu’on se voie et qu’on en parle dans ce bar. Pour solder l’affaire et la rendre plus anodine j’ai accepté de le voir durant la pause déjeuner le jour même. Il semblait un peu contrarié du caractère informel que je voulais donner à cette rencontre mais il accepta. Je l’ai retrouvé dans ce bar, un peu à l’écart sur des banquettes qui se font face dans un carré.

- Je vous remercie d’être venu
- Je vous en prie, mais je n’ai pas tellement de temps, on peut manger un morceau ici?
- Bien sûr et il appelle le serveur par son prénom.

- Je vous ai apporté ceci, il sorti de son cartable de fonctionnaire à la retraite une bouteille de whisky écossais très fameux, très tourbé
- Ben il ne fallait pas, ce n’est pas pour ça…
- C’est mon préféré peut-être que nous avons des goût commun fit-il sans réplique possible.

Le garçon aimable nous apportait le déjeuner et prenait au passage des nouvelles d’un bon client. Une fois les plats devant nous le monsieur prit un ton de confidence.

- Voilà des mois qu’on vit une nouvelle jeunesse avec ma femme, après des hésitations et des réflexions elle a finit par s’habituer à mes fantaisies et poser pour mes photos. Je sais que ça lui plaît et depuis peut elle l’admet et même elle est plutôt enthousiaste, ça fait quelques années qu’on vivaient côte à côte, le travail , les enfants la vie quoi.

Je mangeais en me demandant comment je pourrais m’extirper de la vie de ce monsieur sympathique mais, mis à part qu’il m’avait quand même sucé la bite, nous avions très peu en commun. Pour moi le "voyeurisme" est plutôt un dégazage régulier mais pas un passion existentielle.

- Enfin je ne vais pas vous raconter ma vie, remarqua t’il, venons en au faits. Quand nous faisons l’amour ma femme et moi, j’ai remarqué qu’elle était de plus en plus réceptive aux commentaires qu’elle sait maintenant qu’elle suscite, et je lui ai parlé de votre sexe.

J’avalai ma bouchée.

- vous lui avez raconté notre…

- Non, je n’en ai pas eu besoin, mais ce n’est pas tant la question. J’ai trouvé votre sexe, si vous permettez, magnifique et je ne parviens pas à m’ôter de la tête l’idée qu’elle aussi l’apprécierait. J’aimerais le voir sur elle, en elle. Et surtout, en esthète, je voudrais faire des photos de votre sexe qui la pénètre.

J’en avais l’appétit perturbé.

-Ok… mais heu…

- Oui bien sur…en fait, vous savez l’admiration que j’ai pour mon épouse, pour son corps, à force de la photographier j’en suis devenu un peu artiste, le pigmalion de ma femme. En photo c’est une autre personne, une facette un peu plus coquine

- un peu plus coquine ? on peut dire en effet.

- oui. Mais elle n’est pas encore prête, vous comprenez

- je comprends d’autant mieux que je ne le suis peut-être pas moi même

A ces mots le visage de ce monsieur si enthousiaste se défit, j’avoue j’ai eu pitié. Et puis c’est vrai que la femme que j’ai vu et qui m’avait tant fait bander était appétissante, mais tout de même.

- Oh quel dommage

On aurait Bosseley dans les "drôles de dames"

- Mais accepteriez vous de la rencontrer? Pour voir s’il y a un feeling, peut-être, qui sait, lui faire la cour et me dire ses réactions.

- Mais je…

Je voulais lui dire que je m’en fous moi de tout ça mais ce n’était plus vrai.

- Mais elle, elle est d’accord?

- Allons vous n’allez rien lui faire de mal, elle est assez grande et puis je ne serai pas loin

- Mais est-ce que tout ça est…je cherchais mes mots… honnête? non Correct? non Est-ce que tout ça est clair?

- C’est un jeu, un jeu d’adulte.

Ce gars était parvenu à piquer ma curiosité et assez vite mon instinct de joueur. J’ai donc croisé cette dame sans le faire exprès, l’air dégagé d’un espion.



La dame en question n’était pas la dame des photos, enfin si mais de manière cryptée. Je la reconnaissais pour avoir eu une assez bonne idée de son anatomie mais cette image d’elle n’affleurait que par moment dans une façon de marcher ou un geste anodin qui échappe à l’observation habituelle.

Je l’ai abordée sous un prétexte absurde et j’ai engagé une conversation aussi banale que possible. En la regardant l’ironie qui m’avait fait tellement bander en photo persistait mais semblait voilée par une sorte de légère déception. J’aurais juré qu’elle avait tout deviné de mon manège et qu’elle me trouvait piètre comédien. En la regardant il me semblait être d’accord qu’elle valait mieux que ça, mais je n’étais pas si à l’aise que je l’aurais cru. Petit à petit je la draguouillais vaguement et l’ironie revînt dans son regard.

Elle me dit

- Monsieur j’ai l’impression que vous faites des efforts assez grossiers pour me faire la cour, ça marche d’habitude ces trucs là?

- Mais pardon…ce n’est pas… mais enfin… je ne veux pas

Je me sentais con comme jamais avec cette dame, en plus ce n’étais pas moi, je jouais mal dans le fantasme d’un autre et tout ça était ridicule.

- Je vous prie de m’excuser je vais vous laisser tranquille

- Je préférerais que non

- Pardon?

- Je dis je préfèrerais que non, que vous ne me laissiez pas tranquille

- Mais…

- Mon mari serait très déçu et moi sûrement aussi

- Pardon?

- Écoutez, nous sommes mal à l’aise dans ce jeu de dupes, j’aime mieux la vérité; je ne suis pas ici par hasard et vous non plus, mon mari a placé beaucoup d’espoirs en vous et j’ai aimé l’idée de lui faire plaisir, et même s’il exagère ce qu’il m’a dit de vous, la façon dont il me l’a dit a piqué ma curiosité, peut-être mon orgueil.
Mais nous sommes un peu ridicules.

- Heu oui vous avez raison… mais vous saviez?…

Elle parut gênée et elle n’en n’était que plus belle dans un éclair. Elle baissait la garde.

- J’aurais voulu jouer plus longtemps, ça aurait tellement plu à mon mari mais je ne mens pas aussi bien que lui, je n’ai pas son aplomb, j’étais là l’autre jour

- Vous étiez- là l’autre jour?

- Oui sinon comment vous aurais-je reconnu, enfin bon ce n’est pas le plus important.

Elle était d’un coup fragile

- Je…j’ai adoré ce moment, c’était son idée, son délire, ce n’est pas…d’habitude…enfin j’ai été très troublée, ce n’était pas prévu comme ça. Je voulais intervenir mais je l’ai vu dans un tel état. Et puis je ne sais pas, le voir comme ça et vous aussi , j’ai été…très… enfin ça m’a remuée.

- Vous étiez-là? vous avez tout vu?

- Oui tout entendu, tout senti, j’étais cloîtrée là, coincée dans mon placard …

elle essaye de rire mais ça ne marche pas

- et là debout , à vous voir bander, me voir sur l’écran, comme une… comme une pin-up et vous qui bandiez et mon mari qui… enfin ça m’a fait un effet incroyable, je ne savais pas que j’avais ça en moi, j’ai jouis debout dans une armoire , cachée comme une gamine qui voit ce qu’elle ne devrait pas enfin…ça m’a remuée

Je restais pantois. Je ne savais quoi dire parce que j’étais un peu surpris de la "duplicité" de ce monsieur si comme il faut, et si pervers et l’émotion réelle, sensible de cette femme. Moi je m’étais fait sucer sur des photos de vraie femme, j’avais humé sa culotte et j’avais jouis comme un porc, un simple branleur, mais elle… elle avait tout vu sans pouvoir intervenir pour ne pas briser le rêve de son mari, par amour peut-être et elle en avait jouis…

- oui … j’en ai joui en même temps que vous, et que mon mari d’ailleurs. Ne me demandez rien, je ne sais pas.

Puis elle planta ses yeux dans les miens, j’aurais été incapable de m’en détacher. Il y’avait une sorte de provoc, de jusqu’au boutisme mais aussi une sorte de fébrilité fragile, comme celle de son mari.

- Enfin depuis que vous êtes venu à la maison, on fantasme beaucoup sur votre sexe…mon mari et moi… et si vous acceptiez…je crois… enfin je ne sais pas…je crois que je suis prête

Elle avait baissé les yeux comme si elle se rendait. Au fond j’aurais voulu la prendre dans mes bras, mais elle se reprit immédiatement.

- Ce n’est pas que mon mari, c’est aussi moi, c’est notre jeu

Son regard était clair, comme seulement quand on est droit, aligné avec soi-même. Je l’ai trouvé sublime comme une star de cinéma, sauf qu’elle ne jouait pas, elle ne jouait plus.

- J’aime mon mari, je ne veux aimer que lui, je ne cherche pas d’aventure, j’ai seulement envie de votre queue…et mon mari aussi. Je voudrais qu’il me photographie encore, ça m’excite, et je voudrais qu’il me photographie avec votre queue en érection.

Puis elle sourit franchement, sûre d’elle.

- Pourriez-vous amener votre queue chez nous un de ces jours?

Je suis sùr que le garçon qui passait à hauteur de notre table a distinctement entendu sa dernière question, il s’est retourné pour s’assurer qu’il avait bien compris puis d’un regard, en nous voyant sagement assis elle et moi, il a conclu qu’il avait mal entendu.
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#2647734
@bonsoirbonsoir, tu mas envoyé cet été, en mp sur le tchat, les références de tes écrits pour me demander ce que j'en pensais. Je te réponds avec pas mal de retard, excuse-moi.
Ayant trouvé le temps, je me suis mis à la tâche pour répondre à ta demande. J'ai donc lu toutes tes histoires, et pas uniquement celles postées ici.
Tu possèdes un vrai talent pour raconter des histoires, décrire des personnages, des situations et des ambiances. C'est rare et j'aime beaucoup. Je me me suis introduit dans tes récits avec beaucoup d'aisance et de satisfaction.
Cela fait plaisir de de lire.
Bravo et merci.
#2671839
en été 1/3

Tout avait mal commencé. Depuis des mois on était prêts. Nous on ne s’occupe que de la production. Voilà des semaines que l’épidémie reporte sempiternellement les meetings. Au fil des réunions à distance j’ai fini par bien m’entendre avec ce collègue de l’autre boîte, je suis si souvent d’accord avec lui. Á la fin du mois de Juin un nouvel investisseur est monté dans le projet, en fait c’était dans les tubes depuis le rachat des autres, les américains. Tout le monde voulait savoir ce qui allait se passer et malgré qu’on nous répète que rien ne change à notre niveau, cette réunion tombait mal. En plus j’avais dû changer les semaines de vacances avec mon ex femme, les enfants sont grands, ça ne change plus grand chose mais là il avait fallu rechanger, à nouveau, pour une autre réunion. Cette fois c’était dans le Sud et tous comptes faits je n’étais pas malheureux de bouger un peu.

Bien sur j’étais trop habillé pour le Sud et ma chemise sous ma veste s’est immédiatement piquée de sueur. Le collègue était là jovial et plutôt positif. Il a pris ma valise énergiquement et c’est une chose que j’aime bien chez lui, malgré une position hiérarchique plus élevée dans sa boîte que la mienne de mon côté, jamais il ne me l’a fait sentir. Eux s’occupent du marketing et de la vente à l’étranger, ils sont plus "cool".

Il est un peu plus âgé que moi, pas de beaucoup à mon avis, mais il a ce côté "à la mode" du Sud. Il aime un peu plus que moi le "bling-bling" avec une tranquillité qui me le rend sympathique.

La réunion est emmerdante, une fois de plus, j’ai toujours l’impression que le boulot de tous ces gars est de faire des meetings, alors qu’à chaque fois, nous on en ressort avec plus de boulot qu’en commençant. Mais pas cette fois. Le nouvel investisseur est un jeune gars super enthousiaste et rapide, il a bossé le dossier et a tout de suite compris de quoi il s’agit, c’est un rapide et ça c’est bien. Sauf qu’à la stupeur générale avec le ton du gars qui prend une décision il nous annonce au bout de 20 minutes que tout est bon, c’est ok il va en parler à son boss. Quoi? La réunion était organisée pour le go final et là… quatre jours, il fait son rapport immédiatement, mais demain c’est le week-end et lundi c’est férié aux states donc on se revoit dans trois jours et c’est parti.

Ce n’est pas du tout ce qui est prévu et je dois annoncer ça à mon boss et à mon ex, l’idée est que je ne rentre pas pour redescendre dans trois jours.Pour ma boîte c’est clair: je dois remonter avec le go définitif. Au téléphone personne n’est ravi mais tant qu’à faire autant prendre la chose du bon côté. Avant de téléphoner j’explique la situation à mon collègue qui immédiatement me propose de loger chez lui, ce qui m’évitera de "glander" à l’hotel trois nuits, d’autant que d’après lui il n’y pas grand chose à faire par ici.

En fait on ne se connait pas si bien et j’ai un peu l’impression de m’imposer mais j’avoue que je ne vois pas ce que je pourrais faire là trois jours. D’autant que trouver l’hotel puis la perspective de rentrer une note de frais non prévue chez Madame Lataupe , n’est pas une perspective qui m’enchante, mais pour le collègue rien ne semble être un problème, il semble très heureux que la réunion ait pris moins d’une demie heure.

Sur la route je réalise que je n’ai pas une valise pour trois jours, comme s’il avait lu dans mes pensées il me dit qu’il mettra à ma disposition des vêtements plus appropriés pour les plages de sa piscine.
On roule dans sa belle bagnole sur ces routes qui passent entre des collines de caillasses et d’herbes jaunes de sécheresse. Il me parle de la vallée et des ballades qu’ils aiment faire avec sa femme.
Je lui demande si ça ne dérangera pas sa femme de me voir débarquer pour trois jours comme ça les mains vides, ça le fait rire et il me rassure sa femme adore les visites et l’imprévu.

La barrière s’ouvre automatiquement à l’approche de la berline, un chemin de gravier descend vers une petite cour devant la maison qu’on ne voit pas de la rue, dans un appentis il y’a une autre voiture de luxe rangée à l’ombre. De ce côté le mur est presqu’aveugle et la porte est au bout, la maison semble austère, mais dès le hall passé de grande baies ouvrent sur le jardin à degré au travers d’une galerie à l’ombre. Près de la piscine deux femmes bronzent. Le collègue jette les clefs de la voitures sur la large table et s’annonce depuis la terrasse. Les deux femmes se dressent d’abord mollement puis quand il me présente elle s’enroulent sans empressement dans un paréo pour venir me saluer.

Le collègue me les présente avant qu’elles nous ai rejoint et je ne saisi pas tout de suite qui est sa femme et qui est une amie de sa femme. Les deux sont un peu plus jeune que nous et j’apprendrai ensuite que l’amie est une ancienne baby sitter de leurs enfants avec qui ils sont restés en contact et qui est devenue la meilleure amie de la femme de mon collègue.

Les deux sont immédiatement sympathiques et à vrai dire très accueillantes. Elles semblent réjouies de l’initiative de mon collègue, je sens tout de suite que je représente une distraction bienvenue.

Je ne me suis pas rendu compte que j’avais gardé mon sac à la main, c’est la femme de mon collègue qui me l’a fait remarquer en me disant que puisque j’étais bloqué ici pour trois jours le mieux que j’aie à faire était de me détendre et d’oublier le boulot.
La femme de mon collègue est magnifique, comme le sont les femmes riches, elle portait les abords de la cinquantaine avec tranquillité, sa complicité avec son amie sans doute presque dix ans plus jeune était aussi agréable à voir que le bronzage délicat de leurs épaules. Très à l’aise l’amie s’est chargée de préparer quelque chose à boire , visiblement excitée à l’idée d’une fête improvisée. La femme me faisait faire le tour du propriétaire, elle me dit que dans une autre vie elle était architecte et avait dessiné cette maison avant de cesser son activité plus heureuse de profiter de sa maison que d’en construire d’autres. Et en effet la maison se révélait splendide, en fait, parfaitement pensée pour le terrain et pour son usage: la détente tranquille.

Mon collègue avait disparu et revenait vers nous avec l’amie et des boissons. Il se moquait gentiment de sa femme en demandant si j’avais eu droit à l’historique de la propriété.

L’après-midi s’achevait bien et je parvenais à me détendre complètement. Au bout d’un moment le collègue et sa femme ont disparu et je suis resté sur la terrasse avec l’amie. Elle me dit qu’elle venait là le plus souvent possible retrouver son amie. Elle me dit qu’ils l’avaient beaucoup aidée à l’époque de ses études et qu’aujourd’hui elle considérait cette maison comme son deuxième foyer.

Il émanait d’elle quelque chose d’incroyablement facile, rien ne semblait pouvoir lui échapper ni la contrarier. Je dois dire que sa présence accueillante, sa décontraction, son paréo qui ne cachait pas grand chose de sa peau et le verre que j’achevais me désinhibait complètement.

On peut se tutoyer? Mon collègue et sa femme étaient revenus sur la terrasse avec des cocktails, une passion à lui.

La soirée s’annonçait tranquille et on a parlé assez tard après le repas, si tard que les dames nous ont abandonnés et qu’on s’est mis a fumer tranquillement près de la piscine. Je ne me rappelle plus de quoi on a parlé ce premier soir mais pas de boulot en tous cas.

Par contre je me souviens des cocktails dont les effets étaient sensibles, le dernier surtout. Ensuite il était déjà tard et je suis monté me coucher dans la chambre qu’on m’avait indiquée.
Une fois seul je me suis déshabillé et à cause de la chaleur je n’ai pu supporter quoi que ce soit sur moi excepté le vent silencieux d’un ventilateur.

Je ne sais pas ce que les cocktails contenaient mais je me sentais agréablement imbibé et une érection heureuse me gonflait le sexe. Allongé, bien heureux j’ai sombré.


J’ai senti plus que je ne l’ai entendu la porte s’ouvrir, puis dans l’obscurité complète, un volume modifier le souffle du ventilateur. Pas tout à fait présent j’ai capté la présence mais je n’ai pas réagi.
J’ai clairement senti des cheveux sur mes pieds et sur mes jambes et un souffle silencieux sur mes cuisses mais il était trop tard pour réagir et j’ai laissé venir.
Mon érection est devenue plus forte en sentant passer un visage sur le haut de mes cuisses et après une progression dont la lenteur était une torture, une bouche se poser délicatement sur mon sexe. Sans aucun bruit les lèvres ont glissés de la hampe de mon sexe à mon gland qui a été englouti comme si c’était le plus naturel mouvement qu’on aie pu prévoir. Surpris mais enivré par les cocktails j’ai juste eu la présence d’esprit d’écarter un peu les jambes pour faciliter la succion. Cette bouche chaude et douce me suçait sans que j’aie rien demandé et c’était si bon, et j’y voyais si peu que je ne me suis pas posé de question et je me suis laissé aller aux sensations pures que l’obscurité proposait.

Le temps m’a paru s’arrêter et ce n’est que la jouissance qui mesurait les émotions, cette longue pipe ne pouvait plus finir autrement et en réprimant un grognement j’ai giclé dans la bouche inconnue avec une satisfaction rare. Il me semblait en jouissant que c’était exactement ce que j’avais à faire et ma raison d’être à l’instant même. La bouche aspira tout et plus doucement, comme avec tendresse, s’assura du retour de mon sexe à la mollesse avant de disparaître non sans déposer un baiser qui semblait être un remerciement. De retour à l’obscurité j’ai attendu vainement une explication puis j’ai sombré. La ventilation avait repris sa régularité et j’ai cru avoir rêvé.

Le lendemain je me suis douché et je suis descendu, dans la vaste cuisine où une machine avait déjà préparé un expresso avant celui que je me fit couler. Je sortis sur la terrasse et vis la femme de mon collègue nager dans la piscine un peu plus bas. Quand elle remarqua ma présence elle me fit un signe pour que je descende achever mon café au bord de la piscine. Elle était souriante et me demanda en s’approchant du dessus de son bikini resté sur le bord si j’avais passé une bonne nuit. Tout en renouant le top elle semblait attendre ma réponse. Embarrassé parce que je cherchais un détail qui aurait pu m’indiquer laquelle des deux femmes s’était glissée la nuit dans ma chambre, je lui ai assuré que j’avais passé une excellente nuit . Elle paraissait satisfaite et énergique et elle sortit de la piscine. Son corps magnifique attirait mes yeux mais je pris sur moi pour ne pas convoiter la femme d’un collègue aussi généreux et de qui je m’étais fait un ami la veille au soir. En se séchant elle me dit qu’elle me posait la question parce que quelque fois les recettes secrètes des cocktails de son mari sont ravageuses.

Sur son visage aucune trace d’une allusion à cette nuit , je ne trouve que son regard joyeux, satisfait d’avoir nagé le matin. Au risque d’être maladroit je cherche à la sonder, je lui demande si elle a bien dormi, en riant elle me dit qu’elle dort toujours bien, surtout quand elle échappe aux mélanges infernaux de son mari, elle me dit qu’il est devenu un véritable expert et que s’il pouvait utiliser ses cocktails dans son métier il ferait faire ce qu’il veut à qui il veut. Elle achève son café posé là en me regardant. Les yeux clairs et sans la moindre ambiguïté.

C’est vrai qu’il est très fort, il a cette passion depuis longtemps? Elle me regarde pour la première fois sans un grand sourire, mais très vite elle reprend son expression joyeuse: "depuis quelques années." elle commence "vous savez…il faut parfois des compensations" puis elle s’arrête "on peut se tutoyer?"

- Bien sûr, évidement

- Tu vois, il y a eu un moment où il se cherchait une passion, il avait atteint tous ses buts, je crois qu’il avait l’impression qu’il avait fait le tour…on a fait plein de choses, de voyages, d’expériences en tous genre et puis il s’est pris de passion pour ce truc tout bête

L’amie passe la tête par la fenêtre de sa chambre et fait un grand coucou, à quoi on répond ensemble par un signe, genre on est là.

Elle continue comme si elle voulait achever une idée avant de passer à autre chose: en fait comme pour tout ce qu’il entreprend il étudie à fond et trouve un moyen d’en faire une force qui le sert, enfin qui sert ses objectifs… elle inspire sérieuse et puis dans un soupir elle lache: il est incapable d’être dilettante en quoi que ce soit. Puis elle sourit gaiement à son amie qui descend de la terrasse vers nous avec du café.

L’amie porte une chemise de nuit si fine qu’on voit danser ses jolis seins et qui tombe sur ses hanches et ses reins à faire se damner un saint. Les deux femmes s’embrassent tendrement et comme pour faire bon compte l’amie me serre dans ses bras comme si on était amis depuis toujours. Je sens ses seins au travers de sa chemises qui se pressent sur ma poitrine et j’ose à peine la prendre dans mes bras de peur de la serrer trop. Je scrute son visage pour voir si c’est elle qui est venue cette nuit mais je ne vois passer dans ses yeux que la joie simple qu’il fasse beau, que c’est le matin et que la journée commence.

Sans me demander si on se tutoie elle me demande si j’ai bien dormi, mais c’est formel elle n’attend pas de réponse, j’essaye quand même de glaner une info : et toi?

- Ma-gni-fi-que-ment! C’est le paradis ici.

Et elle boit son café avec application. Impossible de dire. Ce doit être l’une ou l’autre. En fait ce n’est pas que je veux briser le charme mais je voudrais remercier pour le plaisir intense de la nuit dernière, le mystère reste entier.
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#2671988
en été 2/3

Parait alors mon collègue sur les marches qui conduisent à la piscine, il est à peine éveillé, un peu ébouriffé ce qui lui donne un air sympathique mais un peu bourru. Il porte un peignoir et il prévient tout de suite: ne me parlez pas, faites comme si je n’étais pas là, je suis un ours jusqu’à neuf heure, et il boit d’une traite un expresso en grognant avant de faire glisser son peignoir et de plonger entièrement nu dans la piscine. Après quelques brasses il semble s’être civilisé et s’adresse à moi: bon j’ai supposé que tu n’avais pas de maillot dans ta valise pour venir à une réunion donc je me suis dit, mettons le à l’aise, il n’a pas de maillot personne n’a de maillot soyons courtois… je décrète que de cette heure et sur toute l’étendue de mes terres les maillots sont proscrits

Éclat de rire général et puis comme si elle se devait à son devoir d’hôtesse la femme de mon collègue dénoua son dessus et fit glisser la culotte de son bikini le long de ses jambes. Elle était splendide, elle ne portait sur le mont de Vénus qu’un joli tiret de poils entretenus comme un jardin français. Elle avait gardé un naturel séduisant en se soulageant du peu de vêtements qu’elle portait en déposant avec grâce les petits bouts de tissus mouillés sur le dossier d’un chaise.

L’amie qui s’était retournée lors du plongeon comme si elle craignait que sa chemise de soie ne soit éclaboussée par l’eau de la piscine, refit un tour sur elle même pour fuir vers la terrasse en prétendant qu’il était bien trop tôt pour elle pour ce genre de sentence et qu’avant tout elle voulait plus de café.

Je me sentais un peu con avec mon pantalon et ma chemise alors que mon collègue sortait de la piscine seulement couvert par l’eau qui ruisselait, il était glabre sur tout le corps et assez bien fait. Un piercing brillait à son gland. Il refusa la serviette que lui tendait sa femme en lui disant qu’il allait en mettre partout et lui de hausser les épaules: "mais c’est bien mon intention, mettons en partout, de tout, le plus possible"

Puis singeant l’accent de notre correspondant américain de la veille il me dit "mettez vous à l’aise mon grand ". Sa femme fit sauter un, puis deux boutons de ma chemise et vérifia d’un regard à son mari si c’était suffisant, il haussa les épaules penaud et attrapa tout de même une serviette pour se sécher.

Il dit "bon je vous laisse, il n’est plus question de maillot mais je dois tout de même m’habiller je descends en ville ce matin", puis en s’adressant à moi , "toi tu reste-là tu es en vacances; c’est aussi un décret: profite!" Il remontait tranquillement vers la maison en me laissant avec sa femme nue debout à côté de moi.

Elle me dit qu’il est toujours comme ça et elle s’installa dans un transat. Un peu idiot je restais là avec ma tasse d’expresso vide en main. "Viens! " me dit la femme du collègue "pose toi !" en tapotant sur le transat voisin. Sans autre but je m’exécutais.

On entendait vaguement une voiture manœuvrer dans le gravier quand elle me dit que son amie aussi avait disparu pour au moins la matinée, "elle dit qu’elle dort bien mais elle est carrément insomniaque et quand elle dort…elle est somnambule. Je ne te dis pas le nombre de fois où j’ai sursauté la nuit parce qu’elle arpente le couloir, ou bien elle descend à la cuisine boire un verre d’eau et le lendemain pfft… disparu elle ne se rappelle de rien". Elle me regardait plus intensément comme si elle cherchait quelque chose dans mon regard puis en changeant d’humeur et de sujet elle m’interrogea sur ma vie privée. Non je n’étais pas marié, enfin plus, oui j’avais des enfants mais grands qui s’occupent plutôt d’eux-mêmes et ce genre de banalités.

Elle était toujours nue et c’était un détail tant elle semblait à l’aise. C’est moi qui, vêtu, était bizarre.

-Tu ne veux pas te baigner ça fait du bien?
C’est vrai que j’en avais envie, rien que pour me prémunir de mes regards qui cadraient mal avec le naturel de cette femme, je faisais effort pour ne pas la reluquer.

- Si j’ai bien compris c’est à poil?
- c’est ça… et c’est un peu de ta faute

J’avais fait glisser mes vêtements avec le plus de naturel possible et je faisais comme si je ne sentais pas la demi molle que j’espérais maîtriser dans l’eau fraîche. Mais j’ai bien vu que discrètement la femme de mon collègue avait jeté un oeil entre mes cuisses. Peu importe mon sexe à demi gonflé était flatteur.

- je viens aussi

elle m’avait rejoint dans l’eau et nageait près de moi , un peu trop près. J’avais envie de cette femme mais je trouvais que ce n’était pas fair play vis à vis de mon collègue. Et puis je jetais un oeil vers la maison.

La femme riait, "viens on ne les reverra pas de la matinée" et elle frottait ses seins sur mon torse et je sentais ses cuisses enserrer mes hanches. Elle écrasa un baiser sur mes lèvres et fouilla l’eau pour trouver mon sexe. Elle flatta un peu l’érection puis pris une inspiration pour couler et me sucer le gland en apnée. Elle remonta à la surface avec un grand sourire. Puis se retourna et nagea comme pour m’inviter à la suivre. Quand je l’ai rejointe j’ai voulu la prendre dans mes bras.

- TTT…qu’est-ce que tu crois?

Elle riait franchement: "pas ici ce ne sera pas confortable longtemps".

Elle sorti de l’eau et je la suivais, elle est passée derrière le petit bâtiment qui jouxtait la piscine et s’est appuyée sur le mur, après s’être laissée embrasser elle se retourna, cambrée, les cuisse écartées les mains appuyées au mur puis sans un mot me fit comprendre que je devais maintenant m’agenouiller et lui lécher l’entrejambe, une fois en place je la senti prendre un mouvement, une ondulation du bassin qui faisait passer ma langue et mon visage entier de son clitoris sur sa vulve et jusqu’à la limite de son anus, elle se frottait littéralement la vulve sur mon visage avec une sorte de volupté précise . Elle s’appliquait jusqu’à ce que le plaisir rende ses gestes un peu moins stricts, mais jamais elle ne s’abandonnait complètement, comme si elle se rappelait de son intention elle essayait de reprendre le mouvement. Elle soufflait fort et soupirait sans retenue. J’avais l’impression qu’on l’entendait jusqu’à la maison. Elle demandait à voix haute: c’est bien ça? c’est ça que tu veux? Tu aimes ça hein? Tu en veux encore?
Mais elle n’attendait pas ma réponse, et s’activait sur mon visage jusqu’à ce que grâce à ses efforts elle émit un flot dont je n’aurais pas pu décider si c’était son plaisir ou de l’urine, mais qu’importe j’en aurais voulu encore et quand je lui ai dit c’était comme un électro choc, elle semblait se rappeler ma présence et elle se frotta vigoureusement la vulve sur mon visage puis urina après un effort qu’elle exprima par un soupir sonore, presqu’un cri qui dans l’état où j’étais ne m’inquiéta plus. Ruisselant j’en aurais presqu’été heureux si je n’avais pas cru entendre des bruissement dans le gravier.
Surpris j’eus un mouvement qui sembla contrarier la femme du collègue dans son ivresse.

Depuis la maison on entendait clairement l’amie qui annonçait son arrivée. La femme du collègue un peu à contre cœur me tira en direction de la douche tenante au bâtiment et nous poussa sous un autre jet chaud.
L’amie passait le coin à l’instant et j’aurais juré que son air joyeux de nous trouver cachait mal une petit sourire en coin.

- Ah bon vous êtes là? Vous en sortez? j’allais me baigner.
- Comme ça ?
Demanda la femme

- Ben oui pourquoi?

L’amie ne voyait pas de problème, et moi j’avais oublié qu’on était nus, et je ne voyais pas non plus.

- Je te signale que tu es en maillot
- Oui et alors?
- Tu ne vois pas qu’on est nus?
- Ben si d’ailleurs je me disais que…ah mais oui… le décret
-Le décret

D’un coup, comme prise en faute elle enleva aussi vite que possible sa culotte et puis avec l’aide de la femme son soutient.

- ouf! j’ai failli oublier

Dans un petit ricanement la femme rassura son amie: "on ne dira rien, c’est notre petit secret"

- ok répondit-elle avec un grand sourire complice et elle sautèrent à l’eau.

Sur ses reins elle avait un tatouage, c’était écrit: C.S.E.T.P. en petites lettres ornées.

Á nouveau je me trouvais un peu gauche et pour me donner une contenance je me suis mis à sécher sur un transat. Les deux femmes jouaient dans l’eau puis comme des gamines se rapprochaient gravement pour murmurer je ne sais quoi avant d’éclater de rire entre elles. Elles étaient belles dans l’eau. Et je me réjouissais de voir leur peau ruisseler de leur nuques à leur reins.
Mais à les observer me revenaient des flashs de la nuit dernière, de ce que j’avais senti sous l’eau je savais que ce n’était pas la femme qui m’avait si bien sucé cette nuit. Et j’étais à me dire que ce devait être la somnambule qui était venue me dire bonsoir à sa façon. Mais tout de même c’est flippant.

J’en étais là quand, sans plus de formalité je vois mon collègue apparaître sur la terrasse et descendre les quelques marches vers la piscine. Tout sourire il vient vers moi pour me demander si j’avais bien profité des installations. Avec un grand sourire il me fit remarquer que son décret avait embellit le paysage. Puis proposa un apéritif. Il dit " je vais vous faire un cocktail…Sur mesure".

J’avais enroulé autour de ma taille un paréo parce qu’il venait d’emporter les vêtements vers la maison et que c’est tout ce dont disposaient les alentours de la piscine pour se vêtir. Les femmes étaient sorties de l’eau et s’étaient elles aussi enroulées dans les légers tissus mais leurs corps mouillés les rendaient transparents. Personne ne semblait le noter et surtout personne ne songeait à s’en plaindre.

Dans le cadre professionnel je n’avais pas noté ce côté autoritaire de mon collègue, en fait son machisme méridional prenait tout en charge et il semblait naturel qu’on fasse comme il avait prévu.
C’est comme ça qu’on s’est trouvé à trinquer, sur la terrasse devant une table qu’il avait garni de fougasses et d’olives. Les cocktails n’étaient pas ceux du soir et semblaient plutôt simples et fruités. Délicieux en l’occurence le mien évoquait le gazpacho ou un smoothie de légumes.

Chacun avait le sien.
Sachant le plaisir qu’il avait à "composer" je lui demandais s’il donnait des noms à ses cocktails. Sans fausse modestie et habillé comme pour la ville il dégustait le plaisir de nous voir très légèrement vêtus devant lui et impatients de connaître le nom de ses créations.

Il nous dit que celui de l’amie s’appelait "hypnose" à cause du plaisir qu’il avait à la croiser la nuit en train d’activer un lave-vaisselle à 3h du matin, ce qui fit rire tout le monde.
Ensuite pour sa femme le mélange qu’elle achevait de siroter s’appelait "vérité" parce qu’elle représentait pour lui la vertu principale de l’amour, on fut attendri.
Pour moi c’était en anglais, à cause de nos affaires et en allusion à nos projets qui étaient momentanément suspendus et grâce à quoi nous étions réunis c’était "boots and reboost", ce qui était bien vu et charmant d’autant qu’effectivement je sentais que c’était un mélange énergétique.

- Et pour toi?

- Et pour moi c’est un peu plus énigmatique, mais vous pourriez deviner, c’est une devise qui me plait: "C.S.E.T.P." les filles rirent de bon cœur et bien que ça me disait quelque chose j’étais un peu perdu. Voyant mon air complice mais sans les clefs l’amie me dit que c’était un tatouage qu’elle portait là sur les reins. Elle semblait apprécier l’évocation de son tatoo.
Je n’eut pas la franchise d’assumer ma curiosité au-delà, même si je me demandais quelle devise cachait ces lettres et ce qu’elles avaient de commun avec le patriarche de cette bizarre maisonnée.

Mais le repas avançait et l’effet des cocktails se fit sentir plus clairement.
Une douce euphorie entourait la table. Et le collègue avait fait sauter un bouton, puis un autre. Il était pieds nus, détendu et sa femme proposa un jeu.
Le collègue répliqua que ce serait son jeu alors, le jeu de la vérité.
Elle approuva et dit que ça nous fera faire connaissance un peu mieux, elle dit voilà les règles: tour à tour on se pose des questions dont on pense que les réponses peuvent être rigolotes on a le droit que de dire la vérité ou de demander un gage. Dans l’euphorie des cocktails et dans la chaleur du midi l’idée paraissait plaisante et même coquine à voir le reflet dans l’oeil de mon collègue.

La première à poser une question fut la maîtresse de maison à son mari.
zztop, san59, Dionysos06 et 2 autres a liké

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