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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par alfred2048
#2478439
Je vais publier ce récit, c'est une fiction, en espérant qu'elle saura intéresser des lecteurs. Bonne lecture !

Chapitre 1

Regarde, là-bas, c’est celui-là ! Il est magnifique. »

Nous remontions le Strip, le célèbre boulevard de Las Vegas, lorsque L, ma femme, aperçut enfin l’hôtel que nous avions réservé.
Depuis deux semaines, nous écumions en amoureux les routes de l’Ouest Américain, à la découverte des parcs nationaux. Nuits sous la tente et grandes randonnées, nous étions venus pour souffrir. Mais nous n’avions pas résisté au passage obligé dans la ville du vice et nous nous étions concoctés une étape luxueuse, parenthèse enchantée dans nos vacances à la dure. Hôtel grandiloquent, chambre avec vue, et bien sûr, piscine gigantesque. Il y avait même une plage de sable artificielle au pied des machines à sous. Un seul mot d’ordre : en profiter !

Le voiturier récupéra les clés de notre berline de location. Il jeta au passage un regard condescendant au désordre qui régnait à l’intérieur de notre voiture. Peu importe, c’est enthousiastes et impatients que nous nous engouffrâmes dans l’hôtel... Pour découvrir une file d'attente monstrueuse. Au moins trente minutes de queue avant le check-in ! L prit les choses en main :

« OK, toi, tu restes avec les bagages. Tu as conduit donc tu peux te reposer un peu. Moi, je m'occupe de l'enregistrement. »

Chargé comme un mulet mais pas mécontent de mon sort, je m’installai dans un fauteuil confortable. Enfin je pouvais souffler un peu. Je gardais tout de même un œil sur L. Elle était très sexy dans sa tenue de voyageuse. Son petit débardeur et son short ne cachaient rien de ses formes généreuses. Nous étions ensemble depuis sept ans, mariés depuis quatre, et je ne me lassais pas de la regarder. Elle disparu dans la foule, cachée par des Américains rebondis puis par un groupe de touristes Asiatiques ébahis par l'outrance du lobby. Je me laissai aller et m’enfonçai un peu plus profondément dans mon fauteuil.

Un peu plus tard, j’aperçus à nouveau L au loin, s’approchant de la réception. Mais elle n’était plus seule ! Elle était en grande conversation avec deux hommes. Grands et musclés, le teint hâlé, le regard franc et le sourire facile, ils me faisaient penser à ces étudiants américains des séries à succès. Ils semblaient bien s’entendre, et L riait aux éclats à chacune de leurs blagues. Quant à eux, ils étaient sous le charme de ma délicieuse femme et ne rataient pas une occasion de jeter un regard discret et coupable dans son décolleté. Cela ne semblait pas la déranger, et je m’amusai de la voir si séductrice. Et lorsque la réception se libéra enfin, elle salua les deux hommes d’un petit geste mutin et s'éloigna. Ils ne perdirent évidemment rien du spectacle et suivirent des yeux son cul qui se trémoussait, peut-être un peu exagérément d'ailleurs.

« Nous avons une suite au vingt-cinquième étage, me dit-elle fièrement en brandissant la clé devant mon nez. Allez, on se dépêche, j'ai très envie de me jeter dans la piscine. »

Attrapant tous les sacs, nous nous dirigeâmes vers les ascenseurs. Alors qu’on s'élevait dans les étages, je ne pus m'empêcher de la questionner à l'oreille :

« Tu as rencontré de nouveaux amis ?
Des nouveaux amis ? Ah oui ! Dans la file d'attente. Ils s’appellent Chad et Mike, ils sont en week-end ici. Mais dis-moi, tu ne serais pas un peu jaloux ? Me demanda-t-elle, mi-figue mi-raisin.
Mais non, c'est juste qu'ils avaient l'air sympas, c'est tout.
- Bien sûr, acquiesça-t-elle sans y croire. En tout cas oui, ils étaient très sympas. Allez viens ! »

La serrure de la chambre se débloqua, et nous découvrîmes notre suite. Immense, la partie salon donnait sur le Strip. La vue sur la ville était époustouflante. De l'autre côté, la pièce s'ouvrait sur le lit, un king size bien sûr, si grand que quatre personnes auraient facilement pu y dormir ! C'était vraiment luxueux, ostentatoire même, mais après tout, nous étions à Las Vegas. L entra dans la salle de bain et commença à se déshabiller. Short, débardeur, soutien-gorge, culotte, ses habits volèrent à travers la pièce. Comme d'habitude, je ne me privais pas de la regarder avidement. J’aimais ses jambes si féminines, son cul généreux, sa cambrure et ses seins pleins et lourds. Son corps épanoui était une invitation au plaisir. Je ressentis un début d’excitation tandis qu'elle traversait le salon complètement nue et s'accroupissait pour prendre son maillot de bain dans sa valise.

« Arrête de me regarder comme ça, me lança-t-elle, moqueuse. Je te préviens, je ne t'attends pas, alors mets ton maillot, et vite ! »
- Oui, oui, je me dépêche.
- Mince, on a oublié les serviettes dans la voiture s'exclama L.
- Pas grave, on y va en maillot, ils auront bien des serviettes en bas. »

L’après-midi fut délicieuse. La piscine était à la hauteur de sa réputation. Nous avons profité des douceurs de cette eau chauffée par le soleil sans pitié du Nevada, ne rejoignant l'ombre que pour rallier le bar et ses cocktails sucrés. Et quand le crépuscule nous a surpris, c'est avec regret que nous avons quitté notre oasis. Seulement vêtus de nos maillots, puisqu'il avait bien fallu rendre nos serviettes à l’hôtel, nous attendions l'ascenseur, encore tout étourdis par le soleil.

« Hello you ! »

Les deux Américains du check-in se tenaient derrière nous. Plus à l’aise en anglais que moi, ma femme esquissa un sourire et me présenta. Les portes de l'ascenseur s’ouvrirent alors que la conversation s’engageait. Chad et Mike remontaient de la piscine et, curieux hasard, étaient au même étage que nous. Ils étaient originaires de Phoenix en Arizona, étudiants à Berkeley en Californie (je ne m’étais pas trompé) et ils venaient passer un week-end à Las Vegas.
Alors que nous montions, je remarquai les regards des deux étudiants qui s'échappaient furtivement dans les miroirs pour détailler le corps de ma femme, bien peu couvert par son maillot de bain, un bikini plutôt sexy. L, imperturbable, continuait à discuter. Quant à moi, le fait de voir ma femme presque nue devant ces hommes, dans cet espace exigu, commençait à sérieusement m'échauffer les sens. C'est avec soulagement que je vis les portes s'ouvrirent enfin. Dans le couloir, ils nous parlèrent d’une soirée qui promettait beaucoup dans un des bars branchés de la ville. Si nous voulions découvrir Las Vegas la nuit, c'était selon eux l'endroit idéal. C’était une proposition très tentante, alors pourquoi pas ? Sur la promesse que si nous venions, nous essayerions de les retrouver, nous nous séparâmes. Et alors que j’ouvrais la porte de notre suite, nous découvrîmes qu'ils avaient la chambre à côté. Décidément, ils nous poursuivaient !

« Ils sont sympas non ? Et la soirée a l’air super non ? En plus, traîner avec des étudiants, ça nous rajeunit s’exclama L une fois dans la chambre.
On n’est pas si vieux quand même, grommelais-je.
Non, mais on est des trentenaires actifs maintenant. Allez, arrête de bouder, et lâche-toi mon vieux répondit-elle en riant.
Ok, on visite un peu la ville et on voit si on a envie d'y aller.
- D’accord, s’exclama L, enthousiaste. Je vais prendre ma douche, je t’attends, ajouta-t-elle avec un sourire coquin. »

Face à la fenêtre, je profitais des dernières lueurs de soleil sur la ville. Les lumières tape-à-l'oeil commençaient à s'allumer. C'est à la nuit tombante que Las Vegas se réveille. Je repensais à une conversation que nous avions eu L et moi quelque temps auparavant. Un soir sous la couette, nous avions parlé de nos fantasmes. Notre complicité ne s'embarrasse pas de gêne ou de petits secrets et ce soir-là, elle m'avait avoué des pensées coquines assez osées. Elle s'imaginait parfois au lit avec moi et un autre homme, peut-être même deux. Le sexe à plusieurs la tentait depuis longtemps, et avec moi elle se sentait suffisamment en confiance pour envisager de passer à l'acte. Ces paroles m'avaient fait un effet monstre. Elles avaient fait naitre en moi un désir, et je me surprenais souvent à l'imaginer se donnant à un autre homme devant moi.

Très excité, je décidai de la rejoindre sous la douche. Sous l’eau réconfortante, je serrais ma femme dans mes bras, profitant de ce moment d'intimité. Je promenais tendrement mes mains sur son dos, ses fesses, son ventre. Nous étions complices et apaisés. Sans réfléchir, je brisais le silence entre nous deux.

« Tu te souviens de notre conversation ?
- Quelle conversation ?
- Tu sais, une nuit, dans le lit, à propos de nos fantasmes. »

Relevant la tête, elle plongea ses yeux noirs dans mon regard.

« Oui, je m’en souviens, mais dis-moi, pourquoi m'en parler maintenant ?
Oh, heu, je ne sais pas trop balbutiai-je, pris à mon propre piège.
Menteur ! »

En me souriant elle glissa sa main sur mon sexe.

« J'ai bien vu ce soir-là que mon fantasme n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Moi aussi j’y ai repensé. Tu sais, j'étais sérieuse. C'est quelque chose qui ne me fait pas peur avec toi à mes côtés.
- Tu y as repensé toi aussi ? »

J'étais complètement déstabilisé. Et dire que c'était moi qui avait initié cette conversation ! Elle commença à me masturber avec douceur.

« Il y a une phrase célèbre non ? Ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas, c’est ça ? »

Ses caresses anesthésiaient mon esprit. Comment ça, reste à Las Vegas ? Je ne savais plus où j'en étais, mais je bandais comme jamais. Mutine, elle ajouta :

« Moi aussi, je me suis dit qu'il y avait là une occasion. Nos vacances, cette ville, cette rencontre avec Chad et Mike... »

Je ne disais plus rien, complètement tétanisé. L s'agenouilla devant moi et déposa quelques baisers sur mon sexe dressé avant de reprendre.

« Mais je ne sais pas. C'est un fantasme. La réalisation, c'est autre chose. Parfois je n’ai pas peur, et la seconde d'après, je trouve ça si effrayant ! Tellement excitant aussi. Parle moi sincèrement, tu aimerais me voir faire l’amour avec eux ? »

Sa phrase à peine terminée, elle prit mon sexe entre ses lèvres. Sans me quitter des yeux, elle me suça avec lenteur et gourmandise. Je perdis pied et bafouillai ma réponse.

« Oui, je pense... je crois… je crois que j'aimerais...
- Alors, ce soir, ne nous interdisons rien, laissons les choses se faire... »

Elle me repris dans sa bouche et continua de plus belle sa fellation. Je me laissai aller, la regardant engloutir mon sexe. Dans ses yeux, je compris qu'elle voulait me faire jouir. Ce fut rapide. Dans un râle, j'éjaculai dans sa bouche. Alors qu'elle avalait, une lueur inconnue brillait dans son regard. J’eus l’impression que cette nuit, rien ne l'arrêterai.
par alfred2048
#2478766
Suite de l'éveil au candaulisme, bonne lecture, n'hésitez pas à me faire des retours

Chapitre 2

Après cette douche coquine, j'étais descendu au bar de l'hôtel, laissant L se préparer tranquillement. Je pensais aussi qu’un verre m’aiderait à reprendre mes esprits.
Je savourais ma bière lorsque son arrivée me laissa bouche bée. Après ces deux semaines de randonnées et de campements sommaires, je la redécouvrais. Pas de grosses chaussures confortables mais des petites spartiates qui soulignaient la féminité de ses jambes. Sa robe noire accompagnait ses formes fabuleuses et semblait étudiée pour révéler la puissance érotique de ses seins. Sa chevelure brune et bouclée tombait en cascade sur ses épaules, et l'on devinait la paire de boucle d'oreille que je lui avais offerte quelques semaines plus tôt.

« L, tu es incroyable, wahou... »

Ma femme éclata de rire devant mon air ahuri.

« Tu n’es pas mal non plus ! Je suis ravie de voir que je te plais toujours. Allez, maintenant, à nous Las Vegas. »

Nous partîmes à la découverte de la ville. Comme tous les amoureux dans les rues de Las Vegas, nous avons cédé au rituel du selfie devant les fontaines du Bellagio. Nous avons aussi perdu un peu d'argent dans les machines à sous de l'un des casinos, je ne sais plus lequel, ils finissent par tous se ressembler. Nous avons déambulé dans un Paris en plus petit et contourné une pyramide sans pharaon. Enfin, l’heure du dîner est venue.

Tandis que je servais un verre de vin à L, nous comparions nos impressions sur la ville. Il y a tant à dire sur ce champignon absurde et lumineux planté au milieu du désert. Nous étions profondément complices et détendus. Nous étions plongés dans un environnement si différent de notre quotidien qu’il me semblait que nous évoluions dans une bulle, affranchis de la réalité. Toute cette nouveauté agissait sur nos corps et nos esprits comme un puissant relaxant. Le repas fut délicieux et nous en étions au dessert lorsque la conversation s'orienta d'elle même sur la suite du programme. Je me lançai le premier.

« Tu veux aller dans le bar que les américains nous ont conseillé ?
Oui, me répondit L, j'ai envie de continuer la soirée. Boire quelques verres, danser un peu aussi. Après tout, on ne connaît pas les bars de Las Vegas et à les écouter, c'est le meilleur endroit. 
Et à propos de ce dont on a parlé tout à l’heure ?
Je n’ai pas envie d’y réfléchir. On laisse les choses se faire, d’accord mon amour ? »

J’acquiesçai et filai régler l’addition, tout en me disant que L faisait un peu plus que laisser les choses se faire.

Chad et Mike ne nous avaient pas menti, l’établissement était extraordinaire. Le mauvais goût qui caractérise parfois certains lieux de la ville était resté à l’entrée. Les gens étaient au diapason, tous plus élégants les uns que les autres. L, si sexy dans sa robe noire, attirait les regards. Je commandai deux cocktails au bar et nous déambulâmes dans l’immensité du club. Lisa les aperçut en premier. Chad et Mike étaient attablés un peu plus loin, en grande conversation. Ma femme se tourna vers moi, m’adressa un petit sourire, et se dirigea d’un pas décidé vers les étudiants. Elle les interpella dans un anglais parfait.
« Bonsoir, vous voyez, on est venu ! C’est un super endroit, vous aviez raison.»

Chad et Mike semblèrent ravis de nous revoir. Ils nous invitèrent immédiatement à leur table et commandèrent à boire pour tout le monde. Nous étions bien reçus et ils savaient nous mettre à l’aise. Ils nous parlaient de leur pays, s’intéressaient à notre voyage, nous demandaient des détails sur la France et l’Europe et s’étonnaient de nos différences culturelles. La première tournée disparut très vite, et nous recommandâmes une bouteille de vin. Je me sentais détendu, en proie à une douce ivresse. Je lâchais un peu la conversation, fatigué de devoir me concentrer pour comprendre leur accent américain. Je repensais à la discussion avec L et aux enjeux de la soirée. Je me demandais si ma femme y pensait encore. Elle était absolument ravissante. Ravissante et terriblement sexy. Elle riait ostensiblement à leurs blagues et passait la main dans ses cheveux fréquemment. Elle croisait et décroisait ses jambes. Je la surpris même en train de remonter nonchalamment sa robe sur ses cuisses nues. Ma femme cherchait à plaire, et elle y arrivait très bien.

Chad n’y résista d’ailleurs pas et invita L à danser. Ma femme me jeta un regard à la fois complice et interrogateur. Je laissai faire et L s’empressa d’accepter. Je restai avec Mike à notre table, regardant ma femme et son cavalier s'éloigner sur la piste jusqu'à disparaître. J’essayais tant bien que mal d’écouter ce que me racontait le jeune étudiant, mais je n’arrivais pas me concentrer. Je cherchais désespérément le couple de danseurs du regard. Enfin, je les aperçus. Chad avait enlacé L et ils semblaient en grande conversation. Que pouvaient-ils bien se dire ? Les chansons s’enchaînèrent sans qu’ils reviennent à notre table. Enfin, au bout d’un temps qui me parut interminable, ils se séparèrent. Un curieux sourire barrait le visage de Chad et L semblait plutôt contente d’elle. Tandis que l’américain reprenait sa place, ma femme me fit signe de la suivre. Je m’exécutai et elle m’entraîna danser. Alors que nous nous enlacions, elle me chuchota à l'oreille :

« Mon amour, j’ai peut-être un peu provoqué le destin. »

Je manquai de m'étrangler.

« Tu as fait un peu plus que laisser les choses se faire ! Tu en meurs d’envie en fait c’est ça ? Mais enfin, tu lui as dit quoi ? lui demandais-je, confus.
- La vérité mon amour. Je lui ai dit que nous avions un fantasme tous les deux, et que l’occasion était belle de le réaliser. On est à Las Vegas après tout. » 

L me souriait, apparemment ravie de la tournure que prenait la soirée. Je n’en revenais pas. Je ne la pensais pas capable de prendre les choses en main et de provoquer le destin à ce point-là. Je n’avais pas réalisé à quel point ce fantasme était important pour elle. Je me sentais dépassé par les évènements, et en même temps très curieux de voir jusqu’où cela pouvait nous mener.

« Et Chad, il t’a répondu quoi ?
- Il est partant bien sûr. Tu ne doutes quand même pas du sex-appeal de ta femme ? ajouta-t-elle, taquine. Il doit en ce moment même en parler à Mike. On y est, si on le désire, on s’offre une folie. On est prêt pour ça, je le sais. On en a envie tous les deux. Mais si tu as la plus petite objection, on disparaît maintenant, sans regret.»
Mon esprit s’emballa. Bien sûr, c'était un de mes fantasmes, mais se retrouver sur le point de le réaliser, c'est quand même une autre histoire. Cela me parut complètement irréel, impossible. Je regardai ma femme, ma complice, mon amour, et je mesurai l’envie qui la tiraillait.

« D'accord, essayons, mais si ça ne va pas, à n’importe quel moment, on arrête.
- Bien sûr, pareil pour moi, me répondit-elle, sûre d’elle.
- Ok, tu vas les voir ? Ils n’ont qu’à nous rejoindre dans notre chambre. »
L, sublime, fendit la foule et se dirigea vers les deux américains. Elle leur glissa quelques mots et en un clin d'oeil, nous fûmes dehors. Nous rejoignîmes l’hôtel, nerveux et silencieux.
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par alfred2048
#2479001
Suite de l'histoire, où L va enfin avoir ce qu'elle veut, sous les yeux comblés de son mari.

Chapitre 3

Dans notre suite, l'atmosphère était lourde et tendue. J'étais complètement tétanisé, et j’avais l’impression que l’assurance de L s’était évaporée. Je la regardais s'improviser maladroitement maîtresse de maison, proposant à nos invités les boissons de notre minibar et assurant le service. Elle était absolument magnifique. Ses hésitations la rendaient encore plus désirable. Quand elle se penchait, Chad et Mike ne pouvaient s’empêcher de plonger leur regard dans le décolleté généreux. Et quand elle se retournait, elle devait sentir leur désir s’appesantir sur ce cul provocant.

La conversation était loin d’être aussi débridée que dans le club. Mike et Chad ne semblaient pas plus que moi savoir comment les choses allaient évoluer, ou plutôt comment les faire évoluer ! Après quelques minutes où chacun fit preuve d’une timidité touchante, ce fut L qui prit les choses en main. Elle posa son verre et se rapprocha de moi. Elle déposa un baiser furtif sur mes lèvres et chuchota à mon oreille :

« On y va mon amour ? Embrasse-moi. »

Electrisé par ses paroles, je l'attrapai par la taille, l’assis sur mes genoux, et commençai à l'embrasser. Nos langues se mélangeaient, se caressaient, mais je n'oubliais pas la présence de ces deux intrus. L'idée qu'ils nous regardaient, qu'ils la regardaient, m'excitait, et il me semblait que L n'y était pas indifférente non plus. Elle se tortillait entre mes bras, laissant échapper quelques gémissements. Je laissai glisser mes mains dans son dos et lui empoignai les fesses fermement. Elle m'embrassa de plus belle en se cambrant. Elle offrait son cul aux regards de nos complices. Lentement, j'entrepris de relever sa robe, dévoilant les fesses de ma femme. L stoppa alors son baiser. Je la regardai, presque inquiet. Mais elle me fit un sourire et se recula. En me regardant dans les yeux elle remonta sa robe par-dessus sa tête et la jeta sur le lit. Elle enleva dans la foulée son soutien-gorge. En plus de ses sandales, son unique vêtement était maintenant un petit string noir qui soulignait la rondeur de ses fesses. Son corps sensuel s'offrait à nous.

L jeta un regard derrière elle, réalisant qu'elle était presque nue devant deux inconnus. Chad et Mike n'en perdaient pas une miette. J'en profitai pour me glisser derrière elle, lui calant mon érection entre les fesses. La tenant fermement, je laissai courir mes lèvres sur son cou. Je caressai ses seins, pinçant ses tétons entre mes doigts. Je savais qu'elle adorait ça. Ma femme se libérait à chaque seconde et ne lâchait pas des yeux les deux voyeurs, se donnant à mes caresses pour mieux les provoquer. Docilement, ils ne bougeaient pas. Comme moi, ils avaient compris qu’il fallait laisser à L l’initiative. Je glissai une main dans son string et effleurai son sexe déjà très humide. Elle gémit de plus belle et écarta légèrement les jambes. Elle me laissa la caresser quelques instant, puis bloqua mes mains et se libéra de mon étreinte.

« Reste-là mon amour. »

Lentement, elle traversa la pièce. Le monde basculait. Une monstrueuse boule au ventre, je la regardais s'approcher des deux hommes. Nue, si ce n'est son minuscule string noir, elle paraissait si fragile. Je faillis hurler, STOP, arrêtez, mais mon cri ne franchit jamais mes lèvres. J'étais hypnotisé. Elle se glissa entre les deux étudiants qui s'étaient levés. Ils n'avaient pas quitté leurs vêtements, et cela accentuait la nudité de L.
Ma femme, coincée entre les deux hommes, me regarda et accepta leurs mains sur son corps. 
Je n'esquissai pas le moindre mouvement, j’étais sonné. Les deux américains découvraient avec voracité le corps de ma femme. Ils la recouvraient de caresses et de baisers. Chad avait empoigné ses seins et suçait les tétons dressés. Mike promenait ses mains sur le dos et les fesses de L. S'agenouillant derrière elle, il embrassa ses cuisses et remonta jusqu'à son cul. Il entreprit de baisser son string. Lentement, il le fit descendre le long de ses jambes. Elle souleva un pied après l'autre, et le dernier rempart était tombé. Loin de la troubler, cela ne fit que la libérer davantage. Le plaisir la submergeait tandis que des mains l'attaquaient de toute part et se glissaient entre ses cuisses, entre ses fesses, dans son sexe peut-être.

En moi bouillonnait un maelström de sentiment plus puissant que ce que j’avais jamais ressenti jusqu’ici. La jalousie et la révolte me vrillaient le coeur. Qui supporterait de voir sa femme nue se donner à deux inconnus ? Mais dans le même temps, j’étais dans un état d’excitation absolument indescriptible. Je ressentais pour ma femme un amour encore plus puissant, encore plus viscéral qu’avant. J’étais fier que la créature divine qui rendait fou ces deux étudiants soit ma compagne, ma complice.

L savoura ce traitement quelques minutes, avant de s’échapper soudain et de se réfugier auprès de moi. Je l'interrogeai du regard. Avec un grand sourire, elle détacha ma ceinture. J’ôtai fiévreusement mon pantalon et ma chemise. L, déjà à genoux, libéra enfin mon sexe et sans autre cérémonie m'aspira entre ses lèvres et commença une délicieuse fellation. Elle me suçait avec une énergie que je ne lui connaissais pas. Le plaisir qu'elle me procura était incroyable, plaisir décuplé par le fait d’exhiber ma femme en train de sucer éhontément. Je sentis la jouissance monter en moi. L'attrapant par les cheveux, je la forçai à ralentir. Elle se redressa et me regarda en souriant.

« J'ai l'impression que la situation te plait ! Tu aimes que je te suce devant des inconnus ?
- Oh oui, j’aime ça, mais fait attention, je vais jouir si tu continues.
- Tu as raison, je vais faire attention, me dit-elle, espiègle. En fait, je pense même que c’est à ton tour de regarder. »

Estomaqué, je la regardai rejoindre ses deux amants à quatre pattes. Je m'assis sur le lit, le sexe dressé mais impuissant.

Avec son cul en l'air, elle était incroyablement provocante. Nos deux complices n'en croyaient pas leurs yeux. Elle se redressa, son visage à hauteur de leur entrejambe. Le message était clair. Fébrilement, ils sortirent leur sexe, révélant leur excitation. L, le cul sur les talons, posa une main sur chaque bite et commença à les branler en douceur. Tournant la tête vers moi, elle me lança un regard, c’était ma dernière chance d’interrompre cette folie. Mais je l'encourageai à continuer. Je me sentais étonnamment serein, il était trop tard maintenant. Une indescriptible excitation irradiait tous mes membres. L était magnifique. Ses courbes pleines et si féminines, son attitude, si libérée, si désirable, si salope, me rendaient fou.  

L approcha ses lèvres de la bite de Mike. Elle le prit dans sa bouche et commença à le sucer timidement. De son autre main, elle continuait sa masturbation. Puis elle embrassa le sexe de Chad, et l'englouti. Elle continua, s’enhardissant à chaque seconde. Un peu de salive lui coulait sur le menton. La fellation se fit plus bruyante. Je sentais que ma présence la poussait à se lâcher complètement et à vivre son fantasme sans retenue. Elle aimait s’afficher ainsi pour moi. Et j’aimais la regarder. J’ai toujours eu un côté voyeur, j'étais servi ! Voir L, ma L, aussi obscène et dépravée, me fascinait. Cette femme à genoux suçant deux bites, c'était ma femme !

Les deux étudiants se lâchaient également. D'abord sur la réserve, ils commençaient à s'échauffer. Mike tenait L par les cheveux, accompagnant, provoquant même, les mouvements de ma femme sur son sexe. Brad, quand venait son tour, n'hésitait pas à tapoter le visage de sa suceuse avec sa bite imposante. Loin de refréner les ardeurs de L, ce petit geste humiliant semblait la rendre folle. Elle reprenait de plus belle sa fellation, enfonçant toujours plus loin le sexe dans sa bouche. N'y tenant plus, je m'approchai.

« Lisa, viens, allons sur le lit. »

Vulgairement, on pourrait dire que c'est la bouche pleine qu'elle acquiesça. Je l'aidai à se relever et l'accompagnai jusqu'au lit.

« Mets toi à quatre pattes. »
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par alfred2048
#2479790
La suite de cette folle soirée, où L va se donner à ses amants.


Chapitre 4


Alors que ses deux amants finissaient de se déshabiller, je me glissai derrière elle. J'enlevai ses sandales, et je déposai de légers baisers sur ses fesses, me rapprochant inexorablement de sa chatte luisante. L avait repris sa ou plutôt ses fellations. J'effleurai ses lèvres gonflées avec ma langue, et remontai délicatement sa fente, jusqu'à venir titiller son anus. Je savais que cette caresse la rendait folle. L étouffait maintenant ses gémissements sur l'une ou l'autre bite. Lorsque je la sentis proche de la jouissance, je marquai une pause et me redressai. Frustrée, elle écarta encore plus les jambes et accentua sa cambrure. Elle appelait les caresses, ondulant du cul sans lâcher la bite qu'elle suçait. Elle était déchaînée. Je la regardai, offerte, provocante, et je me décidai. Elle aimait les fessées, pourquoi se retenir aujourd’hui ? Je lui attrapai les cheveux d'une main et lui claquait une fesse de l'autre. Elle gémit alors, de surprise peut-être, de plaisir ensuite. Libérant sa bouche un instant, elle murmura un « plus fort » équivoque, avant de se jeter goulûment sur la bite de Chad.
La tenant fermement, je commençai ma délicieuse punition. Ma main claquait sur ses fesses rebondies. Elle me tendait son cul rond, réclamant la fessée suivante. Elle laissait un râle lui échapper chaque fois que ma main rougissait son cul. Mais loin de se déconcentrer, elle s'appliquait avec dévotion à donner du plaisir à ses deux amants, s'occupant de leurs queues et de leurs couilles, qu'elle suçait et léchait généreusement. Sentant L au bord du gouffre, je stoppai mes fessées et recommençai à agacer son clitoris avec ma langue. Quelques secondes plus tard, elle s'effondra dans un orgasme violent.

A bout de souffle, décoiffée, le visage écarlate, le cul rougi, elle était incroyablement belle à mes yeux. La voir céder à des pulsions dont elle-même ignorait à mon avis l'existence me faisait la regarder sous un jour nouveau. C'était une femme entière, libre, sans peur, et elle m'excitait comme jamais. Je ne ressentais pas de jalousie, seulement du désir.

Je la retournai sur le dos et l'embrassai. Les yeux dans le vague, mais un sourire lumineux sur le visage, elle me rendit mon baiser. En douceur, sans séparer nos lèvres, je la pénétrai. Je devinais la présence des deux américains, mais ils eurent l'intelligence de nous laisser ce moment. L serra ses jambes autour de moi, accompagnant mon mouvement que je voulais le plus tendre possible. Je m'enfonçais profondément en elle, attentif à ses soupirs. Pendant ce moment, il n'y eu que nous deux. Nous rétablissions notre complicité avec tendresse. Nous fîmes l’amour ainsi de longues minutes. Dehors, les lumières de Las Vegas n'étaient que de vagues halos indéchiffrables. La chambre luxueuse était devenue un décor, un écrin pour le corps nu et offert de ma femme. Sentant le moment arrivé, je me retirai et quittai le lit sans brusquerie. L me fixa, à nouveau hésitante. Je lui souris, elle tourna ses yeux vers Chad et Mike, qui s'approchaient au bord du lit. Elle les attira contre elle, ils s'allongèrent à ses côtés. De nouveaux, quatre mains prirent possession de son corps, glissant sur ses cuisses, se posant sur son ventre, son sexe, ses seins. Elle embrassait l'un puis l'autre. Elle les branlait doucement. L se tourna sur le côté, toujours entre les deux hommes. Elle guida le sexe de Mike en elle, et se laissa pénétrer. Le moment était arrivé, un autre homme prenait ma femme. L gémissait de plaisir, encourageant Mike à accélérer. En face d'elle, Chad se redressa. A genoux devant elle, il lui présenta son sexe, qu'elle accepta sans hésitation. Je lui caressais les pieds pour lui montrer que j’étais là, que je l’aimais. Mike la prenait de plus en plus fort. Le plaisir de L la submergeait. Soudain, sans ménagement, Mike l'attrapa par les hanches et la força à se relever. Se redressant derrière elle, il ne lui laissa aucun répit et la prit en levrette. La douceur des premiers instants s'était envolée. Il possédait ma femme avec violence. Les râles de plaisir de L étaient étouffés par la bite de Chad. La situation était animale. Les coups de boutoir de l’un projetaient L sur le sexe de l’autre. En appui sur les avants-bras, elle ne pouvait rien faire pour s'échapper, mais ne donnait pas du tout l'impression d'en avoir envie. Sa cambrure obscène faisait ressortir son cul diabolique. Mike n'y résista pas et à son tour distribua quelques claques sonores sur les fesses de L.

Quand ils décidèrent d'inverser les rôles, elle n'esquissa pas le moindre mouvement, reprenant avec peine sa respiration. Le manège recommença. Prise par les deux côtés, elle semblait avoir oublié mon existence, oublié le monde réel. Elle était toute entière tournée vers son plaisir, vers ces sensations qui la terrassaient. Son orgasme fut brutal et profond, à la mesure de ce rapport sauvage. Mike se retira et, s'asseyant sur le bord du lit, caressa affectueusement le corps éprouvé de L. Allongée sur le dos, elle me fit signe d’approcher.

« C’est tellement bon mon amour, si tu savais. Viens ici. »

Alors que Chad lui léchait la chatte, elle prit mon sexe dans sa bouche et commença à me sucer. J'étais trop excité, depuis trop longtemps, et je ne parvins pas à me retenir. J'essayai de m'éloigner mais L me retint, et je jouis sur son visage, la couvrant de sperme. Je n'en croyais pas mes yeux. Me souriant, elle n'essaya même pas de se nettoyer. Je m'effondrai sur le fauteuil, me sachant condamner dans les prochaines minutes à n'être que le spectateur de la débauche de ma femme. Chad, le visage enfoui entre les jambes de L, réveillait son désir, un peu émoussé peut-être par ses deux orgasmes. Comme moi un peu plus tôt, il n'hésitait pas à glisser jusqu'à son anus. Soudain, L fut empoignée et accompagnée jusqu'à l'immense baie vitrée qui surplombait Las Vegas. Les deux mains à plat sur la vitre, penchée en avant face à la ville, le cul bien en arrière, ses gros seins ballotant dans le vide, ma femme m’offrait un spectacle surréaliste. Ils la baisèrent ainsi à tour de rôle pendant de longues minutes. L hurlait son plaisir, et, épuisée, se courbait toujours plus, jusqu'à devoir s'appuyer par terre. Elle n'était plus qu'un cul généreux que ses deux tourmenteurs possédaient avec force. Ainsi utilisée, ma femme fut vaincue par la jouissance. Enfin, Mike explosa sur ses fesses, la maculant de son plaisir. L tomba à genoux, et ce fut au tour de Chad de jouir sur elle, salissant encore un peu plus cette femme, ma femme.

Lentement, tout le monde recouvra peu à peu ses esprits. J'aidai L à se hisser sur le lit où elle sombra dans un demi-sommeil presque instantanément. Les deux américains rassemblèrent leurs affaires. Nous étions tous les trois un peu gênés et maladroits. Ils jetèrent un dernier regard à L, impudique sur le lit. Son corps portait les stigmates de cette folle soirée. Son cul était encore rouge, son sexe gonflé, ses fesses et son visage collants du sperme de ses amants. Enfin, ils s'éclipsèrent. Ils n'étaient qu'un mirage. Nous ne les reverrions jamais. Je ne savais pas encore ce que L ressentirait après cette folie, mais pour ma part, je me sentais à la frontière d'un nouveau monde à parcourir. Un gouffre s'était ouvert à mes pieds, et je ne rêvais que d'y plonger.
par alfred2048
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Chapitre 5

Le lendemain, nous nous sommes retrouvés tous les deux, amoureux comme jamais. Nous avons discuté librement de ce que nous avions apprécié et de ce qui nous avait bouleversé. Cette expérience nous avait encore rapproché. Ensemble, nous avions vécu un fantasme d’une intensité folle.
La suite de notre voyage fila comme un rêve, et ce fut le temps du retour à Paris. Puis vint la rentrée au travail et la routine. Le lien secret de notre aventure à Las Vegas nous unissait encore davantage. Notre complicité en était sortie renforcée. Ce fut une période heureuse, malgré un quotidien astreignant. Mon boulot d'ingénieur me prenait beaucoup de temps. Ma femme, quant à elle, s'investissait à fond dans son nouveau travail. Elle avait décroché un poste enviable. Elle assurait la communication d'une maison d'édition parisienne, une entreprise jeune mais en plein essor. Elle fréquentait des écrivains, pas encore connus mais déjà originaux, ainsi que des journalistes, érudits parfois, désagréables souvent, exigeants tout le temps. En plus de longues journées de travail, elle devait parfois s’absenter le soir pour assurer la promotion d'un livre dans l’un des nombreux évènements mondains parisiens. Elle s'épanouissait à vue d'oeil, embrassant ses nouvelles responsabilités avec une grâce et une facilité déconcertantes. Je prenais plaisir à la voir ainsi.

Malgré nos emplois du temps, nous arrivions, Dieu sait comment, à nous ménager des moments à nous. Dans l'intimité de notre chambre à coucher, ils nous arrivaient d'évoquer Las Vegas. Avec des termes assez crus d’ailleurs. Alors que je la prenais, j'aimais lui rappeler comment ses deux amants l'avaient baisé. Je lui demandais d'imaginer qu'elle suçait une autre queue… Ces jeux l'excitaient énormément. Elle se faisait plus féline et me soufflait ses désirs délicieusement pervers. La nouvelle L qui m’était apparue pendant notre voyage n’avait pas disparu en rentrant. Je la sentis un jour particulièrement coquine. Elle était allongée sur le lit, nue, fébrile et féminine, terriblement provocante.

« Tu peux aller chercher le paquet là-bas s’il te plaît, me demanda-t-elle.
- Qu’est-ce que c'est ?
- Tu verras, vas le chercher. »

Elle souriait, mais ne semblait pas très assurée, comme si sa surprise risquait de me déplaire. Troublé et intrigué, J’obtempérais et trouvais le paquet. Je le déballais fiévreusement et découvris un sextoy noir imposant et muni d'une ventouse. Il avait vraiment la forme d'un sexe d'homme, loin de ces objets presque design. Quant à la taille, je dois avouer qu’il était vraiment impressionnant.

« J'ai pensé qu'on aimerait jouer avec, que ça nous rappellerait quelques souvenirs… Mais dis-moi mon chéri, je me suis peut-être trompé, me dit-elle, hésitante.
- Heu, non, je suis surpris, c'est tout. Mais je suis agréablement surpris en fait, continuais-je en me ressaisissant. Je crois même que j'aimerais te voir t'en servir maintenant, petite coquine. Tu l'as acheté, il va falloir assumer. »

Je lui tendis le god, la défiant du regard. Je réalisai alors que je bandais. Voyant cela, L se détendit.

« Je suis ravie de voir que ma surprise te fait de l’effet ! »

Elle entreprit alors de fixer l’énorme sextoy au mur au bout du lit. Je m’assis, impatient de voir la suite. Elle se positionna à quatre pattes devant, et se tourna vers moi.

« Tu veux me voir le sucer, n’est-ce pas mon chéri ? Tu veux voir ta petite femme sucer cette grosse bite ? »

Abasourdi, je la regardais commencer à lécher cet intimidant sextoy. Il semblait prendre vie sous les coups de langue de L. Elle le prit dans sa bouche sans me quitter du regard. Ses seins ballotaient au rythme de sa fellation. Elle s'appliquait, comme elle le fait quand elle veut me donner du plaisir. L'objet déformait ses lèvres et la faisait saliver sur les draps. Je pouvais voir le sexe de L s'humidifier. S'exhiber ainsi devant moi l’excitait. Je redécouvrais ma femme et son côté salope, obscène et bandante. Mon sexe me faisait mal tellement il était dur. N'y tenant plus, je m'approchai et m’agenouillai derrière elle. Sans ménagement, je la pénétrai. Elle grogna mais ne lâcha pas son jouet. Je la baisais avec force, incapable de me maîtriser. Je voulais la faire crier, la soumettre. Je bouillais intérieurement, galvanisé par cette vision indécente. Agrippé à ses hanches, je la pilonnais. J'entendais son plaisir monter. Un plaisir bestial, qu'elle étouffait sur la bite qui lui mangeait la bouche. Sans même m'en rendre vraiment compte, je lui claquai le cul.

« Tu aimes ça hein, ma petite salope. Suce-le. »

Je continuai à la prendre sauvagement, et enfin je me libérai en elle dans un râle. Je jouis comme rarement, des décharges de plaisir me paralysèrent et je m'effondrai en arrière, hébété.
L se tourna vers moi, narquoise.
« Déjà ? Heureusement que la grosse bite de notre nouvel ami est là ! »

Elle se retourna et s'empala alors doucement sur le god. Elle recula son cul jusqu'à faire disparaître en elle l’imposante bite. Je ne la lâchais pas du regard tandis qu'elle coulissait sur ce pieu, d’abord lentement puis de plus en plus fort. Sa respiration s’amplifia et elle ferma les yeux. A qui pensait-elle ? Qui imaginait-elle en train de la baiser ? Je n’en savais rien. Elle était si belle, si sensuelle, tellement impudique. Enfin, son visage se crispa et un grognement rauque s’échappa de sa gorge. L’intensité de son orgasme la terrassa et elle me tomba dans les bras. Nous restâmes lovés l'un contre l’autre pendant de longues minutes, silencieux et heureux. L, après avoir retrouvé son souffle, finit par rompre notre douce quiétude.

« Tu ne regrettes pas ma surprise mon amour ? 
- Oh non ! J'étais surpris d'abord, mais ensuite, j'ai adoré. J’aime toujours autant te voir comme ça...
- Comment ?
- Je ne sais pas, aussi coquine, aussi délurée »

Elle éclata de rire.

« Moi aussi, j’aime ça ! J’ai l’impression d’être la huitième merveille du monde. Quand je vois la manière dont tu me regardes, l’excitation sur ton visage, mes barrières tombent, c'est comme si mes envies secrètes remontaient à la surface.
- Tu deviens une autre L, que j’aime aussi !
- On se resservira de notre nouvel ami alors ?
Sans aucun doute, lui répondis-je. »

J’en étais intimement convaincu. 
Bernard68 a liké

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