- 04 déc. 2022, 16:39
#2669793
Pour public averti donc.
Quand je suis arrivé j’ai garé ma voiture sur le gravier du parking derrière sa maison. Il n’est pas venu m’ouvrir mais une dame, les cheveux noirs tirés en arrière m’a fait passer cérémonieusement devant elle. Elle portait une petite robe noire à col blanc et une petit tablier, purement esthétique. Elle me fit entrer dans le petit salon et ne semblait pas tenir compte de ce que je connaissais les lieux. Mon ami arriva quelques minutes plus tard. Alors , me demanda t’il? Qu’est-ce que tu en penses? Classe, non?
Je ne comprenais pas exactement de quelle chose précise il me parlait. "Quoi?, fit-je la … gouvernante ? "Je ne savais pas quel mot utiliser et de plus la dame qui m’avait ouvert était venue en silence se tenir debout derrière lui.
"Oui c’est ça, la pute là, la bonniche quoi"… J’étais interloqué. D’abord parce que cette dame semblait être tout sauf une pute mais aussi parce qu’elle était là à quelques centimètres. Impassible et soumise.
- "Ben…"
L’attirant à lui d’un geste impératif il la prit par la taille d’une façon assez rugueuse pour me dire: " je te présente ma femme, ma nouvelle femme…enfin mon vide couille personnel."
J’étais sidéré. La dame ne bronchait pas et j’étais assez impressionné.
- "Mais enfin! "
"Ne t’inquiètes pas" me dit-il, quelque chose dans son regard m’indiquait qu’il était le même homme jovial que je connaissais et pourtant la manière dont il parlait de cette femme m’interloquais. " Ne te fais pas de bile on va t’expliquer."
- " Ed apporte nous à boire, s’il te plaît"… puis comme s’il se reprenait d’un impair…" heu même si ça ne te plaît pas d’ailleurs". La dame tourna les talons et disparu vers un bar je suppose.
J’étais mal à l’aise et j’allais le dire à mon ami quand il me coupa la parole d’un air sombre; "laisse c’est un jeu…"
J’allais lui dire que ce jeu me semblait un peu déplacé mais la dame revenait avec un plateau d’argent garnit de deux verres de champagne et de deux objets oblongs en cristal qu’on aurait dit assortis aux coupes.
- "Bien pose ça sur la table et reste là, je veux te présenter à mon ami."
Puis s’adressant à moi:-" mais d’abord trinquons à nos retrouvailles et à mon mariage"
La dame se tenait droite et disponible près de la table basse et des fauteuils dans quoi on s’était installés.
- "Heu ta femme"…hasardai-je… "ne trinque pas avec nous?"
- "si si dit-il en posant ses lèvres sur son verre; tu es vraiment bien élevé toi."
- "Je veux te la présenter sous son meilleur jour" Et il la fit s’approcher.
Elle avait fait un pas, le regard baissé et se tenait entre lui et moi. Sans se lever de son fauteuil il posa son verre et en me disant: "regarde" il souleva la jupe de la dame dont le regard fixait toujours le sol.
J’avais du mal à avaler ma gorgée de champagne tant j’étais surpris.
Sous la jupe sobre de la dame, des bas s’arrêtaient au-dessus de la mi-cuisse et étaient retenus à l’ancienne par des jarretelles, au-dessus de quoi une minuscule culotte noire en dentelles très ajourée laissait voir une toison pubienne tout aussi noire. Il m’exposait sans vergogne le ventre de sa femme avec de petits commentaires salaces vraiment déplacés.
- "Tu as vu? Pas mal hein? Tourne toi ma chérie qu’on voit bien ton cul."
J’étais subjugué et je cherchais le regard de la dame pour comprendre où j’étais tombé. Mais c’était peine perdu parce que très doucement elle s’était tournée.
- "Beau cul cul hein?"
En effet j’avais devant les yeux le cul de cette femme très strictement vêtue si ce n’est que son mari relevait ses jupes dans une sorte de petit théâtre goujat.
Comme si j’avais émis le moindre avis il reprit: " c’est vrai tu as raison, on ne voit rien, baisse ta culotte ma pute…" Et doucement, avec grâce et naturelle la dame baissa sa culotte jusqu’à mi-cuisse et se pencha imperceptiblement vers l’avant pour bien nous montrer ses fesses, avec ce rien de coquetterie qui fait que ce léger mouvement les montrait en tension. On voyait distinctement entre le haut de ses cuisses serrées l’abricot de sa vulve, quelques poils et deux superbes globes fessiers.
Satisfait mon ami remarqua
- "voiààà! Pas mal hein ? Tu te rends compte que c’est là-dedans que je me laisse aller maintenant."
Puis, presque tendrement, il dit à sa femme "penche toi un peu plus et écarte bien tes fesses qu’on voit bien ton petit cul ma salope"
Tout aussi simplement elle se pencha un peu et de ses mains impeccablement manucurées elle écarta ses fesses sur un anus sombre et brun, magnifiquement plissé. La docilité de cette femme évaporait un peu mes scrupules mais je n’étais pas très à l’aise.
- "oui je vois bien", dis-je
- "Voilà on peut trinquer," répondit -il…" prends le gode que tu préfères sur le plateau"
Sur le plateau près de nous étaient en effet disposés deux objets de verre, lisses et dont la forme indiquait l’usage. Il me tendit le plateau en ayant pris soin que sa femme maintienne la jupe levée sur son cul et tienne bien écartées ses fesses.
Comme j’hésitais il prit un des objets et le trempa dans sa coupe de champagne puis le fit glisser sur les lèvres de la vulve de sa femme, en une ou deux aller-venues le bout du gode se fraya un écartement suffisant entre les lèvres brillantes de vin. Puis disparu en glissant dans la vulve de la dame penchée devant nous. Seul un petit frisson imperceptible passa sur sa peau.
- "Je te laisse l’autre, c’est le meilleur "nme dit , très satisfait, mon ami, " tiens enfonce le lui"
Devant mon air interloqué il me précisa :
-"dans son cul mon vieux! ne t’inquiète donc pas elle est préparée." En effet sous l’effet de l’étirement je voyais bien que ce délicieux trou de cul foncé était luisant sur ses bords.
Pendant que dans une sorte d’hypnose, je prenais sur le plateau l’objet transparent et allongé mon ami me dit:
- "trinquons" en me faisant signe de tremper le gode dans mon champagne.
Mécaniquement je trempais l’objet de cristal dans mon verre et je l’approchais délicatement de ce cul devant mes yeux. Il me sembla que la dame avait un léger mouvement quand je tournais le bout arrondi sur les fins plis de sa fleur, mais ce frisson venait vers l’objet et je l’insinuais avec une grande facilité dans l’orifice devant mon visage. Ce cul "aspira" l’objet et mon ami levait son verre :
-"santé" et cogna le bord de son verre sur ce qui dépassait du cul de sa femme.
Á son invite je fis pareil et j’entendis la femme dire doucement "saudé !"
Puis elle laissa retomber sa jupe et se redressa. Nous bûmes tout près d’elle qui avait reprit une position d’attente comme une bonne très chic, sauf qu’on voyait sa culotte baissée sous le niveau de sa robe impeccable.
L’idée de boire ainsi du champagne près d’une femme servile dont je savais que la vulve et l’anus était occupé par des objets de verre qui devaient se réchauffer en elle petit à petit, acheva de me troubler.
Subitement il dit :
-"allez viens avec nous"
Elle lui jeta un regard puis fit non de la tête. Mais il n’en démordit pas:
- "si ma salope tu vas enlever ces vêtements et tu va venir écarter tes cuisses près de nous…va chercher la bouteille "
Honnêtement j’étais choqué et mon ami le voyait. Elle tourna les talons et parti chercher ce qu’il lui commandait. Il avait un petit sourire satisfait sans que je puisse savoir si c’était de l’empire qu’il avait sur cette femme ou de la façon dont il me choquait. Il me dit pendant qu’elle revenait vers nous:
- "tu es trop bien élevé".
Elle revînt se placer droite devant la table basse et déposa la bouteille, une boîte de cigares et un nécessaire à fumer. Puis elle l’interrogea du regard et il lui répondit presqu’avec bonhommie:
- "alors tu les enlèves ces fichus vêtements, qu’on voie ta belle poitrine et ta chatte? "
Elle commença à faire glisser une tirette invisible le long de son dos et enleva l’une après l’autre ses manches. Lui la dévorait déjà du regard. Lentement et très précautionneusement cette femme dans la quarantaine assumée découvrit une poitrine généreuse, serrée dans un soutient gorge assortit à la culotte qu’elle nous avait si complaisamment montré. Elle fit glisser sa robe noire par dessous son tablier blanc et la déposa, pliée, sur le bord du canapé devant nous. Elle était grande sur ses talons, elle avait du rectifier ses bas et elle se trouvait en tablier, culotte et soutient-gorge devant nous comme si elle était habillée et prête à son service. Le maintient de cette femme et ses cheveux tirés lui donnait une certaine classe, en lingerie devant nous.
Il la félicita:
- " c’est bien… c’est mieux comme ça, assied toi là et écarte bien tes cuisses."
Elle s’assit devant nous et sans qu’aucune provocation ne se lise dans son regard noir elle écarta les jambes. Son tablier pendait devant son ventre. Mon ami lui intima de l’écarter et quand il vît qu’elle avait remonté sa culotte lui demanda poliment de me la donner. Elle se contorsionna un peu pour faire glisser le minuscule vêtement et me l’apporta. Il me dit :
- "sens! "
Je portais la culotte à mon visage mais je ne percevais qu’un léger parfum de lessive.
-"elle n’est pas mouillée?"
me demanda mon ami, je du lui répondre que non, alors il parut contrarié et dit à sa femme de venir se mettre devant moi à quatre pattes, que ce n’était pas une manière de recevoir un ami etc…
Comme pour s’excuser il me resservi et lui aussi. La dame était à quatre pattes devant moi et je ne savais pas très bien quoi penser. Parce qu’elle exécutait des ordres absurdes avec un grand naturel et ne semblait pas prendre ombrage de la façon dont son mari la traitait devant moi.
Prévenant il me dit sur le ton d’un hôte attentif que si j’éprouvais l’envie de me faire sucer la queue sa femme se ferait un plaisir de m’accommoder. Devant ma surprise il me dit qu’elle allait m’expliquer.
Il lui dit :- "raconte ma salope!"
La dame agenouillée devant moi me dit d’une voie claire:
"- je suis une salope, une pute, une chienne en chaleur de la pire espèce que vous ayez rencontré"
Elle me dit ça de façon dégagée comme une hôtesse prend des nouvelles de ses convives.
Il me regardait et d’un air de conclure il me dit :
- "là tu vois? Un pute!, la mienne, une gentille pute gratuite " et là-dessus il lui claqua les fesses d’une façon si sèche qu’elle sursauta un peu, avant de baisser les yeux.
Il lui dit:
-"tourne toi qu’on trinque" et elle nous montra son cul encore garni de ces godes de verre et nous y choquâmes nos verres. Á nouveau elle souffla "saludé"
Elle se retourna aussitôt et il lui dit de me raconter son histoire.
Elle me dit:
- " je suis une pute, un vrai vide couilles… je l’ai toujours été. Enfin…
Je suis née au Portugal, j’avais deux frères, deux grands frères, ils se battaient toujours, quand on jouait ensemble j’étais un peu leur souffre douleur, mais je les aimais tellement…je les admirais.
Puis mes parent m’ont mis chez les sœurs, à l’internat, elles étaient méchantes, c’était très strict, on ne pouvait rien dire et rien faire. J’étais bonne élève. Mais comme les autres j’ai pris quelques gifles, c’était comme ça, personne n’y trouvais rien à redire et moi j’avais l’habitude avec mes frères."
Mon ami lui claqua les fesses sans raison, elle sursauta à peine, il se tourna vers moi et me dit qu’elle appréciait toujours. Il lui dit "continue…si tu veux que je continue"
Elle reprit " à l’internat quand j’étais jeune fille il y a eu cette fille d’ambassadeur qui est venue, une chinoise, de Macau, elle était super belle, elle parlait bien le portugais.
Elle était plus délurée que nous, le sœurs ne l’aimaient pas parce qu’elles prétendaient qu’il n’y avait que des bordels à Macau. Aussi il se disait que son père, bien que négociateur auprès du gouvernement était un des plus gros maquereaux de Macao.
Je ne sais pas, c’était une chouette fille, plus coquette que nous.
C’est elle qui nous disait qu’il fallait qu’on blanchisse nos poils, sur les jambes et sur les bras avec de l’eau oxygénée. Le sœurs n’aimaient pas ces coquetteries. Il faut dire qu’elles, elles étaient laides.
Elles nous paraissaient vieilles, mais surtout laides, laides de méchanceté.
Elles étaient sévères, et nous on ne disait rien. Parce qu’on voyait bien à leurs figures quand elles étaient indisposées et là…là elles se "vengeaient" sur nous.
Un jour , dans le dortoir on s’est fait piquer par une des bonnes-sœurs. Ma copine me rasait les jambes et la sœur en a conclu qu’on étaient gouines. Elle me disait que ma copine avait avoué et qu’on se rasait la chatte , comme des petites putes. Elle m’a fait baisser ma culotte et quand elle a vu ma petite chatte de jeune fille, peu poilue à son goût, elle m’a frappé et puis pour me punir elle m’a pincé les lèvres et le clito. Elle a tellement tiré mes poils en hurlant qu’elle en a arraché quelques-uns.
J’avais honte. Contrairement a se qu’elle croyait personne ne m’avait touché la chatte. C’était la première fois, c’était violent… mais ça m’a fait de l’effet. Ca m’a fait mouiller et j’avais honte, et plus j’avais honte plus je mouillais. J’avais mal, mais avec la honte mélangée j’avais envie qu’elle me triture encore la chatte, je ne sais pas, la honte totale.
Et elle, elle ne pouvait pas le voir, et elle s’est acharnée en me traitant de toutes les pires insultes qu’elle connaissait. Elle me disait et me tordant la vulve, "vous vous touchez!, vous vous frottez! vous vous broutez la chatte!".
Je n’avais pas idée qu’on pouvait faire ça, je ne l’avais pas fait, mais je m’en sentais coupable. Et j’en avais envie parce qu’elle me faisait honte et qu’elle me faisait mal et que je voyais bien que ce n’était pas normal, qu’elle y prenait aussi du plaisir.
J’avais tellement honte que j’aurais voulu qu’elle continue pour me punir de ce que je n’avais pas fait mais dont elle me donnait l’idée, et puis j’avais toujours été dressée à faire "plaisir" aux autres.
C’était comme ça qu’on élevait les filles à l’époque, j’avais envie de lui faire plaisir et qu’elle continue. Mais sa colère avait dépassé ce qu’il aurait fallu et quand elle s’est rendue compte qu’elle prenait du plaisir et qu’elle m’en donnait elle s’est arrêtée effrayée. Elle m’a reproché ce que je lui faisait faire et m’a chassé.
Du coup un peu parce qu’elle m’en avait donné envie, un peu parce que je voulais encore m’humilier, j’ai entrepris la fille de l’ambassadeur. Elle n’étais pas farouche et s’enmerdait ferme dans cet internat. On a commencé à se gouiner, en faisant tout ce que la sœur m’avait dit. Mais ce n’était que doux et si je vivais mes premières émotions il me manquait la fureur et les coups.
Quand j’ai demandé à ma copine de me faire mal, elle a ouvert de grands yeux et m’a fait subir toutes sortes de petits sévices. C’est devenu notre secret. Et je partais au quart de tour, puis la masturber me faisait redescendre sur terre et m’ennuyer. Mais je le faisais pour la remercier et aussi pour m’humilier."
Pendant que sa femme racontait, mon ami était subjugué et une véritable pitié le prenait, mais chaque fois qu’elle parlait de douleurs il semblait se réveiller et lui pinçait un téton ou lui claquait le cul.
Elle semblait apprécier quand il lui labourait le cul en manipulant le gode bien fiché dans son anus. Elle interrompait alors son récit comme pour reprendre son souffle, mais imperturbable elle continuait.
" Un secret dans un internat pour jeunes filles ça ne tient pas longtemps et la sœur la plus méchante l’a vite su, et elle nous espionnait, elle voulait nous prendre sur le fait, maintenant je me doute que ça l’excitait et qu’elle prenait plaisir à nous surprendre et nous terroriser.
Elle est devenue très cruelle avec moi, au point que les autres filles étaient terrorisées de devenir son souffre douleur et moi, comme une sainte, enfin comme j’imaginais les martyrs qu’on nous bourrait dans le crâne, je souffrais, je me sentais humiliée mais au fond de moi… au fond de moi…"
Elle dût s‘interrompre parce qu’à force de lui travailler le cul avec le gode en cristal son mari s’était mis à bander dur et avait décidé de la prendre devant moi. Je ne savais pas si c’est l’histoire de ces jeunes filles qui l’excitait ou la confession de sa femme à un quasi inconnu ou simplement l’idée de la prendre devant quelqu’un , toujours est-il qu’il poussa son gland puis toute sa grosse queue à la place du gode poisseux de mouille qu’il venait d’enlever du con de sa femme et qu’il avait déposé complaisamment sur le plateau d’argent.
Il grogna:
- "continue salope" et à mon adresse "et toi bois un coup, moi je suis occupé".
Il était très excité et la situation développait en moi une sorte d’hypnose, à la fois d’horreur et de félicité. J’aimais les voir. Elle continuait son atroce récit et lui la bourrinait sans vergogne. Elle subissait comme si rien de cela n’était étrange. Moi je buvais ses paroles et du champagne.
" Ah!… au fond de moi je prenais plaisir à être maltraitée, c’est comme si un lien s’était fait dans mon ventre entre plaisir, sentiment d’être une salope et punition…douleur.
Je suis sure que la sœur s’en rendait compte, je suis sure que ça augmentait sa tendance au sadisme, elle devait mouiller comme une salope elle aussi.
Après que la fille de l’ambassadeur soit partie, et que je n’avais plus aucune activité érotique, la sœur continuait ses punitions et ses pénitences sur moi, si fort qu’un malaise s’est installé. Je savais que ce n’était pas bien, pas juste, pas normal. Je savais que même si ça me donnait des sensations, je ne devais pas… c’était comme une boucle de honte, qui me faisait faire des sottises, des peccadilles pour me faire punir…
Jusqu’à ce qu’un jour, je ne sais pas pourquoi parce qu’il me dégoûtait, et je suis sûre que les sœurs aussi étaient dégoûtées par lui, le vieux curé qui venait nous confesser a remarqué quelque chose, ou j’ai cru qu’il remarquait quelque chose.
Je suis sûre que si elles étaient aussi méchantes avec nous c’est parce que ces nones n’étaient pas aussi nettes que ça, elles se vengeaient sur nous…peut-être que ce vieux porc y était pour quelque chose… je ne sais pas , il se dit tellement de chose dans ces internats plein de donzelles récemment hormonées…
Un jour je lui ai dit à ce porc ce que la sœur me faisait subir, il m’a fait tout expliquer, les mains dans ma culotte, sa chatte qu’elle me montrait pour me montrer comment devait être une chatte naturelle et pas une chatte de pute comme moi, le cierge qu’elle enfonçait dans mon cul parce qu’elle voulait éteindre ce que j’avais dans le ventre mais qu’elle ne voulait pas me déflorer, parce qu’imaginez le scandale, il fallait que nous soyions vierges à la sortie de l’école… ça ne devait pas être l’envie qui lui manquait à cette salope de nonne…ha elle aurait bien voulu me voir saigner dans ma culotte, elle aimait ça le sang dans les culottes, elle "vérifiait" soi disant, la honte, toujours l’humiliation et moi, seule dans mon lit je m’infligeais des "punitions " imaginaires pour des pêchers encore plus imaginaires et je m’humiliais toujours plus et plus profond dans mon cul de catin, jusqu’à me faire surprendre par la sœur etc…"
Un peu de sueur perlait au front de la dame, par à coups sa respiration devenait plus hachée et elle fermait les yeux. Son récit devenait obscène et de plus en plus cru au fur et à mesure que mon ami la sautait (il n’y a pas d’autre mot ) devant moi.
" J’ai tout balancé à ce porc, mais il m’a traité de menteuse, il m’a menacé des pires sanctions divines ou infernales. Puis la mère supérieures m’a punie, cette merde était allé tout lui raconter et ma mère est venue me chercher. Elles m’ont renvoyé. Ma mère était digne , mais à la place de m’écouter, à la place de me demander elle a cru les sœurs, et je ne sais quelles horreurs elles ont pu raconter à ma mère.
Rentrées à la maison, ma mère a pleuré, hurlé, puis geint comme si elle était blessée physiquement, j’étais si honteuse; puis le soir elle est venue me gifler dans ma chambre. J’ai eu un orgasme terrible.
Au point que le lendemain j’étais prête à avouer n’importe quoi pour qu’elle sorte de ses gonds et qu’elle me gifle encore. J’ai compris à ce moment là que je ne pourrais jamais aussi bien jouir qu’en étant claquée, injustement, arbitrairement humiliée et frappée. Même quand je martyrisais mon pauvre clito je ne parvenais pas à atteindre un orgasme aussi puissant qu’une série de claques me procuraient immédiatement,violemment. Plus c’était absurde ou immérité plus je jouissais. Une vraie pute. J’inventais n’importe quoi et puis ensuite m’a "réputation" suffisait à me faire rouer pour rien.
Alors tout le monde a su que j’étais une salope, on disait une fille facile, pourtant à part me torturer la chatte et espérer prendre une trempe je ne faisais rien, rien de ce qu’on croyait que je faisais. Je traînais pour rentrer, parce qu’aussitôt ma mère allait croire que je traînais à faire la pute et me tansait vertement. Ce que j’ai pu lui faire de mal! Mais j’en avais besoin j’étais devenue accroc à mes orgasmes.
Pourtant j’étais vierge. Je n’avais jamais connu de garçon. Et bien sûr ma mère l’ignorait. Et tout le voisinage aussi. Encore……Encore!"
Mon ami lui pressait les tétons comme je n’ai jamais vu ça, il étaient violets et ça semblait inspirer la belle.
" Quand Manoel a demandé à mon père de me fréquenter mon père à cru qu’il était idiot ou demeuré mais il était bien trop content, les parents de Manoel un peu moins. On s’est marié très vite et on est parti dès qu’on a pu en France. C’était un homme bon et timide. Il était courageux. Il était très étonné que je sois vierge, il a eu peur de m’avoir blessée.
Je me suis rangée, j’ai essayé d’avoir des enfants mais je me suis ennuyée tellement que le sexe comme ça ne m’intéressait plus. Manoel n’aurait jamais levé la main sur moi.
J’étais tellement éteinte.
Il est mort dans un silot a grain mal aéré en faisant une soudure. Ça a explosé."
Mon ami avait sorti sa queue pour jouir au grand jour et à peine son gland était sorti de sa femme qu’il giclait abondamment entre ses fesses, mais sans même reprendre sa respiration il avait introduit dans son insatiable conteuse un, deux, trois doigts puis toute sa main pour la fouiller pendant qu’un fil de sperme coulait encore de sa queue qui débandait. Je crois qu’il lui a mis la main entière quand elle a dit explosé. Elle a marqué une pause imperceptible avant de continuer.
" J’étais déprimée, c’était subit. Je me croyais finie. Ce n’était pas de la saudade, il n’allait pas revenir. Ma famille mes frères ne voulaient plus me voir et j’étais seule. Je suis allée voir le docteur Cohen, on aurait dit ce gros porc de curé mais en gentil, en sympathique. J’ai beaucoup pleuré, mais j’ai fini par tout lui dire, j’avais presqu’envie qu’il me batte, qu’il m’envoie une volée de gifle, je crois que j’en étais un peu troublée, pas amoureuse mais,…
Il a été vraiment super et m’a dit que ce n’était pas ma faute, que j’aurais du mal à effacer, à oublier, alors qu’il fallait vivre avec ça, en faire du bien, presqu’accepter d’être comme je suis. Il a beau dire que non, moi je sais que je suis une salope, une vrai pute, une chienne……
Et j’en suis fière. AAAAAh!"
Mon ami était en train de cogner dur dans le fond de la chatte de sa femme en la fistant et elle avait fini par lâcher l’affaire, on aurait dit qu’elle pensait au bon docteur Cohen, enfin elle est partie très haut en disant qu’elle était une salope.
Mon ami m’a raconté ensuite comment ils s’étaient trouvés, par petite annonce, qu’elle l’avait bluffé. Que c’est une femme très bien, une épouse merveilleuse et un peu "spéciale"… quand ça lui vient…
Ils sont très épanouis et je vais souvent les voir, Ed adore se faire "remplir" et "bousculer". Et comme dit mon ami: il n’a qu’une seule bite et sa femme à quelques bites à rattraper.