- 13 août 2023, 17:35
#2736963
Loin des événements dont j’ai parlé dans mes autres publications et bien des années d’expérience plus tard et un mariage harmonieux, ma femme et moi avions instauré une nouvelle tradition annuelle.
Le vrai défi dans ce que nous faisons est toujours de trouver des partenaires dignes de confiance et qui nous comprennent (aussi bien sur le plan sexuel que sur le plan personnel), car nous avons beau paraître extrêmes dans nos pratiques, nous protégeons solidement notre vie privée et notre santé.
Quel meilleur candidat pour ce travail que mon meilleur ami. Certes il ne possède pas de queue monstrueuse comme celles dont ma femme raffole mais il est bien proportionné (18cm), jeune, athlétique, infatigable. Cerise sur le gâteau, pendant les cinq premières années où ma femme et moi étions ensemble, il fantasmait sur elle. Il me l’avouera bien après évidemment. A chaque fois qu’on passait du temps ensemble, il se masturbait en pensant à elle. Elle le rendait fou de désir.
Nous avons donc eu l’idée d’organiser avec lui de manière annuelle des vacances sexuelles. Il viendrait passer entre une semaine et dix jours chez nous pour des ébats. Comme nous voyageons souvent, chaque année nous l’invitons à découvrir un nouvel endroit et à se satisfaire pleinement.
Bien sûr dès que nous lui avions fait la proposition il accepta sans hésiter et arriva chez nous trois semaines plus tard avec son test de dépistage en main.
Nous pratiquons déjà le libertinage et le candaulisme ma femme et moi depuis un certain temps à cette époque, mais à mon meilleur ami, nous avons donné des privilèges que nous n’avons jamais donné à personne d’autre avant.
Il avait le droit d’assouvir tous ses fantasmes, toutes ses envies sans avoir à demander ni à donner de contrepartie. Ma femme aime être traitée en soumise, en vide couilles et il était là pour profiter de ses envies de la manière la plus égoïste possible. Il pouvait aussi sortir avec ma femme et la présenter comme la sienne s’il voulait.
Bien sûr, la première journée il était nerveux et avait des scrupules envers moi, mais après une longue conversation et quelques verres il se lâcha. A partir de là, il baissait le plus clair de son temps à baiser ma femme, manger et dormir pour se recharger. Dans le lit, au salon, dans la cuisine, sous la douche, matin, après-midi, soir, il semblait libérer des pulsions réprimées depuis des années.
Au bout de trois jours, il se mit à carrément se promener nu chez nous. Il se servait d’elle comme s’il était un objet qui lui appartenait. Ma femme et moi nous discutons dans le salon. Il arriva à poil et enfonce directement sa queue dans sa bouche. Ma femme cuisine, il vient derrière, la prend là où elle est et se vide dans sa chatte sans l’avertir.
Au bout d’une semaine, elle fut dressée à assouvir ses désirs. Elle se réveillait tôt le matin pour aller le sucer, il se vidait dans sa bouche et elle avalait tout. Elle retournait dormir. Après le petit déjeuner, il la baisait sur la table de la cuisine, généralement il la sodomisait et se finissait sur ses fesses ou à l’intérieur. L’après-midi c’était le seul temps de pause car il en profitait pour faire du tourisme en sa compagnie ou en la mienne. Le soir, il avait pris l’habitude de la baiser longuement et de jouir dans sa chatte.
Etrangement, ces vacances sexuelles nous rapprochèrent lui et moi beaucoup plus que nous l’étions déjà. Jamais il ne me trahit, jamais il ne tenta quoique ce soit qui aurait pu nuire à notre couple. Depuis lors, chaque année, il vient passer ses dix jours chez nous et il en profite pour donner à ma femme ce qu’elle aime par-dessus tout : la soumission totale.
Le vrai défi dans ce que nous faisons est toujours de trouver des partenaires dignes de confiance et qui nous comprennent (aussi bien sur le plan sexuel que sur le plan personnel), car nous avons beau paraître extrêmes dans nos pratiques, nous protégeons solidement notre vie privée et notre santé.
Quel meilleur candidat pour ce travail que mon meilleur ami. Certes il ne possède pas de queue monstrueuse comme celles dont ma femme raffole mais il est bien proportionné (18cm), jeune, athlétique, infatigable. Cerise sur le gâteau, pendant les cinq premières années où ma femme et moi étions ensemble, il fantasmait sur elle. Il me l’avouera bien après évidemment. A chaque fois qu’on passait du temps ensemble, il se masturbait en pensant à elle. Elle le rendait fou de désir.
Nous avons donc eu l’idée d’organiser avec lui de manière annuelle des vacances sexuelles. Il viendrait passer entre une semaine et dix jours chez nous pour des ébats. Comme nous voyageons souvent, chaque année nous l’invitons à découvrir un nouvel endroit et à se satisfaire pleinement.
Bien sûr dès que nous lui avions fait la proposition il accepta sans hésiter et arriva chez nous trois semaines plus tard avec son test de dépistage en main.
Nous pratiquons déjà le libertinage et le candaulisme ma femme et moi depuis un certain temps à cette époque, mais à mon meilleur ami, nous avons donné des privilèges que nous n’avons jamais donné à personne d’autre avant.
Il avait le droit d’assouvir tous ses fantasmes, toutes ses envies sans avoir à demander ni à donner de contrepartie. Ma femme aime être traitée en soumise, en vide couilles et il était là pour profiter de ses envies de la manière la plus égoïste possible. Il pouvait aussi sortir avec ma femme et la présenter comme la sienne s’il voulait.
Bien sûr, la première journée il était nerveux et avait des scrupules envers moi, mais après une longue conversation et quelques verres il se lâcha. A partir de là, il baissait le plus clair de son temps à baiser ma femme, manger et dormir pour se recharger. Dans le lit, au salon, dans la cuisine, sous la douche, matin, après-midi, soir, il semblait libérer des pulsions réprimées depuis des années.
Au bout de trois jours, il se mit à carrément se promener nu chez nous. Il se servait d’elle comme s’il était un objet qui lui appartenait. Ma femme et moi nous discutons dans le salon. Il arriva à poil et enfonce directement sa queue dans sa bouche. Ma femme cuisine, il vient derrière, la prend là où elle est et se vide dans sa chatte sans l’avertir.
Au bout d’une semaine, elle fut dressée à assouvir ses désirs. Elle se réveillait tôt le matin pour aller le sucer, il se vidait dans sa bouche et elle avalait tout. Elle retournait dormir. Après le petit déjeuner, il la baisait sur la table de la cuisine, généralement il la sodomisait et se finissait sur ses fesses ou à l’intérieur. L’après-midi c’était le seul temps de pause car il en profitait pour faire du tourisme en sa compagnie ou en la mienne. Le soir, il avait pris l’habitude de la baiser longuement et de jouir dans sa chatte.
Etrangement, ces vacances sexuelles nous rapprochèrent lui et moi beaucoup plus que nous l’étions déjà. Jamais il ne me trahit, jamais il ne tenta quoique ce soit qui aurait pu nuire à notre couple. Depuis lors, chaque année, il vient passer ses dix jours chez nous et il en profite pour donner à ma femme ce qu’elle aime par-dessus tout : la soumission totale.