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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2770727
Après ma présentation (avec une faute dans le titre, désolé), il est temps de vous en dire un peu plus. Donc nous avons pratiqué le libertinage durant un temps. Cela se fit naturellement. Notre travail nous prenait beaucoup de temps ; il en est ainsi quand on est à son compte... et en couple. Pour réussir, c'était devenu du 24/24 et six jours sur sept. Nous devenions de simples collègues sans nous en apercevoir ; Plus de séduction, plus de gestes tendres, plus d'humour et notre libido réduite à peau de chagrin. Les sorties en club, ce fut la voie que nous choisîmes pour sortir de cette situation... Bizarre me direz-vous. J'en conviens mais comme les temps libres étaient comptés, nous les voulions intenses. J'avoue que c'est moi qui convainquis Madame. Les premiers pas furent ceux de tout le monde entre appréhensions et fébrilité... Passons sur cette période de « rodage » juste pour dire que ce qui me toucha très rapidement, ce fut de voir ma femme avec un autre. Je ne parlerais pas d'excitation, non, plutôt d'émotion. Je la voyais dérouler son charme simplement, naturellement, ne cherchant aucun effet accrocheur, aucun artifice. Je la retrouvais telle à nos débuts, telle que je ne savais plus la voir. Elle s'abandonnait avec une facilité qui me déconcertait, passive ou active, propre alors à croquer un homme pour son plaisir. Je pensais « houa ! Quelle nana ! » et j'en étais comblé.
C'est pour cette raison que je finis par lui proposer une rencontre à trois, avec un homme sélectionné sur un site spécialisé. Elle n'eut aucune réticence à cette idée, mais ne voulut pas s'en occuper. C'est moi qui me chargea de ce pensum et ce ne fut pas simple. N'ayant pas les « codes » de ce genre de recherche je pataugeais. Finalement, c'est une personne proche de chez nous qui retint mon attention. Il avait été libertin avec sa première femme mais la seconde ne voulait pas en entendre parler. Infirmière en hôpital, son emploi du temps donnait à monsieur toute la liberté souhaitée. Il me paru avoir l'expérience que nous attendions.
Un premier rendez-vous fut pris dans un café. Le jour J, il n'y eu pas l'ivresse naturelle précédent ces moments, pas de griserie, juste de l'énervement parce que nous avions un dossier à clore et que le temps s'égrenait trop rapidement. Nous n’eûmes pas le temps de nous apprêter et c'est avec un retard indécent en ces circonstances que nous arrivâmes dans le bar presque désert. Pas de François. Encore sous le coup de l'énervement, ma douce ressorti sans prendre le temps de s'asseoir et je la vis fouiller la rue du regard avant de s'approcher d'un homme. Il s'apprêtait à partir, hésitant encore un instant. Tout s'était passé très vite et là encore je me dis que ma légitime était une grande dame.
Je n'ai rien à révéler de spécial durant cette rencontre si ce n'est que le courant passa rapidement entre ma douce et François et que la vrai rencontre fut programmée.
Je ne vous ferais pas le récit des caresses autour du verre de champagne, les premiers attouchements à trois, effeuillage et le plaisir qui monte ; chacun a sa petite expérience sur le sujet et je ne suis pas certain d'avoir les compétences pour en faire un texte lisible. Je peux révéler que nous nous sommes rapidement retrouvés sur le lit et que progressivement je pris du recul. Je n'ai pas dit éloignement, juste recul. Je ne participais plus que par quelques caresses, l'effleurer des doigts... de longs regards croisés aussi qui en disaient long sur notre lien. Après un moment, elle me prit la main et je vis au pincement de ses lèvres que quelque chose n'allait pas (elle ne sait pas cacher son ressenti). Il n'avait pourtant pas était oublié par la nature mais une déception pointait. Bref, il ne fallut pas longtemps pour qu'elle lui demande de s'allonger sur le dos ; elle se plaça alors en Andromaque et commença une danse qui me laissa sans voix. Ce ne fut plus qu'une montée vers le plaisir, un plaisir partagé entre nous deux. François ne fut pas en reste mais nous ne jouions pas dans le même jardin.
Elle était déçu mais pas trop ; elle avait joui quand même et de belle manière. Elle avait adoré me voir la regarder, se donner en spectacle et me voir me caresser lentement. Moi, je venais d'avoir la confirmation qui me manquait.
c2b78, ChrisetElle, coc31 et 10 autres a liké
#2770733
Bonjour et Meilleurs Voeux.
Magnifique et intense récit. Nous serons nombreux à nous y retrouver d'une façon ou d'une autre.
Merci pour le partage.
Au plaisir.
#2771871
Merci à tous pour les like et messages. Je ne maîtrise pas encore les possibilités du site mais en attendant voici une autre de nos péripéties.
Ce soir là, nous avions décidé de passer la soirée en club. Sans en être des habitués, ce n'était pas notre première visite. Nous avions principalement l'envie de profiter de la zone aqua. Comme chaque fois, après un rapide passage au bar, nous primes la direction des vestiaires armés de nos serviettes. Une fois en tenue, c'est-à-dire nus, nous passâmes à la douche, avant de pénétrer dans la piscine. Rapidement, un couple s'approcha de nous et la conversation s'engagea, badineries pour créer une atmosphère. Rapidement, la dame s’empara de mon sexe et commença à le caresser. « En représailles » ma belle mit le mari à la torture avec la même douce énergie.
Il ne fallut pas longtemps pour que nous nous retrouvions dans une chambre. Matelas plastifié pour l'hygiène, rien de glamour mais bon ! La belle inconnue, après de rapides caresses se posa en levrette. Je compris le message, un peu surpris de tant de précipitation. Elle ne mit pas longtemps à gémir tout en répétant « je suis insatiable ».
De ma position, je pouvais observer ma belle et ce que je vis m'inquiéta. Elle était à la peine avec un partenaire incapable de bander. Elle avait beau développer mille douceurs pour l'aider, il ne savait que parler de sa prochaine compétition sportive et de ses entraînements. A l'en croire, ils étaient la cause de ce désagrément. Combien de temps dura cette situation embarrassante ? Je ne saurais le dire. J'étais pris entre deux feux. Le désir de ne pas laisser mon amour dans cette situation (et qu'aurais-je pu faire?) et l'exigence d'une femme qui m’exhortait à toujours plus d'ardeur et répétant « je suis insatiable ». Par intervalles réguliers, je la laissais à la manœuvre me contentant de l'accompagner dans ses mouvements pour rester bien planté en elle. Je dois admettre que c'était une fort belle femme. Je lui proposais d'autres positions, d'autres plaisirs, mais elle refusait toute variante... Insatiable n'aimait que la levrette et de forte intensité.
A un moment, ma femme quitta la pièce ; je me retrouvais dans une situation des plus cocasses. Devais-je la rattraper et planter là ce couple original ? Il aurait fallu que je repousse une superbe créature cramponnée à moi et mon éducation ne me le permettait pas. Heureusement, ma femme réapparut rapidement accompagnée d'un charmant jeune homme. Ils s'allongèrent sur le grand matelas laissant le mari penaud assis contre le mur. Je pus, tout en besognant mon Insatiable, contempler le plus beau des spectacles, ma femme prise de belle manière par un inconnu.
Je n'en revenais pas de l'audace de ma moitié mais j'étais gêné pour le pauvre mari ; il faisait pitié à voir. Sa femme, quand à elle ne faiblissait pas. A l'instant, je me demandais si ce n'était pas plutôt elle que la compétition sportive qui le mettait dans cet état. Ses ardeurs avaient de quoi asphyxier le meilleur des amants. Pour ma part, il devenait évident que je n'allais pas pouvoir suivre ce rythme encore longtemps.
Quand le jeune homme eut fini de faire jouir ma femme, il se retira très élégamment et après un dernier bisou nous quitta sans un mot. Ce fut l'occasion de mettre un terme à cette rencontre rocambolesque.
Dans la voiture, je demandai à ma belle comment elle avait déniché son Apollon. Sous la douche, me dit-elle. Il était couvert de mousse, alors je l'ai aidé à se rincer avec mes petites mains puis je l'ai entraîné.
Ce soir là, j'étais bouffi d'orgueil d'avoir une nana pareille autant que triste pour le mari... solidarité de genre probablement.
c2b78, zztop, Mex a liké

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