Bonsoir à tous et très bonne lecture!
"Je vis alors Sandra positionner ses poings de part et d’autre de la tête de Cédric sur l’oreiller, puis se lever lentement pour se retrouver jambes tendues penchée au-dessus de lui, son p’tit cul bien en l’air, attendant que son homme la mette à nue."
Ce fut rapidement fait, en deux seconde, cette petite culotte se retrouvais en bas du lit.
Une fois nue, la coquine ne s’assit pas de suite sur Cédric, elle resta au moins trente secondes à genou au-dessus de lui, laissant les mains inquisitrices, explorer la peau si douce de son entre jambe. Aux légers bruits de clapotis qui me parvenaient, je comprenais que ses doigts étaient sans nul doute bien au chaud.
A ce moment, je repensais que si cette peau était si douce, c’était grâce à moi, que j’avais préparé mon amour cet après-midi, et qu’elle avait refusé que je la touche pour offrir son volcan à un autre. Je ne vous cache pas que je me sentais alors encore plus con !
La belle posa de nouveau son sexe contre celui de son amant pour relancer son va et vient.
Je ne sais pas vraiment comment vous décrire mon état d’esprit à ce moment.
Je regardais ma femme entièrement nue, qui frottait sa p’tite chatte sur le sexe de notre ami. Non…, pour être exacte, elle glissait ou coulissait, se déhanchant lentement d’avant et arrière, les mains sur le torses de Cédric. J’imaginais sans problème, ses grandes lèvres ouvertes de part et d’autre de la colonne de chaire, la liqueur qui ruisselait du ventre de la tigresse, venant lubrifier le méat de son homme.
Les mains de Cédric passaient et repassaient sur la poitrine de la danseuse, lui malaxant les seins, lui attrapant ses p’tits tétons dardés du plaisir d’être ainsi exposés au regard.
Le tableau était une nouvelle fois diablement superbe, excitant, irréel, frustrant…
Elle se coucha sur lui l’embrassant encore. Les deux mains de mon pote, s’agrippèrent à la peau nue des fesses de sa douce, jouant avec, et se glissant aussi profondément que possible entre les cuisses trempées de la femme adultère, afin d’en prendre possession.
Mais le chat avait décider de jouer un peu avec la souris avant d’aller plus loin! (je sais j’aurais pu trouver mieux…, mais ça me fait rire ! De plus à ce moment, je crois avoir maudit Cédric de jalousie)
Donc Sandra voulait provoquer et faire monter la tension de l’homme qui se trouvait dans le lit de son mari. Pour échapper à la tentative de pénétration de son jouet, elle glissa sur le côté en riant…
• Nan nan nan…, tu vas où… ? lui souffla-t-elle le défiant d’un sourire
Il ne répondit pas, et se colla de nouveau contre elle. Ils s’embrassèrent et se caressèrent de longues minutes, jusqu’à ce que Cédric se saisi de sa verge bandée cherchant l’accès au ventre de ma femme.
Cette dernière leva la jambe autorisant notre invité à prendre possession de son corps. Cédric entra dans ce volcan avec lenteur, sans le moindre effort, Sandra le serra alors contre elle passant sa jambe repliée par-dessus la bassin de cet intru. Ainsi ouverte Il s’enfonça au plus profond du ventre de Sandra, puis entama un très long va et vient.
Les feulements de ma femme qui me parvenaient, témoignaient du plaisir qu’elle prenait. Mais elle en voulait encore plus, elle pivota alors sur Cédric gardant bien au fond d’elle le sexe de l’homme avec qui elle faisait l’amour, se retrouvant assise à genou sur lui. La tête dans le creux de l’épaule de Cédric c’était elle qui donnait la cadence.
Dans cette position, je voyais clairement, malgré la pénombre, Sandra s’empaler sur la verge tendu de mon ami, son p’tit cul exposé à la caméra.
Les mains de Cédric, agrippée sur les fesses tendues de la tigresse, se déplacèrent vers le sillon ainsi largement ouvert. Les doigts se déplacèrent vers le sud de ce sillon à la rencontre de la partie la plus inaccessible de l’anatomie de Sandra, et s’y attardèrent…
Je sais que Sandra n’est vraiment pas féru d’un quelconque attouchement de ce côté-ci, et pourtant… elle ralentit ses mouvements, gardant Cédric en elle, ondulant maintenant, un pieu bien planté dans son vagin lubrifié.
Cédric massait l’anus de ma femme. Cette dernière qui appréciait la caresse…, allait à la rencontre de ses doigts en se cambrant au plus que le lui permettait l’encre enfoncée dans son corps.
Je n’en revenait pas !!! Elle lui permettait d’apprécier du bout des doigts l’étroit passage qui m’attire temps et auquel je n’ai pas le droit…
Sandra était tellement trempée que sous ce massage insistant le bout du majeur de mon pote s’introduisait doucement entre les chaires qui s’assouplissaient.
J’était dingue de voir ma femme s’offrir ainsi. Qu’elle lui autorise cette caresse ! Et forcement lui, fut suffisamment malin pour ne pas trop insister, s’accrochant de nouveau aux fesses de la belle pour la pilonner violement.
Il lui demanda ensuite de se retourner, lui toujours couché sur le dos, elle s’allongea le dos sur le torse de son amant.
Je regardais donc mon amour, les cuisses bien ouvertes, ses p’tits pieds posés à plat sur le matelas, les bras en l’air en appuis sur la tête de lit et ses p’tits seins agrippés par les mains de Cédric. Ce dernier possédait Sandra avec vigueur. Sandra pour le sentir bien au fond poussait sur ses bras pour qu’il aille plus loin. Elle gémissait de plaisir à quelques mettre de moi, dans mon lit, ma chambre…
Ils pivotèrent ensuite sur le côté, en travers du lit, Sandra avait la tête posée dans sa main, en appuis sur son coude.
Dans la manœuvre, Cédric était sorti du fourreau humide. Sandra d’une main, écarta alors son p’tit cul afin de se faire prendre de nouveau, cela faisait près de trois quart d’heure qu’ils faisait l’amour, et que j’assistait, impuissant, une fois de plus, à mon propre adultère…
Cédric derrière elle s’activait encore, j’entendais le pubis de ce dernier claquer les fesse de ma femme.
C’est alors que je vis Sandra sourire, elle ouvrit largement les cuisses, repliant sa jambe en l’air pour poser la pointe de son pied sur le genou de Cédric, m’offrant une vue imprenable sur la pénétration qu’elle accueillait avec bonheur. Face à moi, ma femme souriait en regardant la caméra, elle s’amusait à me montrer tout le plaisir qu’elle prenait. La diablesse était incroyablement frustrante !!! J’étais jaloux de ce qu’elle offrait à notre invité, et en même temps tellement excité par ses envies…
L’amant se mit alors à genou derrière elle, allant et venant de plus en plus vite, agripper à sa hanche. Sandra les mains crispées dans les draps, feulant à chaque respiration, reçut toute la jouissance de son amant sur les fesses, lorsque celui-ci sortit de ma femme en se vidant sur elle.
Sandra laissa quelques secondes à Cédric pour reprendre ses esprits, avant de se jeter à son coup, l’embrassant avec passion.
Quelques KLEENEX pour essuyer la dame, et les deux amants se retrouvent allongés côte à côte, mais La belle n’a pas encore pris son pied, et il n’est pas question que l’homme dans son lit la laisse sans la satisfaire pleinement. Elle se caresse, passe une main entre ses cuisses et s’active sur son bouton de plaisir. Sur son flan Cédric la mate une peu avant de lui effleurer les seins d’une main. Sandra se love alors contre lui, dans ses bras et passe une jambe par-dessus les siennes continuant à se masturber. Son amoureux, lui caresse alors un sein d’une main et la pénètre de deux doigts de l’autre. Les clapotis des doigts de mon pote dans la p’tite chatte de ma femme me parvenaient encore… Sandra se mit a gémir de plus en plus fort, jusqu’à partir dans un orgasme sans retenu dans la puissance résonne encore dans mes oreilles.
• HO OUI ! HO C’EST BOONNNN !!!!
Ils s’enlacèrent à nouveau avant d’éteindre la lumière…
Je me couchais alors seul dans mon lit, entendant les chuchotements et rires étouffés des deux amants.
Je me couchais alors seul, pleins de doutes, mais néanmoins, pleins de belles images en tête …
Après le départ de Cédric le lendemain matin, je retrouvais mon amour dans notre lit.
-Tu as bien dormi ? lui demandais-je, en la prenant dans mes bras.
-Très bien, jusqu’à ce qu’il me réveille en me caressant les seins, et qu’il glisse ses doigts entre mes cuisses…, regarde je suis encore trempée ! dit elle sortant sa main de dessous les draps… avec un grand sourire.
J’observais le bout des doigts humides de Sandra lorsqu’elle ajouta :
-Il revient ce soir…, je l’ai invité pour le week-end…
To be continued !