Mais c'est à présent que la situation prend tout son sel. Satisfait, repu, notre financier libertin commence à se rhabiller et, dans une attitude pressée et presque professionnelle, déclare l'entrevue terminée. Il enjoint donc la miss de récupérer ses affaires au plus tôt car, étant marié et chargé de famille il est "attendu à la maison"...
Je croise le regard de ma belle, petite étincelle entre nous, cette goujaterie caractérisée ne peut rester impunie! Elle déteste les profiteurs qui prennent sans vouloir donner. Toujours nue, elle minaude en se rapprochant de lui: "mais... c'est que je n'ai pas joui M. le directeur..."
Elle saisit sa main et la dirige vers son entrejambe, lui intimant quasiment l'ordre, par ce simple geste, de lui donner avec ses doigts le plaisir auquel elle estime avoir droit. La tête basse trahissant une surprise gênée, il s'exécute par quelques va-et-vient peu convaincus, pendant que j'observe les réactions de ma muse, flairant un tour pendable. Soudain tout s'éclaire: Les clapotis que produisent sa belle chatte ouverte, les ondulations de son bassin m'indiquent qu'elle est résolue à faire couler sa fontaine. Et je comprends le chemin qu'elle a choisi pour assouvir sa juste vengeance
Dans son empressement, ou peut-être par manque de pratique (voire de compétences), il ne parviendra pas à plus de résultat. Mais complice des désirs de madame, ainsi que de son indignation, je vole au secours du maladroit, et glisse à mon tour une main secourable qui ne tarde pas à provoquer les cris, puis bien vite et à plusieurs reprises, les grandes eaux tant attendues.
Assigné à ce rôle de sourcier, je n'ai malheureusement pas pu immortaliser ni la flaque de jouissance ni la tête déconfite de M. le directeur devant l'état de la moquette du bureau...
Mais quel plaisir
Je n'ai finalement pu saisir mon appareil qu'une fois le crime passé, immortalisant les reliefs que l'inondation avait laissés entre ses cuisses.
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Croyant la messe dite, notre impétrant pousse un soupir de soulagement en jetant un oeil à sa montre, regard provocateur qu'interrompt ma douce moitié poussant son avantage, et lançant: "Je boirais bien quelque chose moi, ça me déshydrate toujours lorsque je gicle comme ça"
Ah ah
, je jubile encore rien qu'à repenser à ces fabuleuses représailles habilement imposées, impossible à refuser pour qui souhaite préserver un minimum sa réputation libertine, et au final du piège fatal tissé par ma délicieuse épouse qui décidément, ne se lasse jamais de m'étonner !
Et voici le dominant d'un quart d'heure pris à son jeu et par le temps, furetant en caleçon / chaussettes dans son bureau et dans les couloirs à la recherche d'un breuvage et de récipients adaptés.
Prenant tout son temps pour déguster sa coupe, posant toute féminité brandie devant mon objectif ravi, en combattante victorieuse, elle se laissera aller à de longs monologues sur nos expériences passées, entrecoupés de questions visiblement embarrassantes à l'attention de l'amant (donc tu fais ça dans le dos de ta femme ?), dont l'assurance sereine d'il y avait tout juste une heure semblait alors un lointain souvenir.
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