- « C’est vrai, et j’ai encore envie… » un large sourire accompagnait ses beaux yeux malicieux.
Sandra resta radieuse toute la journée.
J’étais quant à moi pensif…, voire très pensif ! Certes, la poussée d’adrénaline que j’ai eu au moment ou les deux amants étaient seuls, m’a fait découvrir un état d’excitation jusqu’à maintenant jamais atteint, mais à l’origine le plan était à trois !!!
Comment vais-je pouvoir gérer cela, et puis… il y a elle…, elle a l’air sur un nuage, elle déambule dans la maison et sur la terrasse à demi nue, ce qu’elle est belle, d’autant plus avec ce sourire, comment lui refuser quoique ce soit…
Sandra ne portait qu’un bas de maillot de bain noir sur elle, sans aucun autre voilage en ce dimanche ensoleillé. Entre farniente et piscine, je l’observais évoluer ainsi tout au long de la journée. En fait, je ne la regardais pas, je la « matais ! » Hé ho j’ai le droit c’est ma femme !!!
Et puis en fin de journée, je constatais une chose qui ne la quittait pas ! Outre sons air radieux, je m’apercevais que ses pointes de seins restaient érigées, et après réflexion, je ne les ai pas vu se détendre de la journée.
Merde !!! Cette situation doit vraiment lui plaire.
Ne voulant pas paraitre lourd, je laissais ma princesse sur son nuage sans évoquer quoi que ce soit sur notre aventure passée ou possible avenir… Mais au fur et à mesure de toutes ces pensées plus ou moins contradictoires, je me retrouvais à nouveau très éprouvé par cette expérience extraconjugale de la jolie nymphe allongée au soleil en monokini…
En gros j’avais une libido regonflée à bloc !!!
Questions :
- Dans quoi je m’embarque ?
- Le but pour elle, est-il d’arriver à un final à trois ?
- Est-ce que Sandra veut réellement profiter et prendre du plaisir sans moi ?
- Et si elle y prenait justement plus de plaisir qu’avec moi ?
- Comment je vais réagir à cette dernière question si la réponse est oui ?
Les questions se bousculaient dans ma tête sans pour autant trouver de réponse… enfin presque… je répondais inconsciemment à certaine, réalisant que chaque réponse qui devrait être de l’ordre de l’interdit, de l’absurde, de l’impossible, me donnait une montée d’adrénaline.
La pire d’entre elle : Préfèrerait-elle coucher avec lui ou avec moi ?
PUTAIN !!! Pourquoi la réponse la plus frustrante me culpabilisait…
Le dimanche soir, j’avais acquis la certitude que je voulais faire de Sandra la femme la plus heureuse du monde et si pour cela elle devait prendre plus de plaisir avec Cédric qu’avec moi, et bien soit !
Et puis, si tel n’était pas le cas, autant ne rien faire !
Sandra était sur son smartphone allongée nue à ma gauche comme d’habitude. Elle avait reçu un SMS de Cédric qui nous remerciait pour cette charmante soirée et matinée, sans plus de détails. Sandra le remercia à son tour, lui indiquant qu’elle avait passé un très bon moment et que son dimanche à y repenser, l’avait été tout autant. (Ce qui expliquait sa poitrine autant gonflée, me dis-je…)
Je la regardais et la laissais à ses occupations en posant ma main droite sur l’un de ses seins que je massais doucement, puis l’autre, caresses…, frôlements…, effleurement de ses tétons si durs…
Elle posa son téléphone, glissa sa main droite entre ses cuisses, les écartant largement et se tourna vers moi en me soufflant :
- « J’ai l’impression d’avoir tout le temps le sexe gonflé, depuis que tu lui as montré ces photos… » « Je suis tout le temps humide regarde ».
Elle ressortait sa main d’entre ses jambes et me la présenta ouverte. Le bout de son majeur et celui de son annulaire étaient reliés par un filet de mouille d’environ 5 centimètres. Elle ferma les yeux et replaça ses fins doigts humides là où ils avaient trouvé ce doux nectar.
Et je la regardais une nouvelle fois s’adonner au plaisir, presque solitaire, puisque mes mains exploraient l’intégralité de sa poitrine ainsi gonflée.
Encore une fois, son corps était parcouru par des spasmes de plaisir, forts, intenses, un superbe orgasme…, la tension retombée, elle essuya ses doigts sur les draps, se colla à moi, et me souhaita bonne nuit en tirant le drap sur elle.
Bonne nuit ? Comment ça bonne nuit ??? Et moi ? Hors de question que ça se passe comme ça !!!
Et pourtant… J’éteignais la lumière, et l’enlaçais collant ainsi mon érection contre la peau douce de son p’tit cul.
Lundi matin, le début de nuit était très difficile pour moi, je suppose que vous comprenez pourquoi…, Je quittais la maison laissant la belle nue dans notre lit… non sans faire une photo…
Alors, il fallait maintenant que je vois Cédric, afin d’avoir son ressenti sur la situation, j’espère qu’il arrive à gérer cette dernière...
Et comment faire si l’expérience ne lui a pas plu ? ou bien si Sandra n’était plus à son gout ? Chaque chose en son temps…, d’abord attendons le coup de fil de Sandra, qui devrait arriver à son travail sous peu et me téléphoner. J’en saurai plus sur ses intentions, la nuit porte conseil !
- « Bonjour mon amour, bien dormi ? » lui demandais-je
- « Oui très bien merci, j’étais épuisée, je n’avais pas beaucoup dormi la nuit d’avant, en plus vous m’avez épuisée » me répondit-elle en riant.
- « En attendant tu m’as encore laissé en plan, j’ai eu un peu de mal à trouver le sommeil… »
- « Je suis désolée mais je n’en pouvais plus »
- « L’avantage c’est que je me retrouve très excité » « J’aurai moins de scrupule en montrant une photo de toi toute nue sur le lit ce matin ! »
- « T’as pris une photo ce matin ? » « Comment je suis ? » « Tu ne vas pas encore lui montrer ?!!! »
- « Oui », « Nue », « Et oui je vais lui montrer, ce sera ta punition ! »
- « Oh non !!! » dit elle en riant.
- « Je doit te laisser, il arrive, et de toute façon, avec ce qu’il a vu et fait de toi hier… » « Je t’aime à toute. »
Cédric entra dans mon bureau, il me regardait comme un collégien qui se retrouvait dans le bureau du proviseur, attendant la sanction d’une hypothétique faute.
- « Salut Cédric, ferme la porte s’il te plait, il faut qu’on parle. »
- « Bonjour Math…, »
- « Un problème ? tu as l’air d’avoir un truc qui ne va pas ? » lui demandais-je gentiment.
- « Non… ça va… »
- « On a l’impression que tu as couché avec la femme du chef, et que tu as peur qu’il s’en aperçoive !!! » Lui dis dis-je en riant de bon cœur.
En fait, c’était exactement cela, car j’étais bien son chef, (aujourd’hui encore). Mais lui ne rigolait pas, et ne savait pas du tout comment réagir par rapport à cette situation.
- « Pour information, je suis effectivement au courant, sauf que c’est moi qui te l’ai demandé ! »
- « Ok, mais j’ai couché avec Sandra… »
- « Et tu regrettes ? Elle ne t’a pas plu ? »
- « Si bien sûr mais toi… ? »
- « Ecoute…, elle est restée excitée toute la journée d’hier, les seins à l’air gonflés de désir, et d’humeur joyeuse. » « J’adore la voir comme ça, et j’en profite à fond ! » « Je sais que ce n’est pas très commun comme situation, ma façon de penser est particulière, mais je fais bien la différence entre les sentiments, et le sexe. »
- « Effectivement c’est particulier » Répondit-il sceptique.
- « Pour moi, si Sandra fait l’amour avec toi, c’est un peu comme si elle faisait une partie de tennis ! » « Elle y prend du plaisir et heureusement ! » « Mais sache que même si elle n’est pas amoureuse de toi, elle t’aime bien quand même, car elle ne pourrait pas coucher comme cela avec n’importe qui ! » « Dis-toi que tu as de la chance et profites en ! »
- « J’ai donc eu beaucoup de chance alors !!! »
- « En fait tu en as encore, parce qu’elle veut que tu reviennes la voir… »
- « Ah ouais !!!? » Son visage s’était soudainement détendu. « Tu en penses quoi toi ? »
- « Et bien je te demande une nouvelle fois de venir faire l’amour à ma femme ! » Lui dis-je avec un grand sourire.
C’est incroyable qu’en si peu de temps je puisse demander à mon pote une chose pareil sans même avoir la voix qui vacille ! Je parlais de ça avec lui librement comme si nous parlions d’un repas… Sauf que pour le coup, c’est ma femme qui passerait à la casserole !!!
- « Ben… ouais, en plus faut qu’on le fasse à trois ! » Me dit-il content de lui.
- « Effectivement, sauf que là elle veut faire l’amour avec toi, que tous les deux. Ayant eu peur de ma réaction hier matin, elle n’a pas pu profiter de toi et se lâcher, elle veut rectifier le tir !!! sans jeu de mots bien sûr. »
- « Et toi ça te va ? »
- « Comment je dois te le dire ? Tu veux que je fasse le chef ? » « Je veux que tu viennes faire l’amour à Sandra, et que tu la fasses jouir, tu as carte blanche ! et pour info, elle est particulièrement sensible des seins. »
- « Vous avez vraiment des jeux sympas !!! » Dit-il tout sourire en sortant du bureau.
Bon…, le jeu est lancé, maintenant, il faut que je puisse aussi en profiter, mais comment faire… Bien sûr qu’elle va me raconter, mais je voudrais la voir faisant l’amour avec un autre !
Comment j’ai pu avoir envie de ça !!! Suis-je un pervers ? Je ne pense pourtant pas, mes envies ne concernent que nous, bon il faut que je fasse quelques recherches sur le net pour savoir si je suis normale. Mais en attendant, comment voir ma femme se donner à un autre…
Toute la matinée, je me suis mis à gamberger sur les possibilités et c’était pourtant simple, Dans le bureau qui se trouve de l’autre coté du mur sur lequel j’ai accroché la télévision de notre chambre, j’avais mon ordinateur !!! Une webcam bien dissimulée et branchée en USB fera parfaitement l’affaire, j’aurai le son et l’image ! Y-a plus qu’a installer et tester discrètement avant que Sandra ne rentre ce soir.
En début d’après-midi, Cédric vint me voir à mon bureau pour me montrer quelques échanges qu’il a eu avec Sandra.
- « Sandra m’a demandé si la photo m’avait plu, mais… »
- « Ah oui, la photo, je l’ai prise au réveil ce matin et lui ai dit que j’allais te la montrer, tu veux la voir ? »
- « Ben oui… pourquoi pas… »
- « Elle n’a rien d’exceptionnelle, mais je la trouve jolie quand elle dort…, regarde, qu’en penses tu ? »
Et vous les Candos ?
la suite très vite...