- 11 janv. 2024, 17:15
#2770727
Après ma présentation (avec une faute dans le titre, désolé), il est temps de vous en dire un peu plus. Donc nous avons pratiqué le libertinage durant un temps. Cela se fit naturellement. Notre travail nous prenait beaucoup de temps ; il en est ainsi quand on est à son compte... et en couple. Pour réussir, c'était devenu du 24/24 et six jours sur sept. Nous devenions de simples collègues sans nous en apercevoir ; Plus de séduction, plus de gestes tendres, plus d'humour et notre libido réduite à peau de chagrin. Les sorties en club, ce fut la voie que nous choisîmes pour sortir de cette situation... Bizarre me direz-vous. J'en conviens mais comme les temps libres étaient comptés, nous les voulions intenses. J'avoue que c'est moi qui convainquis Madame. Les premiers pas furent ceux de tout le monde entre appréhensions et fébrilité... Passons sur cette période de « rodage » juste pour dire que ce qui me toucha très rapidement, ce fut de voir ma femme avec un autre. Je ne parlerais pas d'excitation, non, plutôt d'émotion. Je la voyais dérouler son charme simplement, naturellement, ne cherchant aucun effet accrocheur, aucun artifice. Je la retrouvais telle à nos débuts, telle que je ne savais plus la voir. Elle s'abandonnait avec une facilité qui me déconcertait, passive ou active, propre alors à croquer un homme pour son plaisir. Je pensais « houa ! Quelle nana ! » et j'en étais comblé.
C'est pour cette raison que je finis par lui proposer une rencontre à trois, avec un homme sélectionné sur un site spécialisé. Elle n'eut aucune réticence à cette idée, mais ne voulut pas s'en occuper. C'est moi qui me chargea de ce pensum et ce ne fut pas simple. N'ayant pas les « codes » de ce genre de recherche je pataugeais. Finalement, c'est une personne proche de chez nous qui retint mon attention. Il avait été libertin avec sa première femme mais la seconde ne voulait pas en entendre parler. Infirmière en hôpital, son emploi du temps donnait à monsieur toute la liberté souhaitée. Il me paru avoir l'expérience que nous attendions.
Un premier rendez-vous fut pris dans un café. Le jour J, il n'y eu pas l'ivresse naturelle précédent ces moments, pas de griserie, juste de l'énervement parce que nous avions un dossier à clore et que le temps s'égrenait trop rapidement. Nous n’eûmes pas le temps de nous apprêter et c'est avec un retard indécent en ces circonstances que nous arrivâmes dans le bar presque désert. Pas de François. Encore sous le coup de l'énervement, ma douce ressorti sans prendre le temps de s'asseoir et je la vis fouiller la rue du regard avant de s'approcher d'un homme. Il s'apprêtait à partir, hésitant encore un instant. Tout s'était passé très vite et là encore je me dis que ma légitime était une grande dame.
Je n'ai rien à révéler de spécial durant cette rencontre si ce n'est que le courant passa rapidement entre ma douce et François et que la vrai rencontre fut programmée.
Je ne vous ferais pas le récit des caresses autour du verre de champagne, les premiers attouchements à trois, effeuillage et le plaisir qui monte ; chacun a sa petite expérience sur le sujet et je ne suis pas certain d'avoir les compétences pour en faire un texte lisible. Je peux révéler que nous nous sommes rapidement retrouvés sur le lit et que progressivement je pris du recul. Je n'ai pas dit éloignement, juste recul. Je ne participais plus que par quelques caresses, l'effleurer des doigts... de longs regards croisés aussi qui en disaient long sur notre lien. Après un moment, elle me prit la main et je vis au pincement de ses lèvres que quelque chose n'allait pas (elle ne sait pas cacher son ressenti). Il n'avait pourtant pas était oublié par la nature mais une déception pointait. Bref, il ne fallut pas longtemps pour qu'elle lui demande de s'allonger sur le dos ; elle se plaça alors en Andromaque et commença une danse qui me laissa sans voix. Ce ne fut plus qu'une montée vers le plaisir, un plaisir partagé entre nous deux. François ne fut pas en reste mais nous ne jouions pas dans le même jardin.
Elle était déçu mais pas trop ; elle avait joui quand même et de belle manière. Elle avait adoré me voir la regarder, se donner en spectacle et me voir me caresser lentement. Moi, je venais d'avoir la confirmation qui me manquait.
C'est pour cette raison que je finis par lui proposer une rencontre à trois, avec un homme sélectionné sur un site spécialisé. Elle n'eut aucune réticence à cette idée, mais ne voulut pas s'en occuper. C'est moi qui me chargea de ce pensum et ce ne fut pas simple. N'ayant pas les « codes » de ce genre de recherche je pataugeais. Finalement, c'est une personne proche de chez nous qui retint mon attention. Il avait été libertin avec sa première femme mais la seconde ne voulait pas en entendre parler. Infirmière en hôpital, son emploi du temps donnait à monsieur toute la liberté souhaitée. Il me paru avoir l'expérience que nous attendions.
Un premier rendez-vous fut pris dans un café. Le jour J, il n'y eu pas l'ivresse naturelle précédent ces moments, pas de griserie, juste de l'énervement parce que nous avions un dossier à clore et que le temps s'égrenait trop rapidement. Nous n’eûmes pas le temps de nous apprêter et c'est avec un retard indécent en ces circonstances que nous arrivâmes dans le bar presque désert. Pas de François. Encore sous le coup de l'énervement, ma douce ressorti sans prendre le temps de s'asseoir et je la vis fouiller la rue du regard avant de s'approcher d'un homme. Il s'apprêtait à partir, hésitant encore un instant. Tout s'était passé très vite et là encore je me dis que ma légitime était une grande dame.
Je n'ai rien à révéler de spécial durant cette rencontre si ce n'est que le courant passa rapidement entre ma douce et François et que la vrai rencontre fut programmée.
Je ne vous ferais pas le récit des caresses autour du verre de champagne, les premiers attouchements à trois, effeuillage et le plaisir qui monte ; chacun a sa petite expérience sur le sujet et je ne suis pas certain d'avoir les compétences pour en faire un texte lisible. Je peux révéler que nous nous sommes rapidement retrouvés sur le lit et que progressivement je pris du recul. Je n'ai pas dit éloignement, juste recul. Je ne participais plus que par quelques caresses, l'effleurer des doigts... de longs regards croisés aussi qui en disaient long sur notre lien. Après un moment, elle me prit la main et je vis au pincement de ses lèvres que quelque chose n'allait pas (elle ne sait pas cacher son ressenti). Il n'avait pourtant pas était oublié par la nature mais une déception pointait. Bref, il ne fallut pas longtemps pour qu'elle lui demande de s'allonger sur le dos ; elle se plaça alors en Andromaque et commença une danse qui me laissa sans voix. Ce ne fut plus qu'une montée vers le plaisir, un plaisir partagé entre nous deux. François ne fut pas en reste mais nous ne jouions pas dans le même jardin.
Elle était déçu mais pas trop ; elle avait joui quand même et de belle manière. Elle avait adoré me voir la regarder, se donner en spectacle et me voir me caresser lentement. Moi, je venais d'avoir la confirmation qui me manquait.