Dans le Cantal, Mai 2018, suite 3 et fin...
Marine reprend son souffle, les yeux fixés sur ceux de Max qui lèche ses doigts comme s’il dégustait une friandise. Je devine, de nouveau, une sorte de provocation chez elle, l’envie de donner envie… Elle me jette un coup d’œil et me fait un petit sourire. Aucun doute sur le fait qu’elle devine mon plaisir intense de la voir s’offrir ainsi à un autre homme. Elle sait ce que j’aime dans ces moments là, ma complice, ma coquine. Je m’avance vers elle et me penche pour l’embrasser sur la bouche. Sa langue jaillit aussitôt à la rencontre de la mienne. Un baiser chaud, sexuel, limite violent. Lorsque je me redresse, elle murmure à voix basse :
_ Tu aimes regarder, ça te plait?
Je lui réponds sur le même ton :
_ J’adore... Vas-y montre lui tout... Ta chatte... ton cul...
Elle mord sa lèvre inférieure, un signe que je connais bien maintenant. Mon désir, mes envies l’excitent encore plus.
Je recule un peu et de nouveau elle regarde Max droit dans les yeux. Il aspire un grand coup, sans doute au supplice. C’est tellement évident qu’il crève d’envie de la baiser.
Elle se balance légèrement d’avant en arrière, toujours assise sur la table, les cuisses grandes ouverte.
J’ai envie de prendre les rênes de ce jeu qui me convient parfaitement. J’ai envie de la voir s’exhiber en mode salope, totalement indécente... Je perds le contrôle, je le sens bien mais c’est tellement fort, tellement bon de vivre des choses aussi intenses. Je ne reconnais pas ma voix, rauque, tremblante :
_ Allonge toi et remonte tes cuisses !
Elle me regarde, surprise de mon intervention puis avec un petit sourire, se laisse aller en arrière, sur le dos. Puis, lentement, plaçant ses mains derrière ses genoux, elle remonte ses cuisses en les écartant.
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Silence, totalement hypnotisés par la vue qui s’offre à nous, on se branle tout doucement tout les deux.
J’ai la bouche sèche et la gorge qui me brûle. C’est tellement… Tellement intense que j’en oublie presque que c’est ma femme qui joue un de ses rôles préférés.
Un véritable appel au viol ! Max tremble de partout, sa main serre son sexe comme pour l’empêcher de se ruer vers la fente totalement offerte. J’ai mal au ventre tellement je suis crispé et m’appuis contre le mur, le souffle court. C’est terrible d’avoir autant envie de sexe…
Marine garde la pause quelques secondes puis tout doucement, pose son talon gauche sur la table, les cuisses toujours grandes ouvertes. Elle glisse sa main droite sur son ventre puis sur son sexe et là, sous nos yeux ébahis, elle se caresse lentement dans un acte suprême de provocation.
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J’ai la tête qui tourne, elle me rend dingue ! Et l’autre aussi commence à devenir maboule…
_ Putain, c’est pas humain ton truc… J’ai trop envie de te baiser…
Marine relève la tête et murmure :
_ Non ! Pas comme ça…
Elle se redresse, les yeux fixés sur la queue de Max, puis se retourne lentement en se mettant à quatre pattes. Reins cambrés, jambes légèrement écartées, elle nous offre son cul, sublime. Puis lentement, elle glisse sa main gauche sous son ventre pour atteindre sa vulve. De nouveau, à l’aide de son majeur, elle se caresse.
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D’une voix rauque, elle lance :
_ Je préfère comme ça...
Son doigt effleure ses lèvres brillantes, s’enfonce légèrement dans sa vulve puis ressort et recommence encore et encore. Elle continue presque à voix basse :
_ Non... Toi tu n’as pas le droit ici…
Elle remonte son doigt pour atteindre son anus qu’elle masse doucement quelques secondes.
_ Toi, c’est là que tu peux venir me voir…
Tout à coup, la main se retire et va rejoindre l’autre. En appui sur ses bras tendus, son cul toujours offert, elle tourne la tête vers nous.
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Elle nous observe quelques secondes puis fixe ses yeux sur Max. D’une voix profonde :
_ Viens… Baise-moi par là… Comme la dernière fois… Viens, j’ai trop envie…
Max s’avance immédiatement. Penché en avant, il plonge son visage entre les fesses bien écartées et commence à la lécher. Immédiatement, elle laisse échapper un soupir, haletante, tête penchée en avant. C’est trop violent pour moi, j’en ai marre d’attendre, je veux ma part… Je contourne la table pour me placer devant sa tête. Ce n’est plus ma femme ni ma maitresse ni ma coquine. Je perds la tête et me laisse aller à mes pires instincts. Je suis un mâle en rut devant une femelle en chaleur. Empoignant ses cheveux, je lui redresse la tête lentement afin de lui offrir ma bite à sucer. Elle l’embouche immédiatement et, les yeux fermés, commence à me pomper pendant que Max continue de la préparer. Tout en ondulant des hanches comme si je la baisais par la bouche, je l’observe déguster cette chatte et ce cul totalement à sa disposition. Marine gémit, la bouche pleine de ma bite. Elle se balance d’avant en arrière, ses reins creusés afin de mieux s’offrir à la bouche qui la dévore. Il ne faut pas longtemps pour que je sois à la limite. Je me retire, au bord de l’explosion,, prêt à gicler. Soudain, Max se redresse et se retourne. Il fait trois pas vers un petit meuble et prend un préservatif posé dessus. Rapidement, il revient vers nous, enfile le petit bout de caoutchouc puis recommence à lécher le cul de ma belle. Il finit par se redresser de nouveau et, à l’aide de ses doigts, masse doucement l’œillet totalement offert afin de le détendre. Puis il saisit sa queue, fermement, et pose son gland sur le petit trou étoilé. Je regarde le bout de sa bite se frotter verticalement entre les fesses bien ouvertes. Descendre vers la vulve aux lèvres brillantes de cyprine, les effleurer puis remonter vers l’œillet. Au bout de quelques allers-retours, il finit par s’immobiliser sur l’orifice plissé et par s’y enfoncer très lentement, au fur et à mesure que l’entrée se dilate.
Mon dieu quel spectacle ! Voir sa femme se faire enculer d’aussi près, c’est tout bonnement merveilleux ! Marine ne bouge plus, respirant fort durant toute la durée de l’introduction. Au moment ou Max donne un petit coup de rein pour aller le plus profondément possible, elle laisse échapper un petit « oh » de satisfaction.
Max commence ses va et viens sur un rythme lent. Ses mains agrippant les hanches rondes de ma coquine, il la baise profondément, avec application, dégustant son plaisir. J’en profite pour offrir de nouveau ma bite à sucer et ma coquine ne s’en prive pas. Chaque coup de rein de Max se solde par un « hummmm » de Marine qui se donne entièrement, bien cambrée, la bouche grande ouverte. De temps en temps elle redresse la tête afin de reprendre son souffle puis elle replonge de nouveau sur ma bite afin de la lécher et la sucer.
Ce n’est pas la première fois que je vis cela mais c’est toujours aussi fou ! Je ne me lasse pas de regarder la queue de l’autre aller et venir entre les fesses de ma femme. S’enfoncer tout au fond de son ventre, ressortir et s’enfoncer de nouveau. Ma femme, ma petite coquine, ma salope qui en redemande...
Je sens peu à peu mon ventre se crisper. J’ai le bout de mon sexe en feu tandis que cette bouche continue de l’aspirer, de le sucer comme un sucre d’orge. Je n’en peux plus, j’en ai trop envie, trop envie de jouir. Je me retire brusquement, saisit ma bite et me branle vigoureusement. Mon sperme jaillit et arrose copieusement ses cheveux et son dos. J’ai l’impression de me vider de toute mon énergie dans des spasmes que je ne contrôle pas. Je titube en arrière et me laisse tomber sur une chaise tout en continuant de mater les deux autres toujours en action. Marine, en appui sur un bras, glisse l’autre sous son ventre. D’où je suis, je vois nettement sa main se glisser entre ses cuisses pendant que Max continue de l’enculer de plus en plus vite.
Elle se masturbe ! La tête penchée en avant, soufflant sur le même rythme que les coups de reins de Max, la bouche grande ouverte, cherchant l’air. C’est fantastique, bestiale, du sexe à l’état pur, sans aucune retenue. Ils grognent, gémissent tout en s’agitant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Et soudain, la tempête se déchaine. Marine, balançant sa tête de coté, les cheveux dans les yeux, se met à feuler, folle de plaisir. Elle jouie, elle hurle et je regarde, tétanisé, émerveillé, la fontaine qui ruisselle de son sexe tandis qu’elle continue de se branler frénétiquement. A son tour Max lâche une sorte de rugissement. Il s’arrête d’un coup, la queue enfoncée tout au fond de ce cul qui tremble et qui, je le devine, se rempli de sa semence. Un pure moment de folie !
Ils restent ainsi, soudés l’un à l’autre un long moment, crispés, tremblant de tous leurs membres puis Marine bascule en avant, à plat ventre, exténuée.
Max vacille, s’appuie contre la table, à bout de souffle. Je me lève et rejoins ma coquine, haletante, reprenant peu à peu ses esprits. Je lui caresse la tête, son dos, j’ai tellement de choses à lui dire.
_ Je t’aime...Putain comme je t’aime... C’était merveilleux... Je t’aime mon ange... mon amour à moi...
Sa main saisit la mienne et la sert très fort. Puis, lentement elle se retourne sur le dos et me regarde droit dans les yeux.
_ Moi aussi je t’aime très fort... Toi mon homme...
Elle ferme les yeux, récupérant peu à peu. Je pose ma main sur sa poitrine palpitante. Ses seins gonflés bien fermes, ses tétons toujours aussi durs, je caresse doucement ces trésors tout en me penchant afin de poser délicatement mes lèvres sur les siennes. Sa bouche s’entrouvre aussitôt laissant le passage à sa langue qui s’enroule doucement autour de la mienne dans un baiser d’amoureux, plein de tendresse.
Le trajet du retour se passe dans le silence. Marine dort profondément. Après la douche, nous nous sommes couchés tous les trois, serrés dans le lit. Je m’attendais à ce qu’elle s’allonge entre nous deux mais elle a préféré s’étendre de mon coté, la tête niché dans mon cou. Elle s’est endormie comme une masse, fatigue émotionnelle trop forte, sans doute. Ce matin, au moment de quitter Max, je l’ai sentie sur la réserve quand il a émit l’idée de se revoir. Elle lui a répondu de manière évasive.
Peu après notre départ, je lui ai demandé si ça allait. Elle est resté muette quelques instants en contemplant la route, comme si elle réfléchissait puis a tourné la tête vers moi.
_ Désolée mais cette nuit... Je n’arrivais plus à... Maitriser. Je... J’avais hyper envie, à la fin, qu’il... Ben qu’il me pénètre plus bas...
Surpris, je n’ai pas répondu tout de suite moi non plus.
_ Tu veux dire... Dans ta chatte ?
Silence.
_ Oui.
_ Ben pourquoi tu ne le lui a pas dit ? Tu sais bien que j’adorerai voir ça !
Silence.
_ Je ne sais pas... Je me rends compte que c’est stupide mais maintenant c’est devenu une sorte de principe idiot... Je me dis aussi que ça devient de plus en plus... fort... cette envie... J’ai besoin de réfléchir à tout ça...
_ En tout cas, moi, je ne demande que ça. Il m’arrive d’en rêver tellement j’en ai envie... Voir une autre bite s’enfoncer dans ta chatte, hummmmm, ce serait le top du top !
_ Pfffff, t’es bête... Si ça se trouve, tu ne supporteras pas de le voir et tu me demanderas d’arrêter tout de suite.
_ Sûrement pas !
_ Et si je deviens complètement nympho, tu feras quoi ?
_ Ben je passerai mon temps à te chercher des mecs... Plein de mecs pour te baiser devant moi !
Elle a éclaté de rire.
Et maintenant, elle dort. Je la regarde avec un petit sourire. Sa confidence me ravit ! Son envie de plus en plus forte de passer le cap est, pour moi, une excellente nouvelle...