Sentant que notre homme est mûr, mue sans doute également par une impatience mutine dont elle ne semble pas avoir conscience (j'aime à la voir ainsi, le regard brillant, le sourire aux lèvres et l'attitude gourmande), elle ne me fait pas mentir dans mon analyse et glisse doucement le long de son torse, ponctuant de caresses et de baisers sa descente vers le membre objet de sa convoitise, qu'elle libère de ses couches de tissu protectrices avec envie, pour embrasser, laper, lécher et finalement sucer toute la virilité radieuse offerte à sa bouche libidineuse.
Ses petits cris étouffés de pur contentement sont une douce musique à mes oreilles et ont le don de me rendre fou... d'amour
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