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par SwedenForCandice
#2599410
Oui, l'exhib est maintenant une envie naturelle comme être sexy au quotidien, de longue date.

Bien plus que jouer au delà du couple. A suivre pour vous :x et développer pour nous :oops:
Patrice63, sergio a liké
par Patrice63
#2599883
Dans le Cantal, Mai 2018, suite2...

Leur baiser n’en finit pas, leurs bouches se dévorent mutuellement et ça me rend dingue de voir ma coquine aussi chaude. J’en profite pour me déshabiller entièrement. Je saisis ma queue bien raide et je commence à me masturber tout en les regardant. Soudain, Marine se dégage de son étreinte, le repousse et lentement se laisse glisser à genoux sur le sol. Elle approche son visage de la bite bien dressée et commence à la lécher.

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Max enlève le reste de ses vêtement pour se retrouver lui aussi entièrement nu. Jambes écartés, il offre sa queue à la bouche de plus en plus gourmande de ma petite femme. Mon cœur bat la chamade, je serre plus fort ma bite dans ma main tremblante, c’est divin... Je regarde la bouche gober le gland gonflé de sang, le sucer presque avec avidité. La queue de Max coulisse dans la bouche grande ouverte et s’enfonce profondément dans la gorge de ma coquine. Appuyant ses mains sur la tête de Marine, il ondule des hanches, la baisant littéralement par la bouche tout en soufflant fort. Elle ne se dérobe pas, suçant, aspirant, léchant ce sexe avec une gourmandise non feinte. De temps en temps, pour reprendre son souffle, elle lui lèche les testicules tout en continuant de branler la hampe doucement. Puis elle le reprend en bouche et de nouveau, Max s’active en lui maintenant la tête.
Je ne sais pas combien de temps dure le spectacle, je m’en fou, je ne m’en lasse pas. Mais toute chose a une fin et, à bout de résistance, Max finit par s’écarter, visiblement au bord de l’éjaculation. Marine se relève, le souffle court, les joues rouges. Ni l’un ni l’autre n’ont le moindre regard pour moi, le mari voyeur !
Saisissant Marine par les épaules, Max la fait pivoter et la pousse contre la table. Puis, les mains sur ses hanches, son corps collé contre le sien, il se penche de nouveau pour l’embrasser à pleine bouche.
Je regarde fasciné le corps de Max onduler légèrement. Je devine qu’il frotte sa bite contre le ventre de Marine et décide enfin de m’approcher un peu.

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Je mate comme un ado, comme si je voyais ce genre de scène pour la première fois. Mes jambes sont en coton et je n’arrive pas à maitriser les tremblements qui agitent tout mon corps. Leurs bouches finissent enfin par se séparer et Max se recule un peu. Sa queue toute rouge se balance sous les yeux de ma coquine qui cherche, elle aussi, sa respiration. Je ne dis rien, je suis juste là, tout près, pour tout voir, tout entendre... J’aime le bruit de leurs souffles, l’odeur de leurs corps, j’aime leur excitation mutuelle. Max s’approche de nouveau mais Marine le repousse, un sourire sur les lèvres.
_ Attends... Je n’ai pas fini...
Prenant appui sur la table, elle se hisse dessus et se tourne pour se re trouver assise dans le sens de la longueur. Max l’observe, tel un prédateur aux aguets. Il se déplace pour se mettre dans l’axe, curieux de voir la suite. Je le suis, telle une ombre, discret, pas du tout vexé d’être mis sur la touche. Elle le regarde, lui et lui seul, yeux dans les yeux. On sent une sorte de combat entre eux, une guerre de provocation. En appui sur ses coudes, jambes serrées, elle reste immobile, avec toujours ce petit sourire narquois au coin des lèvres. Max inspire une grande goulée d’air et dit d’une voix rauque :
_ Montre moi !
Marine ne sourit plus mais ne bouge toujours pas.
_ Te montrer quoi ? Tu as déjà tout vu...
_ Montre moi ta chatte... J’ai envie de la voir bien ouverte...
Elle se mrd la lèvre inférieure puis le sourire réapparait doucement :
_ Tu veux la voir... comme ça ?
Tout en parlant, elle ouvre lentement ses cuisses sans aller trop loin.
Max fixe l’objet de ses désirs et respire plus fort, plus vite. Je réalise que j’ai moi aussi des difficultés pour respirer. Je sens comme une pression sur ma poitrine et la tête qui tourne un peu. Max la relance d’une voix étouffée :
_ Plus... Plus ouverte...
_ Il t’en faut toujours plus toi... Tu es plutôt gourmand...
Elle s’exécute doucement, écartant ses cuisses au maximum, s’offrant sans aucune retenue au regard de Max qui dégluti péniblement.
_ Putain que c’est beau...

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Ils restent là, tous les deux figés, comme hypnotisés l’un par l’autre. Je m’approche lentement derrière Max. Je n’en peux plus ! J’ai la tête qui bourdonne et une envie dingue de sexe. Envie de le voir la baiser sur cette putain de table. Je regarde ma femme se conduire comme une vraie, une adorable petite salope. J’ai du mal à garder les idées claires et surtout, du mal à rester dans mon rôle de mari voyeur ! J’ai envie de quelque chose que je ne peux pas garder pour moi. J’ai la bouche sèche et pourtant, j’arrive à parler :
_ Branles là !
C’est sorti comme ça, directe ! Une envie subite et incontrôlable. Marine me jette un bref coup d’œil mais na bouge toujours pas, gardant sa pause totalement indécente. Max semble enfin se réveiller et le souffle court, avance sa main vers la vulve totalement offerte. Fasciné, je regarde les doigts effleurer les lèvres brillantes, les écarter doucement tout en les caressant de bas en haut. Marine, la bouche grande ouverte, ferme enfin les yeux. Tremblante, elle aspire l’air à grande goulée, soumise à un plaisir intense. Les doigts se promènent un peu partout sur la fleur rouge écarlate, ruisselante. Max semble guetter la moindre réaction, le moindre tressaillement de sa victime. Il effleure à plusieurs reprises le petit bouton si sensible caché tout en haut des pétales et à chaque fois, arrache un petit gémissement à ma coquine. Puis le moment tant attendu arrive. Je regarde sa main se retourner, paume vers le haut, le majeur se tendre, bien droit et s’enfoncer lentement au cœur de la fleur. C’est trop violent pour moi. J’ai envie de voir plus près. Max se penche un peu en arrière afin de me permettre d’immortaliser cet instant magique.

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Le doigt entame alors un lent mouvement de va et viens et je vois ma coquine lâcher prise petit à petit. Son souffle s’accélère, devenant plus fort, plus ample. Ses cuisses et ses bras se mettent à trembler tandis que sa tête s’incline davantage en arrière. Ses gémissements s’intensifient rapidement et bientôt, Max doit ralentir, retirer son doigt pour éviter de la faire jouir. Il attend un peu, puis il avance de nouveau sa main, prêt à recommencer mais Marine se redresse, repousse la main et referme ses cuisses.
_ Non ! ça va trop vite... Pas maintenant...
De nouveau ce sourire, ma coquine reprend les rênes. Je reste scotché par son aplomb. Ma petite femme chérie redevient maitresse du jeu et j’en suis bouleversé. Je suis fou d’elle, c’est une déesse et je tombe en adoration, moi le petit mari candau, le petit voyeur insignifiant.
michpat, zztop, extazee et 44 autres a liké
par Patrice63
#2600059
Je confirme, @Dionysos06 , c'est hyper bandant de regarder sa femme se faire branler devant vous par un autre homme. Et si en plus elle vous regarde dans les yeux en même temps, ne serait-ce que quelques secondes, ça vous rend presque fou! :x
Fou de plaisir si on est un bon mari candau, bien sûr...
Merci @pat45 pour ce petit retour bref mais très explicite :)
michpat, Dionysos06, oliver77 et 5 autres a liké
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par sergio
#2600650
Superbe récit. On lit et on est dans la même pièce que vous à voir la même scène que toi. :oops:
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par SwedenForCandice
#2600722
Patrice63 a écrit : ... c'est hyper bandant de regarder sa femme se faire branler devant vous par un autre homme. Et si en plus elle vous regarde dans les yeux en même temps ... ! :x ...
une perfection candauliste en effet :x
sergio a liké
par PredatorBannana
#2600868
@Patrice63 Je ne peux qu'imaginer le plaisir que tu éprouves en partageant ton récit, comment derrière chaque mot choisi, tu dois être tremblant de fébrilité pour tout ce qu'ils te rappellent, de tes sensations, de ton état d'esprit, de ton excitation, de la vision de ta femme.
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2600956
Merci @SwedenForCandice , je retrouve le même genre de choses dans tes récits :x
@PredatorBannana , je te confirme que le fait d'écrire le récit de nos souvenirs me permet de revivre intensément ces moments. Je redécouvre beaucoup de choses à travers les notes d'un journal intime sur lequel je consignais tout mon ressenti à chaques fois que nous vivions ces expériences coquines. A l'époque, je n'envisageais pas de faire un récit plus "construit" mais je ne connaissais pas ce forum... :x
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par PhilLing
#2601058
@Patrice63

Sujet : Marine

Patrice63 a écrit :Dans le Cantal, Mai 2018...

Presque un an sans une seule rencontre coquine. Il faut dire que le fait que Marine ne soit pas fan des recherches sur internet ne facilite pas les choses. La routine finit par s’installer, le boulot, le lycée pour notre aînée, les prises de tête ne manque pas et le temps défile... nous n’en sommes pas encore à une chasteté totale, non, faire l’amour est toujours une nécessité pour nous mais au fil du temps, de petites envies particulières viennent me titiller les neurones et provoquer quelques contractions au niveau de mon bas ventre. Marine ne semblant pas avoir ce genre de pensée, je me retiens de lui en parler pendant quelques temps jusqu’au jour où...
Un soir, je craque. Nous profitons d’un moment de détente après le diner, les filles sont dans leurs chambres et nous regardons un film à la télé. Une histoire un peu compliquée entre trois couples amis. Je commence à me poser la question de savoir si je vais regarder le truc jusqu’au bout quand une scène un peu chaude se déroule devant nous. Au bout de quelques secondes, Le mec et la nana baisent comme des bêtes et je sens ma libido se réveiller. Machinalement, je pose ma main sur la cuisse de Marine, lovée contre moi et je murmure :
_ Ca fait longtemps qu’on n’a pas joué.
Marine se redresse et me jette un coup d’œil, un petit sourire au coin des lèvres.
_ C’est vrai... Ca te manque ?
Je réponds sans hésiter :
_ Oui... Pas toi ?
Elle fait une moue, semble réfléchir puis me répond :
_ Ben tant qu’on en parlait pas, non ! Mais maintenant... Je ne sais pas trop...
La scène se termine par un orgasme torride de la fille et je me tortille sur le canapé, je bande. Marine pose sa main sur ma braguette et pouffe de rire.
_ Ah ouiii, tu es en forme !
Tout en continuant de regarder la télé, elle masse doucement la bosse entre mes jambes puis, avec des gestes lents, elle défait mon ceinturon, ouvre mon pantalon et baisse la fermeture éclair de mon jean. Elle sourit maintenant et de ses doigts, extirpe ma queue de mon slip.
_ Tu voulais dire quoi exactement par « jouer » ?
Je suis hyper excité et maintenant que le sujet est lancé, autant tout lui dire.
_ J’ai envie qu’on baise... Moi, toi et... Quelqu’un d’autre...
Elle me branle lentement tout en fixant mon sexe. Sa main fraiche me fait du bien et je sens mon ventre se contracter. Soudain, elle se penche et prend ma bite dans sa bouche. Elle me suce lentement tout en me branlant puis se redresse.
_ Tu veux dire que tu as envie de me regarder baiser avec un autre mec ?
Je lui réponds dans un souffle :
_ Oui, c’est ça... Pas toi ?
Elle continue de me branler doucement tout en me regardant droit dans les yeux.
_ Ca va être compliqué... Pas avant Juillet... Je ne peux pas prendre de jours avant.
Elle replonge et recommence à me sucer. Je soulève mon bassin afin de faire glisser mon pantalon et mon slip sur mes chevilles. J’ouvre en grand pour bien lui offrir ma bite et mes bourses. Elle ressort ma queue de sa bouche et commence à me lécher un peu partout. Je perds pied peu à peu. Je plaque ma main sur sa nuque et l’oblige à s’enfoncer ma queue profondément dans sa gorge. Puis je la relâche et de nouveau, elle me pompe lentement en massant doucement mes testicules. Dans un souffle je lui répond :
_ Je me disais que... On a peut-être répondu un peu trop vite à Max pour sa proposition...
Elle s’arrête de me sucer et redresse la tête, une interrogation dans les yeux. Deux mois plus tôt, Max nous avait envoyé un message pour nous annoncer qu’il était de mariage dans le Cantal. Il avait loué une chambre d’hôte dans une ferme et s’étant aperçu que nous n’étions pas si loin que ça, il s’était dit qu’on pourrait peut-être en profiter pour se revoir. Etant pris le samedi et le dimanche, il nous proposait de le rejoindre le vendredi soir vu qu’il y serait depuis l’après midi. On avait décliné l’invitation, jugeant que c’était trop compliqué.
_ Moins de deux heures de route... Si tu ne débauches pas trop tard... On laisse les filles chez tes parents en passant et...
_ Et ? On file près d’Aurillac pour une partie de baise ?
Je la regarde, tout penaud. Elle résume directement ma pensée mais je n’ose pas l’avouer, pas comme ça en fait.
_ Ok, ok, je devrais peut-être te demander si tu en as envie avant... Désolé mon amour.
Elle me regarde d’un air sévère :
_ Merci de me le demander, en effet !
Je me dis que je vais laisser tomber, qu’elle n’est pas vraiment réceptive en ce moment et que ça attendra bien que sa libido se réveille. Je me penche vers elle et lui adresse un petit sourire d’excuse avant de l’embrasser tendrement. Je me redresse, prêt à changer de sujet quand elle se met à rire en regardant mon sexe. Forcément, j’ai débandé et ne suis pas vraiment à mon avantage. Je ris à mon tour en pensant qu’au moins, elle n’est pas fâchée, c’est déjà ça ! Elle me regarde droit dans les yeux et me dis tout bas :
Je veux bien essayer !
Je la regarde, surpris, cherchant à comprendre.
_ Essayer quoi ?
_ De débaucher plus tôt.
Là je reste baba, incapable de dire quoi que ce soit. Elle avance sa main et s’empare de la chose flasque située entre mes jambes. Lentement, elle me branle avec douceur et finit par me rendre très rapidement une certaine raideur. Elle semble songeuse en regardant mon sexe augmenter de volume et me dit sur un tout bas :
_ Tu as envie de le voir me baiser ?
Je déglutis difficilement avant de lacher un « oui » d’une voix étouffée. Je respire un grand coup avant de continuer :
_ Mais si tu n’en as pas envie, c’est pas grave... On verra plus tard...
Elle relève la tête et me sourit :
_ Qui te dis que j’en ai pas envie... Maintenant qu’on en parle.
On putain, que c’est compliqué parfois les femmes ! Je décide de ne rien répondre et d’attendre. Je bande de nouveau et je la regarde se pencherde npouveau pour me prendre dans sa bouche. Je suis très vite au bord de l’explosion mais elle décide de me torturer. Elle se redresse et tout en continuant de me branler doucement :
_ J’avais bien aimé le jeu avec la voiture... Vous étiez comme deux gamins devant une friandise.
Elle rit de nouveau et je lui répond :
_ Avoues que ça t’excitait bien de nous voir bander pour toi, pas vrai !
_ Hummoui, c’était plutôt... Hyper chaud là.
De son autre main, elle m’indique son ventre.
_ Tu pourrais peut-être recommencer ?
_ Je ferais ce dont j’ai envie monsieur ! Pour le moment, j’ai autre chose en tête...
Et elle plonge de nouveau sur ma queue dressée. Je ferme les yeux et très rapidement, elle m’amène au seuil de la jouissance. Au moment où elle devine que je vais lâcher prise, elle relève la tête et me fait gicler en me branlant énergiquement.
Soudain, on entend une porte claquer. Je me réajuste rapidement et elle se penche vers moi pour déposer un baiser rapide sur mes lèvres. Puis elle se relève en disant tout bas:
_ Tu devrais le prtévenir... C’est dans une dizaine de jour son truc si je me souviens bien... fin mai, non ?
Je la regarde, surpris ! C’est trop bon ça, elle est vraiment partante !
Elle se retourne et sors de la pièce me laissant seul, récupérant de mes émotions multiples et variées. Puis je sors mon portable et envois un message à Max
« Salut Max, pour ta proposition dans le Cantal, ce sera peut-être possible finalement. On se tient au courant. A plus »


Ca y est, on y est. Je me sens à la fois nerveux et euphorique. Marine regarde ses messages sur son portable pendant que je conduis, direction un village paumé entre St Flour et Aurillac. J’ai appréhendé toute la journée qu’elle ne puisse se libérer à temps mais finalement, elle y a réussi ! Je la sens un peu tendue mais en même temps, décidée. Je fais défilé dans ma tête notre soirée d’hier. Préparation de notre petite valise, rapide. Ensuite, elle m’a jeté hors de la chambre pour préparer un sac « spécial » dont j’ignore le contenu, à la fois frustrant et hyper excitant. Mais le top du top, c’est une fois couchés. On s’est câliné un long moment avec des petites caresses pleines de tendresse tout en se remémorant ce fameux weekend à Toulouse. Au fur et à mesure qu’on échangeait nos souvenirs, la tension est montée. Nos caresses sont devenues plus précises, moins tendres, plus directes. Sa main serrant ma bite bien raide tandis que je la doigtais... Rien que d’y penser, je sens ma queue se redresser dans mon jean. Comme je la sentais bien chaude, je lui ai, posé quelques questions tout en la branlant. Le genre de question bien hard avec à chaque fois une réponse courte, entre deux souffles, qui amplifie l’excitation.
_ Tu as envie de sa queue ?
_ Un peu... oui....
_ Tu as envie d’écarter les cuisses pour que je puisse bien voir ?
_ Oui... J’aime quand tu regardes...
_ Tu la prendras dans ta chatte cette fois ?
_ Non... Je sais pas... Derrière...
_ Tu as envie de le sucer aussi ?
_ Oui... J’aime bien...
J’ai fini par la baiser, en levrette, en la traitant de salope à voix basse pendant qu’elle étouffait ses cris dans l’oreiller. Une vraie furie ! Je me suis dis que si elle était autant excitée rien qu’en pensant à lui alors la suite risquait d’être tout simplement fabuleuse.
Le silence devient pesant dans la voiture. Marine ne dit toujours rien. Elle contemple le paysage qui défile devant nous. Je voudrai bien lui dire un truc pour la décontracter mais je ne trouve rien. Finalement, c’est elle qui prend l’initiative en me parlant de... son boulot ! Elle évoque un nouveau collègue. S’occupant de la comptabilité, elle est en relation avec les commerciaux pour la gestion des frais liés à leurs déplacements. Ils sont cinq répartis sur autant de secteurs couvrant toute la France. L’un d’eux vient de changer. Le nouveau s’appelle Fabien et semble plutôt sympa. Pour la détendre, je lui demande si c’est un jeune beau gosse. Elle me répond qu’elle n’a pas fait attention à son âge exacte mais qu’il est plus jeune qu’elle et plutôt pas mal. Puis le silence s’installe de nouveau.
Je sors de l’autoroute et suis les indications du GPS. On arrive enfin à destination, une ferme à l’écart d’un hameau, perdue dans la montagne au bout d’un petit chemin. Je reconnais la voiture de Max garée devant. Je coupe le moteur et on descend. Il fait doux et ça sent bon le printemps. On devine la partie habitation avec ce qui semble être deux portes d’entrée et dans le prolongement du bâtiment, un grand espace couvert bétonné où est garé un tracteur.
Soudain, l’une des portes s’ouvre et Max apparait. Il s’avance vers nous avec un grand sourire :
_ Salut ! Bienvenue sur mon domaine !
Il me sert la main avec vigueur puis se tourne vers Marine. Un petit temps d’hésitation avant qu’elle s’avance enfin et l’embrasse sur les deux joues avant de lui lancer :
_ On ignorait que tu étais aussi un riche propriétaire terrien
Il éclate de rire avant de nous dire :
_ Figurez-vous que les propriétaires ont était appelés ce matin pour une histoire de famille à régler en urgence. Ils m’ont confié la garde du gîte jusqu’à demain. C’est drôle, non ? Moi qui ne savais pas trop comment leur dire que j’avais des visiteurs... Ben comme ça, c’est réglé, on est tranquille !
Je regarde de nouveau les alentours, pour être tranquille, on est tranquille, il n’y a aucun doute la dessus !
Max nous entraîne avec lui et nous lance :
_ Allez, je vous fais visiter le palace et ensuite, je vous invite au restau. Il y en a un pas très loin d’ici.
La chambre d’hôte se compose d’une grande pièce avec sa porte d’entrée indépendante. Une table recouverte d’une nappe blanche, le long d’un mur couleur crème. Un banc en bois, une chaise, une armoire, un lit et un bureau. Le sol est un revêtement plastique de couleur grise. Rien d’accroché au mur, c’es propre mais spartiate ! Sur un coté, une autre porte donnant accès à une petite salle de bain-toilettes. le long d’un mue deux pièces. Je regarde Max et lui demande :
_ Tu comptais nous faire passer la nuit ici sans que les propriétaires ne s’en doutent ?
_ Ben je m’étais dit que la solution la plus simple consistait à vous faire entrer tard dans la nuit... Par contre, je ne savais pas trop comment faire pour le matin... A part sortir discrètement pour monter dans ma voiture pour que je vous ramène à la votre garée plus loin...
J’éclate de rire.
_ Une vraie aventure ! Dommage qu’ils soient partis...
On rit tous les trois, je suis content, Marine semble se détendre petit à, petit. Je sors pour aller chercher nos bagages. Marine me rattrape et au moment ou je tends la main pour prendre son sac mystérieux, elle m’en empêche.
_ Non, celui-là reste dans la voiture.
_ Ha bon... Comme tu veux ma belle.
Je pose notre valise sur le sol dans un cpoin de la pièce et regarde ma montre, 19h. Je regarde Max et lui dit :
_ Tu dis que ton restau n’est pas loin mais tu sais ici, pas loin ne veut pas dire qu’on y sera vite !
_ Je sais, Maps me dit qu’il nous faut environ 45 minutes pour y aller. J’ai réservé pour 20h donc, si vous êtes prêts, on peut y aller tranquillement. Je vous emmène !
Avant de partir, On visite le hangar où trône le tracteur. A gauche un établi immense avec des outils un peu partout, des bidons, des pièces métalliques, bref le bazar habituel d’un atelier mal rangé. Max observe l’engin.
_ Je ne suis jamais monté dans un truc de ce genre. On jette un coup d’œil ?
Par chance la portière n’est pas fermée à clé. Des boutons partout, des écrans, un joystick, on dirait une cabine d’avion, impressionnant ! Marine teste le siège suspendue et déclare :
_ Plus confortable qu’une voiture. J’adore. Je veux le même, tu m’en achète un chéri ?
On redescend l’échelle en riant puis on file vers la voiture.
L’auberge est très « couleur locale », poutres apparentes, tomettes sur le sol, un côté rustique très chaud. La patronne est accueillante et les menus sont à l’image de l’endroit, simple, à base de produits locaux, très bon. Le pavé de Salers est un régal et le cote de Boudes qui l’accompagne est loin d’être mauvais... On s’echange les dernières nouvelles et à la fin du repas, on évoque notre fameux week-end à Toulouse. Marine est parfaitement détendue et rit beaucoup, surtout lorsque Max lui avoue que son spectacle avec la voiture bleue est toujours bien présent dans sa tête.
_ Franchement, qu’est-ce que tu étais bandante !
Les joues rouges, elle lui, répond :
_ Il ne vous en faut pas beaucoup !
_ Arrêtes... Tu es canon et les pauses... Putain, les pauses... Tu es une sacrée allumeuse !
Elle pouffe de rire en buvant son café. Je décide de lancer le jeu :
_ Tu pourrai peut-être nous faire une autre démo !
Elle me regarde, un sourire au coin des lèvres. Max me suit :
_ Oh que oui, j’aimerai trop... Tu veux que je te supplie ?
Elle rit franchement avant de répondre :
_ C’est ça, suppliez-moi et peut-être que...
Max se penche vers elle :
_ Allez, s’il te plait belle dame, montre nous ton talent caché...
_ Ah non, pas ici !
On rit de nouveau et les liqueurs de gentiane arrivent. On déguste, lentement, en silence, chacun dans ses réflexions. Je ne bande pas encore mais ça me gratouille un peu dans mon jean. Je me demande si ma coquine ressent la même chose... Et Max ?
On remonte en voiture, Max au volant, Marine assise à ses cotés et moi derrière. La route défile dans la lueur des phares. Au bout de 10 minutes, Max pose sa main droite sur la cuisse de Marine qui ne réagit pas. Il faut dire qu’elle est en jean ce qui limite les choses. La main caresse doucement et ce simple geste commence à m’exciter. Max conduit très lentement et l’ambiance est franchement électrique bien que totalement silencieuse. Je déglutis péniblement, j’ai envi de pousser les choses, juste un peu plus loin mais je ne sais quoi dire. Finalement, d’une voix étranglée, je lance un truc qui me parait totalement absurde :
_ Tu as mis quelle culotte aujourd’hui ?
A ma grande surprise, Max enchaîne aussitôt :
_ Oui, elle est de quelle couleur ?
Marine ne dit rien pendant quelques secondes puis laisse échapper :
_ Noire et bleue...
Je suis d’une fébrilité hallucinante. Je sens mon corps trembler de partout et surtout, je bande comme un malade. Je continue d’une voix toujours mal assurée :
_ Tu nous montres ?
Silence, la voiture a encore ralenti. Je regarde le compteur, à peine 50 km/h alors que nous somme dans une ligne droite. Max jette de fréquents coups d’œil sur sa passagère qui ne dit toujours rien. Je me dis que c’étaity bien tenté après tout et qu’on verra bien tout à l’heure mais d’un coup, Marine soulève son bassin de son siège. Elle défait le bouton de son jean, descend la fermeture éclair puis, passant ses mains de chaque coté de hanches, les glisse sous son pantalon et le baisse jusqu’à mi-cuisses. Elle expose une petite culotte de dentelle noire et bleue telle qu’elle nous l’avait dit. Max a du mal à rester concentré sur la route. Il mate toutes les trois secondes et moi aussi. Soudain Max avance de nouveau sa main et la pose sur la peau nue de la cuisse. Marine regarde droit devant elle, sans réagir. La main remonte lentement vers la culotte qu’elle effleure du bout des doigts. Je regarde fixement ses doigts se promener sur la culotte puis s’arrêter au bord sur l’élastique. Son indexe crochette l’élastique et le tire pour baisser la culotte. Marine, toujours immobile, souffle plus fort. J’ai l’impression d’étouffer dans cette bagnole, il fait trop chaud ! Penché entre les deux sièges, je regarde le haut du petit minou de ma femme apparaitre durant quelques secondes. Le temps pour Max de jeter un coup d’œil bien appuyé avant de lâcher le tissus qui remonte à sa place. Marine saisit son pantalon et le remonte en se contorsionnant sur son siège tout en disant :
_ Tu devrais te concentre sur la route, ce serait plus prudent !
Je me rejette en arrière sur mon siège en aspirant une grande goulée d’air. C’est bien parti !

Max gare sa voiture près de la notre et nous descendons tous les trois. Max ouvre la porte de la maison et je vais pour le suivre quand Marine me lance tout bas :
_ J’arrive dans dix minutes... J’ai un truc à faire.
Je la regarde, ébahi, prêt à lui demander une explication.
_ Allez, vas-y, je n’en ai pas pour longtemps... C’est une surprise !
Ok, je me retourne et rejoins Max. Je lui dit que Marine doit nous rejoindre et qu’en attendant, on pourrait peut-être boire un coup. Je fouille la valise et j’en sors une bouteille de Morgon.
_ Bon, je suis con, je n’ai pas pensé au verre.
_ Attends, il y en a deux en plastique dans la, salle d’eau. Ça fera bien l’affaire !
Je sors mon couteau pour déboucher la bouteille et nous voilà tous les deux en dégustation. Il est bien, bonne température, bon bouquet, dommage que le plastique gâche un peu tout ça. Max me regarde et me sourit :
_ Je suis trop content de vous retrouver... Ta femme me fait toujours le même effet...
je ris en sirotant mon verre. J’ai la tête qui, tourne un peu, je me sens hyper bien. J’ai envie de le provoquer :
_ Tu as envie de la baiser ?
Il éclate de rire puis se calme rapidement. Il me fixe de ses yeux plissés :
_ Oh que oui et je parie que toi aussi tu as envie que je la baise, pas vrai ?
_ Tu devines bien... Et je pense qu’elle aussi en a envie.
Il lâche un gros soupir, comme s’il se délecter à l’avance de ce qui allait venir. Je ferme les yeux et j’imagine tout de suite sa queue allant et venant dans le cul de ma coquine. Aussitôt, je sens la mienne gonfler dans mon jean. Je secoue la tête et Je jette un coup d’œil à ma montre, cela fait plus d’une demi-heure qu’on est là à l’attendre, c’est bizarre.
_ Je comprends pas ce qu’elle fou, elle m’avait dit 10 minutes... On va voir ?
Max se lève, finit son verre et répond :
_ Elle ne doit pas être bien loin.
On sort dehors, le silence de la nuit, les voitures qui brillent à la lumière du hangar totalement éclairé par de puissants spots et rien d’autre. C’est ça qui est étrange, ce hangars éclairé comme en plein jour ! On y va. Au début, je ne vois rien d’anormal. Le silence, le tracteur toujours aussi imposant et soudain je remarque un mouvement dans la cabine du tracteur. Max suit mon regard et reste figé sur place, tout comme moi, incapable d’avancer ni de dire quoi que ce soit. J’ai l’impression de recevoir une petite décharge électrique au creux des reins et mon ventre se crispe presque douloureusement. Elle est tout simplement sublime !
_ Salut les gars! On vient enfin voir si je vais bien ? Vous en avez mis du temps !
On ne répond rien, totalement hypnotisé par cette vision de rêve. Tout y est, le chemisier blanc grand ouvert sur un soutien gorge comprimant les seins, la jupe courte, la culotte de dentelle noire, les bas, les bottes, tous ce qui peut rendre un mec fou de désir !
Elle nous toise du haut de la cabine, un sourire provoquant sur les lèvres.

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On reste paralysé. Son regard plein de provocation, un regard de salope prête à tout. Elle finit par se lever du siège et commence à descendre l’échelle en nous faisant face. Ses cuisses moulées dans ses bas, sa culotte apparaissant par intermittence, putain que j’ai envie de la baiser !

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Je jette un coup d’œil du coté de Max et constate sans surprise qu’il est dans le même état que moi. J’imagine sa bite qui doit sacrément être serrée dans son pantalon, comme moi.
Arrivée en bas de l’échelle, elle se retourne, nous offrant une vue sur son cul.

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Une fois sur le sol, elle s’avance vers nous et de nouveau nous regarde, l’un après l’autre droit dans les yeux. Elle ne rit plus et me lance sur un ton provocant :
_ J'espère que je vous fait, bander...
J’ai la bouche sèche et avant que je reprenne mes esprits pour lui répondre, elle se retourne vers le tracteur. Elle s’avance vers l’avant de celui-ci et s’assoit sur la masse avant. Toujours en nous fixant, elle enchaine les pauses, toutes plus impudiques les unes que les autres. J’entends son souffle et je devine que sa petite séance d’exhib l’excite énormément.

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Elle finit par nous faire face, cuisse écartée, sort un de ces seins avant de reprendre la pause et nous lancer :
_ Vous en pensez quoi ?

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Je sens que ce soir, tout est permis entre nous. Je m’approche en tremblant. La gorge serrée, je la provoque à mon tour :
_ Je suis sûr que Max a la même envie que moi...
Max est à mes côtés. Lui aussi respire fort. Lui aussi est sous le choc. Il avance sa main et s’empare de sa poitrine gonflée et commence à la malaxer doucement. Marine le fixe toujours droit dans les yeux, sans sourire. Soudain elle se relève et le repousse. Puis elle se dirige vers l’interrupteur de commande de l’éclairage et éteint les spots. Elle marche devant nous en exagérant son déhanchement, tortillant son cul à l’extrême. Elle ouvre la porte de la chambre et entre sans même nous regarder.


Elle est facile mais j'aimerais labourer devant le tracteur ;-) !
Patrice63 a liké
par Patrice63
#2603503
Dans le Cantal, Mai 2018, suite 3 et fin...

Marine reprend son souffle, les yeux fixés sur ceux de Max qui lèche ses doigts comme s’il dégustait une friandise. Je devine, de nouveau, une sorte de provocation chez elle, l’envie de donner envie… Elle me jette un coup d’œil et me fait un petit sourire. Aucun doute sur le fait qu’elle devine mon plaisir intense de la voir s’offrir ainsi à un autre homme. Elle sait ce que j’aime dans ces moments là, ma complice, ma coquine. Je m’avance vers elle et me penche pour l’embrasser sur la bouche. Sa langue jaillit aussitôt à la rencontre de la mienne. Un baiser chaud, sexuel, limite violent. Lorsque je me redresse, elle murmure à voix basse :
_ Tu aimes regarder, ça te plait?
Je lui réponds sur le même ton :
_ J’adore... Vas-y montre lui tout... Ta chatte... ton cul...
Elle mord sa lèvre inférieure, un signe que je connais bien maintenant. Mon désir, mes envies l’excitent encore plus.
Je recule un peu et de nouveau elle regarde Max droit dans les yeux. Il aspire un grand coup, sans doute au supplice. C’est tellement évident qu’il crève d’envie de la baiser.
Elle se balance légèrement d’avant en arrière, toujours assise sur la table, les cuisses grandes ouverte.
J’ai envie de prendre les rênes de ce jeu qui me convient parfaitement. J’ai envie de la voir s’exhiber en mode salope, totalement indécente... Je perds le contrôle, je le sens bien mais c’est tellement fort, tellement bon de vivre des choses aussi intenses. Je ne reconnais pas ma voix, rauque, tremblante :
_ Allonge toi et remonte tes cuisses !
Elle me regarde, surprise de mon intervention puis avec un petit sourire, se laisse aller en arrière, sur le dos. Puis, lentement, plaçant ses mains derrière ses genoux, elle remonte ses cuisses en les écartant.

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Silence, totalement hypnotisés par la vue qui s’offre à nous, on se branle tout doucement tout les deux.
J’ai la bouche sèche et la gorge qui me brûle. C’est tellement… Tellement intense que j’en oublie presque que c’est ma femme qui joue un de ses rôles préférés.
Un véritable appel au viol ! Max tremble de partout, sa main serre son sexe comme pour l’empêcher de se ruer vers la fente totalement offerte. J’ai mal au ventre tellement je suis crispé et m’appuis contre le mur, le souffle court. C’est terrible d’avoir autant envie de sexe…
Marine garde la pause quelques secondes puis tout doucement, pose son talon gauche sur la table, les cuisses toujours grandes ouvertes. Elle glisse sa main droite sur son ventre puis sur son sexe et là, sous nos yeux ébahis, elle se caresse lentement dans un acte suprême de provocation.

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J’ai la tête qui tourne, elle me rend dingue ! Et l’autre aussi commence à devenir maboule…
_ Putain, c’est pas humain ton truc… J’ai trop envie de te baiser…
Marine relève la tête et murmure :
_ Non ! Pas comme ça…
Elle se redresse, les yeux fixés sur la queue de Max, puis se retourne lentement en se mettant à quatre pattes. Reins cambrés, jambes légèrement écartées, elle nous offre son cul, sublime. Puis lentement, elle glisse sa main gauche sous son ventre pour atteindre sa vulve. De nouveau, à l’aide de son majeur, elle se caresse.

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D’une voix rauque, elle lance :
_ Je préfère comme ça...
Son doigt effleure ses lèvres brillantes, s’enfonce légèrement dans sa vulve puis ressort et recommence encore et encore. Elle continue presque à voix basse :
_ Non... Toi tu n’as pas le droit ici…
Elle remonte son doigt pour atteindre son anus qu’elle masse doucement quelques secondes.
_ Toi, c’est là que tu peux venir me voir…
Tout à coup, la main se retire et va rejoindre l’autre. En appui sur ses bras tendus, son cul toujours offert, elle tourne la tête vers nous.

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Elle nous observe quelques secondes puis fixe ses yeux sur Max. D’une voix profonde :
_ Viens… Baise-moi par là… Comme la dernière fois… Viens, j’ai trop envie…
Max s’avance immédiatement. Penché en avant, il plonge son visage entre les fesses bien écartées et commence à la lécher. Immédiatement, elle laisse échapper un soupir, haletante, tête penchée en avant. C’est trop violent pour moi, j’en ai marre d’attendre, je veux ma part… Je contourne la table pour me placer devant sa tête. Ce n’est plus ma femme ni ma maitresse ni ma coquine. Je perds la tête et me laisse aller à mes pires instincts. Je suis un mâle en rut devant une femelle en chaleur. Empoignant ses cheveux, je lui redresse la tête lentement afin de lui offrir ma bite à sucer. Elle l’embouche immédiatement et, les yeux fermés, commence à me pomper pendant que Max continue de la préparer. Tout en ondulant des hanches comme si je la baisais par la bouche, je l’observe déguster cette chatte et ce cul totalement à sa disposition. Marine gémit, la bouche pleine de ma bite. Elle se balance d’avant en arrière, ses reins creusés afin de mieux s’offrir à la bouche qui la dévore. Il ne faut pas longtemps pour que je sois à la limite. Je me retire, au bord de l’explosion,, prêt à gicler. Soudain, Max se redresse et se retourne. Il fait trois pas vers un petit meuble et prend un préservatif posé dessus. Rapidement, il revient vers nous, enfile le petit bout de caoutchouc puis recommence à lécher le cul de ma belle. Il finit par se redresser de nouveau et, à l’aide de ses doigts, masse doucement l’œillet totalement offert afin de le détendre. Puis il saisit sa queue, fermement, et pose son gland sur le petit trou étoilé. Je regarde le bout de sa bite se frotter verticalement entre les fesses bien ouvertes. Descendre vers la vulve aux lèvres brillantes de cyprine, les effleurer puis remonter vers l’œillet. Au bout de quelques allers-retours, il finit par s’immobiliser sur l’orifice plissé et par s’y enfoncer très lentement, au fur et à mesure que l’entrée se dilate.
Mon dieu quel spectacle ! Voir sa femme se faire enculer d’aussi près, c’est tout bonnement merveilleux ! Marine ne bouge plus, respirant fort durant toute la durée de l’introduction. Au moment ou Max donne un petit coup de rein pour aller le plus profondément possible, elle laisse échapper un petit « oh » de satisfaction.
Max commence ses va et viens sur un rythme lent. Ses mains agrippant les hanches rondes de ma coquine, il la baise profondément, avec application, dégustant son plaisir. J’en profite pour offrir de nouveau ma bite à sucer et ma coquine ne s’en prive pas. Chaque coup de rein de Max se solde par un « hummmm » de Marine qui se donne entièrement, bien cambrée, la bouche grande ouverte. De temps en temps elle redresse la tête afin de reprendre son souffle puis elle replonge de nouveau sur ma bite afin de la lécher et la sucer.
Ce n’est pas la première fois que je vis cela mais c’est toujours aussi fou ! Je ne me lasse pas de regarder la queue de l’autre aller et venir entre les fesses de ma femme. S’enfoncer tout au fond de son ventre, ressortir et s’enfoncer de nouveau. Ma femme, ma petite coquine, ma salope qui en redemande...
Je sens peu à peu mon ventre se crisper. J’ai le bout de mon sexe en feu tandis que cette bouche continue de l’aspirer, de le sucer comme un sucre d’orge. Je n’en peux plus, j’en ai trop envie, trop envie de jouir. Je me retire brusquement, saisit ma bite et me branle vigoureusement. Mon sperme jaillit et arrose copieusement ses cheveux et son dos. J’ai l’impression de me vider de toute mon énergie dans des spasmes que je ne contrôle pas. Je titube en arrière et me laisse tomber sur une chaise tout en continuant de mater les deux autres toujours en action. Marine, en appui sur un bras, glisse l’autre sous son ventre. D’où je suis, je vois nettement sa main se glisser entre ses cuisses pendant que Max continue de l’enculer de plus en plus vite.
Elle se masturbe ! La tête penchée en avant, soufflant sur le même rythme que les coups de reins de Max, la bouche grande ouverte, cherchant l’air. C’est fantastique, bestiale, du sexe à l’état pur, sans aucune retenue. Ils grognent, gémissent tout en s’agitant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Et soudain, la tempête se déchaine. Marine, balançant sa tête de coté, les cheveux dans les yeux, se met à feuler, folle de plaisir. Elle jouie, elle hurle et je regarde, tétanisé, émerveillé, la fontaine qui ruisselle de son sexe tandis qu’elle continue de se branler frénétiquement. A son tour Max lâche une sorte de rugissement. Il s’arrête d’un coup, la queue enfoncée tout au fond de ce cul qui tremble et qui, je le devine, se rempli de sa semence. Un pure moment de folie !
Ils restent ainsi, soudés l’un à l’autre un long moment, crispés, tremblant de tous leurs membres puis Marine bascule en avant, à plat ventre, exténuée.
Max vacille, s’appuie contre la table, à bout de souffle. Je me lève et rejoins ma coquine, haletante, reprenant peu à peu ses esprits. Je lui caresse la tête, son dos, j’ai tellement de choses à lui dire.
_ Je t’aime...Putain comme je t’aime... C’était merveilleux... Je t’aime mon ange... mon amour à moi...
Sa main saisit la mienne et la sert très fort. Puis, lentement elle se retourne sur le dos et me regarde droit dans les yeux.
_ Moi aussi je t’aime très fort... Toi mon homme...
Elle ferme les yeux, récupérant peu à peu. Je pose ma main sur sa poitrine palpitante. Ses seins gonflés bien fermes, ses tétons toujours aussi durs, je caresse doucement ces trésors tout en me penchant afin de poser délicatement mes lèvres sur les siennes. Sa bouche s’entrouvre aussitôt laissant le passage à sa langue qui s’enroule doucement autour de la mienne dans un baiser d’amoureux, plein de tendresse.

Le trajet du retour se passe dans le silence. Marine dort profondément. Après la douche, nous nous sommes couchés tous les trois, serrés dans le lit. Je m’attendais à ce qu’elle s’allonge entre nous deux mais elle a préféré s’étendre de mon coté, la tête niché dans mon cou. Elle s’est endormie comme une masse, fatigue émotionnelle trop forte, sans doute. Ce matin, au moment de quitter Max, je l’ai sentie sur la réserve quand il a émit l’idée de se revoir. Elle lui a répondu de manière évasive.
Peu après notre départ, je lui ai demandé si ça allait. Elle est resté muette quelques instants en contemplant la route, comme si elle réfléchissait puis a tourné la tête vers moi.
_ Désolée mais cette nuit... Je n’arrivais plus à... Maitriser. Je... J’avais hyper envie, à la fin, qu’il... Ben qu’il me pénètre plus bas...
Surpris, je n’ai pas répondu tout de suite moi non plus.
_ Tu veux dire... Dans ta chatte ?
Silence.
_ Oui.
_ Ben pourquoi tu ne le lui a pas dit ? Tu sais bien que j’adorerai voir ça !
Silence.
_ Je ne sais pas... Je me rends compte que c’est stupide mais maintenant c’est devenu une sorte de principe idiot... Je me dis aussi que ça devient de plus en plus... fort... cette envie... J’ai besoin de réfléchir à tout ça...
_ En tout cas, moi, je ne demande que ça. Il m’arrive d’en rêver tellement j’en ai envie... Voir une autre bite s’enfoncer dans ta chatte, hummmmm, ce serait le top du top !
_ Pfffff, t’es bête... Si ça se trouve, tu ne supporteras pas de le voir et tu me demanderas d’arrêter tout de suite.
_ Sûrement pas !
_ Et si je deviens complètement nympho, tu feras quoi ?
_ Ben je passerai mon temps à te chercher des mecs... Plein de mecs pour te baiser devant moi !
Elle a éclaté de rire.
Et maintenant, elle dort. Je la regarde avec un petit sourire. Sa confidence me ravit ! Son envie de plus en plus forte de passer le cap est, pour moi, une excellente nouvelle...
mmpvgm, georges, Michel3132 et 36 autres a liké
Avatar de l’utilisateur
par Dionysos06
#2603556
@Patrice63 Le bonheur, la folie, l'extase, la tempête érotique, les gémissements, les cris, les soubresauts, tout est synonyme de "Marine la sage" quand elle devient "Marina la chienne" (c'est évidemment un compliment). Un récit merveilleux, comme à chaque fois ; et toujours les illustrations de la belle en feu. Plus que jamais fan. Merci infiniment. D'autant que l'évolution de la maîtresse coquine n'est sûrement pas achevée et que d'autres conquêtes sont à portée de queues :cuck: :x <3
Patrice63, sergio a liké
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par SwedenForCandice
#2603572
Et si je deviens complètement nympho, tu feras quoi ?
_ Ben je passerai mon temps à te chercher des mecs... Plein de mecs pour te baiser devant moi !
quel talent de ta femme pour s'assurer de ta responsabilité morale et acceptation totale des suites à venir :x

Elle n'est nullement la seule <3 :x <3
Patrice63, sergio a liké
par Patrice63
#2603857
. D'autant que l'évolution de la maîtresse coquine n'est sûrement pas achevée et que d'autres conquêtes sont à portée de queues :cuck:

Mon cher @Dionysos06 , après ces retrouvailles avec Max, il y a eu une sorte de break. Marine se posait beaucoup de question sur son envie de sauter le pas (se laisser pénétrer par devant). Nous avons eu une "période retour en arrière, sans acte de pénétration." . Et durant cette période, en parallèle, le dénommé Fabien s'est peu à peu installer dans notre vie coquine. Une progression assez lente (1 an et demi) durant laquelle j'ai fait tout ce qu'il fallait pour atteindre enfin le paradis (janvier 2020) :x

. quel talent de ta femme pour s'assurer de ta responsabilité morale et acceptation totale des suites à venir

Oui @SwedenForCandice , je pense que cela arrangé bien Marine que je la pousse dans une certaine direction... Après tout, quoi qu'il arrive, c'est moi qui l'ai voulu :x

Merci @regardiscret pour ce très beau compliment qui me touche beaucoup.
Dionysos06, pat45, regardiscret et 5 autres a liké
par Patrice63
#2604831
Merci @freebedon , on peut effectivement parler de brin de folie... A chaque fois, Marine se posait toujours la question suivante quelques jours après : "Comment ai-je pu faire un truc pareil?". Elle regrette toujours le fait qu'elle ne soit plus capable de contrôler ses impulsions au-delà d'un certain seuil d'excitation. Moi, je lui répondais toujours la même chose: "Mais c'est ça qui est génial, mon amour!". :x
J'ai dit "se posait..." . Aujourd'hui, elle ne se pose plus cette question, depuis que nous avons une relation "suivie" avec Fabien, elle se lâche totalement et c'est tout simplement grandiose. Elle nous comble totalement en nous suivant dans tous nos jeux... :x :x :x
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par Dionysos06
#2604851
Marine a déposé ses craintes et ses inhibitions aux pieds de Marina et au bout de la queue de Fabien. Tout va bien dans votre univers candauliste. La coquine tourne, lumineuse et libérée, autour de ses plaisirs avoués et assouvis. :cuck: :x
sergio a liké
Avatar de l’utilisateur
par michpat
#2604855
Patrice63 a écrit : . Aujourd'hui, elle ne se pose plus cette question, depuis que nous avons une relation "suivie" avec Fabien, elle se lâche totalement et c'est tout simplement grandiose. Elle nous comble totalement en nous suivant dans tous nos jeu

Ca y est, elle est sereine et rassurée sur votre couple,(toujours la crainte de briser quelque chose) elle a confiance en elle, confiance en ton amour pour elle et confiance en l'amant régulier ce qui fait qu'elle a levé toutes les barrieres !
Dorenavant, ca fait partie de votre sexualité et de votre équilibre ! Bravo à vous 2
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par SwedenForCandice
#2604859
Comme @michpat , je n'aurais pas noté un autre extrait ... et le confirme pour la relation même très épisodique entre elle et son premier amant. Un lâcher prise total, au delà même de ses limites initiales
par Patrice63
#2604902
. Ca y est, elle est sereine et rassurée sur votre couple,(toujours la crainte de briser quelque chose) elle a confiance en elle, confiance en ton amour pour elle et confiance en l'amant régulier ce qui fait qu'elle a levé toutes les barrieres !

C'est très bien résumé @michpat . A partir du moment où Fabien est entré dans notre vie, il y a eu chez elle une autre progression (où j'ai joué un rôle certain :x ). Presque deux ans, donc progression très lente malgré nos expériences passées ! C'est cela que je vais présenter dans mes prochains récits en essayant de partager avec vous mon excitation intense au fur et à mesure que je sentais le moment tant rêvé approcher. :cuck:
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