- 21 sept. 2022, 22:47
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J’observai à présent la cuisse nue bien ouverte sous le corps de son amant. Les mouvements plus rapides dégagèrent encore plus les draps me laissant la vue du cul de Cédric qui s’activait sans préservatif dans le ventre de ma p’tite femme. Cette dernière remonta son pied sur les reins de son homme lui ouvrant ainsi largement l’accès à son puits de lave…
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Je regardais ce p’tit pied sur les reins de mon pote, cette cuisse largement ouverte, et trouvais la scène encore une fois diaboliquement excitante. Ma femme n’avais jamais pris cette position avec moi et cela me frustrait une fois de plus de voir à quel point elle avait envie de lui.
Les draps furent vites repoussés au fond du lit et je pouvais regarder à loisir ma femme se faire prendre sans retenu par notre ami. Elle le caressait, lui griffait les fesses, l’embrassait, se cambrait pour lui offrir ses petits seins à téter ou bien lécher…
Maintenant à genou, il pénétrait au plus profond le ventre de Sandra.
Cette petite coquine prenait appui de ses deux mains sur la tête du lit, afin d’accueillir les coups puissants qu’elle recevait.
Je ne pouvais m’empêcher de repenser que quelques dizaines de minutes plus tôt, elle avait refusé mes avances. Que ce matin, elle avait envie de faire l’amour…, mais pas avec moi...
Après une nuit passé avec son amant à gémir ouvertement son plaisir pour que je l’entende, elle me narguait à nouveau, se donnant à un autre sans retenu.
Cédric toujours à genou, avait basculé son amante sur le côté et lui massait un sein d’une main. Tournée vers les miroirs de l’armoire, elle souriait et gémissait doucement en regardant le reflet de cet homme qui la prenait par derrière.
Il fit ensuite passer la jambe de la poupée qu’il malmenait par-dessus sa tête pour poser le petit pied sur son épaule. Dans cette position, cette dernière était bien ouverte, et il profitait allègrement de l’indécente ainsi offerte.
Cédric, tête baissée, le regard en direction du sexe dans lequel il s’enfonçait et se retirait, alternait entre lenteur, rapidité et force. Vous ais-je déjà dit que Sandra adore que l’on pose son regard sur elle, que cela la rend tout particulièrement chose… ? Qu’un regard sur son corps nu la fait fondre, et ruisseler de plaisir… ?
Et bien là !, elle était particulièrement excitée par son regard…, et de savoir que je les observais, devait aussi participer à cet embrasement.
Cela n’en finissait pas et je n’en pouvait plus de regarder mon adultère en direct, cela faisait déjà vingt minutes qu’il faisait l’amour quand il la pris en missionnaire. Après quelques aller et retour, notre ami dut penser qu’il n’entrait pas assez profondément en elle, alors il lui leva les jambes, passant ses bras sous ses genoux.
Les deux pubis claquaient fortement l’un contre l’autre et Sandra commençait à gémir alors que Cédric accélérait le mouvement.
L’orgasme de Sandra arrivait, elle gémissait de plus en plus fort sous les pénétrations de son amant, le tenant par la hanche d’une main, pour l’enfoncer pleinement en elle. Je vis alors notre invité sortir au dernier moment en râlant de plaisir pour éjaculer sur le ventre de ma femme, tandis qu’elle continuait à jouir.
Une chose me marqua fortement ! Lorsque Cédric sortie de la belle infidèle, je vis la main de cette dernière essayer de le retenir, s’agrippant à sa hanche. Cédric avait eu comme une entrave à son retrait et était sorti juste à temps.
Pour avoir visionné cette scène à maintes reprises, je vous confirme qu’elle aurait aimé le garder en elle au moment ou ils jouissaient de concert…
La débauche enfin terminée, Cédric toujours entre les cuisse de l’infidèle, la nymphe attira son amant sur elle pour un tendre baiser. Le gentleman, se saisit ensuite de mouchoirs en papier se trouvant sur la table de nuit, et nettoya la belle de la semence étalée sur son corps.
Elle le regardait amusée, écartant bras et jambes afin qu’il n’oublie rien, puis fixant la caméra, sourire en coin et regard de coquine, elle s’assit face à lui, pour l’embrasser de nouveau, avant qu’ils ne s’enlacent pour un long câlin sur l’oreiller…
Ma femme nue dans les bras d’un autre homme, souriait de temps en temps à la caméra enfin satisfaite et comblée.
15 minutes plus tard, elle me rejoignait dans la cuisine, radieuse, comme si tout était normal, pour un deuxième café, qu’elle me demanda de lui préparer, ainsi qu’a Cédric qui n’allait pas tarder…