J'avais traité dans la nouvelle qui suit :
viewtopic.php?p=2569499#p2569499 une belle et chaude rencontre avec un couple. Je me suis aperçu, en reparlant avec mes complices, que je n'avais pas couvert tous les angles de ce rendez-vous.
Regards,Chapitre ICurieusement, mon cœur bat plus fort que pour notre première rencontre. Ton mari nous a laissé le champ libre ; de longues et merveilleuses minutes d’intimité totale s’offrent à nous. Le vertige me gagne brièvement. Nous avons beau en avoir parlé, cette perspective demeure inouïe. Toi et moi faisant l’amour sans témoin, comme s’il s’agissait d’une alliance candauliste !
Je frappe à la porte, et aussitôt tu m’ouvres.
Ah si j’avais pu faire une photo de tes yeux à ce moment précis ! Comme il est difficile de rendre exactement par les mots ce regard enflammé, brûlant, survolté, excité, sexuellement ensorcelé et envoûtant d’une femme mariée, chauffée à blanc, qui va s’offrir sans retenue, passionnément, totalement à son amant qui n’attend, lui aussi, que cela. Je pourrais être poétique, subtil, léger dans mon phrasé ; mais je serais bien loin du compte. Tes yeux sentaient le cul ! Oui, c’est très exactement ça. À ce moment-là, tu n’étais plus que la femelle en chaleur attendant son mâle pour baiser, ayant oublié son mari parti volontairement faire le tour du pâté de maison.
C’est peu dire que tu étais encore plus belle et désirable et que tu me rendais fou de toi.
Je bredouille un compliment en te découvrant si éblouissante. Tu souris. Les mots s’avèrent vraiment inutiles ; nos corps parlent d’eux-mêmes. Je t’embrasse langoureusement et intensément à la fois. Hollywood ne crée pas de plus beaux baisers tant celui-ci est magnifique, j’ose dire (presque) parfait. Le temps est mis entre parenthèses par la profondeur de notre échange lingual. Je t’embrasse aussi avec les yeux, plongeant mon regard de braise dans le tien. Mes bras t’enveloppent tendrement, comme si je voulais que cet instant ne finît jamais.
Chapitre IIMais tu as décidé de mener les débats tambour battant ; ton impatience pour passer aux choses sérieuses fait chaud partout. Tu me pousses malicieusement vers le lit, en souriant. Je n’oppose, évidemment, aucune résistance.
Dès que nous sommes sur cette couche, plus vautrés qu’allongés, tu enlèves prestement ta petite robe noire, simple et élégante. Je le déshabille rapidement aussi. Je te découvre dans des dessous magnifiques, qui mettent formidablement en valeur tes beaux seins lourds et tes hanches de pouliche. Tu n’es pas que belle et sexy, tu es avant tout bandante ! Je te veux encore davantage ; et je vais, bien sûr, t’avoir, te posséder.
Avant d’ôter tes dessous sexy, je vérifie de mes doigts l’état de ta chatte. Je la devinais mouillée, te connaissant bien ; je la découvre trempée, ruisselante. Je m’y enfonce comme dans du beurre. Je te doigte, tu fermes les yeux et tu gémis, tu halètes. L’intensité de notre rencontre est montée d’un cran. La chambre retentit de tes bruits de femelle excitée.
Tu n’y tiens plus. Tu m’aides fébrilement à te déshabiller, et tu te jettes sur ma bite dressée que tu enfournes dans ta bouche.
Que c’est bon, mais que c’est bon ! Tu me suces avec la passion et la science qui te caractérisent. Je suis aux anges. Je ferme les yeux et je suis au Paradis. Mais j’ai envie de plus. Alors j’accélère le rythme, pour notre plus grand plaisir, et je te baise littéralement la bouche. Tu grognes, je râle ; nous prenons notre pied.
Puis, ne pouvant résister à ta chatte soigneusement taillée pour me plaire, je me jette sur tes lèvres rougies d’excitation et j’entame un torride cunnilingus. Ton corps entier tressaille sous ma caresse, tu m’accueilles encore plus intimement dans ta bouche. Et tu mouilles comme une folle, inondant ma bouche avide de ta délicieuse cyprine.
La chambre est emplie de nos parfums
intimes. C’est devenu un baisodrome où deux amants en rut se font un bien fou.
Chapitre IIIJe ne vais pas pouvoir tenir à ce rythme endiablé. J’interromps notre soixante-neuf pour reprendre mon souffle. Je te contemple, ma femelle, alanguie sur le lit, tes ravissants tétons rosés, durs et dressés, ta fente béante et luisante. Toi aussi tu récupères. Je te caresse tendrement ; je n’ai jamais pu, ni su, ni voulu résister à l’appel de ta peau douce.
Mon rythme cardiaque ayant retrouvé des niveaux raisonnables, je décide qu’il est grand temps de jouer à la bête à deux dos. Je te déclare, ma Belle, que je vais te baiser, là, maintenant ! Tu souris et écartes immédiatement grand les cuisses. Je m’équipe. Tu fixes avec une envie incroyable l’opération. Tes yeux dévorent littéralement ma queue. Tu es prête pour la saillie, ta mue en salope excitée est achevée. Que tu es belle !
Je n’entre pas en toi ; je te défonce en missionnaire, tant ta chatte est une motte de beurre fondu. Tu gémis aussitôt, en t’agrippant à moi.
Nous ne faisons pas l’amour, nous baisons comme des bêtes en rut. C’est intense, passionné, animal ; sublime en fait.
Ton mari, non seulement ne nous regarde pas, mais il n’est même pas présent dans nos esprits. Nous sommes seuls dans notre monde de plaisirs, les yeux dans les yeux, nos langues emmêlées, nos sexes imbriqués.
Nos automatismes fonctionnant à plein, nous changeons, sans même échanger un mot, de position. Tu te mets à quatre pattes, comme une bonne chienne qui adore la levrette.
Mais avec ton cul de rêve offert à mes envies, je n’ai pas envie de te pénétrer tout de go. Je me précipite sur ta fente distendue et trempée. Je te bouffe littéralement la chatte une nouvelle fois. Je te gamahuche, je te lèche, je te lape, je te bois. Mes babines sont maculées de ton jus. Ton corps vibre et tremble.
Mais je vais plus loin. Ton bel œillet plissé m’appelle. Je positionne ma langue sur ton petit trou pour t’administrer une délicate feuille de rose. Ma salive ouvre peu à peu ton cyclope discret pour que ma langue y accède et le fouille. Tu es surprise, mais ton excitation balaye aussitôt toutes tes émotions.
Ton œillet est aussi bon et beau que ta chatte. Je m’y attarde, je m’y plais, j’y suis bien. En attendant que tu acceptes que ma queue y règne, souveraine, nature.
Puis, bandant comme un âne, je te prends le con en levrette. Tu es tellement chaude et trempée que tu mets le feu à la bite que tu enserres en resserrant tes parois vaginales. Agrippé à tes hanches que je tiens fermement, je te défonce.
Tu cries, je grogne. Putain que c’est bon de te baiser ! Je pourrais rester des heures en toi. Plus je te baise, plus j’ai envie de toi. Sensations fabuleuses, envies formidables.
Et ton mari n’est toujours pas là. Et nous l’avons totalement oublié. Et cela nous excite encore plus.
C’est empalée sur moi, ton beau gros cul secoué par ma bite et peloté par mes mains avides, que ton mari nous découvrira.
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