Juillet 2017... Toulouse suite
Retour dans la salle, la ballade est terminée et grosse frustration en ce qui me concerne ! Je suis chaud bouillant. J’imagine des tas de choses, ma tête pleine d’image de Marine se faisant baiser par Max, debout contre un arbre... On aurait du aller plus loin pour être tranquille, c’était tellement bien parti.
Tout le monde s’agite autour de moi, une vraie ruche ! Je me lance dans la préparation de la soirée moi aussi, histoire de me changer les idées. On remet les tables en configuration repas puis le couvert et la bouffe qu’il faut aller chercher au frigo. On va manger les restes de midi, viande froide avec moutarde ou mayo accompagnée de chips. Le truc simple mais qui nous va bien et puis il reste du fromage et pas mal de bouteilles à vider. Max s’assoit au bout d’une branche du U formé par les tables et Marine m’entraîne pour qu’on s’assoit à ses côtés, elle entre nous deux. Mon autre voisin est le même qu’à midi avec qui j’ai un peu discuté sans vraiment nouer une relation quelque peu amicale. Les deux couples nous faisant face sont plutôt sympas et mettent de l’ambiance. Un peu plus loin, sur ma droite, en face, une femme plutôt attrayante… Bien faite, habillée sexy, elle nous jette de fréquents coup d’œil. Visiblement, nous l’intéressons. Je suis sûr que Max l’a baisée autrefois et qu’elle se doute de quelque chose nous concernant. Va savoir… Je me penche vers Marine et lui souffle mes soupçons à l’oreille. Elle pouffe de rire et à son tour me murmure :
_ Oui, c’est Corine, elle était réputée pour être facile à l’époque, si tu vois ce que je veux dire... On ne se fréquentait pas vraiment elle et moi. Mais j’ai discuté avec elle tout à l’heure, elle est plutôt cool.
Les discutions s’engagent, ça parle fort, ça s’interpelle, bref, tout le monde se lâche. Les verres se vident et tout en grignotant, je surveille Marine et Max, guettant l’instant où, forcément, l’un d’eux prendra l’initiative. Du moins, c’est ce que j’espère ! Mais rien ne se passe, je suis déçu. Je m’attendais à des attouchements discrets sous la table, des mains baladeuses mais rien de tout cela. J’en suis rendu à me dire que ni l’un ni l’autre n’ont envie de quoi que ce soit pour le moment et ça m’agace un peu… Dommage !
Je bois un peu trop sans doute car j’ai la tête qui tourne. Je décide donc de ralentir la cadence et de manger un peu plus. Ma coquine lève son verre plus qu’elle ne devrait aussi mais ne semble pas y prêter attention. Elle rit beaucoup et fort aux blagues de ceux qui nous font face. Je jette un coup d’œil du coté de Max et je remarque que lui aussi ne rechigne pas à se servir à boire. J’en suis là de mes réflexions quand baissant les yeux pour récupérer ma serviette tombée par terre, je remarque soudain la main de Max, posée sur la cuisse nue de Marine. D’un seul coup, je m’enflamme au fond de moi. J’ai la boule au ventre et mes mains se mettent à trembler. Je me penche, attrape ma serviette et tout en me relevant doucement, observe la main caresser la cuisse de ma chérie qui fait comme si de rien n’était. Je regarde à ma droite mais mon voisin, la tête tournée de l’autre côté, discute avec sa voisine. Il ne peut donc rien voir. Je m’écarte un peu de la table pour ouvrir un peu mon champ de vision. Max remonte sa main sous la jupe de Marine et semble la caresser plus haut, vers sa culotte. Je sens mon sexe se dresser et gonfler ma braguette. Putain j’ai la gorge nouée et mon excitation est au maximum. J’adore vivre cela, c’est tellement enivrant, encore plus que le vin !
Relevant les yeux, je constate que la dénommée Corine me regarde avec un léger sourire. Merde, c’est pas possible, elle ne peut rien voir ! Ou alors, elle devine tout en fonction de notre position. Je sais, pas et puis je m’en fou après tout. Je jette un nouveau coup d’œil rapide en bas, la main de Max est toujours sous la jupe sur le haut de la cuisse, ça se voit à la position de la bosse sous le tissu serré. Je me dis qu’il aimerait sans doute lui caresser sa chatte par dessus la culotte mais il est sûrement coincé… Tant qu’elle n’écartera pas ses cuisses pour le lui permettre.
J’ai hyper chaud et j’ai l’impression que tous ceux autour de moi peuvent entendre les battements de mon cœur. Je tente de m’intéresser à ce qui se dit autour de moi mais je n’y arrive pas. C’est comme un brouhaha dans un brouillard. Je me sens hyper frustré de ne pas pouvoir regarder à ma guise sous cette saloperie de table. Le plus discrètement possible je jette un coup d’œil. La main de Max ne bouge plus et j’imagine ce qu’il doit ressentir. La peau douce et chaude, le bord de la culotte peut-être… Soudain, il se penche vers Marine et lui dit un truc à l’oreille. Marine pouffe de rire en le regardant, comme s’il venait de lui raconter une blague. Puis reprenant son sérieux, elle mange une bouchée de viande, boit une gorgée de vin et se tourne vers moi avec un petit sourire. Elle se penche et me fait un petit bisou sur la bouche avant de me dire tout bas :
_ Il faut que j’aille aux toilettes.
Elle repousse sa chaise en arrière, se lève et se dirige vers le fond de la salle. Je regarde Max qui me fait un petit clin d’œil et me tend son verre pour que je le remplisse. Je saisi la bouteille devant moi et m’approche de lui. Il regarde autour de lui et me lance vite fait à voix basse :
_ Je lui ai demandé d’enlever sa culotte... Et je crois bien que c’est ce qu’elle est parti faire…
Je reste figé quelques secondes… La salope ! J’en suis encore plus excité, c’est complètement dingue. Je pose la bouteille sur la table et de nouveau il approche sa bouche de mon oreille comme si on voulait discuter en échappant au bruit ambiant qui est effectivement loin d’être négligeable.
_ Vu ce qu’il s’est passé tout à l’heure quand on était tous les trois, je crois comprendre comment vous fonctionnez… Je me trompe ?
_ Non, je pense que tu as deviné… Je suppose que vu ton expérience dans le domaine, tu as déjà vécu ce genre de situation…
Il me sourit avant de me répondre :
_ Oui et… Non ! Je t’expliquerai plus tard.
Je me redresse et lui fait un petit clin d’œil discret de connivence. Je me rassois à ma place, guettant le retour de ma coquine. Je jette un coup d’œil du côté de Corine mais elle semble captivée par ce qui se dit plus loin, de l’autre côté. Je regarde du coté des toilettes et vois Marine revenir, son chemisier semble un peu plus ouvert, un bouton supplémentaire de défait, mais son décolleté reste dans la norme, rien de choquant. Elle arrive près de sa chaise et je remarque son poing fermé. Elle s’assoit et discrètement ouvre sa main afin de me montrer sa petite culotte qu’elle passe aussitôt de l’autre côté afin de la donner à Max qui s’en empare immédiatement. Je relève la tête, les joues en feu. Je souffle un grand coup et tourne la tête vers ma droite. Mon regard croise aussitôt celui de Corine. Elle me fait un petit sourire tout en continuant de me fixer. De là où elle est, c’est impossible qu’elle ait vu quoi que ce soit mais je suis certain qu’elle a deviné qu’il se passait de drôle de chose sous la table. C’est sûr ! Je tourne la tête vers mon verre et le fini d’un trait. Je m’oblige à regarder le type en face de moi qui se lance dans le récit d’une blague. Je l’écoute avec attention bien que je la connaisse déjà. De nouveau un coup d’œil du côté de Corine… C’est bon, elle regarde ailleurs. Peut-être que je me fais des idées après tout ! Une main se pose soudain sur ma cuisse et la serre brièvement avant de se replacer près de son assiette. Marine écoute elle aussi la blague et soudain, tout en continuant de discuter avec ceux d’en face, sans me regarder, Elle pose discrètement sa main sur ma cuisse et la serre brièvement avant de la remettre sur la table. Sa façon de me prévenir qu’il se passe des choses pouvant m’intéresser et que j’aurai pu rater… Je jette un coup d’œil vers le bas et la voit s’écarter un peu du bord de la table pour me permettre de mieux voir. Je reste complètement scotché par ce qu’elle me dévoile. Sa jupe remontée au ras de sa chatte, les cuisses ouvertes, elle s’offre à la main de Max. Je sens le sang battre mes tempes et j’ai vraiment l’impression d’étouffer. Ma queue me fait un mal de chien dans mon jean bien serré. J’ai un mal fou à regarder ailleurs et je ne peux m’empêcher de jeter des coups d’œil sans doute trop fréquents mais c’est une vraie torture pour moi. Il la visite de ses doigts, c’est flagrant, sa position l’empêche de la doigter en profondeur mais il profite bien de son clito. Et l’effet devient perfectible. Marine pose sa main sur la mienne, sur la table, et me serre de plus en plus fort. Elle a beau faire semblant d’écouter le type d’en face, je remarque son souffle, plus fort, plus rapide et le pincement rythmé des ailes de son nez. Soudain, de son autre main passée sous la table, elle repousse celle de Max et serre les jambes, sans doute à bout de résistance. Elle tourne la tête vers moi, un sourire au coin des lèvres, plein de complicité. J’exulte, je n’ai qu’une envie, quitter cette table pour qu’on aille baiser tous les trois… Mais on ne peut pas, pas tout de suite, pas dans son état, pas dans NOTRE état ! Je bande comme un fou et Max aussi sans doute. On va devoir trouver un moyen de calmer tout ça.
Ce foutu repas s’éternise, j’en ai marre d’attendre et en plus, je crève de chaud. Je craque ! Je me lève et je file dehors prendre l’air. Il fait nuit mais la fraicheur n’est pas vraiment là. Je fais quelques pas sur le parking, essayant de calmer ma fébrilité en respirant profondément. Je suis là depuis à peine 5 minutes qu’un bruit de pas sur le gravier m’alerte. Je me retourne et découvre Max qui s’approche de moi. Il me rejoint et nous marchons quelques mètres. Je m’arrête et lui demande :
_ Tu voulais dire quoi tout à l’heure avec ton oui et non ?
Il se met à rire doucement avant de me répondre :
_ Tout à l’heure, quand Marine s’est mise à poil avec nous deux, j’ai tout de suite compris que tu étais le genre de type qui prend son pied à regarder sa femme se faire baiser devant lui par un autre mec. Par contre je ne sais pas si tu te contente de regarder…
Silence.
_ Non, en général, j’adore la partager avec l’autre…
Il hoche la tête puis poursuit :
_ Pour répondre à ta question de tout à l’heure, oui, j’ai participé à quelques trios… En club le plus souvent mais chez des couples qui reçoivent aussi de temps en temps.
Silence.
_ Mais vous, c’est différent et… Beaucoup plus excitant.
_ Ah ! Et pourquoi ?
_ Les autres étaient plutôt blasés… Les nanas plus proches de la poupée gonflable que de la fille vraiment chaude. Tu vois ce que je veux dire ? En fait, tous les couples que j’ai rencontrés pratiquaient ça depuis longtemps et assez souvent. Bon je ne dis pas que je ne prenais pas mon pied, hein ! Franchement, les nanas savaient y faire mais, comment dire, ça prenait du temps avant que leurs mecs démarrent, comme si l’excitation tardait à venir.
Silence. J’attends la suite de son discours.
_ Vous, c’est… beaucoup plus… Marine tremble de partout et toi, j’ai vu tout de suite que c’était pareil et que tu bandais dès le début.
Il se met à rire avant de continuer :
_ C’est comme si c’était nouveau pour vous alors que je me doute que vous avez déjà fait ce genre de jeu, non ?
Je ne dis rien, essayant de rassembler mes idées.
_ Oui, on l’a fait quelques fois… Mais on n’a pas souvent l’occasion en fait, juste quand on peut avoir un peu de temps libre sans les enfants.
Il hoche la tête en souriant.
_ J’ai donc du bol de tomber au bon moment, au bon endroit !
Je ris de bon cœur moi aussi.
_ C’est exactement ça.
On se regarde, presque complice. J’aime bien cette conversation finalement, elle me met parfaitement à l’aise et ce type est plutôt sympa. J’ai l’impression qu’il a pas mal roulé sa bosse dans le domaine du sexe et je suis curieux de le voir en action… J’en suis là de mes réflexions quand de nouveau des bruits de pas nous alertent. Nus nous retournons d’un même mouvement pour apercevoir Marine s’approcher de nous dans le noir.
_ Ah, vous êtes là ! Les autres se sont mis à danser et je vous cherchais.
Je lui prends la main avant de lui dire :
_ Parce que tu veux danser ?
_ Heu… Non, pas vraiment. Je… Je préfère prendre l’air… Comme vous…
Elle fixe Max en finissant sa phrase. Ce dernier lui sourit avant de répondre :
_ Oui, on est un peu plus tranquille ici. Dedans c’est trop bruyant pour moi.
Marine me regarde avant de lui répondre :
_ Bon ben… On marche un peu ?
Elle me tire par la main et nous nous dirigeons vers l’autre extrémité du parking, derrière la salle, vers notre camping car qui se trouve dans l’angle le plus éloigné en bordure d’un petit bois. Nous avions choisi cet emplacement pour être un peu à l’écart pour mieux dormir. nous n’avions absolument pas prévu le scénario qui prend peu à peu forme dans ma tête. L’endroit est vraiment sombre, sans lampadaire et on devine juste notre véhicule éclairé par un tout petit peu de lune. Marine s’arrête et se tournant vers Max :
_ C’est notre camping car, on l’utilise souvent dans ce genre d’occasion, pratique pour dormir, pas besoin de louer un gîte comme ça. En plus, on a prévu d’aller sur la côte après…
_ Je vois… C’est hyper pratique votre truc, je me suis souvent posé la question d’en acheter un ou non. Ca me tente bien…
On reste là quelques secondes dans le noir à contempler la masse plus sombre juste devant nous. Puis Marine me lâche la main et s’avance sur le chemin qui fait presque face au camion. Elle s’arrête au bout de quelques mètres et tourne un peu la tête pour nous lancer d’une petite voix:
_ Je crois qu’on a été interrompu tout à l’heure… Non ?
Max se rapproche de moi et j’entends son souffle s’amplifier. Je déglutis avec peine car ma gorge vient de se serrer et je sens mes jambes vaciller. Max lance :
_ En effet, on n’avait pas fini ce qu’on avait commencé.
Marine se retourne et dans un petit rayon de lune, elle commence à défaire les boutons de son chemisier. Je sens mon sexe gonfler de nouveau et mon cœur bondir dans ma poitrine. Lentement, elle défait la fermeture éclaire de sa jupe et la fait glisser sur le sol. Sans hésiter, elle ramasse ses vêtements et ses chaussures puis les lance vers nous. Elle se tient debout face à nous, entièrement nue.
Je regarde du côté de la salle au loin, juste éclairée sur le devant par deux lampadaires. Improbable que quelqu’un ait eu la même idée que nous. La route qui passe de l’autre coté du camping car est totalement déserte et dans la pénombre. Il est plus d’une heure du matin, sans personne d’autre que nous. J’ai envie d’un souvenir. Je prends mon portable et le met en appareil photo puis j’ouvre la portière côté conducteur et actionne la commande des phares. Max sursaute et fixe Marine qui dans le faisceau lumineux apparaît, totalement figée. Le temps de prendre la photo et j’éteins les phares.
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Immédiatement, un éclair de lucidité me fait comprendre la stupidité de mon geste. Bonjour la discrétion ! Je m’attends à des protestations de la part de mes deux coquins mais rien ! Ils sont visiblement déjà dans un autre monde... Lui, toujours figé, totalement fasciné par la vue qu’elle lui offre. Finalement, au bout de quelques secondes, il me jette un coup d’œil puis se retourne vers elle et commence à avancer dans sa direction.
Je ne reconnais plus ma femme... Elle le regarde, un petit sourire au coin des lèvres, presque provocante. L’alcool n’explique pas tout, impossible ! Elle, qui d’habitude a une attitude plutôt soumise dans ces circonstances, se tient droite, torse bombée.
Ca y est, il est face à elle, contre elle. Vite, je m’approche, les jambes en coton et constate qu’ils s’embrassent à pleine bouche. Leurs souffles mêlés, les bruits de succions de leurs lèvres, sa main pétrissant ses seins, tout est diaboliquement excitant pour moi. Je reste là à les contempler tout en défaisant ma braguette afin de soulager ma queue emprisonnée dans son carcan de tissu.
Soudain, Max se laisse glisser, à genoux, sa tête face à la chatte de Marine. Elle reste immobile, les bras ballant, les jambes légèrement écartées, le souffle court. Elle me regarde et me fait un sourire appuyé, elle semble tellement sûr d’elle. Je baisse les yeux et regarde Max approcher son visage de la petite toison brune. Il frotte sa bouche sur le sexe offert et Marine lâche son premier gémissement. Elle lève une de ses mains et la pose sur la tête de Max. Il la lèche, la suce, l’embrasse, ses deux mains plaquées sur les fesses de ma coquine, comme pour l’empêcher de s’échapper. Mais elle n’en a visiblement aucune envie. Elle ondule des hanches tout en écartant un peu plus ses jambes, respirant fort par sa bouche entrouverte. J’en veux plus, plus d’abandon de sa part, plus d’exhib. J’enlève mon tee-shirt et l’étale sur le sol. Je prends son chemisier et fait de même à côté. Marine se redresse un peu et dès que j’ai fini de lui préparer cette couche sommaire, elle repousse la tête de, Max en arrière en lui murmurant à voix basse :
_ Attends !
Surpris il la regarde s’assoir sur les habits étalés puis se mettre en appui sur ses coudes tout en écartant ses cuisses au maximum. Sa chatte s’offre à lui, grande ouverte, palpitante. Sans hésiter, il se penche en avant, sa tête entre les cuisses écartelées et reprend ce qu’il avait commencé. Marine, la tête penchée en arrière se laisse déguster en gémissant.
Rapidement, je finis d’enlever mon pantalon et mon slip puis je me laisse tomber à genoux à mon tour, près d’elle. D’une main, je saisis un téton, le pince brièvement avant de passer à l’autre. Je le fait rouler entre mon pouce et l’index tandis que de mon autre main, je me masturbe tout doucement. Max lèche sans discontinuer la vulve et le clitoris de Marine qui sous nos caresses commence à se tordre tout en laissant échapper des petits râles de plaisir. Lâchant ses seins, je plaque ma main sous sa nuque afin de lui immobiliser la tête en la tournant vers moi et de l’autre main, empoigne ma bite afin de la lui présenter sur sa bouche entrouverte. Ouvrant les yeux, elle découvre ma queue et sans hésiter, l’embouche. Pendant plusieurs minutes, elle me déguste. Je sens sa langue tourner autour de mon gland puis enfoncer sa bouche pour me prendre plus profondément dans sa gorge. Elle remonte, sort sa langue et tout en gémissant sous les coups de langue de Max, sort la sienne et me lèche doucement. Ma tige, mes bourses, mon gland, tout y passe.
Max se redresse, essoufflé et regarde Marine continuer de me sucer, de me pomper avec frénésie même. A son tour, il enlève son pantalon et son slip, exhibant une belle bite bien raide. Puis, il s’approche à genoux de l’autre côté de ma coquine. Sa queue se balance près de sa joue et à son tour, il se branle lentement.
Je me retire en arrière afin de dégager mon sexe de la bouche gourmande :
_ Regarde, tu en as une autre rien que pour toi…
Elle me sourit, tourne la tête du côté de Max et se retrouve la bouche contre sa tige dressée. En appui sur un seul coude, elle lève son autre main et fait coulisser doucement la peau le long de la hampe dressée.
Max la laisse faire quelques secondes puis murmure :
_ T’aimes la queue, toi… tu es trop… trop bonne…
Elle le regarde droit dans les yeux tout en continuant de le masturber doucement, un petit sourire au coin des lèvres. Je ne l’avais jamais vu aussi provocante, elle m’excite à mort et j’ai une furieuse envie de la donner à baiser, là maintenant !
Elle ouvre enfin la bouche et l’approche du gland gonflé de sang. Juste avant de l’engloutir elle murmure :
_ Humm, elle est toute chaude… Toute douce… J’ai trop envie de la… Goûter.
Puis elle gobe le gros mufle rouge et se l’enfonce profondément dans la gorge. Après plusieurs va et vient, elle le recrache et se met à le lécher lentement tout en le serrant entre ses doigts.
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C’est au tour de Max de souffler fort en lâchant un petit gémissement rauque de temps en temps. De sa main droite, il pétrit la poitrine gonflée de désir tandis que moi, je branle doucement la chatte toujours bien ouverte. Marine a visiblement du mal à résister au plaisir montant en elle. Mais je la surveille et dès que je la devine prête à jouir, je m’arrête, retire ma main et attends quelques secondes avant de recommencer. Max se maitrise parfaitement. Il se retire de la bouche gourmande de temps en temps afin de souffler un peu et Marine reprend ma bite. Pendant de longues minutes, elle nous suce lentement, l’un après l’autre, léchant nos testicules, aspirant nos glands comme une gourmandise. Cuisses grandes ouvertes, elle s’offre en même temps à nos mains et nos bouches. Nous sommes en sueurs, complètement livrés à nos instincts les plus primaires. Deux mâles en rut se partageant une femelle en chaleur…
Je perds la notion du temps, je suis incapable de penser, de réfléchir. Je ne vois que ses seins, sa chatte et nos queues, juste le plaisir brut, sauvage. L’envie de sexe et rien d’autre. Marine me suce pour la nième fois quand Max décide de passer à l’action. Au lieu de se pencher pour lui faire un nouveau cunni, il s’avance à genoux entre ses cuisses largement ouvertes. Se penchant sur le coté, il attrape son pantalon et sort d’une de ses poches un préservatif. Pas besoin d’être devin pour deviner ce qu’il s’apprête à faire. Il veut la baiser pendant qu’elle me suce ! Marine l’a vu elle aussi et compris son envie. Il n’a pas le temps d’aller plus loin que déjà, elle se recule, lâchant ma bite. Prenant appui sur ses mains elle s’écarte de lui pour se dégager. D’une voix basse essoufflée elle lui lance en le regardant droit dans les yeux.
_ Non ! Pas par là… Je… Je ne suis pas prête pour ça… Cette entrée est réservée à mon chéri !
Max la regarde, interdit ! au bout de quelques secondes, elle lui dit :
_ Par contre, si tu as envie de… l’autre côté…
Je regarde Max qui reste sans voix sous l’effet de la surprise. Elle reste immobile, attendant une réponse qui tarde à venir. Puis il sourit à son tour et d’une voix à peine audible :
_ Un peu que j’en ai envie… C’est pas courant une nana qui aime se faire baiser par derrière.
Je tremble de partout. Même à genoux j’ai du mal à ne pas tomber. En plus je sens que ma coquine est prête à bien des choses. Pendant quelques secondes, j’ai même cru qu’elle allait se laisser enfin baiser devant moi, prendre sa queue dans sa chatte… Mais non, elle avait encore les idées claires finalement ! Je déglutis et d’une voix tremblante :
_ Oh s’il te plait ma belle, laisse le juste frotter sa bite sur ta chatte, comme avec Julien, juste pour que je puisse regarder un peu…
Elle nous dévisage, l’un après l’autre puis avec un petit sourire, me répond :
_ D’accord mais c’est moi qui vais le faire…
Je ne sais que répondre et je regarde Max, immobile, attendant visiblement la suite.
Marine se relève et s’avançant vers Max, lui dit :
_ A ton tour de t’allonger…
Incroyable, elle donne des ordres, parfaitement sûr de son pouvoir. Je suis abasourdi et en même temps fou d’excitation. Max lui sourit et s’allonge lentement sur le dos. Marine le regarde et je devine une envie évidente chez elle, l’envie de jouer avec ce mec ! Sous mes yeux ébahis, elle se positionne debout au dessus de lui, juste au dessus de sa bite dressée. Puis, fléchissant les genoux, elle s’abaisse sur lui, posant sa vulve sur ses testicules. Le buste bien droit, elle garde la pose en me regardant avec un sourire de satisfaction. Max levant ses mains, s’empare de ses seins et commence à les pétrir doucement. Fermant les yeux, elle lâche un long soupir de satisfaction et commence à onduler des hanches, frottant sa vulve sur le membre bien raide. Max respire fort et je devine qu’il fait tout pour se maitriser. Lentement, elle se penche en avant, sans cesser d’aller et venir sur lui puis approche sa bouche de la sienne. Leurs lèvres se soudent dans un baiser torride. Leur langues se cherchent, se trouvent et s’emmêlent. Je suis en apnée totale.
L’illusion est parfaite ! J’ai l’impression qu’elle le baise et ça me rend fou de désir. Mes paupières tremblent et la sueur dégouline partout sur mon corps, je ruisselle ! Le bruit de leurs respirations hachées, plus fortes, montre tout le plaisir qu’ils prennent l’un et l’autre dans cette sorte de simulation. Je suis sûr et certain qu’ils vont finir par jouir tous les deux, juste en se frottant l’un contre l’autre. Max soulève son bassin afin de participer lui aussi et soudain, Marine se redresse, rouge écarlate, aspirant l’air comme si elle s’étouffait.
Elle me jette un regard trouble puis à voix basse murmure :
_ Si tu veux, je peux te montrer... Vraiment près… Juste un tout petit peu…
Puis regardant Max :
_ Jure moi que tu ne bougeras pas… Que tu n’essaieras pas de…
Il la regarde un moment et lui répond d’une voix à peine audible :
_ Ok, tu peux avoir confiance en moi… Mais après, je te prends ton cul… Je n’en peux plus d’attendre…
Elle rit doucement puis reprend son sérieux. De nouveau, elle me regarde, se lève et se tourne comme pour un 69. Puis elle s’accroupi de nouveau, glisse ses mains entre ses cuisses et saisit le sexe tendu pour le positionner à la verticale juste en face de sa vulve.
_ Juste pour vous... Pour que vous puissiez bien regarder…
Puis lentement, elle s’abaisse comme pour s’empaler. Dès que le gland entre en contact avec ses lèvres intimes, elle lâche la queue bien raide et se l’enfonce de quelques millimètres entre ses grandes lèvres puis reste immobile, haletante.
Je deviens complètement fou. Je saisis mon portable, la contourne pour mieux voir, par derrière, sous ses fesses bien écartées et prendre LA photo, celle qui immortalisera cet instant magique… Max, la tête relevée ne rate rien du spectacle qu’elle nous offre. Avec fébrilité, j’active la fonction avec flash, je la veux bien claire, bien nette, en gros plan ! Je me penche au dessus du torse de Max.
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Putain que c’est beau, que c’est excitant ! J’aimerai trop voir cette bite s’enfoncer dans son ventre, tellement la voir se faire enfin défoncer, baiser comme une salope là, juste sous mes yeux...
Max reste totalement immobile, un véritable exploit, un vrai gentleman ! Comment peut-il résister ? Un, deux, trois flash et Marine se soulève et se remet debout, le souffle court, haletante. Je me recule, j’ai trop envie de la prendre, j’en ai mal aux couilles.
Max se relève à son tour et sans plus attendre, enfile son préservatif sous nos yeux attentifs. Puis il saisit ma coquine par les hanches et la retourne pour qu’elle soit face à moi. Tout en me fixant droit dans les yeux, un petit sourire au coin des lèvres, elle se laisse tomber à genoux puis se met à quatre pattes, offrant son cul à notre complice si patient. A genoux lui, aussi, il s’avance entre les jambes écartées. Se penchant en avant, elle pose sa tête sur l’herbe, les reins bien cambrée, le cul bien ouvert. Je regarde Max laisser couler un filet de salive sur le petit œillet puis le masser lentement avec son majeur. Au bout quelques secondes, il recrache et introduit tout doucement son doigt en elle et commence quelques mouvements de va et vient. Marine commence à souffler plus fort. Ses cuisses semblent vibrer, agitées de tremblements nerveux. Soudain, d’une voix tremblantes, elle lance :
_ Vas-y, baise moi… J’en ai trop envie… Viens…
Sans plus attendre, Max sort son doigt, empoigne sa bite et approche son gland du cul totalement offert. Fasciné, je regarde son gland disparaître, millimètre par millimètre, avalé par le petit trou plissé. Je me branle doucement…
Je perds le peu de raison qu’il me restait. Un mec encule ma femme devant moi et elle aime ça cette salope ! Il va et vient, lentement, puis plus fort puis lentement. De temps en temps, il la tringle avec force faisant claquer ses couilles contre le haut de ses cuisses puis ralenti pour la baiser lentement, bien à fond. Ma femme aime ca ! Elle s’offre, en redemande, ondule du bassin d’avant en arrière pour l’aider à mieux la baiser. Elle gémit, grogne, feule, exprimant son plaisir sans aucune retenue. Je me penche au dessus de son dos et passe un bras sous son ventre. Je glisse ma main vers sa chatte... Sa vulve est trempée... Je glisse un doigt, caresse doucement son clitoris, le masse tout doucement en cadence avec les coups de queue de Max. Je regarde son membre bouger en elle, je suis aux premières loges ! Puis deux doigts dans sa vulve, profondément. Je cherche la petite zone plus rugueuse vers le haut et le frotte très lentement. Je la branle ainsi pendants de longues secondes. Dès que je sens son périnée se resserrer autour de mes doigts, je les retire, la laissant au bord de l’orgasme. Puis je recommence. Au bout de plusieurs minutes de torture, elle gémit plus fort et finit par nous supplier, visiblement à bout de force.
Je finis par relever la tête et regarder Max. Nos regards se croisent et sans prononcer un seul mot, nous nous comprenons. C’est le moment ! Il accélère un peu ses mouvements et va au plus profond, tout comme mes doigts. Marine gémit de plus en plus fort tout en balançant ses hanches d’avant en arrière, de plus en plus vite. Je sens sa chatte aspirer mes doigts les serrer par intermittences comme dans des spasmes. Soudain elle lâche une sorte de feulement tout en redressant sa tête. Elle crie ! L’orgasme qui la ravage est d’une violence inouïe ! Elle balance sa tête de droite à gauche en criant d’une voie rauque :
_ Oh oouuiiii... Encore... Encore... Encore...
Contractant son périnée, elle repousse littéralement mes doigts dans un spasme monstrueux avec une sorte de cri venant du fond de sa poitrine « Haannnnn !!! ». Elle tremble de partout, tétanisée sur ses bras tendus. C’est le moment que choisi Max pour jouir à son tour dans un grognement de bête. Il pilonne ce cul plusieurs fois puis reste immobile, tout au fond, tout son corps crispé, tendu comme un arc.
Il finit par se retirer lentement pour s’écrouler dans l’herbe près de Marine, haletante, cherchant son souffle comme après une épreuve de course à pied.
Je reste à genoux, assis sur mes talons. La tête penchée en arrière, le visage vers le ciel, je respire à grand coup afin de faire chuter mon rythme cardiaque. Je n’ai pas joui et pourtant je me sens épuisé, la tension nerveuse étant au maximum. Les yeux fermés je me repasse les dernières images, celles de la jouissance de Marine. Je ne sais pas combien de temps je garde cette position mais tout d’un coup, je sens une main se poser sur mon sexe toujours en érection. J’ouvre les yeux, Elle est là, devant moi, mon adorable coquine… Souriante, son regard exprime une sorte de lassitude. Elle se penche vers moi et couvre mon visage de petits bisous plein de tendresse. Sa bouche passant près de mon oreille murmure :
_ Merci… merci mon amoureux de me donner tout cela… A toi maintenant… Viens !
Sans me quitter des yeux, elle s’allonge sur le dos, prête à me recevoir. Je m’allonge sur elle et sens ses bras entourer mon torse. Je n’ai aucun effort à fournir pour la pénétrer tant elle est humide. Je m’enfonce en elle et l’entend pousser un petit « hummm » de satisfaction. Je la connais, je sais qu’elle peut jouir encore… Je commence à la baiser, lentement, concentré sur son plaisir. Je dois tenir, je dois me retenir, faire durer, je veux la faire crier à mon tour. Au bout de plusieurs minutes, je décèle les premiers signes révélateurs d’un plaisir croissant. Son bassin entre en mouvement parfaitement synchronisé avec mes coups de rein. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, elle respire plus fort et laisse échapper des petits cris de gorge. Remontant ses cuisses, elle enveloppe mon corps de ses jambes afin de mieux s’offrir à la pénétration profonde. A chaque fois que j’écrase mon pubis contre le sien, elle lâche une sorte de petit hoquet. Je n’en peux plus ! J’accélère, plus vite, plus fort, plus profondément. Elle ouvre les yeux et son regard hagard, voilé par le plaisir, m’enlève le peu de lucidité qu’il me restait. Ses jambes se détendent et me libèrent. Je la pilonne, concentré sur un seul but, la faire jouir encore et encore. Un bruit de clapotis ponctue chacun de mes coups de boutoir. Et soudain, elle redresse sa tête, le coup crispé, la bouche grande ouverte, elle pousse un grand cri, un « haaaaaaaa ! ». Le corps tétanisé, le front plissé, elle reste immobile en se mordant la lèvre inférieure pendant que je me libère à mon tour au fond de son ventre.
Trop de fatigue, trop d’émotion, les nerfs à fleur de peau, je suis là, allongé depuis deux ou trois minutes, essayant de me calmer. Je me sens vidé, épuisé. A mes cotés, la respiration de Marine, allongée sur le dos, me laisse deviner qu’elle est dans la même situation. Plus loin, Max, assis sur l’herbe, nous contemple, un sourire au coin des lèvres.
Soudain, il se lève et s’approche de nous :
_ Je vous laisse, j’habite tout prêt… On se voit demain matin ? Pour ranger la salle…
Je souffle un grand coup avant de lui répondre :
_ Ok, pas de problème… A demain matin…
Il regarde sa montre et rit doucement :
_ Heu, on est déjà demain matin. A tout à l’heure plutôt !
Je lui souris et lève le pouce en signe d’approbation. Il hésite et finit par dire :
_ Je me disais que si vous voulez, quand on en aura terminé avec les autres… Vous pourriez venir chez moi… Enfin, c’est comme vous voulez…
Il fait demi-tour et s’éloigne nous laissant seuls dans la nuit.