- 07 mai 2024, 15:12
#2796796
J’ai l’impression que beaucoup ici fantasment ou ont fantasmés sur des scénarios candaulismes avant même de passer à l’action.
Pour ma part, cela a été peu différent, voici comment cela a commencé. Cela remonte à une dizaine d’années, nous étions chez des amis très proches pour regarder un film. Miss n’avait pas 30 ans, nous étions un jeune couple sans enfant, ensemble depuis plusieurs années.
Le canapé était trop petit pour quatre et Miss s’est retrouvée allongée sur nous trois. Il n’y avait aucune ambiguïté lorsqu’elle s’est allongée.
Ses jambes étaient allongées sur moi, la femme portait son dos et mon ami sa tête. Elle était en robe et, par habitude, j’ai commencé à lui caresser les jambes, sans arrière-pensée.
Puis, le temps passant, mes mains ont commencé à s’enhardir, remontant de plus en plus le long de ses cuisses. Une première fois, elle m’a retiré mes mains. Mais je la connais par cœur, c’était un non de bienséance et lorsque mes doigts ont atteint cette fois sa culotte sous sa robe, il y a eu un léger gémissement avant qu'elle ne me regarde avec de gros yeux en signe de protestation.
Nos amis n’ont pas été choqués, sans être entreprenants, ils ont laissé glisser leurs mains au-dessus des vêtements de Miss, sur des zones non érogènes, en tout bien tout honneur, comme on pourrait dire. Ils pouvaient deviner ce que je faisais, mais sans rien voir.
De mon côté, j’étais passé à la vitesse supérieure, mes doigts avant glissé sous sa culotte et je la masturbais clairement pendant qu’elle poussait des gémissements de plaisir, elle avait lâché prise et ne posait plus aucune résistance.
Après une vingtaine de minutes de besognes, nous l’avons entendu jouir tous les trois bruyamment. Après avoir repris ses esprits, réajusté sa robe, elle se sentit très honteuse d’avoir pris du plaisir et joui de cette façon, elle s’excusa une bonne dizaine de fois de ce qui venait de se passer et me reprocha autant de fois cette situation avec laquelle elle était grandement mal à l’aise.
De notre côté, nous trouvions la situation plutôt amusante et j’étais particulièrement fier de ce qui venait de se passer.
Pour la première fois, je venais d’offrir un orgasme à ma femme devant d’autres personnes.
Cette scène, absolument pas préméditée, a été un tournant dans notre sexualité. À l’époque, nous ne connaissions absolument rien du libertinage et encore moins du candaulisme.
Durant les six mois suivants, il y a eu 2 ou 3 soirées coquines, nous nous découvrions. Nous sommes passés par du côte-à-cotisme, puis du mélangisme, sans connaître les codes, les règles du libertinage, sans en discuter ouvertement. Ce que l’on vivait restait un peu tabou entre nous quatre.
Et puis il y a eu ce soir. Les filles avaient décidé de nous offrir une surprise, une soirée coquine pour le plaisir des hommes. La femme du couple était indisposée ce jour-là, mais il était prévu qu’elles nous fassent quelques gâteries, pour notre plus grand plaisir.
Je me souviens parfaitement de la scène, la femme du couple s’affairait à me donner du plaisir avec sa bouche, tandis que Miss était avec mon ami.
Je me laissais aller, lorsque j’ai reconnu les gémissements de plaisir de Miss, beaucoup plus fort que d’habitude. J’ai relevé la tête et j’ai vu qu’elle était complètement empalée sur le sexe de mon ami.
Deux sentiments m’ont immédiatement submergé, l’entendre gémir de plaisir avec un autre homme m’excitait énormément et j’étais aussi furieux qu’elle se fasse pénétrer alors que nous n’avions jamais abordé cette hypothèse entre nous quatre, ni même entre nous deux.
Le soir même, nous avons eu une discussion très houleuse. Je lui ai lourdement reproché de s’être laissé pénétrer sans demander mon consentement et sachant également qu’il n’y avait aucune réciprocité possible du fait du cycle de ma partenaire.
Elle était très confuse, elle a minimisé la situation en m’indiquant qu’elle n’avait fait que quelques va-et-vient et qu’elle n’avait pas pu s’en empêcher.
Cette dernière révélation m’a autant énervé qu’excité. Énervé, car je comprenais qu’elle n’était pas capable de contrôler ses pulsions sexuelles, qu'une pénétration de quelques secondes n'avait pas du tout la même importance qu'une de plusieurs minutes. Excité pour la même raison, parce que justement, je comprenais qu'elle pouvait avoir des pulsions sexuelles qu’elle ne pouvait pas refréner, comme un homme.
Elle s’est excusée platement à plusieurs reprises, en se reprochant à elle-même de n'avoir pas été en capacité de se contrôler, elle a émis le souhait de tout arrêter devant sa faiblesse que je martelais de lui rappeler. Des larmes ont coulé.
Pour autant, je ne reprochais absolument rien à mon ami. Dans sa situation, après une bonne heure de caresses, de fellations, par une amie sexy entièrement nue qui se frotte contre vous, sans être dans un contexte d'adultère, quel homme "normal" aurait refusé de se faire chevaucher ? Avec du recul, je comprends que ma réaction n’était pas juste. Pourquoi avais-je accepté aussi facilement la faiblesse de l’homme, mais pas celle de ma femme ?
La dissonance du désir masculin et féminin imposée depuis des générations était à l’œuvre. Le libertinage et le caudaulisme m'ont ouvert les yeux sur bien des choses par la suite.
Ce soir-là, à aucun moment je n’ai partagé avec ma femme mon excitation à la voir se faire pénétrer par un autre. J’étais resté sur des reproches de principes, pas encore prêt à accepter ma propre excitation, ni celle de ma femme qui m’avait habitué à une sexualité routinière, comme dans beaucoup de vieux couples.
De ce que je me souviens, c’est la première fois que j’ai ressenti des émotions candaulisme, sans pouvoir mettre un nom dessus à cette époque. D'une certaine façon, le caudaulisme s'est imposé à moi. Rien à voir avec le porno comme j'ai pu le lire quelques fois.
Depuis, les choses ont bien changé.
Et vous, rétrospectivement, comment vous vous-êtes découverts caudauliste pour la première fois ?
Pour ma part, cela a été peu différent, voici comment cela a commencé. Cela remonte à une dizaine d’années, nous étions chez des amis très proches pour regarder un film. Miss n’avait pas 30 ans, nous étions un jeune couple sans enfant, ensemble depuis plusieurs années.
Le canapé était trop petit pour quatre et Miss s’est retrouvée allongée sur nous trois. Il n’y avait aucune ambiguïté lorsqu’elle s’est allongée.
Ses jambes étaient allongées sur moi, la femme portait son dos et mon ami sa tête. Elle était en robe et, par habitude, j’ai commencé à lui caresser les jambes, sans arrière-pensée.
Puis, le temps passant, mes mains ont commencé à s’enhardir, remontant de plus en plus le long de ses cuisses. Une première fois, elle m’a retiré mes mains. Mais je la connais par cœur, c’était un non de bienséance et lorsque mes doigts ont atteint cette fois sa culotte sous sa robe, il y a eu un léger gémissement avant qu'elle ne me regarde avec de gros yeux en signe de protestation.
Nos amis n’ont pas été choqués, sans être entreprenants, ils ont laissé glisser leurs mains au-dessus des vêtements de Miss, sur des zones non érogènes, en tout bien tout honneur, comme on pourrait dire. Ils pouvaient deviner ce que je faisais, mais sans rien voir.
De mon côté, j’étais passé à la vitesse supérieure, mes doigts avant glissé sous sa culotte et je la masturbais clairement pendant qu’elle poussait des gémissements de plaisir, elle avait lâché prise et ne posait plus aucune résistance.
Après une vingtaine de minutes de besognes, nous l’avons entendu jouir tous les trois bruyamment. Après avoir repris ses esprits, réajusté sa robe, elle se sentit très honteuse d’avoir pris du plaisir et joui de cette façon, elle s’excusa une bonne dizaine de fois de ce qui venait de se passer et me reprocha autant de fois cette situation avec laquelle elle était grandement mal à l’aise.
De notre côté, nous trouvions la situation plutôt amusante et j’étais particulièrement fier de ce qui venait de se passer.
Pour la première fois, je venais d’offrir un orgasme à ma femme devant d’autres personnes.
Cette scène, absolument pas préméditée, a été un tournant dans notre sexualité. À l’époque, nous ne connaissions absolument rien du libertinage et encore moins du candaulisme.
Durant les six mois suivants, il y a eu 2 ou 3 soirées coquines, nous nous découvrions. Nous sommes passés par du côte-à-cotisme, puis du mélangisme, sans connaître les codes, les règles du libertinage, sans en discuter ouvertement. Ce que l’on vivait restait un peu tabou entre nous quatre.
Et puis il y a eu ce soir. Les filles avaient décidé de nous offrir une surprise, une soirée coquine pour le plaisir des hommes. La femme du couple était indisposée ce jour-là, mais il était prévu qu’elles nous fassent quelques gâteries, pour notre plus grand plaisir.
Je me souviens parfaitement de la scène, la femme du couple s’affairait à me donner du plaisir avec sa bouche, tandis que Miss était avec mon ami.
Je me laissais aller, lorsque j’ai reconnu les gémissements de plaisir de Miss, beaucoup plus fort que d’habitude. J’ai relevé la tête et j’ai vu qu’elle était complètement empalée sur le sexe de mon ami.
Deux sentiments m’ont immédiatement submergé, l’entendre gémir de plaisir avec un autre homme m’excitait énormément et j’étais aussi furieux qu’elle se fasse pénétrer alors que nous n’avions jamais abordé cette hypothèse entre nous quatre, ni même entre nous deux.
Le soir même, nous avons eu une discussion très houleuse. Je lui ai lourdement reproché de s’être laissé pénétrer sans demander mon consentement et sachant également qu’il n’y avait aucune réciprocité possible du fait du cycle de ma partenaire.
Elle était très confuse, elle a minimisé la situation en m’indiquant qu’elle n’avait fait que quelques va-et-vient et qu’elle n’avait pas pu s’en empêcher.
Cette dernière révélation m’a autant énervé qu’excité. Énervé, car je comprenais qu’elle n’était pas capable de contrôler ses pulsions sexuelles, qu'une pénétration de quelques secondes n'avait pas du tout la même importance qu'une de plusieurs minutes. Excité pour la même raison, parce que justement, je comprenais qu'elle pouvait avoir des pulsions sexuelles qu’elle ne pouvait pas refréner, comme un homme.
Elle s’est excusée platement à plusieurs reprises, en se reprochant à elle-même de n'avoir pas été en capacité de se contrôler, elle a émis le souhait de tout arrêter devant sa faiblesse que je martelais de lui rappeler. Des larmes ont coulé.
Pour autant, je ne reprochais absolument rien à mon ami. Dans sa situation, après une bonne heure de caresses, de fellations, par une amie sexy entièrement nue qui se frotte contre vous, sans être dans un contexte d'adultère, quel homme "normal" aurait refusé de se faire chevaucher ? Avec du recul, je comprends que ma réaction n’était pas juste. Pourquoi avais-je accepté aussi facilement la faiblesse de l’homme, mais pas celle de ma femme ?
La dissonance du désir masculin et féminin imposée depuis des générations était à l’œuvre. Le libertinage et le caudaulisme m'ont ouvert les yeux sur bien des choses par la suite.
Ce soir-là, à aucun moment je n’ai partagé avec ma femme mon excitation à la voir se faire pénétrer par un autre. J’étais resté sur des reproches de principes, pas encore prêt à accepter ma propre excitation, ni celle de ma femme qui m’avait habitué à une sexualité routinière, comme dans beaucoup de vieux couples.
De ce que je me souviens, c’est la première fois que j’ai ressenti des émotions candaulisme, sans pouvoir mettre un nom dessus à cette époque. D'une certaine façon, le caudaulisme s'est imposé à moi. Rien à voir avec le porno comme j'ai pu le lire quelques fois.
Depuis, les choses ont bien changé.
Et vous, rétrospectivement, comment vous vous-êtes découverts caudauliste pour la première fois ?