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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2766350
Sous les ombres de nos fantasmes, le récit s'écrit, et c'est moi, Diva, qui porte la plume de nos désirs. Je pensais que ces songes resteraient en des territoires imaginaires, jamais je n'aurais cru que les rêves prendraient vie.

Contrairement à mes attentes, nos échanges enflammés ont tracé une voie plus tangible. Ces prétendants qui jusque-là m'avaient laissée indifférente, sont devenus des complices potentiels pour nos plaisirs, les plaisirs partagés entre God et moi. Sous la guidance de God, je les ai allumés, éveillant des feux qui dansaient à notre rythme.

Parmi eux, "M", un homme d'affaires courtois, a fait le voyage depuis un autre pays jusqu'à Paris. Un dîner galant était prévu vers 20 heures le 1er décembre 2023. God et mon amie "D" (qui ignorait encore la nature de notre lien récent), m'ont aidée à choisir ma tenue pour cette soirée particulière. « D » pensant que c’était un rancard classique.

God, excité et méfiant, m'a donné des directives claires : éviter tout attachement, le séduire, aller plus loin avant minuit. C'est lui qui m'a déposée à ce rendez-vous, restant joignable tout du long. Je devais lui envoyer des photos, l'appeler, détailler chaque instant sans forcer si je ne le sentais pas.

Sur le chemin, il me demande comment je me sens. Rien de particulier, encore à moitié inconsciente de ce qui m'attend. J'arrive, "M" m'accueille avec courtoisie, comme le veut sa bonne éducation. La conversation est banale, plaisante sans être extraordinaire. Mais tout change quand je me lève pour aller aux toilettes.

Une main glisse discrètement sur l'épaule de "M", une fausse innocence qui révèle nos intentions. Aux toilettes, je dis à God que la soirée semble calme, que "M" se comporte comme un homme tentant de séduire pour une relation conventionnelle.

De retour, l'atmosphère change. Le toucher furtif a produit son effet. "M" parle, je le regarde dans les yeux, fixe fugitivement ses lèvres. Je le sens troublé. Nous sortons pour une marche, il me prend par la taille, et je tremble d'excitation, pensant à God.

En taxi, nous nous dirigeons vers son hôtel pour prendre un verre au bar. À la réception, un sac de shopping l'attend. Il doit le déposer dans sa chambre, je le suis plutôt que d'attendre au bar. Une fois seuls, les baisers deviennent langoureux, "M" touche mes seins, l'excitation monte, il me déshabille.

Il part chercher un préservatif, et j'en profite pour appeler God, pour qu'il soit avec nous même à distance. Préliminaires intenses, je pense à God qui entend mes gémissements alors que "M" explore mes zones les plus sensibles. Il explore mon corps avec ses mains, lèche mes tétons qui pointent avec la langue puis les mordille délicatement avec les lèvres, puis les aspire et les suce lentement comme j’aime. Il descend, embrasse délicatement mon ventre, mon nombril, puis lèche mon fruit désormais licite. Il passe sa langue savoureuse sur mon clitoris et mes lèvres. Sa grosse bite, je la sens dure et brûlante malgré le préservatif.

Il me prend trois fois, chaque moment est électrique. La deuxième fois, un orgasme m'étreint si fort que mes cris de plaisir résonnent dans la chambre d'hôtel. C'était un mélange du goût de l'inconnu, du plaisir, du risque et de l'interdit. Les heures ont passé, et dans l'écho de nos ébats, je réalise que nos fantasmes sont devenus une réalité brûlante.
#2766394
C'est Madame qui redige,
C'est God qui vous parle,
ce fut notre première exp il y environs 3 semaines,
C'est vrai que les choses se sont accélérés tres vite;

A savoir que c'est une amie a Diva qui n'était pas au courant de notre couple (elle ma présenté comme un simple ami) et moi meme , qui avions choisi sa tenue et ce fut tres excitant (robe noire et escarpins aiguille)
Ce fut moi également moi qui la déposé au restaurant <3
Clyde77, sbe4, Yourii et 4 autres a liké
#2766411
Épisode 1 - Partie II


Je me permets une courte pause entre ces lignes, une pause dictée par l'excitation qui pulse dans mes veines en reconstruisant la scène de cette inoubliable soirée. Non pas par une volonté de suspense, chers lecteurs, mais simplement pour m'abandonner à l'écho de mes propres sensations. Une petite parenthèse pour satisfaire mes désirs, une pause brève, mais ô combien nécessaire. Hmmm, c'était délicieux. Je me sens légère à présent, prête à poursuivre.

Revenons à cette nuit intense, où le drap blanc portait les stigmates de notre passion débordante. "M" était aussi excité que moi, une aura de virilité l'envahissait à chaque coup de rein. Ses mouvements m'envoyaient au septième ciel, et mes cris résonnaient dans la chambre, dévoilant l'extase qui me submergeait. Dans l'étreinte passionnelle, je pensais à God, imaginant son regard sur cette scène, son sang bouillonnant, sa présence virtuelle qui observait cet homme brun me posséder sauvagement.

Je songeais à son plaisir, à ses pulsations cardiaques, à sa virilité déterminée, à lui, en train de se masturber en me contemplant, moi, Diva, sa femme, m'abandonnant à cette expérience sensorielle. Son étreinte virtuelle m'accompagnait, comme s'il me tamponnait lui-même, revendiquant ce qui lui appartenait. Mon esprit était empli de ses sensations, de ses battements, de son souffle enfiévré, de sa présence qui transcende la réalité.

Mon imagination dérivait vers mon retour, me projetant souillée, sans douche, laissant les traces brutes de notre péché pour me jeter dans les bras de God. Je me voyais rentrer avec l'odeur d'un autre homme sur ma peau, les traces de sa masculinité sur ma chair. Il percevrait les effluves d'une virilité différente, verrait mes collants effilés, les stigmates de l'étreinte sensuelle qui avait façonné ma soirée.

L'orgasme m'a enveloppée, une décharge électrique qui m'a transportée. "M" voulait me garder près de lui, mais je me suis hâtée vers la douche, pressée de me défaire des marques de notre étreinte charnelle. Malgré son désir de me retenir, il était encore 22:30 lorsque je me préparais à rentrer chez moi, où God devait me rejoindre.

"Ne disparais pas," me demanda "M", laissant planer une exception dans l'air. Il exprimait le désir de me revoir, peut-être conscient d'une excitation inhabituelle cette nuit-là. Mon retour fut rapide, et God m'y attendait. Son calme apparent cachait une tension, une attente silencieuse.

Il voulait entendre les détails, et tandis que je racontais chaque moment, chaque soupir, chaque détail de notre péché exquis, son regard se transformait. Il était temps pour mon châtiment, et il m'a prise par les cheveux, sauvagement, me traitant comme une pute insatiable. Il devait marquer son territoire à nouveau, me baiser d'une manière que je n'avais jamais connue auparavant. L'extase continuait, une symphonie érotique où nos corps s'entrelaçaient dans une danse inoubliable.
Manu11111, tomes179, Danimendu et 9 autres a liké
#2766527
Une qualité d’écriture rare pour la partie récit de Diva à l'opposé de God

Cependant, le coté "écrivain détaché" est perturbant

Mon imagination dérivait vers mon retour, me projetant souillée, sans douche, laissant les traces brutes de notre péché pour me jeter dans les bras de God. Je me voyais rentrer avec l'odeur d'un autre homme sur ma peau, les traces de sa masculinité sur ma chair. Il percevrait les effluves d'une virilité différente, verrait mes collants effilés, les stigmates de l'étreinte sensuelle qui avait façonné ma soirée.


alors pourquoi...

L'orgasme m'a enveloppée, une décharge électrique qui m'a transportée. "M" voulait me garder près de lui, mais je me suis hâtée vers la douche, pressée de me défaire des marques de notre étreinte charnelle.


oui pourquoi ce manque de lâcher prise alors que vos mots semblent nous conter une histoire qui irait dans ce sens?

Je suis curieux
#2766563
Episode 2

Le lendemain, le 02 décembre 2023, mon "ami" Steve m'a contactée pour organiser une soirée entre amis, l'occasion parfaite pour que God fasse la connaissance de mes proches. L'idée a été partagée avec enthousiasme, et même Daniella, que j'avais appelée "D" dans le précédent récit, a été conviée à se joindre à nous. Les flammes de l'anticipation brûlaient en nous tous.
Dans une spontanéité désinvolte, nous avons décidé de ne pas réserver de table à la dernière minute, laissant le hasard guider nos pas vers l'une des boîtes que nous avions l'habitude de fréquenter chacun avec son cercle d’amis.
Daniella est venue chez moi, et c'est là que l'étrange connivence entre nous s'est manifestée. Une connivence qui, au-delà de l'amitié, laissait poindre des élans de désir. J'étais vêtue d'une robe noire moulante, dos-nu, une fente subtile révélant ma jambe et suggérant l'érotisme caché par mon bas et ma jarretelle.
Daniella, surexcitée, m'a donné une tape provocatrice sur les fesses, me couvrant d'éloges, avant de relever sa robe pour exhiber le string mettant en valeur ses propres charmes. Contrairement à elle, je n'ai pas suivi le jeu, mais elle a proposé de m'aider à me coiffer. Tout en faisant des mimiques suggestives avec l'embout long et cylindrique de mon fer à boucler, elle mimait presque un acte sexuel.
Nos rires accompagnaient cette mise en scène. Ignorant toujours la nature de ma relation avec God, Daniella pouvait seulement se douter de notre proximité. Le choix de ma tenue, fait en sa compagnie la veille de mon rendez-vous galant, écartait probablement ses doutes.
God est venu nous chercher en voiture. Aux hauts talons aiguilles en daim noir, aux talons dorés et fins, que j'avais ajoutés à ma robe sexy, j'ai perçu les regards furtifs de God, sans vraiment comprendre leur signification : désir, jalousie, autre ? Mystère.
Comme à chaque rencontre, je ressentais son énergie, comme si un fil invisible me reliait à une source d'électricité. La puissance et la confiance qui découlaient de cette connexion se lisaient dans ma posture altière et ma démarche assurée.
Notre première escale était un bar dansant, en attendant que Steve se joigne à nous avant de nous rendre en boîte de nuit. Sur le chemin, God m'a questionnée sur l'intention apparente de montrer mes bas. J'ai confirmé que c'était délibéré. En boîte, Daniella s'est approchée de manière aguichante, montrant une excitation grandissante. Nos danses étaient empreintes de tactilité, et j'ai savouré chaque instant à l'allumer, allant jusqu'à déposer un baiser sur son cou.
Mon esprit, pourtant, restait connecté à God, même si je ne cherchais pas son regard. C'était une connexion mentale, une proximité et un éloignement à la fois, une manière de le repousser sans le repousser.
Pendant notre danse enflammée, j'ai senti quelque chose de dur sur mes fesses. Derrière moi, God s'était penché pour murmurer à mon oreille : "Tu as réveillé quelqu'un." Daniella, témoin de la scène, en était encore plus excitée, se rapprochant davantage. God m'a pris la main et m'a entraînée vers le fumoir. Nous y sommes tous allés.
Beaucoup de mâles, émettant une énergie sexuelle palpable, étaient présents. Assise à côté de God qui fumait, je ressentais son excitation et sa jalousie. Sa main possessive remontait ma robe pour cacher mes bas que laissait entrevoir la fente devant de ma robe noire.
Son énergie éveillait en moi des tentations provocatrices et malicieuses. Souriant, apparemment désintéressée, mon apparente innocence dissimulait un pouvoir infini, nourri par le désir et la jalousie indomptables de God. Il percevait les regards des autres mâles, que je ne cherchais pas, et je savais qu'ils ne rêvaient que de me baiser. Cela m'excitait.
Un moment donné, God a annoncé que nous allions changer de boîte, qu'une amie à lui avait une table et des contacts sur place pour nous faciliter l'entrée. Je ne comprenais pas la raison de cette demande, mais je l'ai suivi, lui accordant ma confiance sans en connaître la justification.
En route, son amie Léa l'appelait presque en harcelant, l'air pompette, lui demandant quand nous arriverions. Sur place, une amie à elle nous attendait pour nous faire entrer. Lors de nos présentations, elle nous a demandé, à Daniella et moi, "Vous êtes qui pour God ?". L'articulation maladroite de ses paroles était accompagnée d'un murmure à mon oreille : "Il ne s'est rien passé entre God et moi, nous n'avons pas couché ensemble. »
La soirée atteignait son apogée, révélant les dessous d'une mise en scène où chacun jouait son rôle. Léa, maladroite et ivre, sifflait à mon oreille des dénégations concernant sa prétendue liaison avec God. Sa gestuelle agressive me laissait indifférente, mon humeur et mon bien-être passaient avant tout. Daniella, gênée par l'attitude de Léa, était prise entre les éclats d'une jalousie féminine. Toute puissante, je l'ai entraînée avec moi sur la piste de danse, m'éloignant de cette énergie malsaine.
Dans une danse enivrante, je suscitais les regards envieux et frustrés de la foule masculine. Un intrépide bouffon, vêtu de blanc, incapable de réprimer son désir ardent, s'avança pour danser avec moi.
Daniella, inquiète, observait les yeux scrutateurs et jaloux de God, qui m'observait de loin. Je savourais chaque pas de danse, chaque mouvement délicieux, jusqu'à ce qu'une main puissante s'empare de mes cheveux, me tirant violemment hors de la foule masculine. Furieux, God me cria à l'oreille : "Diva, qu'est-ce que tu fais là ? Ce soir, je n'ai pas envie de jouer, tu comprends ? Je ne joue pas là ! Tu m'appartiens, tu es à moi. »
Interloquée, j'ai tenté de comprendre sa colère, mais au fond de moi, je savais que c'était moi qui l'avais provoquée, et cela m'excitait au-delà de toute mesure. Malgré ma demande de rester à mes côtés, il s'est retiré pour rejoindre Léa. J'ai continué à danser avec joie, accueillant l'attention d'un autre homme. God, toujours furieux, est revenu et a presque engagé des disputes avec plusieurs individus cette nuit-là. Une colère tapie en lui, inconnue derrière son apparence d'homme calme et bien éduqué. C'était un contraste frappant avec l'image réservée qu'il projetait au travail.
Parallèlement, Léa semblait perdre le contrôle, criant et manquant de respect à mon ami Steve, qui la trouvait complètement folle. Sa féminité en décalage avec son comportement masculin la rendait d'autant plus déconcertante. Préférant éviter les dégâts et rester diplomate, j'ai décidé de rester loin de la table avec Daniella. Les règles de bienséance sont primordiales pour moi, et je ne voulais pas être redevable envers une inconnue, même si elle avait gentiment réservé une table.
Les hommes autour de moi étaient excités mais hésitants, ne s'approchant pas par crainte de God, qui avait déjà marqué son territoire avant de s'éclipser aux côtés de Léa. Une excitation montante m'envahissait presque, et je sentais le fil de mon string s'enfoncer davantage entre mes fesses, provoquant des sensations intenses.
Le bouffon en blanc, que God avait écarté, me faisait des signes de loin, m'invitant à danser avec lui tout en restant à l'abri du regard de God. Il tentait maladroitement de me rendre jalouse, ignorant momentanément qu'on ne compare pas une Diva à quiconque.
Les autres n'étaient que des instruments dans notre jeu de plaisir destructeur. La fureur de God avait atteint son paroxysme, et refusant de m'installer aux côtés de Léa, ivre et hors d'elle, j'ai pris Daniella par la main et quitté la scène.
Nous sommes parties, laissant Steve, God, et Léa derrière nous. Je suis rentrée chez moi, déterminée à ne plus avoir affaire à God. A ce moment-là, mes sentiments guidaient ma décision, et fuir, voire le rejeter, était ma seule réponse.
Steve m'avait appelée, inquiet de l'attitude de Léa envers nous deux, tandis que God, furieux et jaloux, appelait à plusieurs reprises. Refusant de répondre, je l'ai laissé sonner à ma porte sans émettre un son et ne sachant comment désactiver l’interphone, je l’ai laissé suspendu.
Au téléphone avec Daniella, il a cru que j'étais chez moi avec un autre homme. Sa folie de rage et de jalousie était presque excitante. Malgré l'attraction sexuelle qui me liait à lui, je restais immergée dans une énergie de fuite et de rejet. Ma porte est restée fermée, mettant fin à cette partie de notre jeu nocturne.
Après de multiples tentatives, il est finalement rentré chez lui. Il était passé 5 heures, et dans la douce obscurité de mon chez-moi, God désespérait que je cède à ses appels. Les heures de sommeil qui ont suivi n'ont pas réussi à éteindre le brasier qui brûlait en moi. Un sentiment de déception flottait dans l'air, teinté d'une satisfaction générale pour la soirée écoulée. La complicité, cette connexion particulière entre God et moi, s'était évanouie, laissant place à une énigme insaisissable.
God, je le connais trop bien, chaque trait de son caractère sculpté dans les méandres de ma conscience. Je ne pouvais m'empêcher de penser que son choix de rester avec Léa n'était pas anodin, une manœuvre intentionnelle pour alimenter le feu de nos interactions complexes. Ce jeu auquel nous nous adonnions ne cessait de s'étendre, les frontières entre la réalité et la manipulation devenant de plus en plus floues.
Vers 10h, l'appel onirique de la sonnette a de nouveau résonné, traversant les frontières du rêve et de la réalité. Là, dans l'obscurité apaisante de ma chambre, je suis restée endormie, m'abandonnant à un monde où les portes pouvaient demeurer closes, préservant les mystères de la nuit passée.
Plus tard dans la matinée, lorsque mes pensées se sont éveillées, j'ai répondu à son appel téléphonique, plongeant dans une conversation où la frustration et le désir de comprendre se mêlaient. La discussion a à peine effleuré la surface des dégâts potentiellement causés à notre entourage, mais nous avons convenu de nous retrouver pour démêler les fils de notre relation complexe.
L'après-midi est arrivé, et avec lui, la réalité de notre rencontre inévitable. Comme prévu, God a franchi le seuil de ma demeure. Chers lecteurs, vous pouvez imaginer l'intensité qui a suivi, un feu dévorant rallumé comme si le temps n'avait pas de prise sur nos corps enlacés.
C'était plus qu'une réconciliation charnelle ; c'était une fusion de nos frustrations, de nos émotions contradictoires et intenses. Les plaisirs interdits devaient être explorés sans retenue, et notre désir, ardent comme le feu qui danse, s'est exprimé dans chaque mouvement passionné.
La soirée précédente, avec son lot de jeux et de désillusions, n'était plus qu'un lointain souvenir. Les dégâts potentiels sur nos "pions" n'étaient qu'un écho lointain alors que nous nous abandonnions à la luxure, aux plaisirs coupables qui scellent notre destin entrelacé.
extazee, cissou31, zztop et 3 autres a liké
#2766902
Episode 3
Les Règles du Jeu - Sélection du Candidat Parfait

Répondre aux désirs et aux exigences de God n'est pas une tâche insignifiante. Il tissait des jeux d'obéissance, fixant des devoirs et des gages, transformant la séduction en une danse délicate entre l'audace et l’interdit.
Un exemple concret surgit un jour, quand God m'assigna le devoir insolite de sucer une bite chaque jour pendant une semaine. Une semaine où lui seul choisissait ma tenue quotidienne. Un défi audacieux qui m'obligeait à briser mes propres barrières temporelles, moi qui prenais des semaines voire des mois pour répondre aux avances de mes prétendants.
Satisfaire aux désirs de God devint ainsi un défi quotidien, une cascade d'émotions mêlant la difficulté de la tâche à la satisfaction de lui obéir. La délicate équation entre l'accomplissement de ce gage et la poursuite de mon propre plaisir.
Relancer mon cercle de prétendants négligé jusque-là devint une nécessité. Mes pensées s'égarent notamment vers "K", avec qui j'ai partagé une liaison brève il y a un an, liaison que je n'ai pas souhaité officialiser. Pourtant, l'extase régnait lorsque nos corps se rencontraient. Il avait un goût prononcé pour l'adoration de mes courbes, me prenant avec une sauvagerie délicieuse dans toutes les positions. Son approche directive, mêlée à une virilité assumée, créait une alchimie sexuelle troublante. Lors d'un de mes déplacements à New York, alors qu'il était en séminaire à Chicago, il a saisi l'opportunité de rejoindre la Grosse Pomme pendant trois jours avant de prendre son vol de retour vers Paris. Trois jours de rêve, de passion dévorante.
Le dernier jour, alors que nous étions prêts à quitter mon appartement et que je m'apprêtais à l'accompagner à l'aéroport, sans signe annonciateur, il m'a brusquement retournée, m'a plaquée à genoux sur le canapé, m'a administré une tape sur les fesses, et m'a baisée avec une intensité inouïe. J'ai pris un plaisir fou. Bien qu'il m'ait fortement séduite, à mon retour à Paris à plus d’un mois plus tard, j'ai refusé de m'engager dans une relation officielle avec lui, attirée autant que rebutée par certains aspects de sa personnalité..
Pourtant, la tentation de K restait vivace dans mes pensées, rappelant des moments de plaisir intense et de sauvagerie partagée. Un homme qui avait su éveiller des sensations profondes, mais God, craignant l'attachement, écarta l'idée de le sélectionner pour ce jeu interdit.
Le choix se tourna alors vers "L", prétendant au profil docile, aux yeux bleus et au charme certain. Sa proposition enthousiaste de me servir éveilla l'intérêt de God, lui donnant le feu vert pour entrer dans la danse. La toile du plaisir et de l'obéissance s'étoffe alors que je rebondis sur son message : "Je suis curieuse de savoir comment vous auriez aimé me servir ».
"L": Salut, Mademoiselle. Franchement, j'en aurais bien envie. Être à vos pieds, vous chouchouter et honorer…

Diva: Votre message éveille en moi une douce tentation. L'idée d'être choyée à vos côtés est intrigante, et l'art de l'honneur ne demande qu'à être exploré.
"L": J'en ai très envie, d'être attentionné et appliqué envers vous. Comment voudriez-vous que ça se matérialise?

Diva: Je cherche un serviteur docile qui fera exactement ce que je souhaite au moment venu.

"L": C'est exactement la position que j'imaginais avec une femme comme vous, et je serais un homme honoré, un gentleman docile et attentionné qui ferait de votre plaisir la priorité absolue. Aimeriez-vous m'en dire plus sur vos désirs et attentes? J'ai vu lors de notre rencontre que vous aviez des mains et des pieds magnifiques... fins et délicats. Terriblement féminins.

Diva: Mes mains et pieds fins, féminins, ne demandent qu'à être explorés avec la passion d'une séductrice avertie. Intrigué, cherchez-vous à dévoiler les mystères que je pourrais dissimuler? (…) Pensez-vous être un vassal capable de servir une Reine telle que moi? Je suis très autoritaire.

"L": Oui, Madame, c'est mon souhait. Autoritaire c’est-à-dire?

Diva: Je suis très directive. J'ai énormément de caprices et j'attends de vous d'être complètement servile. D'ailleurs, j'aime beaucoup qu'on me masse les pieds après une journée passée en talons.

"L": J'en serai ravi, Madame. J'ai très envie de vous servir selon vos désirs et exigences. Et je serais un homme heureux de pouvoir honorer vos pieds fatigués après vos journées en talons ou éprouvantes. J'aime l'idée du rituel d'adoration de vos pieds. Accepteriez-vous de me mettre à l’épreuve?

Diva: Oui, évidemment. Commençons par prendre un verre.

"L", vous attendriez-vous à des services en particulier? Je veux dire en général.
Diva: Une servilité totale, c'est moi qui dirige. Estimez-vous déjà heureux qu'on aille prendre un verre dans un premier temps. Mon temps est précieux.

Au fil de ces échanges, God, omniprésent dans nos conversations virtuelles, dirigeait parfois les réponses, orchestrant habilement cette danse sensuelle. "L", en déplacement professionnel en Italie, attendait notre rencontre à son retour, le 15 décembre 2023, à quelques jours seulement de mon départ à l'étranger pour les fêtes de fin d’année.
LeCouple a liké
#2767054
Episode 4
Rivalités Intimes : Quand les Passions Brûlent au Bureau

Dans l'expectative de ma rencontre avec "L", je persistais dans cette subtile joute érotique avec God. Nous naviguions entre les méandres de nos désirs et de notre sexualité, entremêlant et échangeant nos rôles avec une dextérité déconcertante. Tout l'art résidait dans la prévision de nos besoins mutuels, mais aussi de nos limites. Une danse risquée, où l'un ou l'autre pouvait froisser la sensibilité de son partenaire en manquant le moment opportun. Malgré notre complicité, il nous était déjà arrivé de nous vexer mutuellement, érigeant des murailles éphémères dans notre intimité. Cela s'était notamment produit lors du week-end du 09 et 10 décembre.
Le 09 décembre, God s'était rendu chez moi en soirée. Une agréable parenthèse s'était ouverte entre nous, au cours de laquelle je lui avais exposé les différents échanges que j'avais entretenus avec les prétendants relancés, comme décrit dans le récit précédent. Un message avait suscité son ire, un simple commentaire que j'avais laissé à "M" en réaction à l'une de ses stories, contenant une photo de lui. J'y avais écrit "you're handsome". God, pris de rage, ne comprenait pas pourquoi je m'étais permise d'écrire à "M" sans l'en avoir averti au préalable. Bien que je n'aie rien à cacher, lui ayant déjà donné accès à mon téléphone, l'affaire prit des proportions démesurées. Je lui assurai que je ferais plus attention à l'avenir, mettant fin à l’incident.
La soirée s'écoulait, la température montait. Alors que j'atteignais l'apogée de l'excitation, God s'apprêtait à me baiser, susurrant à mon oreille cette phrase déconcertante : "Que ferais-tu si demain je disparaissais ?" Un coup d'arrêt cuisant à mon appétit charnel. Je percevais en ces mots un manque de clarté, une manipulation insidieuse. Une explication fut nécessaire, laissant le sujet à demi clos. Pourtant, cette phrase demeurait comme une sonnette d'alarme, surtout qu'il s'agissait de la seconde occurrence de ce genre de questionnement. J'écartais l'idée que cela puisse être anodin.
Le lendemain, God se montra provocateur, partageant avec moi une capture d'écran d'une ancienne conversation avec l'une de ses traînées, une conquête sur un réseau social. Il y exprimait avec dominance son désir de la soumettre, de la posséder, de la partager avec d'autres hommes. Elle semblait d'abord décontenancée, puis avouait qu'il l'excitait, tout en craignant que son copain ne découvre ces échanges. Une bouche siliconée s'affichait, simulant une fellation. La conversation datait d'août 2023, et depuis, elle l'avait bloqué.
God persistait, ajoutant le message : "Apprends à te soumettre à ton Roi".
Je refusais de me prêter à ce jeu, n'étant pas encline aux comparaisons délétères, mais je conservais ces échanges dans un coin de ma mémoire sans m'y attarder.
Peu de temps après, "L" m'envoya un message à la suite d'une photo de mes pieds manucurés posés sur mon bureau : "Ça me rend fou. J'aimerais tant être sous votre bureau et m'occuper de vous, de vos pieds et jambes de Reine, dans vos jolis nylons et souliers, vous vénérer".
J'en fis une capture d'écran, l'envoyant en photo éphémère à God, avec ce commentaire piquant : "C'est ainsi qu'on s'adresse à une Reine". Un clin d'œil intentionnel, alimenté par l'incident qui venait de se produire, où il m'avait partagé une capture d'écran pour me donner un exemple tiré de ses conquêtes. Notre échange fut le suivant :
God: Ce n'est pas bien de faire ça, tu fais ce que tu me reproches.
Diva: Tout à fait, mon Roi. C'était volontaire de ma part. Pardonne-moi, mais j'avais besoin que tu comprennes.
God: Je n'aime pas ton comportement.
Diva: D'une pierre deux coups ; ton affront d'hier et ton insolence d’aujourd'hui.
God: Je ne souhaite plus te parler.
Diva: Je ne peux que respecter ton souhait, mon Roi. Tes désirs sont mes ordres.
God: Je n'aime pas ton manque de respect, Diva. Hier avec "M", aujourd'hui en me comparant à « L".
Diva: Je comprends totalement. Mon but n'est pas de te faire souffrir. (Encore un clin d'œil piquant).
Le silence s'installa jusqu'au lendemain. Journée chargée en rendez-vous, je risquais de me rendre très tard au bureau, augmentant le risque de ne pas le croiser. À midi, afin de briser le silence, je lui fis livrer un "Banana Bread", gâteau qu'il affectionnait, et qui faisait allusion à la métaphore de la banane du début de notre relation.
Lors de notre rencontre en fin de journée au travail, nous nous sommes encore pris la tête. God partit pour un rendez-vous avec l'un de ses associés. Restée seule au travail pour rattraper mon retard, il était près de 22h lorsqu'il réapparut à mon bureau. Sans un mot, il s'empara de mes cheveux, la tension entre nous était palpable, une électricité sensuelle qui imprégnait l'air. Mes vêtements tombèrent au sol, révélant ma peau à vif, prête à être marquée par la passion et la douleur. Les coups qu'il infligea sur mes fesses étaient à la fois douloureux et enivrants, chaque claquement résonnant comme le crépitement d'un feu interdit. À quatre pattes sur le sol du bureau, je me sentais à la fois vulnérable et puissante, captivée par le mélange de plaisirs illicites et de risques palpables. L'excitation et le stress dansaient en moi, une chorégraphie érotique alimentée par l'interdit de nos actes. La dispute récente, la frustration accumulée, tout se mêlait à l'extase naissante. Il me pénétra en levrette, me traitant comme la souveraine de ses désirs les plus sombres. Sa puissance brute me submergea, m'emportant dans un tourbillon de sensations interdites.
Mon dos arqué, la sensation de sa virilité en moi me consumait. Puis, dans un mouvement habile, il me retourna, mes omoplates frôlant le sol dur. Les allers-retours de sa grosse bite chaude persistant étaient une symphonie lascive, chaque mouvement créant une onde de plaisir décadent.
J'ai savouré l'extase, un orgasme qui éclata comme un éclair déchirant la noirceur de la pièce. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine, et mon souffle, jadis haletant, amorçait une lente décélération. God, épuisé mais triomphant, se retira, laissant dans son sillage une atmosphère saturée de luxure.
Il quitta le bureau, dénudé, se dirigeant vers les toilettes. Mon embarras grandissait à l'idée qu'il croise par inadvertance quelqu'un dans les couloirs, bien que cette probabilité fût mince. Jalouse, je ressentais l'envie sourde qu'une autre personne puisse profiter du spectacle de sa virilité fièrement dressée, tout comme moi. La nuit, témoin silencieux de nos ébats, enveloppa nos secrets d'un voile mystérieux.

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