- 17 nov. 2020, 12:23
#2477749
Comme chaque semaine, nous nous languissions de notre jour de repos en commun, et plus nous arrivions à la fin de l’été, plus nous pensions que nos escapades du mercredi au New Bora allaient se terminer. La journée du mardi était un peu plus longue que ce que nous espérions, et arrivés enfin dans notre cocon d’amour, nous étions totalement épuisés et incapables d’envisager une sortie quelconque.
Confortablement installés sur le canapé, nous flânions a quelques occupations ludiques sur nos téléphones en regardant les images de la télé qui ne nous intéressaient pas vraiment. Il était temps de se retrouver un peu sous la couette, en position horizontale et évoquer notre journée tant attendue du mercredi. Vu la météo avec le vent qui enfin se calmerait, une virée dans notre club balnéo serait des plus agréables. Anna me reprochait un peu mon addiction au libertinage et à la recherche permanente du complice idoine, mais je prenais ça aussi pour un passe-temps et non comme une quête assidue. La fatigue aidant, les mots de notre discussions s’éteignaient peu à peu en même temps que notre lucidité et nous nous sommes endormis sereinement.
Le réveil fut doux et déjà régénérateur, nous étions en forme pour profiter de cette journée. Je ne savais pas dans quel état d’esprit coquin Anna était mais il était certain que ce serait une belle journée. On plaisantait des mots de la veille, et commencions a trouver le fil conducteur de notre journée. Après quelques achats nécessaires, nous irions pique-niquer avant d’aller se prélasser dans un bon jacuzzi ou seules les bulles habilleraient nos corps…
Nous prenions la direction du club et lorsque le paysage nous parut sympa, nous avons bifurqué sur une petite route en cul de sac menant dans un petit champ de vignes. C’est ici que nous installons notre petite table pour siroter une bouteille de cahors des plus agréables. Un petit jeu de séduction pouvait démarrer entre nous, tout en faisant participer par messages et photos un ami candauliste qui ne pouvait que très bien me comprendre.
De fil en aiguille, les boutons de mon short sautaient un a un, libérant mon sexe qui alla se réfugier dans la bouche d’Anna, mes mains libres pouvaient à leurs tours désemprisonner les seins de ma femme et les exhiber à la brise qui souflait sur nous. Notre désir commun nous amenait a changer de position et Anna a moitié dans la malle de notre voiture s’en retrouvait immédiatement pénétrée. Le plaisir se joignait à nous sans toutefois nous faire atteindre le point de non-retour et finalement La position un peu inconfortable eu raison de notre envie. Nous savions que ce ne serait que partie remise et que nous pourrions continuer nos ébats un peu plus tard dans l’après-midi.
L’heure avançait et il était temps pour nous de reprendre notre route en direction du club. Tout en conduisant, mon téléphone s’affairait a vibrer pour me signaler de nouveau messages de notre ami candauliste, et c’est Anna qui prenait un coquin plaisir à lui envoyer des photos sans équivoques d’elle en train de s’exhiber sur le fauteuil passager. J’en étais tout autant content que troublé, tout autant étonné qu’excité. Arrivée sur le parking, elle lui envoyait une dernière photo avant que nous posions les téléphones dans nos casiers.
Il n’y avait pas grand monde au club, ce qui nous permettait de regarder un peu chaque nouvel arrivant, jauger un peu le potentiel de chaque personne quand un homme passa devant le jacuzzi et que je fis signe à Anna de le regarder. Il avait un sexe tout aussi beau qu’imposant mais ma femme retenait plus de cette personne son côté un peu nonchalant. Personne donc ne nous avait permis d’envisager un trio, mais qu’a cela ne tienne, nous avions envie de terminer ce que nous avions commencé une bonne heure plus tôt dans la malle de la voiture….
Nous montâmes donc les escaliers menant aux coins câlins, se doutant que nous allions être suivis et nous nous sommes installés dans la première chambre sans fermer la porte. Peut-être que l’excitation du moment allait faire oublier quelques critères de sélection et une fois dans le noir on se laisserait tenter par des mains ou un sexe nous rejoignant. Je plongeais ma tête entre les cuisses de ma femme, et jouait de ma langue pour lui faire lâcher-prise quant au bout de quelques minutes elle me tapotait sur la tête me faisant comprendre qu’elle n’était pas à l’aise. En relevant la tête, je voyais une petite dizaine d’homme autour d’elle alors que je n’en soupçonnais qu’un ou deux. Je préférais faire sortir tout le monde et verrouiller cette fois la porte. Elle ne changea pas de position, ce qui me permis de la prendre en missionnaire au milieu du lit. Je la sentais libérée, surfant toujours sur une vague coquine et je lui suggérait d’ouvrir à nouveau la porte et faire rentrer une ou deux personnes uniquement, chose a laquelle elle me répondit « vas-y »
J’ouvrais donc la porte et le premier homme face à moi semblait être celui que j’avais repéré un peu plus tôt au bord du jacuzzi, je l’invitai à nous rejoindre et referma derrière lui. Ma place bien au chaud m’attendait et je ne me faisait pas prier pour pénétrer de nouveau ma femme. Il s’installa à genou aux cotés de ma femme, a une distance permettant le contact sans pour autant être envahissant et Anna n’eut qu’à tendre légèrement le bras pour commencer à le caresser. Très rapidement sa main se déporta vers son sexe alors que lui partait à la découverte de sa poitrine. Il ne fut que quelques secondes avant que ce ne soit sa langue qui aille découvrir son sexe avant d’essayer de l’engloutir, alors que je continuait mes va-et-vients avec de plus en plus de vigueur. La scène était très belle, j’étais aux premières loges pour contempler cette fellation magnifique, et cette beauté eu raison de mon endurance, je ne pouvais me retenir de jouir en elle. elle ne lâchât pas pour autant cette bite de son emprise buccale et alors que je m’affairais a l’essuyer, je tendis à notre complice improvisé un préservatif. Il comprit le signal et pris ma place entre les cuisses de ma bien aimée, la pénétrant tout en douceur et prévenance. Il alternait pénétrations douce et lentes avec des moments plus fous et vigoureux, régulant ses allers-retours aux sensations que laissait paraitre Anna, Il jouait avec ses jambes afin de stimuler toutes les zones sensibles de l’écrin de ma femme. Elle jouissait profondément et peinait parfois à reprendre sa respiration entre chaque orgasme. Ayant surement épuisé toutes les variantes du missionnaires, c’est elle maintenant qui lui réclamait le graal pour elle : La levrette. Il semblait tout autant ravi qu’elle, alors que mon sexe ayant repris un semblant de vigueur se retrouvé happé par la bouche de ma femme. Quand il lui accordait un moment de répit, c’est elle qui imprimait le rythme, comme si elle ne voulait plus que ça s’arrête, Je les regardais, je l’entendais, elle suait et il prenais soin de souffler sur ses reins pour la rafraichir un peu ou lui procurer de nouvelles sensations. Elle n’en pouvait plus, ses jambes avaient du mal à la porter et elle pris le temps de faire une courte pause avant de le reprendre en bouche, pendant qu’il la caressait de nouveau. Il n’y avait plus la sensualité à laquelle elle m’avait habitué, c’était une pipe bestiale, telle une prédatrice qui voulait arriver a ses fins, submergée surement par le plaisir qu’elle avait emmagasiné pendant au moins une heure. Elle le fit craquer et aux portes du plaisir il se retira pour jouir sur ses seins.
On essayait tout trois de reprendre nos esprits, s’essuyer avant de partager une douche, lorsqu’il nous proposa de partager un verre ensemble.
Nous aimons habituellement nous ressourcer à deux après ces moment-là, mais lui n’était pas un fardeau, tout autant discret qu’attentionné, il se mettait au diapason de notre couple. On pris un verre bien mérité autour d’une table, histoire de faire les présentations et sa présence restait très agréable. Si agréable que je lui proposait de se joindre à nous dans le jacuzzi, histoire de se relaxer encore un peu.
Je pensais que ce moment de détente clôturerait une journée riche en émotion et en plaisir mais notre complice évoquait le massage des pieds à Anna, chose qu’elle ne pouvait refuser. Il était attentionné, elle était comblée. De par ses expériences il avait connu bien des massages et essayait de reproduire ce qu’il aimait. Visiblement il aimait ce que ma femme aime car elle se détendait, ivre de bien-être. Le massage peu à peu déviait en caresses, nous sentions son excitation reprendre son envol, et en sentant nos sexes dressés elle se rendit compte que c’était plus que réciproque. Elle se mit dos à lui, m’offrant son sexe que je stimulais de mes doigts, elle nous caressais, nous masturbais, et quand nous avons inversé les rôles, et qu’elle se mit face à lui, elle le tira à lui pour le reprendre en bouche. Sucer un autre homme dans le jacuzzi, à la vue de tous, c’est une vision que je ne pensais pas voir un jour. Voyant que la situation nous échappais à tous, on reprit un peu nos esprits et sommes sortis rejoindre notre bed.
Ne voulant pas nous envahir, il eut la discrétion de nous laisser le temps d’une bonne cigarette pour se recentrer sur nous, et est venu nous rejoindre un peu après pour continuer le massage qu’il avait attaqué dans le bain à remous. Je les laissais seuls, enfin, pas loin d’eux pour ne rien rater du spectacle et me régalais de les voir ensemble. Ses attentions étaient pour elle bien sur, mais il prenait soin de me regarder de temps en temps pour être certain que j’allais bien et que ce que je voyais me comblait. Il n’était pas la pour lui, ni que pour elle, il agissait pour nous et avait cerné nos envies. Je les rejoignis afin qu’elle n’est pas qu’un sexe a caresser mais qu’elle puisse jouer de ses deux mains. D’un regard vers moi elle me demandait si je voulais qu’elle me prenne en bouche et elle a compris que je voulais la voir à nouveau jouer de ses lèvres avec sa grosse bite. Cette fois, en plein jour, la vision serait encore plus excitante pour moi. La regardait faire ne me permettait plus de résister au plaisir de la pénétrer, encore une fois trop rapidement encore mais je ne peux lutter à ce flux d’excitation qui m’envahit dans de telles circonstances. Il pris de nouveau le relai, cette fois elle allongée sur le ventre pour de nouveaux et intenses orgasmes.
Tout trois épuisés par cette après midi, après une brève douche, nous sommes retournés dans le jacuzzi, complices. Tellement complices que nous ne pouvions nous empêcher à trois de repartir dans un jeu de caresses, de papouilles.
Il était déjà l’heure de partir, notre après-midi folle se terminait alors qu’on aurait voulu qu’elle ne s’arrête jamais . Mais nous savons maintenant ou le trouver, pour de nouvelles aventure….
Confortablement installés sur le canapé, nous flânions a quelques occupations ludiques sur nos téléphones en regardant les images de la télé qui ne nous intéressaient pas vraiment. Il était temps de se retrouver un peu sous la couette, en position horizontale et évoquer notre journée tant attendue du mercredi. Vu la météo avec le vent qui enfin se calmerait, une virée dans notre club balnéo serait des plus agréables. Anna me reprochait un peu mon addiction au libertinage et à la recherche permanente du complice idoine, mais je prenais ça aussi pour un passe-temps et non comme une quête assidue. La fatigue aidant, les mots de notre discussions s’éteignaient peu à peu en même temps que notre lucidité et nous nous sommes endormis sereinement.
Le réveil fut doux et déjà régénérateur, nous étions en forme pour profiter de cette journée. Je ne savais pas dans quel état d’esprit coquin Anna était mais il était certain que ce serait une belle journée. On plaisantait des mots de la veille, et commencions a trouver le fil conducteur de notre journée. Après quelques achats nécessaires, nous irions pique-niquer avant d’aller se prélasser dans un bon jacuzzi ou seules les bulles habilleraient nos corps…
Nous prenions la direction du club et lorsque le paysage nous parut sympa, nous avons bifurqué sur une petite route en cul de sac menant dans un petit champ de vignes. C’est ici que nous installons notre petite table pour siroter une bouteille de cahors des plus agréables. Un petit jeu de séduction pouvait démarrer entre nous, tout en faisant participer par messages et photos un ami candauliste qui ne pouvait que très bien me comprendre.
De fil en aiguille, les boutons de mon short sautaient un a un, libérant mon sexe qui alla se réfugier dans la bouche d’Anna, mes mains libres pouvaient à leurs tours désemprisonner les seins de ma femme et les exhiber à la brise qui souflait sur nous. Notre désir commun nous amenait a changer de position et Anna a moitié dans la malle de notre voiture s’en retrouvait immédiatement pénétrée. Le plaisir se joignait à nous sans toutefois nous faire atteindre le point de non-retour et finalement La position un peu inconfortable eu raison de notre envie. Nous savions que ce ne serait que partie remise et que nous pourrions continuer nos ébats un peu plus tard dans l’après-midi.
L’heure avançait et il était temps pour nous de reprendre notre route en direction du club. Tout en conduisant, mon téléphone s’affairait a vibrer pour me signaler de nouveau messages de notre ami candauliste, et c’est Anna qui prenait un coquin plaisir à lui envoyer des photos sans équivoques d’elle en train de s’exhiber sur le fauteuil passager. J’en étais tout autant content que troublé, tout autant étonné qu’excité. Arrivée sur le parking, elle lui envoyait une dernière photo avant que nous posions les téléphones dans nos casiers.
Il n’y avait pas grand monde au club, ce qui nous permettait de regarder un peu chaque nouvel arrivant, jauger un peu le potentiel de chaque personne quand un homme passa devant le jacuzzi et que je fis signe à Anna de le regarder. Il avait un sexe tout aussi beau qu’imposant mais ma femme retenait plus de cette personne son côté un peu nonchalant. Personne donc ne nous avait permis d’envisager un trio, mais qu’a cela ne tienne, nous avions envie de terminer ce que nous avions commencé une bonne heure plus tôt dans la malle de la voiture….
Nous montâmes donc les escaliers menant aux coins câlins, se doutant que nous allions être suivis et nous nous sommes installés dans la première chambre sans fermer la porte. Peut-être que l’excitation du moment allait faire oublier quelques critères de sélection et une fois dans le noir on se laisserait tenter par des mains ou un sexe nous rejoignant. Je plongeais ma tête entre les cuisses de ma femme, et jouait de ma langue pour lui faire lâcher-prise quant au bout de quelques minutes elle me tapotait sur la tête me faisant comprendre qu’elle n’était pas à l’aise. En relevant la tête, je voyais une petite dizaine d’homme autour d’elle alors que je n’en soupçonnais qu’un ou deux. Je préférais faire sortir tout le monde et verrouiller cette fois la porte. Elle ne changea pas de position, ce qui me permis de la prendre en missionnaire au milieu du lit. Je la sentais libérée, surfant toujours sur une vague coquine et je lui suggérait d’ouvrir à nouveau la porte et faire rentrer une ou deux personnes uniquement, chose a laquelle elle me répondit « vas-y »
J’ouvrais donc la porte et le premier homme face à moi semblait être celui que j’avais repéré un peu plus tôt au bord du jacuzzi, je l’invitai à nous rejoindre et referma derrière lui. Ma place bien au chaud m’attendait et je ne me faisait pas prier pour pénétrer de nouveau ma femme. Il s’installa à genou aux cotés de ma femme, a une distance permettant le contact sans pour autant être envahissant et Anna n’eut qu’à tendre légèrement le bras pour commencer à le caresser. Très rapidement sa main se déporta vers son sexe alors que lui partait à la découverte de sa poitrine. Il ne fut que quelques secondes avant que ce ne soit sa langue qui aille découvrir son sexe avant d’essayer de l’engloutir, alors que je continuait mes va-et-vients avec de plus en plus de vigueur. La scène était très belle, j’étais aux premières loges pour contempler cette fellation magnifique, et cette beauté eu raison de mon endurance, je ne pouvais me retenir de jouir en elle. elle ne lâchât pas pour autant cette bite de son emprise buccale et alors que je m’affairais a l’essuyer, je tendis à notre complice improvisé un préservatif. Il comprit le signal et pris ma place entre les cuisses de ma bien aimée, la pénétrant tout en douceur et prévenance. Il alternait pénétrations douce et lentes avec des moments plus fous et vigoureux, régulant ses allers-retours aux sensations que laissait paraitre Anna, Il jouait avec ses jambes afin de stimuler toutes les zones sensibles de l’écrin de ma femme. Elle jouissait profondément et peinait parfois à reprendre sa respiration entre chaque orgasme. Ayant surement épuisé toutes les variantes du missionnaires, c’est elle maintenant qui lui réclamait le graal pour elle : La levrette. Il semblait tout autant ravi qu’elle, alors que mon sexe ayant repris un semblant de vigueur se retrouvé happé par la bouche de ma femme. Quand il lui accordait un moment de répit, c’est elle qui imprimait le rythme, comme si elle ne voulait plus que ça s’arrête, Je les regardais, je l’entendais, elle suait et il prenais soin de souffler sur ses reins pour la rafraichir un peu ou lui procurer de nouvelles sensations. Elle n’en pouvait plus, ses jambes avaient du mal à la porter et elle pris le temps de faire une courte pause avant de le reprendre en bouche, pendant qu’il la caressait de nouveau. Il n’y avait plus la sensualité à laquelle elle m’avait habitué, c’était une pipe bestiale, telle une prédatrice qui voulait arriver a ses fins, submergée surement par le plaisir qu’elle avait emmagasiné pendant au moins une heure. Elle le fit craquer et aux portes du plaisir il se retira pour jouir sur ses seins.
On essayait tout trois de reprendre nos esprits, s’essuyer avant de partager une douche, lorsqu’il nous proposa de partager un verre ensemble.
Nous aimons habituellement nous ressourcer à deux après ces moment-là, mais lui n’était pas un fardeau, tout autant discret qu’attentionné, il se mettait au diapason de notre couple. On pris un verre bien mérité autour d’une table, histoire de faire les présentations et sa présence restait très agréable. Si agréable que je lui proposait de se joindre à nous dans le jacuzzi, histoire de se relaxer encore un peu.
Je pensais que ce moment de détente clôturerait une journée riche en émotion et en plaisir mais notre complice évoquait le massage des pieds à Anna, chose qu’elle ne pouvait refuser. Il était attentionné, elle était comblée. De par ses expériences il avait connu bien des massages et essayait de reproduire ce qu’il aimait. Visiblement il aimait ce que ma femme aime car elle se détendait, ivre de bien-être. Le massage peu à peu déviait en caresses, nous sentions son excitation reprendre son envol, et en sentant nos sexes dressés elle se rendit compte que c’était plus que réciproque. Elle se mit dos à lui, m’offrant son sexe que je stimulais de mes doigts, elle nous caressais, nous masturbais, et quand nous avons inversé les rôles, et qu’elle se mit face à lui, elle le tira à lui pour le reprendre en bouche. Sucer un autre homme dans le jacuzzi, à la vue de tous, c’est une vision que je ne pensais pas voir un jour. Voyant que la situation nous échappais à tous, on reprit un peu nos esprits et sommes sortis rejoindre notre bed.
Ne voulant pas nous envahir, il eut la discrétion de nous laisser le temps d’une bonne cigarette pour se recentrer sur nous, et est venu nous rejoindre un peu après pour continuer le massage qu’il avait attaqué dans le bain à remous. Je les laissais seuls, enfin, pas loin d’eux pour ne rien rater du spectacle et me régalais de les voir ensemble. Ses attentions étaient pour elle bien sur, mais il prenait soin de me regarder de temps en temps pour être certain que j’allais bien et que ce que je voyais me comblait. Il n’était pas la pour lui, ni que pour elle, il agissait pour nous et avait cerné nos envies. Je les rejoignis afin qu’elle n’est pas qu’un sexe a caresser mais qu’elle puisse jouer de ses deux mains. D’un regard vers moi elle me demandait si je voulais qu’elle me prenne en bouche et elle a compris que je voulais la voir à nouveau jouer de ses lèvres avec sa grosse bite. Cette fois, en plein jour, la vision serait encore plus excitante pour moi. La regardait faire ne me permettait plus de résister au plaisir de la pénétrer, encore une fois trop rapidement encore mais je ne peux lutter à ce flux d’excitation qui m’envahit dans de telles circonstances. Il pris de nouveau le relai, cette fois elle allongée sur le ventre pour de nouveaux et intenses orgasmes.
Tout trois épuisés par cette après midi, après une brève douche, nous sommes retournés dans le jacuzzi, complices. Tellement complices que nous ne pouvions nous empêcher à trois de repartir dans un jeu de caresses, de papouilles.
Il était déjà l’heure de partir, notre après-midi folle se terminait alors qu’on aurait voulu qu’elle ne s’arrête jamais . Mais nous savons maintenant ou le trouver, pour de nouvelles aventure….