Bonsoir à tous,
Merci, merci!!!
Bien sûr qu'il y a une suite, et je suis loin d'avoir terminé...
Donc la suite:.........................................................
Puis lentement, elle reprit ses petits bisous sur le ventre, torse, les lèvres de Cédric… Couchée sur lui elle ondulait son corps nu sur le sien.
Sandra se releva et vint s’agenouiller au-dessus du sexe de Cédric, qui était plaqué sur son ventre. Sans faire entrer en elle ce dernier, elle imprimait un va et vient langoureux sur celui-ci. Trempée comme elle l’était, elle lubrifiait un peu plus à chaque passage la verge gonflée. Ainsi Je voyais nettement les lèvres de la vulve de ma femme de part et d’autre du mât humide de notre invité.
Je réalisais alors que l’un comme l’autre n’avait ni culotte ni slip. Depuis combien de temps ces vêtements avaient-il disparu ?
Je saurai plus tard que Sandra avait enlevé sa culotte dès qu’elle était entrée sous la couette et qu’elle avait fait enlever son slip à Cédric quelques minutes plus tard.
Cédric ne tenant plus, prit un préservatif sur la table de nuit et l’enfila rapidement alors que Sandra à genoux au-dessus de lui continuait d’onduler sa jolie croupe. La protection mise, ma femme se saisit du sexe de mon pote et me jetant un regard de satisfaction, enfonça ce pieux lentement jusqu’à la garde, elle resta deux secondes assise sur lui, avant de monter et descendre, lentement regardant son amant dans les yeux avant de l’embrasser.
J’assistais impuissant à mon propre adultère, ma femme n’avait eu d’intérêt pour moi que lorsqu’elle allait encore plus loin dans le fait de me tromper.
Cédric caressait tout son corps s’attardant sur les zones sensibles, comme la pointe de ses seins, les massant au rythme lent que la belle imprimait. Sandra ne lâchait plus la bouche de notre ami. Ils s’embrassaient passionnément, jouant de leurs langues impudiquement devant moi.
Cela faisait bien 5 minutes qu’ils étaient collés l’un à l’autre, oserais-je dire… l’un dans l’autre…, quand Sandra se redressa. Assise sur Cédric, le sexe de ce dernier bien planté au fond de son ventre, elle ondulait son bassin. D’abord d’avant en arrière, se cambrant plus que de raison, puis en faisant de lents cercles, toujours collée au pubis de notre ami.
J’étais dingue d’excitation, je n’en revenais pas, mon bébé se donnait sans aucune pudeur à notre ami. Pire…, elle se donnait à lui plus qu’elle ne l’avait jamais fait avec moi.
Toujours sans s’occuper de moi, elle posait maintenant une main sur le lit derrière elle, entre les jambes de Cédric. Posant ses p’tits pieds près des épaules de Cédric, ouvrant largement les genoux et se penchant en arrière, elle regarda Cédric avec des yeux de braises avant de se caresser le clitoris, avec lenteur.
Cédric matait la vicieuse. Attardant son regard sur les doigts qui s’activaient sur la peau qui cachait le bouton des plaisirs. Et forcement il m’était impossible de ne pas faire de même.
Le côté exhibe de Sandra fut alors exacerbé et, par de savants tâtonnements, tirant sur la peau souple, exposa alors à l’air libre, sans plus de protection, le petit bout de chair si sensible, humide, et écarlate qu’était son clitoris.
à suivre...