- 18 nov. 2020, 17:07
#2478102
Je suis et je resterai toujours candauliste. Voir ma femme faire l’amour devant moi a été une des plus belles choses qu’il m’ait été donné de voir. J’ai pris un plaisir fou dans les parties à 3 et j’ai savouré les transgressions de Brigitte.
Mais j’ai dû me rendre à l’évidence, tous les couples ne sont pas faits pour le candaulisme. Et j’ai fait le constat amer que notre couple ne pourrait jamais s’épanouir dans ce mode de vie. En effet nos aspirations et nos désirs sont par trop différents pour que nous ne souffrions pas l’un ou l’autre de la situation. Alors certes nous aurions pu continuer ce jeu, mais en mettant en péril notre couple, notre bien être et le bonheur de nos enfants.
Pour moi le candaulisme c’est le paroxysme de la complicité, une manière d’amener du piment dans le couple… C’est bien d’autres choses encore : c’est prouver à ma femme à quel point elle est encore désirable, lui donner confiance en elle. C’est aussi la fierté de posséder cette femme fatale qui fait fondre les mecs (la fameuse triangulation du désir.) C’est dire merde à la société avec ses conventions judéo-chrétiennes tellement pesantes.
Je n’avais finalement que deux exigences dans cette « aventure » : une totale transparence et l’interdiction de tomber amoureuse.
Le problème c’est que le bonheur que prend Brigitte dans le candaulisme, elle le prend sans moi. Quand je pense complicité, elle pense « aventure parallèle ». Je prenais énormément de plaisir dans le candaulisme, même quand je n’étais pas présent car j’adorais avoir ses récits, j’adorais la voir revenir avec une capote remplie du sperme de son amant, j’adorais les rares photos et vidéos que je pouvais recevoir. Je la prenais dans mes bras, fier de cette complicité incroyable que nous pouvions partager. Alors bien sûr tout était plus fort quand j’étais présent mais elle me disait avoir besoin de ses rencontres en tête à tête. Puis un jour lors d’un jeu avec son amant Stef, j’ai découvert qu’elle m’avait caché beaucoup de choses : des pratiques qu’elle me refusait avait été faites avec Stef, des sentiments commençaient à poindre… Pourquoi l’amant m’en a parlé ? Cela reste encore un mystère aujourd’hui.
Je souhaitais des explications, elle ne voulait pas m’en donner. Le dialogue était devenu impossible, d’où des tensions et des disputes. Finalement le confinement et les aléas de la vie ont fait que nous nous sommes retrouvés mais l’évocation du passé reste un sujet sensible. Nous avons d’un commun accord décidé d’une pause candauliste. Personnellement j’étais prêt à reprendre nos expériences (Brigitte s’interrogeait) avant que le deuxième confinement ne soit décrété. Les expériences de @Curieuxcandau m’avait fait comprendre que je devais lâcher prise, que je devais permettre à Brigitte de passer du temps seul à seul avec ses amants.
Deux choses m’ont fait changer d’avis : des témoignages de couples dont la complicité s’efface alors que l’épouse mène des aventures sentimentales de plus en plus profondes et personnelles, et une discussion sur une rencontre prochaine avec un amant. Il s’agit d’un des rares amis qui connaît notre expérience candauliste. Il est célibataire et était partant pour un plan à 3. Seulement Brigitte veut d’abord le rencontrer en tête à tête avant qu’éventuellement nous décidions de plans à 3. J’ai enfin compris quel était mon malaise. Moi je ne prends plus aucun plaisir dans les rencontres quand je ne suis pas présent et elle ne peut s’épanouir que loin de mon regard. Finalement notre candaulisme ne consisterait qu’en concessions sans que le plaisir ne soit véritablement partagé, sans cette complicité tellement essentielle dans ce type de rencontre.
Mais j’ai dû me rendre à l’évidence, tous les couples ne sont pas faits pour le candaulisme. Et j’ai fait le constat amer que notre couple ne pourrait jamais s’épanouir dans ce mode de vie. En effet nos aspirations et nos désirs sont par trop différents pour que nous ne souffrions pas l’un ou l’autre de la situation. Alors certes nous aurions pu continuer ce jeu, mais en mettant en péril notre couple, notre bien être et le bonheur de nos enfants.
Pour moi le candaulisme c’est le paroxysme de la complicité, une manière d’amener du piment dans le couple… C’est bien d’autres choses encore : c’est prouver à ma femme à quel point elle est encore désirable, lui donner confiance en elle. C’est aussi la fierté de posséder cette femme fatale qui fait fondre les mecs (la fameuse triangulation du désir.) C’est dire merde à la société avec ses conventions judéo-chrétiennes tellement pesantes.
Je n’avais finalement que deux exigences dans cette « aventure » : une totale transparence et l’interdiction de tomber amoureuse.
Le problème c’est que le bonheur que prend Brigitte dans le candaulisme, elle le prend sans moi. Quand je pense complicité, elle pense « aventure parallèle ». Je prenais énormément de plaisir dans le candaulisme, même quand je n’étais pas présent car j’adorais avoir ses récits, j’adorais la voir revenir avec une capote remplie du sperme de son amant, j’adorais les rares photos et vidéos que je pouvais recevoir. Je la prenais dans mes bras, fier de cette complicité incroyable que nous pouvions partager. Alors bien sûr tout était plus fort quand j’étais présent mais elle me disait avoir besoin de ses rencontres en tête à tête. Puis un jour lors d’un jeu avec son amant Stef, j’ai découvert qu’elle m’avait caché beaucoup de choses : des pratiques qu’elle me refusait avait été faites avec Stef, des sentiments commençaient à poindre… Pourquoi l’amant m’en a parlé ? Cela reste encore un mystère aujourd’hui.
Je souhaitais des explications, elle ne voulait pas m’en donner. Le dialogue était devenu impossible, d’où des tensions et des disputes. Finalement le confinement et les aléas de la vie ont fait que nous nous sommes retrouvés mais l’évocation du passé reste un sujet sensible. Nous avons d’un commun accord décidé d’une pause candauliste. Personnellement j’étais prêt à reprendre nos expériences (Brigitte s’interrogeait) avant que le deuxième confinement ne soit décrété. Les expériences de @Curieuxcandau m’avait fait comprendre que je devais lâcher prise, que je devais permettre à Brigitte de passer du temps seul à seul avec ses amants.
Deux choses m’ont fait changer d’avis : des témoignages de couples dont la complicité s’efface alors que l’épouse mène des aventures sentimentales de plus en plus profondes et personnelles, et une discussion sur une rencontre prochaine avec un amant. Il s’agit d’un des rares amis qui connaît notre expérience candauliste. Il est célibataire et était partant pour un plan à 3. Seulement Brigitte veut d’abord le rencontrer en tête à tête avant qu’éventuellement nous décidions de plans à 3. J’ai enfin compris quel était mon malaise. Moi je ne prends plus aucun plaisir dans les rencontres quand je ne suis pas présent et elle ne peut s’épanouir que loin de mon regard. Finalement notre candaulisme ne consisterait qu’en concessions sans que le plaisir ne soit véritablement partagé, sans cette complicité tellement essentielle dans ce type de rencontre.