- 05 juil. 2021, 13:11
#2532396
épisode 1
en sortant du métro je n’étais pas très à l’aise, j’avais l’impression qu’on pouvait lire sur mon visage où j’allais, et bien que j’étais décidé, que je savais que je passerais le sas, je n’avais aucune idée de ce que j’allais trouver de l’autre côté. J’avais passé la soirée dans cet état particulier d’envie de sexe, une envie apriori, une envie informelle. Juste cette sensation d’étrange nécessité, du corps qui se concentre à l’intérieur du ventre entre les testicules et l’anus. Mon sexe attirait ma main, j’avais envie d’enlever mon pantalon et de me déplacer comme ça, une demi molle obsédante. Avec une fausse désinvolture, voulais-je qu’on me voie? J’avais envie de promener mon sexe, que toute ma vie on m’a dit de cacher, et mon corps ne voulais plus supporter de vêtement.
En marchant sur ce trottoir dégagé à cette heure-là, je sentais mon corps, ma peau sous mes vêtements. J’avais pris un losange bleu de viagra…à tout hasard, et je sentais monter l’effet, mon cerveau s’engourdir un peu et mon visage chauffer. La ville me semblait prendre des reflets bleus.
Le club se trouve dans une rue qui descend vers une place, à côté d’une ancienne boîte de nuit abandonnée. L’entrée se fait par une sorte de hall aveugle, par une porte presque dérobée à la vue. Une porte aveugle elle aussi, à peine éclairée par un luminaire à LED changeant de couleur. Dans la rue les passants me semblaient moqueurs et après avoir sonné, je me demandais si j’avais encore envie d’être là. Mais la porte vibra d’une secousse électrique et je l’ai poussée. Il y a un sas qui permet à l’hôtesse de voir qui est entré avant d’actionner à nouveau l’ouverture. Derrière son comptoir elle est naturelle, accueillante, précise et blasée. Derrière elle monte un escalier peu éclairé et on entend déjà une musique rythmée de boîte de nuit. On ne peut pas dire qu’elle soit très sexy, elle porte un short et un t-shirt pratiques pour la température ambiante, elle me tend une serviette et un bracelet de piscine en silicone où est attachée la clef du box 33. Elle m’indique le vestiaire où des affiches reprennent les consignes, pas de téléphone, pas de drogue etc…
J’ai l’impression d’être à la piscine, j’hésite à prendre mes lunettes qui sont embuées depuis un an. En boxer je monte les escaliers vers la petite salle remplie de musique et seulement éclairée par quelques spots. Il y fait chaud et je doute de ma curiosité. Il y a là quelques couples attablés mais surtout des hommes, comme moi en caleçon. Le bar est accessible et les boissons sont à discrétion, je commande une vodka tonique pour me donner une contenance. Le bar est placé sous un escalier qui mêne à deux grandes alcôves ouvertes et deux plus petites alcôves plus fermées, l’une entièrement sombre et l’autre plus éclairée et fermée d’un côté par des barreaux. Les deux grandes alcôves sont peu éclairées mais on y distingue un groupe de corps. Au centre je vois le dos d’un homme qui s’active à pénétrer doucement une femme dont je ne voit que les jambes et les bras, autour d’eux cinq ou six hommes assez proches qui se partagent les mains de la femme sur leur sexes ou qui se masturbent doucement.
Un des hommes est chauve et blanc, assis en tailleur il ne manque rien de la scène mais semble plongé dans une méditation. Il triture sont sexe. D’autres hommes sont là debouts en silence et observent la scène.
Après avoir fait un tour dans cette ambiance je redescends vers le bar, les couples n’ont pas bougés et je remarque un fumoir derrière une porte coulissante. Je vais fumer une cigarette et j’entreprends la conversation avec deux fumeurs, les deux sont maghrébins, l’un semble plus habitué que l’autre et les deux se désolent qu’il y ait si peu de monde par rapport à hier.
Je retourne au bar et commence alors vraiment la soirée. Je demande un verre quand une femme entièrement nue vient se placer à côté de moi. Elle a dans la trentaine, je la regarde tranquillement et c’est alors que je commence à apprécier l’ambiance, alors que tout le monde est plus ou moins nu, il y a un grand naturel. Tout le monde est là pour ça et il n’y a pas de concupiscence à regarder une personne nue à côté de soi. Au contraire, elle s’assied sur un haut tabouret et elle engage la conversation, en me faisant remarquer qu’elle m’offrirait volontiers une verre mais que c’est open bar, je lui sourit, elle me sourit et me demande si je suis monté?
Je lui dit que oui mais que c’est un peu encombré. Elle me dit qu’elle m’a vu et que ma présence un peu curieuse, un peu absente l’a intrigué. Je regarde son corps et je me rend compte que c’était elle qui était couverte de corps. Cette idée me fait bander et je vois qu’elle le remarque d’un sourire. Elle passe sa main sur ma cuisse et sur mon sexe. Notre conversation ne dure pas parce que des hommes qu’elle semble connaître viennent s’y immiscer. Ils la touchent avec douceur, et lui propose de monter avec eux, mais gentiment elle leur dit qu’elle descend à peine et qu’elle fait une pause.
Elle s’en va vers les douches suivie par deux ou trois gars qui s’étaient approchés, ce sont ceux qui étaient sur ou autour d’elle et qui commentent vaguement l’action. Je prends mon verre et j’aborde un couple dont j’ai croisé quelque fois le regard, je leur demande si je peux m’installer près d’eux et très gentiment ils m’invitent à leur table, l’ambiance commence à me plaire, la vie me semble si simple. L’homme est chauve et buriné, il porte une chemise de jeans ouverte et des baskets et c’est tout, son corps est tatoué de noir en grands motifs et son sexe épilé pend librement, sa femme , cheveux court apprêtés, mèches, est joliment boudinée dans un robe noir au reflets plastique très courte et qui montre des bas rouge assortis à un soutient gorge dont on voit passer les bretelles sur son dos dénudé.
Très vite j’apprends que le monsieur a roulé sa bosse un peu partout, qu’il est depuis longtemps dans le milieu libertin, en tous cas depuis plus longtemps que la dame, ils élèvent et recueillent des chiens. Le monsieur me dit de me mettre à l’aise parce que sa femme lui a fait remarquer ma présence au bar et s’étonnait que la conversation avec Unetelle ne m’ait pas fait monter avec elle dans les alcôves. La dame me demande si je cherche plus mûr. Sur ça elle me regarde gentiment en souriant et passe sa main dans mon boxer. Le mari sourit et continue la conversation avec moi. Depuis tout à l’heure elle se demande comment est ta bite me dit-il.
La dame pour être plus à l’aise baisse mon caleçon et exhibe mon sexe. Je me sens à l’aise et je sens le sang gonfler mon sexe. La dame se penche et prend mon sexe en bouche le plus naturellement du monde. Son mari jovial me dit qu’elle ne peut pas s’en empêcher , comme s’il excusait sa femme. Je porte mon verre à la bouche et je sens la bouche chaude de cette parfaite inconnue aspirer mon gland et tout mon sexe dans sa bouche. Je bande immédiatement. Le mari me dit qu’elle aime les poilus et me fait un grand sourire.
Pendant que la femme s’affaire, le mari lui glisse une main dans le soutient gorge et fait saillir deux beaux gros globes blancs, en lui triturant sans trop de ménagement les tétons. cette scène attire autour de nous quelques hommes présents, mais cette présence bien que très tranquille est un peu avide et la dame s’interrompt. Je m’attends à ce qu’elle nous propose de passer dans l’une ou l’autre des alcôves, mais non, elle se réinstalle et bois une gorgée. Je reste le sexe à l’air, très tendu.
Elle me dit qu’elle aime beaucoup ma queue. Je la remercie. Je lui demande si elle ne veut pas continuer dans une alcôve et elle me répond qu’elle préfère laisser partir la horde. Elle se penche vers son mari et lui dit quelque chose que je ne comprends pas mais qui le fait sourire et acquiescer. Elle se penche vers moi et me dit très près qu’elle vient de lui dire que j’avais une bonne queue et qu’il aimerait sûrement aussi. Elle m’interroge du regard tandis que son mari me fait un geste de familiarité en levant son pouce. Elle prend ma main et m’entraîne vers une alcôve qu’on peut fermer et qui se trouve au rez de chaussée de l’établissement, dans l’escalier elle se retourne pour me dire qu’on sera plus tranquilles et elle pose un bisou sur mon sexe. Le mari nous a suivi mais non sans avoir vidé son verre. On laisse le bar là haut et on entre dans une petite pièce peu éclairée mais où on distingue une croix de saint-André. Le mari ferme un rideau pendant que sa femme enlève ses vêtements. Elle est ronde, douce et grasse, ses seins pendent lourdement et elle porte un minuscule triangle de poils pubien. Je bande toujours et j’ai envie qu’on s’occupe de mon sexe. Á genoux la femme reprend mon sexe dans sa bouche mais d’une façon plus vorace, le bruit de ses succions m’excite, son homme se secoue le sexe en souriant, elle me demande si son mari peut goûter et sans attendre vraiment ma réponse tend mon sexe à son mari, qui me suce très agréablement, presque mieux qu’elle.
en sortant du métro je n’étais pas très à l’aise, j’avais l’impression qu’on pouvait lire sur mon visage où j’allais, et bien que j’étais décidé, que je savais que je passerais le sas, je n’avais aucune idée de ce que j’allais trouver de l’autre côté. J’avais passé la soirée dans cet état particulier d’envie de sexe, une envie apriori, une envie informelle. Juste cette sensation d’étrange nécessité, du corps qui se concentre à l’intérieur du ventre entre les testicules et l’anus. Mon sexe attirait ma main, j’avais envie d’enlever mon pantalon et de me déplacer comme ça, une demi molle obsédante. Avec une fausse désinvolture, voulais-je qu’on me voie? J’avais envie de promener mon sexe, que toute ma vie on m’a dit de cacher, et mon corps ne voulais plus supporter de vêtement.
En marchant sur ce trottoir dégagé à cette heure-là, je sentais mon corps, ma peau sous mes vêtements. J’avais pris un losange bleu de viagra…à tout hasard, et je sentais monter l’effet, mon cerveau s’engourdir un peu et mon visage chauffer. La ville me semblait prendre des reflets bleus.
Le club se trouve dans une rue qui descend vers une place, à côté d’une ancienne boîte de nuit abandonnée. L’entrée se fait par une sorte de hall aveugle, par une porte presque dérobée à la vue. Une porte aveugle elle aussi, à peine éclairée par un luminaire à LED changeant de couleur. Dans la rue les passants me semblaient moqueurs et après avoir sonné, je me demandais si j’avais encore envie d’être là. Mais la porte vibra d’une secousse électrique et je l’ai poussée. Il y a un sas qui permet à l’hôtesse de voir qui est entré avant d’actionner à nouveau l’ouverture. Derrière son comptoir elle est naturelle, accueillante, précise et blasée. Derrière elle monte un escalier peu éclairé et on entend déjà une musique rythmée de boîte de nuit. On ne peut pas dire qu’elle soit très sexy, elle porte un short et un t-shirt pratiques pour la température ambiante, elle me tend une serviette et un bracelet de piscine en silicone où est attachée la clef du box 33. Elle m’indique le vestiaire où des affiches reprennent les consignes, pas de téléphone, pas de drogue etc…
J’ai l’impression d’être à la piscine, j’hésite à prendre mes lunettes qui sont embuées depuis un an. En boxer je monte les escaliers vers la petite salle remplie de musique et seulement éclairée par quelques spots. Il y fait chaud et je doute de ma curiosité. Il y a là quelques couples attablés mais surtout des hommes, comme moi en caleçon. Le bar est accessible et les boissons sont à discrétion, je commande une vodka tonique pour me donner une contenance. Le bar est placé sous un escalier qui mêne à deux grandes alcôves ouvertes et deux plus petites alcôves plus fermées, l’une entièrement sombre et l’autre plus éclairée et fermée d’un côté par des barreaux. Les deux grandes alcôves sont peu éclairées mais on y distingue un groupe de corps. Au centre je vois le dos d’un homme qui s’active à pénétrer doucement une femme dont je ne voit que les jambes et les bras, autour d’eux cinq ou six hommes assez proches qui se partagent les mains de la femme sur leur sexes ou qui se masturbent doucement.
Un des hommes est chauve et blanc, assis en tailleur il ne manque rien de la scène mais semble plongé dans une méditation. Il triture sont sexe. D’autres hommes sont là debouts en silence et observent la scène.
Après avoir fait un tour dans cette ambiance je redescends vers le bar, les couples n’ont pas bougés et je remarque un fumoir derrière une porte coulissante. Je vais fumer une cigarette et j’entreprends la conversation avec deux fumeurs, les deux sont maghrébins, l’un semble plus habitué que l’autre et les deux se désolent qu’il y ait si peu de monde par rapport à hier.
Je retourne au bar et commence alors vraiment la soirée. Je demande un verre quand une femme entièrement nue vient se placer à côté de moi. Elle a dans la trentaine, je la regarde tranquillement et c’est alors que je commence à apprécier l’ambiance, alors que tout le monde est plus ou moins nu, il y a un grand naturel. Tout le monde est là pour ça et il n’y a pas de concupiscence à regarder une personne nue à côté de soi. Au contraire, elle s’assied sur un haut tabouret et elle engage la conversation, en me faisant remarquer qu’elle m’offrirait volontiers une verre mais que c’est open bar, je lui sourit, elle me sourit et me demande si je suis monté?
Je lui dit que oui mais que c’est un peu encombré. Elle me dit qu’elle m’a vu et que ma présence un peu curieuse, un peu absente l’a intrigué. Je regarde son corps et je me rend compte que c’était elle qui était couverte de corps. Cette idée me fait bander et je vois qu’elle le remarque d’un sourire. Elle passe sa main sur ma cuisse et sur mon sexe. Notre conversation ne dure pas parce que des hommes qu’elle semble connaître viennent s’y immiscer. Ils la touchent avec douceur, et lui propose de monter avec eux, mais gentiment elle leur dit qu’elle descend à peine et qu’elle fait une pause.
Elle s’en va vers les douches suivie par deux ou trois gars qui s’étaient approchés, ce sont ceux qui étaient sur ou autour d’elle et qui commentent vaguement l’action. Je prends mon verre et j’aborde un couple dont j’ai croisé quelque fois le regard, je leur demande si je peux m’installer près d’eux et très gentiment ils m’invitent à leur table, l’ambiance commence à me plaire, la vie me semble si simple. L’homme est chauve et buriné, il porte une chemise de jeans ouverte et des baskets et c’est tout, son corps est tatoué de noir en grands motifs et son sexe épilé pend librement, sa femme , cheveux court apprêtés, mèches, est joliment boudinée dans un robe noir au reflets plastique très courte et qui montre des bas rouge assortis à un soutient gorge dont on voit passer les bretelles sur son dos dénudé.
Très vite j’apprends que le monsieur a roulé sa bosse un peu partout, qu’il est depuis longtemps dans le milieu libertin, en tous cas depuis plus longtemps que la dame, ils élèvent et recueillent des chiens. Le monsieur me dit de me mettre à l’aise parce que sa femme lui a fait remarquer ma présence au bar et s’étonnait que la conversation avec Unetelle ne m’ait pas fait monter avec elle dans les alcôves. La dame me demande si je cherche plus mûr. Sur ça elle me regarde gentiment en souriant et passe sa main dans mon boxer. Le mari sourit et continue la conversation avec moi. Depuis tout à l’heure elle se demande comment est ta bite me dit-il.
La dame pour être plus à l’aise baisse mon caleçon et exhibe mon sexe. Je me sens à l’aise et je sens le sang gonfler mon sexe. La dame se penche et prend mon sexe en bouche le plus naturellement du monde. Son mari jovial me dit qu’elle ne peut pas s’en empêcher , comme s’il excusait sa femme. Je porte mon verre à la bouche et je sens la bouche chaude de cette parfaite inconnue aspirer mon gland et tout mon sexe dans sa bouche. Je bande immédiatement. Le mari me dit qu’elle aime les poilus et me fait un grand sourire.
Pendant que la femme s’affaire, le mari lui glisse une main dans le soutient gorge et fait saillir deux beaux gros globes blancs, en lui triturant sans trop de ménagement les tétons. cette scène attire autour de nous quelques hommes présents, mais cette présence bien que très tranquille est un peu avide et la dame s’interrompt. Je m’attends à ce qu’elle nous propose de passer dans l’une ou l’autre des alcôves, mais non, elle se réinstalle et bois une gorgée. Je reste le sexe à l’air, très tendu.
Elle me dit qu’elle aime beaucoup ma queue. Je la remercie. Je lui demande si elle ne veut pas continuer dans une alcôve et elle me répond qu’elle préfère laisser partir la horde. Elle se penche vers son mari et lui dit quelque chose que je ne comprends pas mais qui le fait sourire et acquiescer. Elle se penche vers moi et me dit très près qu’elle vient de lui dire que j’avais une bonne queue et qu’il aimerait sûrement aussi. Elle m’interroge du regard tandis que son mari me fait un geste de familiarité en levant son pouce. Elle prend ma main et m’entraîne vers une alcôve qu’on peut fermer et qui se trouve au rez de chaussée de l’établissement, dans l’escalier elle se retourne pour me dire qu’on sera plus tranquilles et elle pose un bisou sur mon sexe. Le mari nous a suivi mais non sans avoir vidé son verre. On laisse le bar là haut et on entre dans une petite pièce peu éclairée mais où on distingue une croix de saint-André. Le mari ferme un rideau pendant que sa femme enlève ses vêtements. Elle est ronde, douce et grasse, ses seins pendent lourdement et elle porte un minuscule triangle de poils pubien. Je bande toujours et j’ai envie qu’on s’occupe de mon sexe. Á genoux la femme reprend mon sexe dans sa bouche mais d’une façon plus vorace, le bruit de ses succions m’excite, son homme se secoue le sexe en souriant, elle me demande si son mari peut goûter et sans attendre vraiment ma réponse tend mon sexe à son mari, qui me suce très agréablement, presque mieux qu’elle.