[Korsica]

Nous reprenons la route une nouvelle fois, Sylvie nue sur le siège passager s'endort, son paréo à la main.
Je la regarde, et me remémore cette journée, moi qui depuis pas mal de temps fantasmais de la voir se donner ainsi j'ai été servi.
Comment en une journée, est elle passée de femme modèle, de mère louve, à la salope délurée de ce jour.
Je la regarde, exposée aux yeux envieux des autres chauffeurs, en doublant un minibus floqué aux emblèmes d'un club de rugby local, je ralenti, les gars se regroupent tous à gauche du véhicule, je vois des signes d'approbation des jeunes rugbymen, des "putain, elle est bonne, arrête toi..."
Je regarde Sylvie qui ouvre un œil, et qui se caresse les seins en passant sa langue sur ses lèvres sensuellement.
J'hésite de me stationner mais accélère et continue la route, à la grande déception de l'équipe de rugby.
"Dommage, mais merci mon amour, je suis vannée "
Elle se rendort.
Arrivés à quelques kilomètres de chez nous, je couvre sa nudité, afin de rester discret dans notre vie quotidienne.
Je me pose un tas de questions, depuis sait elle? Comment ?
La voiture garée dans le jardin, je la réveille, puis après avoir déchargé le véhicule, je file à la douche, en me refaisant le film de la journée, je bande de nouveau, je me sèche lorsqu'elle rentre dans la salle de bain.
"Je vois que la douche n'a pas suffit à faire tomber ton excitation, hi hi hi, prépare le repas mon amour, je vais me doucher et j'arrive "
J'installe les repas sur la table de la terrasse, sers l'apéritif, lorsqu'elle me rejoint. Elle porte ses mules à talon, qui lui font des jambes de rêve et un cul d'enfer, une nuisette noire et transparente, mon sexe qui s'était mis au repos reprends de la vigueur, ce qui l'amuse beaucoup
"Mon amour, je sais que tu te pose des tas de questions, je vais y répondre. Comme je t'ai dit, tu parle la nuit, j'ai été surprise par tes fantasmes au début, mais ensuite je me caressais en t'ecoutant. Je n'ai rien dit, mais j'ai fais des recherches. J'ai appris que c'était du candaulisme. Que tu prendrais ton pied en me regardant ou en sachant que j'étais avec un autre, je préfère ça que te savoir avec une autre femme. Excuse moi, mais j'ai consulté ton portable, j'ai vu que tu étais sur un forum assez souvent. Je me disais que finalement je pourrais en profitez aussi "
Elle me prend la main et me fait toucher son sexe.
"Tu vois, rien que d'en parler je mouille, alors, je vais m'allonger sur le Transat et tu vas me lécher pendant que je continue à te parler. Voilà, comme ça c'est bon, humm, je vais te poser des questions et tu me répond en bougeant la tête, sans t'arrêter de me bouffer, sinon j'arrête immédiatement, tu a aimé me voir aujourd'hui, c'est bien ne t'arrête pas, tu as aimé me voir faire la salope, humm continue mon amour, met moi un doigt dans le cul, humm comme ça ouiii, donc tu veux que je sois une salope, humm, tu veux que je m'exhibe, humm, met moi deux doigts dans le cul, humm. Tu sais que tu ne vas pas être déçu, "
puis en me mettant la main sur la tête et en appuyant.
"Vas y mon amour, bouffe mon cochon, imagine toutes les bites qui remplaceront bientôt ta langue, moi, je les imagine, celles qui remplaceront tes doigts, d'ailleurs, tu vas me sodomiser, il faut que je reprenne l'entraînement pour être la grosse salope dont tu rêve hi hi hi!"
Là, n'y tenant plus, je vais chercher du lubrifiant, lui passe sur l'anus en y enfonçant un, puis deux, puis trois doigts, je rentre et je sors, elle tortille ses fesses, et je la pénètre doucement, elle se cambre, et vient pousser mon sexe dans ses entrailles.
"Vas y mon amour, met le moi au fond, sort et rentre maintenant, vas y salaud, encule moi comme la dernière des putes, encore, encore, prend mon portable et fais une photo de mon cul avec ta bite dedans, fais en plus une, humm oui, je joui du cul...."
Elle est prise de spasmes, hurle et s'écroule.
Je me retire, lui écarte les fesses , et éjacule sur son cul ouvert, en prenant encore des photos.